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Pourquoi StarWars ça pue


Leimury

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Astrofildu76 et ln2d2, je vous rassure, j'adore les Star Wars !!! J'adore aussi Valérian et Laureline, les Fondations, les Seigneurs des Anneaux, la mythologie de Lovecraft, le style Steampunk à la Jules Verne, les Ténébreuse de MZB, les Ā de Van Vogt délicieusement traduits par Boris Vian... la liste est longue !

Modifié par Fred_76
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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Astrofildu76 et ln2d2, je vous rassure, j'adore les Star Wars !!! J'adore aussi Valérian et Laureline, les Fondations, les Seigneurs des Anneaux, la mythologie de Lovecraft, le style Steampunk à la Jules Verne, les Ténébreuse de MZB, les Ā de Van Vogt délicieusement traduits par Boris Vian... la liste est longue !

 

Moi aussi :wub: je vais le voir asap le nouveau Stat Wars n'en déplaise au détracteur. Les fans qui l'ont vu sont ravis (ils l'étaient moins pour les épisodes 1,2 et 3).

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Les livres de Fondation, tout comme ceux du Cycle des Robots, autre oeuvre magistrale d'Asimov, font du spin off récursif ! Ca, c'est une invention d'Asimov ! En effet, certains livres des Robots sont des histoires qui tournent autour des Fondations (comme Les robots de l'Aube, Les robots et l'Empire), et vice versa, certains livres des Fondations tournent autour des robots (par exemple Prélude à Fondation, Terre et Fondation...) : les deux cycles sont imbriqués.

 

Ce que je trouve dommage chez Asimov, c'est le côté un peu artificiel d'avoir rattaché le cycle de Fondation au cycle des Robots en introduisant à la fin de Fondation un personnage récurrent du cycle des Robots... Mais ça reste quand même de la grande SF.

 

A quand une adaptation de Fondation au cinéma ? :?: (Il y a quelques années, Jean-Jacques Annaud était sur le coup, ce serait bien que quelqu'un genre J.J Abrams ou Peter Jackson s'empare de l'idée, avant qu'un pseudo Luc Besson ne se l'accapare... - Pauvre Valérian... :cry:-)

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Pat59, tu n'imagines pas ta chance ! Besson est déjà sur le tournage de Valérian & Laureline (la plus belle rousse de la BD a disparu du titre...) :

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=237821.html

 

Il y aura aussi Rihanna à l'affiche !!! Pour ta gouverne, Jean-Claude Mézière et Moebius avaient participé au graphisme du 5ième Element, à la demande de JL Besson qui sait parfaitement s'entourer des meilleurs :

http://www.noosfere.org/mezieres/pages/cinema/mon5elementT.asp

 

Pour les Fondations, il semble qu'HBO a acheté les droits l'an dernier et J. Nolan (Interstellar) est sur le coup :

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18638018.html

 

Vu que J. Nolan a fait Interstellar qui est un film à succès et que HBO est une chaîne très commerciale, les "je-suis-contre-tout-ce-qui-a-du-succes-et-qui-plait-au-public" vont vite nous promettre un navet...

Modifié par Fred_76
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D'après ce que je sais le projet de Valérian par Besson serait avancé, on en est à la prép prod. Je sias bien que Besson a ses détracteurs, mais moi j'ai adoré, le 5ème élement, Jeann d'arc, Adèle blanc-sec, Lucy, Nikita, Léon... Donc j'ai confiance.

Il n'y a pas de risque de procès puisque l'empire des 1000 planètes est antèrieur a SW.

 

Enfin pour les "agacés du samedi matin" (je plaisante) qui en ont après les détracteurs qu'ils sachent deux choses

1 - je ne l'ai pas vu, donc je ne peux pas parler du film en tant que tel, donc je ne le détracte pas

2 - il n'est cependant pas interdit de remettre les choses à leur place, quand un produit est lancé comme une marque de lessive on a le doit de s'en prendre à l'opération de markéting

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Pat59, tu n'imagines pas ta chance ! Besson est déjà sur le tournage de Valérian & Laureline (la plus belle rousse de la BD a disparu du titre...) :

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=237821.html

 

Pour ta gouverne, Jean-Claude Mézière et Moebius avaient participé au graphisme du 5ième Element, à la demande de JL Besson qui sait parfaitement s'entourer des meilleurs :

http://www.noosfere.org/mezieres/pages/cinema/mon5elementT.asp

 

Savoir s'entourer des meilleurs n'empêche pas de pourvoir pondre une daube :p

 

Dans le genre massacre de BD, on a vu ce qu'il a fait d'Adèle Blanc-Sec...

 

Il y aura aussi Rihanna à l'affiche !!!

 

C'est vrai que c'est une plus-value... Grâce à elle, le nanar intersidéral Battleship est devenu... un simple nanar ! ;)

Modifié par pat59
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2 - il n'est cependant pas interdit de remettre les choses à leur place, quand un produit est lancé comme une marque de lessive on a le doit de s'en prendre à l'opération de markéting

Ah ben oui, aucun sens critique ni aucune conscience de quoi que ce soit, qu'est-ce tu veux...

Heureusement qu'il y a des gens plein de bon sens pour nous remettre les idées en place :rolleyes:;)

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Dans le genre massacre de BD, on a vu ce qu'il a fait d'Adèle Blanc-Sec...

Tardi qui est quand même le mieux placé pour parler de cette adaptation a adoré !

 

J'adore Adèle Blanc-Sec en BD et j'ai aussi beaucoup apprécié le film et Louise Bourgoin tout simplement géniale.

+1

 

Ah ben oui, aucun sens critique ni aucune conscience de quoi que ce soit, qu'est-ce tu veux...

Heureusement qu'il y a des gens plein de bon sens pour nous remettre les idées en place :rolleyes:;)

N'est ce pas ! ;)

 

Depuis EuropaCorp je boude Luc Besson.

T'as qu'à bouder si tu veux, t'es libre... moi ce serait plutôt Nolan que je vais bouder depuis son dernier nanar de luxe

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Depuis EuropaCorp je boude Luc Besson.

Edit : c'est Christopher Nolan, pas J.Nolan

 

Non non, pour Fondations d'HBO, c'est bien Jonathan Nolan, pas Christopher... il faut aller voir le lien que je donnais plus haut.

 

 

J'adore à la 75eme minute la révélation sur la vraie nature de la Force... on rejoint l'épice de Dune, c'est tout bonnement génial.

 

Modifié par Fred_76
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Cela n'a rien d'exceptionnel de créer un univers puis à l'intérieur de celui-ci y élaborer des histoires (qui se suivent plus ou moins).

Je vais citer H.P. Lovecraft, J.R. Tolkien, Émile Zola etc... etc... Le spin-offre n'est pas une invention moderne.

Cessons de critiquer une œuvre parce qu'elle a plusieurs épisodes tant que celui-ci est bien fait et cohérent.

 

Et Balzac avec la comédie Humaine, probablement un des premiers à faire réapparaitre des personnages dans des histoires différentes....

 

JL

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Et Balzac avec la comédie Humaine, probablement un des premiers à faire réapparaitre des personnages dans des histoires différentes....

 

JL

 

Effectivement, ce n'est pas nouveau. Chrétien de Troyes et Rabelais s'y étaient essayés un peu avant... Mais cela n'a rien à voir avec la saga Les guerres de l'Etoile !

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Non non, pour Fondations d'HBO, c'est bien Jonathan Nolan, pas Christopher... il faut aller voir le lien que je donnais plus haut.

 

 

J'adore à la 75eme minute la révélation sur la vraie nature de la Force... on rejoint l'épice de Dune, c'est tout bonnement génial.

Scusi, ca m'a échappé que le frangin à participer à Interstellar...

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Bonjour,

 

J'aime bien cette série même si pour moi ce ne sont que des films.

 

La refonte des IV, V et VI avec par exemple le bonhomme en fourrure remplacé par le Jabba The Hunt tel qu'il devrait être était une bonne chose.

 

Par contre vaut mieux éviter les séries animées Clone Wars qui sont du niveau d'un story board.

 

Je suis tout de même curieux de voir ce que donne cet épisode VII.

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Je suis allé voir ce film et disons le tout de suite, c’est une belle surprise, un épisode à la hauteur des premiers !! Paraisseusement je fais un copier/coller de la critique de JM Lalanne (Les Inrocks) qui a tout compris :

 

http://www.lesinrocks.com/2015/12/16/cinema/star-wars-episode-vii-un-reveil-en-beaute-11793803/

 

“Star Wars épisode VII” : un réveil en beauté

 

Avec J. J. Abrams aux commandes, le premier volet de la nouvelle trilogie est une réussite totale. Critique enthousiaste et sans vrais spoilers.

 

Cela ne nous était jamais arrivé dans toute notre vie de spectateur de Star Wars : désormais, le personnage principal est dans la même position de savoir que nous. Les spectateurs, abasourdis, qui ont découvert en 1977 la première trilogie (épisodes IV, V et VI) exploraient pour la première fois un univers très constitué et une bible narrative complexe où tout était à découvrir.

Ceux qui vingt ans plus tard ont vu la deuxième trilogie (épisodes I, II et III) assistaient à une sorte de remix technologiquement upgradé de la première trilogie, dont la séduction tenait pour beaucoup à la réactivation de vieux fétiches (sabres laser, ordre Jedi, etc.) et de quelques personnages (Obi-Wan, Yoda…). Mais sa nature de prequel empêchait cette nostalgie Star Wars de s’inscrire dans la fiction (puisque tout avait lieu vingt ans plus tôt). Désormais, puisque l’action se déroule trente ans après l’épisode IV, l’effet de miroir fonctionne à plein régime ; des deux côtés de l’écran, la même connexion aux émotions et à l’imaginaire de l’enfance

Rey (la puissante Daisy Ridley), cette jeune et ravissante pilleuse d’épaves qui zone sur la sinistre planète Jakku, est comme nous : une spectatrice de Star Wars, voire même une mégafan. Elle connait déjà les faits d’armes de chacun (“Vous êtes le fameux Han Solo” lance-t-elle à un Harrison Ford hébété, avant d’enchaîner “Vous avez combattu aux côtés de Luke Skywalker, je crois… “). Son enfance a été bercée par des histoires d’affrontements entre Jedi et Sith. Et, comme nous, elle connaît la stupeur et le délice, à chaque station de son périple, de voir ressuscitées toutes ces figures doudous: Han Solo donc, mais aussi Chewbacca, la princesse Leia (allez on spoile sans vergogne : elle ne porte plus de macarons et Han lui en fait discrètement la remarque – “You changed your hair“!), C-3PO, R2-D2 et pourquoi pas Luke Skywalker…

 

L’émotion des retrouvailles

Cette inscription à même le récit de la nostalgie, cette prise en compte de la ferveur émue de ces retrouvailles, est une des très grandes réussites de ce nouvel épisode. JJ Abrams, qui a aussi exhumé au poste de co-auteur l’antique Lawrence Kasdan, qui avait écrit L’Empire contre-attaque et Le Retour du Jedi, réussit l’exploit d’éviter l’emphase, la pompe, mais aussi le pastiche, le clin d’œil rigolard. Le premier rallumage de sabre laser, le premier décollage du Millennium Falcon le casque de Dark Vador rendu à l’état de vieille relique maléfique, donnent lieu à de véritables petites liturgies de mise en scène – comme autant de cierges déposées aux pieds du mythe.

Mieux encore, le bouleversant premier face-à-face entre la princesse et Han Solo, avec, passé l’obligatoire champ/contrechamp ce recadrage sublime sur le côté et en recul, comme induit par une soudaine bouffée de pudeur, est une petite merveille de découpage, comme si, tout à coup, le film avait le tact de laisser ses personnages s’abandonner à leurs émotions, subtilement soustraits à notre regard. La croyance est là, au plus vif, intacte, mais pas la momification. Aucune ironie, ni second degré, mais pas non plus la noirceur un peu plombée de la fin de la prélogie (qui racontait il est vrai la bascule dans une dictature). On sait depuis Super 8

la délicatesse extrême d’Abrams pour restituer la vibration particulière des cinéphilies de l’enfance et on en retrouve ici toute la saveur acidulée

L’un des points saillants de ce Réveil de la Force est d’ailleurs de se tenir finalement plus près de Super 8 (du côté de la douceur, l’émotion, les brumes d’une légère mélancolie) que de l’autre saga intergalactique mise en scène par Abrams. On retrouve en effet assez peu de Star Trek dans ce Star Wars. La virtuosité visuelle inouïe que le cinéaste déployait pour chorégraphier les virevoltantes batailles de l’Enterprise, sa façon de concevoir tout plan comme une petite scénographie lumineuse, tout en clignotements, reflets, taches multicolores, au bord de l’abstraction graphique, paraît ici mise en veilleuse. Moins d’expérimentations plastiques et plus de profondeur fictionnelle ; moins de matières en fusions, de délires artificiers et plus de puissance psychologique. Aucune volonté d’hydrocution formelle, pour qu’en demi-teintes sourde l’émotion.

 

Volonté politique de rénovation

Cet immense respect pour l’identité de la saga, cette façon assez modeste qu’a le cinéaste de se mettre au service d’une entité qu’il considère manifestement comme plus grande que son univers propre, s’accommode toutefois d’un certain nombre d’innovations. Elles portent pour l’essentiel sur une volonté politique de rénovation.

Comme par exemple l’inscription parmi les principaux protagonistes de la nouvelle trilogie, un acteur noir (là où Samuel L. Jackson, en membre du conseil Jedi dans la deuxième trilogie, n’occupait qu’une fonction assez périphérique). John Boyega interprète ici Finn un stormtrooper, soudainement pris d’horreur pour les massacres qu’il est sommé de perpétuer, et se retourne contre son commandement. La première scène, lorsque son casque blanc est soudainement maculé de sang, et qu’un plan insistant sur cette stigmate rouge permet de lire une émotion humaine sur cet appendice de métal est d’entrée un des climax dramatiques du film

Même revirement vers plus de mixité (de couleur, de genre) en matière du personnage principal. Si la princesse Leia, puis Amidala, imposaient des figures féminines stratèges et rebelles dès les deux premières trilogies, aucune n’avaient la polyvalence de Rey la pilleuse d’épaves, véritable guerrière dont les prouesses physiques constituent les principales scènes d’action du film (dans une logique de féminisation du film de genre dans la droite lignée d’Hunger Games ou Divergente). Il n’est pas indifférent que le grand duel au sabre laser final soit pour la première fois un combat mixte. (Attention, spoiler) Un garçon contre une fille, avec avantage pour la seconde.

A la fois réformateur sur le fond et extrêmement déférent sur la forme, d’un très grand soin dans sa direction artistique et d’une facture sereinement classique, trépidant dans l’enchaînement de ses péripéties et profond dans le développement de ses caractères (on se gardera de dévoiler tout l’enjeu tragique qui se noue autour du magnifique bad guy Kylo Ren, auquel Adam Driver prête toute sa prestance dégingandée et l’intensité de ses traits parcimonieusement dévoilés), le film est un modèle d’équilibre. Star Wars VII est non seulement à la hauteur de l’attente mais il permet à la franchise de reprendre la main sur l’industrie du spectaculaire hollywoodien. Et s’impose avec Mad Max – Fury road non seulement comme un blockbuster très réussi mais aussi, tout simplement, comme un des meilleurs films de l’année

 

Jean-Marc Lalanne

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Quand on voit les références de l'auteur (Star trek, Mad Max 4)ainsi qu'au politiquement correct on a tout de suite compris le genre de cinéma qu'il adore. Ça ne me donne pas du tout envie d'y aller. J'attend en revanche avec grande impatience le prochain Tarantino.

 

Cela dit les goûts et les couleurs...

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Quand on voit les références de l'auteur (Star trek, Mad Max 4)ainsi qu'au politiquement correct on a tout de suite compris le genre de cinéma qu'il adore. Ça ne me donne pas du tout envie d'y aller. J'attend en revanche avec grande impatience le prochain Tarantino.

 

Cela dit les goûts et les couleurs...

 

Tu aimes le prochain Tarantino sans l'avoir vu et tu dezingues le dernier Star Wars sans l'avoir vu :fart:

 

c'est t'y donc pas des idées préconçues, ça? :?:

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Oui ça me fait toujours sourire ça... comme si aimer plutôt Tarantino et Almodovar que les frères Cohen ou Besson ça mettait "au dessus du lot"... ben je dois être bon public moi, j'aime globalement tout, du moment que le film me fait vibrer, les terminator, avatar, interstellar, alien, les goonies, abyss, la reine des neiges, rayponce (ben oui :be: ) etc, etc, c'est "commercial" ? ben tant pis, je suis le troupeau du moment que l'herbe me paraît à mon goût

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