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sixela

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Tout ce qui a été posté par sixela

  1. Le plus souvent c'est pendant le transport Chine->Europe que le miroir à pris un coup. Et ce n'est pas toujours visible si le morceau manquant se perd...
  2. Il n’insinue rien, mais en effect la taille du pseudo-disque d’Airy au plan focal pour in système focalisant parfaitement ne dépend que du rapport d’ouverture, le diamètre n’influant que sur l’échelle d’image qui y correspond (donc sur la relation 1µm->x arc sec.) C’est surprenant mais tout à fait exact. https://www.edmundoptics.eu/knowledge-center/application-notes/imaging/limitations-on-resolution-and-contrast-the-airy-disk/ Voir la table 1. La PSF est d’ailleurs une fonction 2D sur le plan euclidien, donc lui donner une taille est un peu grinçant. Je crois donc que tu parles de la taille du pseudo-disque mesuré en « optical units » (qui sont des chiffres sans dimensions); le minimum théorique jusqu’au premier minimum est de 3.83 mais bien sûr si on mesure avec un capteur, comme le minimum est assez large et sombre, on peut obtenir un peu mieux (et si on prend le FWHM du pseudo disque encore moins, bien sûr). donc je ne mets pas en doute les résultats, mais pour ce qui est des unités et de la nomenclature….
  3. En Belgique il faut tout juste éviter de faire un montage clairement destiné à être utilisé sur une arme à feu. À part ça aucun problème. Au Pays-Bas même pas cette restriction. Par contre, éviter d’aller aux États-Unis. On rentre avec le schmilllblick mais on n’en sort sans (sans licence d’exportation en pratique impossible à obtenir).
  4. Pourquoi alors empiler l’adaptateur 2” et l’adaptateur 1,25”? il te faut probablement une rallonge intermédiaire, ou un adaptateur 2"-1,25" à profil plus bas (à mettre dans l’adaptateur 2" à gauche sur la photo). Pointe plutôt le télescope vers la Lune et détermines le plan focal avec une feuille de papier (au plan focal l’image de la Lune est nette). C’est environ autour de cet endroit (+-1 cm) que le début de la jupe de tes oculaires devra se trouver.
  5. Pas nécessairement. En devenant moins sélectif on va légèrement augmenter la luminosité surfacique de la nébuleuse (puisque le fond du ciel plus clair va s'y ajouter) ce qui va permettre de grossir un poil de plus, et on aura plus d'étoiles (et elles auront des couleurs un peu plus naturelles). Mais comme le contraste est moins élevé on ne verra pas plus qu'avec un vrai "Ultra High Contrast", qui montrera les mêmes détails de contraste à grossissement moins élevé grace au contraste plus élevé. J'ai donc plutôt tendance à prendre un UHC agressif tout en adaptant le grossissement à la luminosité surfacique de la nébuleuse (2,2 mm - 3,2 mm de pupille de sortie dans mon expérience c'est bon pour un filtre UHC assez raide, mais 2,2 mm est déjà une pupille de sortie petite pour un OIII pour les nébuleuses peu lumineuses). Mais c'est aussi une question de budget: ce n'est pas un hasard si les filtres les plus raides sont également les plus chers, parce que le placement de la bande passante est bien plus critique.
  6. Comme je l'ai posté dans un autre sujet: En rouge un vrai "Ultra High Contrast", qui passe le minimum autour des lignes d'émission (un Astronomik). En marron, un Baader UHC-S, qui ressemble plus à un Lumicon Deespky (en bleu) qu'un Lumicon UHC. La hausse de contraste n'est pas maximalisée, par contre les couleurs des étoiles est moins affectée et il y en aura plus. Mais je trouve le nom un peu trompeur.
  7. sixela

    Filtres UHC

    Pour injecter un peu de données objectives, quelques courbes mesurées sur les filtres dont lesquels on parle... La barre rouge verticale est l'émission H-bèta, les deux vertes sont les émissions OIII. À droite tous ces filtres ont une bande passante secondaire près du H-alpha (pour des applications photo, comme les nébuleuses en H-bèta rayonnent encore plus en H-alpha), mais la vision nocturne ne voit rien au dessus de 625nm. En rouge l'Astronomik, en vert l'ES. On voit bien que l'ES est moins sélectif, ce qui va réduire le contraste entre la nébuleuse et le fond du ciel, en réduisant la visibilité surtout des détails les plus faibles (typiquement les extensions extérieures moins lumineuses). Par contre, on verra plus d'étoiles. En marron le Baader UHC-S, en bleu le Lumicon Deepsky (encore moins sélectifs).
  8. sixela

    batterie lifepo4

    Voir message de Colmic ci-dessus.
  9. sixela

    Filtres UHC

    Chez Lumicon il s’apparente plutôt au « Deepsky » et chez Astronomik à l’UHC-E. moins sélectif.
  10. Si vraiment un Dobson 200 n’est pas possible à cause de l’encombrement, il y a aussi le Heritage 150p (à poser sur une caisse ou un tabouret stable); ici en mode de stockage (tube replié). Il existe même une version motorisée (« Virtuoso ») avec localisation d’objets.
  11. sixela

    Filtre OIII

    Ici en Europe, il n'y a pas photo: le seul très bon filtre encore un peu abordable est l'Astronomik (également vendu par ICS). Fabrication allemande oblige... Le Baader OIII est encore plus raide mais ne laisse passer qu'une des deux lignes OIII, et n'est donc utilisable qu'avec encore moins de grossissement.
  12. Jamais faire ça: le miroir primaire n'a pas une position stable dans le barillet. En plus, l'araignée se tord de façon maximale. Mieux vaut collimater avec le tube sur la monture, en position plus où moins égale à ce qu'on va utiliser pendant la session. Si possible mettre le capteur au dessus ou en dessous du tube en milieu de session.
  13. Pour moi c'est du tilt, et malheureusement avec des outils qui ne pèsent pas autant que le capteur et dans une autre position on peut avoir des effets semblables: la collimation avec les outils est bonne, mais en usage elle est différente ou l'axe du PO n'est pas perpendiculaire au plan du capteur. Si on n'a pas la même collimation partout...au fait dans quelle position est-ce que tu collimates le tube? Bien tendre les pattes de l'araignée, sinon la collimation dépend de l'orientation du tube (le secondaire s'affaisse). Quand au tilt du senseur, ça peut être bien des choses: senseur et correcteur de coma qui ont du jeu dans le PO, le PO qui tord le tube, etc.
  14. sixela

    Filtres UHC

    Euh -- je trouve que ces filtres ont un énorme effet, mais seulement sur les nébuleuses à émission, et à condition de ne pas trop grossir pour celles à basse luminosité surfaçique. Pour les petite nébuleuses planétaires à haute luminosité surfacique, en effet, le filtre est souvent inutile (comme le contraste inhérent avec le fond de ciel est déjà assez haut et que le fond de ciel dans l'oculaire est déjà sombre à haut grossissement). Tout ça à condition d'utiliser un filtre haut de gamme (Lumicon, Astronomik, Thousand Oaks etc.)
  15. sixela

    Filtres UHC

    Ce n’est pas ce que je lis. C’est plutôt: prend un Astronomik UHC (pas le UHC-E, autant prendre un ES) si tu as le budget, sinon un ES.
  16. Perso, je préfère encore un Heritage 100p. Moins d’ouverture, mais on peut quand-même le pousser jusqu’à 150x.
  17. Le National Geographic est pourtant réputé avoir un miroir sphérique…à f/4 même avec ce diamètre ça ne pardonne pas. Ayant ‘observé’ dans des Bresser Pluto (également 114/500 sphérique) je ne puis que confirmer.
  18. Si, l'orientation est mise d'usine pour minimaliser l'astigmatisme du système (donc pour compenser l'astigmatisme résiduel de premier ordre mutuel des deux miroirs). Bien sûr au plus les miroirs sont des figures de révolution au moins ça a d'importance...
  19. C'est plus pointu qu'un SC. Le grand problème des RC GSO, c'est que le PO est solidaire du barillet du primaire. Au fait il faut ou bien désolidariser ça, ou installer un "tilt ring" et alors la collimation devient très galère. Sur un "vrai" CC ou RC d'une autre marque on aligne tout sur l'axe du PO (qu'on aura d'abord réglé vers le milieu du tube), sur les GSO quand on règle le primaire l'axe du PO change à nouveau...avoir un plan focal non incliné sans coma au milieu du champ n'est vraiment pas simple. Sur un SC il n'y a que le secondaire à régler, et on éspère une bonne mécanique d'usine pour le reste (avec éventuellement un "tilt ring" si elle ne l'est pas) mais au moins quand on incline le secondaire l'axe du PO ne se fait pas la malle. On peut bien sûr collimater un Cassegrain GSO comme le SC: on pointe le PO vers le milieu du secondaire (en inclinant le primaire!), on nulle la coma au centre du champ avec le secondaire, on mesure le tilt, on utilise le "tilt ring". C'est une des méthodes (qui n'est pas entièrement optimale et peut laisser un résidu d'astigmatisme mais peut être pratique), qui au fait aligne tout autour de l'inclinaison du primaire à laquelle on ne touche pas trop. Mais bon, test sur étoile obligatoire, alors qu'on préfèrerait une méthode qu'on peut utiliser 'en salle' avec des outils de collimation. Et d'autres ont d'autres savantes méthodes pour dompter ces bêtes (selon l'outillage).
  20. D'où le nom "RC". Les "CC", par contre, ce sont les "Classical Cassegrain".
  21. Non, c'est du GSO de base, tout comme les "Kepler". Pas pire mais pas meilleur non plus. Quand à savoir s'il faut se méfier des accessoires de production de masse, vaste débat...
  22. Uhm - Omegon est la marque maison de Nimax GmbH, connus par nous comme "Astroshop".
  23. Le "manuel" n'existe en effet plus qu'en version 'Virtuoso' pour le 114p, mais le 100p existe encore en version manuelle. Il est très c ompact et pratique, mais ne montre quand même moins qu'un 130/650 (à miroir parabolique bien sûr, pas un Astromaster 130 ou Celestron Nexstar 130). Si, mais même à 180x je trouve que suivre manuellement n'est pas vraiment un problème. Et on ne va pas passer au-delà sur un 114mm.
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