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2011 est un nombre premier...


GéGé

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Excellent, Jean Claude :D!

 

On s'en fout...Chuck Norris a compté jusqu'à l'infini....et deux fois en plus

Eh oui. Je me suis toujours dit que lorsque je passais deux fois au même endroit, en rando, ça risquait de durer longtemps...

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Tiens Gégé !

 

Je me suis toujours demandé comment tu avais pu écrire 21349 messages en 78 mois de présence sur ce forum.... (ça fait environ 9 messages par jour depuis Août 2004 !!!)

 

Ca y est j'ai compris ! :be:

 

Guik

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2011 est un nombre extraordinaire, qui a des liens avec plein de branches des maths :

 

- La somme de ses deux premiers chiffres est égale à la somme de ses deux derniers chiffres (et vice versa).

- Le produit de ses deux premiers chiffres est égal à la différence de ses deux derniers chiffres.

- La différence entre ses deux chiffres extérieurs est égale à la somme de ses deux chiffres intérieurs.

- Le premier chiffre est égal à la somme des trois derniers chiffres, et le dernier chiffre est égal à la différence des trois premiers chiffres.

- Ses chiffres non-nuls sont les coefficients du binôme du second degré.

- Le nombre défini par ses deux derniers chiffres (11) est la moyenne des nombres définis par les deux chiffres extérieurs et les deux chiffres intérieurs, que ceux-ci soient écrits à l'endroit ou à l'envers (21 et 01, ou bien 12 et 10).

- Chaque chiffre est remarquable : on y trouve le plus petit nombre premier, l'élément absorbant, l'élément neutre et son inverse.

- L'opération a^b avec les deux premiers chiffres donne le même résultat avec les deux derniers chiffres.

- Le produit des factorielles des deux premiers chiffres est égal à la somme des factorielles des deux derniers chiffres, et c'est vrai aussi avec les chiffres extérieurs et les chiffres intérieurs (respectivement).

- La moyenne des quatre chiffres est 1, ainsi que leur médiane. Leur variance est égale à l'inverse du maximum.

- Si on lit les chiffres dans l'ordre des puissances croissantes (1, 1, 0, 2) pour former des nombres complexes, on obtient 1+i et 0+2i : le second est le carré du premier !

- Si on les lit dans l'ordre usuel (2, 0, 1, 1) mais qu'on écrit d'abord la partie imaginaire, on obtient 2i+0 et i+1 : le second est cette fois la racine carrée du premier.

- N'importel que déterminant écrit avec ces quatre chiffres est non-nul.

- Deux vecteurs du plan dont les coordonnées sont définies par deux chiffres pris au hasard (sans remise) forment toujours une base.

- Le produit de deux chiffres pris au hasard (sans remise) parmi ces quatre ne peut être que l'un de ces chiffres.

- Si on compte le nombre de "pile" après deux jets d'une pièce, ces quatre chiffres représentent tous les cas possibles (2 piles, 0 piles, 1 pile du 1er coup, 1 pile du 2è coup).

- Si l'on écrit un polynôme à partir de ses trois chiffres non-nuls (2x²+x+1 ou x²+x+2 selon le sens de lecture), alors le quatrième chiffre est égal au nombre de leurs racines.

- Les cinq solides de Platon sont contenus dans ses chiffres : le tétraèdre à quatre faces (4 = somme des chiffres), le cube à six faces (6 = somme des carrés des chiffres), l'octaèdre (8 = somme des doubles des chiffres), le dodécaèdre (12 = somme des doubles des carrés des chiffres) et l'icosaèdre (20 = somme des doubles des cubes des chiffres).

- Notons Sn la somme des chiffres mis à la puissance n et Pn le produit des chiffres mis à la puissance n (en se limitant aux chiffres non nuls, sinon tous les Pn feraient 0). Eh bien dans la base {2^0 ; 2^n} les coordonnées de Sn et Pn sont (2,1) et (0,1) : ce sont exactement nos quatre chiffres !

Modifié par 'Bruno
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2011 est un nombre extraordinaire' date=' qui a des liens avec plein de branches des maths :

 

- La somme de ses deux premiers chiffres est égale à la somme de ses deux derniers chiffres (et vice versa).

- Le produit de ses deux premiers chiffres est égal à la différence de ses deux derniers chiffres.

- La différence entre ses deux chiffres extérieurs est égale à la somme de ses deux chiffres intérieurs.

- Le premier chiffre est égal à la somme des trois derniers chiffres, et le dernier chiffre est égal à la différence des trois premiers chiffres.

- Ses chiffres non-nuls sont les coefficients du binôme du second degré.

- Le nombre défini par ses deux derniers chiffres (11) est la moyenne des nombres définis par les deux chiffres extérieurs et les deux chiffres intérieurs, [i']que ceux-ci soient écrits à l'endroit ou à l'envers[/i] (21 et 01, ou bien 12 et 10).

- Chaque chiffre est remarquable : on y trouve le plus petit nombre premier, l'élément absorbant, l'élément neutre et son inverse.

- L'opération a^b avec les deux premiers chiffres donne le même résultat avec les deux derniers chiffres.

- Le produit des factorielles des deux premiers chiffres est égal à la somme des factorielles des deux derniers chiffres, et c'est vrai aussi avec les chiffres extérieurs et les chiffres intérieurs (respectivement).

- La moyenne des quatre chiffres est 1, ainsi que leur médiane. Leur variance est égale à l'inverse du maximum.

- Si on lit les chiffres dans l'ordre des puissances croissantes (1, 1, 0, 2) pour former des nombres complexes, on obtient 1+i et 0+2i : le second est le carré du premier !

- Si on les lit dans l'ordre usuel (2, 0, 1, 1) mais qu'on écrit d'abord la partie imaginaire, on obtient 2i+0 et i+1 : le second est cette fois la racine carrée du premier.

- N'importel que déterminant écrit avec ces quatre chiffres est non-nul.

- Deux vecteurs du plan dont les coordonnées sont définies par deux chiffres pris au hasard (sans remise) forment toujours une base.

- Le produit de deux chiffres pris au hasard (sans remise) parmi ces quatre ne peut être que l'un de ces chiffres.

- Si on compte le nombre de "pile" après deux jets d'une pièce, ces quatre chiffres représentent tous les cas possibles (2 piles, 0 piles, 1 pile du 1er coup, 1 pile du 2è coup).

- Si l'on écrit un polynôme à partir de ses trois chiffres non-nuls (2x²+x+1 ou x²+x+2 selon le sens de lecture), alors le quatrième chiffre est égal au nombre de leurs racines.

- Les cinq solides de Platon sont contenus dans ses chiffres : le tétraèdre à quatre faces (4 = somme des chiffres), le cube à six faces (6 = somme des carrés des chiffres), l'octaèdre (8 = somme des doubles des chiffres), le dodécaèdre (12 = somme des doubles des carrés des chiffres) et l'icosaèdre (20 = somme des doubles des cubes des chiffres).

- Notons Sn la somme des chiffres mis à la puissance n et Pn le produit des chiffres mis à la puissance n (en se limitant aux chiffres non nuls, sinon tous les Pn feraient 0). Eh bien dans la base {2^0 ; 2^n} les coordonnées de Sn et Pn sont (2,1) et (0,1) : ce sont exactement nos quatre chiffres !

 

On change de base, et tout tombe à l'eau !

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2011 est un nombre extraordinaire' date=' qui a des liens avec plein de branches des maths :

 

- La somme de ses deux premiers chiffres est égale à la somme de ses deux derniers chiffres (et vice versa).

- Le produit de ses deux premiers chiffres est égal à la différence de ses deux derniers chiffres.

- La différence entre ses deux chiffres extérieurs est égale à la somme de ses deux chiffres intérieurs.

- Le premier chiffre est égal à la somme des trois derniers chiffres, et le dernier chiffre est égal à la différence des trois premiers chiffres.

- Ses chiffres non-nuls sont les coefficients du binôme du second degré.

- Le nombre défini par ses deux derniers chiffres (11) est la moyenne des nombres définis par les deux chiffres extérieurs et les deux chiffres intérieurs, [i']que ceux-ci soient écrits à l'endroit ou à l'envers[/i] (21 et 01, ou bien 12 et 10).

- Chaque chiffre est remarquable : on y trouve le plus petit nombre premier, l'élément absorbant, l'élément neutre et son inverse.

- L'opération a^b avec les deux premiers chiffres donne le même résultat avec les deux derniers chiffres.

- Le produit des factorielles des deux premiers chiffres est égal à la somme des factorielles des deux derniers chiffres, et c'est vrai aussi avec les chiffres extérieurs et les chiffres intérieurs (respectivement).

- La moyenne des quatre chiffres est 1, ainsi que leur médiane. Leur variance est égale à l'inverse du maximum.

- Si on lit les chiffres dans l'ordre des puissances croissantes (1, 1, 0, 2) pour former des nombres complexes, on obtient 1+i et 0+2i : le second est le carré du premier !

- Si on les lit dans l'ordre usuel (2, 0, 1, 1) mais qu'on écrit d'abord la partie imaginaire, on obtient 2i+0 et i+1 : le second est cette fois la racine carrée du premier.

- N'importel que déterminant écrit avec ces quatre chiffres est non-nul.

- Deux vecteurs du plan dont les coordonnées sont définies par deux chiffres pris au hasard (sans remise) forment toujours une base.

- Le produit de deux chiffres pris au hasard (sans remise) parmi ces quatre ne peut être que l'un de ces chiffres.

- Si on compte le nombre de "pile" après deux jets d'une pièce, ces quatre chiffres représentent tous les cas possibles (2 piles, 0 piles, 1 pile du 1er coup, 1 pile du 2è coup).

- Si l'on écrit un polynôme à partir de ses trois chiffres non-nuls (2x²+x+1 ou x²+x+2 selon le sens de lecture), alors le quatrième chiffre est égal au nombre de leurs racines.

- Les cinq solides de Platon sont contenus dans ses chiffres : le tétraèdre à quatre faces (4 = somme des chiffres), le cube à six faces (6 = somme des carrés des chiffres), l'octaèdre (8 = somme des doubles des chiffres), le dodécaèdre (12 = somme des doubles des carrés des chiffres) et l'icosaèdre (20 = somme des doubles des cubes des chiffres).

- Notons Sn la somme des chiffres mis à la puissance n et Pn le produit des chiffres mis à la puissance n (en se limitant aux chiffres non nuls, sinon tous les Pn feraient 0). Eh bien dans la base {2^0 ; 2^n} les coordonnées de Sn et Pn sont (2,1) et (0,1) : ce sont exactement nos quatre chiffres !

Ah non de dieu.... je crains, d'autant que cette année ma planète est Saturne et mon chiffre de destinée est 4. Il paraît que ce sera une année charnière!

 

:b:

 

On change de base, et tout tombe à l'eau !

Mauvais joueur...:p

 

 

Et quelle explication mathématique peux tu apporter au fait qu'Albéric se mette au visuel avec son gros 400?

Aucune, c'est une erreur (de diamètre et d'Albéric).

Modifié par GéGé
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Nan nan, je suis prof de numérologie... désormais... :)

 

Au fait, au cas où, je précise quand même que mon texte est complètement bidon, et qu'on peut trouver des propriétés de ce genre à la plupart des nombres, surtout quand ils ont des petits chiffres.

 

Bison : pour trouver ce genre de propriété, ça prend deux secondes. Mince : 2+0 = 1+1, y'a pas besoin de Google ! Pour le coup des solides platoniciens, eh bien il faut trouver 4, 6, 8, 12, 20 avec ces chiffres, mais on finit toujours par trouver une combinaison qui convient.

Modifié par 'Bruno
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Bravo Bruno, excellent :D :D :D

 

Ce genre d'exercice (brillamment développé ici :p) devrait montrer à tous les naïfs ce que valent réellement les "numérologies" qui semblent être à la mode en ce moment... mais malheureusement, je crains que cela ne suffise pas à désamorcer les discussions sur ce genre de sujet :confused:

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Nan nan' date=' je suis prof de numérologie... désormais... :)

 

Au fait, au cas où, je précise quand même que mon texte est complètement bidon, et qu'on peut trouver des propriétés de ce genre à la plupart des nombres, surtout quand ils ont des petits chiffres.

 

Bison : pour trouver ce genre de propriété, ça prend deux secondes. Mince : 2+0 = 1+1, y'a pas besoin de Google ! Pour le coup des solides platoniciens, eh bien il faut trouver 4, 6, 8, 12, 20 avec ces chiffres, mais on finit toujours par trouver une combinaison qui convient.[/quote']

 

Je t'avouerai que je n'ai pas lu jusqu'au bout....:confused:, mais si tu aimes les curiosités algébriques j'en ai une qui tourne autour de 6174, et que tu connais peut-etre?

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