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Rosetta


pioneer6014

Votre avis sur les chances de succès de Rosetta ?  

260 membres ont voté

  1. 1. Votre avis sur les chances de succès de Rosetta ?

    • Ca va marcher, c'est sûr.
    • L'atterrisseur va probablement s'écraser sur la comète.
    • Les chances de succès sont très minces.
    • Ca n'a aucune chance de march
      0


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Peut être mais en tous cas, si ce n'est pas un artefact de la composition des 4 images en une (un coup de pinceau baveur), c'est étrange.

 

Rectification : c'est bien un coup de pinceau malencontreux de celui qui a fait (trop rapidement) la composition des 4 images. Les images d'origine ne montrent rien du tout.

Modifié par Fred_76
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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Images postées dans ce sujet

mini_395476fissure.png

 

Un gramme de trop (Philae) qui se pose du côté J ou C puis crac.

 

Ce pont de neige si c’en est un à cœur est prêt à céder on dirait.

 

Deux noyaux alors, et on pourrait peut-être voir l’intérieur, si le cou fissuré contient une farce.

 

Si le cou de 67P C-G se rompt, du coup Rosetta ne sera plus où donner de la tête.
Deux comètes pour le prix d’une que demander de plus.

 

Ça arrivera sans doute mais quand...

 

Deux cas d'école possibles sont soulevés aux postes :#955 #956 et #962 .

 

 

Après avoir vu une image couleur je suis un peu plus méfiant.

Modifié par bang*gib
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Et sur l'image du 14/09 (postée le 17/09 sur le site de l'ESA), on distingue comme un panache de gaz :

 

10293-1411156547.jpg

C'est marrant mais on dirait un visage de profil... on voit le nez (indiqué par la flèche), l'arcade sourcilière, la joue et la partie basse de l'oreille :)
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C'est marrant mais on dirait un visage de profil... on voit le nez (indiqué par la flèche), l'arcade sourcilière, la joue et la partie basse de l'oreille :)

 

ça me rapelle "l'oreille cassée" dans tintin.

Un fétiche Arumbaya a été volé au Musée ethnographique...

Modifié par bang*gib
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Bonsoir,

 

Je viens de regarder la conférence donnée à la cité de l'espace, centrée sur Philae pour l'essentiel.

 

 

Les questions du public permettent de mettre l'accent sur l'aspect, à mon sens, le plus fou de cette mission, à savoir que l'atterrisseur, considéré à priori comme une "expérience parmi d'autres", ne dispose quasiment pas d'informatique élaborée, ni de commandes en feedback" (circuit propre de type senseur/info/analyse/réaction). La mémoire de bord se compte en Ko mais pas en Go...., un peu comme pour Apolo qui naviguait avec la puissance da calcul d'une tablette actuelle... (mais avec Cap Kanaveral derrière tout de même!).

 

Si aujourd'hui mon drone de 450g est capable de monter à perte de vue dans la brume (il est capable mais je ne le fais pas, il y a des avions dans mon coin...) puis, sur un ordre, de revenir se poser à mes pieds (et ça il le fait avec un circuit imprimé de moins de 20g à bord) , la trajectoire de Philae est 100% automatique, verrouillée sur un seul axe, de même que ces dispositifs d'éjection (1 principal et 1 de secours) relèvent du calibrage mécanique d'un... ressort.

Je suis estomaqué par les ingénieurs, autant que par les scientifiques qui ont conçu, adapté (changement de comète) puis suivi... et qui animent aujourd'hui cette aventure.

Je souhaite vraiment que cela aboutisse brillamment car question économie de moyens, Philae semble un exemple du genre. (25% de charge utile !).

Ce serait la victoire du système D et de l'intelligence sur le nombre et la brutalité des troupes de l'Empire (Hobbywan... sors de ce corps, laisse tomber darkvador!).

Mais non... je ne vise pas la NASA qui a abandonné le financement à un moment critique du montage de projet... mais non... ;)

 

La conférence confirme que le petit flux d'images distribuées au public tient de l'embargo scientifique destiné à protéger les publications futures...

Fait ch..r mais on comprend l'enjeu...

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Bonsoir,

 

Dans le prolongement du post de JMD, mais plus spécifiquement en relation avec le site C qui a été choisi comme zone d’atterrissage de secours, si jamais il s’avérait être trop dangereux de tenter de poser Philae sur le site J.

 

Lors de la réunion du 15/09 qui était destinée à entériner ce choix, lors de la discussion finale, les participants ont hésité entre les sites B et C pour déterminer le site de secours.

 

Si finalement leur choix s’est porté sur le site C, ce ne fût pas sans considérer quelques sérieux inconvénients liés à ce dernier.

 

Le premier de ces inconvénients est sans doute le fait que le site C ne pourrait pas être atteint si le mécanisme primaire de séparation, entre Rosetta et Philae, ne fonctionnant pas, et que l’on devait se servir du système d’urgence d’éjection du lander.

En effet, étant donné la force d’impulsion non réglable du mécanisme, qui propulserait Philae vers la comète (18cm/s), celui –ci n’aurait pas une vitesse initiale suffisante pour se mettre sur la bonne trajectoire.

Ce problème ne se poserait pas pour le site J qui devrait être l’option si rien de grave ne vient s’y opposer.

Naturellement, il faudrait pour se trouver dans cette situation catastrophique, une combinaison de deux incidents, l’impossibilité de se poser sur le site J, et le dysfonctionnement du mécanisme primaire d’éjection (qui lui peut fonctionner dans une plage de vitesse allant de 5 à 51 cm/s).

 

Un deuxième inconvénient, mais sur le plan scientifique celui-la, est que l’expérience CONSERT trouverait sur ce site le moins bon endroit pour être réalisée, des 5 sites initialement présélectionnés, B et J étant les meilleurs. Comme je l’avais suggéré dans le post http://www.webastro.net/forum/showpost.php?p=1899234&postcount=1212

c’est bien un problème lié à la position relative du site sur le noyau cométaire par rapport au Soleil, à la Terre, et à l’orbite de Rosetta autour de 67 P qui empêcherait le bon déroulement de l’expérience.

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Bonsoir J'ai visualisé hier soir la conférence donnée a la Cité de l'Espace à Toulouse. Voir le lien donné par quetzalcoaltl plus haut.

 

J'ai noté que l'astrophysicien Jean-Pierre Bibring pensait que c'est un accident topographique qui accentue la sublimation. Ce ne serait pas deux objets qui ont formé la comète mais un seul objet initial. (??)

 

Il dit que ce ne serait pas lors de ce passage que la comète se sceindera mais au prochain (Dans 6,5 ans ?). A mon avis il a du remarquer lui aussi les fissures citées plus haut dans le topic.

 

Pour Philae: Il y aura deux phases scientifiques :

 

Une premiere phase avec une batterie de 2,5 jours d'autonomie.

Et une seconde phase avec une batterie rechargeable pour une durée de 4 mois.

 

J'ai noté que la comète a comme dimension: 5,6 km maxi contre 2,6 km au niveau de 'l'encolure"

 

Mais Aussi que " l'atterrissage" est prévu pour le 11 novembre mais peu s'effectuer jusqu'au 18 novembre a dit Philippe Gaudron le chef de projet Philae.

 

Modifié par Sandulake
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Vraiment passionnante, cette aventure. :o

 

Et cette expérience ravive la question de la pertinence des engins très gros et très coûteux.

 

Les sondes Viking avaient déjà étonné, mais les Voyager encore davantage, tout le monde se souvient encore de la fabuleuse photo de Neptune :wub:, des satellites survolés avec des photos d'une précision inouïe :wub:, je me souviens parfaitement à l'époque que ce succès inattendu avait profondément changé les missions suivantes : de petites sondes pas trop coûteuses pouvaient ramener de colossales informations, et Rosetta est une des suites logiques.

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Bonsoir,

 

Je viens de regarder la conférence donnée à la cité de l'espace, centrée sur Philae pour l'essentiel.

 

 

Merci pour le lien !

C'est génial de mettre en ligne la retransmission de ce genre de conférence que beaucoup aimeraient voir dans la réalité sans en avoir la possibilité...

Je relève que plus que jamais, la grande ambition des scientifiques est de publier leurs travaux dans "Science" et "Nature", d'où le quasi embargo sur les données. Il faudra donc attendre début 2015 pour en apprendre d'avantage...

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Bonsoir,

 

Je viens de regarder la conférence donnée à la cité de l'espace, centrée sur Philae pour l'essentiel.

 

 

La mémoire de bord se compte en Ko mais pas en Go...., un peu comme pour Apolo qui naviguait avec la puissance da calcul d'une tablette actuelle... (mais avec Cap Kanaveral derrière tout de même!).

QUOTE]

 

 

 

 

Superbe conférence que je recommande également de visionner. Merci pour le lien.

 

Je suis très surpris par la faible capacité de mémoire embarquée. Certes la sonde a été lancée il y a 10 ans avec la technologie de l'époque, mais je ne comprends pas que l'on ne puisse pas avoir une capacité supéreure à quelques Ko. Il y a forcément une réponse mais qui m'échappe.

 

ESA_Rosetta_NAVCAM_140919_mosaic_-_copie_2.jpg

 

 

Le dégazage ,c'est juste dans la région la ou il y a une faille.

 

Je pari qu' elle se brise juste après le passage au perihélie.

 

Pas d'après Jean-Pierre Bibring, qui prévoierait la rupture pas pour ce passage au périhélie, mais pour le prochain passage, soit dans quelques années.

 

Qui vivra verra ;).

Modifié par Will
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La mémoire de bord se compte en Ko mais pas en Go...., un peu comme pour Apolo qui naviguait avec la puissance da calcul d'une tablette actuelle... (mais avec Cap Kanaveral derrière tout de même!).

 

Je pense qu'une tablette actuelle est très, très loin devant ce qui était embarqué dans Appolo et largement devant le plus puissant ordinateur de l'époque. En gros, une tablette récente est aussi puissante qu'un Cray du début des années 80 à la louche (je peux me tromper d'un gros facteur parce que j'ai cherché les chiffres rapidement mais ca donne une idée).

 

 

Je suis très surpris par la faible capacité de mémoire embarquée. Certes la sonde a été lancée il y a 10 ans avec la technologie de l'époque, mais je ne comprends pas que l'on ne puisse pas avoir une capacité supéreure à quelques Ko.

 

Si la sonde a été lancée il y a 10 ans, il est très possible que la technologie informatique embarquée soit elle beaucoup plus ancienne. En gros, on choisit une technologie éprouvée et déjà à la limite de l'obsolescence au moment où on lance le projet, on teste pendant des années avant le lancement...

Bref, il est possible que la technologie n'ait pas 10 ans mais plutôt 20 ou 30.

Qui plus est, on veut aussi des mémoires qui vont bien résister aux conditions du spatial, qui ne vont pas changer de valeur à chaque particule envoyée par le soleil qui passe sans avoir à mettre des kilos de blindage. Cela crée des contraintes très éloignées de celles du matériel que nous utilisons au quotidien.

 

Mais il y a peut-être d'autres éléments de réponse que je ne connais pas non plus.

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Je pense qu'une tablette actuelle est très, très loin devant ce qui était embarqué dans Appolo et largement devant le plus puissant ordinateur de l'époque.

 

C'est très relatif car les ordinateurs dédiés de l'époque n'étaient pas forcément plus lents qu'un tablette actuelle (qui est cependant bien plus polyvalente et minuscule en comparaison).

 

J'ai travaillé dans les missiles antiaériens Hawk dont l'ordinateur de conduite de tir datait de l'époque Apollo. Cette armoire sur roues se programmait à l'aide d'un 'mot binaire' en 64 bits, bien avant qu'on invente le "Commodore 64" (en 8 bits).

Le microprogramme était introduit en tournant manuellement 8 grandes molettes, mot par mot et sans le moindre écran de contrôle. :rolleyes:

 

L'ordinateur d'Apollo travaillait en 16 bits, mais pouvait exécuter jusqu'à 8 taches parallèles.

 

Ces caractéristiques n'ont été disponibles sur les ordinateurs grand public que bien plus tard.

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C'est très relatif car les ordinateurs dédiés de l'époque n'étaient pas forcément plus lents qu'un tablette actuelle (qui est cependant bien plus polyvalente et minuscule en comparaison).

 

Par ex:

http://www.phoronix.com/scan.php?page=news_item&px=MTE4NjU

 

Et si tu te réfères à :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Superordinateur

 

Tu verras que les Cray (dont le 2) ont été les machines les plus rapides du monde au début des années 80 et environ 10 fois plus rapide que ce qu'on faisait de mieux à la fin des années 60 au moment d'Apollo 11.

 

Les machines des années 60 et 70 ne faisaient pas des animations 3D réalistes en haute définition et temps réel, ce que beaucoup de jeux sur tablette font désormais.

 

P.S : j'ai un peu trainé dans le monde du calcul scientifique puis fait des benchmarks pour un vendeur très connu de hard dans ce domaine aussi.

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Suite au post de Pascal Meheut,

en effet :

si je devais envoyer un truc dans le froid glacial des confins, le laisser dormir quelques années puis espérer son réveil pour lui faire accomplir des choses qui demandent le " sans faute" à chaque étape... sans doute que je chercherais des composants rustiques, des solutions simples et peu vulnérables, peu sensibles aux rayonnements, des systèmes basés (comme l'est d'ailleurs la totalité de l'ensemble Roseta+Philae) sur la balistique, l'utilisation des forces brutes disponibles (comme les rebonds gravitationnels etc...), voir des ressorts....

J'éviterais d'embarquer un windows 7 dans un ASUS de gamer... (grrrr!), je préférerais sans doute la légèreté d'une hewlet packard de matheux et utiliserais le poids économisé pour la protection, la clim, les accus... et les instruments!

Bon sang, j'avais jamais été pressé de voir arriver le mois de novembre et la chute des feuilles ! Tout fout le camp ! :cry:

Quoi qu'il advienne, je pense que Rosetta a dores et déjà explosé les compteurs en matière d'observations, mesures, images, il y'a des publications qui se préparent déjà ... à mon humble avis ?),

ce ne serait pas du luxe que l'Europe sorte un peu de son marasme ambiant sous l'impulsion de la science ...! Un peu de fierté collaborative.

Un peu de sous dans la recherche, les facs, les jeunes projets plutôt que dans les grands monopoles qui optimisent leur fiscalité, voila qui me plairait bien.

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Oui en effet c'est de la bonne vieillerie au niveau des composants, le jour du lancement c'est souvent 5-10 ans de retard technologique pour les simples raisons que les composants sont très rapidement figés lors de la conception qui débute de longues années avant, bien avant la réalisation, et que l'on choisit du matériel "qualifié spatial" qui a donc été testé et éprouvé pour fonctionner dans l'espace (et cela prends un certain temps).

Apres il est aussi fréquent que des composants spéciaux soient développé exprès pour la mission, et dans ce cas c'est de la vraie hi-tec ! Cela dit il faut souligner que les logiciels de bords et de fonctionnement sont à l'inverse beaucoup plus développés que sur nos machines terrestres avec souvent plusieurs millions de lignes de code!

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Oui en effet c'est de la bonne vieillerie au niveau des composants, le jour du lancement c'est souvent 5-10 ans de retard technologique pour les simples raisons que les composants sont très rapidement figés lors de la conception qui débute de longues années avant, bien avant la réalisation

 

Et puis il ne faut pas perdre de vue que ça fait un sacré bout de temps que Rosetta n'a plus vu de vaches, et qu'elle tourne la-haut. 10 ans et demi!

Ca veut dire que la technologie embarquée doit avoir une quinzaine d'années...

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Pardonner cette question de profane, mais combien de temps Rosetta va t elle rester exactement en orbite autour de la comète? J'ai chercher sur la fiche wikipédia mais je n'ai pas trouver (j'ai lu un peu en diagonale...:p)

 

Je ne suis pas extrêmement informé mais d'après Francis Rocard, des discussions étaient en cours (j'ai vu une vidéo datant de décembre dernier) concernant l'avenir de la mission et du lander et orbiter : il évoquait la possibilité de laisser le lander et orbiter "mourrir" avec la comète ou encore, mais c'est une très mince possibilité (voire impossible mais il l'évoquait) de ramener les sondes sur Terre...

 

EDIT : erreur de ma part, j'ai mal compris ce que Francis Rocard évoquait concernant l'avenir de la mission. Il évoquait en fait la possibilité de la survie de la sonde après son passage au plus près du Soleil, mais que selon lui c'était plutôt de la science-fiction ^_^

Modifié par CometLife
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Dans le meilleur des cas Philae pourrait survivre jusqu'en Mars (à cette date la comète se sera rapprochée du Soleil et le petit lander va... griller !)

Quant à Rosetta elle observera la comète jusqu'à sa mort en observant les changements de la comète ; Il est évidemment exclu qu'elle revienne vers la Terre !

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Impossible à dire ! Tant que les instruments à bord fourniront des données, l'ESA maintiendra le contact ! Suivre le dégazage d'une comète pendant des mois, à mesure qu'elle se rapproche du Soleil, les astronomes en rêvaient !

 

C'est fascinant! Je pensais que la mission s'arréterais quand la sonde aurait épuiser son carburant pour effectuer ses corrections de trajectoires. Tant mieux alors et pourvu qu'elle dure le plus longtemps possible.

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Et sa mort c'est pour quand environ?? A quoi sera t elle due?

 

C'était prévu snif.gif

 

Rosetta sur son bon dos a transporté son petit frère.

 

 

Elle lui montre par correction comment dompter apprivoiser l’inhabituel mais elle va envoyer le p’tit frère au charbon, « Déchiffrer les hiéroglyphes glacés qui renferment les secrets de l'Antiquité cosmique »

:cry:
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