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sixela

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Tout ce qui a été posté par sixela

  1. Oui. Tout comme sur un télescope normal avec oculaires, en utilisation afocale (on met l'OVNI-M en mode 1x derrière un oculaire) on peut changer d'oculaire et/ou rajouter une barlow ou un réducteur pour adapter tout ça au rapport f/D du télescope et à l'objet. En "prime" (en utilisant l'OVNI-M seul sans objectif comme oculaire) c'est comme un oculaire 26mm 40°, et alors si l'on veut grossir moins ou plus on est en effet bien obligé d'utiliser un réducteur (en pratique pas beaucoup plus de réduction que 0,75x, d'où l'utilité de l'utilisation en afocal derrière un oculaire) ou une barlow (pas vraiment de limite).
  2. Je te rejoins quand on parle d'une solution logicielle qui integre des images et où l'on "attend" un image, mais si on observe avec un oculaire de vision nocturne (photocathode, déumultiplication des électrons, écran phosphore), on ne voit pas les photons originaux° mais en pratique rien n'est différent par rapport à l'observation visuelle avec des oculaires en verre (à part une légère scintillation), et c'est une expérience tout à fait "en temps réel" et c'est tout aussi direct. Ce n'est absolument pas une "pratique à part". Pour moi tout ce qui produit une image "fluide" (exposition unique en 1/10 s maxi) qand on bouge le télescope, c'est de l'observaion directe. Dès qu'on fait des expositions d'une seconde ou plus et qu'on empile, ça devient quelque chose de différent, mais on s'éloigne du direct pas à pas sans faire de bruit, il n'y a pas une césure ou un gouffre. -- °Quest-ce qu'un "photon original" des que l'on le fait passer par un medium comme le verre, d'ailleurs? En mécanique quantique cela n'a même pas beaucoup de sens. Il y a une fonction d'onde en sortie de verre qui est liée à celle émise pas la source, mais elle a interagie avec chaque atôme et surtout les électrons du medium...
  3. Non, pas de doute. Tu a probablement un seeing meilleur que le mien, et il n'y a pas que la résolution, un 400 mm gobe bien 30% plus de lumière, ce qui permet aussi de voir les objets comme 30% plus grands avec la même luminosité surfacique et de voir des étoiles plus faibles (et donc d'enrichir les amas ouvert et globulaires, et de voir quelques quasars en plus). Et si tu passes d'un miroir GSO à un miroir Taurus Pro, ça me la fait aussi (j'ai un copain qui est passé d'un GSO pourtant "moyen" vers un Nichol, et l'esthétique des étoiles est bien différente). Je ne passerais par contre jamais d'une 350 vers un 400 de même qualité -- la différence est bien là, mais elle est petite, je ne passerais pas vers moins que 450 mm ou 500 mm. Mais si c'était pour choisir entre les deux, c'est "le plus grand que j'arrive a mettre seul dans la voiture" ;-).
  4. Il n'y a heureusement pas que les planètes à G=D(mm) ;-). L'intêret d'un 500mm pour les planètes, par contre, chez moi il est carrément nul. Mon 400 ne s'est jamais fait battre par mon 500 (malgré la beauté du Lockwood et de l'Ostahowski dans le 500). Dis moi, tu as déjà observé Jupiter à plus de 600x et Mars à plus de 800x combien de fois?
  5. Ben...si on indique "P-V surfface" [sic] et pas "P-V wavefront", c'est plutôt clair, je trouve, malgré l'orthographe. D'accord, mais espérer qu'il s'affranchisse des lois de la physique, très peu pour moi: Au dessus de D=3*r0, il faut bien réduire l'ouverture pour concentrer l'énergie (faute d'optique adaptative de type "tip/tilt" avec temps de réponse de 10 millisecondes ou moins). Ou alors avoir beaucoup de patience (encore plus que d'habitude), comme le r0 est une fonction qui varie dans le temps (avec une distribution qui s'approche d'une distribution de Poisson). Mais la queue d'une distribution de Poisson n'est pas très favorable à l'attente. Chez moi, j'ai 4-5 nuits par ans ou le 400mm non apodisé bat l'apodisé. Si j'étais sur le Pic du Midi, je me demanderais ce que ces cocos font avec ces drôles de machins (et à La Palme il y a des nuits où sur un T300 l'image de Saturne ne bouge pas à 600x, j'ai vécu ça aussi). Mais hélas, pôvre moi, j'habite où j'habite.
  6. Ben oui, si on oublie un facteur 2 sur l"erreur RMS...
  7. Ayant eu le plaisir d'observer par une lunette de 400mm (de diamètre), je t'assure que c'est surtout du à la différence en ouverture qui "cache" plus facilement la turbulence. Si on a un 400mm, il faut souvent faire un masque d'apodisation pour les nuits avec un seeing 'normal'. J'ai maintenant un 500mm et il a du mal à battre mon 400mm (et le masque est encore plus nécessaire), surtout que le miroir est plus épais et plus ardu à mettre en température. J'ai un copain avec un T762 et en Belgique et au Pays-Bas on n'échappe pas au masque d'apodisation et au ventilateur dorsal plus frontal toute la nuit à G = 1xD(mm). Mais bon, G est 762x... Meilleur article (et le plus moderne) pour faire un masque: https://sites.google.com/site/jagibb3/home/astro/apodizing
  8. Qui te dit que c'est basé sur un Foucault? Cela me semble plutôt fait avec un interféromètre Bath. Sinon il est difficile de produire des coupes asymétriques. En plus, lambda est 560nm (c'est rare de ne pas tricher en utilisant 623 ou 635nm!) et c'est un testeur qui teste aussi le milieu (pas comme chez OO), y compris ce qui est caché par le secondaire. Elles ne sont que corrélées pour un défaut global de correction de premier ordre. Cela me semble tout à fait normal pour le type de front d'onde sur le rapport (légèrement sous-corrigé, avec une zone et un tréfle qui suréleve encore une partie de la zone et une zone en bord un peu 'roulée' mais pas vraiment comme un bord surélevé/rabattu). Par contre il faut encore multiplier les erreurs par 2 pour avoir l'erreur sur front d'onde (ce sont les erreurs brutes en fraction de lambda sur la surface). Ce qui donne un défaut pic-vallée sur front d'onde de 1/5 lambda et un défaut RMS de 1/24 lambda. Le rapport de Strehl correspondant (pour la modélisation du miroir, qui exclut les effets de la rugosité) est de 0,93. Contrairement à OO, cela me semble plutôt un rapport assez honnête, qui ne cherche pas à gonfler les chiffres en utilisant des traîtements de données vétustes et en exploitant les "avantages" d'un test qui balaie pas mal sous la moquette, et c'est pour le miroir en entier, y compris ce qui est caché par le secondaire (et chez OO par le trou dans leur miroir plan de référence). En plus c'est assez typique des erreurs résiduelles une fois qu'on a en effet corrigé l'erreur de sphéricité, ce qui est réconfortant. Ce n'est pas de la qualité d'un Mirrosphère ni même d'un Nichol (en tout cas ceux vus récemment), et pour Jan van Gastel qui a fait mon 400mm c'est en dessous du point où il arrête "parce que ça suffit" --il essayerait en tout case de gommer la zone et d'avoir un meilleur bord-- mais c'est nettement mieux que du GSO. C'est plutôt ce à quoi je m'attendais, de l'artisanal 'moyen de gamme'. Il n'est pas impossible de voir la différence entre ça et un miroir nickel, mais après la mise au point c'est quand même dur (en défocalisant un peu on devrait pouvoir voir la zone, et le bord roulé devrait se voir aussi). Seul inconnue: l'état de surface, mais pas de trace de la parabolisation hâtive comme chez GSO qui donne une surface rugueuse en tout cas. C'est très courant si on teste de façon honnête, en détectant bien les zones résiduelles. La zone dégrade immédiatement et sans pardon l'erreur pic-vallée (et encore plus l'erreur transversale qui est le fétiche de certains), mais si la surface concernée n'est qu'assez réduite, pas tellement l'erreur RMS.
  9. Tout à fait pile-poil!
  10. C’est pour la photographie, et c’est donné par le rapport entre la résolution de l’ouverture et la taille d’un pixel d’une caméra planétaire. Rien à voir avec l’observation. visuelle. Pour l’observation visuelle c’est plutôt la pupille de sortie et le grossissement qui comptent, et on choisit l’oculaire en conséquence (selon l’objet et la turbulence atmosphérique).
  11. Si on utilise un soft qui utilise toute l'image (avec OpenFringe ou DFT Fringe, par exemple), pas quand on fait du 'fringe tracing' vieux jeu comme Orion Optics (ou sur l'exemple de Mike Lockwood). Évidemment, la méthode 'vieux jeu' te donne une surface modélisée plus lisse et cache pas mal d'erreurs, ce qui donne un rapport de Strehl fantaisiste (et je soupconne que c'est la raison pour laquelle OO continue de l'utiliser). Mais même avec une méthode moderne et en utilisant plusieurs rotation, je trouve qu'on le le voit pas aussi bien que sur un testeur Foucault ou avec un Ronchigramme.
  12. Orion Optics est la preuve que ce n’est pas une garantie ;-). Même avec cet instrument il faut un protocole qui tient la route. En plus il ne dit rien sur l’état de surface, ne voit pas un bord rabattu, et pour la forme il y a bien d’autre façons de mesurer sans interféromètre qui sont également efficaces (bien qu’en effet tester avec un testeur Foucault et des masques de Couder est délicat, imprécis pour des miroirs à rapport f/D court, et ne permet pas vraiment de chiffrer la qualité).
  13. Ce serait un mauvais nom: quelqu'un comme John Nichol est bien un artisan et pas un "industriel". Et je mettrais Taurus plutôt dans le même créneau, sauf si leur chiffre d'affiche monte en flèche et qu'ils ne commencent à rogner sur la qualité (il fut un temps où même Orion Optics fournissait des miroirs de qualité...) Je dirais plutôt 'artisanal moyen de gamme' (parce que comparé à de l'industriel ce n'est pas du bas de gamme). Pour moi c'est plus une question d'approche: est-ce que le miroir est bien testé de façon individuelle? Que fait-on avec les erreurs qu'on voit encore? Est-ce que le protocole permet de véritablement détecter les canards boiteux, est est-il récent (ou plutôt vétuste, mais on ne change pas parce qu'il pond des rapports de Strehl hauts mais fantaisistes)? Est-ce qu'on recoupe ce qu'on voit sur des tests différents? Est-ce que les tests servent à voir ce qui peut être amélioré (et à le faire!), où uniquement à produire un chiffon pour mieux vendre? Mais même avec la bonne approche il y a des artisans qui s'arrêtent plus tôt que d'autres. Jan van Gastel par exemple ne garantit pas de rapport de Strehl de plus de 0,95 (mais pas de bord rabattu et un état de surface correct). Alors que Jeroen Vleggaar ou Frank Grière s'acharneront sur un défaut de haut ordre de 1/7 lambda pic-vallée vachement fastidieux à enlever (Jeroen a même décider de ne plus offrir de refaire des miroirs après s'être cassé les dents sur un des mes OO, qu'il a fini avec beaucoup de peine mais qui est parfait). il est très difficile de voir la différence entre ce que personnellement j'appelle un 'bon' miroir et un Lockwood ou un Huygens Optics, sauf par exemple avec un oculaire Ronchi avec un bon seeing (mais en pratique on ne passe pas sa soirée à regarder une étoile par un oculaire Ronchi) ou hors de la mise au point sur un test sur une étoile. Si j'ai ce que les américains appellent un "snap focus" --une mise au point précise à un seul endroit non ambigu, et bien symétrique-- avec peu de diffusion après la mise au point, je ne vais pas me laisser une minuscule zone qui réduit le rapport de Strehl de 0,03 me laisser gâcher la soirée ;-), même si j'arrive à la détecter. On pourrait croire que je suis trop bienveillant, mais dans l'industriel, il n'y a pas tellement de miroirs qui correspondent à ce que je cherche (ce n'est pas pour rien que deux de mes miroirs sont refaits. Mon Skywatcher 150mm ne l'est pas, mais je l'utilise seulement pour du grand champ). En plus quand on passe dans les rapports f/D en dessous de f/4, le test sur étoile n'est pas si simple. On peut facilement avoir de l'aberration sphérique qui vient de l'oculaire qui est plus importante que la différence entre un "bon" et un "excellent" miroir (et à haut grossissement il faut savoir choisir son oculaire!) Sans parler du seeing quand on commence à dépasser les 300mm, et de la mise en température...un 'bon' miroir fin est souvent en pratique prérérable à un miroir excellent trop gros (en tout cas dans mes conditions).
  14. Les miroirs "Pro" sont de Taurus même (ce qui explique le rapport f/D assez grand, ils ne se sentent pas assez confiants pour produire du plus rapide). Quand ils proposent à un client du OO ou du Hubble Optics, c'est quand on demande de baisser le raport f/D. Je ne suis d'ailleurs pas d'accord de mettre Nichol (sans s) dans le même panier que OO et Hubble Optics. J'en ai maintenant vu une dizaine de récents et dans tout les cas c'est plutôt ce que j'associe avec de l'artisanal 'assez bon' (il y a aussi de l'artisanal mauvais, j'ai déjà donné en achetant un Oldham 😉 ) que de l'industriel. Il y a parfois une fine zone qui n'influence pas trop les images mais donne une erreur transversale (et parfois une erreur pic-vallée) trop importante pour ceux qui veulent la perfection; l'état de surface n'est pas trop mauvais sans être de la qualité d'un Mirro-Sphère, Zambuto ou Huygens Optics. Donc pas du Mirro-Sphère, mais même moi j'en serais content, surtout que ces miroirs sont assez fins et donc facile à mettre à température ambiante, ce qui chez nous est parfois assez ardu. Je n'ai pas vu tellement de Taurus "Pro" mais (pour les deux que j'ai vu) ça me semble être dans le même créneau que Nichol, que j'appellerais plutôt de l'artisanal mais pas de l'artisanal haut de gamme (comme du Lockwood, Zambuto ou Mirros-Sphère). Tandis que OO et Hubble Optics livrent une qualité bien plus variable (avec un état de surface pas trop bon aussi), que j'associe plus avec de l'industriel. Quand à l'optique des Taurus non-pro, ça me semble être la même source que chez GSO, TS Optics et Explore Scientific: pseudo-BK7 avec tensions dans le verre assez caractéristiques, astigmatisme pas toujours évité, rugosité élevée avec un motif en spirale probablement due à une parabolisation très hâtive, etc. Souvent utilisable mais connaissant mieux (maintenant je n'ai que de l'artisanal haut de gamme) ça a tendance à m'agacer même quand ce n'est pas un des (assez rares) canards vraiment boiteux. J'ai pu comparer mon très bon 250mm (Huygens Optics / Protostar) à La Palma avec une 300mm "moyen" et la prochaine fois, pas question de prendre le 300mm. Donc pour moi il ne serait pas question d'acheter un Taurus sans un optique "Pro" ou une optique 'externe' au moins de la qualité qu'on peut attendre d'un Nichol (et donc pas Hubble Optics ni Orion Optics).
  15. C'est souvent la vis de blocage qui freine si le 1x marche et le 10x ne marche pas. Elle doit être complètement dévissée, sans causer de friction sur le tube du PO. Mais si même la molette 1x tourne dans le vide elle est mal fixée sur l'axe.
  16. "Sur lulu"...je doute que ce soit un Dobson. L'absence de renvoi coudé explique le problème, bien sûr.
  17. Pour éviter un pointeur qui ne fonctionne pas dans le froid éviter les pointeurs chinois bas de gamme et prendre un taiwanais Leadlight (à meilleure électronique et cristal DPSS plus grand). Le mien est celui-ci: https://www.pearl.fr/article/NC5000/pointeur-laser-a-rayon-vert et il tient en pratique jusqu’à environ -10° (avec piles lithium).
  18. Le Kepler XWA est utilisable comme 1,25". Suffit de dévisser le coulant 2". Mais pour les autres un renvoi coudé 2" s’impose. Tu perds un peu de champ à cause du vignettage à partir du 20mm mais ça se joue.
  19. Le filtre UHC n’est en en effet que pour les nébuleuses à émission (dont les nébuleuses planétaires) . Sur les galaxies on les utilise parfois pour faire disparaître les bras pour mieux voir les régions H-II. Pour les galaxies il existe d’autres filtres mais leur effet est hélas très discret. Pas moyen de filtrer sans perdre au moins unre partie de la lumière de l’objet.
  20. Si tu as plusieurs oculaires 2" et que tu veux une vraie rallonge 2" au lieu de la "presque rallonge mais sans le bon fil" Skywatcher pour pouvoir mettre un filtre dessus et éviter de devoir revisser en changeant d'oculaire 2": https://fr.aliexpress.com/item/1005004117056066.html [La 50 mm a la même longueur que l'adaptateur Skywatcher.]
  21. Oui. Et si tu as des oculaires trop longs, rajouter une ou plusieurs de ces bagues: https://a.aliexpress.com/_mLzoUaU il y a des sets de rallonges 2" avec un exemplaire de chaque pour environ €25 sur Amazon: https://www.amazon.fr/Huusuei-photographie-télescopique-astronomique-positionnement/dp/B0BQC31CKF/ref=mp_s_a_1_11?crid=104QSVR52S8HO&keywords=rallonge+m48&qid=1689242755&sprefix=rallonge+m48%2Caps%2C96&sr=8-11 Mais bon, sur AliExpress un peut juste commander ce qu’il faut.
  22. Tu n'as pas de "rallonge 2 pouces" fournie avec le FlexTube. C'est ton adaptateur pour oculaires 2" et le pas de vis à la fin n'est pas un pas de vis pour filtres 2" (M48x0,75). Pour une raison un peu obscure, il est plus épais au niveau du fil et a donc un fil à diamètre mineur inférieur (46 mm contre 47,2 mm pour du M48x0,75). .
  23. Et il suffit de rajouter des bagues 2” de 5mm jusqu’à avoir assez de distance.
  24. sixela

    Nébuleuse Dall-e 2

    Meuh non, tout le monde voit qu’il s’agit d’une étoile Louve-Rayée et de sa nébuleuse.
  25. J’utilise un Nano avec des NEMA11 et NEMA14 avec une réduction totale de 1:100 - 1:300 environ. Selon le télescope et la réduction (et le moteur) tout en 12V ou tout en 5V. Attention, utiliser un convertisseur buck pour le 12V, l’Arduino n’aime vraiment pas plus; éventuellement un convertisseur externe vers 5V pour l’Arduino et du 12+V pour le moteur). Utiliser un ‘stepper driver’ pour imprimantes 3D qui est dessiné pour éviter le bruit et les vibrations. Comme driver le Trinamic TMC2209 en StealthChop est nickel. TMC5130/5160 si on veut arracher des arbres avec un NEMA17, mais en 12V même un NEMA14 sur TMC2209 commutable entre StealthChop et SpreadCycle permet un reset électrique en 30 secondes avec un télescope de 100 kg. Mon dernier programme (sans reset électrique) se trouve ici: https://www.astroforum.nl/threads/arduino-programmatje-om-stapper-aan-te-sturen-voor-platform.1476903/ (en néerlandais; utiliser DeepL pour traduire). Sujet sur les tables: https://www.astroforum.nl/threads/een-aluminium-equatoriaal-platform-en-vragen-over-aandrijving.1476906/ Par contre ici le trou le semble un peu court pour un moteur pas-à-pas avec un réducteur.
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