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Albuquerque

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Tout ce qui a été posté par Albuquerque

  1. La science déshumanisée, indifférente à l'émotion écologique : Tritium - Fiche - INRS Les valeurs intéressantes : 1,8.10^-8 mSv engagé par becquerel d'eau tritiée bue Les Chinois râlent avec raison car ils vont déguster sec ! et 10 000 fois moins d'équivalent de mSv par Bq de T inhalé. Ceci est logique, le 1/10 000 seulement de l'hydrogène respiré passant dans le sang qui ne contient pas d'hémoglobine à hydrogène.
  2. Oui, hein ? "une centrale à fusion, c'est un petit stock de tritium dont on sait que la moindre fuite...." Ça, c'était bien. Et aussitôt après ça dérape... C'est terrible, les boomers. La vieillesse est un naufrage. Ce n'est pas tant leur intelligence, qu'ils ont perdue, que l'aptitude à s'en servir.
  3. Tout s'arrange : Bon, finalement, l’Allemagne va investir dans la fusion nucléaire (clubic.com) On voit que l'humour allemand peut être très fin. L'ennui, c'est qu'une centrale à fusion, c'est un petit stock de tritium, dont on sait que la moindre fuite sur Webastro peut y entraîner l'empoisonnement au méthylmercure des consommateurs de coquillages. Finalement les Allemands feraient mieux de s'abstenir.
  4. Pour bénéficier de cet avantage fiscal il faut donc avoir au moins 113 ans, ce qui est possible mais de moins en moins fréquent. En effet les centenaires deviennent de plus en plus rares. En particulier, il n'en est plus né un seul depuis 1924.
  5. Le principe de précaution tel que défini dans la constitution ne mange pas de pain et ne met pas grand-chose en péril. Il y fut introduit par un président soucieux de laisser sa marque dans l'histoire des hautes et nobles idées. Le PP écologique est autre. C'est une arme politique, comme les dogmes des grands mouvements qui depuis le XIXe siècle cherchent à construire un Homme nouveau. Le PP sera pris au sérieux lorsqu'il intégrera ses propres critères de limitation. On reconnaît une idéologie à ce que précisément elle n'a aucun critère de cet ordre et glisse toujours vers son extrême. Pour le PP le critère le plus évident est la définition du rapport minimum exigible entre avantages de son application et problèmes induits par cette application. La focalisation sur un seul problème hors du contexte global n'a aucun sens. Mais lorsque en plus les dangers invoqués relèvent d'une complète virtualité, voir une virtualité à laquelle il devient extravagant de porter crédit, on se retrouve bien dans l'idéologie. On n'est pas tenu de se pénétrer d'une idéologie, pas plus celle-là que le m......xisme ou le w......kisme. Il est utile de les connaître mais non pas de les faire siennes. On lira avec intérêt ton modèle décrivant comment le tritium perdu dans l'océan compromettra nos intérêts, au sens le moins trivial du mot. On a eu il y a quelques années pour le démarrage du LHC la menace de création de micro-trous noirs mettant la Terre en péril. Ce coup-là n'était pas le bon, mais un autre, peut-être ?
  6. Justement, si chacun donne aux mots le sens qu'il veut, les autres ne le comprennent plus. On peut se rappeler qu'un TN n'est défini par aucun critère de densité, mais par un rapport masse/densité. C'est "paradoxal" dans la mesure où les deux formes moindrement effondrées de cadavres stellaires, les naines blanches et les étoiles à neutrons, elles, exigent bien d'être dans une plage de densité donnée.
  7. C'est même en France la seule radioactivité dont la létalité significative est avérée.
  8. Procédé simple pour savoir si une chose est un trou noir : Si le soleil avec sa masse de 2.10^30 kg était un TN, son rayon vaudrait 3 kilomètres soit 3000 mètres . Or le rayon d'un TN est en proportion directe simple de sa masse. Donc, si le rapport masse/rayon d'un objet est inférieur à 2.10^30 / 3000 = 6,7.10^26, ce n'est pas un trou noir. Limpide, non ?
  9. L'objet qui tombe dans le TN y tombe et lui ajoute sa masse. Les photons que cet objet peut émettre ne ressortent pas du TN s'ils ont été émis après le plongeon de l'objet à travers l'horizon. Les ultimes photons émis par l'objet razibus avant le passage de l'horizon mettent un temps qui tend vers l'infini à se désengluer de la proximité de l'horizon, si bien que de loin on observera pendant quasiment l'éternité l'arrivée de ces photons (mais de plus en plus rarement). Et comme ils ont été émis dans un champ gravitationnel qui leur mange presque toute leur énergie pour les laisser filer, ils ne seront plus du tout dans le visible s'ils y ont été émis.
  10. J'ai décidé d'en faire un problème et je ne sais pas si tu es bien placé pour l'évacuer d'un revers de main. Le mercure à concentration infinitésimale dans l'eau devient mortel quand on ne s'y attendait pas, donc peut-être bien le tritium aussi, n'est-ce pas ? Alors si les neutrinos semblent dépourvus d'interaction avec la matière et donc de toxicité, ils sont quand même la cause directe d'explosions de supernovae. Comme quoi tu vois il ne faut jamais rien exclure.
  11. Oui, j'ai compris. Il faut fermer toutes les centralles qui produisentduisent toutes du trittium qu'on ne stocke nule part. De ce point de vue les cuves de Foucouchima ne sont qu'un annecdote mediatique. Le tritium et ses mécanismes toxiques inconnnus, voila quel doit etre le cheval de bataille de l'écollogie. Les parallèles avec ce qui est de nature autre sont bienvenus s'ils embrouillent le bon citoyen. J'ai suggeré les neutrinos issus des centrales par miliards de milliard chaque seconde, mais cela ne t'a pas convaicu.
  12. J'écoute exclusivement des marches militaires prussiennes : Vidéos Bing Ce n'est pas l'auteur de celle-ci, le vieux Fritz en personne, qui aurait pris des décisions énergétiques aussi débiles que la fille du pasteur ! Voltaire pouvait bien se payer la tête de ses poésies, le boulot est là !
  13. On sait qu'après la réponse d'un énarque à la question d'un quidam, ce dernier ne comprend plus sa question. Dans un esprit apparenté, rappelons que le détonateur de ce "débat" était une justification chiffrée de la sage position de l'AIEA et d'autres sur le tritium japonais.
  14. En effet, et dans ce but je ne passerai pas au voussoiement. Pourtant je suis réellement inquiet. Il y a naturellement du deutérium dans l'eau de mer, et ces mécanismes inconnus mais très possiblement existants (1) qui pourraient concentrer le tritium pour lui faire causer d'importants dégâts démontrent par leur existence même ultravirtuelle qu'il pourrait y en avoir aussi qui concentrassent ensemble D et T, qui s'embraseraient alors sans allumette à fission, par un effet de fusion froide, un phénomène dont on s'est un peu vite moqué. l'AIEA porterait alors une très lourde responsabilité pour son discours rassuriste. Portera, même, car la question n'est pas de savoir si mais de savoir quand les effets désastreux s'observeront. Tes parallèles avec la chimie pourraient paraître parfaitement tendancieux, mais là encore il ne s'agit pas de savoir s'ils le sont ou si tout simplement ils sont nécessaires pour réveiller les consciences. (1) de même qu'il y a le principe anthropique faible et le fort, il y a le principe de précaution faible et le fort. Le faible est celui que l'on connaît. Le fort, à publier sous peu par de grandes organisations écologistes à comité de lecture, dit que la probabilité d'une chose improbable croît avec son improbabilité. On peut le faire mieux comprendre en disant qu'en tendant vers la limite, alors : f (abracadabrant) = certain.
  15. Il est inutile de prendre sur ce ton à propos d'une différence philosophique irréconciliable. J'ai déjà répondu par avance à tes deux points, mais ce que je crains le plus est une explosion thermonucléaire de ce tritium.
  16. Oui, pour satisfaire l'écologie le tritium va se mettre à se concentrer à dose toxique dans le poisson. Eh bien, présente un modèle, même simple. Chiffre. si, quand on tient pour plausible un mécanisme illusoire (celui de ma ligne précédente) pour justifier son recours au principe de précaution. Hier on m'attribuait sur la radiotoxicité une théorie fausse qu'on eût aimé me voir professer. (j'ai oublié le numéro de "stratagème", comme dit Schopenhauer, attribué par cet auteur à cette ficelle dans son Art d'avoir toujours raison, disponible en ligne et à lire absolument soit qu'on veuille se protéger des fourberies du débat soit qu'on veuille les employer). Aujourd'hui, il paraît que j'ai sur Jancovici des idées auxquelles je n'ai nulle part associé son nom. Accessoirement : sauf dans un parti politique, depuis quand faut-il tout soutenir dans un programme ? Illogique puisque je n'ai pas varié. Logique cependant si c'est pour introduire une idée péjorative. Pas de rapport direct entre le nucléaire et l'écroulement prédit en 1972/2012 de la société, mais un rapport direct entre le nucléaire et la nécessité présente d'agir. "miracle" : autre ficelle destinée à déconsidérer quelque chose.
  17. Agacer Ney ? Non. Mon commentaire sur le tritium visait à mettre des ordres de grandeur en face des discours. Je conçois que cela déplaise à qui remplace délibérément les premiers par les seconds. On réagit alors en se plaignant. Ou bien quand les chiffres ne vous favorisent pas, on leur substitue le principe de précaution, par nature sans limite et indifférent à la connaissance positive. Peu importe ; je continuerai à justifier le nucléaire.
  18. Je viens de voir l'histoire de l'étoile de Monique, en date du 25/08. Je me tords.
  19. Misère... la toxicité est proportionnelle à l'énergie déposée dans la matière vivante, évidemment. Pas à celle qui s'égare dans l'espace. une fois sortie du corps. Je n'ai pas été éduqué chez les tétratrichotomistes. Je ne m'étais nullement adressé à vous ni directement ni allusivement en publiant mon commentaire sur la dilution du tritium. Si donc il y a provocation à froisser vos opinions même là où elles n'étaient pas exprimées, comment l'éviter ?
  20. Politiquement impensable. Le reste est du principe de précaution pur jus, qui permet de s'opposer à tout ce qu'on veut sur la base de vagues analogies. Le tritium présente peut-être des périls inentrevus encore ? S'il n'y a pas d'indices particuliers, le débat se clôt de lui-même.
  21. Nullement. Vous avez la réaction habituelle de qui prend son contradicteur pour un perdreau. Respectez la charte, SVP. Allons donc. Vous me l'avez fait entendre depuis longtemps en MP (01/07/2021).
  22. J'ai tendu moi-même Minamata sur un plateau sans le citer expressément, mais je ne pensais pas que tu donnerais dans un si gros panneau. La bioaccumulation par un processus chimique/biologique d'un élément donné est une chose, celle d'un isotope une tout autre. Si ça marchait significativement avec les isotopes, l'eau lourde et l'uranium enrichi coûteraient des nèfles, et nous aurions du plutonium de qualité militaire tip-top qui n'entraînerait pas la refabrication des coeurs d'armes à intervalles réguliers. Des études disent trouver une certaine bioconcentration biologique du tritium. Je te laisse le soin de trouver par quel facteur et d'en tirer des conséquences. Aller chercher du tritium sur la lune ? Tu fais concurrence à qui ? Hélium-3, bien entendu.
  23. Non monsieur. A la différence des gamma qui émis dans l'organisme en sortent pour une grande part, les bêta sont presque tous arrêtés par le corps lui-même. Les considérations sur la probabilité d'interaction entre cible et projectile deviennent ipso facto ici de mince intérêt puisque toute l'énergie des bêta est in fine bel et bien employée à endommager les molécules vivantes. Il en résulte un certain nombre de grays, d'où de sieverts, et le risque leur est bien proportionnel. Ensuite, on peut même en restant dans le même type de rayonnement (ici bêta) observer un facteur de qualité un peu différent de 1 (valable pour les bêta). Étudiant en particulier la différence entre le T organiquement lié et le T non organiquement lié, et leurs périodes biologiques respectives, pour le tritium certains disent 2, voire 3, ce qui vous autorise à diviser par autant mes tonnes de T. Pour vos observations sur la phase transitoire entre l'eau tritiée rejetée et la dilution finale, il convient de se pencher sur la teneur en T à la source de l'eau rejetée, 1500 Bq/litre. Pour mémoire, 2 litres quotidiens d'eau tritiée bue à 10 000 Bq/l et ce tous les jours exposent à 0,1 mSv annuel. C'est la base de la préconisation de l'OMS pour la limite de potabilité de 10 000 Bq/l de l'eau tritiée. Au lieu de 10 000, la CRIIRAD dit 7 800. Ensuite une fois dilué dans l'océan avec un rapport de dilution limité d'abord, et de milliards ensuite, présentez-nous un contre-modèle. Présentez un contre-modèle, c'est-à-dire face à des chiffres présentez des chiffres et non des élans oratoires. C'est ici un forum scientifique. Les discours qualitatifs, c'est bon pour la campagne électorale des Verts. Bonsoir, monsieur.
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