

Algenib
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Tout ce qui a été posté par Algenib
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Je me rappelle d'une star-party des années 80 à Nice, il y avait un collègue astroamateur qui avait déployé sa 127-2000 unitron sur le green. Le soir il y avait un queue de 20m pour aller y jeter un oeil pendant 30s au plus sur saturne. Pendant plusieurs heures, même les 300-400 étaient boudés. Il y avait des images fixes dans les 200-250mm. Il y a sans doute plus une affaire sentimentale qu'un but d'observation régulière d'un mars ou autre. Pourrait-on effectuer sur mars par exemple un suivi régulier avec ces 100-110mm à titre d'information et de comparaison? Il faudrait dessiner. Bon sujet de forum! Sans à priori. Bons ciels.
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Pour la pile y mettre une sérieuse, pas une pile carrefour. Cela doit résoudre le pb gps. le motoréducteur n'est pas qu'un moteur et un pignon, il y a un codeur et des microswitch, et des connecteurs fragiles. Sur le 200GPS il y avait un pb de connecteur/connexion irréparable et l'ensemble avait été changé. C'est trouvable encore aux us chez meade. Vous pouvez toujours les questionner via email, ils répondent. Ils m'avait proposé le kit complet des câbles de la fourche pour....50usd. Mais consultez le site mapug aussi.
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Et la pile du bios interne a été changée (une cr2032 de mémoire). Après changement l'initialisation prend 3-4s tout au plus (à faire tous les 5-6ans). Elle se situe sur la carte mère et accessible en démontant le cache sous l'embase de la fourche. Puis mettre le firmware à jour. Puis vérifier la connectique interne (les prises molex fragiles), les soudures sur les cartes imprimées. Puis changer éventuellement le motoréducteur DEC avec le codeur intégré en dernière extrémité. Bon courage. Voir aussi le site mapug qui répertorie les pannes et solutions pour ces scopes meade.
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Jolie peinture…aura-t’on une image extra focale pour montrer ces volutes thermiques internes?
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je n'exprime pas sur le seeing. Je n'ai jamais cherché à utiliser ces échelles. Par contre de plus en plus on montre un échantillon de vidéo, chacun peut se faire son idée. Tant que l'on ne voit pas la dégradation de l'image de diffraction d'une étoile, on pourra dire ce qu'on veut. Y a-t'il des images fixes avec ce tube. Perso, je n'en ai jamais obtenu, un premier anneau de diffraction fixe bien centré et régulier avec en parallèle un tube fermé de même diamètre qui le montrait. La perception physiologique est très compliquée, ça fait intervenir le cerveau. Pour le reste je te conseille cette lecture. http://www.astrosurf.com/cavadore/optique/turbulence/index.html Ce qui est sûr c'est que tout ça est assez compliqué, parce que une turbu basse peut te faire un seeing à 2" où tu atteindra la limite du télescope parce que en pose courte tu annuleras le tip tilt, autant tu peux avoir 2" ou moins avec un fort jet stream où l'imagerie planétaire ne fera pas tellement mieux que la pose longue. Je prends des cas un peu extrême, mais que l'on rencontre. Typiquement là, le seeing longue pose doit être à 3" ou plus et à la fin je sors une image proche de la limite du 300. http://www.astrosurf.com/topic/171122-une-bonne-nuit-de-sommeil-au-balcon/ Pour la physiologie oculaire, on n'a pas attendu ces types de publications. Déjà dans ces années 50 un Dale P Cruikshank l'exprimait déjà en se basant sur la capacité d'une population qui avait été testée exhaustivement. Chacun peut se faire tester autrement que par la vision du Z et du U... Ici on ne cherche pas les cas particuliers qui n'expriment que peu. Mais sur une situation standard qui permet de se situer d'une façon générale pas sur un coup ou sur un "trou" de turbu pour en faire des généralités. Une ouverture considérée parfaite optiquement plongée dans une situation de site avec turbu quotée sur longue période. C'est couillon ily a le jet-stream, etc, s'il n'y avait que ça. Ben non ce n'est pas rigoureux, parce que si la ftm est trop cassée à un moment c'est foutu, il faut qu'elle garde de la linéarité. Certains tubes ne sont pas fait pour la haute résolution et pas mal de tube sont entre 2, c'est le cas de tous les télescope dont on parle ici. Si ce n'est pas rigoureux, avant de casser des chiffres c'est surtout l'optique qui casse les courbes FTM. Cette règle permet de s'approcher assez bien d'un résultat réel d'usage. Je ne vois pas comment assurer de la linéaité avec déjà l'effet obstruction. Bien peu d'optique permettent d'utiliser ce ressaut résultant, léger, de contraste, la turbu vient effacer ces zones de résolution-contrastes petits. Les tubes ouverts sont assez peu propices à cette haute résolution. Hormis le serrurier et le tube fermé par une lame. Ca c'est plus compliqué parce que ça fluctue. Et en visuel parfois en montant en diamètre dans des conditions moyenne tu as une demi seconde où les détails sortent et ton cerveau les garde en mémoire. Bah oui ça fluctue sur une séance d'acquisition. Ceci dit sur un niveau constant il reste cette tendance de 23% de perte par step de seeing selon l'échelle de Danjon (encore du test il y a quelques décennies). Je comprends que cela ne convienne pas parce que cela fluctue. Cependant ce graffe de courbe FTM donné pour exprimer la réponse du contraste en fonction de différents niveaux de seeing et d'ouvertures considérées parfaites mérite une attention. Pour dire, et issu aussi d'usage d'ouvertures dans site moyen avec turbu quotée, que 150-200mm suffisent amplement. On pourra toujours objecter selon la théorie du "trou" de turbulence qu'une nuit on aurait pu y mettre un 300 ou un 400, très bien. Si c'est chez moi il faudra aujourd'hui attendre bien des mois avant d'y trouver des images potables. Et ça empire avec le temps. Je doute qu'un seul instant de calme relatif d'une sec. permet de capturer tous les détails d'un mars d'un soir. Faut bien plus. Et ne parlons pas d'uranus, qui demande bien plus même en imagerie (en prenant l'image de diffraction d'une étoile voisine et en se référant à l'observateur qui peut commenter sur ces fluctuations, je ne connais qu'un seul observateur qui pratique régulièrement cet exercice, cet australien du 400mm). Ca je ne dis pas le contraire mais il faut être pragmatique. A la fin on sait que certaines choses valables sur le papier ne le sont plus en vrai. Et tu as des facteurs comme le doucissage de la surface qui ne sont pris en compte par aucun indicateur théorique que l'on utilise. L/4 ça ne te dit pas si la variation de L/4 se fait sur 10 cm ou sur 1 cm un grand nombre de fois. Le ratio PTV/RMS donne un indice, mais sans plus. Le Strehl à la limite est plus précis mais quand il dévire directement de la mesure, pas quand il est approximé par le RMS : (1-Pi².RMS²)² Et surtout plein de choses déduites sur le papier ne disent rien du comportement mécanique et thermique de l'instrument. Et comme tu le dis si bien, à la fin ce qui limite une lunette c'est son diamètre. Et il est plus souvent dans la plage 100-130 que 150-200. Partant de là, logique que personne ne fasse de planétaire avec ça. Ici pour la petite histoire, je n'ai pas abordé encore toutes ces affaires de construction. Ce qui s'est dit l'est pour des ouvertures parfaites optiquement. Si on veut y introduire d'autres paramètres, rugosité, doucissage, libre de le faire. Ce graffe pour 3 diamètres, 3 niveaux de seeing n'est que pour des optiques parfaites. L'obstruction, le strehl global, etc...viendront après en déduction. Il restera peu au bout du compte dès que ça fléchit, miroir et tube, décollimate, désaligne...C'est encore en déduction. Le strehl n'est pas que le produit du rms résiduel, il y a encore le ptv (tout le monde n'a pas du rms faible résiduel). On peut aussi réaliser du planétaire encore avec une 4" sur mars, aucun soucis. Pour voir une majorité d'imageur avec un disque rouge rouille (la couleur usuelle quand rien ne s'y passe) alors que manifestement la coloration était jaunâtre orangée due au résiduel de poussière dans l'atmosphère, au moins sur certaines zones. Ca je ne suis pas du tout d'accord. Les SCT sont très problématiques, mais il y a des solutions pour améliorer leur comportement en isolant le tube et en chauffant l'avant. Et il y a des tubes semi ouverts comme les Mewlon 250 et 300 et les tubes tout ouverts comme les Cassegrain GSO. Sur le 250 et le 300 en général je n'ouvre même pas l'arrière, ce n'est même pas nécessaire, ça se comporte très bien. Les sct sont très problématiques! pour l'embuage bien OK en chauffant devant, enfin pas trop...même avec les régulateurs. Effectivement ils peuvent être calfeutrés, ou en y mettant le tube en résine ou en carbone aussi, ou autre solution de gaz neutre caloporteur. Vous avez testé? Sur ces 180-210 µlon je n'ai jamais obtenu d'image de diffraction fixe d'une étoile et raison de cette turbu interne constante. Tout comme avec ce gso203CC, vixen vmc200, tal 200. En ouvrant l'arrière du tube sauf à rechercher un équilibre thermique plus rapide, c'est pire. Y compris pour le newton. Pour amoindrir il faut effectivement travailler les matériaux du tube ou passer au serrurier avec une chaussette. Le primaire sera toujours une source d'ennui, même quand il est plus froid que l'air ambiant. Bref ce sont de belles cheminées naturelles. Rien à voir avec la théorie du trou de turbulence. Le choix du N250 représente le compromis optimum avec un primaire superpoli et le tube carbone/résine bouché sur l'arrière (s'il y avait devant aussi). J'arrête ici, cela pourrait durer l'année.
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J'en profite pour insérer un papier réalisé sur une 150mm évaluée pour un site d'observation. Il y a une planche donnant cette idée de dégradation du contraste pour 150, 300 et 600 (donné par W.Sacek) et différent niveaux de seeing. https://www.cloudynights.com/articles/cat/user-reviews/findings-on-a-home-built-refractor-with-a-150mm-f10-achromat-doublet-from-istar-r2378
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JL, ces diamètres équivalents ne valent que pour exprimer une valeur de contraste image quand le ciel est fixe, rien d'autre. Cela permet aussi de comparer des tubes en potentialité. Quand tu exprime pour les meilleurs résultats 0.8" de résolution max cela implique des images de 2-3/5 selon l'échelle de Danjon avec ce dk250. Je me trompe? surement pas avec des poses de 1/25s, bien plus rapide sans doute, ce qui montre que le contraste résiduel avec pose très courte est supérieur et s'approche d'une limite théorique sans seeing (0.8" pour O,46" limite du 250), en visuel il ne resterait que 45-59% du contraste image sans turbu (je n'ai pas la courbe FTM pour ces niveaux, mais il n'y aura pas ce 0.8" visible en considérant la capacité oculaire limite. Nous sommes bien convaincu de cette tendance. Ce qui est à discuter, c'est cette amélioration possible sur la dégradation du contraste image. C'est là que le design influe, que les niveaux de turbu influent chacun pour leur part, instrument, local, altitude. L'agitation des images c'est du thermique et de la déviation du faisceau avec une fréquence. Le design reste assez influant sur le résultat. Malgré le chromatisme résiduel des lunettes mêmes achro, c'est mieux en résultat, la limitation simple reste le diamètre disons 150-200 pour les fortunés. Il y a peu d'observateurs réguliers planétaires assidus utilisant des apo. Les compacts sont plus sensibles, que faut-il faire pour amoindrir cette agitation des images? Un balcon (j'en ai un ici dans le sud avec la garigue devant moi, ce n'est pas le pied vu les vents présents, même de sol) et un design de tube. En visitant Meudon il y des années, je me suis posé la question du pourquoi du manque d'entretien des pelouses avec une herbe de 1m de haut. Ne cherchez pas bien loin la réponse... Une turbu d'altitude, et bien déménagez. Pour les calculs, si on veux la rigueur, il faudra manipuler les courbes FTM pour chaque paramètre principal, mais pour faire plus court et donné plus haut, on peut appliquer la règle (D-d)x strehl global du tube. Ce n'est pas rigoureux mais s'approche d'une réalité. Qui s'applique pour une évaluation du contraste image possible. C'est le plafond verre. Pour le seeing encore pour faire court et simple le fait qu'un step de dégradation du seeing selon l'échelle de Danjon implique 23% de perte (se reporter au bouquin de Danjon et Couder lunettes et...). Le site de W.Sacek exprimera plus justement ce fait en définissant des limites d'évaluation aussi. Reste à définir le strehl réel du tube en usage. Une marque commerciale ne vaut que peu avec des déclarations commerciales. Le diamètre effectif équivalent servira pour définir la courbe FTM résultante et donnera une limite de fréquence de coupure à contraste 0 aussi. C'est intéressant d'effectuer cet exercice car on peut s'apercevoir rapidement de la capacité instrumentale placé dans un site. A condition de l'avoir coté effectivement. On reçoit bien ici des images effectuées par des observateurs, belles esthétiquement, mais qui en comparant montrent des ghosts. Un peu trop souvent. L'observation visuelle n'est pas morte si pratiquée avec rigueur. Ce que j'ai affirmé sur tel ou tel autre tube, ne sont pas des impressions mais des commentaires résultant de tests et d'usage sur une période. Ces tubes cylindriques sont des cheminées naturelles jamais calmées, pensez au serrurier en étant plusieurs mètres à côté. Les lunettes feront le meilleur contraste, même achromatiques dans le jaune vert, mais cela restera au max à 150-200mm. Une 150ED fait aussi qu'un bon C9 avec seeing faible. Un sc305 placé souvent dans site stable fera beaucoup, à titre d'exemple pour mars avec 9,7" de disque: On pourra s'intéresser à des objets peu contrastés comme vénus et uranus, mais ça risque de devenir chaud en discussion. Le pb de ces objets planétaires est que l'on est submergé par le nombre de détails accessible quand le tube a du strehl et que les images deviennent meilleures que 7/10, en visuel. Pour finir, un commentaire comme ça, inutile d'avoir son edge pour des planètes seulement, un modèle simple suffit largement. Il y a aussi un australien actif en planétaire qui avait un N400 qui donnait un cran au dessus par rapoort à un c14edge. La raison du changement était le temps interminable du 400 à s'équilibrer thermiquement (malgré le tube à demeure toute l'année). Bons ciels.
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Il suffit de tracer les courbes FTM respectives, cela peut nuancer les impressions. Pour l'info ES garantie un polystrehl de 90% sur la 127 triplet avec fcd1 (93-94 théorique possible). Ce n'est pas la référence mais aussi nuance les impressions, sur le ciel déjà. En prenant le c14 (très usité sur planètes) il y aurait le 33-34% d'obstruction et le L/5-6 pour le haut de la pile, soit un dia effectif de 210mm +/- pour évaluer un contraste image. 210mm de diamètre parfait. On reste aussi loin de la fréquence de coupure théorique du 355mm, malgré le rehaussement de contraste dû à l'obstruction. Ca fait de la perte. Sur le 250 µlon cela ferait 172mm (strehl de 98%). De la perte aussi. Le newton 250 cela ferait 189mm (stehl optique 98% d'un super poli et 23% d'obstruction). Reste la sensibilité au seeing, ayant eu le 180 et testé le 210 (bien alignés), il y avait assez d'attendre le "trou" de turbu... Le C8 un cran au dessus, sans buée. Affaire de compromis et de porte-monnaie. Pour terminer W.Sacek avait effectué les calculs pour différencier un 150, 300, 600, ouvertures parfaites placés dans 3 niveaux de seeing par les courbes FTM. Contrastes très similaires avec seeing 1,5", 3" et plus, différencié avec 0.8". Ces estimations pour exprimer le fait qu'un newton 250 avec optique top peut faire aussi bien voir un poil mieux. C'est le contraste image maintenu qui est à rechercher. Le diamètre reste à fournir la résolution sur l'image mais avec contrastes amoindris.
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Avec 31-32% on a déjà un strehl d'obstruction de 80% équivalent à un L/4. Tout ça c'est pour le contraste image et la courbe FTM en rapport. Le µlon 250 a 25% d'obstruction?
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C'est aussi façon d'exprimer. Un tube équilibré thermiquement se fait trop souvent attendre de sorte que le nombre de chemins optiques impacte davantage selon le design. L'équilibrage thermique est un souhait insatisfait constant, même tube ouvert, une belle cheminée naturelle. A tel point qu'on a l'impression que cette turbu instrumentale fait penser à un site d'observation moyen à médiocre au premier abord. Concernant ce µlon, il me semble que les pubs annoncées font état de la qualité de surface du primaire. pas du global. En combinant l'obstruction +/-32% il ne sera jamais atteint 80% de strehl global (pour avoir une idée du contraste image). Le tableau de perf concernant les réfracteurs comme dit déjà ne sont pas des polystrehl, pour ces réflecteurs ne tiennent pas compte réellement de l'obstruction de construction, quel que soit le design s'applique pour des tubes parfait optiquement. Beaucoup de paramètres viennent en déduction pour définir au final un contraste image réel avec seeing parfait. Pour le bla bla. Il y a aussi des solutions pour quasi annuler cette turbu instrumentale, comme par exemple remplir l'interne d'un gaz caloporteur, entre autres.
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ou un 400 avec 20% de rendement...ça existe.
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Ces tubes compact n'auront jamais un strehl de 80% global même moins même avec un mirroir L/20.
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Une azeq6 avec le 250 de 12-13kgs, c’est ok
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Le tableau donné on pourrait en amener d'autres. Ce n'est pas signifiant. Perso je connais une formulation simple pour estimer une ouverture équivalente: (D-d)x strehl optique global. Pour ces réfracteurs à considérer le polystrehl pas un 97% chiffré pour chiffrer quoi en fait. En considérant le facteur D-d puis le strehl on pourra prendre la courbe FTM correspondante puis en combinant le strehl global. On aura une représentation assez juste de la partie gauche de la courbe typique FTM. Pour ce qui concerne la partie gauche, là c'est un champs d'application particulier, schématiquement déjà l'exigence de surfaces super-polies pour s'assurer de la fréquence de coupure (à 0 de contraste). Faut pas croire qu'un tak ira automatiquement à ce niveau (juste à voir les valeurs de rms relevées, insuffisantes mais qui aident déjà). Bref moins il y a de verre et de surfaces optiques mieux ce sera. Ce tableau ne signifie que peu sans donner les règles de calcul de détermination déjà. Il n'y a pas de qualité optique mais un strehl théorique correspondant, etc... En admettant ceci juste d'une "théorie", tout ce qui va s'ajouter ira en déduction sur le niveau de contraste ou de la courbe FTM induite théorique: - précision optique, - aberrations, sphérique résiduelle, et d'autres, - qualité d'alignement et de collimation, - sensibilité au seeing, qui n'est pas la même selon le design, etc... Le µlon est un design ouvert avec 2 surfaces optiques, le primaire à L/20, le secondaire? et globalement? Variable selon le tube. Le vmc 260 est un design klevstov avec une lentille de mangin placé sur le secondaire sphérique, tout comme le primaire. Variable selon le tube. Le newton 250 avec le primaire artisan contrôlé avec bulletin, un secondaire plan à mieux que L/5. Globalement la perf optique est sure. µlon-vmc: 3 chemins optique dans le tube, plus sensible au seeing interne newton: 2 chemins optique, moins sensible au seeing interne lunette: un seul chemin optique, le mieux avec l'objectif plus haut par rapport au sol. L'achromat sera plus sensible à la séparation des couleurs due au seeing. L'apo aussi avec une gradation fonction de la qualité optique propre de l'objectif. Faite votre bilan. Le newton suggéré présente le meilleur compromis optique, qui si avec surfaces superpolies peut assurer une perf vers la fréquence de coupure théorique (alignement parfait, barillet solide multipoints, tube rigide peu fléchissant, anneaux internes pour lumières parasites). Il pourrait être complété avec un disque d'obturation et un cache de bas de tube pour amoindrir le seeing interne et avoir une obstruction de moins de 25%. Mon opinion.
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Le problème de la qualité de ces tubes avec marques reconnues reste aujourd'hui que la concurrence s'en est bien rapprochée. Le point fort c'est qu'ils sont tube ouvert, donc pas de soucis d'embuage. Par contre ils restent plus sensible à l'agitation interne. Pourquoi ne pas s'intéresser à des gso 203 ou 250CC, ou même à des fabriquants italiens, zen ou toscano. Ils font de l'artisanal bien construit et contrôlé, sur un tube aligné. Pour ces SC s'il y avait beaucoup de tubes moyens dans le passé, ce passé semble résolu et révolu. J'ai un c8 récent non edge ici qui n'a rien à envier à ces µlons en perf. Bref la marque ne me parait pas la raison d'un choix, c'est plutôt la formule optique à bien définir pour ce que l'on projette de réaliser. On pourra toujours faire effectuer un contrôle star test et interférométrique par un vendeur digne de ce nom, qui sont équipés pour les faire.
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Comète-Astéroide La comète 13P et C2021S3 au seestar 50.
Algenib a répondu à un sujet de Algenib dans Astrophotographie
Une acquisition de 13P le 30 aout au seestar 50: A titre de comparaison, celle de Dan Bartlett aux US avec son C14 hyperstar...le 23 aout dernier: Bons ciels. -
Comète-Astéroide La comète 13P et C2021S3 au seestar 50.
un sujet a posté Algenib dans Astrophotographie
Bonjour, Quelques vues de la comète 13P Olbers Le 4 aout dernier Concernant la comète C2021 S3 Bons ciels -
13P peut s'observer le soir 1H apres le coucher du soleil, 20° d'élévation environ (la tête avec une 10,5x70mm). Elle passe très bien dans un SS50... Faut essayer Mars le matin, tempête de poussières dans chryse-xanthe qui de développe en ce moment (dans un cass 130 et sur l'alpo jpn). Je ne suis pas revenu du sud encore. Bon courage.
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J'ai testé Minkowski 1-64 hier avec l'equinox 2. Un objet non listé dans la base, donc pointage avec des coordonées alpha delta trouvé sur le web, et, à l'heure de prise de vue, l'objet tout proche du zénith. Ce qui n'arrange rien pour ce pointage et le suivi en alta zimuthal. Ceci dit, les images de cette nébuleuse planétaire obtenue avec 30min d'exposition avec une lune brillante omniprésente. Un ciel assez transparent, brumeux légèrement, turbulence forte pour le diamètre. Ce n'est pas transcendant mais elle est présente, avec un anneau peu défini. Néanmoins, à refaire sous de meilleurs cieux. Bons ciels.
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Quelques vues de SN 2024 pxl dans la galaxie NGC6384. La SN est apparue le 23 juillet. le 19 aout avec l'equinox 2 pose 30min avec une lune bleue. le 20 aout avec le ss50 pose 15min Elle y reste visible mais un peu au dessus d'une limite (magn 16 et moins). Bons ciels.
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J'ai retrouvé ce NGC 7006 dans ma biblio, du 20.09.22 pose 8min avec l'equinox 2 recemment reçu. Il n'y a pas photo avec le ss50 qui a ses limites. Pour cet objet, il faudrait pousser l'acquisition à 20min avec l'evscope. Mais ici la prise de vue est en région parisienne. Bons ciels.
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Enfin NGC7006 dans le Dauphin, petit amas globulaire de magn 10. Pour commencer à résoudre les étoiles périphériques l'equinox est préférable.
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Je n'ai retrouvé les images (des centaines en biblio sans l'effectuer à fond). Cependant quelques images d'avant hier soir avec l'equinox 2. Avec ces scopes la qualité du ciel est primordiale. En vrac: 13P Olbers 4min M16 20min M18, 10min M20, 10min M 22 10min La variable T Crb 1min Bons ciels.