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Rosetta


pioneer6014

Votre avis sur les chances de succès de Rosetta ?  

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  1. 1. Votre avis sur les chances de succès de Rosetta ?

    • Ca va marcher, c'est sûr.
    • L'atterrisseur va probablement s'écraser sur la comète.
    • Les chances de succès sont très minces.
    • Ca n'a aucune chance de march
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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

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Dix ans que j'attends ce moment (cf la date de création de ce fil !^^), j'ai du mal à réaliser que nous y sommes presque !

 

Ça fait plaisir de voir qu'au long de toutes ces années, Webastro est toujours là pour partager cet événement entre passionnés. :)

 

Oui, chapeau pioneer pour l'ouverture de çe post il y a 10 ans !

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Voici un peu de lecture pour la nuit en vue de vous donner des informations supplémentaires sur le déroulement des opérations d'atterrissage. Certes, vous connaissez déjà les grandes lignes, mais si vous êtes assez attentifs, quelques détails utiles devraient vous interesser.

Je ne dévoile pas l'avenir, le suspens reste entier, retenez votre souffle...

 

Philae est un atterrisseur passif. Cela signifie qu'il ne dispose pas d'un système de navigation et de propulseur qui pourrait être utilisé pour le guider activement jusqu'au site d'atterrissage souhaité.

C'est un peu comme jeter une fléchette au centre rouge d'une cible. Cependant, Philae a quelques contraintes supplémentaires qu'un joueur de fléchettes n'aurait pas à subir: il doit être éjecté d'un orbiteur en mouvement, avec une vitesse prédéfinie telle qu'il atterrira avec une orientation verticale, à une vitesse d'environ 1 m/s sur le site d'atterrissage.

 

L'orbiteur Rosetta serait le joueur de fléchettes en orbite autour de la comète. La vitesse de libération de l'atterrisseur est fixé à 19 cm/s.

Ainsi, l'orbiteur doit être sur une trajectoire très spécifique pour la libération de l'atterrisseur, qui elle-même doit se produire à un moment bien défini, dans le temps et l'espace, avec une orientation bien précise.

Ceci est une tâche très délicate à réaliser pour l'orbiteur et nécessite une phase de préparation spéciale du côté de Rosetta.

 

Avant la libération, la roue inertielle de Philae est activée car elle est nécessaire pendant toute la descente afin de conserver constante l'orientation de l'axe de l'atterrisseur dans l'espace. Pendant la descente, l'axe principal de l'atterrisseur doit rester perpendiculaire par rapport à la surface du point nominal d'atterrissage. Une légère rotation de Philae autour de cet axe peut se produire lors de la descente, sans conséquences négatives.

 

Lorsque le point d'éjection sera atteint, l'atterrisseur sera séparé de l'orbiteur. Cette séparation de l'atterrisseur fonctionne grâce à un système d'entraînement . Dans le cas où le mécanisme ne fonctionnerait pas comme prévu, un mécanisme d'éjection à ressort sera activé. Si nécessaire, les deux mécanismes seraient activés automatiquement dans un intervalle de 30 secondes, tel que Philae s'échapperait de l'orbiteur dans cette fenêtre de temps, à la vitesse requise. Cependant, le premier actionneur doit impérativement être ouvert, car il fait lien entre l'atterrisseur et l'orbiteur.

 

Un certain temps avant l'éjection, le lander est déjà alimenté sur sa batterie interne et tous les systèmes de vie nécessaires sont en place ou en cours d'exécution. La phase de séparation sera une période très critique pour les ingénieurs MPS puisque ce sont eux qui sont responsables du bon fonctionnement du matériel de libération.

 

Avant même le largage, les deux parties de l'instrument CONSERT, sur l'orbiteur et sur ​​l'atterrisseur, sont déjà en intercommunication, dans le but de garder le contact pendant la descente de 7 heures, jusqu'à peu de temps avant l'atterrissage.

CONSERT doit recueillir des données scientifiques pendant la descente qui seront également utiles pour déterminer l'évolution de la distance entre les deux engins spatiaux, et donc, la trajectoire de descente de Philae.

 

Très peu de temps après la séparation de Philae, Rosetta devra pivoter dans l'espace et effectuer des manœuvres d'évitement puisque lors de la libération du lander, sa trajectoire va en direction de la comète. Cependant, Rosetta devra le faire de telle manière qu'elle puisse garder le contact de liaison radio avec l'atterrisseur.

 

Pour Philae, une fois situé à une distance de sécurité de la sonde, son train d'atterrissage est sorti de sa position de stockage dans laquelle il se trouvait depuis le lancement. Cette opération est donc aussi un moment crucial qui conditionnera la réussite de l'atterrissage.

 

De plus, l'antenne de CONSERT doit se déployer et le bras de ROMAP se mettre en position de mesure optimale.

Deux heures après leur libération, le Lander et l'orbiteur seront prêts à commencer un échange de données en liaison continue, interrompu seulement momentanément en raison de l'orientation particulière et des manœuvres de l'orbiteur pour la libération de l'atterrisseur.

Dès ce moment, l'équipe de contrôle au sol devrait être en mesure de suivre de près la façon dont l'atterrisseur effectue sa descente vers la surface - bien sûr avec un retard d'environ une demi-heure pour le temps que met le signal entre la comète et la Terre.

Avant ce moment, seul le signal de l'instrument CONSERT indiquera indirectement que le lander est «vivant».

 

Les quatre heures suivantes verront les opérations de descente avec quelques mesures scientifiques effectuées par CONSERT, Rolis, et ROMAP, ainsi que des mesures de calibrage pour MUPUS et SESAME. Celles-ci ne sont possibles que lors de la descente car elles nécessitent une vue dégagée dans espace pour MUPUS ainsi que la géométrie exacte du trépied d'atterrissage déployé pour SESAME.

 

Pendant la dernière heure de la descente, Philae se préparera pour l'atterrissage.

 

Tout d'abord, Philae doit être capable de détecter le contact avec la surface. Cela se fait grâce à la détection d'une décélération brutale de l'atterrisseur, ce ne sera pas tâche facile car le déclencheur tactile vers le bas devrait venir d'un mouvement du moteur du train d'atterrissage – exploité dans cette phase comme un générateur de courant - quand il sera poussé dans le corps de l'atterrisseur dès que le trépied d'atterrissage entrera en contact avec la surface.

 

L'atterrisseur porte également deux accéléromètres qui ont été installés pour détecter la touche à la surface.

Cependant, ces dispositifs ne peuvent pas être mis en marche, car la roue inertielle de l'atterrisseur «fait tant de bruit" que les accéléromètres seraient déclencher prématurément.

De ce fait, la séquence d'atterrissage le serait aussi pendant la descente et cela longtemps avant que la surface ne soit atteinte.

Ce défaut a été détecté pendant la phase de croisière de la mission, et après analyse, on a conclut que rien ne pouvait être fait à ce sujet, hors la désactivation des accéléromètres pendant la descente.

 

Il est très probable que la surface de contact se fasse la première fois par un des pieds du tripode d'atterrissage, puis le second, puis le troisième. Les pieds du trépied sont également pourvu de vis à glace qui devront percer le sol. Ces vis agissent comme une perceuse, fonctionnant grâce à l'énergie mécanique provenant du mouvement de toucher des jambes de l'atterrisseur. Elles aident à fixer l'atterrisseur au sol et également à empêcher le mouvement latéral de l'atterrisseur en cas de forte pente du sol.

 

Le signal de contact avec la surface par le train d'atterrissage déclenche l'ancrage de l'atterrisseur. L'ancrage est nécessaire étant donné que la gravité de la comète est si faible que le Lander pourrait rebondir dans l'espace. En outre, toute future opération de surface comme par exemple le forage des échantillons du sous-sol pourrait élever l'atterrisseur de la surface. Ainsi, le processus commence par l'ancrage du système de descente actif par l'activation d'un propulseur qui est incorporé sur la face supérieure de l'atterrisseur. Cette poussée plaque le lander sur la surface. Après quelques secondes, les deux harpons sont tirés dans le sol. Après qu'ils se soient fichés dans le sol, les cordes d'ancrage qui sont reliés aux têtes des harpons sont rembobinées de telle sorte que l'engin spatial soit bien arrimé à la surface. L'allumage du propulseur plaquant Philae au sol doit continuer au-delà de la phase d'ancrage pour contrecarrer la force répulsive générée par l'éjection des harpons. Après moins d'une minute le processus d'ancrage est terminé et Philae a en toute sécurité atterri sur la comète 67P / Churyumov-Gerasimenko.

 

Entre le touché des pieds du lander et la phase d'ancrage de l'atterrisseur, ce sera à nouveau un moment passionnant pour les ingénieurs MPS dans la salle de contrôle, car ils sont responsables du bon fonctionnement et de l'exploitation du train d'atterrissage et des harpons d'ancrage.

 

La dernière phase voit se dérouler de nombreuses activités scientifiques avec Rolis qui doit imager la granularité de surface à un mètres de distance jusqu'à toucher des pieds, ROMAP essayera de mesurer les champs magnétiques locaux, MUPUS mesurera la décélération des harpons alors qu'ils pénètrent dans le sol de la comète et SESAME déterminera les propriétés mécaniques de la surface, tandis que les pieds touchent le sol.

 

Immédiatement après l'atterrissage CIVA devrait prendre les premières images panoramiques du site d'atterrissage. Elles seront utilisées avec des images de descente prise par Rolis et des modèles de terrain obtenus à partir des images d'OSIRIS et de la NAVCAM à bord de l'orbiteur, pour identifier l'emplacement de l'atterrissage et ses coordonnées exactes sur le noyau.

 

Complétée par des mesures scientifiques de ROMAP et des mesures de tension des panneaux solaires, l'orientation de l'atterrisseur en sera déduite. Tout cela nécessitera, cependant, que les données des instruments respectifs soient rapidement transmises depuis l'atterrisseur vers l'orbiteur, puis vers la Terre.

Immédiatement après les premières séquences d'instruments automatisés, la première séquence de science, à proprement parlé, démarre.

 

 

Tout ce qui est décrit ici est réalisé par des séquences de commandes prédéfinies et préparées par l'équipe des opérations du Lander et stockées dans l'ordinateur de bord pour exécution.

En raison de la longue transmission des signaux de commande et de données entre l'atterrisseur et la Terre, tout se fait automatiquement et sans intervention du centre de contrôle.

 

Peu importe comment tout cela va fonctionner, je suis sûr que ceux qui ne peuvent participer étroitement dans les salles de contrôle ou à proximité - et peut-être même les gens qui regardent à distance - n'oublieront jamais le jour de l'atterrissage de Philae sur la comète 67/P.

 

 

Traduit du lien :

https://www.mps.mpg.de/3086295/Philae_Blog1

Modifié par quetzalcoatl
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Très intéressant article illustrant l’irritante politique d’embargo des scientifiques sur les images d’OSIRIS…

 

http://news.sciencemag.org/europe/2014/11/tensions-surround-release-new-rosetta-comet-data

 

L’article fait saliver, j’ai traduit le début :

 

 

«*…La comète 67P/Churyumov-Gerasimenko, où la sonde Rosetta est maintenant en orbite, est de toute évidence un fascinant morceau de poussière et de glace. Cette semaine, les scientifiques utilisateurs de la caméra à haute résolution de la sonde ont présenté quelques images stupéfiantes de la comète en forme de canard lors d'une conférence de planétologie à Tucson, en Arizona. Ils ont montré les premières images en couleur de la comète. Ils ont montré les grains de poussière éjectés de la surface, arcs qui pourraient être dus, sans doute, aux geysers de glace se sublimant. Et ils ont montré des variations de luminosité de moins de 10 centimètres — qui pourraient indiquer qu'ils ont trouvé des morceaux de glace étincelants furtivement à travers une croûte noire de poussière.

Mais l’ opérateur de Rosetta, l'Agence spatiale européenne (ESA), n'a publié aucune de ces images au public. Ou n’a présenté aucune de ses images à Darmstadt en Allemagne, où les scientifiques de contrôle de mission de l'ESA s’apprêtent à envoyer l'atterrisseur Philae à la surface de la comète mercredi. Matt Taylor, scientifique du projet a été réduit à citer de nouveaux résultats lors de la Conférence de l'Arizona en feuilletant les flux Twitter sur son téléphone…*»

Modifié par jackbauer
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Merci Quetzal pour cette explication avec moult détails.:)

 

Pour moi ,ce n'est qu'une pure spéculation,le pari ne serait pas dans le jeux de fléchette. Je pense qu'avec plus d'un milliard de simulations de trajectoires les ingés connaissent bien leur affaire grâce à tous les modèles qu'ils ont établis.

 

Ma crainte ,c'est le mécanisme d'éjection dont tu nous as informé des principe de fonctionnement à plusieurs reprises.Les parties repliés,(pieds) en bref toute la mécanique en somme,en sommeil depuis longtemps.

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Très intéressant article illustrant l’irritante politique d’embargo des scientifiques sur les images d’OSIRIS…

 

http://news.sciencemag.org/europe/2014/11/tensions-surround-release-new-rosetta-comet-data

 

L’article fait saliver, j’ai traduit le début :

 

 

«*…La comète 67P/Churyumov-Gerasimenko, où la sonde Rosetta est maintenant en orbite, est de toute évidence un fascinant morceau de poussière et de glace. Cette semaine, les scientifiques utilisateurs de la caméra à haute résolution de la sonde ont présenté quelques images stupéfiantes de la comète en forme de canard lors d'une conférence de planétologie à Tucson, en Arizona. Ils ont montré les premières images en couleur de la comète.

Ils ont montré les grains de poussière éjectés de la surface, arcs qui pourraient être dus, sans doute, aux geysers de glace se sublimant. Et ils ont montré des variations de luminosité de moins de 10 centimètres — qui pourraient indiquer qu'ils ont trouvé des morceaux de glace étincelants furtivement à travers une croûte noire de poussière
.

Mais l’ opérateur de Rosetta, l'Agence spatiale européenne (ESA), n'a publié aucune de ces images au public. Ou n’a présenté aucune de ses images à Darmstadt en Allemagne, où les scientifiques de contrôle de mission de l'ESA s’apprêtent à envoyer l'atterrisseur Philae à la surface de la comète mercredi. Matt Taylor, scientifique du projet a été réduit à citer de nouveaux résultats lors de la Conférence de l'Arizona en feuilletant les flux Twitter sur son téléphone…*»

 

Merci pour le morceau traduit.

 

Si c'est vrai ça ne m'étonne pas :be:

 

On s'imagine bien qu'on a pas eu toutes les images ou infos(les meilleures).

D'ailleurs ,on a vite râlé à ce sujet de pénurie.

"On ne nous dit pas tout" tu te souviens ?

 

Cette poussière noire en surface est ancienne de combien de temps en rapport à la glace en dessous ?

 

J'ai posé deux fois une question à ce sujet.

La dernière, si la comète proche du soleil(gros effet de sublimation) pouvait être( redevenir) blanche comme cette glace blanche qui aurait été aperçu.

 

Cette info ne me semble pas impossible.

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Salut, je pense etre au bon endroit.

Je voulais simplement signaler pour ceux qui habitent pas trop loin de la Touraine, ou en Touraine; ou bien ceux qui sont proches de l'observatoire de Tauxigny que ce Mercredi 12 nous organisons à l'observatoire une petite manifestation autour de cet evenement à partir de 15h00 avec retransmission en direct.

Donc si vous n'habitez pas trop loin et que le coeur vous pousse jusqu'à nous, vous êtes évidement tous les bienvenus.

 

http://www.astrotouraine.fr/

 

A bientot et merci.

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Une question pas du tout scientifique : vous allez dormir à quel moment ? J'ai beau regarder la chronologie, je ne vois aucun créneau où je pourrais m'assoupir sans l'inquiétude de rater quelque chose d'important !... :confused:

entre 2h35 et 7h03 :D

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Un problème avec le propulseur à gaz froid, qui est peut-être défaillant. Évidemment, ça ne rend l'atterrissage que plus compliqué... :confused: Mais puisqu'il n'y a rien de plus à faire, la décision a été prise de poursuivre. On y croit ! :)

 

http://www.pioneer-astro.fr/2014_11_1.php

 

Mais pas sûr ?

 

J'ai remis les liens utiles que j'ai proposé plus haut ainssi que celui de jack pour les étapes.

Perso j’agrafe ce post sur mon bureau pour n'avoir plus à chercher au fil des pages

http://www.webastro.net/forum/showpo...postcount=1681

 

http://rosetta.esa.int/

 

"mS_vxom_2J4" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash

 

"Z2DRt-B3DWo" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash

 

"TRa76qE_cwY" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash
Modifié par bang*gib
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Sur France Inter maintenant une émission sur Rosetta avec Luminet + des scientifiques

 

Le présentateur a indiqué que le feu vert définitif pour le largage avait été donné et qu'il devrait avoir lieu à 9h35 heure française

 

Hé bin y a du monde ici ce matin :D !!

(On va peut-être battre le record de connexion dont j'avais vu la date en bas de page d'accueil du forum c'était pour la sonde Phoenix je crois me souvenir)

 

Qui a apporté les croissants :) ?

 

7h de descente quand même ;)

 

Philae pèse l'équivalent d'1 gramme sur la comète

Modifié par yui
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Bonjour à tous

 

Je viens d'apprendre par "Le Progrès de Lyon" qu'il y a un élément imprévu.

La mission n'est pas compromise, mais l'ESA va lancer un appel aux dons pour financer le surcoût de la mission. :be:

 

 

le-dessin.jpg

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C'est parti pour la dernière ligne droite pour moi aussi!

 

Merci pour ton lien Pioneer-astro.

 

Cette mission revêt un caractère particulier pour moi, c'est la plus importante et la plus symbolique à mes yeux depuis que je m'intéresse de façon "lucide" à l'astronomie/astronautique.

Lorsque je regarde dans le rétroviseur (trentenaire), j'ai raté quelques beaux évènements déjà, donc ce coup-ci, je suis sur le pont!

 

Edit: le temps que j'écrive ça d'autres ont posté, merci à tous pour les différents liens donc :p.

Modifié par Oeil noir
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Le robot serait largué comme un vulgaire caillou sans aucun moyen de navigation ni moteur ? Est-ce vrai ?

C'est bien ce que nous avait expliqué un responsable de la mission lors d'une conférence à Mutzig.

D'où l'importance des calculs avant ;)

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Mais pas sûr ?

 

Ça peut être un dysfonctionnement du capteur de pression, mais impossible de le savoir.

 

Le robot serait largué comme un vulgaire caillou sans aucun moyen de navigation ni moteur ? Est-ce vrai ?

 

Oui, Philae est un atterrisseur passif : Rosetta l'éjecte sur la bonne trajectoire, qui l'amène au point visé. Il y a quand même un volant à inertie qui le maintient "les pattes vers le bas", mais c'est tout.

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