norma

Quel bordel cet atelier ; on dirait le mien Bravo Gérard, c'est du boulot tout de même.

C'est plus compliqué : un TV (Plôssl) reste bien plus lumineux que sont équivalent Vixen par exemple. La nature du verre intervient je suppose.

Manifestement, vous débutez Les anneaux de Saturne sont visibles dès les instruments très modestes. Deux obstacles vous trouverez : voir (et là il faut savoir quoi) et trouver (c'est alors affaire d'expérience ou plus simplement d'automatisme, le goto). Ma fille ne s'est mis à l'astro que sur le tard et lorsque je lui proposais un beau diamètre en cadeau elle me dit : Papa, ne m'embète pas avec les complications ; je souhaite un Mak entièrement automatique. Je ferai mes premières armes et si je n'apprends jamais le ciel dans le détail, je ne m'en porterai pas plus mal. Du haut de tes 70 ans, ignorant du ciel que tu es, tu me comprends ... Elle dispose aujourd'hui d'un Mak127. Je rebondis sur les anneaux, elles souhaitait voir la calotte polaire de Mars, ce qui fut fait bien sûr. Le mieux serai certainement de fréquenter avant tout un club ... Cordialement.

Comme nous tous ! Arf, encore un voisin. Norma des ROS

... D'une inscription aux Rencontres des Observateurs Solaires : les ROS à Serbannes (03). C'est ici : https://www.soleilactivites.fr/ Au plaisir de se rencontrer. Norma

Oui, les RAS sont plus vieux d'une année. Le concept est différent et comme le souligne @Colmic, ces rencontres sont complémentaires. Les ROS c'est une centaine de personnes exclusivement "solaire" de 7 nationalités différentes. Le coeur de la réunion, c'est la technique. Je garde le souvenir des RAS mais c'est déjà loin (le premier ). Tourner ses yeux vers le ciel, là nous touchons au principal.

Ouhlà, c'est Wilson (enfin son effet ) ! Pas tous les jours cette affaire. Certes, il eut fallu grossir plus mais c'est propre.

Est-ce que je me gourge? ... Me goure-je ? Sinon tu as globalement compris. Comme dit ci-avant, en visuel cela n'a pas grande importance ; un jeté de monture suffit. Poser et orienter la monture à la boussole, régler à peu près la latitude du lieu (perso tant que je suis en France, je ne change jamais), centrer la nivelle. C'est prêt et alors un seul mouvement suffit pour suivre (avec de petites corrections de temps en temps à l'aide des deux mouvements). Je n'utilise jamais le viseur polaire

Et observez notre satellite AVEC un but ! Sinon une soirée BBQ ...

Le doute m'assaille : est-ce une vraie question ou de l'humour ?

En lunaire : le Mak ! Je n'ai jamais été géné par la mise en température (effectivement deux petites heures avec le 180). Il faut préciser que je maîtise mon temps : bon, je n'ai que cela à faire. Je dispose d'un C11 qui reste au garage ... Parfois je songe au 400 : il est couvert de poussière. Une 102 me laisse toujours sans voix (ce n'est pas du tout le même budget) ; elle demeure toutefois bien en deçà du Mak. A la réflexion, le principal n'est pas l'instrument mais ce que l'on souhaite observer. Je persiste : au-delà de 100, l'important pour qui n'est pas attiré par le tourisme, c'est la doc. Et puis 150 certes mais achro ... Enfin, tous les goûts sont louables et j'aurai bientôt l'occasion d'animer (enfin j'espère) une présentation sur le volcanisme lunaire et là ... Une 80 suffit à quelques exceptions près

Observer la pleine Lune permet de chasser une catégorie particulière de cratères : les BHC ou cratère à halo brillant. il y en a des centaines. La forme du halo révèle parfois l'angle d'incidence de l'impacteur. C'est expliqué ici : http://heully.eklablog.com/ Le plus observé : peut-être Proclus avec ses splendides ailes de papillon. La procédure : monter sur son PO un hélioscope auquel on a retiré le ND3.

C'est confirmé. A l'occasion des ROS 2022, Valérie Desnoux et Christian Buil nous feront une démonstration du spectrohéliographe Sol'Ex. Plusieurs exemplaires seront présents sur le terrain. Autre nouveauté présentée sur le terrain : le nouveau filtre Baader H alpha Sundancer II. Beaucoup d’autres configurations seront également sur le site d’observation. Le détail de la rencontre : https://www.soleilactivites.fr/programme.html

Faire un tour aux ROS ?

L'argument budgetaire n'en est pas un. Il ne s'agit que de "votre" argent, pas de leur argent... Négocier une extinction ? Passer au lunaire (aïe, là il y a tellement à voir que votre vie n'y suffira pas : c'est risqué ) ? Je parle d'expérience ...

Les droits de cet ouvrage ne sont plus la propriété de l'auteur depuis longtemps ... Enfin, c'est mon idée.

Bonjour, Le manuel n'est pas inversé.

Ce sont deux conceptions de l'observation aussi louable l'une que l'autre. Comme précisé, tous les goûts sont dans la nature.

C'est dit brutalement mais globalement c'est ça Le plus important : à ces ouvertures, le facteur limitant c'est la documentation dont tu disposes. Bien sûr, un gros diamètre te montrera pleins de détails ; tu verras une foultitude de "choses" mais sans savoir quoi et en ne retenant rien. Ce n'est pas de l'astro au sens où je l'entends : c'est du tourisme. Ceci étant dit, tous les goûts sont dans la nature et chacun fait comme il l'entend. Avec un 400, je n'arrive à rien ou presque. C'est beau et c'est tout. Bref, direction le placard. Avec un C11, cela va beaucoup mieux mais c'est très lourd, je ne suis plus très jeune, sensible à la décollimation, je trouve qu'il manque de contraste ... Voilà donc pourquoi j'ai acquis récemment un Mak 180. Je précise que je n'observe qu'une chose à la fois (cela n'empêche pas les brèves incursions dans d'autres domaines suivant les circonstances) : 15 ans de CP, 15 ans de Soleil et maintenant déjà 6 ans de Lune. Mon instrument le plus utilisé ? Une Scopos 66 ! Observer Hyginus dans un petit diamêtre est une idée magnifique : l'aile Est arrive en premier puis la caldeira se révèle suivie quelques secondes après par l'aile Ouest alors que la première s'estompe. J'imagine un tableau vivant sur cet astre mort ! Un petit tour ici pour deviner ce que nous offre notre satellite : http://heully.eklablog.com/ Un gros diamêtre montre tout sans idée de mouvement ... Avec un gros diamêtre, je ne calcule jamais la colongitude idéale ; avec la Scopos, si. Voilà, voilà

Perso c'est SCT ou Mak mais cela fonctionne également avec d'autres telescopes et les lunettes bien sûr. On peut même utiliser un Newton solaire . Ma préférence va au Mak.

De tennis ? Ouf on y échappe C'est de l'humour bien sûr. Cela fait quelques dizaines d'années que je ne me sers plus d'un viseur polaire et pourtant, amateur de Lune, je suis régulièrement amené à grossir plus que de raison. Je ne cherche cependant à convaincre personne : toutes les pratiques sont possibles.

Cela est certainement déjà signalé mais bon ... Un super poli me semble un minimum pour prétendre au qualificatif de "meilleur" et là je ne vois qu'une société française apte à ce travail et encore dans nos budgets (mais ça pique déjà : vers 2000 euros, il y a 3 ans, pour une optique seule de 200 à f/D long) ... Cher certes mais on touche l'excellence. Serai pas étonné que cette société travail aussi pour les pro (certainement pas aux mêmes tarifs . Quelque part, nous avons de la chance ).

Si c'est pour du visuel, le VP reste inutile : un jeté de monture à la boussole suffit.

Heureusement, je suis à l'abri des complications : je n'observe que la Lune. Je pratique avec un Mak. Ce que j'apprécie particulièrement avec ma gamme d'oculaire, c'est le coté parafocale. Bon, ce n'est pas la première préoccupation d'un astram débutant ou non. Et je tairai la marque (encore qu'avec un ou deux oculaires cadeaux ...) ce qui est dommage parce que je trouve leur prix très contenu pour ce niveau de qualité mondialement reconnu. Je suis convaicu que le Dob, initialement acquis pour son prix réduit (et là je ne parle pas des astrams expérimentés) est une erreur financière : il faudrait comparer l'instrument ET sa gamme d'oculaires (soit une bonne demi-douzaine mini) avec la concurence. Ah, c'est cher l' absence de suivi !

Vous ne manquerez pas de sourire mais je ressens le besoin de disposer d'un goto lunaire. L'AVL propose cette possibilité et je cherche à contacter un astram qui pratique déjà. Pour les curieux (si si, il y en a ) ce besoin est motivé par la recherche de sites à très faible relief (typiquement un dôme intrusif de quelques dizaines de mêtres de dénivelé). Se pose alors la question : suis-je dessus ou la colongitude est défavorable ? Avec le goto, le doute est levé ...