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clouzot

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  1. Amen (et si tu y arrives, tu m'expliques comment faire) Curieux que tu n'arrives pas au focus avec le Moonlite, la plupart des modèles pour SCT sont "traversants" et le réducteur 2" peut se retrouver pile au bon endroit à la sortie du baffle du primaire.
  2. Le Starizona SCT Corrector IV (je n'ai qu'un XLT, pas un EdgeHD, je regrette d'ailleurs de ne pas avoir investi à l'époque). Il est très bien, et en tout cas bien mieux que ce que j'ai pu tester par ailleurs, que ce soit le réducteur Celestron ou ses clones, ou encore le curieux Alan Gee Mk2. Il couvre un capteur APS-C avec une qualité très décente, ce qui me suffit largement. Et sinon un Hyperstar, bien sûr, mais c'est un tout autre animal ! Pas de p, autant que ça serve. Comme mon réducteur a les mêmes contraintes de montage que ton réducteur AP (c'est également un format 2 pouces, avec un pas de vis M48 prévu pour monter un filtre dont on peut détourner l'usage) j'avais déjà pu explorer les solutions, ce n'était pas un grand effort de ma part J'y pense : il y a aussi la possibilité d'utiliser un focuser externe 2 pouces style Moonlite, Baader Steeltrack et autres Feathertouch, et d'y insérer ton réducteur. A titre perso je ne suis pas un grand fan de l'idée, car ces bestioles coûtent cher, et avec un XLT qui n'a pas de freins de miroir primaire, le miroir se balade quoi qu'on fasse. Avec ton EdgeHD, par contre...ça se discute : tu fais la MAP approximative de façon habituelle, tu bloques les freins, et la MAP fine se fait au focuser externe. Revers de la médaille : le réducteur se déplace avec la MAP, donc la focale effective varie (un peu). Bon courage pour l'abri fixe !
  3. Sûr de sûr ? Je n'ai vu que des exemples de montage où le CCDT67 était "posé" ou placé à la sortie du baffle du SCT, pas enfoncé. Comme tu n'as pas à compenser la courbure de champ avec ton EdgeHD, tu as pas mal de latitude quant au placement du réducteur, et tu as juste à t'assurer que l'espacement réducteur->capteur est celui spécifié par AP (ce que tu fais déjà avec ton montage sur APN). S'agissant du placement du réducteur par rapport au SCT, le seul phénomène est que la focale effective du C11 va varier selon que ton train d'imagerie est plus ou moins enfoncé dans le baffle. En gros, avec un réducteur à la sortie du tube, ça va donner une focale légèrement supérieure à si il était enfoncé, mais on parle d'une différence relativement petite. Avec un montage en tout vissé, le réducteur va se retrouver à 2 ou 3mm de la sortie du baffle, donc je pense que ça va passer sans conséquences horribles sur la focale. C'est d'ailleurs comme ça que le réducteur officiel Celestron fonctionne. C'est vrai qu'il peut introduire du tilt, mais uniquement si on le serre vraiment trop fort. Sinon, tant qu'on met en place la chaîne d'imagerie en soutenant son poids, ou bien en plaçant d'abord le SCT à la verticale, pas de tilt particulier chez moi. Ma chaîne est composée à peu près comme la tienne : C9.25 avec Clicklock 2", dans lequel vient se fixer l'ensemble réducteur (Starizona), bague d'espacement, OAG, roue à filtre 7x36mm, camera refroidie ZWO 294 ou 2600, donc pas loin d'un kilo à porter. J'ai aussi comparé avec le montage en tout vissé et je n'ai constaté aucune différence de tilt avec le Clicklock
  4. Deux suggestions : - remplacer le visual back par un Baader Clicklock 2 pouces (serrage annulaire). Il existe des modèles pour à peu près tous les filetages coté télescope, dont le pas SCT justement - en tout vissé : utiliser le pas M48 qui est en entrée du réducteur (sert habituellement à mettre un filtre 2 pouces) et prendre une bague adaptatrice SCT 3 pouces vers M48 (ou une bague SCT-SCT 3 pouces vers 2 pouces, puis un adaptateur « low profile » SCT-M48). Bien vérifier que le filetage de ton réducteur AP a plus qu’un demi filet, sinon il faut avoir la foi.
  5. Pour ceux qui lisent l'anglais (ou qui sont prêts à cliquer sur Google Traduction), une explication sourcée de l'argument selon lequel l'ombre d'un secondaire excentré se retrouve elle-même excentrée. Et ne doit pas être utilisée comme moyen ultime de collimation, mais comme une façon de dégrossir si on se retrouve avec un SCT complètement décollimaté https://www.cloudynights.com/topic/422490-offset-secondary-dont-trust-the-donut/ Bref : se baser sur le donut : oui si le secondaire est parfaitement centré par rapport au primaire. Méfiance si ce n'est pas le cas point de Poisson : lui est moins sensible au décentrage, mais par rapport à la partie brillante du donut, pas à l'ombre. pour un système SCT qui n'inclut pas de correcteur/réducteur quel qu'il soit (réducteur Celestron, Starizona x0.63, Hyperstar...), donc qui n'a pas d'élément ayant un axe optique à proprement parler (edit: la lame de Schmidt en a bien un, mais "faible"), on peut très bien compenser le décentrage du secondaire par la collimation du secondaire. Ca suffit largement pour du visuel. Mais attention : dès qu'on image avec un tel télescope décentré-recollimaté, les aberrations dues au décentrage sont asymétriques dans le champ...et ça se verra sur les étoiles en bord de capteur. Et là ce n'est pas "théoriser", c'est de l'expérience concrète, vérifiable. (edit) si on introduit en supplément un élément ayant un vrai axe optique (réducteur, réducteur-correcteur, Hyperstar), il faut que tout soit d'équerre : les foyers de chaque miroir doivent être sur l'axe optique de l'élément. donc en imagerie, on a tout intérêt à centrer ce fichu secondaire d'une façon ou d'une autre. Sauf exceptions (type très vieux SCT dont les imperfections optiques ont été compensées par un décentrage ou une rotation de la lame).
  6. Ben… c’est pour le SCT aussi (en tout cas le mien). Comme tu l’indiques, on peut très bien avoir un SCT avec un secondaire excentré qui soit collimaté avec au focus une figure d’Airy quasi parfaite… mais dans ce cas, le donut défocalisé a toutes les chances de ne PAS être symétrique (forcément, si le truc qui fait de l’ombre n’est pas pile au centre…) donc ce n’est pas un critère absolu
  7. ...ce qui suppose que le secondaire est donc parfaitement centré lui aussi par rapport au primaire. Heureusement les modèles récents n'utilisent plus les cales que tu cites mais des vis pointeau nylon cachées sur le pourtour de la cellule, ce qui aide un peu à trafiquer. Par contre oui, le resserrement symétrique de la figure de diffraction quand on s'approche du focus est je trouve un très bon critère quand le seeing ne permet pas de faire mieux, le phénomène est très visible (ainsi que la tendance du premier anneau à faire l'hélicoptère autour de la tâche de Fresnel/Arago/Poisson quand la turbulence se calme un peu). C'est d'ailleurs le principe qu'utilise Metaguide pour la collimation
  8. ...et de manière générale ne pas utiliser de master bias avec ce capteur (qui ne sait pas les capturer correctement). Comme on ne les utilise que pour calibrer les flats, et que les flats sont capturés le plus souvent avec des poses longues (>4 à 5s), utiliser : soit des darks de même durée/gain/températeure que les flats (= "dark flats"), soit un bias synthétique (voir le tuto de @Cissou8 qui explique le principe pour Siril), sauf si le flat est à exposition vraiment longue du genre 10s ou plus.
  9. ZWO avait sorti cette chose qui (selon la légende) permettrait de monter les deux ensemble sans EFW au milieu : https://astronomy-imaging-camera.com/product/zwo-m54-adapter-replacing-efw/ Ce n'est pas utilisable, au final ?
  10. Que je n'ai jamais vu un flat aussi "flat" (enfin, sans vignettage, quoi). Au léger bruit près, c'est carrément un fond vert constant d'un coin à l'autre. Ceci dit, j'ai tellement l'habitude de mes SCT avec leur champ vignetté à l'extrême que s'il faut, un tel flat est normal avec un combo 72ED et capteur de la taille d'une 385MC. A voir avec des utilisateurs de cette lulu ! A part ça, l'exposition semble bonne puisque le vert est à 32kADU. Une fois les canaux recalés entre eux, on aperçoit un peu de structure par-ci par-là mais rien de flagrant, même pas de poussière nulle part. Si tu as nettoyé tes optiques, on va dire que c'est une réussite
  11. Merci @fredogoto pour cette somme de travail ! Quelques petits soucis d'affichage aux lisières de la carte, mais il est très probable que ce soit la version Mac de Google Earth qui fasse n'importe quoi (l'opacité non plus ne semble pas réglable, donc ça sent très fort le bug Google)
  12. J'en profite pour signaler que je m'étais honteusement planté dans mon message sur l'histogramme de l'ASIAir : pour régler la durée d'exposition des flats, il fallait bien évidemment utiliser "Avg" (comme average, valeur moyenne quoi) et pas "Std" (standard deviation, qui représente plus ou moins l'étalement des valeurs de pixels autour de la moyenne). Désolé, j'ai corrigé le message. Stricto sensu non, on ne devrait pas l'appliquer avec l'histogramme de l'ASIAir, parce que la technique "des 3 sigmas" consiste à mesurer une partie de l'image "light" sans nébulosité, sans étoile, uniquement le fond de ciel. Chose que l'ASIAir ne saura pas faire pour toi, parce qu'elle n'a pas de fonction ROI en mode Preview (à ma connaissance) qui te permette de sélectionner la partie de l'image qui t'intéresse. Ceci dit, rien n'empêche de faire comme si. Tu vises le coin du ciel le plus pauvre en étoile possible, et tu regardes en continu la valeur Std que t'affiche l'ASIAir. Comme tu as préalablement noté la valeur Std du dark correspondant (ça, l'ASIAir sait le faire, en allant chercher tes darks via le mode "Image Management" qui est planqué dans les réglages), tu peux faire une comparaison au doigt mouillé, en live. C'est pas exact, mais c'est mieux que rien. Une autre méthode encore plus "cul du camion" pourrait consister à mesurer la valeur moyenne (pas le Std) de tes darks. Généralement, pour un gain donné, c'est toujours la même (on l'appelle valeur d'offset). Tu la notes dans un coin. Ensuite, tu passes en mode Preview, et tu regardes la valeur moyenne (Avg) des images qui s'affichent. Tu t'assures que cette valeur dépasse de quelques % (1000, c'est bien, mais ça dépend des caméras) la valeur moyenne des darks, ce qui signifie que le signal du fond de ciel est bien largement au-dessus du signal de bruit. Le plus souvent, ça suffit, mais c'est loin d'être aussi précis que la méthode Colmic. Je vois malheureusement trrrrès bien le truc. Hydrops, Menière, névrite vestibulaire ou truc du même tonneau. J'espère juste qu'ils t'ont laissé tranquille avec les tests "caloriques"...
  13. Je ne suis pas certain d'avoir compris la procédure que tu suis. Tu mets l'iPad comme source lumineuse (j'imagine que c'est avec la lunette, car avec un C9.25 il te faudrait plutôt une grande surface type A3) ? Le filtre L-Pro est en place ou pas ? Et le jugement de "pas top", c'est parce que... ils sont mal exposés ? Trop ? Ils montrent des choses bizarres, pas symétriques ? A ma connaissance, la 385 n'est pas une caméra spécialement problématique et n'a pas de comportement douteux, donc tu devrais te fixer un gain (disons le gain unitaire, que tu utiliseras partout), mettre la source lumineuse en place sur le tube (bien brillante, la source), lancer la capture en boucle en mode "Preview", et faire varier la durée d'exposition jusqu'à ce que l'ASIAir t'affiche à droite de l'histogramme (sous 'Informations') un nombre "Avg" autour de 32000. Quand c'est fait, tu as trouvé la bonne durée d'exposition pour tes flats Il faut comparer le niveau de bruit dans le fond de ciel (donc on prend une light ) avec le niveau de bruit dans un dark capturé dans les mêmes conditions (exposition, gain, et idéalement température). Le but de la manip : que le bruit présent dans le fond de ciel vienne complètement noyer le bruit propre de ta caméra (bruit qui est ce qu'un dark contient, justement).
  14. Ca serait vrai s'il n'y avait les douanes chinoises à l'aller (un vrai plaisir, il manque toujours un document) et européennes au retour (amuse-toi à argumenter avec Fedex ou UPS que le matériel réparé en Chine a déjà été dédouané par le passé...). Tout ça, c'est du vécu perso (une caméra hors garantie et un revendeur européen qui a fait la sourde oreille quand il a fallu parler retour en Chine). Ceci dit, le support ZWO a été super réactif et l'aller-retour pour réparation n'aura pris "que" un mois et demi, à un tarif très raisonnable qui plus est.
  15. Exactement. C’était d’ailleurs ma question sous-jacente… j’avais aussi regardé ce qu’il pouvait y avoir en 50mm f/5 ou approchant, et ces deux modèles de chez Sharpstar semblaient correspondre à l’affirmation « c’est mieux » (quoique les EDPH, on sait que certaines séries ont eu quelques soucis de verroterie). Avec cette 50ED (et un correcteur !) on en a strictement pour son argent, pas plus pas moins. Il faut juste penser à un IRUV un peu restrictif type L3 pour dégager autant que possible le chromatisme
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