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Jouer au héros...


Siriusdenis

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Ma gamine aurait pu être l'une des deux filles.

Ça fait du bien de savoir qu'il existe des gens capables de faire ce que tu as fait. Ici Il y a quelques années, des jeunes sont entrés dans un bus, ont arrosé une jeune fille d'essence et ont allumé un briquet. Personne n'a bronché. Elle s'en est sortie, heureusement. Dis toi bien que tu leur as peut être évité le pire.

Et merci, du fond du coeur.

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Comme dit plus haut, si tu renonces, c'est la lâcheté , l'immobilisme et la bêtise qui auront gagné....

 

Dans cette histoire, tu as bien réagis. Enfin, tu as réagis "normalement", en donnant du corps à ta conscience. Imagine si tu n'avais pas été là, personne n'aurait bougé!Certains se defaussent en arguant qu'ils ne savent pas comment réagir, il leur mange juste quelque chose à l'entrejambe....

 

Quitte à se faire casser la figure, il faut réagir, résister à cet individualisme rampant.Reagir quand un raciste sort une connerie, réagir quand un automobiliste se crois tout permis, réagir quand la conscience le demande.

Et peut être que la fois suivante, ces abruti(e)s se poseront la question avant de passer à l'acte.

 

Alors oui j'ai la "chance " d'en imposer physiquement ,et ça m'aide pour "argumenter" :D , même s'il m'est arrivé de prendre des coups.

 

Je te souhaite en tout cas un bon rétablissement, et ne cogites pas trop, tu as juste résisté à la connerie ambiante, et ça c'est tout à ton honneur! :)

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Ma gamine aurait pu être l'une des deux filles.

Ça fait du bien de savoir qu'il existe des gens capables de faire ce que tu as fait. Ici Il y a quelques années, des jeunes sont entrés dans un bus, ont arrosé une jeune fille d'essence et ont allumé un briquet. Personne n'a bronché. Elle s'en est sortie, heureusement. Dis toi bien que tu leur as peut être évité le pire.

Et merci, du fond du coeur.

 

Merci tata zize, je n'ai été que moi-même pendant ces courts instants.

Un enseignant en congé de week-end qui voit deux filles se faire agresser par un ******** de 1e classe, sans plus.

Les conséquences de cet acte resteront à jamais en moi, ce que je déplore.

J'ai mal pour cette planète qui part en vrille, au propre comme au figuré.

 

Je pensais qu'en rentrant dans l'enseignement, je pouvais changer les choses, en vain...

 

Denis.

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A se demander si enseignement ne devrait pas être orthographié avec un "a"...

 

Allez l'ami Denis, de toute façon on ne peut que changer des petits trucs autour de soi.

Et c'est en rayonnant de bonne humeur que ça marche le mieux!

Ne broie pas trop du noir (au cas où, pour les lecteurs racistes au QI de sous-merde, je précise que "broyer du noir" ne veut pas dire ce que vous espérer).

 

Bon d'accord, c'est plus facile à dire qu'à faire (quoique, avec la mâchoire en bouillie?)...rôôôh Patte!!!

Donc, râle encore un bon coup (qui vient de rajouter "de poing" au fond de la classe? Hop! Dehors!) et reviens avec tes belles histoires de baffes! Euh...de piafs je voulais dire, d'oiseaux!)

 

Amicalement,

 

ton presque-voisin par courtes périodes.

Modifié par syncopatte
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Bonjour Denis :)

Dans ce genre de situation, le plus prudent c'est d'appeler "police secours" avant d'agir, mais bon, suivant la situation on a tendance à intervernir (je sais de quoi je parle car je suis agent de sécurité), mais ce qui m'interpelle le plus et me choque c'est ça :

Entretemps, le train reste à quai, la sécurité fait le tour des wagons mais ne retrouve pas mon agresseur et, encore moins ses deux autres victimes.

 

Etait-ce des amies de ton agresseur :?: , on peut se poser la question car la moindre des choses serait de venir vous remercier, prendre de vos nouvelles et de vous donner leur coordonnés pour l'enquête :b:

 

Bon courage à toi :confused:

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Je ne savais pas...je ne voulais pas savoir en fait.

Le savoir, c'est ouvrir les yeux...vous me les avez tous ouverts, GRANDS comme ça ! Il y a encore de l'humanité et de la compassion dans ce bas monde...

Alors, merci, un GRAND merci à vous tou(te)s.

 

Hier soir dans le jardin, j'étais seul, assis le cul dans l'herbe puis, me suis couché. Notre belle étoile prend un malin plaisir à se coucher dans le champ derrière le jardin peu avant l'été, que du bonheur, avec les Fauvettes à tête noire, les Rouge-gorge qui chantent à tue-tête et, parfois un Rossignol.

Les amis qui m'accueillent pendant ma convalescence ont sorti leur Dob pour la mise à température : "Que faites-vous ?"

"Bouge ton cul car avec toutes tes plaques, tu vas nous fausser notre mise en station...même la boussole s'affole :be:"

"Vous êtes cons !" Les larmes aux yeux, je me suis levé, les yeux rivés vers le ciel, j'ai pris ce verre de vin blanc (un Muscadet) que Veerle (la femme de mon pote) me tendit puis, me suis recouché, une cigarette en bouche, ai vu les étoiles, les unes après les autres, pointer le bout de leur nez dans un ciel presque parfait (à part la Lune...;)).

Il y avait cette poésie, quand le vent vient te carresser la joue droite - celle qui à morflé - et te fais subir le pire de bonheurs d'être étendu sur le sol car tu entends ces cons se chamailler : "Allez on met le 4mm...non hé, le 20 de Denis pour la Lune", je me retourne : "on coupe la poire en deux...tapez le 12 dans le PO, je continue à me délecter de ce ciel".

La poésie - j'y reviens - c'est de se retrouver entre amis, j'oublie enfin, j'essaie...

Cette nuit-là, je me suis endormi dans le fauteuil de jardin (je ne les ai plus entendu se chamailler) pour me réveiller vers minuit.

Le Dob était rentré, il ne restait plus que Veerle et Fred, le sourire aux lèvres : "Alors ? De beaux rêves ?".

On s'est fait un calin, comme les vrais amis le font : un BIG HUG, comme on dit ici puis ai été me coucher. Je me suis senti renaitre et ai ouvert les yeux ce matin avec l'odeur du café bien frais qui coulait dans le percolateur.

"Alors...de beaux rêves ?"

"J'aurai bien voulu Veerle mais, un jour il reviendront...enfin, j'espère..."

"Toujours deux sucres dans ton café ?"

"Non...toujours un sourire sur vos visages !"

 

C'est l'essentiel.

 

 

Merci à vous tous !

 

Denis.

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Bonjour Denis :)

Dans ce genre de situation, le plus prudent c'est d'appeler "police secours" avant d'agir, mais bon, suivant la situation on a tendance à intervernir (je sais de quoi je parle car je suis agent de sécurité), mais ce qui m'interpelle le plus et me choque c'est ça :

 

 

Etait-ce des amies de ton agresseur :?: , on peut se poser la question car la moindre des choses serait de venir vous remercier, prendre de vos nouvelles et de vous donner leur coordonnés pour l'enquête :b:

 

Bon courage à toi :confused:

 

Salut Dédé,

 

Les filles ont disparu ( ou ont changé de wagon) et puis, je n'aurais jamais pu les reconnaitre, je me suis écroulé sur le quai et ne les ai jamais revues.

Aucun témoin ne s'est manifesté jusqu'à présent...pittoyable...

 

Denis.

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Tes paragraphes précédents sont touchant et nul doute qu'avec ta philosophie et le soutien de tes amis tu te remettras vite.

J'ai pensé a une petite phrase d'un certain Victor H concernant ton désir ou non de continuer l'enseignement.

Ca dit un truc du genre:

Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons.

Je pense que ça vaut le coup d'être médité.

 

PS: Le Muscadet, ça vient de chez moi! (A un vol de rouge gorge près)

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Je ne savais pas...je ne voulais pas savoir en fait.

Le savoir, c'est ouvrir les yeux...vous me les avez tous ouverts, GRANDS comme ça ! Il y a encore de l'humanité et de la compassion dans ce bas monde...

Alors, merci, un GRAND merci à vous tou(te)s.

 

Hier soir dans le jardin, j'étais seul, assis le cul dans l'herbe puis, me suis couché. Notre belle étoile prend un malin plaisir à se coucher dans le champ derrière le jardin peu avant l'été, que du bonheur, avec les Fauvettes à tête noire, les Rouge-gorge qui chantent à tue-tête et, parfois un Rossignol.

Les amis qui m'accueillent pendant ma convalescence ont sorti leur Dob pour la mise à température : "Que faites-vous ?"

"Bouge ton cul car avec toutes tes plaques, tu vas nous fausser notre mise en station...même la boussole s'affole :be:"

"Vous êtes cons !" Les larmes aux yeux, je me suis levé, les yeux rivés vers le ciel, j'ai pris ce verre de vin blanc (un Muscadet) que Veerle (la femme de mon pote) me tendit puis, me suis recouché, une cigarette en bouche, ai vu les étoiles, les unes après les autres, pointer le bout de leur nez dans un ciel presque parfait (à part la Lune...;)).

Il y avait cette poésie, quand le vent vient te carresser la joue droite - celle qui à morflé - et te fais subir le pire de bonheurs d'être étendu sur le sol car tu entends ces cons se chamailler : "Allez on met le 4mm...non hé, le 20 de Denis pour la Lune", je me retourne : "on coupe la poire en deux...tapez le 12 dans le PO, je continue à me délecter de ce ciel".

La poésie - j'y reviens - c'est de se retrouver entre amis, j'oublie enfin, j'essaie...

Cette nuit-là, je me suis endormi dans le fauteuil de jardin (je ne les ai plus entendu se chamailler) pour me réveiller vers minuit.

Le Dob était rentré, il ne restait plus que Veerle et Fred, le sourire aux lèvres : "Alors ? De beaux rêves ?".

On s'est fait un calin, comme les vrais amis le font : un BIG HUG, comme on dit ici puis ai été me coucher. Je me suis senti renaitre et ai ouvert les yeux ce matin avec l'odeur du café bien frais qui coulait dans le percolateur.

"Alors...de beaux rêves ?"

"J'aurai bien voulu Veerle mais, un jour il reviendront...enfin, j'espère..."

"Toujours deux sucres dans ton café ?"

"Non...toujours un sourire sur vos visages !"

 

C'est l'essentiel.

 

 

Merci à vous tous !

 

Denis.

 

Que c'est beau... C'est moi qui te remercie pour ce tendre passage de la vie. ;)

 

Juste que si j'avais été à ta place, je pense que je n'aurais rien fait. Du moins, j'aurais fait comme tout le monde qui t'entourait à ce moment. Pas facile de dire ce que l'on ferait dans de pareil cas. Je pense que ton boulot y est pour beaucoup dans ton comportement. C'est vraiment bien ce que tu as fait. :)

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Salut Dédé,

Les filles ont disparu ( ou ont changé de wagon) et puis, je n'aurais jamais pu les reconnaitre, je me suis écroulé sur le quai et ne les ai jamais revues.

Aucun témoin ne s'est manifesté jusqu'à présent...pittoyable...

Denis.

Oui ça c'est nul, elles auraient dû rester pour te remercier et témoigner.

Finalement la principale victime dans cette affaire c'est toi.

 

Bravo pour ton courage.

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C'est pas un tendre le Fred...:mad:

"Tiens...t'es déjà debout, j'ai failli te jeter un seau d'eau ! :be:"

"Allez, je te dépose à la cabane d'observation...je bosse moi quand d'autres se prélassent et, t'as intérêt à me sortir un piaf hors du commun au retour"...

"Euh...ok...où sont mes jumelles ?"

 

Des heures de solitude, l'arrière-train posé sur le banc, les yeux rivés sur l'étang, tout revient...cette agression, le visage de ce ****** qui devient de plus en plus flou. Je l'imagine en train de se vanter avec ses potes et ai un sentiment horrible...me venger, lui mettre une de ces baffes qui l'expédie de l'autre coté du wagon...oh là Denis...non...t'es pas comme ça ! Roule une clope et va te la fumer dehors...

 

A l'extérieur, je profite de ce vent chaud qui me fait du bien, il m'arrive parfois de sourire, c'est chouette.

Puis, levant les yeux vers le ciel...une Cigogne blanche !!! M***e ! L'appareil photo ! J'ai eu le temps de tirer deux clichés puis me suis délecté de ce magnifique oiseau, pas besoin de jumelles...le bonheur !

 

Quelques minutes plus tard, le portable sonne, c'est Veerle : "J'arrive du boulot et viens te récupérer".

Dans la voiture j'ai un coup de blues : "J'ai vu un tapis volant de plus ou moins deux mètres d'envergure qui m'a rempli de joie au moment où j'allais peter un cable"

"Montre-moi ça !" dit-elle..."Si le Fred n'est pas content avec ce que tu lui ramennes, je divorce :)"

Mort de rire, j'ai un mal de chien maintenant, c'est mailin !

 

Me voilà dans le jardin, le portable sur les genoux, en train de vous conter mes déboires, je me sens mieux. Grâce à cette paire d'amis qui doivent supporter mes nuits parfois cauchemardesques sans broncher.

Ce sont des petits détails pour eux...disent-ils...

Je les admire et espère pouvoir les quitter le plus vite possible car Veerle a cette envie...vous savez mesdames...les nausées, le test, le gros bide et puis...ouiiiiin....j'ai l'impression qu'un parrain est tout à fait désigné, j'aimerais bien...

 

Denis.

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Ah, tu fais dans l'animalier ! T'est un frère... :p:D C'est ma passion ! plus axé petit passereaux. Elles sont très jolies tes cigognes, surtout avec ces shoots "réflexe". Bien sur, l'appareil était réglé pour une autre cible. Bravo à toi. :pou:

 

Dis donc, quand tu es en pleine nature, essayes de moins fumer... Perso, je ne fume plus jamais en pleine nature et chose bizarre ça passe comme une lettre à la poste.

 

Oui, je te comprends pour ces pensées de vengeances, c'est tout à fait normal... Laisses toi aller à ce petit jeu, ça peut pas mal atténuer le mal que tu as.

 

Je te souhaite de passer une bonne soirée... :)

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  • 4 semaines plus tard...

Bonjour à tous,

 

Tout d'abord, j'aimerais passer un message à Roger (le Cantalien) suite à son message un peu plus haut : Il y a 3 semaines, j'ouvrais mes bagages dans ma chambre à...Texel, une île au Nord d'Amsterdam, loin de tout, en compagnie de mes voisins. Le gsm sonne...

Ouille, un appel de Belgique. Cette formidable Nathalie de l'aide aux victimes qui vient de recevoir les photos de l'agresseur; Il a été aperçu sortant tout seul du train, fuyant vers la 1e sortie et, plus tard dans la salle des pas perdus de la Gare du Nord, ses photos ont été introduites dans une banque de données et, au moindre faux pas...paf ! Ils l'auront, reste plus quà croiser les doigts... Ce qui confirme qu'il était bien seul.

 

Pour en revenir à Texel...pffff....une île de fous !!! J'entends par là...le pur bonheur !!! Des couchers de soleil magnifiques, des étoiles plein les yeux et, surtout, des sternes à perte de vue. Enfin, pas que ça mais GRANDIOSE !!!

Bonne idée de notre ami Wouter (prononcez Wowteur, pour taquiner Patte) de m'avoir appelé pour partager cette petite maison suituée à quelques encablures des premières vagues.

 

J'ai pu me ressourcer, me réconcilier avec les humains et, surtout faire le deuil de ce qui m'est arrivé il y a près de deux mois.

Il y a toujours cette haine qui perdure, cette méfiance de l'autre mais, bon, c'est moins grave qu'au début.

 

Je suis de retour chez mes potes à Leuven où il fait super...mauvais...

Encore deux visites à l'hôpital jusque mi-août pour espérer être déclaré apte à reprendre le boulot car les enfants me manquent.

Oui ! J'ai décidé de continuer à enseigner et vais "utiliser " ce que j'ai vécu pour faire un monde meilleur, même si c'est pas gagné, sans doute utopique, certains me prendront pour un fou...:D

Mais je crois qu'il y a pas mal de gens bien sur cette planète et vous en faites partie.

 

Je vais mieux et vous remercie encore pour tous les messages, ici ou en MP.

 

Denis.

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Super Denis!

 

Cela fait plaisir à lire!

 

Patte.

 

PS: si tu es de passage à la côte, je suis à Knokke jusque fin juillet (hormis quelques dévergondages à Bruxelles).

 

PS2: cela fait deux trois heures qu'il y a un juvénile (zilvermeeuw?) qui essaye de passer son permis de voler, sans succès.

Il est sur le toit des garages à l'intérieur d'un pâté d'appartements.

Que dois-je faire? Il y a un parental qui semble rester dans les environs et aucun danger immédiat (chats, chiens, humains) n'est à craindre.

Modifié par syncopatte
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Bonjour Denis, :)

 

J'espère que tu reprendras de nouveau très bientôt tes activités d'enseignant :be: et que cette triste aventure ne sera plus qu'un très mauvais souvenir.

 

J'espère également que tu nous feras savoir que ton agresseur a été arrêté. :)

 

Bon courage Denis. ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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Je ne peux que m'associer à Syncopatte pour te féliciter de ta décision, bon complet rétablissement.Pour syncopatte, si pas de danger, il vaut mieux laisser les jeunes se débrouiller. Mais un juvénile de quelle espèce au fait ?

PS: l'ornithologie est également l'une de mes nombreuses activités.

Eric

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Voilà, il s'est débrouillé tout seul!

 

Donc il a atterri sur les garages après une tentative de saut à ski.

Là il a fait des blériotades*...puis, après quelques heures, hop le premier véritable envol!

Mais hélas, il a raté la corniche et glissant le long du mur, il s'est retrouvé "coincé" sur un balcon étroit au dernier étage d'un immeuble.

Pour mieux l'observer, je sors mon Mak que je pose sur la rambarde avec un coussin en guise de "monture".

 

Le volatile était devant un problème délicat: impossible de passer les barres verticales du garde-fou les ailes déployées. Fallait donc tenter le grand saut avec une énorme confiance en soi (vous imaginez sauter dans le vide les mains dans le dos?).

Ce qu'il a fait; cette fois-ci en étant capable de prendre de l'altitude et passer par dessus les toits.

 

Je ne l'ai plus revu, mais pense avoir reconnu son cri de djeune venant du toit plat en face, où deux adultes exprimaient leur joie en dansant du flamenco (non, je rigole, mais je ne sais pas quoi dire pour éviter de l'anthropomorphisme)

 

Question espèce, la mouette argentée?

Assez grosse en tout cas et très commune.

 

Patte.

 

* en hommage à Louis Blériot.

Modifié par syncopatte
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