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OK ça c'est pour EKOS. Mais le grand intérêt de l'ASIAIR c'est de pouvoir être opérée à partie de l'appli sur un téléphone portable. VNC sur portable ou même tablette c'est l'enfer. Donc à partir de l'appli, quand on créé des séquences peut on configurer un dithering ? L'idéal étant d'avoir un dithering différent en fonction du temps de pose. Toutes les 3 captures pour les lights qui ont une exposition courtes et toutes les captures pour le Ha où l'exposition pourra être plus longue.

J'ai regardé la doc d'EKOS concernant le Guiding Guide Module (indilib.org) Mais d'après cette doc il faut mettre en œuvre une camera de guidage en plus de la caméra d'acquisition. C'est ce que je veux éviter.

Tout à fait. Se passer de la caméra supplémentaire qui analyse le déplacement des étoiles toutes les secondes.

Avec l'astrométrie les MES sont de plus en plus faciles et précises. Avec la PEC ou PPEC sur certaines montures le suivit est de plus en plus précis. Avec les caméras modernes les temps de poses peuvent être de plus en plus courts. Du coup le guidage pour des courtes focales n'est plus indispensable. Mais par contre les défauts du capteurs restent et sont d'autant plus présents que le suivit est précis. Pour ça une solution le dithering. Avec NINA on peut faire du dithering sans avoir de guidage Phd2. Qu'en est il de l'ASIAIR ?

Pour le codage informatique des photos AMHA pas de problème c'est du soft. Pour le support physique, dans 10 ans il y aura t il toujours des prises USB sur les PC ? Sinon sauvegarde sur des Clouds, éventuellement cryptée si l'on tient à ses droits d'auteur.

L'étoile c'est Propus de magn 3.3, je pense que tu aurais le même problème avec Alnitak magn 1.85 (Tête de cheval) Ces étoiles sont très lumineuses et avec des poses de 5 min les reflets du miroir apparaissent. Essaies un masque de chanfrein. Ou une lunette 😉.

Un peu moins cher mais vérifier la hauteur. Mallette en aluminium Mac Allister avec mousse 50 cm | Castorama

Mon PC d'acquisition est en Wifi sur le réseau du dongle et en RJ45 sur un réseau filaire et pas de grogne. Bon là où j'image il n'y a pas d'autre Wifi. La procédure de connexion est la même que pour l'AZ GTI

Généralement quand on rajoute la couche couleur on la floute un peu avant. Le dithering a juste pour but d'éparpiller les pixels défectueux quand on aligne les images sur les étoiles. C'est très efficace mais ça prend un peu de temps entre les prise de vue.

J'utilise une HEQ5 avec le dongle Wifi ou le dongle USB. La raquette n'est jamais sortie de son emballage. D'ailleurs je crois que maintenant l'HEQ5 n'est plus vendue qu'avec un dongle. Une fois le dongle Wifi allumé il crée un réseau Wifi sans mot de passe auquel il faut connecter un PC ou un Android. On peut alors lancer l'application SyncScan qui détecte alors la monture. On peut alors installer un driver ASCOM qui va communiquer avec l'appli SyncScan. Tout ça est sur le site de SkyWatcher. Avec l'appli SyncScan on peut modifer le comportement du dongle et le faire se connecter à un réseau Wifi existant. Une vidéo de Cuiv Lazy Geek concernant la monture AZ GTI explique tout celà. On peut faire la même chose avec le dongle USB. En USB on peut remplacer l'appli SyncScan par GSServer mais pas encore testé pour ma part.

Suivant la base d'étoiles utilisée pour l'astrométrie il y a des limites liées à la taille du champ. Par contre c'est la monture qui est mise en station, pas le tube. Donc elle peut être faite avec le chercheur qui présente souvent un champ plus grand.

J'utilise des résistances chauffantes USB chinoises et comme elles sont trop courtes j'en mets 2 à la queue leu leu. Bien sur il faut 2 prises USB.

Le câble USB est toujours en vente Interface de liaison USB-Direct Meade LX200 (maison-astronomie.com) Et il existe un driver ASCOM qui semble maintenu cjdskunkworks / MeadeAutostar497 / wiki / Release History — Bitbucket Quelqu'un l'utilise ?

Utilisé avec SharpCap en Wifi pendant 3 heures sans problèmes. Idem Carte du Ciel. Ils ont effectivement viré du site les versions 1.19 Pendant longtemps il n'y avait même pas l'aide dans les versions 2. En 2023 une appli PC qui met au même endroit le code et les configs ça fait pas très pro.

Je profite de ce fil pour vous demander s'il existe une possibilité de connecter la monture à un PC via un driver ASCOM ? Même question pour EKOS/Indi.

As tu la dernière version d'ASTAP ASTAP, Astrometric Stacking Program (hnsky.org) et la bonne base de donnée en fonction de ton FOV ? En passant une photo à Astrometry.net tu récupères la focale réelle.

Si ton setup extérieur est branché sur le 240V un système CPL est largement suffisant pour faire de la prise en main à distance.

Pas que : Grossissement (V) = focale de l’objectif (Fob) / focale de l’oculaire (Foc) Un miroir de télescope n'est pas plan et a lui aussi une focale. A diamètre égal un miroir est moins cher et plus facile à fabriquer.

Quand on calibre (prétraitement) on retire un master dark , pas un dark individuel. On ne met pas d'offset. Tu dis light - master dark peut être potentiellement négatif, je suis d'accord, c'est le problème à la base. Donc ajoutons un offset aux lights. light + offset - master darks -> toujours positif. Mais si quand on construit le master dark on a ajouté le même offset aux darks on retombe dans le cas précédent. Pour le monde imaginaire il y a une réf.

On n'est pas dans le monde imaginaire des électroniciens 😉. Je comprends pas le 5 en dessous, comment obtenir après la conversion analogique des valeurs négatives ? Néanmoins quand on soustrait le master dark aux lights, là éventuellement on peut avoir des valeurs négatives. Mais si on a ajouté aux darks un offset il va se retrouver dans le master et quand on fera la soustraction light+offset - dark avec offset on pourra toujours avoir des valeurs négatives

Concernant l'offset (la valeur que l'on rajoute artificiellement pour ne pas avoir de résultats négatifs au prétraitement) on le fait pour les lights. Mais pour les darks ? Si on le rajoute aussi aux darks ça ne sert à rien quand on soustrait les darks aux lights. Pour les offsets des DOF il vaudrait mieux les appeler bias.

Merci pour l'article @Maxime Marci. La même épaisseur va juste permettre de garder le même backfocus.

A part regarder les photos d'autres astrophotographes et les données de prises de vues, y a t il un moyen de savoir si une zone du ciel contient du OIII ou du SII, histoire de s’éviter des heures de poses s'il n'y a pas de signal ?

Un bon moyen de vérifier un instruments sensé mesurer une inclinaison, c'est de lui faire effleurer une surface d'eau. Sauf très grosse anomalie gravitationnelle 😁, ça donne une bonne idée de l'horizontale.

Pour cet usage j'utilise plutôt un stockage en Cloud. Pour les brutes, stockage sur disques externes USB. Pour le prétraitement il n'y a qu'une lecture des lights, le reste se fait sur les disques internes de la machine qui prétraite, du moins pour PixInsight.