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Manuel pour créer sa plate-forme astrophoto sur Raspberry


rmor51

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Bonjour,

Je ne pense pas que ce soit ça. Indiwebmanager, de ce que je comprends, permet de piloter de le lancement du serveur indi ainsi que de construire des profils en fonction des drivers et donc du matériel utilisé.

Ce que je voudrais c'est accéder à mon bureau sur le RPI en remote via mon navigateur. Ca évite d'installer quoi que ce soit sur la machine distante.

Après avoir fouiller plus en détail, je crois que c'est le projet noVNC qui permet de faire ça.

 

--

stef

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Installer Nomachine ou VNC c'est quand même pas la mer à boire !

En outre, il me semble que dans l'interface web de Indiweb manager, il y a un bouton VNC pour accéder au bureau du serveur.

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Bon désolé, j'ai l'impression de gêner ....

 

Pour info, ce n'est pas une question de difficulté mais nomachine comme vnc donnent une latence qui est assez gênante à l'usage ce que l'on je ne rencontre pas en utilisant noVNC (comme avec Astroberry). Je viens de le faire sur mon RPI4 et ubuntu-mate et c'est nickel. Maintenant si ça ne vous intéresse pas, je me contenterai de garder ça pour moi.

--

stef

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Je viens de tester Stellarmate avec un Mele QuieterC3 256 Go. 

Aucun souci avec Stellarmate qui se charge sans problème. Seul petit souci, si on branche un moniteur sur le port HDMI, on reste sur le splash screen, alors que Stellarmate est opérationnel. On peut s'y connecter avec le smartphone, un tablette ou un PC.

Evidemment c'est plus rapide qu'un RPI, mais sans être primordial pour l'utilsation de Kstars.

L'alimentation est en 12V. En nomade, il faut un câble d'alim USB-C spécifique.

Il y a 3 USB-3 type A et un USB-C, un HDMI, un slot SDCard, un port Ethernet.

 

Il y a un bouton de mise en route, très mal agencé. Il est relief sur le côté du boitier. En le saisissant, on peut appuyer dessus sans s'en rendre compte et couper l'alimentation. Il aurait été préférable de déporter le marche/arrêt sur le fil de l'alim, par exemple.

 

Une fois que l'on a tout branché, on a quelque chose d'arachnéen dans un plan, tous les connecteur sont sur le pourtour du boîtier. Beaucoup moins pratique que le RPI.

 

Ayant commencé à rédiger un manuel utilisateur de Stellarmate, je suis donc rentré dans dur en utilisant l'app Android pour me connecter.

 

L'écran d'un smartphone est vraiment minimal. Une tablette me semble préférable.

 

On retrouve les différents modules d'Ekos, le module d'astrophoto de Kstars. Mais avec des fonctionnalités absentes.

Pas de dithering manuel, pas de possibilité d'utiliser PHD2 pour le guidage, pas d'alignement sur n étoiles par astrométrie, pas de planetarium en natif, mais la possibilité d'utiliser Skysafari avec un pilote Indi. En attendant d'en découvrir d'autres au fur et à mesure de l'avancement du manuel.

 

Pour ma part, je préfère utiliser une connection par Nomachine (plus simple à mettre en oeuvre que VNC) avec un PC et avoir accès directement à Kstars et son excellente ergonomie, en plus de pouvoir profiter pleinement du planétarium.

 

Mon setup est piloté aujourd'hui avec un RPI4 4Go et une clé USB 128 Go, qui me satisfait totalement. Une alimentation en 5V, plus simple en nomade avec une Star Adventurer, une forme plus ramassée avec tous ses branchements, pas de bouton marche/arrêt.

 

Je me sers de l'app au démarrage pour mettre à jour, l'horodatage et la localisation de Kstars. Ensuite j'utilise le PC client pour la mise en route de la session. Pendant que ça se passe, je fais autre chose.

 

Un mot encore: pour la Star Adventurer et les visueux qui désirent optimiser leur pointage, la solution RPI4 + Stellarmate, avec une tablette ou un smartphone, me semble parfaitement adaptée. Et ce pour un prix modique. Le Mele dont j'ai parlé est à 329€, alors qu'on peut trouver des clônes du RPI pour 150€, avec boitier, ventilo, câbles, etc. Voir un fil dans le club Linux à ce sujet.

 

Bon cieux ! (Voeu pieux ?)

 

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Je viens de tester Stellarmate avec un Mele QuieterC3 256 Go. 

Aucun souci avec Stellarmate qui se charge sans problème. Seul petit souci, si on branche un moniteur sur le port HDMI, on reste sur le splash screen, alors que Stellarmate est opérationnel. On peut s'y connecter avec le smartphone, un tablette ou un PC.

Evidemment c'est plus rapide qu'un RPI, mais sans être primordial pour l'utilsation de Kstars.

L'alimentation est en 12V. En nomade, il faut un câble d'alim USB-C spécifique.

Il y a 3 USB-3 type A et un USB-C, un HDMI, un slot SDCard, un port Ethernet.

 

Il y a un bouton de mise en route, très mal agencé. Il est relief sur le côté du boitier. En le saisissant, on peut appuyer dessus sans s'en rendre compte et couper l'alimentation. Il aurait été préférable de déporter le marche/arrêt sur le fil de l'alim, par exemple.

 

Une fois que l'on a tout branché, on a quelque chose d'arachnéen dans un plan, tous les connecteur sont sur le pourtour du boîtier. Beaucoup moins pratique que le RPI.

 

Ayant commencé à rédiger un manuel utilisateur de Stellarmate, je suis donc rentré dans dur en utilisant l'app Android pour me connecter.

 

L'écran d'un smartphone est vraiment minimal. Une tablette me semble préférable.

 

On retrouve les différents modules d'Ekos, le module d'astrophoto de Kstars. Mais avec des fonctionnalités absentes.

Pas de dithering manuel, pas de possibilité d'utiliser PHD2 pour le guidage, pas d'alignement sur n étoiles par astrométrie, pas de planetarium en natif, mais la possibilité d'utiliser Skysafari avec un pilote Indi. En attendant d'en découvrir d'autres au fur et à mesure de l'avancement du manuel.

 

Pour ma part, je préfère utiliser une connection par Nomachine (plus simple à mettre en oeuvre que VNC) avec un PC et avoir accès directement à Kstars et son excellente ergonomie, en plus de pouvoir profiter pleinement du planétarium.

 

Mon setup est piloté aujourd'hui avec un RPI4 4Go et une clé USB 128 Go, qui me satisfait totalement. Une alimentation en 5V, plus simple en nomade avec une Star Adventurer, une forme plus ramassée avec tous ses branchements, pas de bouton marche/arrêt.

 

Je me sers de l'app au démarrage pour mettre à jour, l'horodatage et la localisation de Kstars. Ensuite j'utilise le PC client pour la mise en route de la session. Pendant que ça se passe, je fais autre chose.

 

Un mot encore: pour la Star Adventurer et les visueux qui désirent optimiser leur pointage, la solution RPI4 + Stellarmate, avec une tablette ou un smartphone, me semble parfaitement adaptée. Et ce pour un prix modique. Le Mele dont j'ai parlé est à 329€, alors qu'on peut trouver des clônes du RPI pour 150€, avec boitier, ventilo, câbles, etc. Voir un fil dans le club Linux à ce sujet.

 

Bon cieux ! (Voeu pieux ?)

 

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Bonjour,

Concernant noVNC, ce programme permet se piloter son RPI grâce à un navigateur. Pour cela il faut faire plusieurs choses :

  • activation de l'autologin : activer la connexion automatique dans les paramètres de l'utilisateur
  • installation de noVNC :
sudo apt-get install novnc
  • installation d'un serveur VNC :
sudo apt-get install tigervnc-standalone-server
  • installation d'une clef de sécurité 
openssl req -x509 -nodes -newkey rsa:3072 -keyout novnc.pem -out novnc.pem -days 3650

 

Lancement automatique du serveur VNC et paramètrage

  • créer dans le home de l'utilisateur un fichier novnc.sh
  • éditer ce fichier et y inscrire les lignes suivantes
# lancement du serveur VNC et config

tigervncserver -xstartup /usr/bin/mate-session -geometry 1860x1080 -localhost no :1

websockify -D --web=/usr/share/novnc/ --cert=/home/utilisateur/novnc.pem 6080 localhost:5901

 

En changeant le paramètre derrière "geometry" on peut l'adapter à la résolution de l'écran qui se connectera à distance sur le RPI

  • Editer le crontab de l'utilisateur
crontab -e # permet d'édition du crontab de l'utilisateur
  • ajouter la ligne suivante qui permettra de lancer le serveur VNC à chaque démarrage donc à chaque connexion (automatique) de l'utilisateur
@reboot bash /home/utilisateur/novnc.sh

 

Il suffit maintenant de taper dans la barre d'adresse d'un navigateur : http://IP_RPI:6080/vnc.html pour accéder au bureau du RPI en utilisant juste ce navigateur

 

Si on a un client VNC (remina par exemple) , on peut également se connecter au RPI via le port 5901 (IP:5901)

 

Il y a sûrement des points à améliorer ou à simplifier mais ça fonctionne parfaitement chez moi

 

Modifié par stef28
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Bonjour,

Je viens de regarder comment est faite la distribution Astroberry ... ils ont pris le parti de monter un serveur web (nginx) pour utiliser noVNC ainsi que d'autres services web comme indiwebmanager. Ce n'est pas du tout ce que j'ai fait mais c'est peut-être une solution à étudier.

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Posté (modifié)

Je viens de regarder Indiwebmanager. Il y a un bouton vnc, en fait novnc, qui permet d'accéder à l'application Kstars dans le navigateur. Cela a fonctionné avec Chrome, pas avec Firefox

qui fige!

Firefox is unfortunately not supported at the moment since it does not support dual websocket technology that is employed in EkosLive.

image.png.77250bd7cbebec5e22741cae0dc4f0ee.pngimage.png.47398439c0f7a762883115a3cf7aec30.png

Modifié par rmor51
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Quitte à avoir un PC pour la prise en main à distance on peut aussi installer Kstars/EKOS sur Windows et se connecter à un serveur Indi sur RPI.

 

J'avais fais des essais avec un RPI  Zéro 2 W mais vu la disponibilité actuelle du bouzin j'ai laissé tomber.

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Il y a 2 heures, waogll a dit :

Quitte à avoir un PC pour la prise en main à distance on peut aussi installer Kstars/EKOS sur Windows et se connecter à un serveur Indi sur RPI.

 

J'ai testé ça il y a quelques semaines mais mon kstars/ekos sous windows plantait à chaque fois (extinction inopinée mais systématique)

 

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Avec un PC, la meilleure solution à mon sens, est une connexion avec Nomachine sur Stellarmate. Kstars tourne sur le Stellarmate, pas sur le PC.  Le temps de réponse est meilleur qu'avec l'app Stellarmate pour Androïd. Avec Stellarmate X, le temps de réponse est bien meilleur me semble-t-il. La connexion Web est identique, pour moi, en terme de rapidité, à la connexion avec Nomachine.

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Une petite question, avec une prise en main à distance si on connecte sur la prise HDMI du distant un  "hdmi dummy dongle" on peut dépasser la définition native de l'écran du distant.

 

Qu'en est il du RPI ?

Et si oui EKOS est il "responsive" ?

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A priori pas besoin d'un dongle hdmi sur le RPI ou sur le mini-PC. Avec Nomachine, j'ai la résolution maximale de l'écran du client.  Pour le mini-PC, en l'occurrence un Mele, il faut brancher le moniteur, une fois qu'il a fini de booter.

Au niveau temps de réponse, je pense que c'est la qualité de la connexion qui prévaut. Donc une connexion câble sera meilleur que du wifi. Et en 5Ghz c'est mieux qu' en 2,5 Ghz au détriment de la portée, qu'on résout avec un répéteur.

Tout cela reste subjectif, car je n'ai pas fait de mesures objectives.

Au niveau encombrement, le RPI reste plus pratique qu'un Mele, avec sa vis Kodak pour le fixer.

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  • 2 semaines plus tard...

Bonsoir à tous !

 

Je profite en passant dans le coin pour ajouter mes découvertes 

- Concernant le dongle HDMI, il me semble qu'il y un package "X-dummy" qui permet de simuler un écran sans connecter quoi que ce soit (à creuser pour ceux qui nécessiterait un écran connecté). Avec xtightvnc, tigervnc, pas besoin d'écran

- Pour le temps de réponse, faut bien avoué que le module Wifi intégré c'est cool mais ça coince vite. Pire quand on le met dans un boitier usiné. J'ai laissé le wifi et j'ai configuré l'ethernet (half duplex) dans un range 10.0.0.0/24. Je priorise la connexion ethernet où les latences sont archi nulle. En tout cas Ekos n'a jamais été aussi réactif. Et le wifi... C'est du bonus.

 

Pour ma part comme config

- Raspberry Pi4 B 2Go

- Ubuntu server 22.04 LTS (pas d'interface graphique d'ailleurs)

- Xtightvnc (session xfce)

 

Perso je passe par un tunnel SSH pour ensuite me connecter via VNC Viewer. (Y'a moyen de faire plus simple évidemment)

 

J'ai fini par laisser tombé Astroberry, parce que basé sur Debian, dont la politique est de figer à une certaine version les paquets fournis, d'où sa grande stabilité. Du coup limité dans la version libraw fourni, du coup le .CR3 n'est pas pris en charge. Et vas-y qu'il faut passer son temps à compiler les sources... 

 

En espérant que ça puisse aider !

 

Bonne soirée :)

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  • 5 mois plus tard...
  • 7 mois plus tard...

Je viens sur ce fil pour résoudre des pbs d'installation de ASTROPI3.

 

Je suis sur une config RPI 5 avec Raspberry PI OS 64bits (donc famille Debian et clone....) avec carte NVMe SSD 256Go.

J'ai installé divers logiciels avec de petits déboires resolus😜

 

Dont Astro Live stacking

 

Mon besoin est de faire fonctionner indi, ekos et kstar

 

Je connais suffisamment Linux pour faire des petites manip, mais je ne suis pas expert.

J'ai lancé le script astropi3 hier au soir. Il est allé à la fin. Mais je n'ai aucun moyen de lancer quoique ce soit. Donc pas d'icône., etc....

 

 

Quelle action puis-je faire pour constater ce qui ne fonctionne pas ?

 

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J'essaie aussi de faire de même sur Raspian Bullseye, sans succès. Pour 45€, il vaut mieux s'équiper avec Stellarmate OS. Mise à jour régulière, app téléphone ou tablette,  pas de soucis et remerciement à Jasem pour tous ce qu'il nous offre.

 

Je viens de m'équiper avec le Stellarmate Pro 64 Go. C'est vraiment tip top ! 4 sorties 12V, 2 pour les résistances chauffantes et gestion du paramétrage de chauffe, 4 USB3 et 2 USB2, GPS, WIFI, stepper, sortie 3-9V. N'en jetez plus !

 

Bonheur supplémentaire, Stellarmate intègre désormais dans KSTARS, le planétarium. Plus besoin d'un produit externe comme SkySafari !

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Il y a 4 heures, rmor51 a dit :

J'essaie aussi de faire de même sur Raspian Bullseye, sans succès. Pour 45€, il vaut mieux s'équiper avec Stellarmate OS.

Ok c'est une piste intéressante merci. Je suppose que cet OS est un dérivé d'ubuntu ou Debian. Je suppose qu'il est ouvert de telle manière qu'on puisse rajouter d'autres logiciels. Voire même les siens. J'ai besoin que ce soit confirmé merci

 

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je confirme. C'est un système ouvert, on peut rajouter Nomachine par exemple alors que c'est VNC qui est utilisé, etc.

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  • 1 mois plus tard...

Bonjour Robert,

Si tu as le temps tu pourras nous faire un review du stellarmate avec photos ?

Ça m'intéresse de voir comment fonctionne cette petite merveille et savoir ce que Jasem a mis dans la boite.

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Voilà, voilà Patrick. J'ai passé une semaine dans le Cher, où je l'ai utilisé pour la première fois en live.

 

Cette semaine a donc été l'occasion d'utiliser enfin, le Stellarmate Pro 64 Go. Je rappelle quelques caractéristiques:
- 6 sorties 12V, dont 2 paramétrables en puissance pour les résistances chauffantes. Pour gérer le point de rosée, il faut rajouter un détecteur d'humidité.
- 1 sortie paramétrable de 3 à 9V
- 6 USB, dont 4 USB3 et 2 USB2
- Un port USB-C
- Un port Ethernet, un HDMI
- WIFI et GPS
Une led rouge équipe chaque port. Chaque port 12V peut être arrêté individuellement.
 
J'ai peu utiliser l'app Android, étant habitué à passer par une connexion Nomachine ou VNC, pour attaquer directement Kstars-Ekos.
Nonobstant, l'interface a été revue et sur une tablette 10" son utilisation est très aisée. Lorsque je maîtriserai son utilisation j'en reparlerai.
 
Globalement, je n'ai pas constaté de bug grave. La capture, la MAP, l'astrométrie, le guidage ont fonctionné sans soucis. Ma MAP étant maintenant efficace, ce que je n'avais pu obtenir avec ma ED80, j'ai constaté une bien meilleure évolution de la FWHM au cours du temps.Vraiment impressionnant.
 
Les soucis constatés:
- Pour que le GPS fonctionne, il faut débrancher d'abord les ports USB qui semblent générer pas mal d'interférences. Une fois les données stabilisées, on rebranche les câbles et démarre Ekos. Peut-être que des câbles de très bonne qualité pourraient aider à résoudre le problème.
- Instabilité sur les trains optiques. Une fois configurés, on peut se retrouver avec un train imageur mais avec la caméra de guidage ! Facilement corrigeable avec l'éditeur de train, dispo dans tous les onglets. Un correctif devrait résoudre ce problème.
 
Sinon, le planificateur, une fois Ekos convenablement configuré, est d'une efficacité redoutable. On peut aller faire du visuel en attendant que ça se passe.
 

En conclusion, malgré le prix 599€, je ne regrette pas du tout mon achat. Bien au contraire, sans parti pris 😉 !

 

Je l'ai ensuite utilisé un soir dans mon jardin. Et je n'ai pas pu me servir du planificateur. Voir dans le club Linux, le message que j'ai posté à ce sujet.

 

Pour le GPS, je trouve que l'acquisition des données par le téléphone était bien pratique. Mettre une antenne est une idée plus marketing que vraiment utile, à mon sens.

 

J'espère avoir répondu à tes questions.

 
 
Robert
 
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