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22Ney44

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Tout ce qui a été posté par 22Ney44

  1. Bonjour @JMDSomme, Ouaououou ! Quelle moisson d'informations ! Je n'ai pas voulu en parler dans la première réponse, mais l'idée pour gérer les câbles reliant les demies coques au point central pourrait être un enrouleur placé horizontalement entre plancher bois et dalle de béton. A l'ouverture cet enrouleur est juste freiné pour que les câbles électriques portés par un câble acier type de frein de vélo restent tendus. A la fermeture, l'enrouleur n'est plus freiné bien sûr mais entrainé par un moteur avec couplage magnétique ou simplement par un grand ressort spirale si cela existe. Si l'enrouleur est de grand diamètre, il aura peu de tours à faire pour l'enroulage, le ressort est alors jouable. Le système le plus silencieux serait sans doute de fixer au sol des crémaillères de portail en matière inaltérable et ne nécessitant aucune maintenance ni graissage. Il reste alors à engrener un pignon en nylon entrainé par un moteur électrique. Un moteur d'essuie glace est intéressant dans la mesure où on dispose de deux vitesses, l'une pour les déplacements rapides, l'autre plus lente aux abords des extrémités de roulement. Le séquençage de fermeture peut être piloté par des interrupteurs fins de courses qui circulent au dessus de règles placées contre les crémaillères. A un endroit fixé du déplacement, la règle est plus haute et ferme ou ouvre l'interrupteur placé à l'abri au bas de la demie coque. L'électronique de pilotage "sait" alors où se trouvent les demies coques et envoie les ordres ad hoc. La remarque de @charpy est pertinente. Il y aurait plusieurs façon de traiter ce point : 1) Concevoir l'abri, non plus en demies coques mais en 2/3, 1/3. Le joint dans ce cas ne sera plus à l'aplomb de l'instrumentation. 2) Plus complexe à réaliser, conserver les deux demies coques mais avec un toit d'un seul tenant mobile. Dans ce cas, le cycle de l'ouverture commencera par un glissement de 1/4 de la longueur du toit vers la demie coque qui le portera, puis les deux demies coques se déplacent pour l'ouverture, l'une (celle du Nord) portant tout le toit. La demie coquille Nord peut alors servir de "bureau" de l'observatoire. Ney
  2. Bonsoir @JMDSomme, Superbe projet et comme vous le dites, il devient temps de ne plus en perdre avant que n'arrive l'échéance où nous n'aurons plus que du temps à perdre. Ce concept des deux demies coquilles est rudement bien pensé. Les déplacer ne va pas demander beaucoup d'énergie, aussi plutôt que de mettre des câbles ou des chaines qui les entrainent, et dans lesquels de nuit on se prend inévitablement les pieds, je verrais bien deux moteurs 12 V type moteur d'essuie glace, un pour chaque bloc, l'un un peu plus rapide que l'autre. Le bloc "rapide" arrive à sa place de fermeture en premier et s'arrête sur une butée de fin de course (palpeur à définir dans le sol), le bloc lent arrive quelques secondes plus tard, c'est le premier bloc qui lui servira de butée de fin de course tout en comprimant un joint d'étanchéité, plus un recouvrement. L'électronique de commande ne sera pas bien compliquée à concevoir ni à réaliser. Ney
  3. Bonsoir @Alexandre84000, ... et comme vous allez prendre un instrument basique alors que vous avez des attentes fortes, vous allez être très déçu, et l'abandon ne sera pas loin. Puisque vous avez un budget quand même significatif, n'abordez pas votre réflexion par le matériel, mais plutôt par la pratique. C'est un peu ce que vous avez fait au début mais en espérant tout couvrir dès le début avec le même instrument. ce n'est pas possible où alors avec un budget qui n'a plus de sens chez un débutant. Voilà pourquoi je vous invite à démarrer par du visuel pur avec un tube d'un diamètre très confortable, 300 mm par exemple. Vous allez ainsi pour au moins un an arpenter tout autant notre système solaire, planètes et Lune, mais aussi le Ciel profond où le grand diamètre va vous permettre une exploration de plus en plus détaillée, l'expérience et la pratique venant. Et puis dans un an ou deux, le visuel assisté va vous permettre de découvrir beaucoup plus en détail les objets de plus en plus en plus ténus. Le pas définitif se fera alors vers l'astrophoto sans doute, mais entre temps vous aurez découvert toutes les contraintes qu'aujourd'hui vous ne soupconnez pas et c'est normal. Pour 1500€ vous pouvez trouver avec un peu de patience un Dobson de 250 ou 300 mm GoTo ave cdeux ou trois oculaires complémentaires. La voie royale en fait. Ney
  4. La valeur Intvl est le temps entre deux déclenchements. Vous avez défini un scénario où la pose doit durer 6 secondes après un délai de situation neutre de 5 secondes. Votre scénario est donc de 11 secondes. Ce scénario ne "rentre" pas temporellement dans la durée que vous avez fixée entre deux déroulements de scénarios. Dans votre séquence de 5 répétitions du scénario, seul le premier arrive à s'exécuter, ensuite les autres se bousculent car vous avez ordonné le deuxième déclenchement au bout de 7 secondes alors que le premier de 11 secondes n'est pas terminé. Selon les intervallomètres, comme le deuxième a échoué, le troisième se retrouve dans une bonne fenêtre et s'exécute. C'est alors le quatrième qui échoue, le cinquième s'exécutera normalement. Vous avez alors une prise de vue sur deux qui se réalise. En conclusion, Intvl doit être strictement supérieur à la somme Delay + Long. Delay = 5 Long = 6 Intvl = 12 devraient être des valeurs qui fonctionnent. Ney
  5. Ben oui ! "No witness" il a dit le "Père Noël @Fred_76" Bon, avec ça il va ENCORE devoir changer de femme. Celle là elle est "usée", elle marche plus du tout. Ney
  6. Bonjour @strokkur, Votre production est sûrement intéressante, mais étant une quiche absolue en Python, ce ne sera pas pour moi, ni vraisemblablement pour quelques autres non plus. Est-il possible que vous encapsuliez votre logiciel dans une enveloppe qui le rende exécutable tout seul ? D'avance merci. Ney
  7. 22Ney44

    Présentation jean66

    Bonjour @jean66, Soyez le bienvenu sur WebAstro. Le destin a frappé à votre porte. Vous trouvez dans l'astronomie une passion-thérapie, je ne peux que vous souhaiter la plus belle réussite dans votre progression de l'astrophotographie. Ici vous trouverez à coup sûr toute l'aide et soutien pour accéder au succès. Belle, longue et fructueuse vie d'astronome à vous. Ney
  8. Bien sûr, mais on part de tellement loin sur les fondamentaux que pour l'or Tau graffe ou la gramme ère, on verra plus tard ! Ney
  9. Un sens inné du commerce ! Ney
  10. Bonsoir @Gwydion76, Avec un peu de recherche vous le trouverez assez facilement à 40 ou 45 € en occasion. La caméra Asi 224 MC en vente dans le Grenier et signalée par @jeap est une bonne occasion presque neuve donc toujours garantie. N'oubliez pas de réclamer la facture. Toujours pour le domaine planétaire qui est quand même plus facile d'accès que le Ciel profond vous avez trois "Standards" : 1) Dans la suite Asi Studio en version 1.7.0.0 livrée avec toutes les caméras ZWO AsiXXX, vous trouverez Asi Cap pour la capture d'images et Asi VideoStack pour réaliser l'empilement. 2) FireCapture 3) Sharpcap 4.0 Le choix d'un logiciel ou d'un autre est aussi affaire personnelle. Chacun peut se sentir plus à l'aise avec l'un plutôt qu'avec l'autre. Pour vous former, allez consulter la rubrique Astrophoto sur le forum, plusieurs tutoriels y sont épinglés en tête de liste des sujets. N'hésitez à poser des questions, vous aurez toujours quelqu'un pour vous répondre. Ney
  11. Bonjour @Gwydion76, Se lancer dans l'astrophotographie, c'est se lancer dans une voie très étroite où il est déjà très difficile de se constituer un ensemble cohérent avec ce que nous possédons sur le moment. Alors demander un avis sur une adéquation entre un composant actuel et un éventuel autre composant à venir sans savoir lequel est pratiquement sans réponse fondée. Aussi revenons à la situation actuelle. Vous avez commencé l'astronomie par l'observation visuelle et après une première expérience vous souhaitez progresser vers l'astrophoto planétaire. Cette démarche est cohérente et me semble réfléchie. Vous posez alors la question de la caméra la plus adaptée à votre situation. Votre choix se situe entre ASI 224 MC et ASI485 MC dans votre post de présentation. Plusieurs critères peuvent orienter la décision, je retiendrai le principal : l'échantillonnage. Le calcul de l'échantillonnage commence avec la taille des photosites de la caméra. En astrophoto planétaire on admet couramment que le rapport F/D idéal de l'instrument doit commencer à 5 fois la dimension du photosite exprimée en microns. ASI 224 MC F/D idéal = 5 X 3,75 = 18,75 ASI 485 MC F/D idéal = 5 X 2,9 = 14,5 Le rapport F/D de votre instrument = 11,8. Pour atteindre la valeur idéale vous devez donc adjoindre une lentille de barlow qui va agrandir l'image au foyer d'autant plus que le rapport de la lentille sera élevé, ce qui est intéressant en planétaire pour couvrir le plus possible le capteur (sauf en lunaire où l'image sera plus grande que le capteur). ASI 224 MC ; F/D idéal = 18,75 => rapport de barlow = 18,75 / 11,8 = 1,59 ASI 485 MC; F/D idéal = 14,5 => rapport de barlow = 14,5 / 11,8 = 1,23 Ce calcul donne un petite préférence à la caméra ASI224MC car l'image au foyer sera plus grande. Notez également que le rapport F/D final doit être au moins égal au rapport idéal et peut être supérieur si les conditions d'observations sont bonnes sans toute fois ne jamais dépasser 25. Vient ensuite le critère prix. Là il est nettement à l'avantage de la ASI224MC qui a longtemps trôner comme la reine des caméras planétaires. Aussi, et pour tenir compte de l'avenir que vous ne connaissez pas aujourd'hui, je vous conseillerais de partir sur une caméra ASI224MC d'occasion (autour de 180€ actuellement) qui de toute façon vous rendra parfaitement le service attendu tout en vous permettant de faire vos premières armes sans engager de dépenses excessives. Le moment venu, si vous changez de setup, vous pourrez facilement changer aussi de caméra, car cette dernière se revendra facilement en occasion (quand il y en a une en vente dans nos petites annonces elle ne traine pas longtemps en général). Cette première démarche faite à faible coût va vous permettre d'acquérir de l'expérience, de la connaissance et surtout de l'autonomie de jugement pour choisir votre prochain équipement. Vous découvrirez entre autre qu'un setup complet d'astrophoto commence par le choix de la caméra dicté par les cibles que l'on va choisr d'exploiter. Une fois la caméra choisie, vous aurez alors les données précises d'échantillonnage pour choisir le tube le plus adapté. Déroulée dans cet ordre, la construction d'un setup se fait très facilement dans la cohérence. Vous l'aurez deviné, tout ceci est une invitation forte à étudier en profondeur les notions d'échantillonnage, c'est un passage obligé sur le chemin de la performance. D'autres avis viendront. Dernier détail, n'oubliez pas d'inclure dans les achats un filtre IR/Cut pour gérer les infra-rouges. Pour finir je ne saurais trop vous conseiller de visiter attentivement le site de Christophe PELLIER où vous pourrez également télécharger des tutoriels très didactiques sur l'astrophoto planétaire. https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/asi224mc-echantillonnage/ Ney
  12. 22Ney44

    cable jack 2.5

    Je crois que cette référence est bonne : https://www.amazon.fr/InLine-99936h-Câble-jack-stéréo/dp/B073R54KTL/ref=sr_1_3?__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&crid=1ZFZFU3LWVV0F&keywords=rallonge%2Bjack%2B2.5mm%2Bmale%2Bmale%2B50%2Bcm&sprefix=rallonge%2Bjack%2B2.5mm%2Bmale%2Bmale%2B50%2Bcm%2Caps%2C72&sr=8-3&th=1 Ney
  13. CNC pour Computer Numerical Control Une machine CNC est une machine d'usinage à commande numérique, fraiseuse, tour ou encore perceuse contrôlée par un ordinateur pour fabriquer des pièces en petite quantité par la méthode soustractive de matière. Un intérêt est la plus grande précision d'usinage pour de la fabrication en série, sauf à utiliser une machine à copier. Sur une pièce unique un professionnel de l'usinage manuel est aussi très fort en précision. Sur des séries il y aura en général plus de dispersion de côtes. Tout va dépendre des tolérances acceptées dans le cadre de la fabrication. pour réaliser votre secteur même circulaire, si vous découpez à la scie sauteuse à main levée, vous aurez bien du mal à rester en dessous des 4/10 de mm d'erreur. Avec une défonceuse montée en compas et à condition d'être très rigoureux les 5/10 de mm sera déjà un très bon résultat. Si vous voulez approcher +/- 2/10 mm une machine à commande numérique vous le permettra. Ney
  14. OK ! alors il n'y a plus l'approximation. Mais 4/10 de mm sur le rayon ne vont pas être fatals du tout, d'autant que l'angle réalisé du secteur avec la table à 45°, ne correspond sans doute pas à la valeur exacte qui est basée sur la latitude du lieu d'observation. Donc ne vous inquiétez pas pour cet infime écart qui de toute façon sera vraisemblablement inférieur à l'erreur d'usinage puis d'assemblage à moins de le faire à la CNC et encore. Ney
  15. Dans la même veine, passé minuit deux des derniers clients accoudés au bar : L'un : " Tiens, il faut que je vous dise ! A nous deux on en a cinq" L'autre : "Ah bon ! Vous n'en avez qu'une ? Vraiment désolé". Ney
  16. Cela fait moins de 1/1 000 d'erreur relative sur une pièce qui déjà sera une approximation si vous maintenez le choix d'un secteur perpendiculaire à la table ! C'est peanut's. N'oubliez pas cependant que si vous ajoutez une bande de roulement, alu, formica ou autre, de retirer la valeur de son épaisseur du rayon du secteur pour garder in fine la bonne valeur. Ney
  17. Bonjour @Gwydion76, Soyez le bienvenu sur WebAstro. Reposez votre question dans la rubrique Débutants, elle aura une bien meilleure visibilité et par conséquent plus de réponses. Je vous y répondrai plus longuement. Ney
  18. Bonjour @Alea et bienvenue sur WebAstro. Cette réponse du magasin est également déroutante. On ne grossit pas trop l'étoile en faisant une mise au point. Le grossissement va seulement dépendre de l'oculaire qui est en place dans le porte oculaire (sauf bien sûr si on ajoute une lentille de barlow) et il est fixe pour un oculaire donné. La molette de mise au point ne change rien au grossissement. Ceci est un premier point. Le deuxième point concerne le grossissement d'une étoile. Quelque soit le grossissement choisi, une étoile, une fois réalisée la mise au point sera TOUJOURS un point, elle ne sera jamais ni plus grosse ni plus petite. Ce sont les objets étendus comme la Lune, les planètes, les amas, les nébuleuses qui apparaitront plus grosses ou plus petites selon l'oculaire employé. Pour finir le grossissement a aussi ses limites. Il est habituel d'admettre que le plus fort grossissement encore confortable est égal à 1,5 fois le diamètre du miroir en millimètres. Avec des conditions exceptionnelles de ciel on peut aller jusqu'à 2 fois. Belle vie d'astronome à votre fils. Ney
  19. Lorsque la "soupe" devient si trouble qu'on y distingue plus rien et que la situation devient infiniment complexe, il devient urgent de revenir aux fondamentaux et reconstruire la suite . Or donc commençons par le plus facile et le plus évident : 1) Un trou aussi grand soit-il a toujours des bords ... Sauf les trous noirs semble-t-il ! Qui prend la suite ? 😁 Ney
  20. Cliquez donc sur le lien vers son site, vous aurez des nouvelles (de 2017 certes) de son tube 150/750. Ney
  21. C'est tout à fait normal que les avis divergent. Cela correspond à la nature même de votre question que j'ai comprise comme étant la recherche du setup qui fera le plus de chose. Il est alors normal que chacun y allant de son expérience vous réponde en s'appuyant sur sa pratique, lesquelles étant diverses conduisent à des avis parfois opposés. Ce que vous pouvez en retirer, c'est que le setup universel n'existe pas, vous le constatez par la grande variété des réponses. Certes vous pouvez chercher un instrument en forme de compris, mais dans ce cas il ne sera bon nulle part, et cela risque très fort d'engendrer chez vous de la déception peut-être même l'abandon. Alors faites comme beaucoup ici, commencez par le commencement, c'est à dire l'observation visuelle. Avec votre budget et si votre logistique le permet, un instrument de 300 mm de diamètre à F/D = 5, monté sur un dobson va vraiment vous faire plonger tout autant dans le Ciel profond où vous allez vous émerveiller que dans le domaine planétaire où vous allez commencer à titiller les détails les plus fins, que ce soit sur les géantes gazeuses, sur Mars en ce moment ou sur la Lune toute l'année. Dans un an ou deux, selon la densité de pratique, vous voudrez augmenter votre capacité d'observation, la pratique du visuel assisté sera alors une transition douce ne nécessitant qu'un matériel peu coûteux en complément. Tout en conservant votre tube de 300 mm vous l'installerez peut-être sur un table équatoriale DIY, puis encore un peu plus tard, du visuel assisté vous allez glisser doucement vers la photographie planétaire d'abord puis l'envie de l'astrophoto du Ciel profond fera son appel. Il sera alors temps d'envisager l'achat du matériel très adapté à cette pratique. Peut-être garderez vous malgré tout votre premier instrument, vous pourrez alors continuer le visuel en même temps que l'autre setup enchainera les prises de vue du Ciel profond. Aguerri par votre première expérience, vous entrerez alors dans le domaine de l'astrophoto à haute résolution, qui est une discipline exigeante, chronophage mais oh combien pleine de satisfactions aussi. Ney
  22. Non, non et non ! Certes dit comme ça, cela va vous paraitre plutôt brutal, mais c'est bien la réalité. En astronomie il n'existe pas de polyvalence. Si nous ne considérons par exemple que l'astrophotographie, il va déjà y avoir de grandes divergences entre la pratique planétaire et la pratique Ciel profond. Si vous le souhaitez nous pourrons approfondir le sujet, mais voici déjà quelques éléments en divergence qui implique des matériels différents : Ciel profond = peu de lumière, planétaire = beaucoup de photons. Ceci veut dire que le rapport F/D des instruments seront opposés : court pour le Ciel profond, long pour le planétaire. Ceci veut aussi dire que le rapport signal/bruit en ciel profond est bien plus désavantageux au point de devoir refroidir les caméras alors qu'en planétaire ce n'est pas utile. Ciel profond = temps de pose longs, planétaire = temps de pose courts. Ceci veut dire qu'en planétaire nous allons réaliser les prises de vue sous forme de films alors qu'en Ciel profond nous ferons des poses unitaires. Ciel profond = objet "fixe" par rapport au système solaire, planétaire = objets qui ont leurs mouvements propres dont leur rotation et leurs déplacements dans le référentiel. La liste peut s'allonger. Mais ces premiers éléments vous montrent que dans le seul domaine photo il existe déjà de nombreuses divergences incompatibles avec la polyvalence. Cette non-polyvalence s'accroit encore davantage lorsque nous mettons en balance l'astrophoto en général avec la pratique visuelle. Si vous le souhaitez il sera là aussi possible de développer. En première approximation, nous pouvons déjà admettre que le visuel demande essentiellement du diamètre. L'astrophoto va demander une monture très stable et précise. Si vous souhaitez avoir les deux, gros diamètre et hyper stabilité avec précision, ce sera certes possible mais en choisissant entre un observatoire et un appartement, car la facture dans ce cas va être ... astronomique. Pardonnez la brutalité, mais elle est nécessaire pour vous faire définitivement abandonner l'idée de polyvalence en astronomie. Même chez les professionnels elle n'existe pas et pourtant les moyens sont là. Ney
  23. Oui la prudence pourrait être de mise. Le vendeur est en Loire Atlantique, j'habite à Nantes. Si vous le souhaitez, je veux bien aller voir en votre nom le vendeur et vérifier que cette monture existe bien. Je ne saurais par contre pas estimer son état sinon l'aspect, je n'ai qu'un dobson. Disponible, si cela vous dit. Ney
  24. Bonjour @Mulder, Ce n'est un secret pour personne, en astrophoto, LE composant déterminant est la monture. Point d'hésitations, une HEQ5 PRO ! Il y en a une en vente dans le Grenier : https://www.webastro.net/petites_annonces/monture-sky-watcher-heq5-pro-annee-2021_80810.htm Au prix où elle est proposée, il vous reste dans votre budget de quoi financer un correcteur/réducteur de focale. Ney
  25. Bonjour @roger15, En plein accord avec @krotdebouk, vous accueillez les nouvelles et nouveaux avec chaleur, bienveillance et surtout enthousiasme. Nous savons tous ici que grâce à vous il y aura toujours quelqu'un pour ouvrir la porte des étoiles à celles et ceux qui viennent y frapper. Alors continuez ainsi. La personne qui vient de faire preuve de maladresse sans plus sans doute, vient aussi sans le savoir ni le vouloir de contracter publiquement un engagement, celui de faire mieux que vous. Et là ce ne sera pas demain la veille, c'est certain. Belle vie à vous et continuez de faire aimer toutes les magnifiques choses d'en haut. Ney
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