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caracara72

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Tout ce qui a été posté par caracara72

  1. Bonjour, Ce sujet m'a tout de suite fait penser à cette magnifique réalisation de @HPMâd Si cela peut te donner de l'inspiration :
  2. Bonjour, Voici mon retour d'expérience pour alimenter les échanges : J'utilise des piles rechargeables 1,2V sur ma Neq5 et cela fonctionne car la monture, comme beaucoup d'appareils, admet une petite plage de fonctionnement autour de la tension nominale. Par contre je ne profite pas de la pleine capacité des piles car lorsque la tension chute lors la décharge, elle sort rapidement de la plage de fonctionnement. Je n'ai pas cherché à mesurer l'impact de sous alimenter la monture, ça doit sûrement changer quelque chose, mais quoi ? (Qualité du suivi ? Couple des moteurs ? Rien en fait ?) En tout cas c'est dommage que skywatcher fasse cette monture en 6V alors que la majorité des montures semble être sur 12V... J'avais songé à prendre une batterie 12V et un abaisseur de tension, mais je n'ai jamais sauté le pas.
  3. Bonjour, J'ai également cet oculaire zoom avec cette barlow, donc je vois bien ce dont tu parles. Ce phénomène est normal : l'ajout d'une barlow modifie le tirage. Si tu veux pouvoir utiliser la jupe en 2", il te faudrait une bague alonge en 2" sur le PO, pour que l'ensemble barlow + oculaire en config 2" ressorte autant qu'en config 1,25"
  4. Bonsoir, Si je comprends bien le raisonnement : lorsque quelque chose tend vers l'infini dans les équations c'est physiquement impossible, or tout ce qui tend vers l'infini peut être exprimé sous forme de série qui tend vers une valeur finie, donc finalement c'est physiquement possible. Mais du coup quand est-ce que quelque chose est vraiment impossible ? Rien ne serait impossible ? Ou alors il y a des raisons plus subtiles qui vont permettre de trancher sur le fait qu'un résultat montre soit les limites d'une théorie, soit une conséquence suprenante mais tout à fait valide.
  5. Bonjour, Pourquoi il n'y a pas d'étoiles sur la couche Ha ? C'est une version starless ?
  6. Effectivement je déconseille de réaliser une modification un peu risquée et embêtante à réaliser pour une amélioration peu significative ! Mais bon j'en parle quand même, c'est toujours bon de faire un retour d'expérience quel que soit le résultat. Il est fort probable que les entretoises sur les tubes aient un meilleur rapport bénéfice/risque. Non, je ne pense pas que ça fragilise l'angle. Le risque c'est d'endommager le miroir lors du perçage puis taraudage du support. Entre l'étau qui doit vraiment bien maintenir le support, les outils qu'il ne faut pas faire déraper, les copeaux de métal qui tombent... même en protégeant au mieux le miroir c'est un peu stressant à faire.
  7. J'ai ajouté une illustration et quelques précisions à ce sujet dans mon poste précédent.
  8. Bonjour @duschnok, Je n'ai pas mon Alkaïd avec moi en ce moment donc je ne vais pas pouvoir faire les essais nécessaires pour te donner une valeur, mais je le ferai dès que je pourrai. Là encore je n'ai pas fais d'essais permettant d'identifier précisément les causes, mais je pense néanmoins que le problème vient surtout : de plusieurs flexions : barres (comme l'indiquent et solutionnent @keymlinux et @j65), branches de l'araignée du secondaire, peut-être support du secondaire. du calage de certains jeux : j'ai l'impression qu'en serrant bien toutes les vis d'assemblage (pas trop pour éviter de marquer les pièces et réussir à démonter) et en effectuant une seconde collimation après avoir pointé différentes zones du ciel avec le télescope, la collimation semble être plus stable. Par contre on ne peut pas faire grand chose contre le jeu des vis de réglage du miroir primaire. parfois du câble qui maintien la tranche du primaire, car ce câble peut soulever légèrement le miroir lorsque l'on vise vraiment bas sur l'horizon à la limite de faire "dérailler" les tourillons du rocker. Je suppose que cet effet levier vient du fait que les fixations du câble sont située trop au-dessus du miroir. C'est une mauvaise surprise qui arrive rarement, mais je soupçonne aussi ce câble de pouvoir se concer entre le primaire et la boite du primaire lors de la collimation, et je trouve par ailleurs ce câble peu pratique pour sortir le primaire afin de le nettoyer. J'ai fait quelques modifications pour essayer de limiter le défaut de collimation en fonction de l'altitude. Cela me semble un peu mieux maintenant, mais je n'ai pas fait de mesure avant/après alors je ne saurais assurer si ces modifications valent le coup : Rigidification du support du miroir secondaire (pièce en V) en le taraudant (opération risquée...) pour y ajouter des vis sans têtes qui "transforment le V en A". Je pensais que le support du secondaire manque de rigidité à cause de la rainure entourée en rouge sur l'image ci-dessous. Honnêtement je ne conseille pas cette modification car elle est risquée pour le miroir secondaire, et d'après mes calculs la flexion du support du secondaire semble négligeable : décalage de l'axe optique de l'ordre de quelques dixièmes de millimètre (pour le moment j'ai estimé les dimensions du support, faute de l'avoir sous la main). Serrage du support du secondaire sur l'araignée, en déserrant légèrement la vis centrale tirante. Je recommande de limer les extrémités des trois vis poussantes pour les rendre plus lisse afin d'éviter qu'elles marquent trop le support du secondaire. Remplacement du câble de maintien de la tranche du miroir primaire par deux touches placées à 90°. Il s'agit des têtes de vis nylon que j'ai vissées sur la boite du miroir primaire. Cette solution n'est pas parfaite car la tranche du miroir glisse mal contre les appuis, donc la collimation ne peut être faite qu'en visant le zénith et en observant le décalage lorsque l'on incline le télescope. D'autre part comme les appuis ne passent pas exactement dans le plan qui coupe le centre de gravité du miroir cela peut théoriquement créer de l'astigmatisme, mais je n'ai pas noté de dégradation de la qualité image. Autres petites modifications qui n'ont rien à voir avec la collimation, mais ça peut être utile : Achat d'une jupe d'un 16" industriel, volontairement prise trop grande pour être sûr que ce soit assez long et large, sachant que ça s'adapte bien à l'Alkaïd 12" une fois vrillée ou maintenue avec des pinces à linge. Mise en place d'une rondelle en caoutchouc sous la rondelle en métal qui maintient le secondaire en place dans la boite de transport pour éviter que la tranche du miroir touche le fond de la boite, et pour faciliter son maintien. Réalisation d'une planchette fixée de façon amovible sous les pieds de la boite de transport pour éviter que le porte-oculaire touche le sol lorsque la boite est posée sur une surface irrégulière (sol gravillonné, champs...) Recherche de différents sacs pour protéger le miroir secondaire, contenir les barres. J'ajouterai des photos pour illustrer certains points.
  9. Bonjour, Justement, dans ce cas pourquoi ne pas garantir le tube intensificateur plus longtemps que le reste des pièces ? La durée de garantie permet de rassurer le client sur la véracité des performances annoncées par un fabricant, et peut être un argument décisif pour se diriger vers un produit plus haut de gamme mais plus fiable que ce qu'il envisageait dans son achat initial. Cette action commerciale est tout bénéfique pour le fabricant, qui n'a de toute façon que peu de retours puisque son produit est fiable. Par contre il faut être en mesure de déterminer si le produit à subi une éventuelle utilisation anormale, et être sûr que cette action commerciale augmentera suffisamment le chiffre d'affaire pour compenser le sav aussi rarement sera-t-il utilisé.
  10. Le temps de faire bien les choses 😉 J'ai toujours mon sumerian optics, mais depuis quelques temps je ne trouve que rarement l'occasion de le sortir malheureusement...
  11. Bonsoir, Je suis content de voir que ces optiques vont servir, intérgrées dans ce télescope qui est une très belle réalisation. Bonnes observations !
  12. Bonjour, Pour faire hiberner une tortue, probablement une tortue d'Hermann ?
  13. Bonjour, Ce n'est pas le premier post dans lequel je remarque que le prix d'entrée de 7000 € de ces oculaires de visions nocturne étonne. Pourtant je ne trouve pas ce prix si extravagant lorsque l'on regarde quel matériel astro on peut acheter à ce prix là. En matériel industriel c'est le prix d'un dobson 500, un Ritchey-Chretien 400 OTA, un Dall–Kirkham 300 OTA, une lunette apo 90 solaire Ha OTA , etc... Et comme OTA = sans monture, il faut encore parfois ajouter quelques k€ pour soutenir ces instruments. En matériel fariqué par un artisan alors pour ce prix là on a accès à des instruments de plus petit diamètre. Alors oui, comparer des instruments aussi différents est hasardeux, et oui tout le monde n'achète pas ce genre de matériel. Mais comme on peut le voir sur les forums et les rassemblements, le nombre d'astrams passionnés qui ont un jour sauté le pas n'est pas négligeable. Pour certains c'est "l'instrument d'une vie" pour lequel ils ont économisé des années, mais parce qu'ils savent qu'il va faire la différence dans leur pratique de l'astronomie. Or ces oculaires de vision nocturne apportent de réelles différences par rapport à d'autres instruments : - Il est possible de les utiliser de multiples façons : seuls comme des jumelles, sur un télescope comme un oculaire, ou encore pour faire de la photo. - Le gain en magnitude qu'ils procurent permettent de voir beaucoup plus facilement les objets du ciel profond. Cela permet de se libérer de plusieurs contraintes : il est possible d'observer en ville avec des filtres sans trop assombrir les cibles elles-mêmes, et on peut utiliser des instruments moins encombrants pour en voir autant qu'avec des bien plus gros. Exit le dobson 500, bonjour le mak127 ! - Le rendu est plus naturel qu'avec un oculaire électronique / un écran d'ordinateur. Ainsi cela en fait selon moi l'instrument qui a le meilleur rapport plaisir/emmerdement pour ceux qui veulent faire de l'observation du ciel profond, voire de la photo "souvenir" façon capture d'écran en visuel assisté. Donc non, le prix ne me semble pas exessif et je suis sûr que ces oculaires de vision nocturne trouvent des acheteurs.
  14. En fait les excursions radiales et tangentielles restent faciles à appréhender car on peut facilement imaginer le même phénomène à une échelle plus réduite avec un satellite sur une orbite géostationnaire. Ce sont surtout les excursions selon la direction perpendiculaire l'écliptique (axe Z_RLP du schéma sur https://jwst-docs.stsci.edu/jwst-observatory-characteristics/jwst-orbit) que je trouve perturbantes. Le seul mouvement similaire qui me vient à l'esprit est le mouvement d'une lune d'une planète vu dans le repère héliocentrique. (Et encore dans ce cas les excursions radiales et tangentielles sont plus importante que l'excursion selon Z_RLP). C'est justement ce type que comparaison qui pourrait faire croire que L2 attire le JWST, alors que ce n'est pas le cas. Mais après réflexion, je me rends compte que la composante Z_RLP induite par le Soleil et/ou le système Terre-Lune doit être assez importante. Décomposer le problème en imaginant la projection des forces d'attraction des astres et de la force centrifuge du JWST d'une part dans le plan de l'écliptique et d'une autre part selon l'axe Z_RLP m'aide à concevoir ce mouvement orbital résultant autour de L2. Je suppose que de la même façon les planètes n'orbitent pas parfaitement chacune dans un plan, à cause justement des "plans" orbitaux différents de chaque planète et de l'influence qu'elles ont les unes sur les autres. Tout n'est que simplification en éliminant certains effets lorsqu'ils sont négligeables par rapport à d'autres ou pour une application donnée... Sauf que lorsqu'on nous présente un cas (orbite du JWST par ewemple...) où on ne simplifie pas, on comprend plus rien. "on a le même problème pour se représenter l'orbite de la Lune, qui est elle aussi une quasi-ellipse autour du Soleil / il y a déjà eu des discussions là-dessus / si ça t'intéresse je retrouverai le fi" Je veux bien, ça doit être intéressant !
  15. Donc mon premier point est faux, car j'imaginais que l'orbite du JWST autour du Soleil était une ellipse, donc contenue dans un plan. Mais cette période orbitale autour de L2 en 168 jours (environ 6 mois au lieu des 1 ans que j'imaginais) signifie que l'orbite du JWST autour du Soleil ressemble plus au parcours d'un vélo sur un vélodrôme... c'est d'ailleurs ce qu'on peut voir sur cette vidéo : Mais du coup j'ai beaucoup de mal à comprendre comment une telle orbite est possible, sans doute parce que je n'arrive pas à raisonner autrement que pour un problème à deux corps alors qu'il y en a trois.
  16. Bonsoir, J'ai un peu de mal à voir comment le vecteur résultant de l'attraction du système Terre-Lune, de l'attraction du Soleil, et de la force centrifuge du JWST pourrait conduire à une gravité (induisant donc une force sur le JWST) ?) en L2, surtout que ce point est connu pour être instable. Orbiter autour de L2 ne serait pas un abus de language ? - Si le JWST n'orbite pas autour du Soleil pile dans le plan de l'écliptique (ce qui est très probable) il va passer alternativement au dessus et en dessous de ce plan au cours de l'année (6 mois / 6 mois). - Le JWST devra effectuer des corrections pour rester proche de L2, en accélérant ou ralentissant, ce qui devrait se traduire par des avances et retards par rapport à L2 dans leur orbite autour du Soleil. Ces avances et retards pourraient aussi être la consequence d'une orbite elliptique du JWST autour du Soleil dont les axes ne sont pas confondus avec ceux de l'orbite elliptique de la Terre, leurs phases d'accélération et de décélération ne seraient pas synchronisées. La combinaison de ces deux mouvements pourrait donner l'illusion que le JSWT orbite autour de L2, bien que ce point ne l'attire pas. Je dis n'importe quoi ou ça se tient ?
  17. Bonjour, Il y a beaucoup de choix dans les valises Peli, mais il me semble que les prix sont assez élevés. J'ai vu des prix plus intéressants et quand même pas mal de choix chez Geoptik. Encore moins cher mais faut fouiller, chez Amazon. Après je ne sais pas ce qu'il en est des différences de qualité.
  18. Bonjour, Tu gagneras effectivement un peu en résolution avec ta caméra, mais je ne pense pas que ce soit beaucoup plus adapté à de petits objets que ton APN puisqu'en rognant recadrant une image prise avec celui-ci tu peux retrouver presque le même champ. Avec la caméra tu vas perdre un peu en surface collectrice puisque le pixel est plus petit mais ça devrait être largement compensé par un meilleur QE et surtout une plage spectrale bien plus grande que l'APN. Enfin que ce soit l'un ou l'autre, l'abscence de refroidissement limite à des poses assez courtes. J'avais ouvert un sujet pour déterminer combien de temps de pose exactement on peut se permettre avec une caméra planétaire, mais mon post n'a pas eu de succès, faudrait que je relance... Reste les techniques de ciel profond en poses courtes, ça doit pouvoir le faire. Conclusion : ça vaut le coup d'essayer !
  19. Alors aucune idée, un administrateur ou animateur je suppose. Après je pense que c'est le genre de chose qui peut être notifiée dans le fil "report de bugs" !
  20. Dans l'onglet communauté de webastro il y a l'astro-carte qui permet de le faire, il y a plein de clubs d'indiqués mais très peu de lieux d'observation. Il faudrait la faire connaitre et la faire vivre !
  21. Bonjour, C'est ce que permet l'index Gressac il me semble. Mais j'ai l'impression que ce site n'est pas très animé...
  22. Bonjour, La magnitude bolométrique est la magnitude associée à l'énergie totale rayonnée, et non à l'énergie rayonnée dans une bande spectrale restreinte comme c'est le cas pour les magniude U, B, V, ect. Il existe des coefficients de corrections bolométriques, dépendants de la température de l'étoile, à ajouter à la magnitude visuelle pour obtenir la magnitude bolométrique. Je suppose qu'il y a un lien avec la loi de corps noir, mais du coup ça ne marche que pour les étoiles. Par contre ça me semblerait étonnant que tous les zéros des magnitudes soient définis sur le zéro de magitude bolométrique, sachant qu'il y a eu moultes étalons pour moultes magnitudes différentes. Enfin possible, un peu d'uniformisation ne ferait pas de mal !
  23. Bonjour, Je vais commencer par un peu de théorie, et pour la pratique vous verrez que j'ai besoin de votre aide ! Je cherche à savoir à partir de quel temps de pose le buit thermique des caméras planétaires est vraiment gênant lorsqu'on souhaite les utiliser pour faire du ciel profond, mais je ne trouve nulle part les valeurs de leur bruit thermique. Il faudrait donc le mesurer... C'est assez simple, j'ai vu deux méthodes dans la présentation "Théorie sur le bruit en astrophotographie" par Didier Walliang aux RCE 2018 ( https://media.afastronomie.fr/RCE/PresentationsRCE2018/Walliang-RCE2018.pdf ) : - Méthode 1 : Faire 1 dark et 1 offset à un gain (e-/ADU), temps de pose et température de capteur donnés -> bruit thermique = racine(gain*moyenne(dark-offset)/temps pose). - Méhode 2 : Faire 2 offsets, 2 darks (de deux temps de poses différents), et 2 flats connaissant le gain (e-/ADU), temps de pose et température de capteur -> les ouvrir avec Pixinsight dans Scripts > Instrumentation > BasicCCDParameters -> renseigner les paramètres caméra puis cliquer sur Report. Cela permet de connaitre le bruit thermique pour un temps de pose et un gain donné. Pour le gain le plus intéressant est de connaitre le buit thermique au gain minimal, au gain unitaire (ou au seuil d'activation des amplis de diminution du bruit de lecture pour les caméras équipées), et à un gain plus élevé (disons qui permet d'avoir 10 stops de dynamic range). Pour le temps de pose on peut considérer que le signal thermique est multiplié par 2 tous les 6-7 degrés, donc le bruit thermique est multiplié par racine(2) tous les 6-7 degrés. Le problème c'est que pour comparer différentes caméras il en faut plusieurs... et moi je n'en ai aucune !!! J'en appelle donc aux curieux possesseurs de caméras planétaires qui souhaiteraient contribuer à la documentation du bruit thermique, vous pouvez le faire de plusieurs façon : - Vous pouvez effectuer des mesures et indiquer vos résultats (bruit thermique mesuré, modèle de caméra, temps de pose, température du capteur ou ambiante avec caméra allumée depuis peu à défaut, gain en e-/ADU). - Vous pouvez juste partager vos fichiers de calibration si vous n'arrivez pas à les exploiter. - Vous pouvez indiquer des sources qui donnent le bruit thermique de caméras planétaires, le web est grand et je suis peut-être passé à côté ! A terme j'aimerais compiler pas mal de données dans un fichier excel permettant de comparer les caméras sur des critères calculés théoriquements (rapport signal sur bruit de l'image finale, ou temps de pose mini ou maxi, ect) à partir de ces données et de contraintes fixées en fonction du cas d'application envisagé (temps de pose limité par la moture, rapport signal sur bruit minimal souhaité, magnitude atteinte, ect). Je pense qu'un tel outil pourrait intéresser du monde. Merci à ceux qui voudrons bien se prêter au jeu !
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