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Convertir des hypothèses en équations


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Relativiste est passé en plongée périscopique.

En attendant qu’il refasse surface j’ai un peu pris sa place dans le rôle du béotien de service.

 

Je continue donc. J’essaie de comprendre sa déclaration d’ouverture :

Petit topic pour faire partager vos méthodes de transformation d'hypothèses concrètes en équations et dérivés

 

J’oppose un peu hypothèse à concrète.

Mais soit, je me dis qu’il a peut-être pensé à : « comportement constaté », ou bien « lien de cause à effet constaté », ou même « mécanisme dont on veut analyser finement les performances », etc.

A transformer en équations et dérivées, c’est à-dire dont il faut trouver « le modèle mathématique, le jeu d’équations qui présente le même comportement, le même lien entre les éléments d’entrée et ceux de sortie».

 

Si c’est cela, je partage sa quête, car j’ai souvent besoin de modéliser dans le sens décrit ci-dessus. Je pourrais en donner des exemples ici.

 

- Parfois il m'est impossible de trouver le système d'équations appropriées.

- Quand je les trouve, il m'arrive de ne pas savoir les résoudre de façon analytique. Dans ce cas j’ai trouvé la parade. Je me suis écrit un programme force brute qui essaie toutes les combinaisons de variables et qui me trouvent les solutions du système. C’est bestial certes, mais la fin justifie les moyens.

Je n'ai pas Matlab (trop cher) mais un membre de ce forum ma suggéré Scilab pour le futur (gratuit; merci encore).

- Plus souvent, je trouve le système d’équations, je sais le résoudre d'une façon ou d'une autre, mais la difficulté que je ne sais pas surmonter est celle de trouver les coefficients corrects à rentrer dans les équations, les paramètres.

Il faudrait se livrer à de difficiles, longues , coûteuses, expérimentations pour les déterminer et cela m'est impossible....... et en tous cas bien moins plaisant que les exercices intellectuels précédents, consistant à noircir des feuilles de papier, le soir à la veillée, en sirotant devant la cheminée une bonne mirabelle comme lubrifiant à la réflexion.

Ce dernier point restera l'obstacle en béton très épais, j'en ai peur, et pas seulement un plafond de verre.

Modifié par SULREN
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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté (modifié)
Il me semble que les équations différentielles ne sont plus au programme de terminale S. En spé math peut être, mais ce n'est pas vraiment du niveau bac...

 

Ce n'est pas bac+5 non plus, plutôt bac+2

 

En effet, j'en ai parlé à ma professeur de Mathématiques qui m'a dite la même phrase que toi, les mathématiques différencielles ne sont plus au programme de T.S, il faut se spécialiser en mathématiques ou dans une science en général pour y avoir accès.

 

Question hors-sujet : Dans mon collège une rumeures persiste à dire que l'Histoire des Arts ne sera plus au programme du Brevet pour nous l'année prochaine et sera remplacé par un tirage au sort entre :

 

- SVT & Technologie

- Physique & Technologie

 

Je touche du bois pour tomber sur la Physique.

Je trouve d'ailleurs ce changement assez inutile, autant ne rajouter que SVT & Physique sans ne rien changer, la Technologie dans son coin et tout le monde sera heureux. ;)

 

Comme dit par les intervenants, c'est du programme de terminale S.

Tu vois déjà la différence qu'il peut y avoir entre la 4ème, et la terminale S (soit 4 ans d'études).

 

Dis-toi qu'entre le bac et le bac+5, il y a 5 ans d'écart, et une très grosse accélération dans le programme.

Disons qu’à mon époque, on faisait ce que l’on appelle les équations linéaires homogènes du second degré, et on faisait même du non-homogène (ça veut dire avec second membre, en cherchant la solution homogène et en cherchant une solution particulière pour le non-homogène).

Ca reste encore facile  parce que les équadiffs, ce n’est pas juste un petit chapitre qu’on fait en Terminale, mais ça reste un pan énorme de l’analyse. Et il y a énormément de relations entre l’algèbre, la topologie, les suites, etc…

 

Nous commençons les équations en 4°, j'ai heureusement réalisé l'importance d'elles pour la suite mais au départ je pensais que l'apprentissage des équations s'arrêterais en Terminale, mais avec les Mathématiques Différencielles ça change tout, merci pour l'idée de l'énorme différence. :)

Modifié par Relativiste
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Attention, la différence entre bac-5 et bac et la différence entre bac et bac+5 n'ont rien à voir. Quelqu'un qui étudie la physique en bac+5 ne fait presque que ça de la semaine, au lieu de 4h par semaines comme au lycée, et à un rythme bien plus rapide puisqu'il y a eu une sélection.

 

Pour ma part j'ai fait des études de maths, eh bien j'affirme que ce que j'ai appris en maths lors de la terminale C (qui correspond en gros à bac+1 aujourd'hui) était nettement plus vaste que tous les maths que j'avais vues avant. Or en 1ère année de fac, j'ai fait nettement plus de maths qu'en terminale C, et idem en 2ème année de fac. Puis il y a eu la 3ème année, où on ne faisait que des maths (avant on voyait un peu de physique-chimie) et où le rythme était encore plus rapide (chaque année le niveau augmente puisqu'il y a une sélection par l'examen). J'imagine que c'est pareil si on étudie la physique.

 

En gros, je pense n'être pas loin si j'estime que les connaissances acquises entre bac et bac+5 sont mille fois plus vastes qu'entre bac-5 et bac.

 

Concernant les équations, si on continue de les voir après la terminale, ce n'est pas seulement pour les équations différentielles. En 3ème on apprend à résoudre des systèmes 2x2 (2 équations à 2 inconnues), au lycée on passe aux 3x3 (3 équations à 3 inconnues). Après le bac (généralement en bac+1) on voit la théorie des systèmes nxn (n quelconque) ainsi que la méthode du pivot qui permet de les résoudre rapidement à la main (en se limitant à n=3 ou 4). La théorie des déterminants (généralement en bac+2) permet d'aller encore un peu plus loin dans l'étude théorique. Mais ce n'est toujours pas fini : si on se spécialise en maths appliquées, on voit ensuite (à partir de bac+3) les méthodes de résolution numériques : comment programmer un ordinateur pour qu'il résolve un système de 1250 équations à 1250 inconnues ? Ou de n équations à n inconnues, n étant quelconque ? Il existe des méthodes générales, qui marchent dans le cas général, et des méthodes astucieuses qui marchent mieux, mais uniquement dans des cas particuliers. Il y a tout un pan des maths qui s'intéresse à ce sujet (l'analyse numérique matricielle).

 

Toujours concernant les équations, il y a un domaine qu'on appelle la recherche opérationnelle qui revient en gros à résoudre des systèmes d'équations. On voit ça en général en bac+4 ou bac+5 (si on se spécialise en maths appliquées). Je me souviens avoir eu un cours où on utilisait la méthode du pivot, mais le prof nous avait parlé du fameux algorithme de Karmarkar, plus rapide mais tenu secret à cause d'un brevet (voir page Wikipédia ─ j'apprends que le brevet a expiré en 2006). Je raconte ça pour dire que l'étude des équations ne s'arrête pas à bac+5 puisque ça peut même concerner la recherche (Karmarkar, c'est récent) : on ne sait encore pas tout...

Modifié par 'Bruno
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les mathématiques différencielles ne sont plus au programme de T.S, il faut se spécialiser en mathématiques ou dans une science en général pour y avoir accès.

 

:b: Même en S spé maths il n'y a plus les intégrales ?

La différence entre Lycée et supérieur s'accroit encore dans ce cas...

 

Comme les profs disent parfois en arrivant en sup : "Au lycée vous avez appris à compter... maintenant, on va faire des mathématiques !".

 

Ca résume assez bien la réalité en fait ;)

 

jb

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mais avec les Mathématiques Différencielles ça change tout, merci pour l'idée de l'énorme différence. :)
Sinon ça s'écrit différentielle, avec un t.

 

Quand j’étais jeune (10-11 ans) j’étais naïf comme toi, je me demandais ce que pouvaient apprendre les étudiants en maths sup math spé, vu que je connaissais les 4 opérations élémentaires. Connaissant la réputation de ces classes, je me suis dit que ça devait juste être apprendre la table de 11 de 12 etc…

 

Qu’est-ce que j’étais naïf à l’époque. A 12 ou 13 ans, j’ai tanné mon père pour qu’il m’achète une calculatrice scientifique (à l’époque il y avait un interdiscount dans mon hypermarché), c’était une TI-30x qui coûtait 30 francs (4.5€ ah la la la), il y avait une soixantaine de fonctions… c’était l’extase à l’époque (pour moi en tout cas, je n’étais pas au courant qu’il y avait des calculatrice programmable, et/ou graphique).

 

TI-30X_RCI0495.jpg

Elle est belle, avec son étui (qui ne clipsait plus parce que je la mettais dans mon sac qui appuyait dessus quand c'était chargé), et ça calculait 10 chiffres significatis (en fait 12 en caché je crois on pouvais le voir en tapant pi-3.141592653, oui j'avais appris par coeur les 10 premières décimales de pi, ainsi que de e).

 

Bon maintenant, il y a même des calculatrices qui font du calcul exact... il y a même plus de plaisir quand on utilise une TI-89 pour calculer la limite de la série entière 1/n²... alors que j'ai appris à le faire seulement en spé avec les transformées de Fourrier j'ai eu... un vertige à ce moment là.

 

Une fois achetée, j’ai commencé à dévorer la notice, j’ai vu qu’il y avait des fonctions un peu obscure (la trigo), assorti de deux touches (inv et hyp pour les fonctions inverses et la trio hyperbolique) et puis tout un tas de trucs sur les angles, la notation scientifique ingénieur… les combinatoires, log exponentielle etc…

J’ai mis un bout de temps à comprendre le tout (bien 1 an, en parcourant le livre de 4ème et 3ème où il y avait un peu de trigo dans le triangle rectangle). Et il y avait un livre acheté par mon père, une sorte de rappelle des connaissances de lycée, et collège sur la trigo dans le triangle rectangle et dans le cercle. Je l’ai également dévoré.

 

A 14 ans j’ai eu accès à la section adulte de la bibliothèque, et j’avais décidé de ne plus prendre de BD ni d’aller au 4ème étage à la section jeunesse (c’était la bibliothèque municipale dans le XIIIème à Paris). J’ai alors parcouru le rayon mathématique, et je suis tombé sur ce livre :

 

https://www.amazon.fr/THEORIE-APPLICATIONS-CALCUL-DIFFERENTIEL-INTEGRAL/dp/B005CXVGDA

 

(oui oui, c’était la vieille couverture rouge).

 

Les nouvelles couvertures sont mieux :

2704212759.01.LZZZZZZZ.jpg

 

Donc en 3ème, je me suis amusé à faire tout seul tous les exos de ce bouquin, pour mieux appréhender le calcul différentiel.

Après… est-ce que je comprenais vraiment ce que je faisais ? ben… avec les exos corrigés je pouvais contrôler que je savais appliquer ce que disait le cours, mais est-ce que je comprenais vraiment ?? Et ben… c’est seulement un peu plus tard que j’ai eu ce recul (en 1ère quand on a commencé à aborder les notions de limites, dérivées, et la définition précise de Weierstrass).

Déjà, ça m’avait remis en place, mais ça m’a surtout hyper intéressé (super dur de s’attaquer à ça, sans savoir qu’il y a des applications).

 

Et puis je regardais aussi les autres bouquins à côté, tout gris qui existaient en plusieurs tomes :

 

Bourbaki-1034470516_L.jpg

Mais ceux-là… j’ai pas pu les lire… trop trop aride ;-)

 

Ce bouquin de cours m’a bien plu, à l’américaine, avec des exos corrigés et des démonstrations de cours. Si tu te sens le courage… tu peux tenter de le feuilleter à la bibliothèque.

 

Et puis mon prof de physique en parallèle me prêtait des livres à lui. Alors je me rappelle plus des titres, mais c’était des livres russes de vulgarisation… peut-être que les anciens du forum les connaissent aussi, je crois que c’était les éditions Mir, en plusieurs tomes (3 ou 4, j’ai fait une recherche sur internet, j’arrive pas à me rappeler des couvertures).

Modifié par bongibong
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Comme disait aussi mon prof de maths: "il y a trois types d"élèves : ceux qui savent compter et les autres..." ! :D
Moi je connaissais la version : dans le monde, il y a 10 types de personnes, ceux qu comprennent le binaire, et les autres.

Je l'ai sorti à un informaticien, et il m'a dit : "c'est quoi les 9 autres?" :be:

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y = ax + b , c'est toujours valable ?
Quand même, je me rappelle qu'au brevet, ou en préparation pour le brevet, on nous demandait :

Au ciné, j'ai deux formules :

- la place à tant d'euros

- la place à tant d'euros si on prend un abonnement de tant par mois

A partir de combien de places la deuxième formule devient rentable ?

 

En 3ème on avait toujours une question :

- Développer et réduire l'expression de A (une équation du second degré)

- Factoriser A

- Résoudre A=0

 

Après on avait un problème... et une représentation graphique à tracer ? et peut-être un problème de géométrie ?

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Moi je connaissais la version : dans le monde, il y a 10 types de personnes, ceux qu comprennent le binaire, et les autres.

Je l'ai sorti à un informaticien, et il m'a dit : "c'est quoi les 9 autres?" :be:

En réalité, il y a 10 types de personnes, celles qui comprennent le binaire, celles qui ne comprennent pas le binaire,et celles qui comprennent le code de Gray.

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Donc en 3ème, je me suis amusé à faire tout seul tous les exos de ce bouquin, pour mieux appréhender le calcul différentiel.

 

Respect ! :)

 

Perso j'ai toujours préféré la physique aux maths... je ne recommande pas, ça conduit à des impasses par la suite ! :)

 

Tant qu'on en est à recommander des livres, je recommande celui-ci, que je me souviens avoir dévoré et annoté pendant mes vacances d'été entre la 2de et la 1re :

 

41J6H4675RL._SX329_BO1,204,203,200_.jpg

 

Certains diront que c'est ridicule de prétendre comprendre la relativité sans utiliser les tenseurs (et ils auront surement raison), mais c'est un livre d'initiation qui constitue une bonne porte d'entrée !

 

jb

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J'ai eu d'excellents profs de math au collège et au Lycée. Ils m'ont appris à réfléchir et à être rigoureux. Et je me souviendrai toujours de ce que l'un d'eux me disait: un Mathématicien doit être fénéant ! Bien sûr, pas dans le sens de ne rien foutre mais de se simplifier la tâche.

 

Après le bac, il y a une partie des maths à laquelle je n'ai pas accroché: les groupes et tout ce qui tournait autour...

 

Et puis le jour de l'exam de traitement de signal numérique (Bac +4 ou 5, je ne me souviens plus...), 50% des points était sur "démontrer la formule de calcul de la densité spectrale de puissance d'une modulation numérique".... Une fomule qui tenait à elle seule sur 2 lignes, bourée d'intégrales triples... J'avais appris cette démonstration car, même si on ne me le redemenderait probablement jamais plus après mes études, son cheminement permettait de comprendre tout ce qui suivait sur les modulations numériques.

 

Moyenne de l'exam sur la section: moins de 6/20.... J'ai eu 20. C'est un jour parmi d'autres où je me suis souvenu d'un autre merveilleux conseil de mes profs de secondaire: "N'apprends pas quelque chose par coeur en math, comprend le."

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Bonjour,

 

Bongibong a écrit :

Et puis mon prof de physique en parallèle me prêtait des livres à lui. Alors je me rappelle plus des titres, mais c’était des livres russes de vulgarisation… peut-être que les anciens du forum les connaissent aussi, je crois que c’était les éditions Mir, en plusieurs tomes (3 ou 4, j’ai fait une recherche sur internet, j’arrive pas à me rappeler des couvertures).

 

Je dois être un ancien, parce que je travaillais beaucoup avec les bouquins russes des éditions MIR, très bien traduits en français.

On en voit une ribanbelle ici sur un des rayons de ma bibliothèque technique/scientifique (à droite en haut) et quelques uns sur le rayon au-dessous, juste à droite de Sancho Panza. Sur beaucoup j'ai laissé la feuille de protection de la couverture. Cette dernière est en général noire, quelquefois beige.

Ils sont d’une grande qualité, tant en contenu qu’en présentation. Pour des livres reliés ils ne coûtaient vraiment pas cher. On pouvait les acheter « au kilo » chez Gibert. En fait c’était du dumping de la part des Russes.

 

P1070828%20D_zpsrgj8ziqc.jpg

 

Ils sont rédigés dans le même esprit que les bouquins scientifiques français, totalement différent de celui des bouquins américains de la série SCHAUM Editions Mc Graw-Hill que j’utilisais aussi beaucoup (à gauche sur le rayon du haut).

 

Pour bien saisir les fondements théoriques, bénéficier de démonstrations complètes, je prenais le MIR (ou un auteur français) mais pour savoir appliquer et calculer un résultat numérique, je prenais le SCHAUM. Ce dernier se contentait souvent d'énoncer les théorèmes sans les justifier et passait vite à leur application,.... avec de nombreux exercices corrigés.

En sortant du MIR « Mécanique des fluides » j’avais bien compris la théorie des écoulements, mais pour calculer le débit d’eau dans un canal ouvert pour une pente donnée, seul le SCHAUM m’était utile.

 

Mais il s'agissait là de sciences appliquées, pas de physique théorique. :)

Modifié par SULREN
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Bonjour,

 

Bongibong a écrit :

 

 

Je dois être un ancien, parce que je travaillais beaucoup avec les bouquins russes des éditions MIR, très bien traduits en français.

On en voit une ribanbelle ici sur un des rayons de ma bibliothèque technique/scientifique (à droite en haut) et quelques uns sur le rayon au-dessous, juste à droite de Sancho Panza. Sur beaucoup j'ai laissé la feuille de protection de la couverture. Cette dernière est en général noire, quelquefois beige.

Trouvé :

la-physique-a-la-portee-de-tous-livre-1-corps-physiques-collection-science-pour-tous-traduit-du-russe-par-charles-bir-a-karvovski-de-lev-davidovitch-landau-alexandre-isaakovitch-kitaigorodski-1039029839_L.jpg

 

la-physique-a-la-portee-de-tous-livre-2-molecules-traduit-du-russe-par-ch-bir-alexandre-karvovski-en-1984-de-lev-davidovich-landau-aleksandr-isaakovitch-kitaigorodski-942009868_L.jpg

 

(c'était en 3ème), il m'avait mis sur mon bulletin : 19.7 de moyenne, élève d'une exceptionnelle culture.

Je me rappelle aussi l'année de 3ème où la prof de bio qui posait tout le temps des questions pour faire participer les élèves, moi je répondais tout le temps, et elle m'a demandé : "T'es un redoublant non ?". Et puis un autre jour "T'es sûr que t'es pas un redoublant ?" ben j'étais dans le même collège l'année d'avant. Après elle a demandé aux autres profs, et mon prof de physique qui m'a fait un retour avec un grand sourir "Non seulement tu réponds à toutes les questions dans ma matière, mais apparemment c'est également le cas en maths et en biologie".

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Ceux là, je ne les connaissais pas....... et je ne les avais pas cherchés non plus.

Je ne savais pas que les éditions MIR avaient aussi une série "Pour Les Nuls".

 

Je ne connaissais que leur série: "Pour Les Normaux", celle à bûcher laborieusement.

 

Peut être avaient ils aussi une série: "Pour Les Tronches"....que je n'ai pas cherchée non plus.....car elle m'aurait certainement dépassé, celle où le calcul tensoriel démarre dès la première page.

Modifié par SULREN
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Certains diront que c'est ridicule de prétendre comprendre la relativité sans utiliser les tenseurs (et ils auront surement raison), mais c'est un livre d'initiation qui constitue une bonne porte d'entrée !
Ben on peut très bien comprendre la relativité restreinte sans les tenseurs, d’ailleurs historiquement c’est comme ça que ça a été introduit, et c’est comme ça que l’on prend un cours d’introduction.

Mais je t’avoue que le formalisme tensorielle, c’est tellement plus simple… je me rappelle jamais comment écrire les équations de transformation des champs (électrique et magnétique), un coup c’est E parallèle, un coup c’est E perpendiculaire, je me rappelle jamais si c’est pareil avec B parallèle ou si c’est l’inverse. Par contre en formalisme tensorielle (merci Minkowski), et bien… trop simple, il faut juste se rappeler de comment écrire le tenseur électromagnétique.

Après… en RG, faut vraiment comprendre la géométrie Riemanienne (mais bon… ça c’est si on veut comprendre d’où viennent les équations, et c’est là qu’on voit vraiment la beauté de la RG, le parallèle entre le : localement l’espace-temps est plat / les notions de variétés, référentiel en chute libre / espace tangent etc…).

Modifié par bongibong
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Tiens un truc à la porté de Relativiste, il n'y a à manipuler que les 4 opérations, pas besoin de tenseurs, de Clifford ou de conjuguée hermitienne !

 

On prend deux photos de la Lune au même moment avec le même objectif (même focale) mais deux appareils photos différents, l'un par exemple avec un capteur d'une certaine taille, et l'autre avec un capteur de taille différente. Evidemment les nombres de photosites seront différents de même que leurs dimensions sur les deux capteurs.

 

Et bien si on imprime les deux photos chacune couvrant toute une feuille A4, les diamètres de la Lune seront différents, alors que la focale était pourtant la même !

 

Et si on regarde les images brutes à pleine résolution sur l'écran (1 pixel de la photo = 1 pixel à l'écran) et bien là encore les diamètres de la Lune seront différents, mais en plus le rapport des deux diamètres sera différent du rapport des diamètres imprimés sur les feuilles A4...

 

La théorie tient dans l'échantillonnage et le ratio d'aspect entre les capteurs. Reste à mettre ça en équation. Je te laisse faire, Relativiste ;)

Modifié par Fred_76
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Tiens un truc à la porté de Relativiste, il n'y a à manipuler que les 4 opérations, pas besoin de tenseurs, de Clifford ou de conjuguée hermitienne !

 

On prend deux photos de la Lune au même moment avec le même objectif (même focale) mais deux appareils photos différents, l'un par exemple avec un capteur d'une certaine taille, et l'autre avec un capteur de taille différente. Evidemment les nombres de photosites seront différents de même que leurs dimensions sur les deux capteurs.

 

Et bien si on imprime les deux photos chacune couvrant toute une feuille A4, les diamètres de la Lune seront différents, alors que la focale était pourtant la même !

 

Et si on regarde les images brutes à pleine résolution sur l'écran (1 pixel de la photo = 1 pixel à l'écran) et bien là encore les diamètres de la Lune seront différents, mais en plus le rapport des deux diamètres sera différent du rapport des diamètres imprimés sur les feuilles A4...

 

La théorie tient dans l'échantillonnage et le ratio d'aspect entre les capteurs. Reste à mettre ça en équation. Je te laisse faire, Relativiste ;)

 

Mais, NON, NON et NON ! Tu ne vas quand même pas remettre ça ici :mad:. On t'a expliqué (sur l'autre post photo :"Question longueur focale sur différents APN") ton incompréhension et ton erreur d'interprétation, avec ton introduction inappropriée de la taille pixels et de l'échantillonnage... Tu fais une incompréhensible confusion :( entre deux phénomènes totalement dissociés ;).

 

Je te répète que le nombre et la taille des photosites n'ont rien à voir là-dedans. D'ailleurs, quelle serait ton analyse dans le cas des mêmes photos prises, cette fois, en argentique...? ;)

J'aimerais bien la connaître...

Modifié par Toutiet
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Posté (modifié)
Moi je connaissais la version : dans le monde, il y a 10 types de personnes, ceux qu comprennent le binaire, et les autres.

Je l'ai sorti à un informaticien, et il m'a dit : "c'est quoi les 9 autres?" :be:

 

Un classique, aussi dans la communauté on avait : "Le problème se situe entre l'ordinateur et la chaise" - Et là aussi il y avait deux types de personnes, celles qui comprenaient et les autres.

 

L'exemple type du stéréotype : "Je voudrais changer le monde, mais on ne me donne pas la source" - Les scripts-kiddies utilisent ça sur leur twitter avec pour fond de leur compte une "deface".

 

Par contre ton informaticien il a juste du ne pas comprendre sur le coup, personnellement je n'ai pas voulu apprendre le binaire pour une seule raison : Nous avons crées d'autres languages afin de "simplifier" la programmation pour ensuite traduire ce même language en binaire, donc autant ne pas rechuter dedans, c'est de plus bien trop compliqué. ;)

 

Ce n'est que mon avis, vous en pensez quoi ?

 

PS : Je n'avait pas un exellent niveau en programmation, un peu de Python (à partir du BATCH) et de Redcode, une miette de C et du HTML,CSS et PHP.

Donc je vais vite me faire devancer sur ce point, soyez indulgents. :)

 

Quand même, je me rappelle qu'au brevet, ou en préparation pour le brevet, on nous demandait :

Au ciné, j'ai deux formules :

- la place à tant d'euros

- la place à tant d'euros si on prend un abonnement de tant par mois

A partir de combien de places la deuxième formule devient rentable ?

 

En 3ème on avait toujours une question :

- Développer et réduire l'expression de A (une équation du second degré)

- Factoriser A

- Résoudre A=0

 

Après on avait un problème... et une représentation graphique à tracer ? et peut-être un problème de géométrie ?

 

J'appréhende les équations au second degrès, donc j'ai travaillé à fond le premier degrès et surtout comment mettre un problème en équation (l'inverse est sûrement possible à faire).

Modifié par Relativiste
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personnellement je n'ai pas voulu apprendre le binaire pour une seule raison : Nous avons crées d'autres languages afin de "simplifier" la programmation pour ensuite traduire ce même language en binaire, donc autant ne pas rechuter dedans, c'est de plus bien trop compliqué. ;)

 

Ce n'est que mon avis, vous en pensez quoi ?

 

Que c'est pas très malin... :confused:

 

D'une, ce n'est pas si compliqué que ça, et d'autre part tu ne pourras rien comprendre réellement sans connaître les bases.

 

 

Un classique, aussi dans la communauté on avait : "Le problème se situe entre l'ordinateur et la chaise" - Et là aussi il y avait deux types de personnes, celles qui comprenaient et les autres.

 

Mais de quelle communauté parles-tu ?

 

 

PS : Je n'avait pa un exellent niveau en programmation

 

Ben c'est normal, faut respecter le langage en question ! :p

 

J'arrête de te taquiner ! :)

 

jb

Modifié par Jean-Baptiste_Paris
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Que c'est pas très malin... :confused:

 

D'une c'est pas si compliqué que ça, et d'autre part tu ne pourra rien comprendre réellement sans connaître les bases.

(...)

Mais de quelle communauté parles-tu ?

(...)

Ben c'est normal, faut respecter le langage en question ! :p

(...)

J'arrête de te taquiner ! :)

 

jb

 

J'aurais du m'y interresser en effet, mais j'étais déjà sur le Python il me semble, et j'allais commencer le C, mais je me suis lacé.

 

Quelle communauté ? Certains channels IRC et un ou deux forums, pas énorme comme expérience mais quasiment partout où je me suis allé je n'ai pas été déçu. ;)

 

Tu as eu une expérience particulière ? :rolleyes:

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Non non, c'est juste que la phrase "dans la communauté on avait..." ça fait un peu informaticien à la retraite qui raconte ses anecdotes... ;) Un moment ça m'a mis un doute, puis je me suis souvenu que tu es au collège...

 

Si tu es passionné d'informatique et d'astronomie, tu peux regarder ce qui a trait aux simulations informatiques en science (et évidemment plus particulièrement en astronomie), c'est passionnant.

Même si pour faire de bonnes simulations (et comprendre leur résultat), il faut comprendre les théories sous-jacentes (ou du moins avoir les bases de ce quoi il est question) ; mais il y a beaucoup d'aspects qui sont accessibles à ton niveau.

 

Un exemple fascinant : le fameux "millenium run" http://wwwmpa.mpa-garching.mpg.de/galform/press/.

 

jb

Modifié par Jean-Baptiste_Paris
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Mais, NON, NON et NON ! Tu ne vas quand même pas remettre ça ici :mad:. On t'a expliqué (sur l'autre post photo :"Question longueur focale sur différents APN") ton incompréhension et ton erreur d'interprétation, avec ton introduction inappropriée de la taille pixels et de l'échantillonnage... Tu fais une incompréhensible confusion :( entre deux phénomènes totalement dissociés ;).

 

Je te répète que le nombre et la taille des photopiles n'ont rien à voir là-dedans. D'ailleurs, quelle serait ton analyse dans le cas des mêmes photos prises, cette fois, en argentique...? ;)

J'aimerais bien la connaître...

 

En argentique ? Ben c'est pas comparable, on ne parlait pas de "full".

 

Par contre on parlait de résolution en paires de traits par mm (pour un contraste donné), ce qui est similaire à la taille des photosites. On pourrait donc :

- soit faire des tirages des photos redimensionnées pour qu'elles remplissent la feuille, et dans ce cas, comme tu ne cesses de le répéter (et moi aussi, mais ça tu ne le lis pas), seule la taille de la pellicule compte

- soit faire des tirages pour que les images aient le même nombre de paires de traits au mm, et dans ce cas il n'y a que la résolution qui compte (comme tu refuses de le comprendre) - mais ça on ne le faisait pas, alors que c'est ce qu'on fait tous les jours en astrophoto numérique en regardant les images Full à l'écran...

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Posté (modifié)
Tiens un truc à la porté de Relativiste, il n'y a à manipuler que les 4 opérations, pas besoin de tenseurs, de Clifford ou de conjuguée hermitienne !

 

On prend deux photos de la Lune au même moment avec le même objectif (même focale) mais deux appareils photos différents, l'un par exemple avec un capteur d'une certaine taille, et l'autre avec un capteur de taille différente. Evidemment les nombres de photosites seront différents de même que leurs dimensions sur les deux capteurs.

 

Et bien si on imprime les deux photos chacune couvrant toute une feuille A4, les diamètres de la Lune seront différents, alors que la focale était pourtant la même !

 

Et si on regarde les images brutes à pleine résolution sur l'écran (1 pixel de la photo = 1 pixel à l'écran) et bien là encore les diamètres de la Lune seront différents, mais en plus le rapport des deux diamètres sera différent du rapport des diamètres imprimés sur les feuilles A4...

 

La théorie tient dans l'échantillonnage et le ratio d'aspect entre les capteurs. Reste à mettre ça en équation. Je te laisse faire, Relativiste ;)

 

Pas trop compris désolé. :?:

 

Non non, c'est juste que la phrase "dans la communauté on avait..." ça fait un peu informaticien à la retraite qui raconte ses anecdotes... ;) Un moment ça m'a mis un doute, puis je me suis souvenu que tu es au collège...

 

Si tu es passionné d'informatique et d'astronomie, tu peux regarder ce qui a trait aux simulations informatiques en science (et évidemment plus particulièrement en astronomie), c'est passionnant.

Même si pour faire de bonnes simulations (et comprendre leur résultat), il faut comprendre les théories sous-jacentes (ou du moins avoir les bases de ce quoi il est question) ; mais il y a beaucoup d'aspects qui sont accessibles à ton niveau.

 

Un exemple fascinant : le fameux "millenium run" http://wwwmpa.mpa-garching.mpg.de/galform/press/.

 

jb

 

Plus d'informatique, mais avec la programmation l'astronomie à accès aux algorithmes donc beaucoup plus rapide, je suis vraiment heureux d'être né à cette époque et si j'aurais pu choisir je n'aurais rien changé. :)

Modifié par Relativiste
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:b: Même en S spé maths il n'y a plus les intégrales ?

La différence entre Lycée et supérieur s'accroit encore dans ce cas...

En fait, les intégrales sont toujours au programme de terminale S (la spé maths n'a rien à voir, c'est juste 2h de plus pour aborder des trucs un peu annexes, par exemple on apprend des rudiments de cryptage en utilisant de l'arithmétique, c'est de la culture générale sans utilité pour la poursuite des études ─ c'est ce que je pense), mais juste la définition (aire sous la courbe) et le fait que pour calculer une intégrale, on fait la différence des primitives. Plus aucune technique de calcul d'intégrales n'est au programme : ni la reconnaissance d'une forme f'(g)g', ni la méthode par parties.

 

Mais ce qui a disparu d'important dans le calcul différentiel (je trouve), ce sont les équations différentielles. C'était important pour faire le pont entre maths et physique (autrefois, avec les circuits RLC, on devait résoudre une équation différentielle pour obtenir des oscillations amorties ; en chute des corps on tombait sur une équation différentielle en cas de frottement).

 

Maintenant, il ne faut pas en déduire que l'écart entre lycée et supérieur va se creuser, puisque les changements de programme se répercutent. Ainsi, en 1ère année de prépa, on n'étudie plus les courbes paramétrées (incroyable mais vrai) ni les coniques. En calcul intégral, on voit les méthodes d'intégration par parties, et on apprend à reconnaître des f'(g)g'. Du coup les intégrales impropres sont remises à la 2è année. (Ça n'empêche pas d'enseigner la loi normale, construire sur les intégrales impropres, dès la terminale...)

Modifié par 'Bruno
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C'est un jour parmi d'autres où je me suis souvenu d'un autre merveilleux conseil de mes profs de secondaire: "N'apprends pas quelque chose par coeur en math, comprend le."

Je crois que si on ne devait donner qu'un seul conseil, ce serait celui-ci.

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En argentique ? Ben c'est pas comparable, on ne parlait pas de "full".

 

Par contre on parlait de résolution en paires de traits par mm (pour un contraste donné), ce qui est similaire à la taille des photosites. On pourrait donc :

- soit faire des tirages des photos redimensionnées pour qu'elles remplissent la feuille, et dans ce cas, comme tu ne cesses de le répéter (et moi aussi, mais ça tu ne le lis pas), seule la taille de la pellicule compte

- soit faire des tirages pour que les images aient le même nombre de paires de traits au mm, et dans ce cas il n'y a que la résolution qui compte (comme tu refuses de le comprendre) - mais ça on ne le faisait pas, alors que c'est ce qu'on fait tous les jours en astrophoto numérique en regardant les images Full à l'écran...

 

Mais Fred_76, tu le fais exprès ou quoi...? On s'en fout de la résolution ou de l'échantillonnage dans la question posée initialement par Priux...!!!! Il aurait très bien pu la poser pour des photos prises en argentique, sans pixels ou photosites. Tu comprends ça ? Son problème est purement un problème géométrique, de champ, de proportionnalité ou d'homothétie... (rayer la mention inutile).

 

Ton analyse est d'un autre domaine et n'a rien à faire ici (même si elle peut être intéressante et ouvrir des horizons à certains). C'est du "second ordre" et ça ne peut qu'embrouiller ceux qui ont lu (et compris) la question initiale et qui voulaient une réponse simple, sans circonvolutions inutiles...

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personnellement je n'ai pas voulu apprendre le binaire pour une seule raison : Nous avons crées d'autres languages afin de "simplifier" la programmation pour ensuite traduire ce même language en binaire, donc autant ne pas rechuter dedans, c'est de plus bien trop compliqué. ;)
Je pense qu’il y a une grosse confusion. Le binaire, c’est juste le système de numérotation binaire, ça n’a rien à voir avec le langage machine, qui s’écrit en binaire, c’est-à-dire avec des suites de zéros et uns. Le système binaire, c’est comme le système décimal, un mode de représentation des nombres.
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