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Troisième soirée d'observation.. plus complètement débutants?


Vipère

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Bonsoir tout le monde!

 

Hier soir, c'était notre troisième soirée d'observation... on sort progressivement du tâtonnement de nos débuts, même s'il nous reste du chemin à parcourir pour profiter au mieux de ces soirées bien rares en Bretagne !

 

La journée avait commencé sur une note frustrante : levés pour observer Saturne émerger du disque lunaire, on était contents de voir un ciel bien clair derrière la fenêtre.. le temps de s'installer sur le balcon emmitouflés sous un plaid, une cohorte de nuages arrive et se pose pile à l'horizon sud-est ! Elle ne lèvera le camp qu'une fois l'occultation terminée et le soleil levé :( En guise de consolation la journée fut superbe et le ciel limpide, tous les voyants étaient au vert pour une soirée la tête dans les étoiles. 

 

Tirant les premières leçons de nos précédentes observations, nous avions entre temps investi dans l'Atlas céleste de Sky&Telescope qui est une pure merveille. Je pensais initialement qu'une appli planetarium ferait le job, mais force est de constater qu'un robuste atlas papier est beaucoup plus commode, notamment pour la préparation de la soirée. Je retrouve le plaisir – je dirais même la gourmandise – de plonger dans une carte pour planifier une randonnée. Repérer les forêts, les patelins, les points de vue remarquables, les chapelles pittoresques que l'on va croiser au cours de son périple, c'est déjà une partie du voyage ! Avec un Atlas céleste c'est pareil, sauf qu'à la place des cours d'eau et des panorama on a des voiles de poussière, des nuages de gaz, et des sentiers balisés d'étoiles. On s'est donc plongé dans l'Atlas pour déterminer les contrées du ciel hivernal qu'on voulait explorer, avec une contrainte : que ces contrées soient accessibles aux jumelles. Nous savions que les autres membres du club amèneraient leurs télescopes et lunettes, mais c'est un défi assez piquant que de recenser les objets qui se laissent deviner dans nos petites jumelles ornitho.

 

Au programme : Arpenter Orion pour ne pas réduire cette constellation à M42 (même si...) et essayer d'y dénicher quelques amas suffisamment lumineux. Puis, en me baladant dans l'atlas, une étoile située à l'orée de la constellation du lièvre pique ma curiosité : R Leporis, étoilée carbonée dont la livrée rouge devrait détoner par rapport à ses voisines. Je l'ajoute à notre itinéraire. Nous remontons ensuite vers le voisin à cornes d'Orion, le Taureau, où je relève quelques amas intéressants et que j'espère visibles aux jumelles. On s'arrêtera ensuite du côté des Gémeaux, et notamment de leurs pieds baignés d'objets intéressants comme NGC2158 et M35, auxquels on essaiera de rendre visite. On clôt notre itinéraire là dessus.

 

Un coup d'œil à la fenêtre après le dîner nous confirme que le ciel est clair, puisqu'Orion répond à l'appel. On s'habille... encore plus chaudement que la dernière fois. Enfin on essaie : trois couches sur les jambes pour moi, 3 pulls, deux écharpes, un cache oreille, le tout recouvert par une capuche. Une fois sur place je ne regretterai pas cet excès car je garderai pendant les 2h30 d'observation la tête bien au chaud (pour le reste du corps, c'est autre chose...), Monsieur retrouve des chaussures de montagne qui retarderont la montée du froid par les pieds, le bienheureux...

 

Arrivés sur place, nous sommes accueillis par une atmosphère à 5 degrés parcourue par un petit vent de nord coupant. C'est moins froid que les soirées précédentes, mais le vent est quand même bien inconfortable. Les nuages sont présents aussi mais ne causeront que de petites interruptions au cours de la soirée. La voûte étoilée est à couper le souffle, ce contraste avec le ciel urbain nous saisit comme les fois précédentes... Notre dernière soirée d'observation remonte à presque un mois, l'occasion pour nous de remarquer qu'Orion n'est pas « à sa place »... le chasseur est en train de filer à l'ouest ! Pas étonnant que les hommes se soient servi du ciel comme calendrier. Et Sirius est bien plus haute dans le ciel, ce qui nous réservera de chouettes observations. Nous sommes les premiers arrivés, j'en profite donc pour entamer l'itinéraire prévu aux jumelles.

 

On commence par le joyau central, Orion. On salue respectueusement Bételgeuse avant de remonter vers la tête du Chasseur, CR69. Je voulais voir combien d'étoiles on dénombre aux jumelles dans ce petit attroupement relâché d'étoiles : 6 ! ou 7... En tout cas on voit nettement le joli alignement des trois étoiles centrales, et le large champ des jumelles permet d'en profiter pleinement. On revient à Bételgeuse pour descendre vers Alnitak en se décalant un peu sur la gauche dans l'espoir de trébucher sur M78 avec nos ridicules Bushnell 10x42. On atteint vraiment les limites de l'instrument ici : une toute petite tâche grise émerge, noyée dans le « bruit » alentour. Difficile de dire qu'on l'a « vue » mais en tout cas il y a bien quelque chose ! On quitte ensuite l'obscurité pour se baigner de la lumière étincelante du baudrier, une région remarquable aux jumelles, riche, piquée, immersive ! Un vrai plaisir. On poursuit tout naturellement vers M42, qui ne déçoit jamais, jusqu'à iota orionis. Jusque là, l'itinéraire planifié à la maison tient ses promesses ! On remonte vers Bételgeuse, ce gros rond-point céleste, pour prendre la sortie qui mène au bras d'Orion où l'on espère voir NGC 2169, un petit amas à l'entrée de la fourche finale du bras. J'ai du mal à m'orienter et à bien repérer les limites du bras, qui tendent à se dissoudre dans un crépis d'étoiles diffus. Quelques nuages viennent interrompre la recherche, mais on finit par tomber dessus ! C'est effectivement très petit mais adorable. Je note après coup que les étoiles semblent tracer le nombre « 37 » dans le ciel, on essaiera de déchiffrer ça la prochaine fois.

 

C'est tout pour Orion ! Avant de passer aux autres, on va faire un crochet sous Rigel, du côté du Lièvre pour débusquer cette fameuse « goutte de sang » qu'est R Leporis. Je reprends l'atlas pour essayer de baliser un peu le sentier, ok... elle doit être quelque part par là... à la base d'un triangle qui a pour côté Rigel-Mu Leporis... On balaie, on balaie, mais pas moyen. Aucun point rouge dans le champ... et puis il y a trop d'étoiles, on se perd à plusieurs reprises avant d'abandonner. En discutant avec les membres du club qui viennent d'arriver, on est visiblement pas les seuls à la louper :D

 

Cela fait à présent une heure qu'on est là, on est pas encore frigorifiés, mais le froid commencer à grignoter les pieds et les mains. On remonte vers le Taureau pour repérer les trois amas au programme : NGC1647, 1817 et 1807. On part d'Aldébaran et on trouve sans peine le premier : quel régal ! Un vrai petit bijou bien mis en valeur par le grand champ des jumelles, peut-être mon objet préféré de la soirée. Pour le couple 1817 et 1807, on a plus de mal, et on finit par lâcher l'affaire... d'autant que les gros télescopes sont désormais installés, et qu'on nous invite à l'oculaire :) Sont de sortie rien de moins qu'un Dobson de 400mm et une Vixen 105/1000. C'est la première fois que nous pouvons comparer les prestations de deux instruments différents, ce qui n'est pas désagréable (même si la comparaison à ses limites avec des oculaires différents). Évidemment, le Dobson écrase tout le monde sur M42 en nous offrant une image d'une profondeur incomparable, on se croirait à l'intérieur du nuage... La nébuleuse du Crabe reste en revanche au stade de tâche laiteuse. La variable de Hubble se dévoile joliment, lumineuse avec sa « traîne » bien contrastée au milieu du champ. La nébuleuse de l'Esquimau est aussi remarquable, sa couronne est bien mieux rehaussée qu'avec le 300mm avec lequel nous l'avions observée la première fois. La lunette de son côté est forcément limitée pour ces objets lointains et diffus, nous arrivons malgré tout à contempler le Triplet du Lion en vision décalée... et à nous émerveiller du fait que dans ce petit oculaire nous tenons rassemblés sous nos yeux trois mini-univers peuplés de milliards de mondes. Là où la lunette nous scotche vraiment, c'est sur le double amas de Persée. Les deux nids d'étoiles sont contenus dans un même champ et remarquablement résolus et colorés. Mon deuxième coup de cœur de la soirée. On se tourne ensuite vers les Pléiades où, à défaut d'une vue d'ensemble, la lunette offre une belle vision des nébulosités bleutées qui entourent ces jeunes étoiles.


On reprend les jumelles pour finir le programme que nous nous étions fixé, et pour déambuler une dernière fois dans la voûte étoilée. Nous rendons visite aux Gémeaux et nous dirigeons comme prévu vers leurs pieds, où nous sommes soufflés par l'encombrement d'étoiles et de nébulosités qu'on y trouve! Les opulents M35 et NGC2158 crèvent l'écran, c'est somptueux.  Nous remontons pour saluer un de mes petits préférés, l'amas de la Ruche, toujours aussi ciselé et concentré aux jumelles. La nuit avance, et le Grand Chien est désormais suffisamment haut dans le ciel pour le fouiller du regard: nous saluons Sirius, éblouissante comme le petit soleil nocturne qu'elle est, et descendons jusqu'à tomber par hasard sur un grumeau stellaire, M41! L'objet est vraiment plaisant au jumelles, et il semblerait qu'il ait plein de frères quand on remonte à gauche de la tête du Chien... à ce stade de la soirée, on ne cherche plus à identifier, juste à profiter. Avant de quitter la constellation, une langue nuageuse passe devant Sirius, la nimbant d'un disque nacré magnifique, qui révèle toute sa puissance! Un beau moment.

 

Cela fait maintenant plus de 2 heures que nous sommes sur le terrain, et le froid a résolument gagné la partie... En plus de cela, à force de se cambrer pour lever le nez au ciel nos nuques et dos commencent à râler. A cela s'ajoute le fait qu'après deux heures d'observation non-stop nous sommes moins réceptifs, moins concentrés... L'idéal serait ici de faire une pause à l'abri du froid autour d'une bonne boisson chaude, de coucher à l'écrit nos remarques, et d'y retourner une fois restaurés. Mais ce ne sera pas pour cette fois, frigorifiés, nous prenons congé et rentrons nous blottir au lit autour d'une bouillotte, avec des étoiles plein la tête.

 

Merci de nous avoir lu :) 

 

 

 

 

 

 

Modifié par Vipère
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Salut!

 

Merci pour le partage, c'est très agréable à lire, et bravo pour ces belles observations aux jumelles. : )

 

Je ne suis pas étonné non plus pour R Leporis, une observation difficile. Je l'ai observée aux 10x50 sur trépied, la stabilisation est indispensable, à main levée je pense que c'est chaud patate.

Comme d'autres étoiles carbonées très rouges style T Lyrae,  la particularité c'est qu'on ne les voit qu'en vision directe, dès qu'on regarde à côté elles disparaissent littéralement. Il faut les garder au centre d'un tout petit champ de vision, une histoire de sensibilité de l'oeil, de cônes et des bâtonnets... Et pour ça sans stabilisation c'est pas évident.

En plus ce sont des étoiles variables et parfois elles deviennent trop faibles pour être observées aux petits instruments, dommage d'ailleurs c'est aussi au minimum que la couleur est la plus marquée.

À vue de nez (gelé, ça caille sévère ce soir) elle a une mag entre 7 et 8 actuellement, je ne sais pas où trouver la courbe de luminosité.

On peut se consoler avec RX Lep juste au-dessus qui a une couleur orange foncé bien marquée aussi.

 

Dans Orion si je me souviens bien BL Ori est bien colorée également.

 

NGC 1807 et 1817 j'adore ce joli couple qui mérite d'être plus connu, je suis content que vous les ayez cherché! Ça ne devrait pas vous poser de problème en cheminant méthodiquement, le plus simple est de remonter "l'arc" d'Orion (jeter un oeil à NGC 1662 au passage!). Je les vois facilement à main levée avec des 8x40, aucun problème pour vous qui n'êtes pas des débutants. ; )

 

Bon ben c'est pas fini, ça a du vous mettre en appétit, il y a encore du monde à visiter aux jumelles dans ces constellations! 

Un petit challenge pour se motiver? Si le ciel est sans Lune et bien transparent M1 n'est pas si difficile.

 

En tout cas bravo pour la démarche aux jumelles , je suis sûr que bientôt c'est vous qui allez pointer les télescopes du club et qu'on vous appellera pour trouver tel ou tel objet!

 

Bonne continuation et très bon ciel.

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Merci Hibou pour ton retour! 

 

Bon, je ne m'étonne pas d'avoir manqué la rougeaude alors... effectivement, à main levée c'est difficile de repérer les objets ponctuels peu lumineux... on réessaiera quand on sera mieux équipés! 

Je note pour le binôme 1807/1817, la prochaine fois on ira le saluer comme il se doit! Je pense que mon erreur a été de le chercher en partant du Taureau, je partirai de l'arc d'Orion la prochaine fois puisqu'il est juste à son bout... je note pour 1662!

Quant à M1... aux jumelles ça passe, sérieux? :o Je relève le défi, dès qu'on sera de nouveau sous un ciel limpide!

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il y a 49 minutes, Vipère a dit :

Quant à M1... aux jumelles ça passe, sérieux?  Je relève le défi, dès qu'on sera de nouveau sous un ciel limpide!

Oui ça passe, dans de bonnes conditions et en sachant où regarder et quoi chercher un petit ovale gris diaphane mais relativement contrasté. 

Hier encore je l'ai vue aux 8x40 à main levée. 

 

Si vos jumelles ont un filetage, pour quelques dizaines d'euros un adaptateur, un trépied photo léger et un petit tabouret peuvent transcender vos observations. 

 

Bon ciel ! 

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Superbe CROA ! Tiens, les affaires reprennent dans cette rubrique !

 

Je viens d'acquérir aussi des 8X42 ED pour la nature, que j'ai pu comparer sur le ciel récemment avec mes vieilles 10X50 plus lourdes : j'ai été bluffé, les 8X42 étant plus lumineuses !

Un régal !

Par contre M1 ce doit quand même être assez limite ...Ah non je vois que hibou nous rafraichit la mémoire !

 

Pour R Leporis, vue récemment à la FC-100 et c'est vrai que comme chaque fois, ce rouge profond m'a frappé et reste un peu mystérieux (non pas scientifiquement, mais par l'effet produit ! On n'a pas l'impression de voir une étoile dans le champ, mais plutôt quelque phare breton haha !)

 

NGC 1807 / 1817 m'a souvent déçu a petit diamètre mais récemment au 300 ça changeait tout, il y a un délectable tapis de fines étoiles.

 

Qu'appelles-tu la galaxie de l'esquimau ? Si c'est NGC 2392, ce n'est pas une galaxie mais une NP.

 

Bon ciel !

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Il y a 1 heure, etoilesdesecrins a dit :

Je viens d'acquérir aussi des 8X42 ED pour la nature, que j'ai pu comparer sur le ciel récemment avec mes vieilles 10X50 plus lourdes : j'ai été bluffé, les 8X42 étant plus lumineuses !

Et oui , en ED les jumelles changent la donne ! en tout cas bravo pour ce CROA courageux; aller de la montagne à l'océan pour un coup de jumelles c'est avoir la foi !..et de la santé.

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il y a une heure, PEV77 a dit :

aller de la montagne à l'océan pour un coup de jumelles c'est avoir la foi !..et de la santé.

 

Oulah, nous ne sommes qu'à une dizaine de kilomètres du terrain d'observation hein :D

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Un CROA bien écrit,ça fait plaisir !

Je constate que ce sont souvent des femmes qui écrivent le mieux,sur ce forum.

 

Autrement, pour la carbonée R.Léporis (Hind's crimsom star) je trouve également que c'est limite aux jumelles ....peut être mieux si elles sont sur trépied.

Le problème des jumelles est qu'elles n'ont pas de renvoi coudé,et ce n'est pas la bonne saison pour se coucher sur un transat.

 

Pour le froid,en attendant que tu aies de vrai boots,les plus grosses chaussures/chaussettes seront les meilleures,et un sac poubelle attaché à la cheville avec plusieurs tours de lien (pas serrés) peut dépanner pour pas cher : ça maintient une poche d'air moins froid autour du pied,on sent tout de suite la différence,mais il faut s'équiper ainsi dès le début,sans attendre que les pieds soient froids.

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il y a 39 minutes, etoilesdesecrins a dit :

 

Etttt oui, mais le souci c'est qu'elles s'en vont ....Zaurel, ln2d2, Acsizia, Charlotte Boucher, où êtes-vous passées ???

 

Je pense aussi à Dobby01 qui avait une belle plume et des dispositions remarquables pour l'observation. 

Revenez les filles quoi!

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Vipère,

Merci pour le temps passé à écrire tout ça.

Je viens de me faire une bonne partie du parcours que tu as cité sur Stellarium ; et même comme ça c'était bien sympa, avec le gros avantage du café et du chauffage. 😀

 

Je vais très probablement me payer l'Atlas que tu as cité ; je suis parfois confronté à un manque d'idée pour parcourir et apprendre le ciel.

 

Il y a 18 heures, Gérard58 a dit :

Je constate que ce sont souvent des femmes qui écrivent le mieux,sur ce forum.

 

Ouesh ! Klair, les keum C tro dé boloss ........... t'as vu ! 🙃

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il y a 54 minutes, hibou a dit :

 

Je pense aussi à Dobby01 qui avait une belle plume et des dispositions remarquables pour l'observation. 

Revenez les filles quoi!

 

Ah oui c'est clair, je l'ai oubliée dans ma liste !

Après faut reconnaître que de façon générale le forum n'est pas hyper actif en ce moment, peut-être à cause de la météo de m ...

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CROA très sympathique à lire, d'autant plus qu'à cause de la météo et des routes impraticables ma dernière sortie date de décembre - merci d'avoir pris la peine de rédiger ce compte-rendu.

 

Si tu apprécies les atlas, l'Interstellarum Deep Sky Atlas et son compagnon l'Interstellarum Deep Sky Guide sont de vraies merveilles, bien qu'un peu onéreux.

 

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Vive l'Interstellarum Deep Sky Atlas !

On peut difficilement faire mieux,surtout pour le repérage d'objets difficiles.

Cependant,j'en ai une utilisation assez particulière: je fais des photocopies que je glisse dans des pochettes plastiques,rangées dans deux classeurs par ordre alphabétique des constellations.

En effet,pour progresser au dobson par saut d'étoiles il faut l'avoir à la main (gauche pour moi) or il est grand et lourd,alors qu'une pochette plastique est très pratique et ne craint pas l'humidité.

 

En outre,je continue de promener mon fidèle Pocket Sky Atlas,pour le repérage grand champ quand je suis un peu paumé (par ex.au milieu ou au bout du Lynx,ou dans la Girafe)

 

Pour des débutants,je dirais qu'il faut commencer avec le célèbre Pocket Sky Atlas,pour ne pas s'égarer.

Modifié par Gérard58
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