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Tout ce qui a été posté par Vesper
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Splendeur ! Grand bravo !
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Merci pour vos passages, appréciations et sympathiques commentaires. C'est à mon avis la meilleure démarche pour connaître le ciel, en devenir intime...
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Ah oui j'avais lu trop vite : tu parlais du Scorpion, ok.
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Salut, Les "Pléïades du sud" ?
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Au fond de la nuit Des nébuleuses sur mon Miroir de cristal Le temps est subjectif, malléable, élastique… C’est une matière souple, une pâte… Et j’espère que vous serez d’accord avec moi, car ce CROA est un souvenir. Oh pas très vieux tout de même : juillet de l’année dernière, aux Nuits du Causse noir, les fameuses NCN… J’ai dû être, ces derniers mois, sur une planète à gravité élevée où le temps s’écoule plus lentement. Du coup me voici, fin avril, pour un CROA qui n’est plus très éloigné d’une pleine rotation de la Terre autour de notre bonne vieille étoile. Mais qu’est-ce qu’une année à l’échelle de l’univers, mhh? Bon en vrai : j’ai eu la flemme. Et puis, je tenais quand même à finaliser ce séjour par un écrit, à présenter quelque chose cette année : “L’essentiel, c’est de participer” (de Coubertin of course). Voilà. Bref, ça reprend toujours de la même façon : avec une voiture bien chargée. Le matériel d’astro, les affaires de camping, le viatique pour une petite quinzaine en autonomie totale. L’enchaînement des autoroutes qui défilent, qui dévalent au point d’avoir l’impression de tomber dans un tunnel où je rattrape continuellement la même caravane de néerlandais, le même camion gros porteur, les mêmes remorques. Je reste quand même en sécurité en m’arrêtant de temps à autre, on dira ce qu’on veut nos autoroutes françaises sont bien faites et il y a de nombreux points de vue remarquables : celui du pont de Garabit vaut bien un arrêt par exemple. Et puis je découvre “la méridienne”, l’autoroute voulue par Giscard, la plus haute de France paraît-il, et qui aboutit au viaduc de Millau que je me réserverai pour le retour. En attendant je sors en amont et enquille les petites routes des causses. On arrive vite un peu en hauteur, les horizons se dégagent bien, tiens : c’est le genre de lieu où un rassemblement astro pourrait se tenir… J’arrive sur le fameux causse Noir, trouve le camping de Pradines, c’est bien, c’est grand, clair et dégagé, planté de télescopes et autres lunettes. Je n’ai aucun mal à localiser l’ami Xavier : son 500, même incliné tel un arbre qui se repose (!) est identifiable de loin. Finalement je planterai la tente à quelque distance, sous un pin qui fournira une ombre bienvenue car en journée il fait chaud. Le terrain des réjouissances est vaste, ses bordures sont plantées de pins et de broussailles sans que cela nuise au dégagement des horizons nécessaire aux explorations étoilées. Ou plutôt devrais-je dire : les terrains. Il y a un terrain dédié aux observateurs visuels, dont je suis, un autre réservé aux astrophotographes. Et puis il y a un troisième terrain pour Astrociel, qui a rejoint les NCN faute de site désormais, Valdrôme ayant définitivement fermé la petite station de ski qui l’accueillait. Quel dommage, le ciel là-haut était tout à fait excellent, sec, dépoussiéré. J’étais l’an dernier sous label Astrociel, cet été 2024 sous étiquette NCN, je retournerai cette année chez Astrociel : un coup à toi, un coup à moi, pas de jaloux. J’ai opté pour un séjour prolongé, qui englobe les NCN elles-mêmes plus une extension de 7 jours. Je résumerai ici toutes les nuits en une seule, l’énumération chronologique de chacune des nuits serait fastidieuse, et puis il s’agit de mes notes et souvenirs, je n’ai plus la proximité nécessaire avec l’événement pour en dérouler le compte-rendu quotidien. Et les nuits seront bien jolies par ici. Nous sommes dans la réserve internationale de ciel étoilé (RICE) des Cévennes, à 900m d’altitude. Je m’installe à proximité du chêne de Xavier, que dis-je, de son 500 en bois de Bourgogne (plus précisément de Saône et Loire, pour les initiés). Assemblage de mon fidèle dobson 300 : légèreté, minimalisme, pureté des lignes claires, élégance : une approche de l’astronomie dépourvue des fioritures qui encombrent, qui éloignent, qui distancient l’observateur du ciel. Au début des nuits le terrain bruisse encore de conversations, de mouvements furtifs : partout on s’affaire autour des instruments, les goto-istes cherchent leurs étoiles repères (j’entends notamment deux dames non loin de moi : - “IL ne trouve pas l'étoile” !!! - “Tu as appuyé sur le bouton flèche vers le bas ?” - “Tu veux dire avant ou après avoir validé” ??, etc.), moi avec mon dobson je suis déjà loin, très loin. En début de nuit j’aime rendre visite aux classiques, d’abord car c’est la courtoisie la plus élémentaire quand on est dans le voisinage, ensuite parce qu’ils sont brillants et faciles, ça permet de se mettre en jambes (enfin : en yeux) et de ne plus se ruiner la vision nocturne avec un flash de, disons M 13, par la suite. La voie lactée se déploie d’un horizon à l’autre, le Grand Rift est bien visible, la nébuleuse de la Pipe est discernable avec un peu d’attention. J’estime le ciel à un bon Bortle 2. Je lève les voiles avec mon nouveau Pocket Sky Atlas “Jumbo édition” (qui n’a plus de “pocket” que le nom, mais qui a l’avantage d’intégrer quelques objets de plus et surtout d’offrir des cartes plus grandes, plus lisibles, atout précieux pour le presbyte encore diminué par la lumière rouge), quelques cartes de champ et surtout deux incontournables à mes yeux : le “Deep Sky Wonders” de Sue French (version augmentée de son déjà excellent “Celestial sampler”) et les chroniques “Small wonders” de feu Tom Trusock, que j’avais compilées depuis le forum Cloudy Nights (et mises à disposition ici : https://www.webastro.net/forums/topic/259032-small-wonders-tom-trusock/ ) La démarche : chercher, certes parfois sans succès, mais en cas de victoire la satisfaction est intense, c’est une vraie victoire, pas une victoire électronifiée à la Pyrrhus… Sauf pour les événements transitoires, ponctuels, où j’utilise par exemple Sky safari, mais c’est bien rare. Vite je rattrape le Scorpion qui plonge en début de nuit derrière un pin, pour observer nu Scorpii, ou “Jabbah” (sans Hut, désolé), une belle double écartée Juste en dessous, à environ 2° au sud-ouest, beta Scorpii, alias Graffias, alias Akrab. La belle est double, plus serrée que nu Sco. Un détour obligatoire par M 4, toujours à la droite d’Antarès (il n’a pas bougé !), le gros du Scorpion, puis M 80 : au 6,4mm il explose dans le champ en un jet de bulles mousseuses, mais il ne tient pas le Nagler 5mm, c’est trop, même ici, il est déjà trop bas. Je file dans le Sagittaire, pour revoir le Lagon (M 8). Une visite de courtoisie aux classiques s’impose toujours, je l’ai dit, et puis j’y reviendrai fréquemment : aux visiteurs et autres curieux je montrerai répétitivement “les-merveilles-du-ciel-d’été” durant le séjour. Puis bien entendu M 20, la Trifide, qui est sur le lagon comme un nénuphar posé sur l’eau. M 17, le Cygne, majestueux, structuré, certains soirs il sera même brillant et d’ailleurs visible à l’oeil nu. Toujours remontant j’aborde M 24 qui, d’après Wikipedia : "n’est pas réellement un objet du ciel profond. Avec M 40 et M 73, il fait partie des trois objets du catalogue considérés comme des erreurs. (M 40 est une étoile double, M 73 un astérisme).”, puis M 16 qui, lui, aura les faveurs du public de passage. Dans le fond, c’est simple : sur un lagon sont posés successivement un nénuphar et un cygne. Plus haut, un aigle domine la scène (prêt à fondre sur le cygne ? Les aigles chassent-ils les cygnes ? M’étonnerait...). M’enfin bref, l’image est là. Je redescends rapidement vers M 28 et M 22, ce dernier étant nettement le plus gros des deux. Mais je veux revoir la fameuse fenêtre de Baade, découverte l’an dernier à Valdrôme en suivant les balades de Tom Trusock : “As you look toward Sagittarius, be aware you are looking toward the center of our galaxy. In fact, the precise center is located about 4 degrees WNW of 10 Sagittarii (Gamma) … There are two readily visible globulars that lie in the area known as Baade's Window: NGC 6522 and NGC 6528.” A un petit demi-degré au nord de l’étoile Al Nasl, on trouve en effet NGC 6528 et 6522, deux pâles amas globulaires, visibles grâce à une trouée dans les voiles de poussières qui sinon bloquent la vue en direction du centre galactique. C’est une fenêtre ouverte sur le centre de la galaxie. C’est pâle, peu spectaculaire, mais l'observation visuelle est un plaisir intellectuel autant qu'esthétique. Je reviens ensuite beaucoup plus près, dans le système solaire, car il paraît que Cérès passe par là. Je suis dessus, c’est certain, mais j’hésite entre trois points lumineux : l’un d'eux est forcément le célébrissime astéroïde (ou faut-il dire “planésitimal” ?), mais j’échoue à l’identifier formellement et je ne veux pas m’éblouir avec Sky safari. Quelle étrange monomanie, me dis-je, que cette activité qui me pousse à rester éveillé pour identifier de petits points lumineux… Plus bas je rattrape in extremis M 54, tout petit mais condensé, M 69 puis M 70, avant qu’ils ne disparaissent derrière un pin. Pour me consoler je file plein est, en direction du Capricorne, pour trouver NGC 6818 ou Little gem, très jolie : un ovale qu’il faut grossir pour découvrir un centre renforcé avec quelques détails, et qui sort très bien à l'OIII. Juste au sud, il devrait y avoir la galaxie de Barnard, NGC 6822, que j’échouerai plusieurs nuits à trouver. Finalement c’est Xavier qui, passant par chez moi, la retrouvera d’une pichenette désinvolte sur mon instrument, avec une remarque du style : “moui pas mal, ça me rappelle au bois de Vincennes avec mon Strock (254)”. Pour moi c’est un zeste de noir sur une plage de néant. J’ai dû passer dix fois dessus. Bien plus au sud et proche du coucher j’accroche encore M 75, petit globulaire condensé mais turbulent. Plus tard dans les nuits, le terrain s’apaisera : les curieux seront partis, les plus couche-tôt des astrams aussi. Même Xavier fait parfois un somme, allongé de tout son long au pied de son 500. (...) à suivre
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...Restons correct, svp.
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Salut, Oui, ce collier de perles galactiques est splendide, voire fascinant ! L'observation visuelle est décidément un plaisir tout autant esthétique qu'intellectuel... Et puis les premières fois ont toujours un charme bien particulier !
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Ton 24 est en 31,75 je pense. Recherche faite, un tel oculaire peut accueillir un cône de lumière d'une dimension de 27mm environ (suivant l'épaisseur du métal employé pour confectionner le barillet), ce qui fait 1.5 ° environ sur le ciel. En 50,8mm on obtient un cône de 46mm max., ce qui permet théoriquement un champ sur le ciel de 2.6°. 🙂
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Je pense que les ténors du forum pourront te répondre, il faut calculer le diamètre du cône de pleine lumière... Et sinon : tester, avec ton oculaire de plus longue focale et de plus grand coulant. ...Toujours de la bien belle ouvrage : bravo ! 🙂
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Hello helloo ! Je pense que tu as connaissance de cela : ici : https://magnitude78.astrosurf.com/kineoptic/ ? Evidemment, il faut être un peu tourneur, un peu concepteur 3D (ce que je ne suis pas moi-même, hein : je donne juste de grands conseils 😁)... 😉
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Il y a 30 000 ans ?
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Matériel Lunette Perl JPM SYW 60/700
Vesper a répondu à un sujet de Cassius1999 dans Photos de vos antiquités ! de L'astronomie vintage !
C'est sûrement une bonne idée ! ...Pour mieux sauter ! -
Matériel Lunette Perl JPM SYW 60/700
Vesper a répondu à un sujet de Cassius1999 dans Photos de vos antiquités ! de L'astronomie vintage !
Vaste question, et la réponse dépendra aussi de l'instrument envisagé dans le futur (?). Personnellement j'ai eu un peu de tout, et j'ai gardé les Naglers (Télévue) et deux oculaires ES (que je trouve équivalents voire même légèrement supérieurs à leurs équivalents Télévue ! Lumière plus blanche). Mais si tu envisages du matériel Takahashi, clairement tu tapes dans le haut de gamme donc il serait cohérent de rester dans un haut de gamme oculaire. Evidemment, les prix seront à l'avenant (un seul oculaire te coûtera 5 ou 6 lunettes 60/700. Tiens : on pourrait compter en lunettes Perl 60/700 ! ). C'est sûrement la limite de ce raisonnement. Un autre raisonnement pourrait consister à dire : équiper ta lunette Perl en oculaires 24,5. Ils seront peu chers et formeront avec cette lunette un ensemble cohérent. Et cela laissera la porte ouverte à un futur et indéterminé instrument ("toujours indéterminé est le futur". Yoda ). Ce sont deux options qui se défendent, désolé de ne pouvoir être plus clair ! -
Matériel Lunette Perl JPM SYW 60/700
Vesper a répondu à un sujet de Cassius1999 dans Photos de vos antiquités ! de L'astronomie vintage !
PS : cette bague-ci présentera l'avantage de provoquer le moins de vignettage possible. Contrairement aux adaptateurs qui se glissent dans le coulant 24,5mm (comme un oculaire), cette bague se visse en lieu et place du porte-oculaire d'origine (oui : il se dévisse ). A mon avis, c'est le meilleur compromis : https://www.maison-astronomie.com/fr/nonoptiques/6955-porte-oculaire-coulant-3175mm364mm-vixen-bague-p32-4955295372003.html Bien entendu, il te faudra alors un renvoi coudé au format 31,75mm (mais on en trouve de très corrects pour peu cher). -
Matériel Lunette Perl JPM SYW 60/700
Vesper a répondu à un sujet de Cassius1999 dans Photos de vos antiquités ! de L'astronomie vintage !
Oui je pense que c'est une bonne idée (même si en ce qui me concerne je l'ai toujours utilisée avec ses oculaires d'origine), car cela te permettra de pérenniser ton investissement en oculaires. Attention néanmoins : les oculaires grand champ modernes vont présenter un vignettage (zone sombre sur le pourtours), car pour des raisons physiques l'instrument ne pourra pas faire passer l'intégralité du champ de pleine lumière. Mais c'est peu pénalisant je pense, car de toute façon les oculaires d'origine ne présenteraient pas plus de champ ! Le bord du champ inexploité sera donc "en attente" d'un instrument plus capable. Il y a un fil ici à ce sujet : -
Matériel Lunette Perl JPM SYW 60/700
Vesper a répondu à un sujet de Cassius1999 dans Photos de vos antiquités ! de L'astronomie vintage !
Bonjour, J'ai exactement la même, c'est ma première lunette, ma lunette d'enfance... Et elle est toujours vaillante ! Il existe une bague pour y adapter des oculaires modernes au coulant 31,75mm. Ah, ça me rappelle mes premières émotions astronomiques ! Bonnes observations à toi ! -
"L'homme est un loup pour l'homme" (Hobbes) et c'est ce dernier que je crains le plus (et de loin) pour ma part.
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(livres non-fiction) De quoi occuper les nuits couvertes...
Vesper a répondu à un sujet de GeoffreyJoe dans La médiathèque
Ah oui, 700 volumes tout de même ! 😲 Courage : plus que 699 ! 😁😉 -
Merci. Mais c'est Tom Trusock qu'il faudrait pouvoir remercier : le pauvre est mort en 2019. Je pense (j'imagine) qu'il aimerait que son travail continue à être utile.
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Amateur de belles balades façon "Sue French", j'ai découvert les "Small Wonders" de Tom Trusock il y a quelques années. Il s'agit d'une chronique mensuelle publiée sur le forum américain "Cloudy Nights" entre 2005 et 2009. Cependant, je n'avais jamais entrepris de compiler ces textes en un document unique auquel il serait possible de se référer et qu'il serait pratique d'emporter sur le terrain. Voici qui est chose faite. Ces textes ayant été divulgués et discutés sur un forum public, je pense n'enfreindre aucun copyright ici. Dans le cas contraire merci de m'en informer et je le supprimerai, bien évidemment. Aficionados de balades célestes qui ne connaissez pas (encore) Tom Trusock : réjouissez-vous ! PS : je ne suis pas metteur en pages, d'avance merci pour votre indulgence ! Small Wonders - Tom Trusocks.pdf
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(livres non-fiction) De quoi occuper les nuits couvertes...
Vesper a répondu à un sujet de GeoffreyJoe dans La médiathèque
Passant par ici, j'en profite pour abonder dans le même sens : nombreux sont celles et ceux qui connaissent (avec bonheur, comme moi ) le "Celestial sampler" de Sue French. Un peu moins nombreux sont ceux qui connaissent le "Deep-Sky wonders", de la même autrice ! Celui-ci reprend une partie des promenades (23) du Celestial sampler, mais offre 77 balades (et ballades ! ) supplémentaires, réalisées avec des instruments un peu plus variés : de la paire de jumelles au 15". Ce bouquin est un peu plus difficile à trouver que le Celestial sampler, j'avais dû commander le mien outre-atlantique, mais quel plaisir que ces 77 balades supplémentaires, et puis une fois qu'on l'a, on le garde à vie ! 320 pages de pur bonheur. Bonne suite de fêtes à toutes et tous ! -
Lancement du projet de télescope modulaire de SEVUN
Vesper a répondu à un sujet de jldauvergne dans Matériel général
Pour revenir au sujet initial : il me semble que la modularité proposée est inutile, sans objet. Le postulat de départ est erroné. Navré d'être aussi franc, je suis un peu gêné car les inventeurs - concepteurs me semblent de bonne foi et enthousiastes mais : il me semble que c'est typiquement la fausse-bonne idée, poussée à son paroxysme au fil du temps (c'est compréhensible : on y a investi beaucoup de temps, d'argent... on persévère, on s'accroche). Encore une fois, je crois qu'il faut revenir au postulat de départ : la modularité et ses bénéfices supposés. Navré mais personnellement, je n'en vois aucun (?). -
Le deuxième événement décrit typiquement le déploiement d'une grappe de starlinks. Pour le reste, je ne sais pas...😉
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J'ai l'Astronomik OIII 2", je vais l'essayer avec mes jumelles (8*42 aussi) ! 🙂
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Oui, ça doit être l'extinction complète ! 😀 Je n'ai jamais eu l'occasion d'essayer un OIII sur un si petit diamètre (70mm). Ca reste une expérience à tenter pour moi ! 🙂