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CURIOSITY - Mars Science Laboratory


Benoît

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Invité Julie Charland
Salut Julie, H2O est toujours la molécule d'eau, ça n'a pas changé, rassure-toi ! ;)

Ce que veulent dire les auteurs de cet article, c'est que les argiles ne se forment pas uniquement sous l'action de l'eau en surface (la pluie, l'eau de mer), mais qu'ils peuvent aussi se former directement à partir des petites quantités d'eau contenue dans un magma, quand celui-ci se refroidit pour former une roche. Ce que cela change, c'est que les argiles ne sont pas, dans ce cas, représentatifs du climat.

 

Merci pioneer :)

 

 

 

 

« L’origine » de la formation de l’eau n’est pas la même.

 

Merci Phil :)

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Bonsoir,

 

CHIMRA en action.

 

C'est le système de préparation des échantillons qui sont recueillis par l'intermédiaire de la foreuse (sous forme de poudre) ou de façon plus grossière par un petit godet agissant comme une pelleteuse. Ces prélèvements sont transvasés dans des chambres de stockage, pour être ensuite passés dans des tamis car, dans SAM, pour analyses, des grains d'un mm peuvent être introduites alors que pour CHEMIN seules des particules de tailles inférieures à 150 microns peuvent l'être.

 

Udolein (UMSF)

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28046

 

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28047

 

De Neo56 (UMSF) les mêmes actions en gros plans :

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28044

 

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28045

 

Walfy (UMSF)

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28049

 

Nous voyons là les tests du système. Pour l'instant, aucun prélèvement n'a été introduit dans les labos...

Modifié par quetzalcoatl
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Bonsoir,

 

CHIMRA en action.

 

C'est le système de préparation des échantillons qui sont recueillis par l'intermédiaire de la foreuse (sous forme de poudre) ou de façon plus grossière par un petit godet agissant comme une pelleteuse. Ces prélèvements sont transvasés dans des chambres de stockage, pour être ensuite passés dans des tamis car, dans SAM, pour analyses, des grains d'un mm peuvent être introduites alors que pour CHEMIN seules des particules de tailles inférieures à 150 microns peuvent l'être.

 

Udolein (UMSF)

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28046

 

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28047

 

De Neo56 (UMSF) les mêmes actions en gros plans :

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28044

 

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28045

 

Walfy (UMSF)

http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=28049

 

Nous voyons là les tests du système. Pour l'instant, aucun prélèvement n'a été introduit dans les labos...

 

merci quetzalcoatl pour c est superbe photo,je meure d impatience pour que les testes de c est micro laboratoire , commence le plus vite possible.

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Instrument Chemin en gros plan, pris par MAHLI à 20 centimètres de distance :

 

edgett-4-pia16162-br2.jpg

 

Le couvercle fait 6,77 cm de diamètre.

 

Et ouvert :

 

edgett-5-pia16163-br2.jpg

 

L'entrée de l'entonnoir fait 3,5 cm de diamètre et la tamis à une profondeur de 5,9 cm. Celui-ci a des mailles de 1 millimètre. Les échantillons une fois au fond de l'entonnoir seront bombardés de rayons X.

On voit des petits cailloux qui ceux sont retrouvés là après l'atterrissage.

Cette image est composé de 8 photos compilées par le logiciel à bord de Curiosity !

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Bonjour,

Vous avez des infos fiables sur une contamination possible du driller qui aurait échappé au Planetary Protection Office? J'ai lu un truc un peu tiré par les cheveux dessus sur un site dont j'ignore la fiabilité.

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une question me turlupine sur ce tamis : il est là pour éliminer les plus grosse particulière. Au vu de sa forme, comment les choses vont se dérouler après plusieurs prélèvement quand celui ci sera plein?

Je me pose la même question. J'espère que l'expérience de Phoenix a été pleinement prise en compte...

Peut-être que la brosse située au bout du bras pourra aussi servir à cela ?

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Bonjour,

Vous avez des infos fiables sur une contamination possible du driller qui aurait échappé au Planetary Protection Office? J'ai lu un truc un peu tiré par les cheveux dessus sur un site dont j'ignore la fiabilité.

Tu parles de ceci ? http://news.sciencemag.org/scienceinsider/2012/06/nasa-rover-will-contaminate-its.html

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Je n'étais pas au courant, mais le site me semble sérieux au premier abord. De toute façon, on sait bien que les procédures de stérilisation ne sont jamais parfaites et que des bactéries terrestres se retrouvent sur Mars à chaque nouvelle mission. De là à ce qu'elles y prolifèrent, je n'y crois pas trop (surtout en raison du rayonnement UV et des températures extrêmes).

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une question me turlupine sur ce tamis : il est là pour éliminer les plus grosse particulière. Au vu de sa forme, comment les choses vont se dérouler après plusieurs prélèvement quand celui ci sera plein?

 

Je me posais également la même question ... Tout à l'air d'être fixe sur cette vue. La seule échappatoire des gros morceaux est autour du tamis, au fond de l’entonnoir mais il faudra les pousser, ou provoquer une vibration pour les aider à prendre ce chemin sinon ça risque d'être bouché rapidos.

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Je n'étais pas au courant, mais le site me semble sérieux au premier abord. De toute façon, on sait bien que les procédures de stérilisation ne sont jamais parfaites et que des bactéries terrestres se retrouvent sur Mars à chaque nouvelle mission. De là à ce qu'elles y prolifèrent, je n'y crois pas trop (surtout en raison du rayonnement UV et des températures extrêmes).

 

Je n'en suis pas certain ! tu n'as pas entendu parler de cette histoire selon laquelle les astronautes de je ne sais plus quelle mission Apollo avaient récupéré du matériel photographique sur un sonde les ayant précédé et que les scientifiques de la nasa y avaient découvert des virus humains de type grippe ou rhume qui avaient survécu sur la surface lunaire plusieurs années ?

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Je n'en suis pas certain ! tu n'as pas entendu parler de cette histoire selon laquelle les astronautes de je ne sais plus quelle mission Apollo avaient récupéré du matériel photographique sur un sonde les ayant précédé et que les scientifiques de la nasa y avaient découvert des virus humains de type grippe ou rhume qui avaient survécu sur la surface lunaire plusieurs années ?

 

La levure de bière se conserve bien aussi:

http://www.bbc.co.uk/news/science-environment-11039206

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Je n'en suis pas certain ! tu n'as pas entendu parler de cette histoire selon laquelle les astronautes de je ne sais plus quelle mission Apollo avaient récupéré du matériel photographique sur un sonde les ayant précédé et que les scientifiques de la nasa y avaient découvert des virus humains de type grippe ou rhume qui avaient survécu sur la surface lunaire plusieurs années ?

Survivre et proliférer sont deux choses différentes, surtout pour une bactérie. De plus, l'affaire des bactéries sur la caméra de la sonde Surveyor 3 rapportée par la mission Apollo 12 est assez controversée. Il pourrait s'agir d'une contamination après le retour sur Terre. La Wikipédia anglophone contient un assez bon article sur le sujet : http://en.wikipedia.org/wiki/Reports_of_Streptococcus_mitis_on_the_moon

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Bonsoir,

Carlos : "merci quetzalcoatl pour c est superbe photo,je meure d impatience pour que les testes de c est micro laboratoire , commence le plus vite possible."

 

Hier, pendant la conférence de presse, l'information pour les premières analyses dans SAM et dans CheMin nous ont été communiqué. Celles-ci pourraient voir lieu d'ici une à deux semaines, après que le rover ait réalisé au préalable des mesures sur une roche avec son spectromètre APXS.

 

 

http://www.nasa.gov/mission_pages/msl/news/msl20120912.html

 

 

Au sujet de CheMin, en utilisant le rayonnement X pour radiographier les échantillons, il sera en mesure d'identifier la structure cristalline des minéraux et de ce fait sera capable de les caractériser beaucoup plus sûrement que ne pouvaient le faire Spirit ou Opportunity.

 

Lulu : "une question me turlupine sur ce tamis : il est là pour éliminer les plus grosse particulière. Au vu de sa forme, comment les choses vont se dérouler après plusieurs prélèvement quand celui ci sera plein?"

 

Soleil : "Je me posais également la même question ... Tout à l'air d'être fixe sur cette vue. La seule échappatoire des gros morceaux est autour du tamis, au fond de l’entonnoir mais il faudra les pousser, ou provoquer une vibration pour les aider à prendre ce chemin sinon ça risque d'être bouché rapidos."

 

Le tamis possède un mécanisme qui lui permet de vibrer. Ce système est décrit comme permettant aux grains inférieurs à 1 mm de tomber dans le receptacle de stockage.

 

Comme le dit justement Soleil , l'espace autour du tamis (dont on ne sait trop où il abouttit) serait la voie d'évacuation logique du surplus des prélèvements... (?).

 

Maintenant, et Pioneer y fait allusion, il faut se souvenir des déboires qu'a connu Phoenix avec ses prélèvements qui adhéraient tant au godet de sa pelleteuse qu'ils en devenaient intransférables dans les fours de TEGA.

 

Si d'aventure Curiosity était amené à manipuler des matériaux aussi collants, on pourrait craindre effectivement, s'il en tombait sur la grille, que cette dernière soit colmatée rapidemment. Maintenant, on peut se rassurer en se disant que les échantillons de Phoenix était adhérant du fait de la présence de glace, et qu'il est peu probable que ce soit aussi le cas dans Gale qui est tout près de l'équateur de Mars...

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Bonsoir,

Il parait très improbable que des bactéries résistent au climat, à la faible pression atmosphérique et aux puissant rayonnement UV qui règnent sur Mars. Les bactéries potentiellement véhiculées ne constitueraient pas un échantillon suffisant pour une sélection résistante à ces conditions, et il s'agirait de toute façon de bactéries "ordinaires", type Escherichia coli par exemple, certainement pas d’extrêmophiles (qu'il faudrait déjà collecter volontairement dans un milieu.... extrême!) .

 

Il s'avère quand même un vice de protocole, certes, mais on voit rarement les techniciens et ingénieurs de la Nasa intervenir sur leurs engins tête nue et les mains sales. Cela ne réduit pas l'offense au Planetary protection office, mais limite les risques de contamination.

 

Enfin, une contamination d'origine terrestre serait vite déjouée par sa signature biologique. Quelques virus pourraient résister, et contaminer un être humain qui mangerait ou respirerait librement sur Mars:?: Donc, impossible, ainsi que sur la Lune, d'ailleurs. Je préfère m'émerveiller sur les photos de ce post, et sur la fantastique performance technique et scientifique que représente cette mission.

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Je crois que tu parles d'Appollo 12 et de Surveyor 3. Il s'agissait de bactéries (et non de virus) qui auraient survécu 3 ans sur la lune.

 

[ATTACH]21333[/ATTACH]

 

Oui, certainement.

Je me souvenais de cette histoire dans ses grandes lignes et je n'ai pas pris le temps de "google-est-tonamiser" l'info. Enfin… ça laisse rêveur et laisse à penser que l'homme pourrait être un vecteur de vie. Ça le changerais…:be:

Imagine un peu que dans un milliard d'années, les bactéries amenées sur Mars par l'Homme deviennent l'espèce dominante du système solaire…:rolleyes:

Ça me rappelle une super BD d'Alex Niño qui raconte en substance que la vie sur terre à pour origine les matières fécales d'un extra-terrestre pris par l'urgence de la situation.:be:

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Le tamis possède un mécanisme qui lui permet de vibrer. Ce système est décrit comme permettant aux grains inférieurs à 1 mm de tomber dans le receptacle de stockage.

 

Comme le dit justement Soleil , l'espace autour du tamis (dont on ne sait trop où il abouttit) serait la voie d'évacuation logique du surplus des prélèvements... (?).

 

 

que le surplus déborde quelques part, soit, mais les gravillons >1mm, quand ils sont au fond du tamis, et bein, ils sont au fond....à moins de mettre le rover en mode vibrant, je vois pas comment ils en sortiraient:D

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que le surplus déborde quelques part, soit, mais les gravillons >1mm, quand ils sont au fond du tamis, et bein, ils sont au fond....à moins de mettre le rover en mode vibrant, je vois pas comment ils en sortiraient:D

 

 

Je me cite :"dont on ne sait trop où il abouttit". J'aurai pu tout aussi bien pu écrire qu'il avait peut-être un trou du cul, ce qui lui permettrait de faire sa petite crotte à l'occase. :chaine:

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Dis donc Alain, c'est bien toi le premier à avoir parlé de merde. Je me souciais simplement de son évacuation. ;)

 

m'rappelle pu…:rolleyes:

et même en faisant un effort, en poussant un bon coup, il me semble que ne me revient en mémoire que le terme de "matières fécales". Mais je puis me tromper, ma mémoire étant si capricieuse…:)

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Sur le bras lui-même, il existe tout un système de filtre, de chambre et labyrinthe, système vibratoire, permettant de faire le tri, calibrage et livrer aux instruments des échantillons adéquats.

Cela évitera d'avoir un gros tas sur le tamis :rolleyes:

 

Bonsoir Soleil,

 

Cette explication à sa part de vérité, mais la complexité du système de prélèvements en dépasse assez largement le cadre.

 

Pour ceux qui comprennent l'anglais, je pense que la meilleure description des processus de prélèvements du rover, et des systèmes qui les permettent, sont expliqués dans les articles écrits par le principal responsable de ces opérations :

 

http://www.planetary.org/connect/our-experts/profiles/daniel-limonadi.html

 

C'est long, très long, mais très précis. Peut-être que certains habitués du Planetary Blog ont déjà lu ces explications, mais il me semblait utiles de les fournir toutes réunies ici, pour s'y référer facilement.

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