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  1. Bonjour à tous.... Enfin quelques trouées de ciel propre et bleu malgré beaucoup de nuages.... et alors que je m’apprêtais a ranger le matériel je décide de jeter un dernier coup d'oeil sur le groupe de protus que j'ai observé cet apres midi... et BING!!! une énorme éruption!! C'est la plus grande en taille que j'ai pu observer en 25 ans d'observation au spectro coronographe!! Même mon ASI 178MM avait du mal a tout enregistrer vue sa taille!! Bref , je n'ai pas encore le temps de tout traiter mais voici une image brute pour montrer la bête .. Il n'y a aucune traces sur GONG et pourtant je vérifiais en même temps au cas ou.... Et sur helioviewer.org les images ne sont pas encore parvenus pour 16h20 UT donc j'attends... à suivre CHris
  2. Bonjour à toutes et à tous, D'habitude j'utilise plutôt le forum d'en face pour discuter solaire (il est plus actif sur ce sujet, sans jeu de mots ;)), mais les images que j'ai faites lundi me semblent suffisamment intéressantes pour vous les proposer ici aussi. Je passerai un peu plus de temps à expliquer ce qu'on observe et les détails techniques, puisqu'il me semble que le Sol'Ex est moins connu ici. Ces images ont donc été capturées avec un Sol'Ex, l'instrument créé par Christian Buil, et traitées avec mon logiciel maison JSol'Ex. Le Sol'Ex est un instrument assez incroyable et j'espère que ce post en sera le témoin : il permet de capturer des phénomènes qu'aucun autre appareil ne permet de capturer. En particulier, son utilisation de la spectroscopie permet de mesurer des phénomènes brutaux et de reconstituer des images en plongeant dans l'atmosphère. Il ne permettra pas forcément de faire des zooms, mais on obtient des données assez fascinantes. De quoi parle-t-on ? Ce lundi 3 juin, je me suis lancé le défi de faire un timelapse du soleil, au Sol'Ex. C'est un travail assez fastidieux, puisque comme vous le savez peut-être, le Sol'Ex ne permet pas d'obtenir une image directement, il faut, pour chaque image, capturer une vidéo (on appelle ça un scan) et traiter cette vidéo pour obtenir une image. C'est là que les logiciels interviennent. Le logiciel officiel est fait par Valérie Desnoux et Christian Buil, il s'appelle INTI, et j'ai pour ma part écrit mon propre logiciel, JSol'Ex. Ce logiciel dispose d'un mode batch, mais aussi de scripting et autres détections automatiques qui rendent l'opération plus simple. J'ai donc capturé pas moins de 262 fichiers SER, environ 1 par minute, entre 8h et 16h UTC. Il y a des écarts (passages nuageux ou retournement au méridien), mais au total, cela représente 108 Go de données à traiter ! Pour capturer ces scans, j'ai utilisé SharpCap, avec un script de capture pour piloter la monture, ce qui a demandé un minimum de surveillance, l'essentiel étant fait de manière automatique. Les captures ont été faites avec ma lunette TS-Optics Photoline de 80mm, équipée d'un réducteur de focale 0.79 et diaphragmée à 55 mm (nécessaire pour conserver un rapport F/D proche de 6, optimal pour le Sol'Ex). Avant de commencer la série, j'ai réalisé une dizaine de scans d'affilée pour obtenir une seule image, stackée, dont voici le résultat :: Le timelapse Nous arrivons donc au résultat de cette journée, un timelapse qui montre beaucoup de choses. En particulier, 2 éruptions de classe M, l'une entre 9h30 et 12h39 UTC dans AR3697 (la grande région active au sud) et l'autre, spectaculaire, dans AR3695 au Nord-Ouest (en haut à droite) qui commence à 14h UTC. Malheureusement pour cette dernière, le principe de Murphy veut que les nuages se soient invités pile à ce moment là, ce qui donne ces images plus sombres dans l'animation. Le traitement est réalisé avec un script, optimisé pour la visibilité des flares et des protubérances. Les différences de luminosité sont essentiellement liées aux passages luminieux et volontairement non corrigées pour bien voir les éruptions et plasmas : Il est possible de zoomer sur l'éruption la plus spectaculaire de la journée : L'effet Doppler en action L'intérêt de Sol'Ex, c'est qu'il permet simultanément de capturer plusieurs choses. Ainsi, dans une vidéo, on capture une partie du spectre solaire, ici autour de la raie H-alpha. Les images H-alpha sont faites en prenant les pixels qui se trouvent au centre de la raie. Ainsi, dans l'image ci-dessous, ce que l'on voit est une capture d'une des images du fichier SER. En haut, nous avons notre raie Ha, bien sombre au centre. Le trait qui la traverse est la détection du centre de la raie, qui sert à reconstituer les images. Néanmoins, on constate que la raie n'est pas uniforme : elle est déformée, décalée vers le haut ou vers le bas. C'est l'effet Doppler, et on capture ici des décalages vers le rouge (vers le bas) ou vers le bleu (vers le haut). Le trait en bas correspond à un décalage "intéressant" relevé par le logiciel, qui permet de calculer des vitesses (nous y reviendrons) : Les bandes plus sombres visibles à gauche de l'image dans le spectre correspondent à des taches solaires. Ce qui est vraiment intéressant, c'est que grâce à ces images, on peut reconstituer une "image Doppler" du soleil, en prenant non plus le centre de la raie, mais en se décalant de quelques pixels par rapport au centre. On reconstitue alors une image en mettant dans le canal bleu l'image décalée de 3 pixels vers le haut, dans le rouge l'image décalée de 3 pixels vers le bas, et dans le vert la moyenne des 2 (cette procédure est décrite sur le site de Christian). Là où la génération de ces images Doppler est chose commune chez les Sol'Ex'istes, je ne pense cependant pas que quiconque l'ait jamais utilisé pour en faire un timelapse. Voici donc ce que j'ai obtenu : Le résultat est assez spectaculaire ! En particulier, sur la 2ème éruption, on voit bien des éjectas bleus, qui se déplacent donc vers nous, et des rouges, qui s'éloignent ! Nous pouvons cependant faire d'autres belles animations. Ainsi, en utilisant un "coronographe virtuel", il est possible de bien isoler les protubérances. C'est ce que l'on voit dans l'animation suivante, qui montre donc ces images Doppler, mais avec le disque solaire masqué : Afin que l'on se rende mieux compte des mouvements de masse, voici deux zooms sur des régions intéressantes : De la science ! Le Sol'Ex n'est pas qu'un simple instrument d'observation. Il permet de faire "de la science" simplement chez soi. Ainsi, puisque nous disposons du spectre et que nous pouvons calculer des décalages Doppler, j'ai récemment ajouté à JSol'Ex la capacité à détecter automatiquement des "excès de vitesse" sur le disque solaire. De quoi parle-t-on ? Sur l'image du spectre ci-dessus, on constate donc que la raie Ha est "étirée" vers le haut et vers le bas. En mesurant la distance entre un pic et le centre de la raie, on calcule un "décalage en pixels" qui peut être converti en vitesse. Il est ainsi possible, pour chaque image de la série, de calculer les plus gros décalages de pixels et représenter celà graphiquement sur le disque. C'est ce que l'on voit ici, sur une capture prise à 14h27 UTC : On y note une pointe à 234 km/s ! Que voit-on dans le spectre à l'endroit qui correspond à ce pic ? Voici la réponse : C'est intéressant ! Cette fois-ci on ne constate plus une raie sombre, mais un flash lumineux. Il s'agit d'un flare, au lieu d'être en absorption, la raie Ha passe ici en émission avec du plasma visible, ce que l'on retrouve dans les animations avec ces régions blanches qui semblent se propager le long de filaments. Plongée dans l'atmosphère Attention, ici on part dans du plus technique, et je ne suis pas certain moi-même de tout comprendre aux phénomènes. Les animations que vous allez voir ne sont plus dans le temps, mais dans l'espace ! C'est contre-intuitif, votre cerveau va vous dire le contraire, mais ce que l'on voit, c'est bien une animation qui se passe à un instant t. Au lieu de se promener dans le temps, on se promène dans différentes couches de l'atmosphère. Il s'agit en fait d'animations faites là où les excès de vitesse sont détectés, en prenant un décalage de pixels correspondant aux décalages détectés. Ainsi, si un décalage est constaté entre -15 (vers le bleu) et +8 (vers le rouge), alors on réalise une animation en générant une image pour chaque décalage, ce qui nous donne ceci pour la région où l'excès à 234km/s a été mesuré : On constate bien le flash, visible au milieu de l'animation, mais il se passe des choses autour, avec des régions sombres qui apparaissent et disparaissent. Il est plus intéressant, pour bien comprendre le phénomène, de se déplacer sur la deuxième éruption, qui a eu lieu plus près du limbe. En effet, la première étant face à nous, il est difficile de percevoir le relief. En revanche, avec une éruption sur le bord solaire, la ligne de vue change et on perçoit des choses très intéressantes : Rappelez-vous qu'il s'agit d'un instantané. Donc, le filament noir que l'on voit se déplacer ne correspond pas à quelque chose qui bouge, mais à sa "position" dans l'espace, dans différentes couches de l'atmosphère. Lorsqu'on voit un flash lumineux (il y en a 2 dans cette vidéo), il s'agit d'un flash qui a lieu à une hauteur particulière dans l'atmosphère. La trace noire correspond donc à un éjecta "vu en relief" et l'effet Doppler nous a permis de mesurer la vitesse de cette éjection massive de matière : plus de 200 km/s ! Cette dernière animation montre la même éjection à un instant différent, mais très proche, qui montre que la masse éjectée était bien plus importante : Au final, vous venez de "voir" l'éjection mentionnée dans le GIF plus haut, mais sur une seule image, en calculant la vitesse de l'éjection de matière. En conclusion En conclusion, c'était une bien belle journée d'observation, même si elle a été gâchée en fin de journée par l'apparition des nuages. Le Sol'Ex est un instrument pas cher, simple à utiliser, qui permet de faire des observations et des mesures de qualité scientifique. Avec un peu d'imagination, on peut réaliser des images assez folles, avec des précisions de l'ordre de 0.2 Angströms, ce qui est assez fou. Alors, certes il y a des inconvénients et ça nécessite un peu d'apprentissage, mais en un an d'exploitation, ma connaissance des phénomènes solaires s'est incroyablement enrichie, et ça, c'est grâce à Christian Buil et Valérie Desnoux, merci à eux !
  3. Magnifique Zone active et de nombreuses éjections avec beaucoup d''effervescences de plasma En haute résolution , réfracteur 185 mm Apo Askar - Barlow 2.5x , Fabry Pérot Coronado PST prototype optimisé et camera Player one
  4. Salut, ça se passait ici, un 150/750 converti en truss tube désaluminé. et aujourd'hui gros coup de chance : une éclaircie vers 13H, avec quand même un léger voile d'altitude, une turbu bien présente, et de gros nuages qui ont traversé le ciel, mais j'ai quand même eu droit à quelques dizaines de minutes pour tester le newton. Ce n'était donc pas les conditions de rêve, mais on va pas faire la fine bouche voilà donc le bestiaux au boulot (qu'est-ce que c'est pratique de voir l'ombre du secondaire sur le primaire....) et l'unique photo faite ce jour, 5 images retenues sur quasi 500. vous remarquerez que j'ai pas fait de flat...
  5. Bonsoir, ce soir en rentrant du travail il est 20h10 et le soleil daigne enfin se montrer et ma fenetre d'observation n'est alors accessible qu'a la seule condition de déplacer des meubles... ...bref... visuellement je repère un décalage Doppler de plusieurs angstroms donc une activité intense et le détail de la chromosphère qui est en décalage est également extremement brillant par rapport au reste.... Je n'ai pu tirer que 2 images des quelques minutes de .SER . La "protubérance" est très grande en hauteur et en étendue ; je dois ouvrir la fente de 3mm de large environ!!! mais si j'ouvre encore davantage elle fini par se noyer dans le fond car déja la brume revient doucement m'enlever cette jolie vision.... Sur GONG bien sur comme je le constante souvent les émissions que je vois avec mon spectro coronographe n'apparaissent pas toujours (surtout si il y a un décalage Doppler...).. J'ai dut utiliser le 2400 tr/mm du fait de la diffusion du ciel et de la grande étendue en hauteur de la protubérance.. Peut être d'autres ont pu observer a cette heure ci et faire de meilleurs clichés... Chris
  6. bonjour à tous.. avec un ciel assez mauvais sur Paris , quelques trouées et photos avec une forte turbulence le 24 et 25 mai au coronographe a réseau à suivre ; la ce dimanche il ya de belles trouées assez propres.... Chris..
  7. Bonsoir a tous, avec de jolies trouées bleue cet après midi j'ai pu imager un peu la protubérance assez grande et bien lumineuse de cet apres midi. No stacking Réseau 1800 tr/mm Chris
  8. Bonsoir , aujourd’hui apres le boulot....entre quelques gros nuages pendant quelques minutes.... Chris
  9. Bonjour a tous, ça y est le soleil est de retour dans mon vélux sur Paris donc je peux reprendre mes observations des protus.... malgré un ciel trés diffusant.... voici les dernières prises (pas très belles a cause du voile quasi permanent de cirrus fins..) Le geant du 11 mai 2024 quelques Loops du 15 mai 2024 ou les spicules sont bien visibles... celle d'hier le 18 mai... et les tres beaux loops du 13 mai 2024... Chris
  10. Bonjour ! Enfin du beau et ça tombe bien pour mes premiers essais d'une modif Lunt 50 sur lunette 100/700. C'est finalement moins compliqué à monter que ce que je pensais et l'impression 3D permet de faire des bidouilles avant usinage de vraies bagues en alu ! Tout d'abord un soleil avec ma fidèle Lunt 60 + ASI174 histoire de ne pas être bredouille... Puis la première image de cette modif à la 174 au foyer Et les dernières images (de la session) avec barlow X2 + ASI 290 et crop pour éliminer les contours un peu flous.. Traitement AS3!, RS6 et Pixinsight Je m'auto-valide le truc, reste plus qu'à fignoler le montage un peu olé olé... Jean-Marc
  11. Entre 15 h 30 et 17 h , cette magnifique éruption avec de nombreuses ramifications s'élevant vers l'espace ! Réfracteur 185 mm APO / Quark Chromosphérique pour la première photo et avec réducteur 0.5 x pour la deuxième photo et Fabry Perot PST optimisé avec barlow 2.5 x pour les autres photos Camera Player one !
  12. Voici la grande tache solaire responsable de la tempête géomagnétique actuelle photos prisent par réfracteurs 185 mm APO halpha pour la haute resolution réfracteur 90 mm APO filtre Calcium lunt, disque entier et zoom sur la zone active Réfracteur 60 mm halpha Lunt disque entier
  13. Hello, Un petit dimanche ensoleillé = Sortie du Seestar … Courte session de quelques minutes sans traitement toujours depuis la Guyane… Bon fin de week end.
  14. Enormes activités solaire et de belles protubérances Réfracteur 185 mm APO Askar - Fabry Perot PST optimisé prototype - Barlow 2.5 x , camera player one
  15. Première sortie depuis Octobre 2023 du Mak 180, pour capter l'imposant groupe de taches AR3664. Le Soleil nous a gratifié, par sa grosse activité, d'aurores boréales jusqu'en Corse. Bernard Pivot m'a fait rater ce spectacle hier soir. Deuxième chance ce soir ! Et ce matin j'ai pu immortaliser ses tâches. Je n'ai pas souvenir d'en avoir vu de cette importance. Mak180, PlayerrOne Ceres-M Firecapture v2.7 linux, As!4, Registax6. Film de 1000 images, 10% retenues.
  16. Bonjour à tous petite image du soleil réalisé ce matin
  17. Salut à tous, Ce groupes de taches qui a fusionné pour formé une structure complexe géante, de plus de 200 00km , elle est visible à l'œil nu, nous gratifie d'une activité hors du commun. Il s'enchaine éruptions sur éruptions de classe M et X (forte) sans parler des 3 éjections de masse coronale que nous allons recevoir ce Week end. Ca promet. Lunette de 125 à fd 30 et Daystar quark. un .ser de 5s toutes les 45s, 1s du film vaut 9 minutes en réel. Bon ciel à tous
  18. Wills Point, Texas, à environ 1h30 de route à l’est de Dallas sur la State Highway 80… Population d’un peu plus de 3000 habitants, une petite ville allongée le long d’une« main street » aux allures de film de western, juste un peu modernisée. Quelques rues qui se croisent à angle droit, quelques cafés-restaurants, une voie ferrée longe la route 80 qui traverse la ville. Wills Point, on y passe, pourquoi s’y arrêter ? Jamais je n’aurais cru que nous y resterions deux nuits, une fois dans notre vie. Mais voilà, Wills Point était bien positionné sur la bande de totalité de l’éclipse solaire du 8 avril 2024, avec une durée annoncée de 4 min 18 et avec une statistique de couverture nuageuse pas désagréable par rapport au reste du parcours de l’ombre (voir Dallas dans le graphe ci-dessous extrait de l’excellent site de Xavier Jubier). Mais les statistiques ne font pas la météo du jour… De plus, et peut-être surtout, Wills Point disposait d’un hébergement très simple, à 200 dollars pour trois nuits, prix pas courant pour le passage de cette éclipse très médiatisée. Le propriétaire, pas au fait du passage d’une éclipse, n’avait pas augmenté ses tarifs. Nous avons retenu une chambre 14 mois plus tôt pour trois nuits. A posteriori, la qualité était en rapport avec le prix et nous sommes partis avant la troisième nuit… Nous arrivons à Wills Point le 6 avril au soir, afin de disposer de la journée du 7 pour une première installation du matériel et une répétition de la séquence totalité. Mais voilà : alors qu’il fait très beau depuis trois jours que nous sommes au Texas, le 7 le ciel est couvert et les prévisions météo pour le 8 sont mauvaises : plafond nuageux total, gros orages dans l’après-midi, avec peut-être quelques éclaircies. Le moral est bien bas, au point que je renonce à installer le matériel ce jour-là. Déjà avant le départ de France, les prévisions étaient peu engageantes, mais dix jours avant on espère toujours. Le 8 avril au matin, tout est gris. Consternation ! La météo dit qu’au nord de l’Interstate 20, il y a aura des éclaircies. Mais nous y sommes au nord ! Juste 5 km plus au nord. Vers 9h30, notre cœur balance… Tout replier et partir à l’aventure ? Alors que nous disposons ici d’un beau champ herbeux, de visibilité, de calme… Risquer de finir au bord de la route, ce qui était annoncé comme interdit sur de grands panneaux lumineux, ou pire, coincés dans un embouteillage au moment crucial ? Finalement nous restons et j’installe le matériel, prêt à être très philosophe. Astram, on sait qu’il faut de la patience et savoir rester zen face à la météo. Mais au fond, vivre une éclipse totale de soleil sous les nuages, voir la lumière s’en aller en sachant un peu ce qui se passe bien plus haut, ça doit mettre le moral dans les chaussettes pour longtemps. Regrets éternels… Matériel installé. La monture GP Vixen est en place, sans moteurs pour la légèreté, lestée d’un gallon d’eau de source (ou vendue comme tel), alignée vers le nord à la boussole et à l’œil, latitude réglée à 33 ; dessus la lunette Orion EDT/CF 80/480, le Canon EOS 60D connecté, le filtre solaire posé, l’intervallomètre branché pour faire office de déclencheur filaire, ISO 200, mode bracketing permettant de déclencher trois temps de pose différents avec trois déclenchements successifs sans toucher à la molette des vitesses, miroir en mode relevé, RAW + Jpeg léger. L’attente angoissée commence, le jeu de cache-cache avec les nuages aussi. Le plafond est bas. Le ciel n’est pas statique, il y a du vent là-haut, les nuages passent à bonne vitesse et les petites trouées aussi. De temps en temps, le soleil apparaît pendant quelques secondes ou dizaines de secondes, puis disparaît. Je profite de ces moments fugaces pour pointer (pas facile de pointer le soleil quand on ne le voit pas…) et faire le point. Là aussi, faire le point n’est pas très relaxant, avec des flots de nuages qui traversent le champ, alors que je me concentre sur les rares taches solaires, avec la molette démultipliée, l’écran de l’APN grossi à 10 fois, tout en suivant le déplacement du soleil avec la molette équatoriale. Je prends donc quelques dizaines de photos et vérifie ma mise au point et mes temps de pose, rapides entre 1/350 et 1/2000, les trouées passent, plusieurs minutes parfois entre deux aperçus du soleil. Les résultats sont très variables, le voile nuageux impactant considérablement l’exposition, évidemment, et il est impossible de trouver un réglage à peu près permanent. 1/2000ème Arrive l’heure du premier contact. Zut, invisible ! Le premier cliché acceptable arrive plus tard… 1/100ème La tension monte, les nuages passent. Nous guettons les trouées, que le vent pousse depuis le sud dans notre direction. Dès qu’une trouée arrive, je déclenche. Les résultats, que j’ai le temps de regarder sur l’écran, sont très variables, très incertains : les nuages défilent, les temps de pose choisis collent à la trouée… ou pas, selon le défilement des nuages. Beaucoup de déchets. Mais quelques-unes acceptables. 1/15ème La présence des nuages, qui se traduisent par des ombres noires plus ou moins denses, donne un caractère assez dramatique aux images. Côté mise au point, c’est acceptable, il y a de quoi affiner un peu sous DPP (le logiciel de développement de Canon). Je la rectifie dès que je peux, j’ajuste la tension du porte-oculaire au mieux : le soleil est vers 65° de hauteur, la verticale n’est pas si loin, ça pèse sur le Crayford. 1/30ème Sur cette série de la phase partielle, j’aime bien celles où la lune approche les quelques taches solaires du jour et progressivement les masque. A 150 millions de kilomètres d’écart, notre satellite joue avec la géométrie de notre système planétaire et malgré sa petite taille comparée à notre étoile et à ses taches, il va les dissimuler à notre vue. Raccourci saisissant. 1/1000ème 1/500ème 1/200ème 1/250ème 1/10ème L’éclipse progresse, l’ombre avance. L’éclat du soleil est tel que même masqué largement à plus de 50%, la luminosité est encore à peine affectée. Les oiseaux chantent, les énormes camions circulent à toute vitesse sur la state Highway 80 toute proche, tout semble encore normal. Sauf quand on lève le nez, que l’on met ses lunaires éclipse (avant de lever le nez !) et que l’on voit cette échancrure courbe sur le disque solaire. Non, tout n’est pas normal. 1/250ème Les nuages défilent, les trouées aussi. Et puis quelque chose se passe, la lumière change. Elle prend cet aspect qui n’existe que pendant les éclipses solaires fortes et les prémices des éclipses totales : grisâtre, cendrée, comme si flottaient dans l’air des particules sombres absorbant la lumière. La température baisse, les oiseaux ralentissent leur chant. Les camions passent à toute allure. 1/20ème Le soleil n’est plus qu’un croissant, ses taches ont été avalées. Comment fait-il, avec si peu de surface visible, pour éclairer encore autant ? Mais de moins en moins cependant. La lumière baisse, comme la température, les trouées dans le plafond nuageux défilent, la fébrilité monte. L’atmosphère est grise, de plus en plus densément grise, presque palpable, sauf vers l’horizon où la luminosité reste forte. Je n’ai plus le moyen de faire la mise au point, plus de tache solaire à laquelle m’accrocher, plus toute la concentration nécessaire. J’enlève le filtre solaire, je déclenche en temps de pose courts, mais trop tôt. Je ne veux pas manquer le deuxième contact. 1/2000ème 1/8000ème Et pourtant, je le manque ! La trouée attendue n’est pas là, mais elle arrive, posément. Nous sommes dans le vif du sujet, c’est le début de la totalité. Les oiseaux se sont tus, les lampadaires se sont allumés, les camions passent à toute allure, tous feux allumés, le business n’attend pas après les éclipses. 1/500ème 1/250ème Comment décrire une éclipse totale de soleil ? Les photos ne sont pas grand-chose à côté de la réalité de l’événement, pour moi le plus extraordinaire que la nature puisse nous offrir. 1/60ème 1/4 sec Il fait frais, voire froid. Tout est gris autour de nous, quasiment crépusculaire mais pas tout-à-fait, car au loin il y a de la lumière. Quand on lève les yeux, presqu’au zénith, il y a un disque noir auréolé de lumière, le pourtour est parsemé de flammes rouges. Pas de planète visible pour nous cette fois, mais une étoile quand même, ou peut-être Vénus, épargnée dans une brèche de ce plafond bas. En plein jour, le roi soleil a disparu, ne reste que sa couronne. On comprend l’anxiété que pouvaient éprouver il y a longtemps ceux qui ne savaient pas s’il allait revenir. 3/10ème Quatre minutes passent, c’est court et long à la fois. Trop court pour affiner le réglage de ses appareils, je déclenche régulièrement, modifiant le temps de pose toutes les trois prises de vue, quand le bracketing a fait son travail. Je monte vers les poses longues, dans l’espoir (qui sera déçu), d’attraper la couronne, puis je redescends vers les poses courtes pour saisir les protubérances et possiblement le « diamond ring », à l’aveugle sans regarder l’appareil. Il faut profiter de l’instant. Et suffisamment long pour que l’émotion dure, pour que l’on s’imprègne de l’ambiance, qu’on la grave dans sa mémoire. La fugacité, la rareté du phénomène en renforcent la puissance. On n’y croit pas, c’est fou ce qui arrive, c’est beau et extra-ordinaire. J’estime que nous aurons vu la moitié de la totalité, les nuages nous masquant le reste. 3/10ème Je prends cliché sur cliché, à l’approche du troisième contact. 1/6ème J’attrape un effet proche du diamond ring, mais juste un peu tard. 1/10ème Le soleil réapparaît. Je remets le filtre. 1/500ème La tension retombe, mais l’émotion reste là des dizaines de minutes, des heures. Autour de nous, les quelques personnes qui étaient là retournent à leurs occupations, les camions passent à toute allure. Je continue à déclencher, après avoir remis le filtre. Je resterai là encore une heure, sur ma chaise pliante, retardant le moment où l’éclipse sera vraiment du passé, existant pour l’éternité dans le monde des événements qui ont eu lieu, intouchable, finie mais éternelle. 1/250ème 1/100ème Et puis il faudra bien passer à autre chose, ranger tout le matériel, lentement, en tremblotant mais calmement, avec le soulagement de celui qui est passé près d’un beau ratage mais qui a sauvé quelques meubles, qui a eu cette demi-chance, qui est quand même une chance entière, au fond, un privilège. L’escapade au Texas n’est pas finie, il y a encore au programme la visite du Centre Spatial de Houston ! Nous reprenons la route le soir même. Je regarde à la volée mes photos de la totalité. Je ne suis pas satisfait. La mise au point n’est pas bonne, arrgh… Pourquoi ? Elle était acceptable pendant la phase partielle, elle ne l’est plus pendant la totalité. Le porte-oculaire a-t-il glissé, finalement ? Aurais-je dû serrer plus fort la vis de tension ? Si je serre très fort, est-ce que cette pression modifie la mise au point ? La baisse de température au moment de la totalité peut-elle expliquer ce décalage dans la mise au point ? Ai-je arrêté de faire ma mise au point trop tôt ? Aurais-je dû tenter une mise au point pendant la totalité, vingt secondes de manipulation au cœur de quatre minutes ? Frustration. Mais bon, en photo d’ambiance, en photo souvenir de l’événement, c’est acceptable, là aussi les nuages dramatisent le sujet. Finalement, les photos d’une totalité ne sont qu’une vision instantanée et partielle du phénomène, que l’on regarde quelques secondes, un disque noir auréolé de blanc, sur un fond noir, esthétique le plus souvent. Mais aucune photo, si réussie soit-elle, ne peut rendre compte de ce qu’est une éclipse totale de soleil : il faut la voir et la vivre, en vrai. Je suis chanceux, c’était ma troisième, après 1999 et 2017. Au bout du bout, un voyage réussi : nous avons vu Dallas, où nous ne serions pas allés sans cette occasion, Fort Worth et son rassemblement de bétail, nous avons visité le Johnson Space Center à Houston et goûté un petit peu du Texas, où nous avons toujours été très gentiment accueillis. En route pour l’Espagne 2026 ? Jacques
  19. Au foyer de la lunette de 185 mm APO Askar en Halpha , ce panorama solaire du groupe de tache AR 3664 et l'énorme protubérance sur le bord du limbe Etalon PST Fabry Perot Coronado Prototype optimisé et camera Player one 9 Mai 2024
  20. Le fameux groupe de taches solaire ce 9 Mai 2024 avec la Lunette de 185 mm APO Askar Halpha en double Stack en haute resolution un poster pour le souvenir de ce panorama solaire . Etalon Fabry Perot PST optimisé prototype + etalon PST normal modifié et barlox 2X , camera player one
  21. Matériel utilisé, Lunt 50mm. j'ai encore beaucoup d'images du soleil à traiter, réalisé avec divers instruments
  22. Bonsoir à tous cela fait bien longtemps que je n'ai pas imagé le Soleil, il faut retrouver quelques réglages... Voici les images en visible (Esprit 100ED) et H alpha (Lunt 60). puis l'évolution de l'énorme groupe de taches entre 10h et 13h bonne soirée à tous Patrick
  23. Ce 8 Mai 2024 , une immense fournaise solaire particulièrement active avec un grand nombre de taches Réfracteur 185 mm APO Askar - double stack Fabry Pérot Coronado Pst , Barlow 2x et camera Player one
  24. Une magnifique protubérance d'envergure ! ce 8 Mai 2024 photo réfracteur 185 mm APO Askar - Fabry Perot PST prototype optimisé et pour la deuxième photo double stack avec deux fabry Perot PST , Barlow 2x et camera player one on peut voir notamment l'apport considerable du contraste sur la surface
  25. Bonjour, voici le soleil de ce matin qualité du ciel très moyenne. Matériel utilisé LUNT 50MM une QHY 174MM
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