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Débutant recherche galaxie


alesi26

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Récemment heureux acquéreur d'un Dobson 250, j'ai pu observer sans problème jupiter et la lune.

Fort désireux de voir des galaxies, j'ai commencé à repérer les constellations à l'oeil nu : le lion, gémeaux, grande et petite Ourse...

Pourtant je rencontre de grandes difficultés à découvrir le ciel profond.

Avec le viseur, je ne parviens pas à viser d'étoile à partir de laquelle parcourir le ciel.

Je prends soin de mettre mon oculaire de 25 pour pouvoir repérer des groupes d'étoiles mais sans résultat.

Ce qui me décourage c'est que quand je penses avoir repéré la bonne étoile dans le viseur, je passe à l'oculaire et là c'est le drame : il y a beaucoup trop d'étoiles et je ne m'y retrouve pas du tout...

 

Auriez-vous des conseils pour m'aider à progresser ?

Modifié par alesi26
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Bonjour ! Ce que tu appelles le viseur, c'est un chercheur (une petite lunette) ou un viseur (genre point rouge ou Telrad) ? Je vais supposer que c'est un chercheur (sinon, tout ce qui suit est hors-sujet) vu que tu parles de « parcourir le ciel », ce qui suggère la méthode de cheminement.

 

Si c'est un chercheur, le point clé est, comme tu l'as remarqué, de reconnaître à l'oculaire l'étoile pointée à l'aide du chercheur. Pour ça, il est essentiel que le chercheur soit parfaitement aligné : lorsque tu pointes une étoile brillante, tu dois la reconnaître à l'oculaire car :

‒ elle est encore plus brillante à l'oculaire ;

‒ elle est forcément au centre de l'oculaire (ou pas loin).

 

Ensuite, ne te précipite pas. Si tu chemines au chercheur, sois sûr à chaque instant que ce que tu pointes est bien ce que tu crois être en train de pointer. En particulier, commence toujours par regarder comment le ciel est orienté dans le chercheur (il n'est jamais orienté pareil que sur la carte).

 

En tout cas je pense que tu as bien compris le principe. Ensuite, c'est une question d'habitude.

Modifié par 'Bruno
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Salut , en débutant j'ai eu les même problèmes avec le chercheur de mon dobson, du coup j'ai acheté un telrad ( pas très cher) qui permet de cibler précisément un endroit du ciel. Il s'agit en fait d'une simple paroie en plexi avec une cible projetée dessus, le but étant , une fois le telrad aligné avec le téléscope ( ce qui prend 2 minutes sur la lune ou un lampadaire), de placer la zone voulue au centre de la cible. Je trouve ça beaucoup plus simple, surtout quand on débute. Personnellement , j'ai un dobson 300 et effectivement, les galaxies ne sont pas les meilleurs objets à observer , tu ne verras au mieux qu'une légère tache floue, mais il y a beaucoup d'autres choses à voir ;) j'adore aussi les galaxies mais je ne les admire qu'en faisant de la photo avec un tout autre matériel sur une monture motorisée ( mais c'est une tout autre démarche)

Modifié par Haltea
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Tu en as peut-être vu sans le savoir... Ce n'est pas évident au départ si on croit trouver de belles et grandes structures bien définies...

Commence par des choses simples exemple M81/M82 au 250 avec ton 25 mm, tu devrais les voir facilement mais dans ton télescope (j'ai le même), cela ressemblera davantage à une petite lentille et un petit grain de riz, très diffus mais évidents dans le même champ. Pour les voir mieux, utilise la vision décalée et n'hésite pas à faire vibrer un peu le tube.

Dans le Lion, il y a aussi de beaux couples et même triplets.

Dans la Vierge, le plus dur sera de trouver les dénominations de celles que tu aura vues...

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Salut !

Déjà faut savoir si le chercheur est bien réglé ou pas. Comme rien ne ressemble plus à une étoile qu'une autre (bon ok, j'exagère !), on peut se servir de la lune ou de jupiter pour faire l'alignement. Au moins quand on est sur eux on sait qu'on est pas sur autre chose. Si tu sais pas comment aligner doit y avoir un tuto dans la wapédia.

Ensuite faut savoir se servir dudit chercheur. Si c'est un coudé c'est pas évident. Mais si c'est un droit c'est tout facile à apprendre, faut juste garder les deux yeux ouverts. Je ne sais pas pourquoi certains s'efforcent de fermer un œil, on y perd justement le gros avantage du chercheur lunette sur ceux points rouge. Voir ici : http://91.121.211.202/~webastro/forum/showpost.php?p=1660689&postcount=34

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Il faut aussi tenir compte de la qualitè du ciel.....pour les galaxies, il doit etre aussi noir que possible, loin des villes et en l'absence de Lune.

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J'ai aussi un 250.

Au début c'est pas facile car tout est inversé à l'oculaire!

Tout d'abord, comme précisé, bien aligner le chercheur de jour.

Et pour commencer, je te conseille le cheminement, d'étoile en étoile.

 

Il y a plein de galaxies à voir au 250:

En ce moment, comme cibles faciles il y a M81 (peu de détails), M82 (ma préférée, tu peux essayer de trouver les bandes plus sombres, M51 (quelques détails, voire même les spirales en vision décalée, mais je ne suis plus sûr).

Et après tu peux essayer M108, et te ballader dans l'amas de la Vierge.

 

Au pire, et tant pis pour les lumières, avec ton portable+Stellarium pour faire ta recherche.

 

En espérant t'avoir aidé ^^

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Bonjour,

 

J'ai aussi eu le même problème ... et j'y suis encore régulièrement confronté :confused:.

 

Pour moi, il y a plusieurs problèmes:

 

Le premier problème, c'est le pointage de départ traité dans les messages qui précèdent. Un chercheur coudé seul rend l'opération compliquée mais, s'il est couplé à un viseur à point rouge (ou à un laser ... à réserver exclusivement aux séances en solitaire et par température >15°), cela devient beaucoup plus simple

Ainsi, avec un peu d'expérience, on apprend assez vite à reconnaître les étoiles les plus brillantes dans le chercheur. :)

 

Remarque: Si tu as bien un chercheur coudé et que tu souhaites y adjoindre un viseur point rouge facilement, un des bons choix serait un Quick Finder (de marque Rigel) qui est très léger et peut s'installer avec un simple collant double face (on ne le trouve pas partout mais avec une petite recherche sur internet, on le commande facilement ...).

 

Le second problème, c'est le cheminement d'étoiles, il y a l'inversion de l'image mais il y a aussi la largeur du champs (FOV=Field Of View en anglais). Celle-ci s'exprime généralement en degrés (avec décimales) ou en degrés, minutes et secondes.

 

Il faut bien estimer la largeur du champs:

  • Dans le chercheur (typiquement +/- 5° dans un 8x50 et +/- 7° dans un 6x30)
  • Dans le télescope, ce qui dépend du champs de l’oculaire et du grossissement.
    Par exemple avec ton 250, tu as probablement une focale de 1250 mm. Si tu utilises, par exemple un oculaire de base (type plössl) de focale 24 mm et champs 50°. Tu aura:
    grossissement = focale miroir / focale oculaire = 1250/24 = 52
    champs apparent = champs oculaire / grossissement = 50/52 = 0,96° (disons +/- 1°)

 

L'échelle sur les cartes du ciel (ou les logiciels) est exprimée de la même manière. Par exemple, sur le Pocket Sky Atlas (PSA), la largeur de mon pouce fait environ 4° ce qui correspond au cercle extérieur d'un telrad.

Ainsi, pour aller d'une étoile vers une autre distante de 4°.

  • Dans le chercheur, en mettant la première étoile en bord de champs, je dois voir la seconde de l'autre côté.
  • Par contre, dans le télescope, je devrais me déplacer d'environ "4 champs de vision".

 

Un autre outil très utile, ce sont les jumelles !

Leur champs est généralement renseigné. Par exemple, les miennes ont un champs de 5°. Elles me permettent de me repérer assez facilement (pas de problème d'inversion et mouvement beaucoup plus "naturel") et elles ont un champs comparable à celui d'un chercheur.

On peut les utiliser pour un repérage préalable.

En plus, si on les couple à l'utilisation d'un laser monté sur le télescope, il suffit d’amener le laser dans le champs de vision des jumelles pour amener le télescope au bon endroit.

 

En espérant t'avoir aidé, je te souhaites beaucoup de plaisir dans ta recherche des plus beaux objets du ciel profond.

Modifié par yves piette
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Bonjour,

Même vécu que Haltea: le Telrad est redoutable d'efficacité et je le préfère à mon chercheur droit 8x50, surtout si on a un atlas qui indique les mires de visée.

Les inconvénients que je lui trouve:

- une propension à s'embuer mais il y a des remèdes,

- il faut des batteries chargées (mais elle tiennent longtemps).

- et contrairement au chercheur, il n'agrandit pas l'image.

Modifié par starac
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Pareil que certains, j'ai banni le chercheur d'origine et l'ai remplacé par un viseur point rouge, beaucoup plus intuitif. Des jumelles peuvent aussi aider à localiser certaines galaxies, avant de tenter au télescope. Quand aux détails sur les galaxies, sous un bon ciel il faut rester un moment dessus, utiliser la vision décalée, et pourquoi pas comparer ce qu'on voit avec quelqu'un d'autre, mais c'est sur il ne faut pas s'attendre à des miracles.

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Merci pour vos conseils et retours d'experiences !

Mon chercheur n'est pas coudé, il faut par exemple se contorsionner pour viser la grande Ourse, c'est pas pratique !

Et je pensais que c'était une mini lunette mais l'image est renversée c'est donc un mini Newton ?

Je vais poursuivre mes recherches dans le ciel profond, en vérifiant l'alignement de mon chercheur et en me déplaçant à la campagne.

Sinon quel modèle de chercheur me conseillez vous pour remplacer celui d'origine du SW 250 ?

Merci

@+

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Je rejoins Yves Piette ci-dessus pour ses conseils.

J'ai un Strock 250 et aucun chercheur. J'utilise les jumelles et un laser monté à poste que je règle à chaque montage du Strock de façon qu'il soit aligné avec l'axe optique (on voit alors le faisceau dans l'oculaire). Et le repérage des objets du ciel profond est un jeu d'enfant : étude de la carte du ciel, pointage des jumelles en les tenant d'un main sur l'endroit désiré (qui doit correspondre à ce qu'il y a sur la carte), pointage du laser et donc du scope avec l'autre main de façon à voir le faisceau dans les jumelles. Il faut ainsi 5 secondes pour voir M81 et 82, etc.

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Le chercheur d'origine est un 9x50 et est très bien ! Inutile d'en changer, si tu n'arrives pas à te servir de celui ci, tu n'arriveras pas à te servir de l'autre...

 

De jour, vise un objet très très lointain et fait la mise au point du chercheur. Pas besoin du télescope, tu peux tenir le chercheur à la main comme une petite longue vue.

 

Ensuite, si tu as bien lu les messages précédents, il est absolument nécessaire d'aligner le chercheur avec le télescope. Pour cela c'est simple et le mieux est de le faire DE NUIT (et pas de jour...) :

1) installe un oculaire très ouvert, par exemple un 25 mm sur ton télescope et pointe le vers une étoile très lumineuse et facilement identifiable (Véga, Aldebaran...) ou une planète (Jupiter, Vénus, Saturne) selon ce qui est visible et pratique à observer. Centre bien l'étoile dans ton oculaire.

2) sans toucher au télescope, règle le chercheur avec ses petites vis pour que l'étoile (ou planète) visée soit bien à la croisée des fils

 

Tu peux parfaire le réglage en prenant ensuite un oculaire plus serré, par exemple un 8 ou 10 mm et en recommençant la procédure.

 

Voilà, le chercheur est réglé. Avec un peu d'habitude, ça ne prend qu'une minute à faire. Il faut le refaire chaque fois que tu ressors ton télescope.

 

Le laser, à ta place, j'oublierai. Leur fonctionnement est aléatoire dès qu'il fait un peu froid et ils dépendent de piles qui tomberont toujours à plat le jour où il ne fallait pas : et Murphy oblige, ce jour là, tu n'auras pas de piles de rechange ! En plus ça fait ch*** tout le monde de voir ces rayons verts pointer le ciel...

 

Le Telrad ou Quickfinder (viseur point rouge) sont de très bons instruments mais ils dépendent aussi des piles. Ils sont aussi très très sensibles à la buée.

 

Les lunettes inversent complètement l'image : ce qui est en haut est en bas, ce qui est à droite est à gauche. Les Newtons n'inversent que dans un seul axe, si le télescope est à l'horizontale avec l'oculaire sur le coté, ce qui est en haut passe en bas, ce qui est à droite reste à droite. Mais si l'oculaire est sur le dessus, ce qui est à droite passe à gauche et ce qui est en haut reste en haut !

 

Un renvoi coudé ne va redresser qu'un seul axe sur le chercheur et selon son orientation ça risque d'être différent de celui du Newton... d'où une gymnastique mentale qui n'est pas très simple à maîtriser. De plus, tu n'auras plus l'oeil en face du ciel. Quand on vise, on ouvre généralement les deux yeux : l'un collé au viseur, l'autre regardant le ciel, comme ça on peut contrôler le sens du déplacement. Avec un coudé, cela n'est plus possible. Bref, le coudé n'est utilisé que lorsqu'on n'a pas d'alternative simple à mettre en oeuvre, par exemple avec les très gros dobsons, ou quand on a vraiment des maux de cou.

Modifié par Fred_76
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Merci pour vos conseils et retours d'experiences !

Mon chercheur n'est pas coudé, il faut par exemple se contorsionner pour viser la grande Ourse, c'est pas pratique !

Pour éviter de se tordre le cou, il faut mettre tout le corps contre le tube. Il faudrait que je te montre...

 

Et je pensais que c'était une mini lunette mais l'image est renversée c'est donc un mini Newton ?

C'est bien une mini lunette : une lunette renverse les images (mais s'il y a un renvoi coudé, seules deux directions sont inversées). Pour un chercheur ce n'est pas un inconvénient car on doit utiliser une carte (l'œil nu sert uniquement pour pointer une étoile-repère) et il suffit donc de retourner la carte. Si c'est pour toi un inconvénient, j'ai tendance à penser que tu t'y prends mal.

 

La bonne méthode :

‒ On pointe une étoile-repère à l'œil nu. Par exemple, pour chercher M27, on peut pointer l'extrémité de la Flèche. Comme reconnaître qu'on est sur la bonne étoile ? En pointant avec les deux yeux.

‒ Une fois qu'on est sur l'étoile-repère, on prend la carte, on la retourne, on vérifie l'orientation du champ au chercheur, et on chemine.

 

Sinon quel modèle de chercheur me conseillez vous pour remplacer celui d'origine du SW 250 ?

Les chercheurs droits des Skywatcher sont très bien (si c'est bien le système à deux vis à 90° et un ressort).

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Bonjour,

J'ai 2 méthodes après avoir bien repéré la zone au psa :

Les deux yeux ouverts, pas simple au début, mais quand on choppé le coups ça marche pas mal.

ou

Je vise la zone au laser qui est fixé sur le dobson et généralement je suis pas loin.

Serge

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+1, le 9x50 droit skywatcher est bon et faut payer vachement plus cher pour en avoir un qui est mieux. Et même si c'était optiquement mieux, tu n'arriverais pas à t'en servir plus facilement si tu ne maitrises pas la technique. Certains astram (pas moi) préfèrent les points rouges car c'est une autre technique. Ca ne préjuge pas des qualité du 9x50 d'origine mais juste une question de préférences personnelles, les avantages/inconvénients n'étant pas les mêmes.

 

 

J'ai 2 méthodes après avoir bien repéré la zone au psa [...]
C'est peut être utile de rappeler que dans tous les cas (sauf systèmes d'aide au pointage) il faut connaitre un minimum le ciel et savoir se servir d'une carte. Y'a pas mal de débutants qui arrivent ici en disant "j'arrive pas à trouver" (certains ajoutent "ouiiinnn" en début de phrase, mais c'est pas ton cas Alexi ;) ) et on leur répond du tac au tac "prends un point rouge". Allons bon, pourquoi pas. Sauf qu'un point rouge demandera le même apprentissage du ciel... Modifié par popov
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Voilà ce que dit Fred 76 : "Le laser, à ta place, j'oublierai. Leur fonctionnement est aléatoire dès qu'il fait un peu froid et ils dépendent de piles qui tomberont toujours à plat le jour où il ne fallait pas : et Murphy oblige, ce jour là, tu n'auras pas de piles de rechange ! En plus ça fait ch*** tout le monde de voir ces rayons verts pointer le ciel..."

 

Eh bien, je m'inscris en faux. Si on n'est seul, le laser ne gène personne. Et il ne fait pas toujours froid au point de troubler le laser, et cela dépend d'ailleurs des modèles qui sont plus ou moins sensibles (je n'ai jamais eu ce problème sur le mien que j'utilise depuis 10 ans). On en trouve sur le net à 7 euros.

Je le répète, l'utilisation du laser évite de se tordre le cou, permet une recherche d'objet très rapide, surtout pour un débutant. Je n'ai vraiment découvert et apprécié le ciel que lorsque j'ai mis un laser sur mon premier petit télescope dont le chercheur ridicule me permettait à peine de viser Jupiter. Mais cela n'empêche pas, évidemment, après avoir su comment viser les objets célestes grâce au laser, d'utiliser autre chose comme pointeur.

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C'est toujours délicat d'utiliser un laser car il y a une réglementation et il suffit que des voisins se plaignent pour avoir droit à la visite des autorités ... Depuis des années je tourne au Quickfinder c'est vraiment mieux que tout le reste, on vise juste, pas de pb de buée et sa position déportée facilite la visée. Quant au passage vision droite vision inversé avec l'habitude le cerveau fait la gymnastique tout seul, par contre au début je dis pas c'est déroutant et frustrant mais il faut persévérer c'est un peu le secret de notre passion.

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C'est toujours délicat d'utiliser un laser car il y a une réglementation et il suffit que des voisins se plaignent pour avoir droit à la visite des autorités ... Depuis des années je tourne au Quickfinder c'est vraiment mieux que tout le reste, on vise juste, pas de pb de buée et sa position déportée facilite la visée. Quant au passage vision droite vision inversé avec l'habitude le cerveau fait la gymnastique tout seul, par contre au début je dis pas c'est déroutant et frustrant mais il faut persévérer c'est un peu le secret de notre passion.

 

Le rayon des lasers verts 5 mw ne se voient plus à 5 mètres. Et la nuit les voisins dorment, où alors il suffit de les inviter à voir le ciel sur son scope. Maintenant on fait comme on veut.

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Je pense que l'inconvénient, c'est surtout lors de soirées à plusieurs : j'estime qu'il faut absolument prévenir préalablement tout le monde qu'on utilise un laser vert.

 

Je me souviens d'une soirée avec mon club, il y a un an ou deux, où j'avais décidé de faire une pause et d'aller voir dans les télescopes des copains. À un moment donné, je m'approche d'un Newton 200 mm qui pointait plus ou moins vers moi. Au dernier moment j'ai vu le laser et je me suis écarté, mais il est passé pas loin. Je ne savais pas que ce télescope était muni d'un laser vert, et son utilisateur ne m'avait pas vu venir dans le noir (et quand j'étais tout près, il devait avoir le nez dans son atlas). C'est normal. N'empêche, un accident est donc possible, d'où la nécessité de prévenir : ainsi on se méfiera.

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