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yapo

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Tout ce qui a été posté par yapo

  1. Pour le ciel profond, j'aurais tendance à blinder le choix pour une pupille de sortie de 1.5 à 2.0mm dans laquelle il se passe le plus de choses quand on cherche des détails faibles (6.7mm ET 8.8mm), avec une faible focale pour la localisation (30mm, pourquoi pas). Et ensuite, tu complètes au fur et à mesure avec le 4.7mm et les autres. Pour les planètes et le reste, je laisse les spécialistes te répondre.
  2. Pour de l'observation visuelle ou de l'imagerie ? Parce que pour le stockage de bière, je prendrais le 200mm.😉
  3. naan, c'est une diversion. Et puis avec vos avis contradictoires (mais il en faut), je vais vite retourner à l'authentique ! 😃 mais avec suivi tout de même. Initialement c'était vraiment l'option "sans suivi" qui me bottait, parce que ça me semblait moins emmerdant. Mais j'aurais du me douter que l'option "avec suivi" allait attirer les conseils des "vrais" astrophotographes, prompt à proposer le côté obscur.
  4. Merci pour l'alternative. J'imagine que la ZWO serait davantage plusg&play ?
  5. ça me plait bien, ça ! Pas besoin d'un réducteur de focale dans un cas ou dans l'autre ?
  6. ça se défend, si je peux vraiment automatiser l'acquisition, mais je vais (un peu) me flinguer la vue en pointant les cibles quand même (j'imagine) donc mener les deux activités de concert me semble un peu chaud (surtout que la monture du 150 n'est pas un modèle de compétition). C'est un peu pour ça que je suis "condamné" à de la pose plutôt courte je pense. Très juste (j'ai un Macbook de 2013, et deux PC plutôt pourris sous Vista et XP donc j'imagine qu'il me faudra autre chose (une config mini pour acquérir et stocker). Alors si je pousse le visuel parfois un peu loin, en image je vais rester très basique. Mon problème dans l'équation c'est que les planètes ne m'intéressent pas, et le ciel profond, c'est faible. Après, est-ce que les caméras utilisées sur dobson sans suivi sont réellement à l'antithèse de celles utilisées en poses avec suivi ? Et quels modèles pourraient convenir d'après vous ?
  7. non, c'est pas pour (forcément) voir directement en live et davantage en fait exploiter les nuits moyennement bonnes.
  8. Si tu me rajoute les deux zéros derrière la somme que je m'étais fixé, je t'en offre un ! 😀 J'ai un vieux 350D, après défiltration, ça le ferait derrière le Dobson ? 🤔
  9. Salut, Alors la question est mal posée parce que je dispose des deux en fait. Mon but : faire des images sans prétention des objets du ciel profond les plus brillants en guise de souvenirs ou d'illustrations (et disposer du copyright😁). Je suis essentiellement un visuel authentique à la base et mon Dobson de 445mm n'a pas de suivi. Mais comme j'ai vu qu' Ubuntu (parmi quelques autres) atteignait des résultats intéressants de mon point de vue, je viens chercher quelques conseils des pratiquants. Outre le 445mm azimutal (F/4.5 dont le secondaire est assez large pour que je bricole une autre sortie que le PO low profil actuel sans diaphragmer), je dispose également d'un 150mm (F/5, dont le foyer sort bien) sur une vieille monture New Polaris avec suivi en AD (j'ai aucune idée de la qualité du suivi parce que je n'ai jamais réalisé une mise en station soignée. Autre point: je ne veux pas investir beaucoup (<500€ dans la caméra), d'abord parce que le but poursuivi est accessoire et ne "mérite" pas plus, et ensuite parce que je ne suis pas (mais vraiment pas) un imageur dans l'âme (mais ça pourrait occuper des soirées de pleine lune). Dans l'idéal, la caméra serait "adaptée" (i.e. polyvalente) au deux instruments pour tester et voir ce qui marche le mieux ou m'est le plus pratique. Donc le beurre, l'argent du beurre et la crémière... Sauf si vous me dites que c'est pas possible. Vos avis et options me seraient fortement profitable (après vous risquez de me perdre si vous me parlez d’échantillonnage et de QE, mais je peux essayer de m'accrocher). Merci (beaucoup) d'avance, Yann PS: si vous pouvez évitez de parler de VA, c'est cool car je suis allergique 🤪 sinon, c'est pas grave, j'ai mes anti-histaminiques.
  10. yapo

    Dessin vs photos

    Trrrès intéressante problématique ! Au delà de la sempiternelle opposition des réponses logarithmiques des cellules rétiniennes (inconstantes y compris à travers la rétine) face à celles linéaires des caméras, je me vois mal en tant que VA (visuel addict) me mettre à l'imagerie pour produire un tel résultat -ou alors quand ma vue en aura pris un sacré coup- et je vois mal un imageur faire la même démarche pour obtenir des résultats incolores aux faibles contrastes (plus particulièrement en ciel profond). L'imagerie instantanée (je n'aime pas le terme visuel assisté) même prise au pied de la lettre a trop tendance à cramer le cœur de M42 par exemple sans révéler ses extensions faibles. Après, si la perle rare existe (i.e. un observateur expérimenté en visuel et en imagerie), ce serait bougrement intéressant. Personnellement, je cherche souvent des images de nébuleuses en OIII non-traitées respectant les inégalités de brillance pour pouvoir comparer avec observations visuelles et dessins, et même ça, on n'en trouve pas partout...
  11. Est-ce que tu connais ta pupille max ? c'est bien utile pour savoir jusqu'où tu peux aller sans "diaphragmer" l'instrument.
  12. ce qui est bien dommage : je me suis auto-limité pendant trente ans à cause de l'a priori "pupille maximum=7mm et moins avec l'âge", pour découvrir à près de 50 ans que (dans mon cas bien sûr) je dépasse les 8mm. J'aurais pu profiter de pupille de sortie large sur des objets étendus bien avant... Il est de salubrité publique de connaître sa pupille dès lors qu'on s'intéresse plus sérieusement à l'observation visuelle. Et un simple bandeau de papier cartonné style "star gauge" suffit pour une bonne approximation. Et reste le ! Car grande pupille signifie aussi certainement davantage d'aberrations au moins à l’œil nu...
  13. Je partage mes données sans connaître le pourquoi, savoir que ça peut être utile à qq'un suffit à mon bonheur 😃 écart inter pupillaire = 59mm pupille nocturne = 8.2mm (mesurée en pièce noire, pas sous le ciel nocturne, mais pas sûr qu'il y ait une différence significative, hormis celle de l'adaptation physiologique rétinienne; l'ouverture de la pupille s'adapte quasi-instantanément aux conditions lumineuses -sinon on serait mal en voiture lors de l'entrée dans les tunnels). magnitude limite (ciel préservé alpes du sud) = 6.8 dans la Petite Ourse (étoile visible 25% du temps en vision décalée proche).
  14. Tu peux rejoindre Jean-Raphael : https://www.jrgilis.com/index.php?page=oumejoindre bon il est moins actif l'hiver (du coup, son spot est libre), mais avec le passage des gens, adieu la tranquillité (et bonjour l'animation).
  15. L'expérience joue beaucoup en ciel profond. J'ai passé à mes débuts une semaine à chercher M42 dans Orion avec mon 115/900, pour ne découvrir au bout du compte qu'un infâme voile faible. Maintenant, je la trouve comme le nez au milieu du visage : vraiment brillante. Donc en handicap #0 pour compléter Bruno, je dirai qu'il faut persévérer, que c'est un excellent début et qu'il faut multiplier expériences et tentatives pour s'améliorer soi-même (si si, c'est possible!) avant le matériel.
  16. J'avais pris ça en 2020 pour le vieux PC portable dont je me sers lors d'observations du ciel profond et c'est impeccable en jouant bien sûr sur la brillance de l'écran : https://www.decoupe-plexi-sur-mesure.com/plexiglass-sur-mesure/11079-decoupe-plaque-sur-mesure-pmma-plexi-rouge-brillant-altuglas-100-12000-ep-3-mm.html
  17. J'ai le nagler et si tu dégages la vis à droite (en dévissant complet), la jupe externe est au coulant 50.8mm .
  18. Pour du ciel profond, tu peux avoir besoin d'1.5° de champ si tu veux taquiner les voiles des pléiades mais aussi de grossir 400x pour de petites nébuleuses planétaires. Donc en gamme de focale d'oculaire, il faut aller de 3mm à 30mm dans l'absolu (sans passer par chaque mm non plus). Après on se retrouve souvent sur un grossissement moyen "à tout faire" vers 1.5-2.0mm de pupille de sortie qui permet de repérer les petites galaxies faibles ou bien les détails dans des grands objets soit un oculaire de 7-8mm dans ton cas. C'est sans doute vers cette focale qu'un premier investissement serait intéressant (sauf si d'autres types de cibles du ciel profond ont ta préférence). Investir vers 20-25mm de focale améliorera ton potentiel de repérage, mais l'intérêt (à mes yeux du moins) est de grossir pour glaner des détails supplémentaires.
  19. yapo

    Placement filtre UHC

    En UHC je sais pas trop, mais pour les filtres interférentiels, je conseillerais plutôt d'acheter chez des fabricants un peu spécialisés (Astronomic, Baader, Lumicon, DGM) plutôt que les distributeurs de filtres plus décevants et moitié moins efficaces (car au final moins sélectifs). Certes, il faut casser plus vigoureusement la tire-lire mais le gain en vaut la chandelle (j'ai été très déçu par des filtres chinois premier prix).
  20. yapo

    Placement filtre UHC

    Tant que tu n'observes que des nébuleuses à émission (planétaires ou diffuses), aucun inconvénient. Mais si tu croises une galaxie ou une nébuleuse par réflexion dans ton cheminement, elle ne va pas aimer l'UHC. 😉 L'arme ultime est le passe-filtre (mais c'est facile à dire quand on en possède un).
  21. Pas forcément besoin d'attendre une escapade aux toilettes, la pupille se dilate très rapidement dans le noir. Sans appareil photo, tu peux aussi prendre une bande de papier un peu épais (pour qu'il demeure rigide en climat nocturne) de largeur croissante (3 à 9mm en pente douce) et par nuit claire, tu la passes devant un de tes yeux en regardant une étoile, en commençant par le côté le plus étroit. Lorsque l'étoile disparait complètement, c'est que la largeur de papier équivaut à ta pupille. Faut repérer l'endroit et tu connais à 0.5mm près ta pupille max. A F/4.5, je vais jusqu'à 40mm (un maxvision) sans problème, j'ai une pupille d'oeil de l'ordre de 8mm (et je viens de passer la cinquantaine tout fraîchement).
  22. Ôte toi déjà d'un doute : mesure ta pupille dans le noir.
  23. Je viens de recevoir le dernier pavé (et je pèse mes mots) de l'auteur allemand Wolfgang Steinicke: 4 kg, format A4 et 576 pages… Le papier est vraiment épais, étonnamment d'ailleurs, l'auteur s'est fait plaisir, à la limite du livre d'art. Il est présenté sur l'image à côté de l'autre bible de cet auteur consacré au catalogue NGC. Si vous lisez l'anglais et que les nébuleuses et leur découverte vous passionnent, ce se seront pas 85€ de gâchés. Je vous confirme ça dès que j'aurai pu le dévorer.
  24. Et oui, je pense d'ailleurs avoir cédé à une velléité commune chez un jeune débutant : pointer l'astre le plus brillant accessible. Et la probabilité de tomber sur Vénus, Jupiter ou Saturne est forte !
  25. Pareil dix ans plus tard: un beau soir d'été 1987, il était temps d'étrenner ce premier télescope (115/900) offert par mes parents en guise de cadeau d'anniversaire. Pointage de l'étoile la plus brillante disponible depuis ma vallée alpine, laquelle trônait au dessus de la crête montagneuse au Sud-Ouest: une étoile entourée par un anneau? Whaaaa, Saturne !...... J'étais piqué. Un dépucelage astro, c'est beau.
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