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'Bruno

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Tout ce qui a été posté par 'Bruno

  1. Si tu envisages l'imagerie du ciel profond, je t'encourage à calculer les échantillonnages : p = taille du pixel en mm F = focale du télescope en mm La taille du pixel sur le ciel correspondra à un angle a = arctan(p/F). Exemple : avec un 150/750 et des pixels de 6 µm, on obtiens a = arctan(0,006/750) = 4,584E-04 degrés = 1,65". Je trouve que c'est pas mal pour du ciel profond. Avec des pixels de 3 µm, on aurait seulement 0,83" par pixels, or le télescope et la monture ne permettent probablement pas d'atteindre cette résolution, on serait donc obligé de poser 4 fois plus longtemps (vu que les pixels sont 2 fois plus petits) sans que ça apporte quoi que ce soit. C'est vrai qu'un C8 avec réducteur F/6,3 aura une focale longue et, avec les pixels minuscules des capteurs modernes, un échantillonnage trop petit. C'était bien avec les anciens capteurs, mais les constructeurs des APN et des caméras CCD font un concours de celui qui aura le plus de mégapixels, et pour ça le plus facile est de les rétrécir (c'est pourquoi je considère le nombre de mégapixels comme un attrape-gogo : on se retrouve avec des pixels riquiquis et un gros suréchantillonnage). Je t'encourage aussi à regarder (si tu ne l'as pas encore fait) quel matériel précis (monture, capteur, matériel de guidage, réducteurs de focale...) utilisent les astrophotographes. En général c'est précisé dans les sujets où ils exposent leurs photos. Tu verras ainsi le matériel « qui marche », par exemple quel réducteur de focale donne des résultats.
  2. Ah oui, bonne idée de réviser ! Du coup tu pourras poser la question aux gens, quelque chose (la présente discussion) me dit qu'ils ne répondront pas tous pareil ! Pour M27, explique bien que c'est ce qui attend notre Soleil dans quelques milliards d'années (beaucoup de gens croient que toutes les étoiles finissent par exploser, hé non). Essaie aussi d'expliquer le coup du "dernier souffle", même sans rentrer dans les détails de l'ionisation. Il faut expliquer que, pendant que le cœur de l'étoile se rétracte et se réchauffe, ses couches externes sont éjectées peu à peu. Un jour, le cœur finit par atteindre une température qui chauffe le gaz environnant (plutôt que dire qui l'ionise) au point de le rendre lumineux : on voit le gaz éjecté. Mais ça ne dure pas longtemps car, à mesure que ce gaz s'éloigne de l'étoile mourante, il se refroidit. Quelque chose dans le genre. Quand au coeur, qui se transformera en naine blanche, on le voit au Dobson 250 mm au milieu de la nébuleuse (mais c'est discret...) Et il faut préciser que les autres étoiles qui se projettent sur la nébuleuse sont en fait en arrière plan. (M27 est une des plus proches nébuleuses planétaires, je crois.)
  3. Si tu fais allusion à l'expansion de l'univers, c'est que tu n'as pas compris sa nature. L'expansion de l'univers ne met rien en mouvement, c'est juste qu'elle augmente les distances. Par exemple elle étire les longueurs d'onde (le décalage vers le rouge cosmologique n'est pas un effet Doppler mais la conséquence de l'augmentation des longueurs d'onde dans l'espace en expansion). De plus je ne comprends pas à quoi tu penses lorsque tu parles des limites de l'univers. Il me semble que dans les théories modernes l'univers n'a pas de limite, il est même possible qu'il soit infini.
  4. C'est en général ce que font les possesseurs de Schmidt-Cassegrain, et c'est grâce au réducteur de focale que ces instruments sont considérés comme polyvalent. Il faut juste vérifier le champ du réducteur de focale, comme l'a dit Krotdebouk plus haut. Autrefois j'ai fait de l'imagerie avec une caméra SBIG ST7 et j'utilisais un C8 avec un réducteur Optec Maxfield F/3,3 (comme tout le monde à l'époque) ; ce réducteur était adapté au petit capteur de la ST7, mais pas plus gros. Tu sais déjà quel capteur tu vas utiliser ? Mais effectivement, je n'ai pas le souvenir d'avoir vu des utilisations avec un Maksutov. D'ailleurs en général il me semble que les réducteurs de focale sont attachés à une formule optique voire à un instrument précis. Par exemple je crois que les réducteurs de Celestron ne sont utilisés que sur des Celestron.
  5. Je pense que c'est sous-entendu : toutes les propriétés des astres que l'on étudie sont valables au moment de l'observation. Lorsqu'on dit qu'une galaxie est en collision avec une autre, c'est sous-entendu au moment de l'observation, même si cette collision a en réalité cessé depuis belle lurette. Lorsqu'on dit qu'une supernova vient d'exploser dans NGC 4647, c'est le même sous entendu, car en réalité elle a explosé il y a 17,5 millions d'années : on ne peut pas dire qu'elle « vient » de le faire... Mais c'est toujours sous-entendu : par rapport aux observations, du coup on ne le précise jamais. (C'est pour ça que j'avais mal compris ta question au début, je croyais que tu t'interrogeais sur la définition précise du début du phénomène nébuleuse planétaire par rapport à l'évolution d'une étoile.) Par contre je suis en désaccord sur un point : pour moi, dire que M27 a 4000 ans est vrai, parce qu'on vit dans un espace-temps dans lequel nous n'avons accès qu'à l'univers observable, et dans notre espace-temps observable M27 a bien 4000 ans. En gros, quand on parle de M27, on parle de M27 sur la photo, pas de M27 le 05/08/2022. C'est un point de vue qui me semble plutôt correct. (Il me semble que l'espace-temps ayant notre âge en tout point n'a pas plus de réalité que l'espace-temps observable.) Et je suis d'accord que le débat est intéressant ! Surtout si ça encourage à observer M27, qui vaut le coup !
  6. Si elle est près d'une étoile, elle se déplacera grâce au vent stellaire. Et là, ça dépend de la vitesse de ce vent. Ensuite, il y a sa vitesse en orbite, qui dépend de plein de paramètres. Mais tu parles de confins de l'univers, donc tu supposes qu'elle n'est proche d'aucun objet, c'est bien ça ? Dans ce cas je pense que la réponse est zéro. Pour faire avancer la planche de surf, en l'absence de gravitation, tu penses à quel phénomène ? La pression due aux molécules interstellaires ?
  7. En fait j'avais répondu un peu de travers... Pour ta question, je suis d'accord avec toi, et pas d'accord avec Alhajoth et 22Ney44. Tout à fait d'accord. (Mais ça n'a aucun intérêt de connaître son âge réel actuel puisqu'on n'a pas accès à son présent.)
  8. French_7 : en fait je n'avais pas compris la question précise, et je ne serais pas étonné de ne pas être le seul. Bref, 4000 ans, c'est l'âge de la nébuleuse au moment où on l'observe, pas ce que tu appelles son âge réel actuel. Je suis d'accord avec toi, pas avec Alhajoth et 22Ney44. 22Ney44 : si l'âge est mesuré par la vitesse d'expansion, c'est qu'on mesure la durée entre la nébuleuse telle qu'on l'observe et le moment théorique où cette nébuleuse devait avoir un diamètre nul. Si cette durée est de 4000 ans, ça veut dire qu'il a fallu 4000 ans à la nébuleuse pour atteindre la taille que l'on observe sur les images actuelles. C'est donc bien l'âge observé sur les images actuelles, qui ne comporte pas la « correction » due à sa distance. Ma précédente réponse, un peu hors-sujet : L'âge d'une nébuleuse planétaire, c'est la durée écoulée depuis qu'elle s'est « allumée ». Mais le gaz de cette nébuleuse était présent depuis des millions d'années (il a été expulsé peu à peu par l'étoile mourante), et l'étoile était là depuis plus longtemps (des milliards d'années en général). Une nébuleuse planétaire se forme durant un instant précis, très court : au moment où le résidu de l'étoile (future naine blanche) devient suffisamment chaud pour ioniser le gaz qui l'entoure. À ce moment, un fort vent stellaire arrache une dernière fois une partie des couches externes de l'étoile, cette fois à grande vitesse. La vitesse d'éjection est de l'ordre de la dizaine de km/s. 10 km/s, c'est 30.000 fois moins que la vitesse de la lumière, il faut donc 30.000 ans à ce gaz pour être éloigné de 1 année-lumière de son point de départ, l'étoile. À cette distance, le gaz est trop loin pour être ionisé, la nébuleuse planétaire est de nouveau éteinte. En fait, une nébuleuse planétaire ne reste allumée que quelques milliers d'années avant de s'éteindre peu à peu à mesure que le gaz s'éloigne de l'étoile. La nébuleuse devient alors de plus en plus faible, fantômatique, puis invisible. Quelques milliers d'années comparées aux milliards d'années écoulées depuis la naissance de l'étoile, c'est très court. C'est pour ça que les nébuleuses planétaires sont des objets rares. Une nébuleuse planétaire, c'est le dernier souffle − son plus beau ! − de l'étoile mourante.
  9. Ah OK. Je pensais à des soirées organisées pour le public, genre Nuit des Étoiles, mais effectivement ça doit être ça.
  10. Je trouve que c'est une bonne démarche : BlackSamedi se renseigne à droite et à gauche (probablement pas seulement dans les catalogues) et, petit à petit, son besoin va s'affiner. Il est encore trop tôt pour faire un cahier des charges précis, et d'ailleurs BlackSamedi le sait puisqu'il ne se précipite pas sur tel ou tel instrument. C'est après cette pêche aux renseignements qu'il pourra se définir un cahier des charges. Mais bon, si j'ai bien compris il aimerait faire de l'astrophoto, ciel profond et planétaire. C'est possible avec un bon Newton car sa focale peut être augmentée avec une Barlow. --------------------------------------------------------------------------------------------- Le Maksutov, tu l'achèteras plus tard. En imagerie, les premières années on progresse, donc pas besoin d'avoir le matériel définitif d'entrée. Par exemple si tu commences avec une lunette ED équatoriale, c'est très bien pour le ciel profond, mais ça ne t'interdira pas de t'initier à la photo planétaire, bien au contraire. Et quand tu sauras tirer partie de tout le potentiel de la petite lunette, il sera temps d'acquérir un deuxième tube optique spécialisé. C'est bizarre ce que tu dis, tu es sûr d'avoir compris ? Ils trient les visiteurs ???
  11. J'en parlais dans mon tout premier message, la seconde approche : faire retoucher le miroir de son télescope. C'est vrai que les prix sont élevés, mais à diamètre donné, c'est le moins cher pour avoir de la qualité (il suffit de comparer avec les prix de Takahashi par exemple). Le plus gros inconvénient de la retouche de miroir, je trouve, c'est qu'on ne peut plus utiliser son télescope pendant ce temps...
  12. C'est un artisan réputé qui taille les miroirs à la main. Ses optiques ont une meilleure qualité que celle des télescopes fabriqués en Chine (avec des machines), ce qui est un gros avantage notamment en planétaire, une fois la collimation maîtrisée. Un tel Newton sera excellent en ciel profond autant qu'en planétaire (avec une Barlow). Voici son site : http://mirro-sphere.com/ Je comprends que tu ne répondes pas à l'annonce car tu n'en es qu'au début de tes recherches. Elle vient sans doute trop tôt... (Et puis le tube est lourd et nécessite une EQ6, on dépasse ton budget.)
  13. De toute façon tu ne l'as pas encore acheté. (Quand Jldauvergne dit qu'il peut tester le télescope, je crois que c'est à condition qu'on lui prête.)
  14. Si dans la base d'objets il y a Barnard 33, ça veut dire que le « goto » pourra diriger le télescope dans le direction où se trouve Barnard 33. Mais ça ne veut pas dire qu'on verra Barnard 33. Il faut en être conscient...
  15. J'ai observé cet amas au Dobson 300 il y a une semaine et demie... sans savoir qu'il y avait une nébuleuse à voir, donc sans filtre. Bon, c'est un amas qui vaut le coup d'œil, et j'ai noté aussi la zone creuse ainsi que la petite zone dense que tu as bien dessinée. Mais je n'ai pas vu de nébuleuse (après, je ne l'ai pas cherchée...) Zut, il faudra recommencer
  16. BlackSamedi : tu demandes si la monture Exos est compatible avec des télescopes d'autres marques. Ça sous-entend que tu comptes éventuellement acheter le tube optique et la monture séparément. En général, ça revient nettement moins cher d'acheter le télescope sur sa monture (et avec des oculaires) qu'acheter chaque éléments séparément. Vérifie bien les prix (mais je crois que c'est ce que tu fais) (comme tu es parti, j'ai même l'impression que la semaine prochaine tu connaîtras les catalogues par cœur... )
  17. N'oublie pas qu'il lui faudra une monture...
  18. Effectivement, il faut attendre que les planètes soient au plus haut, donc plein sud. Mais chaque mois, on gagne 2 heures. Si tu dois attendre 2h du matin pour que Saturne soit assez haute dans le ciel, d'ici un mois tu devras attendre minuit. Cela dit j'ai remarqué que souvent, en été, il faut attendre la fin de nuit pour avoir moins de turbulence. Je crois que c'est parce que le sol a été surchauffé le jour, ce qui provoque des échanges thermiques jusqu'à ce qu'il soit en équilibre avec l'air, et ça prend des heures. De plus n'oublie pas que grossir fait perdre du contraste. C'est à faible grossissement que l'image paraît la plus nette. C'est normal : l'image est grossie, mais il n'y a pas de détails supplémentaires (c'est juste la même image en plus gros). Quand on observe les planètes, il faut trouver le grossissement suffisamment fort pour que les détails soient confortables à regarder, mais pas trop fort pour que la planète ne soit pas trop floue. Ce grossissement limite varie d'un jour à l'autre selon les conditions atmosphériques. D'où l'intérêt du zoom, qui va te permettre de l'obtenir facilement. Le maximum possible, c'est de l'ordre de deux fois le diamètre (donc de l'ordre de x200 – le zoom est bien choisi !) mais ce n'est pas tous les jours qu'on y parvient. Si l'image te paraît floue, grossis moins.
  19. Tu parles du dessin astro ? L'astrophoto est une manipe scientifique. Il faut avoir un esprit scientifique pour réussir : savoir analyser une difficulté, faire des hypothèses, et aussi comprendre des notions techniques comme le bruit de lecture ou l'échantillonnage. Si les images sont belles, ce n'est pas grâce à l'âme d'artiste du photographe mais à celle du Créateur. En fait, si une photo est belle, c'est parce que le photographe a réussi ses images de calibration, a parfaitement collimaté son télescope, maîtrise le réglage du tilt, connaît les fonctionnalités des logiciels de pré-traitement... Non, l'astronomie visuelle ne demande pas autant d'investissement. Avec 1000 € on se paie un Dobson 250 avec quelques oculaires et un filtre : 250 mm, c'est plutôt du haut de gamme (même si les gros diamètres se démocratisent). Avec 1000 €, on fait juste de l'initiation en astrophoto. (Et je ne compte pas le prix de l'appareil photo ni de l'ordinateur parce qu'ils peuvent servir à autre chose.)
  20. Oui, c'est très peu pratiqué. D'ailleurs sur la plupart des montures les cercles de coordonnées sont peu précis. Sur les montures à fourche du siècle dernier (celle des premiers Celestron, ou la monture Arcane) il y avait de grands cercles (sur ce type de monture il y a de la place) avec un vernier, ça c'était précis ! Je me souviens de ma dernière vision de la comète Hale-Bopp vue juste après le coucher du Soleil (très faible élongation). J'étais parti de Mars dès qu'elle est devenue visible (dans le Lion, alors que la comète était dans le Taureau) et j'ai utilisé la méthode différentielle (on utilise les différences de coordonnées) pour trouver la comète. C'était le seul moyen car elle se couchait quand les premières étoiles apparaissaient. En fait, ce qui n'est pas aléatoire, c'est d'utiliser une carte. Le pointage par cheminement d'étoiles se fait forcément avec une carte, mais on pourrait aussi se servir d'une carte avec le pointage aux coordonnées : les coordonnées assurent que l'objet est dans le champ, mais si c'est un petit objet caché parmi les innombrables étoiles du champ on doit finir la recherche avec la carte du champ.
  21. adamckiewicz : ton fils fait la collimation avec quel outil ? Ou sur une étoile ? (Notez que dans mon message d'hier soir je n'ai pas dit qu'il ne faut pas collimater.)
  22. J'avais répondu par MP à une question de BlackSamedi sur la collimation, mais j'ai envie d'en débattre sur le forum. Ci-dessous ce que je lui ai écrit, je vous laisse réagir... ----------------------------------------------- Aucun matériel n'est nécessaire pour collimater. Pendant longtemps, je collimatais sur une étoile (quand j'y pensais). Si le télescope est légèrement décollimaté, ce n'est pas grave du tout. Disons que ça ne donnera pas d'images optimales sur les planètes. Voilà : la collimation, c'est une étape pour optimiser. Et comme ça ne coûte rien, autant le faire. Mais ce qui est important, c'est de la vérifier sur le ciel. Pendant longtemps, ma méthode de collimation était celle que j'ai exposé dans le paragraphe 3 de cet article : https://www.webastro.net/noctua/les-fiches-techniques/régler-son-télescope-collimation-etc-r142/ Je serais toi, je n'achèterais aucun outil de collimation dans un premier temps (si tu as des sous, il y a des achats plus prioritaires à faire). Voilà ce que je ferais : Le jour où tu reçois le télescope, tu l'inspectes (de jour, à la maison) comme je l'explique dans l'article au paragraphe 3. Il sera alors presque collimaté. Presque, donc pas à 100 % : ça veut dire qu'il y aura toujours possibilité de faire mieux. Plus tard. Ce sera de l'optimisation. Lors de ta première soirée d'observation, tu pointeras la Polaire au plus fort grossissement et tu examineras l'image obtenue. Si rien ne te choque, c'est bon, tu pourras découvrir le ciel avant de te préoccuper de collimation. Et si l'image n'est pas correcte... normalement, après le paragraphe 3, elle devrait être presque correcte. Je trouve qu'on parle trop de la collimation. Par exemple on voit souvent le coup de la personne qui vient de s'acheter un télescope et commence par le collimater avant de vérifier quoi que ce soit... au risque de dérégler un télescope qui était probablement réglé. On en parle tellement qu'on effraie les débutants. Je pense à toi en disant ça. D'ailleurs je vais taper ça dans la discussion, parce que je trouve qu'il faut mettre les points sur les i.
  23. Ah OK, il était assez loin de la planète, donc ça colle ! Bon, de toute façon tu as vérifié.
  24. Quel plaisir de lire ce CROA ! Ce que j'aime bien, c'est que tu nous décris ton état d'esprit, tes craintes comme tes satisfactions. Visiblement tu étais bien préparé, en particulier tu avais prévu le pointage aux cercles de coordonnées (de nos jours, c'est plutôt original). (Le troisième satellite de Saturne, je suis étonné que ce soit Japet car, d'habitude, il est à l'écart, loin de Saturne, parfois hors du champ. Mais comme tu sembles t'être bien préparé tu avais peut-être prévu une carte ?)
  25. Super CROA ! Mais arrivé à la fin... c'était déjà fini Bon, j'espère qu'il y en aura d'autres.
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