Aller au contenu

RIGEL33

Membre association
  • Compteur de contenus

    11 700
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    32

Tout ce qui a été posté par RIGEL33

  1. Calme-toi... c'est sa main dans la poche
  2. Rajout de la photo qui montre l'horizon ouest sur le site d'observation
  3. Escapade espagnole en vue de l’éclipse solaire de 2026 C’est le vendredi 9 juin, à 5h15 du matin, que nous décidons de prendre la route vers l’Espagne avec Denis, Joël, Chara et moi-même, afin de faire du repérage pour l’éclipse solaire totale de 2026. La zone de centralité allant d’ouest en est, d’Oviedo à Castello de la Plana, est visible sur la carte ci-dessous. L’éclipse totale se verra sur la zone entre les traits bleus, le maximum étant sur la ligne rouge. La préparation consiste à contacter tous les campings présents entre Burgos et Soria, lieux les plus proches de Bordeaux en terme de kilomètres routiers, en tentant de se rapprocher le plus possible de la ligne rouge. Le premier à nous répondre est le camping el Concurso près d'Abejar, à gauche de Soria. Les autres ont répondu un peu plus tard. Partis de Bordeaux en ligne directe par l'A63, il nous faut deux heures pour atteindre la frontière à Irun (Behobi) au Pays Basque. Une fois la frontière franchie, première pause à 7h15 pour un café et un changement de conducteur. Puis nous prenons la direction de San Sebastian car, ma première idée est d'aller à Burgos et de redescendre vers Soria. Cependant, le mail du camping d'Abejar me parut tellement sympathique que je décide qu'ils auraient la primeur de notre visite. On décide donc de dévier vers Logrono dans la région La Rioja. Puis direction Soria en Castillon-et-Leon avant de bifurquer juste avant vers la gauche en direction d'Abejar. A 9h45, nous faisons une halte dans une station service... la voiture a faim ! Puis nouvelle halte à 11h30 pour une pause café et casse-croûte. La région est très vallonnée, on a l'impression de monter et descendre en permanence. Denis est gêné car ses oreilles se bouchent. Nous passons je ne sais combien de tunnel dont le plus long fait 5 km de long. Nous montons jusqu'à une altitude de 1.700 mètres pour tomber sur des travaux de réfection assez importants sur des routes de stations de ski. Un ouvrier nous arrête et nous parle en espagnol. Il ne parle ni anglais, ni français. Je tente d'utiliser mon traducteur sur le téléphone, mais à cet endroit, pas d'internet. Notre premier contact avec un Espagnol et la barrière de la langue s'impose à nous brutalement. Mais l'ouvrier finit par nous faire comprendre avec des mots simples et des gestes, que la route était en travaux sur une sacré longueur et qu'il faut rouler doucement. Après l'avoir remercier, nous repartons tout doucement... impossible d'aller plus vite car, effectivement, la route est bien défoncée. De gros engins travaillent, parfois pour défoncer le bitume, parfois pour le refaire... et sur environ un kilomètre de distance. C'est avec soulagement que nous quittons cette zone bien chaotique et reprenons notre route. Peu de temps après, vers 12h30, nous arrivons au camping qui est assez simple à trouver. Pour moitié, il est rempli de mobilhomes et de caravanes qui stationnent à l'année. Certaines ont des auvents, la plupart des carports. Très peu sont occupés en ce début du mois de juin mais il y a quand même quelques vacanciers. L'autre moitié du camping se sépare en emplacement tentes et camping-car. Et puis, répartis ça et là, quelques bungalows en bois. Nous avançons vers l'accueil où une charmante jeune femme nous demande le but de notre visite. Joël, en utilisant la langue de Shakespeare, lui explique qu'on vient pour voir les logements que le camping peut nous proposer. Elle le comprenait mais on voit que son anglais est primitif. Je lui montre sur mon téléphone notre échange par courriel et elle semble nous remettre. Elle nous donne quelques papiers dont le plan du camping et nous montre deux rangées de bungalows tout au fond du site, du côté du camping appelé "le mirador". Elle désigne une dame qui va nous servir de guide pour aller les visiter. Nous grimpons alors en pente douce vers ce fameux mirador... quelques minutes de marche et voilà l'alignement des bungalows devant nous. Il y a en de plusieurs sortes mais ceux qui nous intéressent le plus, sont les 6 places. La dame ne parle ni anglais, ni français. Mais jusque là, nous n'avons pas beaucoup d'échanges verbaux, uniquement des gestes et des sourires. Elle nous fait visiter un bungalow qui nous convient parfaitement. Apparemment il y a en bien plus que ce dont nous avons besoin. Nous tentons de lui expliquer, via l'application de traduction, que nous souhaitons réserver pour dans 3 ans et lui en expliquons aussi la raison. Elle semble comprendre la démarche, nous dit que des observateurs d'étoiles viennent souvent chez eux car le ciel est très bon. La vue est imprenable ici, c'est vrai mais l'horizon ouest est bouché par de grands arbres. Alors elle nous montre un château d'eau au loin, plein sud, de l'autre côté de la route. Elle nous dit que c'est là que les observateurs des étoiles vont souvent. Puis un homme arrive en voiture. Il semble s'occuper de l'entretien. Mais en fait il s'agit du patron et, au miracle, il comprend un petit peu le français. Quand nous lui expliquons nous intention de réserver pour dans 3 ans, il nous demande de redescendre à l'accueil pour voir cela sur l'ordinateur. En quelques minutes, nous revoilà à l'accueil. Le patron nous explique en mi-français mi-espagnol qu'il peut faire la réservation. J'indique donc qu'il nous faut 7 bungalows de 6 personnes pour deux nuits, celle du mardi 11 et celle du mercredi 12 août 2026. Il faut répéter plusieurs fois, histoire de ne pas se tromper. Je lui tends une carte du club afin qu'il ait toutes les coordonnées. Il tente de nous expliquer que le prix indiqué aujourd'hui ne sera pas forcément le même dans 3 ans. Bien sûr on comprend. Il me tend alors un papier où notre réservation paraît en toutes lettres. Je l'avertis qu'il risque d'avoir d'autres demandes d'ici quelques mois pour la même raison. De ce fait, je souhaite payer un acompte et je dégaine la carte bleue. Mais il refuse. Il préfère attendre janvier 2026 pour ce genre de paiement. Par contre, il nous assure que les bungalows seront bien réservés pour notre groupe. Nous repartons rassurés concernant le logement. Maintenant il s'agit de voir où observer. Nous reprenons la voiture en direction de ce château d'eau. Il faut entrer dans le village d'Abejar et suivre le site touristique "Torre de Abejar". La route se transforme vite en chemin qui passe à travers un lotissement qui semble plutôt récent. On gare la voiture tout près du château d'eau. En allant vers l'ouest, nous constatons que la "Torre de Abejar" n'est plus que ruine éparse assez basse. L'image d'une ancienne tour se devine à peine. Par contre, de gros tas de bois sont entreposés de ci de là et quelques cabanons semblent être la demeure de meutes de chiens de chasses. Un homme arrive et commence à actionner la serrure d'un des cabanons. Avec Joël et Denis, nous l'approchons rapidement pour le questionner sur le lieu. Là encore, l'espagnol ne parle ni anglais ni français, alors nous dégainons l'application. Il est très accueillant et souriant, ce qui nous rassure sur la collaboration. On lui explique dans un premier temps ce que nous sommes venus faire ici. Nous lui demandons si le site est public ou privé. Il nous confirme que c'est bien un site public et touristique ouvert en permanence aux touristes, un peu comme le Mémorial de la Ferme de Richemont où nous observons habituellement. Après moultes remerciements, nous le saluons et il retourne aussitôt à ses occupations. De notre côté, nous faisons le tour du site et une fois derrière les tas de bois, on constate que l'horizon ouest est parfaitement dégagé. Quelques montagnes au loin mais rien de très haut ne seront pas gênantes. Avec l'application Stellarium qui s'adapte aussitôt au lieu, nous avançons le temps jusqu'au 12 août 2026 à 20h15. Nous sommes alors parfaitement rassurés... nous pourrons voir l'éclipse totale sur ce site. Nous continuons à explorer le plateau. Au nord, il y a le camping... on distingue bien les bungalows sous "le mirador". Ce site d'Abejar est l'idéal... nous n'avons pas besoin d'aller plus loin. A 14h15, nous commençons à avoir faim. Je vois sur Google Map qu'il y a une cafétéria juste en bas du village. Nous nous y installons à une table en terrasse car les chiens ne sont pas admis à l'intérieur. Joël et Denis entrent dans l'établissement pour faire leur choix. Puis, à mon tour, je vais passer commande. Au retour, quelques gouttes de pluie commencent à tomber. On se précipite alors avec nos couverts vers la terrasse couverte. A cette heure-ci, personne. Nous serons tranquilles. Nous prenons trois quarts heures pour nous restaurer tranquillement et refaire le point sur nos trouvailles en vu de l'observation de l'éclipse solaire. Un esquimau clôturera la pause. Nous repartons à 15h... nous avons 3h15 de route pour rejoindre la frontière française. Nous empruntons la nationale en direction de Soria, puis remontons au nord vers Pampelune. Nous quittons la Castille et traversons un petit bout de La Rioja où nous faisons la petite pause pour finir le thermo de café, donner la gamelle à Chara et changer de conducteur. Très vite, un panneau nous indique le changement de région... nous sommes en Navarre. Depuis quelques minutes, le paysage très vallonné a fait place à des étendues plutôt plates de terres cultivées entre blé et vigne. Au loin, des cumulo-nimbus gris nous montrent les voiles de pluie et des éclairs qui tranchent sur le fond sombre des nuages d'orage. Nous allons droit dessus, ce que nous confirment les voitures que nous croisons tous phares allumés. Et bien sûr, on n'y coupe pas. Très vite, nous nous retrouvons sous une pluie battante, éclairs et tonnerre se disputant la vedette. Nous réduisons la vitesse de 120 à presque 60 par moment... Cet épisode dure un petit moment, ce qui rallonge notre temps de route. Nous finissons par arriver à Pampelune et, très vite, tout proche de la frontière française à Behobi, un village "ventas" proche d'Irun. Il est presque 19h. Nous décidons de faire une pause repas. Mais avant, nous profitons des magasins encore ouverts pour acheter quelques spécialités du coin. Pour le dîner, nous allons chez Sergio, une petite brasserie que nous connaissons et où on mange bien et vite. A 20h15, nous voilà à nouveau en voiture... il nous reste deux heures de route qui seront faites d'une traite jusqu'à Bordeaux. Nous refaisons le plein de diesel au niveau de la Rocade et continuons sur l'A62 pour rejoindre la maison à quelques minutes. Joël y retrouve sa voiture et nous quitte avec la promesse de se revoir dès le lendemain pour une partie de pétanque et notre sortie astro. C'est donc bien fatigués que nous repensons à ce périple de plus de 1.000 km en Espagne, nous remémorant cette escapade espagnole en vue de l’éclipse solaire de 2026, avec en poche la promesse d'un logement et d'un site d'observation pour la quarantaine de membres de notre club AG33. Ci-dessous la vidéo résumant le voyage :
  4. Si je ne m'abuse, @gerard33 en était l'animateur
  5. Un public nombreux pour fêter le Soleil à Saucats (33) C’est au centre bourg de Saucats, le samedi 3 juin 2023 que les télescopes et les lunettes des membres d’ASTRONOMIE GIRONDE 33 se sont installés le temps d’un après-midi, afin de montrer et expliquer ce qu’est le Soleil, à quoi il sert et sa dangerosité pour nous les humains. Mathieu Sudre, de MAGELLAN METEORITES, a accepté d’exposer ses pierres venues de l’espace et en expliquer tous les secrets. Des expertises ont même eu lieu pour ceux qui le souhaitaient. Son stand n’a pas désempli de l’après-midi ! Un jeu solaire était organisé pour les petits et grands afin d’en apprendre plus sur notre étoile. Questions et surtout dessins étaient à l’honneur et une bonne centaine de personnes, dont la moitié de saucatais, ont bien voulu se prêter à se divertissement ludique. Chaque participant a pu gagner une paire de lunette à éclipse, bien utile en cette période d’intense activité solaire où les taches peuvent être visibles à l’œil nu (sous réserve d’être protégé). Alors que les enfants courraient pour trouver les réponses, les adultes s’attardaient à discuter avec les animateurs. Joël avec son radiotélescope, Patricia avec sa mécanique céleste, Dominique avec son ordinateur relié à sa lunette astronomique, Bernard et sa grande lunette bleue faite maison, et les 8 autres animateurs présents ce jour-là, n’ont pas été avares en arguments scientifiques pour démontrer l’accessibilité de l’astronomie à tous les âges. Au final, chaque participant a trouvé réponses à ses questions et a acquis de nouvelles connaissances tout en s’amusant. Les animateurs ont été ravis de trouver un public de si grande qualité, curieux et désireux d’en apprendre un peu plus sur notre étoile-mère ! Quelques photos (crédits : Julien Gourdon, Jérémy Guimberteau et Sandrine Vautrat) :
  6. Désolée mais j'ai eu un peu de boulot ces derniers jours... le premier post est corrigé. Et un grand merci à Joko pour sa présence aux RAAGSO Je m'occuperai des premières validations d'inscription jeudi
  7. RAAGSO XIV Jeudi 14, Vendredi 15, samedi 16 et dimanche 17 septembre 2023 tout le week-end Cliquez sur la bannière pour accéder au site Camping du Causse à Ambeyrac (dans l'Aveyron) Inscription obligatoire sur le site des RAAGSO (cliquez ICI) Passages de l'ISS A venir Crédit : heavens-above.com Éphéméride (heure locale) Jeudi 14 septembre Coucher du Soleil : 20h05 Crépuscule astronomique : 21h45 Coucher de Lune : 20h10 (fraction éclairée 0%) Lever de Jupiter : 22h10 Lever de Saturne : 19h25 Vendredi 15 septembre Coucher du Soleil : 20h05 Crépuscule astronomique : 21h45 Coucher de Lune : 20h25 (fraction éclairée 0,5%) Lever de Jupiter : 22h05 Lever de Saturne : 19h20 Samedi 16 septembre Coucher du Soleil : 20h00 Crépuscule astronomique : 21h40 Coucher de Lune : 20h45 (fraction éclairée 03%) Lever de Jupiter : 22h00 Lever de Saturne : 19h15 Quelques photos d'ambiance de l'édition précédente : Cliquez ICI Venez nombreux
  8. Et c'est parti pour les NAT 2023 ! Même si les nuages s'accrochent en journée, les nuits sont belles 🌌 Aujourd'hui beau halo solaire vers midi
  9. Superbe nuit sur l'observatoire de Tauxigny en ce moment :love1: Voici un premier aperçu par drone le lundi après-midi réalisé par Philippe Camo, membre de la SAT Voici une image faite ce matin
  10. Pourquoi ? Nous ne sommes pas les uns sur les autres à la campagne... alors qu'en ville, c'est un peu le cas quand même. Tu parles d'équité entre citoyens, mais quid des cités ou des quartiers où vivent les citoyens qui ne peuvent pas se permettre l'installation de la clim ?
  11. Grand champ dans le pied de Castor Quel rapport entre une tête de singe, une méduse et une boucle de chaussure ? Réponse : ils figurent tous trois sur mon image céleste ! Le 9 février 2023, l’hiver était bien implanté sous nos contrées girondines et je pouvais, grâce à une météo clémente, pointer des objets du ciel nocturne que je n’avais jamais tenté en grand champ. On peut donc découvrir ces objets qui se situent dans le pied de Castor, l’un des jumeaux célestes de la constellation des Gémeaux. Amas d’étoiles, rémanent de supernova et nébuleuses s’y disputent la vedette mais chacun d’eux méritent qu’on s’y arrête ! - En haut à gauche, l’amas ouvert d’étoiles M35 (NGC 2168), aussi appelé l’amas de la Boucle de Chaussure, est composée d’environ 50 à 100 jeunes étoiles seulement âgées d’environ 95 millions d’années. Il se situe à environ 2.660 années-lumière de nous. - L’amas ouvert juste au-dessus de M35, NGC 2158, est beaucoup plus éloigné de nous à environ 16.500 années-lumière. Il semble plus compact, à tel point qu’on l’avait pris au départ pour un amas d’étoiles globulaire. Il contient lui aussi qu’une centaine d’étoiles âgées d’environ 1 milliard d’années. - En haut à droite : la nébuleuse en émission NGC 2174, aussi appelée la Tête de Singe (à cause de la ressemblance une tête de macaque vu de profil). C’est une nébuleuse pouponnière d’étoiles et, en son sein, se trouve un amas de jeunes étoiles (NGC 2175). La nébuleuse accuse un diamètre de 62 années-lumière et se situe à environ 5.300 années-lumière. - En haut au centre : la nébuleuse en émission SH 2-247 est ronde et assez quelconque apparemment car je n’ai pas trouvé d’informations relatives à ses caractéristiques. - Au centre près de l’étoile Propus (η Gem) : le rémanent de supernova IC 443. C’est sa forme qui lui a valu ce surnom populaire de nébuleuse de la Méduse. Elle se situerait à environ 3.000 années-lumière de nous. Ce qui reste de l’astre qui a explosé est devenu une étoile à neutrons. - Pour finir, en dessous de la Méduse, on peut voir des nébuleuses en émission cataloguées pour l’ensemble SH 2-249 : LBN 840 pour la petite nébuleuse juste sous la Méduse, et LBN 841 pour la plus grande près de l’étoile Tejat (μ Gem). Même si elle n’est pas d’une grande qualité, je suis assez contente de cette image qui réunit à elle seule tant d’objets célestes si différents ! Photos prises dans la nuit du 9 au 10 février 2023 à Ayguemorte-les-Graves (33) – Canon 40D défiltré partiel + filtre clip EOS L-enhance, avec objectif Sigma 70-300, focale à 168 mm, ouvert à 5, sur monture StarAdventurer (sans goto ni autoguidage). 281 poses de 60 s – ISO 1600 – 25 DOF – Siril et Toshop. (cliquez sur l’image pour voir la full) Version annotée (cliquez sur l’image pour voir la full)
  12. Je pense que le floutage de certains visages est un peu léger... mais normalement ils sont tous floutés. N'hésitez pas... c'est super satisfaisant et valorisant de transmettre à des esprits curieux. Et quand on entend leur "Aaaah" et "Ooooh", ça nous rappelle nos premières fois... on les revit à travers eux
  13. Le blanc est un 300, les deux autres noirs sont des 400... et non, aucun n'a eu cette idée
  14. Découverte du ciel nocturne pour les lycéens de la Brède (33) Le mardi 28 mars 2023, cinq animateurs d’ASTRONOMIE GIRONDE 33 se sont rendus sur leur site d’observation habituel, le Mémorial de la Ferme de Richemont à Saucats, afin d’offrir à un groupe de lycéens de la Brède (lycée de la Sauque), une découverte du ciel nocturne. C’est en autocar qu’ils ont débarqué avec leur enseignante vers 20h. Le ciel n’était pas super top avec beaucoup de voiles nuageux mais assez fins pour qu’on puisse voir les objets les plus brillants. Bien sûr, la Lune et la planète Vénus étaient présentes ce qui a permis de commencer l’observation avant la nuit noire. L’absence d’humidité et des températures douces, nous étions bien partis pour prolonger la soirée mais vers 22h30, les voiles nuageux, jusque-là assez fins, ce sont bien épaissis, nous cachant les étoiles et les objets célestes. Malgré quelques instants de patience, la météo n’évoluait pas dans le bon sens… La soirée d’observation prit fin vers 23h, les jeunes regagnant leur autocar, satisfaits de leur soirée d’observation astronomique. Pour les animateurs, le but était atteint... ouvrir l'astronomie à leurs esprits à cette science qui tend vers la patience, la connaissance et l'aventure. Ils espèrent avoir susciter quelques vocations parmi ces jeunes gens en classe de Terminal. Quelques photos de l’animation (crédit : Sylvie Thoré). Crédit photo de la Lune : Gérard Arlic . . . . . . . .
  15. Encore un arc-en-ciel pris il y a quelques minutes
  16. Arc-en-ciel du matin, amène la pluie en chemin ! Photos prises le 2 avril 2023 à Ayguemorte-les-Graves, Gironde, France.
  17. Un amas d’étoiles sur qui on peut compter ! NGC 2169 est un jeune amas ouvertsitué dans la constellation d'Orion. Il a été découvert par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1782. Il est aussi possible que l'astronome sicilien Giovanni Battista Hodierna ait observé cet amas avant 1654. Il se situe à environ 3.430 années-lumière du système solaire et les dernières estimations donnent un âge de 11,7 millions d'années. Sa taille est d'environ 6,0 années-lumière et il renferme moins de 50 étoiles. Selon la classification des amas ouverts de Robert Trumpler, cet amas renferme une trentaine d’étoiles. La disposition de certaines de ses étoiles suggère, en surnom populaire, un nombre : le 37 (voir version annotée). Il est aussi appelé l’amas du Chariot de Course ou les Petites Pléiades. On peut le trouver facilement au-dessus de Bételgeuse, juste entre les deux petites étoiles qui semble marquer le coude du grand chasseur céleste. Photos prises le 21 mars 2023 à Allons (47) – Canon 7D défiltré partiel au foyer d’une lunette Skywatcher 100/900 sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto ni autoguidage). 155 poses de 60 s – ISO 3200 – 25 DOF – Siril et Toshop. (cliquez sur l’image pour voir la full) Version annotée (cliquez sur l’image pour voir la full)
  18. RIGEL33

    imprimerie en ligne

    Pour les affiches et flyers, je passe par Onlineprinters... mais je n'ai jamais demandé de photo... je ne sais même pas s'ils en impriment... à tester peut-être. Je n'ai jamais été déçu de leur travail
  19. Arc-en-ciel d’hiver ! Photos prises le 9 mars 2023 en fin d’après-midi à Ayguemorte-les-Graves, Gironde, France.
  20. Ferme de l’Argenté, Allons, Lot-et-Garonne, France (cliquez sur l’image pour voir la full) (cliquez sur l’image pour voir la full) (cliquez sur l’image pour voir la full) (cliquez sur l’image pour voir la full)
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.