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Bonsoir, Siril 1.2.2 sous Ubuntu 22.04. Je me heurte depuis quelques temps à un comportement quelque peu incongru : le retrait du gradient se lance dans le pastel artistique. N'ayant pas modifié le processus jusqu'à cette étape, je m'interroge sur ce qui peut causer ce résultat pour le moins inopportun. Merci de vos lumières.
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Bonjour à tous, Depuis quelques temps, sous NINA connecté à ma monture Celestron CGX drivée par CPWI, je constate que le retournement au méridien ne fonctionne plus. Quand le processus de retournement arrive à l'opération de pointage de la nouvelle position après retournement, la rotation sur l'axe DEC se fait correctement mais pas celle sur l'axe RA qui va dans le mauvais sens et atteint rapidement la limite de déplacement provoquant l'arrêt de la monture et l'échec du retournement. Quelqu'un a-t-il déjà rencontré ce problème ? Comment résoudre cela ? J'ai trouvé une solution provisoire qui est de créer deux séquence distinctes une avant et une après le retournement mais cela ne me satisfait pas vraiment parce que le retournement fonctionnait très bien avant J'ai pensé à un problème lié à la mise à jour du logiciel NINA vers la version 3.1 HF1 mais, sur dicord, le créateur de NINA a regardé le fichier log et il me dit que tout est correct et que le problème viendrait du driver de la monture c'est à dire de CPWI. Mais comme cela fonctionnait correctement avant, je ne comprends pas bien sa réponse. Merci de votre aide, Guy
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Bonsoir, Je souhaiterais savoir si ALS (Astro Live Stacker) fonctionne sur RPI4. Lors de l'installation j'ai le message d'erreur suivant : "ERROR: Could not find a version that satisfies the requirement PyQt5==5.13.0 ERROR: No matching distribution found for PyQt5==5.13.0" lorsque je lance la commande suivante : ./utils/venv_setup.sh Sur le RPI4 j'ai installé Astroberry Server qui est basé sur Raspberry Pi OS. Merci pour votre aide.
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Bonsoir, Quand on fait du Live Staking avec Siril, cela serait bien que les fichiers intermédiaires soit stocker dans un répertoire "process", comme cela se fait pour le reste des traitements... Cela pour pouvoir s'y retrouver dans les fichiers sources! Merci d'avance, JM
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Un petit peu de maturité sur ce que j'ai trouvé sur les optiques anciennes. J'ai posté récemment sur Cloudy Nights une petite réponse donnant rétrospective sur les débuts de l'optique en tant qu'outil pour d'autres métiers. Les découvertes, inventions et réalisations de Josef Fraunhöfer ne seront pas citées immédiatement, il a été un ovni dans le milieu scientifique de l'optique (lumière, chimie du verre, calcul d'objectif et réalisations) et on a perdu son travail car il est décédé prématurément. Vous apprécierez sans doute plus tard à quel point il était en avance sur tout le monde. Le post en anglais : Discussion of glass used in refractors Le rôle de l'appairage des verres est fondamental. Début de l'optique La correction de la vision humaine est un sujet ancien. Alhazen, un scientifique égyptien, a écrit plusieurs travaux sur l'optique dans les années 1000 et fait avancer la science dans ce domaine. C'est en Italie au XIIIe siècle que les premières lunettes médicales ont été inventées. Appelées bésicles, elles ont été fabriquées à l'aide de deux ménisques ronds encastrés dans des cercles fixés individuellement à des branches reliées entre elles à l'aide d'un fil métalliques. Plus tard, certaines activités humaines telles que le relevé des objets lointains dans l'activité navale, l'alignement géographique et l’arpentage des propriétés foncières, la mesure des distances ont initié les besoins en instruments d'optique. La limite pratique à la fin de l'ère de la Renaissance était le réfracteur galiléen : un seul verre biconvexe positif associé à une lentille négative pour oculaire. Ils utilisaient alors le seul verre sodo-calcique utilisé pour les fenêtres et les vitraux, car c'était un verre clair et homogène et pas trop compliqué à fondre. En effet, la fusion du verre est une prouesse du même niveau que la fusion du fer. C'est le mélange de sable (silice) à 70%, on y ajoute de la chaux 5% et de la soude 13%, parfois un peu de potasse. Le reste peut être un peu d'alumine et de magnésie, de l'oxyde de baryum. Ramolli vers 720°C, travaillé vers 1035-1050°C, il fond et peut être coulé en moule vers 1200°C. Le verre crown ou verre de la couronne Le meilleur type de ces verres ne fut pas le premier. Il a été fabriqué en Angleterre (Chance/Pilkington) et fut connu lors de son pour un usage maritime à la fin du 18ème siècle : les lentilles pour phares. (intallation à 1775 Sète d'une lampe à huile et réflecteur parabolique en cuivre argenté puis 1782 lampe d'Argand, et des systèmes à lentilles et encore plus tard, les lentilles de Fresnel avec en 1823 le phare de Cordouan en Gironde) Lentille de Fresnel du phare de Cordouan Comme cela a été fabriqué par le fabricant de la royauté, ces gros morceaux de verre rigides et transparents, rares et de haute qualité ont été estampillés à chaud dans les moules avec un fer de la forme de la couronne d'Angleterre. Le nom du verre couronne/crown est resté ensuite Le verre flint ou verre de silex Plus tard, pour d'autres usages, principalement à usage décoratif, l'art de la cuisine, le verre de cristal a été créé. Au XVIIe siècle, des fabricants de verre vénitiens ont réussi à fabriquer un cristal parfaitement transparent, le cristallo, en utilisant de la silice extrêmement pure et l'ajout d'un composant qui reste inconnu aujourd'hui. C'est pour rivaliser avec ce cristal que George Ravenscroft a utilisé des nodules de silex présents dans la craie du sud-est de l'Angleterre en 1674 comme matière première, la silice de ces flints / silex étant très peu chargée d'impureté. La principale différence avec le cristal vénitien ou d'autres verres dont la silice provient des silex (galets) de fond de rivière, est l'ajout d'oxyde de plomb dans la pâte de verre qui donne au cristal de Ravenscroft son aspect très brillant, en plus de la transparence. La pâte au plomb-étain ou pâte d'étain était initialement utilisée pour le polissage et l'émail. Verre destiné aux bières fortes, en verre très transparent, daté du 1680-1690. Un modèle similaire marqué du sceau de la tête du corbeau de Ravenscroft est daté d'environ 1676. Ce charard peut être vu dans le Victoria and Albert Museum. Ce verre fut appelé verre de silex. Découverte de la correction des couleurs Un jour, un fabricant d'optique a eu l'idée d'associer pour son réfracteur de Galilée (ou simplement longue-vue marine) une lentille positive en verre de crown et une lentille en verre en silex et trouva la correction chromatique meilleure, puis on s'aperçut que l'association directe en tant qu'objectif était utile grâce aux courbes plus facile à faire. Fabriquer un biconvexe de longue focale n'est pas si facile que cela... L'association était intéressante mais la netteté et contraste étaient difficiles à obtenir. La théorie était absente sur le sujet ; de nombreux scientifiques célèbres ont tenté de travailler sur les principes de réfraction, mais c'est finalement Snell et Descartes qui ont redécouvert toute l'étude de Ptolomee, Alhazen, Vitellio, Kepler... et ont publié les lois de la réfraction. René Descartes, contemporain de Galilée et également hélio-centriste, retarda même la publication du Discours de la méthode comprenant "La dioptrique" à 1637 suite à la condamnation de Galilée par l'Eglise. Les théories sur la lumière sont en effet trop proches des polémiques en cours au début du 17eme siècle, cela a retardé énormément les progrès scientifiques. L'achromat Le principe de l'achromatisme ayant été compris, il restait les calculs de la netteté... Comme d'habitude, les essais et les erreurs conduisent finalement à la nécessité d'une formulation technique. La pratique expérimentale donna la règle pratique f/D = 5D en pouces : 5" focale pour 1" diamètre, 20" pour 2", 45" pour 3" lors de l'utilisation d'un verre ordinaire pour faire un achromat utilisable. C'est le critère d'achromatisme, ce critère est valable à grossissement équi-pupillaire en observation terrestre : soit 2 à 2,5mm de pupille ou 1/2D pour le grossissement (ce que les gens oublient très facilement en considérant uniquement le grossissement maximal) C'est devenu une règle connue sous le nom de "critères de Conrady (1929)". John Dollond publie en 1758 son travail (basé sur les travaux de Leonard Euler (1947)) et est crédité du brevet après quelques conflits qui furent débattus en cours de justice. D'autres travaux continuèrent pour établir une combinaison de courbures pour corriger la netteté et la couleur, des tables de travail a été publiées et largement utilisées dans les ateliers d'optiques dans les années qui suivirent. Verres spéciaux Les lunettes qui ont été fabriquées avant la décennie 1880 (et encore quelques-unes ensuite) sont les bases pour obtenir une vision améliorée. La découverte d'une optique achromatique a permis de dépasser le grossissement très limité de la lunette de Galilée : 51mm et 1330mm de focale, grossit 14 fois Les objectifs ont d'abord été réalisés en utilisant du doublet cimenté et très peu en utilisant un doublet à entreverre (air-gap). Mais les achromats sont alors limités par ce que l'on appelle la ligne de dispersion du fer qui est liée à la règle 5D pour l'utilisation équi-pupillaire. En 1886, après 6 ans de travaux de formulations chimiques parfois instables, Otto Schott aidé par Ernst Abbe pour la vérification, a démarré une nouvelle ère pour les achromats. Des verres s'écartant de la ligne de fer ont été inventés et d'autres matériaux découverts (comme le fluorospar - fluorine CaF 2) permettant de rompre la limite 5D. Je ne vais pas développer, c'est complexe, mais grosso-modo, Otto Schott a principalement essayé de minimiser la variation de l'indice des verres flints entre (F et E) et (G à F) en utilisant des oxydes métalliques. Son premier essai fut un fiasco total (oxyde de lithium) mais il fut persévérant. Mais n'oubliez pas qu'il y a deux fondamentaux dans la fabrication des achromats : la couleur et la netteté. Le réglage de l'aberration sphérique est le diable à l'intérieur du détail lors de l'abaissement du rapport f/D et de la rupture de la règle 5D "règle de la ligne de fer" Abbe a formalisé mathématiquement le sujet et a repris certaines habitudes des ateliers d'optique. Il a créé le nombre d'Abbe qui provient des équations optiques pour l'achromatisation. Il utilise l'indice de verre de réfraction v D - ( n D-1 ) / n F -n C. Abbe choisit donc les raies de Fraunhöfer, c'est resté de nos jours, avec peu de modifications profondes. Mais quelle était la qualité des optiques avant la formalisation avancée d'Ernst Abbé ? ... à suivre la traduction de ce post : Initial approximation for achromatic doublets in the XVIIIth century Chronologie détaillée : an 1000 Alhazen -> 1300-1400 bésicles (lunettes médicales) -> 1608 Galilée / Hans Lipperhey (fabricant de la lunette et brevet) -> 1633 condamnation de Galilée -> 1637 Descartes publie la Dioptrique. 16xx le cristallo est créé à Venise (formule perdue) -> 1674 le flint du G.Ravenscroft, n'est pas très indiqué pour l'optique (présence de fils, stries, bulles : inhomogène) 1674-?-1729 : découverte par hasard de l'achromatisme. 1729 Chester Moore Hall travaille sur l'achromatisme et fait fabriquer un premier achromat par Spitalfield lens makers, William Scarlett & James Mann qui sous-contracte à Georges Bass. Satisfait du premier doublet il en commande un deuxième mais à John Bird, qui sous-contracte 3 ans plus tard (!) à James Mann, qui le fait faire par son apprenti James Ayscough. Chester Moore Hall ne reçut jamais sa commande. 1747 Léonard Euler publie sa recherche des combinaisons de courbures, Dollond en entend parler et expérimente. 1754/1755 Ayscough aurait exposé un « Spyglass » fabriqué avec l'objectif destiné à CM.Hall dans sa vitrine en 1754. John Bird est réputé pour avoir fabriqué un télescope en utilisant l'objectif de Hall pour le vice-amiral Campbell en 1755. 1758 Procès en justice, John Dollond gagne le brevet -> 1768 Jean-Baptiste le Rond publie le travail de d’Alembert sur les objectifs achromatiques, Volumes III & IV des “Opsuscules Mathématiques”. La condition de D'Alembert - Gauss sera fondamentale pour les objectifs d'Alvan et Graham Clark dans la 2eme moitié du 19eme siècle. (Lick 90cm et Yerkes 1m) Années 1760, R. J. Boscovitch, un jésuite, professeur à Padoue, essayait également de concevoir objectifs sans abérration sphérique et chromatisme (LSA, LCA). En 1773, il avait a fait peu de progrès dans le calcul des courbes des lentilles en raison de son incapacité à mesurer les indices de réfraction pour couleurs de lumière spécifiques. Les formules de correction ont bien évoluées. 1782 utilisation de grands verres crowns pour les phares -> 1795, Pierre-Louis Guinand produit un verre flint qu'il envoie à l'opticien Rochette à Paris - 1er flint non anglais, rupture du monopole 1800+ Au début du XIXe siècle, dans la continuité du travail de Wollaston qui découverte des raies sombres dans le spectre solaire, Joseph von Fraunhofer, en collaboration avec Joseph von Utzschneider à la verrerie Benediktbeuern, met au point des méthodes pour mesurer les indices de réfraction des verres optiques à longueurs d'onde spectrales spécifiques : les grandes raies de Fraunhöfer. 1805 PLG invente la guinand et produit 100kg de verre flint de meilleure qualité que le verre anglais permettant des lentilles de 30 à 50cm de diamètre -> 1807 PLG transmets à J.Fraunhöfer son savoir faire -> 1814 raies spectrales de J.Fraunhöfer -> 1823 lentille de Fresnel -> 1824 Fraunhöfer taille l'optique du grand réfracteur de Dorpat 244mm / 4330mm (f/17,7) -> 1826 J.Fraunhöfer meurt prématurément de tuberculose, la formule du doublet air-gap est perdue -> 1880 Otto Schott et Ernst Abbe collabore à la mise au point de nouveaux verres.
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Salut , il me semble qu'on ne l'a pas encore aperçu au sein du club. Perl astroclub AC 21 80 1000 circle z. A ma connaissance, Carton et Kenko on livré des 80-1000. Circle z Tanzutsu est associé a Towa généralement, mais pas de 80 1000 chez Towa a ma connaissance. Je l'ais récupérer avec l'optique fileté de travers sur le tube. Le bloc optique lui semble ne jamais avoir été démonté, et le doublet sonne bien quand on secoue un peu. (Un anneau sépare les lentilles) Je me doutais qu'elle livrerai une bonne image, et, superbe surprise, en faisant un teste sur Jupiter ; Optique planetaire ; aucun liseré sur la planète contrairement a une 90 1000 ou c'est encore perceptibles, c'est du niveau d'une 80 1200, d'une bonne 80 1200. Liseré de Chromatisme absent, même a froid, un disque de planète très très net, rasoir. Très bon niveau de detail et excellent contraste, gtr éclatante au premier regard, d'autres tache visible, belle densité au nord de la planète. Le piqué me semble très proche de ma 90 1000 Meade, en plus propre niveau chromatisme. Le p.o plastique n'est pas aligné, ce qui présage du très bon une fois dans l'axe. Le rc plastique fourni avec, est de très bonne facture, l'image m'a semblé un moment supérieur a celle de mon autre rc, tout metal. p.o crémaillère a changé dès que possible. excusez la buée elle venait de rentrer.
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Bonjour à tous ami(e)s des lunettes vintages, C'est un ami qui m'a fait connaître votre forum avec le club d'astronomie vintage que je trouve passionnant et plus qu'utile, et je vais vous présenter ma lunette astronomique ancienne que je viens d'acquérir. Il s'agit d'un instrument de marque Grégoire, opticien à Lyon. ( La marque existe toujours sous le nom d'optique Peter spécialisée dans l'optique médicale et scientifique). Il s'agit d'une lunette astronomique dont l'objectif mesure 120 mm de diamètre et le tube 1400 mm, 2000 mm environ avec le tube allonge totalement déployé. Le trépied est d'origine, il est en bois de frêne, traité par l'ancien propriétaire, il présente hélas deux grosses fissures sur le statif de bois, mais elles ont été renforcées par l'ancien propriétaire également. A réception de la lunette, celle-ci présentait une couche d'oxydation "rouille" sur presque la totalité du tube, y compris une partie du tube allonge. Ce n'était pas une patine réelle du au temps. La vendeuse m'a informée que cette lunette était intacte dans sa famille, son mari ayant pratiqué l'astronomie avec pendant presque 50 ans. Ils habitaient en bord de mer, et c'est au décès de ce monsieur voici quelques années, que cette lunette c'est corrodée à vitesse "grand v". Cette dame va m'envoyer la photo de cet instrument dans les années 1960 où il était brillant comme une étoile selon ses termes !!! Par conséquent je n'ai eu aucun scrupule à ôter cette "pseudo-patine" qui n'était pas d'époque... pour tenter de rénover cette belle lulu. Ce n'était pas gagné par avance compte tenu de l'état de corrosion du métal, même inquiétant en un point de la lunette. Pour cela il m'a fallu plus de 15 heures de travail, en employant trois produits différents : 1°) Une solution de citron à partir du fruit (et non en "Pulco") et de bicarbonate de soude alimentaire. (Deux séances) 2°) Une pierre d'argile (deux séances) 3°) Du Mirror spécial cuivre pour la finition. (séance finale) Et maintenant voici les photos : A - AVANT RESTAURATION B - APRES RESTAURATION Sur cette photo vous pouvez voir la fissure du statif de bois, qui est des deux côtés, elle a été collée avec une colle spécialisée par le précédent propriétaire, je me demande si je vais pas acheter un collier spécial pour renforcer encore le statif. .../... .../... J'ai déjà tester la lulu sur l'astre des nuits, et ma foi, le résultat est vraiment enthousiasmant pour moi, compte-tenu de l'âge de cette lunette , de plus les images ont un piqué superbe. Par contre mes "astrophotographies" sont prises de manière empirique (oups), avec mon smartphone rivé à l'oculaire... ce n'est pas une méthode très orthodoxe, mais faute de mieux j'ai du m'en contenter. Existe-t-il des moyens de bricoler un adaptateur pour un APN ? Voici les premiers résultats sur la Lune (j'ai pris plus de 200 photos je pouvais plus m'arrêter LOL). Enfin quelques mots de présentation : Mes parents avaient dans leur bibliothèque, venant de mon arrière grand père, le livre de Camille Flammarion "les Étoiles et les Curiosités du ciel", et j'adorai me perdre dans ce gros livre rouge, noir et or, de regarder les gravures, cela m'a transmis le passion des choses du ciel... Je pratique l'astronomie en amateur depuis 1981, ma première lunette était une 60/1000mm fabriquée au Japon mais sans marque précise, elle me fut offerte par mes parents au catalogue des 3 suisses de l'époque !!!! Mais quel bonheur de parcourir le ciel avec ma première lunette, qui était sur monture équatoriale et trépied encore en bois en ces années 1980. Ensuite quelques temps plus tard j'ai acheté à la maison de l'Astronomie à Paris, mon premier télescope de type Newton 115/900 de marque Ganymède, avec lequel j'ai fait mes premiers pas dans le ciel profond. Puis j'ai eu mon Célestron Ultima 8 un excellent instrument avec lequel j'ai pu voyager dans le cosmos, et faire mes premières vraies études du ciel en amateur. Et tout récemment, je suis tombé amoureux de l'astronomie "vintage" par la redécouverte des livres de Camille Flammarion et de lire les descriptions des étoiles, des mondes planétaires, je me suis dit que ces anciennes lunettes n'étaient pas si mal que ça, pas meilleures que les actuelles, mais certainement différentes, complémentaires avec des images chaudes et contrastées et bingo, c'était vrai ! Quelques livres de ma collection Flammarion : Tome 1 de 1882 des numéros de la revue l'Astronomie de la toute jeune Société Astronomique de France reliés. Une édition "digest" de l'Astronomie Populaire destinée à la jeunesse des années 1880. La physique populaire publiée dans la collection "Camille Flammarion". Un Gustave Le Bon publié dans la collection "Camille Flammarion", ces livres sont des trésors en soi. Voila, j'espère m'enrichir de connaissance dans votre beau forum et dans ce club pas comme les autres. Sentiments Uraniens. Jonathan
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Bonjour tout le monde ! Bon, je reviens avec mes questions blessantes Voila, en vue d'évaluer et optimiser un certain nombre de paramètres (en l'occurrence sur l'Askar 103), et confronter des résultats à la théorie, j'essaye de glaner qq informations et calculs, pas toujours évident d'y discerner le bien fondé du mythe D'un point de vue performance théorique instrumentale constructeur, nous avons les "spot diagrams" qui rendent compte de mesures (fiables ou non, telle est la question) tant sur la potentialité de précision que sur les aberrations chromatiques par exemple. Je me suis penché principalement sur les valeurs RMS en microns données par exemple chez Askar (mais aussi chez d'autres) en fonction de la distance à l'axe optique. Je prend par exemple une valeur arbitraitre autour de 10mm du centre optique (qui serait donc la couverture d'un capteur de diagonale 20mm par exemple arbitraire). Notons une valeur RMS de 5microns environ pour l'Askar 103 et sa focale de F=700mm. La valeur FWHM résultante (loi gaussienne) serait theoriquement donc de FWHM(um) = 2.355*5 = 11.78um La transformation de cette valeur en arcsec devrait être FHWM(arcsec) = 11.78 * 206 / F = 3.46 arcsec La FWHM théorique de cet instrument, selon le constructeur, à espérer, serait donc d'environ 3.45arsec, hors autre considération. D'un autre coté, une optique parfaite de 103mm donnerait une FWHM de FWHM = 1.025*.55*(180/pi)*3600 / 103000 = 1.13" (1.025 * lambda(550nm moyen), Diamètre = 103000um (103mm)) Autrement dit un rapport de 3x ! Ce raisonnement en premier lieu est-il déjà correct ou j'ai fait l'impasse sur qqc ? Ensuite, si je prends la formule consacrée et un seeing moyen de 2" en France sous un ciel péri-urbain comme chez moi (avec relevés météoblue), la FWHM théorique atteinte serait au mieux, avec l'instrument parfait, de Fwhm = sqrt(2² + 1.13²) = 2.3" environ. Ces résultats seraient d'ailleurs corroborés en partie par le calculateur MTF analyser si je me place en état d'échantillonage adéquat (avec un capteur de 2.4um par exemple) -> 2.35" Là où je coince.... J'ai fait donc des relevés avec pixinsight, sur les brutes d'empilement de luminance, avec l'outil FWHMExentricity et tombe sur une valeur moyenne de 2.6" sur différentes nuits et objets, setup donc 103/700 + qhy en 2.4u (0.7" arcsec/pixel)... (un exemple ici sur un soir de seeing donné pour 1.9" chez moi, en drizzle donc à 0.35"/pixel, fwhm estimée par pix à 2.5") Autrement dit, les mesures fournies par le constructeur indiqueraient au mieux 3.4" en fwhm... Je me dis donc que je n'ai RIEN compris (une fois de plus) et/ou que je fais un calcul merdique qq part avec mauvais raccourcis... Si les "sachants" sont par là...suis preneur....
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Cela faisait plusieurs semaines que je lorgnais (sans jeux de mots) une lunette de fabrication anglaise sur l'Ebay U.K. qui m'intriguais avec son système à "cardans" et réglage en déclinaison à crémaillère, après quelques contacts avec le vendeur, j'ai décidé de l'acheter et je dois dire que je ne suis pas déçu, déjà l'état est excellent, mis à part la lentille d'objectif qui était quelque peu poussiéreuse depuis plus de 140 ans...Je l'ai nettoyé délicatement avec du Purosol. La fabrication est superbe, solide, rien à dire, et il y a un jeu de 3 oculaires + deux filtres solaires anciens, un redresseur terrestre inclut dans le tube allonge. Les images sont renversées, comme pour toute lunette astronomique, lorsque je n'utilise pas le redresseur. Concernant la focale, elle est variable, 840 utile concernant les observations aux oculaires astronomiques, 1200 utile avec le redresseur terrestre. La molette de MAP est en état parfait, c'est un plaisir de pouvoir faire des MAP rapidement. Je constate que le coulant anglais du XIXe s. pour cette lunette est très proche du coulant standard américain actuel de 31,75 avec environ 31, 72, il suffit de peu pour adapter un oculaire contemporain ! La stabilité de la lunette est totale, avec ce système de cardans et de réglage de la déclinaison avec molette à crémaillère, c'est d'un grand confort, idéal pour la digiscopie, cela bouge pas pas du tout. Le pied massif en laiton et sa colonne tout aussi massive, assure un équilibre parfait. Par son format, ce petit réfracteur britannique se rapproche de la lunette française des écoles voulue par Camille Flammarion, un bon instrument d'initiation, ce type de lunette se nomme selon les qualifications que j'ai pu rencontrer ici et là dans la documentation ancienne : "lunette de table", "lunette de bibliothèque", "lunette des écoles", "lunette de voyage" et même "lunette à pied court", toute caractérisée par un objectif qui tourne autour de 55 mm et un pied court tripode en laiton ou en bois. Concernant le "suivi" d'un astre avec cet instrument sur monture "de table" azimutale, cela me rappelle celui de ma Perl Vixen Halley 70, c'est très proche, et franchement confortable. Une fois dans l'oculaire, il suffit d'un petit réglage en déclinaison et un tout petit mouvement d'un des cardans pour recentrer le corps céleste observé. Enfin la qualité d'objectif, qui est un doublet achromatique, est correcte sans être excellente comme pour ma grande Grégoire, pour cette taille et cette époque, c'est vraiment pas mal du tout. J'attends de tester en planétaire, notamment Jupiter et Saturne, et bien sur la Lune. Elle en a quand même sous le tube, regardez le pouvoir grossissant d'un oculaire avec un immeuble au loin dont la distance est d'environ 1000 m , et une mouche sur une feuille située sur un arbre à environ 30 mètres de chez moi. Hier soir j'ai tenté une photo de Capella en digiscopie, et j'ai cherché sans succès le double amas de Persée, le temps s'étant hélas rapidement voilé, puis couvert de nuages... Des débuts prometteurs pour ce petit réfracteur d'appoint et de voyage, dont l'esthétique est sympa. Amitiés astro. Jonathan LES PHOTOS SUIVENTS : IMG_3007.mp4 Et quelques photos d'une première observations, avec Capella, et quelques étoiles éparses...
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Hello les astros, A cette heure et vu la metéo dans la partie nord de la France, ca doit pointer, focaliser etc .... Je suis en train de faire M63 mais quand je la pointe j'ai une position à coté à chaque objet pointé ! Est ce que cela vient du Polar Alignment ? Je suis à 50"d'erreur global mais avec un bon suivi quand même , voir courbe !
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Bonjour, je compte m'équiper d'une ASKAR 94-EDPH et d'une ASI2600MC (ou équivalente). L'échantillonnage calculé donne 1.86 arc/pixel (206*3.75/414). Pour un ciel moyen en France, ça me semble aller. Les experts peuvent-ils me le confirmer ?
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Bonjour à tous, Je souhaiterai essayer ma camera planétaire ASI462MC en autoguidage à la place de ma DMK41 mais sur PHD2 un fois connectée, je n'ai pas accès aux paramètres de la caméra (pour modifier le temps de pose, gain, etc...) la case est grisée, Quelqu'un aurait une idée du pb ? Le pilote est bien installé et tout à l'air correct Merci, Manuel.
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Bonjour, Bon peut-être avez vous déjà eu ce genre de souci et que vous avez déjà plus travaillé le truc que moi. J'ai shooté en OIII 3nm hier la nébuleuse de la trompe d'éléphant avec la FRA600. je me retrouve avec des artefacts assez bizarres sur certaines étoiles brillante comme ça: ce qui est étrange c'est que ce n'est pas sur toutes les étoiles même si certaine sont de magnitude apparente équivalente j'ai l'impression que ça dépends de la couleurs de l'étoiles autre exemple: Bien entendu c'est visible sur tout les fichiers bruts sans prétraitement même si là c'est le stack de 4h de OIII. ce qui est étonnant c'est que j'ai shooter une autre nébuleuse proche les jours précédents et je n'ai aucun de ces artéfacts ... Aucun changement de setup hormis un angle caméra décalé de 10 ° pour le cadrage voici un exemple de l'autre cible avec même filtre et setup: Rien ne laisse soupçonner ce souci et rien avec le filtre HA de la veille. UNE CHOSE QUE J AI RETROUVER SUR LA LENTILLE C'EST UN PETIT PAPILLON MORT MAIS JE NE SAIS PAS SI IL ETAIT DIRETEMENET SUR LA LENTILLE ET DEPUIS QUAND IL EST LA ... possible que ça joue ? Setup: Filtre Antlia 3nm OIII 2" Caméra ZEUS-M ASKAR FRA600 Je re ferai un test de OIII ce soir sur 1 ou 2 shoot pour voir après avoir nettoyé la lentille Bon Ciel
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Salut à tous, on voit souvent le débat de l'utilisation des filtres type L-Pro et autre. Comme j'ai enfin eu des nuits claires et sasn trop de lune ni d'aurores, j'ai pu testé l'usage du L Pro (je l'ai depuis novembre et jamais testé !!) Donc comme je galérais sur M94, j'ai testé avec et sans. Voici 2 images avec en gros le même temps de pose cumulé (~5h) par pose de 30s en plein centre ville (Bortle 6-7) avec C8 à F/6.3 et altair 2600 Celle sans filtre, j'ai poussé un peu plus le ciel pour voir l'anneau mais quasi rien alors qu'avec le LPro, On commence à le voir. C'est sûr que ça ne vaut pas le ciel de campagne mais pour moi, sur ce genre d'objet, ça fait carrément le job 🙂 Sans filtre : Avec le Lpro
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Bonjour, Pour faire dans l'originalité en ce jour d'éclipse solaire totale, je viens ici vous poster quelques photographies Après un vol Paris-Houston, j'avais prévu (plan A) de me rendre a Uvalde à environ 500km à l'ouest de Houston. Au vu de la météo au Texas, le plan A a été abandonné et un plan B trouvé à l'arrache par un copain du club, à savoir Conway dans l'Arkansas, à 700 km de Houston Après un long trajet de nuit et en commençant la journée avec un gros deficit de sommeil, la meteo sur Conway est bonne, un léger voile de haute altitude, qui s'est montré très discret, se dissipant un peu avant la totalité. Le matériel: APN Canon 80D, objectif 70-300 utilisé à 300mm, filtre astro solar pour les phases partielles, suivi motorisé avec une StarAdventurer sur trépied photo léger. En vrac, sans traitement (autre que la conversion RAW vers JPEG et la reduction de 600x4000 à 1500x1000 pour réduire le poids des images) Vous noterez un gros lens flare (arc bleuté) sur certaines photos EDIT: ajout des informations sur l'heure de prise de vue et sur les paramètres d'exposition EDIT: ajout en fin de post de 3 nouvelles photos dont une avec détails sur les éruptions EDIT 2: ajout d'une animation video en fin de post EDIT 3: 20/04/2024: ajout de montages avec les différentes étapes de l'éclipse en fin de post UTC 18:50:56 ISO100, f/16, 1/100s UTC 18:51:04 ISO100, f/11, 1/25s UTC 18:51:05 ISO100, f/16, 1/400s UTC 18:51:08 ISO 100, f/8, 1/1600s UTC 18:51:28 ISO400, f/16, 1/2s UTC 18:53:10 ISO100, f/8, 1/15s UTC 18:54:40 ISO100, f/16, 1/4s UTC 18:54:44 ISO100, f16, 1/250s UTC 18:55:07 ISO100, f/16, 1/100s Une dernière photo, avec traitement, composition HDR de 6 poses allant de 1/250s à 1/2s Il y en a d'autres, mais cela attendra mon retour en France, maintenant les vacances commencent, je vais pouvoir rattraper le sommeil en retard... EDIT: ajout de 3 nouvelles photos dont une avec détails sur les éruptions UTC 18:51:01 ISO100, f/16, 1/200s @roger15 désolé pour le premier diamant, je n'ai pas mieux que celle ci dessous, il aurait fallu en prendre une autre (avec la même exposition) juste après, sauf que celles que j'ai prises après je visais les grains de Baily... UTC 18:54:58 ISO100, f8, 1/1000s crop de l'image ci dessus pour le détail des protubérances EDIT2: ajout d'une petite animation format GIF Attention: les proportions des durées de chaque phase ne sont pas respectées: - Ici on a 50 images pour chacune des phases partielles croissantes et décroissantes, et 25 images pour la totalité (donc la totalité semble faire 20% de la durée de l'animation). - Dans la réalité, chacune des phase partielle durait plus d'une heure et la phase de totalité seulement 3min56sec sur mon lieu d'observation (donc pas du tout 20% de l'observation totale) La video est un peu grosse, désolé pour ceux qui ont un faible débit internet. EDIT 3: quelques montages Bon ciel a tous, cordialement, Stéphane
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Hello les astros, On est bien d'accord, les heures de passage au méridien dans NINA/ Carte du ciel et Telescopius sont en GMT, il faut donc retrancher 2 heures ? Un doute m'habite !
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Après ces mois de disette, j'ai enfin réussi à faire qq images et n'étant pas inspiré, j'ai visé M106 (2 et 6 juin). Bon le 2, j'ai retrouvé l'ordi redémarré sans savoir pourquoi donc je n'ai eu qu'une heure mais hier soir OK. M106 c'est plsu idéal avec une fin de courte nuit de plus en plus basse dans la lumière urbaine Mais ce n'est pas mon pb : mes flats ne fonctionnent plus ! C'est sur le C8 à F/6.3 et altair 2600. Donc vignettage obligatoire mais qui partait plutôt correctement avant Je fais tout comme d'hab : flat sur le ciel avec T shirt blanc. J'ai essayé 40 puis 30%. J'ai laissé le parre buée cette fois. J'ai augmenté le nombre de 15 à 25 mais le vignetage ne part plus. J'utilise le script auto de Siril. Une fois le retrait de gradient fait, c'est juste horrible ! On voit un grand cercle autour car le vignettage est trop praisent après empilement. Je ne comprends pas 😭 Une brute (mode histogramme): Brute pré-traitée debayerisée La brute d'empilement en auto-ajustement (vignettage super visible) : Le master flat (histogramme)
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Salut à tous ! Voici mon problème et je suis persuadé que je ne dois pas être le seul... J'ai repris mes études il y a maintenant 1an et vous me voyez venir je n'ai plus le temps pour faire des acquisitions. Cependant, je souhaite continuer à pratiquer pendant les 2ans qu'il le restes notamment pour le traitement où je souhaite vraiment m'améliorer. Ma question est donc la suivante, connaissez vous des sources fiables où je peux récupérer des acquisitions pour m'amuser un peu à les traiter ? Je parle de fichiers déjà stackés pour éviter de télécharger de trop de données. Pour ma part je peux citer le google drive du Big Amateur Telescope du youtubeur Astrobiscuit auquel j'ai accès, mais le nombre de cible est limités. Tout les types de set-up peuvent m'intéresser le but étant simplement de m'amuser. Je me dis aussi qu'il doit bien y avoir des télescopes plus professionnels qui laisse accès à leurs donnée comme dans une université par exemple. N'hésitez donc pas à me donner quelques pistes si vous en avez ! Merci d'avance et bon ciel à tous ! Maxime
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Bonjour, Je viens de recevoir un nouvelle lunette Askar FRA400 que je vais associer avec une camera Zwo 2600 MC Pro et j'utilise un porte Filtre Zwo ( pour mettre des optolong L-extreme ou L-pro). J'ai acheté au même moment le réducteurs ASkar 0,7. Je peux donc normalement utiliser la lunette de deux manières : avec ou sans réducteur. Viens à ce moment la question du backfocus et comment le mettre en place Commençons par le setup le plus simple : Avec le reducteur. La Doc indique que le bac focus doit être de 55MM Je dispose : de deux bagues obtenue avec la camera Zwo ( une de 21mm et l'autre de 16.5 mm). Du porte filtre qui fait 21 mm des 17,5 mm de retrait du capteur dans la camera . Donc si je prends la bague de 16.5 mm + le filtre de 21mm + les 17.5 mm de retrait du capteur => Total = 55 mm précisement ! Super..... Un setup de fait. Par contre, pour l'autre setup ( sans reducteur ) , je disposse en plus d'un cone qui fait 63.5 mm et d'une petite bague adaptatrice de 5mm => Total 68.5 MM Donc si je prends les deux bagues de 16,5 mm et 21 mm + le porte filtre de 21 mm + les 17,5 mm de retrait du capteur + les 68.5 mm du cone, j'arrive à un total de 144.5 mm. J'ai 4.5 mm de trop. Je me trompe dans mon raisonnement ? Il y a bien trop de back focus ? Maintenant en lisant la doc, il mentionne " Askar has a backfocus of 140mm, no need to measuring the distance, when attach your photographic equipment, you will see an in-focus image." Que veulent-il dire par là ? Que je ne dois pas mettre les bagues mais juste le cone et le porte filtre comme sur l'image ci-dessous ? J'avoue que je suis perdu. Et lorsque je cherche sur internet, je trouve des setup comme celui-ci sur laquelle le cone est connecté directement au porte-filtre qui lui-même est connecté à la camera. Donc un backfocus largement inférieur à 140 mm. Qui peux m'aider à y voir clair ? Merci d'avance. Emmanuel.
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Bonjour, Existe-t-il un équivalent en français du livre "Handbook of Astronomical Image Processing" de Richard Berry et James Burnell ? Par avance, merci.
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Salut, Je viens de me poser une question pour les flats qd on met un pare buée. Vous laissez le pare buée (qui prolonge le tube et peut être un peu le vignettage ou non? Perso, je fais sans le pare buée qui est un peu souple mais je trouve qu'avec le C8 à F/6.3, il me reste souvent du vignettage bien visible et même en refaisant mes flats. Donc j'ai un doute tout d'un coup et après plusieurs années sans me poser de question ! 😛 Merci pour les retours Sam
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Bonjour à tous ! Je sollicite votre aide pour paramétrer NINA. Tout d'abord, mon setup. J'utilise une EQM-35 goto, un APN (pentax k-70) et l'autoguidage via une 178mc. La connexion de la monture se passe sans problème, tout comme pour le guidage. Ma problématique se pose au niveau de l'imageur. Vu que mon APN n'est pas reconnu (problématique lié à PENTAX) j'utilise la simulation de caméra de NINA. Dans la partie acquisition de NINA, je peux bien choisir le temps de pose. Par contre, dans la partie séquenceur, impossible de changer les temps de pose Du coup, quand je lance ma séquence, ben au bout d'une seconde, la monture va se parquer (logique, c'est ce que je lui demande) J'avoue donc être un peu perdu. Les tuto que je trouve sur NINA utilise tous des caméras astro ou des APN reconnus. Mon objectif principal n'est pas forcement de faire un séquence multicibles (quoique, pourquoi pas si tout fonctionne), mais plutôt de pouvoir complétement gérer la monture, notamment la partie retournement au méridien et reprise de l'autoguidage. Je vous remercie pour votre aide !!
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Bonjour, Je suis sous Linux, et ne souhaite absolument pas polluer ma config avec du wine. Pas vraiment une suite, puisque la dernière fois cela concernait des photos de CP, tandis que là il s'agit de planétaire. Mais cela part toujours du même problème initial : je me retrouve avec un nombre astronomique de fichiers à traiter, et je souhaite éliminer les moins bons dès le départ de manière assistée à défaut d'être automatique. Dans le cas présent, j'ai quatorze-mille-cinq-cent-quatre-vint-neuf photos de la lune, issues d'une séquence au cours de laquelle de fins nuages sont venus jouer les trouble-fête. En admettant que je sois suffisamment rapide pour ne passer que cinq secondes sur chacune, il me faudrait plus d'une vingtaine d'heures pour les trier. Sans rien faire d'autre - vingt heures, quinze minutes et quarante-cinq secondes, sauf erreur . Comment faire pour réduire ce délai à une valeur beaucoup plus raisonnable ? Et, surtout, fiable. Merci d'avance, Et bonne fête à toutes les mamans.
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Bonjour a tous Jai pour projet dimager pas mal de galaxies avec mon filtre L pro. (Et Une caméra couleur) J'aimerais en plus pour une même cible, shooter avec un L extrême pour ajouter à ma composition RVB une couche ha, pour mettre en valeur toutes les nébuleuses dans ces galaxies. Le tout sous Siril. Avez vous des liens ou tutos, vidéos, qui explique la marche à suivre ? J'ai vu pas mal de vidéos sur pixinsight,mais pas sûr siril. Merci a vous !
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Bonjour et pardon si ce sujet a déjà été traité, mais il est difficile de tout regarder dans un forum aussi copieux… J'ai téléchargé Siril sur mon Mac OS Sonoma et j'ai une interface sur laquelle je ne parviens pas à trouver l'onglet Sripts, totalement absent. Voir copie d'écran ci-jointe. Quelqu'un pourrait m'éclairer et, si c'est possible, m'indiquer comment le faire apparaître ? J'ai bien un sous-menu "Scripts" dans le menu "Préférences", mais il ne me permet pas d'écrire des scripts qui sont indispensables pour certaines fonctionnalités. Merc de vos réponses.