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Dictature de l'orthographe? [topic miné :D]


Tannhauser

Que pensez-vous des fautes d'orthographe?  

120 membres ont voté

  1. 1. Que pensez-vous des fautes d'orthographe?

    • Inadmissible! Et je le fais remarquer!
      18
    • Je saigne des yeux, mais je ne dis rien.
      31
    • Deux-trois par-ci par-là, ça va encore.
      62
    • Aucune importance, l'orthographe, c'est ringard.
      4
    • J'enseigne le langage SMS à mes enfants.
      5


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J'ai, sur mon petit ordinateur portable, un excellent clavier numérique qui me permet d'insérer directement des majuscules accentuées, sans passer par des combinaisons complexes. Je n'ai pas en mémoire l'adresse internet où j'avais trouvé ce très bon outil, mais dès que je serai sur mon portable, je vous le communiquerai... si toutefois ça vous intéresse.

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Kef : OK' date=' c'est intéressant ! Concernant le point-virgule, ce serait déjà bien qu'on pense à s'en servir (dans ton exemple, le remplacer par un point changerait légèrement la signification de la phrase).[/quote']

 

Exact. Personnellement, je suis ardent défenseur du point-virgule, et, même si son utilisation est réservée à un contexte un peu plus littéraire que tous les autres signes de ponctuation, il apporte une nuance intéressante dans le rythme de la phrase... et donc dans le sens de celle-ci. Et tu as raison : dans un énoncé, choisir entre le point, la virgule où le point-virgule peut parfois tout changer, et c'est ça qui est justement passionnant dans l'étude de la phrase. Je suis d'ailleurs en plein dedans dans mes révisions (mais cette fois je vais m'abstenir de te faire une copie de mes notes ^^).

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Pendant longtemps les majuscules furent accentuées, c'était le temps où les typographes régnaient en maître corporatifs sur l'imprimerie en s'accordant des pouvoirs que personne ne leur avait confié. leurs structures était impressionnante, basé sur le compagnonnage (puisqu'il y avait même des maîtres typographes.)

Et un jour (horreur ! malheur !) on inventa la machine à écrire ! Inventé dans son principe dès 1714, le concept fut développé en 1867 et commercialisé à partir de 1875 par la société Remington. Des millions et des millions des textes furent dactylographiés. Aucune majuscule ne fut accentuée dans ces textes.

Et (Oh Miracle !) personne ne s'en plaint. La non-accentuation des majuscules sur les textes dactylographiés n'a gêné personne de 1875 à 1990. Seuls quelques grincheux firent rigoler tout le monde à l'instar de Grevisse qui s'angoissait qu'on puisse confondre le Palais de congrès avec celui des congres, ou pire confondre au restaurant une omelette aux lardons salés avec une omelette au lardon sales !

D'ordinaire, quand l'usage précède la règle, l'usage devient la règle ! Pas cette fois, les typographes revanchards et les ayatollahs de l'orthographe firent sonner le clairon de la tradition oubliant par là qu'une langue qui n'évolue pas est une langue morte.

Word a fait le choix de ne pas retenir l'accentuation des majuscules dans ces options par défaut ! Pour une fois que Microsoft a une bonne idée…

Je n'essaie de convaincre personne, mais qu'on m'explique pourquoi devrait-ton se battre pour rétablir une prétendue règle dont la non-application n'a gêné personne pendant au moins 115 ans ?

 

Edit PS :

Précision : L'ancien code typographique - en vigueur jusqu'à l'avènement de la P.A.O. (publication assistée par ordinateur) au début des années 70 précisait que l'on ne devait pas accentuer les majuscules en dessous du corps 12 La technique du plomb créant des chevauchements avec les caractères "jambées" (f, g, j, p, q) et rendant la lecture difficile.

grevisse.gif

Modifié par Estonius
edit
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Va pour le tréma mais, pour le trait d'union, ça n'est valable que pour le nom commun invariable. Car on peut très bien avoir ouï dire... (comme on a entendu parler ou dire que...) :)

 

Oui, et là, je ne parlais que du nom commun, mot composé (en fait, l'expression).

Par contre, j'ai faussement mentionné “tiret” au lieu de “ trait d'union”, qui n'en comporte pas, d'ailleurs.

L'utilisation de l'un pour l'autre est tolérée, ce que je ne pige pas. :?:

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Bonsoir Estonius, :)

 

Je me permets de te dire que tu as commis une légère inexactitude lorsque tu as affirmé : « Des millions et des millions des textes furent dactylographiés. Aucune majuscule ne fut accentuée dans ces textes. » Eh bien, ce n'est pas tout à fait exact : après que j'ai eu le BEPC j'ai travaillé en 1966 d'abord à La Poste puis dans une compagnie d'assurances avant de revenir finalement à La Poste après mon service militaire. Or, j'avais, à tout hasard, pris des cours par correspondance auprès de la célèbre maison "Institut Pigier" afin d'étudier la sténographie (méthode Prévost-Delaunay) et la dactylographie. Parmi les exercices à réaliser chez soi en dactylographie il fallait avec sa machine à écrire personnelle réussir à taper des "E accents aigus majuscules" pour taper les mot "ÉCOLE". La méthode était celle-ci : on tapait un e majuscule (E) puis on reculait le chariot pour le mettre à la hauteur du E et on remontait le rouleau central de deux espaces et on tapait une virgule qui faisait office d'accent !... :)

 

D'ailleurs, les cours de sténographie et de dactylographie (dont j'ai hélas oublié aujourd'hui 95% du contenu appris alors, surtout en sténographie) me furent très utiles dans ma future vie professionnelle lorsque j'ai commencé à tâter du traitement de textes. ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Modifié par roger15
remplacer "chez soit" par "chez soi"... Désolé pour cette faute inadmissible !...
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oubliant par là qu'une langue qui n'évolue pas est une langue morte.

 

Avoir un souci d'économie aigu au point d'enlever des accents qui ne gênaient personne jusqu'alors, sauf les enquiquineurs de typographes, ce n'est pas ce que j'appelle une évolution positive...

 

C'est comme dire que le langage SMS doit être toléré parce qu'il participe de l'évolution de la langue... Entre l'évolution qui participe du progrès et celle qui participe de la régression, il y a une énorme différence ! L'économie de formes et de moyens, c'est ce qui appauvrit et défigure une langue. Inutile de dire que je suis résolument, à 100% contre.

 

pourquoi devrait-ton se battre pour rétablir une prétendue règle dont la non-application n'a gêné personne pendant au moins 115 ans ?

 

On ne rétablit rien, puisque cette règle a toujours existé ^^.

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Je n'essaie de convaincre personne, mais qu'on m'explique pourquoi devrait-ton se battre pour rétablir une prétendue règle dont la non-application n'a gêné personne pendant au moins 115 ans ?

Personnellement, je ne trouve pas ça très important. Je préfère qu'on accentue les majuscules et qu'on mette les cédilles au C, ça évite des ambiguïtés, mais si tu n'as pas envie de suivre la recommandation de l'Académie, pas de problème. Du moment qu'on ne m'empêche pas d'accentuer les majuscules.

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Une langue morte est une langue qui n'est plus parlée, rien d'autre. Pas besoin de se laisser impressionner par la perspective de la mort quand elle n'est qu'un mot.

 

Une langue évolue nécessairement par l'apparition des néologismes dus aux techniques. Cela peut très bien suffire...

Encore faut-il éviter ce que me disait un Alsacien (en 1975) : "auto-école" (une double horreur pour "école de conduite") se disait auto-école en alsacien contre Fahrschule (ça, c'est correct !) en allemand, auquel l'alsacien est apparenté.

 

Les autres évolutions qu'on réclame sans cesse, sont à peu près systématiquement des appauvrissements, des standardisations, des alignements sur l'anglais (en vocabulaire et même, abjection, en syntaxe).

 

Appauvrissement, standardisation : voir le bâtiment, les véhicules, les aménagements urbains, l'hôtellerie... C'est un mouvement général d'où ressort un profond ennui dans la banalité, une fadeur généralisée au nom de la flemme et surtout de la rentabilité.

 

Parmi beaucoup, un signe sûr de faiblesse de l'évolution : les verbes nouveaux sont tous du premier groupe, lorsque le pittoresque et l'esthétique de la langue tiennent pour beaucoup aux autres groupes.

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Word a fait le choix de ne pas retenir l'accentuation des majuscules dans ces options par défaut ! Pour une fois que Microsoft a une bonne idée…

 

Vous critiquez des règles qui régissent une activité, vilipendez des grammériens, lexicologues, typographes et autres professionnels du langage oral ou écrit, mais vous acceptez les règles sans fondement(s) de Microsoft (qui n'est qu'un trust international, pompeur de fric de plus). Étrange façon de voir les choses. :?:

Je suis pour la codification de l'écriture car elle concoure à l'enrichissement et à la compréhension du texte (elle permet aussi de faire passer des idées avec plus de force, de netteté). Il faut une codification, elle est nécessaire (le Code Napoléon, par exemple). Cela évite que tout le monde fasse n'importe quoi. Là aussi, les règles évitent l'anarchie et c'est une très bonne chose. :)

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Word a fait le choix de ne pas retenir l'accentuation des majuscules dans ces options par défaut ! Pour une fois que Microsoft a une bonne idée…

Vous critiquez des règles qui régissent une activité, vilipendez des grammairiens, lexicologues, typographes et autres professionnels du langage oral ou écrit, mais vous acceptez les règles sans fondement(s) de Microsoft (qui n'est qu'un trust international, pompeur de fric de plus). Étrange façon de voir les choses. :?:

 

Je suis pour la codification de l'écriture car elle concourt à l'enrichissement et à la compréhension du texte (elle permet aussi de faire passer des idées avec plus de force, de netteté). Il faut une codification, elle est nécessaire (le Code Napoléon, par exemple). Cela évite que tout le monde fasse n'importe quoi. Là aussi, les règles évitent l'anarchie et c'est une très bonne chose. :)

Bonjour Jean-Baptiste, :)

 

Je suis tout à fait d'accord avec toi !... :be: :be: :be: Word (et pourtant, ainsi que je l'ai dit dans un message précédent, c'est le traitement de textes que j'utilise et que j'apprécie ;) ) et Microsoft n'ont aucune légitimité pour définir comment doit être écrit un mot en langue française ou en langue étrangère. D'ailleurs, si Word n'a pas retenu l'accentuation des majuscules dans ses options par défaut c'est qu'il s'agit au départ d'un traitement de textes anglo-saxon et qu'en anglais il n'y a point de caractères accentués (minuscules ou majuscules). :p

 

Estonius, qui est pourtant quelqu'un de très érudit ;) , devrait savoir qu'en France il n'y a qu'une seule publication officielle suprême : c'est le JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE !... Je lui conseille donc, en toute sympathie :) , de jeter un coup d'œil à ce lien Internet : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5682187j.image.langFR.r=Journal%20officiel%20de%20la%20république%20française et il verra comment est typographié, en majuscules, le titre de ce "journal officiel de la République Française" dans l'édition du 4 juin 1936 : avec un E majuscule accentué et un C cédille !... :p

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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Tiens, une petite anecdote pour Estonius :

 

Mais préalablement, je dois dire que si j'avais été dans le restaurant fréquenté par le grammairien Maurice Grevisse (1885-1980) et que j'ai vu dactylographié sur le menu : « OMELETTE AUX LARDONS SALES » je n'aurais, tout comme lui jamais commandé un tel plat aux lardons sales !... En revanche, si ce menu dactylographié avait indiqué : « OMELETTE AUX LARDONS SALÉS », j'aurais volontiers commandé ce délicieux plat aux lardons salés !... :D :D :D

 

 

grevisse.gif

 

 

Sinon, voici mon anecdote : j'ai déjà indiqué autrefois sur ce forum Webastro qu'outre les PTT il y avait une autre administration qui retenait - et ce depuis que je suis tout petit - mon attention : celle du Ministère des Finances (c'est là que travaillait mon papa jusqu'à son décès en avril 1956, en qualité d'Ouvrier d'Etat à l'AGT [l'Atelier Général du Timbre" - il ne s'agissait point des timbres-poste, mais des timbres fiscaux ;) ]). Et ma maman avait gardé assez longtemps des relations avec ses anciens collègues et c'est l'un d'entre eux (qui avait ensuite été affecté au service de l'imprimerie interne du Ministère des Finances) qui nous avait indiqué à la fin des années 1980 ce qui va suivre.

 

Le 26 mars 1986 arrive au Ministère des finances un homme, âgé à l'époque de 42 ans ½ (et encore très peu connu) : un certain Alain JUPPE, en qualité de "Ministre délégué au Budget".

 

Les publications internes du Ministère des Finances et les lettres dactylographiées au traitement de textes indiquaient toutes au début que son nom était "JUPPE", donc tous les membres du personnel (sauf ceux qui le côtoyaient directement) lorsqu'ils le croisaient dans les couloirs du Ministère disaient respectueusement : « Bonjour Monsieur JUPPE », en prononçant son nom comme celui d'une jupe !... :mad: :mad: :mad:

 

Furieux, Alain JUPPE a exigé que toutes les publications du Ministère des Finances et toutes les lettres tapées au traitement de textes écrivent dorénavant ainsi son nom : Alain JUPPÉ !... Cet accent aigu sur le E majuscule final de son nom changeait en effet tout pour lui !!!... :be: :be: :be:

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Modifié par roger15
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Bonjour à tous, :)

 

 

C'est la première fois que j'interviens dans une discussion où l'on parle de l'orthographe. Il s'agit là d'un sujet très intéressant.

Ce qui est beaucoup moins captivant, c'est ce que je vais écrire à mon tour... ne me lisez pas, car ce que je vais dire n'est pas utile, ni même digne d'intérêt. D'ailleurs, mon message est bien trop long; c'est l'un de mes défauts puisque j'aime écrire. Bref, passez votre chemin...

 

 

Les discussions sur l'orthographe ont toutes leur place sur ce forum. Oui, car la littérature est une science.

 

Le langage est une chose primordiale et nécessaire au sein d'une communauté. La langue n'est qu'une partie du langage, mais elle est tout autant indispensable pour nous.

Parler n'est pas écrire. Lorsqu'un mot est rédigé ou composé sur une feuille ou une page virtuelle, il doit absolument faire l'objet d'une conformité minimale au regard d'un certain nombre de règles. Sans cela, le mot n'est que difficilement compréhensible. Les codes grammatical, syntaxique et orthographique (pour ne citer qu'eux!) agissent donc en vertu de ce principe.

 

 

Le respect de l’orthographe est important, et pourtant qui ne fait jamais de faute ? [...]

Avoir une bonne orthographe, me disait un ancien professeur, c'est une question de politesse pour celui/celle qui vous lit.

 

Rien n'est plus pénible en effet, que de commencer à déchiffrer un courrier avant d'en comprendre le sens. [...] rien n'est plus pénible que ceux qui vous reprennent systématiquement sans rien ajouter au dialogue, uniquement pour se faire valoir, pour montrer leur érudition ou pour tenter de dévaloriser le rédacteur du message !

 

Hilarion n'a absolument pas tort. Respecter l'orthographe, c'est comme présenter les plus chères marques de respect envers celui qui nous lit. Courtoisie, politesse, et peut-être même amabilité et crédibilité... Mais attention, il ne faut pas pousser à l'extrême: le perfectionnisme de l'écriture est nuisible et inatteignable! La réciproque est vraie: une négligence trop conséquente peut aboutir à un échec. D'une manière simple, j'estime qu'il existe un juste milieu dont les étendues restent suffisamment larges pour que chacun puisse s'y conformer à sa guise. Toujours est-il que personne n'est infaillible!

 

Par ailleurs, il ne faut pas confondre "orthographe" et intelligence"... c'est sur ce point que je rejoins notamment White-Sky:

 

 

Personnellement, je trouve que quelqu'un faisant beaucoup de fautes d'orthographe donne une impression de manque total de culture... Ce qui est par ailleurs idiot car ce n'est pas une preuve en soi... [...] En conséquence, faire remarquer à quelqu'un ses fautes sans le connaître autrement que par ce qu'il écrit sur une page web me semble le comble de l'impolitesse.

 

J'en déduis que la considération de l'orthographe est une boucle permanente (si j'ose dire!)... A ce propos, les clichés et stéréotypes ne font que nous envahir, ce qui soulève de nombreux préjugés.

 

 

 

Tout a fait, tu ne peux pas t'imaginer le nombre de fautes que font les docteurs en sciences...

 

On ne sait pas comment une personne en arrive à faire autant de fautes dans un message : Ecole défaillante ? Parents défaillants ? Origine étrangère ?

 

Autant de bonnes raisons pour s'abstenir de porter un jugement hâtif ou d'être désagréable avec cette personne.

 

 

 

Quant aux correcteurs informatiques ils ne sont fiables qu'à 90% pour détecter les fautes d'orthographe mais seulement à 75% pour détecter les fautes de conjugaison… :( :( :(

 

Un très bon site Internet pour la conjugaison : "Le Conjugueur"(http://leconjugueur.lefigaro.fr/).

 

Et sinon, trois bons vieux "livres papier" :

 

 

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Dommage toutefois que "Le Petit Robert" ait accepté, dans son édition 2013, le stupide mot "LOL":mad: :mad: :mad:

 

 

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Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

Heureusement que les livres sont là pour aider. Ceci dit, les Larousse actuels sont comme des bandes-dessinées de la langue... non, je n'exagère pas. Je peux vous le prouver.

 

Voici la définition du terme "orthographe" dans le dictionnaire Larousse 2002:

 

nf Manière d'écrire correctement les mots.

 

 

Voici la définition du même terme dans le TLFi (Trésor de la Langue Française informatisé):

 

ORTHOGRAPHE, subst. fém.

A. [L'accent est mis sur la notion de correction]

1. Manière, considérée comme correcte, d'écrire un mot. Orthographe d'un nom difficile, vérifier l'orthographe d'un mot. Si votre Excellence daignait me dicter l'orthographe des mots lettre à lettre, les envieux ne sauraient plus que dire (STENDHAL, Chartreuse, 1839, p.191). Les noms anciens n'ont pas d'orthographe (NERVAL, Filles feu, Angélique, 1854, p.562):


1. [il] donna à son oncle le nom d'un détacheur bien supérieur à tout ce qu'on fait en ce genre, nom dont M. Octave prit note, par politesse, se faisant même préciser l'orthographe, encore qu'il eut l'intention bien arrêtée de n'acheter jamais ce produit...

MONTHERL., Célibataires, 1934, p.809.

2. Ensemble des règles fixées par l'usage, la tradition, qui régissent l'organisation des graphèmes, la manière d'écrire les mots d'une langue; connaissance et application de ces règles. Apprendre, mettre, savoir l'orthographe; ne pas avoir d'orthographe; réforme de l'orthographe. Est-il une faute d'orthographe que d'écrire escamotter avec deux tt? escamotez-en un, alors (FLAUB., Corresp., 1864, p.146). Dompeteur: cette prononciation absurde est un des méfaits de l'orthographe enseignée à des enfants du peuple. On ne sait d'ailleurs où des humanistes ont pris le p dont ils ornèrent ce mot (GOURMONT, Esthét. lang. fr., 1899, p.156). [Pour les linguistes] l'orthographe n'est pas seulement un code ou une institution sociale, mais un ensemble de signes linguistiques (N. CATACH, L'Orthographe, Paris, 1978, p.54):


2. Toute orthographe phonologique dans son principe doit savoir faire des concessions, parfois très importantes, à une notation appropriée du système morphologique de la langue; c'est surtout le cas lorsque l'instabilité phonétique multiplie les variantes combinatoires, ou qu'il semble utile de conserver les caractères graphiques de la forme de base pour mieux faire sentir l'unité grammaticale ou lexicologique.

E. JUNG ds N. CATACH, L'orthographe, Paris, 1978, p.93.

Orthographe d'accord, d'usage. ,,On distingue l'orthographe d'usage et l'orthographe d'accord, l'une concernant la pure graphie du mot, l'autre sa situation et son rôle dans la phrase`` (LEIF 1974).

P. métaph. La pauvre enfant n'a guère de littérature. Je suis sûr qu'elle se borne à l'orthographe du coeur, celle qui ne met point d's au pluriel (MURGER, Scènes vie boh., 1851, p.59).

P. anal., domaine de la mus.

Orthographe musicale. ,,De même que, dans la langue française, les mêmes sons changent de signification dès qu'ils sont représentés par des combinaisons différentes de signes graphiques, de même, dans l'orthographe musicale, une même sonorité notée par un ut dièse ou par un ré bémol correspond à des tonalités distinctes et devient d'une double ressource dans le discours harmonique`` (BRENET, Dict. prat. et hist. mus., 1926, p.133).

Au fig., vieilli. Faute d'orthographe. Manquement aux usages, aux bonnes moeurs. Pas la moindre faute d'orthographe dans la conduite de la mère ou de la fille (STENDHAL, Nouv. inéd., 1842, p.53). Je l'espère bien que vous ne m'avez jamais trouvée ridicule. Suis-je femme à faire de pareilles fautes d'orthographe dans une toilette? (BALZAC, Splend. et mis., 1844, p.166).

B. P. ext. [sans idée de réf. à une norme]

1. Manière, quelle qu'elle soit, d'écrire un mot. Il y avait là des lettres, des projets, des pétitions de toutes les écritures et de toutes les orthographes (ZOLA, E. Rougon, 1876, p.228). Ce nom de Swann (...), que je connaissais depuis si longtemps, était maintenant pour moi (...) un nom nouveau (...). Je le décomposais, je l'épelais, son orthographe était pour moi une surprise (PROUST, Swann, 1913, p.413):


3. Hucheloup avait inventé une chose excellente (...) des carpes farcies qu'il appelait carpes au gras (...). Hucheloup, un beau matin, avait jugé à propos d'avertir les passants de sa «spécialité» (...) comme il avait une orthographe à lui de même qu'une cuisine à lui, il avait improvisé sur son mur cette inscription remarquable: CARPES HO GRAS.

HUGO, Misér., t.2, 1862, p.313.

2. Système de représentation des sons par des graphies, qui est propre à une époque, à un pays, à un auteur, etc. Orthographe du XVIe siècle, de Ronsard, de Voltaire; orthographe phonétique. Philippe est pour l'orthographe réformiste. Il écrit: une cais d'eu (RENARD, Journal, 1906, p.1041). On comprend qu'on puisse parler de l'«orthographe d'Untel», lorsqu'en s'en tenant aux variations admises, une forte personnalité pratique systématiquement un type de graphie qui la signale à l'attention (Cl. BLANCHE-BENVENISTE, A. CHERVEL, L'Orthographe, 1969, p.88):


4. ... les voyageurs, les marins, les hommes d'armes, les découvreurs, tous aventuriers pas très forts sur la grammaire, chancelant sur l'orthographe d'une langue encore instable, mais qui écrivaient comme ils parlaient, les bougres, parce qu'ils étaient des grands vivants...

CENDRARS, Bourlinguer, 1948, p.15.

Prononc. et Orth.: []. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1529 (GEOFFROY TORY, Champfleury, fo 44 vo). Empr. au lat. orthographia terme de gramm. «orthographe», et d'archit. «orthographie, élévation, profil», du gr. ayant également ces deux sens; v. orthographie. Fréq. abs. littér.: 373. Fréq. rel. littér.: XIXe s.: a) 453, B) 833; XXe s.: a) 600, B) 391. Bbg. BEAULIEUX (Ch.). Hist. de l'orthographe fr. Paris, 1927, 2 v. BLANCHE-BENVENISTE (Cl.), CHERVEL (A.). L'Orthographe. Paris, 1969, 238 p. BURNEY (P.). L'Orthographe. Paris, 1955, 128 p. CATACH (N.). L'Orthographe. Paris, 1978, 128 p.; L'Orthographe fr.: traité théor. et pratique... Paris, 1980, 334 p. THIMONNIER (R.). Pour une pédag. rénovée de l'orthographe et de la lang. fr. Paris, 1974, 96 p.; Le Syst. graph. du fr. Paris, 1967, 409 p.

 

 

 

A chacun son analyse et interprétation des faits... :rolleyes:

 

 

 

Vous êtes ch.... ts.

Je ne fais pas de fautes, mais je comprends qu'on puisse en faire.

De là, à en faire un débat (ou une polémique) sur un site d'astro...

Au s'cours...

Vous voulez des cours d'orthographe ?

"L'orthographe ne fait pas le génie."

Stendhal

 

Encore une discussion pourave sur l'hortographe, un sujet qui a fait déjà pas mal de ravages sur le forum en faisant fuir ceux qui ne maitrisent pas le français correctement :mad:

 

Lorsque je lis un compte-rendu d'observation, je me fout complètement des fautes :)

 

Dans ce cas, pourquoi vous embêtez-vous tous les deux à suivre cette discussion et à participer?

Personne ne vous retient. Mais sans rancune et sans haine, j'ai envie de vous répondre...:

 

Faire polémique sur "un site d'astro" est une possibilité, d'autant que nous sommes dans la section "on fait une pause". Oh pardon, il vaut mieux écrire comme tel: "ON fait une PAUSE". Moi aussi je suis myope... c'est peut-être pour ça que je suis "ch.... t", comme le dit Eluria. :be:

Si cette discussion est "pourave", c'est logique! Et oui, avec un vocabulaire aussi développé...

Tiens, on parle de vocabulaire; si Dédé de St Fé connaissait la définition exacte et originale du verbe "foutre", il serait rouge de honte d'avoir écrit ça... à moins que cela soit naturel, ce que je n'espère vraiment pas, dans son intérêt comme dans celui des autres. :b:

 

Vous allez tous croire que je n'aime pas Eluria et Dédé de St Fé, mais c'est faux. Je les apprécie. Ce ne sont pas les critiques qui symbolisent l'estime.

 

 

Allez, maintenant que j'ai commencé, je poursuis!

 

Il n'y a jamais de "s" au verbe avoir à la première personne du singulier' date=' en revanche tu peux trouver un "e" à la première personne du singulier du subjonctif présent. Autrement la seule fois ou tu trouveras un "s" c'est à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif[/quote']

 

Effectivement, il n'y a jamais de "s" au verbe "avoir" dans la mesure où le verbe "avoir" n'existe pas. Il s'agit d'un auxiliaire!

Et ce "s"... certes, "monsieur Tu a toujours un S dans sa valise"... mais ce n'est pas un cas unique. A l'imparfait de l'indicatif, j'admets volontiers l'expression "j'avais"...

 

Mais je ne tiens pas à rentrer dans ce jeu-là.

 

 

Oui, enfin plus précisément de "Lettres Modernes Appliquées" (c'est l'intitulé exact). Ce n'est pas toujours folichon, surtout quand en littérature tu étudies du Fénelon, qui est de la littérature classique ; tu te demandes à quoi ça sert de choisir des lettres modernes si c'est pour étudier des auteurs classiques. Heureusement, ça n'a duré qu'un semestre :-_-:.

 

Kef, avec tout le respect que je te dois, ce que tu dis est une véritable honte. Je me dois de réagir, non-pas pour me rabaisser, mais plutôt pour défendre ce qui devrait être un peu plus mis en valeur dans l'éducation du peuple! :mad:

 

Les Lettres Modernes sont, et seront toujours, une filière exceptionnelle où l'on apprend bien plus que des noms d'auteurs et des figures de style.

 

Je sais de quoi je parle: pour avoir été en "prépa Littéraire" (et le "L" en majuscule est volontaire), puis pour avoir travaillé en Lettres Modernes à l'Université, je peux t'assurer que mon avenir n'a jamais été compromis, ni même l'étendue et le nombre incalculable de sujets que je pouvais aborder en étudiant, contrairement à tout ce que racontent les rumeurs les plus primaires auxquelles tu prends plaisir à donner le titre de vérité. Oui, heureusement pour toi que "ça n'a duré qu'un semestre", car une telle attitude n'est pas représentative des Lettres.

Cette filière n'est pas réservée aux élites. Cela n'empêche pas de découvrir le monde de la littérature (et de l'orthographe qui plus est!).

 

Mais vois-tu, puisque tu n'as, d'après ce que tu dis, subi qu'un seul semestre, tu es pardonnable (en partie seulement, car je ne suis pas naïf). L'ignorance n'est pas accusable. D'ailleurs, j'aime cette célèbre maxime attribuée à Socrate: "Je sais que je ne sais rien". Cette dernière est véridique pour celui qui la pense.

Attention toutefois: on distingue ceux qui affirment cette maxime de ceux qui la pensent et la considèrent... ;)

 

En fait, pour moi, cédilles, accents et autres, décorent, font un plus, dans une phrase.

http://www.toutimages.com/codes_caracteres.htm

En sorte des objets de décoration, donc on choisit, on utilise ou pas, surtout s'il n'y a pas de règle.

 

Je plussoie, mais en partie seulement. Car comme dirait le Chat, "je vous serai gré de ne pas omettre la cédille lorsque nous parlerons de maçonnerie". A la bonne heure! ;)

 

 

Blague à part, je souhaiterais désormais m'adresser à Toutiet. Cher camarade, j'ai cru lire ceci:

 

Quant aux majuscules accentuées, mon père ne cessait de me reprendre et de me préciser qu'il n'y avait aucune raison pour qu'elles ne le soient pas, contrairement à une réaction instinctive que j'avais à l'époque. Je ne manquais d'ailleurs pas de constater et vérifier ce précepte, à toute occasion, chez ceux qui avaient pour rôle ou mission de "bien" écrire.

 

J'en ai eu la confirmation quand je suis entré en hypotaupe et que j'ai appris, au cours de dessin industriel, que les titres en majuscules ne devaient jamais être accentués. Ipso facto, cela confirmait les instructions paternelles :).

 

 

Je ne suis pas le seul à avoir été interpellé par ce message qui, disons-le, est fort saugrenu. D'autres internautes (que je salue au passage) l'on relevé. En voici la preuve:

 

Ton père te disait qu'il fallait mettre des accents sur les majuscules, puis on t'as dit qu'il fallait pas en mettre donc ton père avait raison?

 

Bonjour Jujulolo, :)

 

Ah !... Toi aussi tu as été troublé par la formulation du curieux message de Toutiet... Je n'avais point osé le dire d'abord car le sieur Toutiet m'aurait accusé de n'avoir une nouvelle fois point compris sa prose... ;)

 

Donc, le père de Toutiet avait-il raison ou non ? J'avoue que je ne le sais pas après avoir lu son message... :?: :?: :?:

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

Oui, j'ai l'impression qu'à force de soigner son orthographe et son vocabulaire maître Toutiet a oublié de donner un sens à ses écrits.

 

L'hypotaupe est honnorable. Ancien khâgneux que je suis, ce terme ne m'est pas étranger. Je reste intimement convaincu que l'emploi de ce mot ô combien répandu au sein d'une communauté comme la nôtre n'aura pas eu pour but d'écraser la modestie à de glorieuses fins personnelles. ;) ;) Epargne-nous des mauvaises coquecigrues normaliennes, si toutefois tu envisageais de nous en faire part! :be:

Hum, je n'aime pas les aposiopèses, mais enfin... :be:

 

Mon message a été très clair et je suis étonné que maintenant tu butes sur le fond et non plus sur la forme... C'est plus grave de ta part :confused:. Relis-moi bien. Je parle de cours de "dessin industriel" et c'est évidemment dans ce cadre que la règle de non accentuation des majuscules s'appliquait, sinon je ne vois pas la raison pour laquelle cela aurait été évoqué dans le cadre de ce cours …!

 

 

Pas de panique, tout va bien! "Don't worry, be happy"! ;)

 

Sinon' date=' moi non plus je n'ai pas compris Toutiet, même après son message clarificateur et même après l'avoir relu.[/quote']

 

Moi non-plus d'ailleurs. Pourtant, j'ai tout lu sans faute! :p

 

 

 

.

 

Maintenant oui. Tout y est, tout est dit. J'ai fini.

 

 

Astro-amicalement,

Astropleiades

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Kef, avec tout le respect que je te dois, ce que tu dis est une véritable honte. Je me dois de réagir, non-pas pour me rabaisser, mais plutôt pour défendre ce qui devrait être un peu plus mis en valeur dans l'éducation du peuple! :mad:

 

Les Lettres Modernes sont, et seront toujours, une filière exceptionnelle où l'on apprend bien plus que des noms d'auteurs et des figures de style.

 

Je sais de quoi je parle: pour avoir été en "prépa Littéraire" (et le "L" en majuscule est volontaire), puis pour avoir travaillé en Lettres Modernes à l'Université, je peux t'assurer que mon avenir n'a jamais été compromis, ni même l'étendue et le nombre incalculable de sujets que je pouvais aborder en étudiant, contrairement à tout ce que racontent les rumeurs les plus primaires auxquelles tu prends plaisir à donner le titre de vérité. Oui, heureusement pour toi que "ça n'a duré qu'un semestre", car une telle attitude n'est pas représentative des Lettres.

Cette filière n'est pas réservée aux élites. Cela n'empêche pas de découvrir le monde de la littérature (et de l'orthographe qui plus est!).

 

Mais vois-tu, puisque tu n'as, d'après ce que tu dis, subi qu'un seul semestre, tu es pardonnable (en partie seulement, car je ne suis pas naïf). L'ignorance n'est pas accusable. D'ailleurs, j'aime cette célèbre maxime attribuée à Socrate: "Je sais que je ne sais rien". Cette dernière est véridique pour celui qui la pense.

Attention toutefois: on distingue ceux qui affirment cette maxime de ceux qui la pensent et la considèrent... ;)

 

Bonjour les divagations...

 

Une "véritable honte" ? Rien que ça ! Tu peux me dire ce qu'il y a de honteux à dire que Fénelon est un auteur classique ? Jusqu'à preuve du contraire, cet écrivain a vécu une grande partie de sa vie au XVIIe siècle, et il me semble que cette époque n'appartient pas tout à fait à la littérature dite "moderne". Par conséquent, en choisissant cette filière, j'étais en droit de m'attendre à autre chose que d'avoir à étudier un auteur aussi archaïque (au sens premier du terme).

 

Toi, tu es en train de me sortir une espèce de plaidoyer pour l'ouverture d'esprit qui n'a rien à voir avec ce que j'ai dit.

 

Par ailleurs, c'est mon droit le plus total de préférer la littérature moderne à la littérature classique. Tu n'as pas à me juger sur mes préférences ou sur ce que tu sous-entends être un manque d'ouverture d'esprit. Quant à la soi-disant attitude représentative des Lettres, c'est un cliché total. On vit dans une société de diversités, tu sais ? Les goûts et les couleurs ne sont pas les mêmes pour tous, même dans un domaine particulier. Ce n'est pas parce qu'on fait des études de Lettres qu'on est forcément obligé de s'intéresser à toutes les littératures, sans exception.

 

Fénelon, je trouve ça gonflant, et je ne vois pas pourquoi je devrais avoir honte de le dire. J'ai soupé du Télémaque pendant un semestre entier, des lectures, des relectures, des explications pointilleuses et redondantes sur chaque bout de phrase, sur chaque aspect du texte, la stylistique, la symbolique générale... Des dissertations, des explications de texte comme s'il en pleuvait. Je peux te dire qu'à la fin, on était plus d'un à se sentir gavés comme des oies. Et tous les gens que je côtoie sont d'accord avec ça : On fait des lettres MODERNES pour étudier des auteurs MODERNES, pas forcément parce qu'on trouve ça plus intéressant que les auteurs classiques, mais parce qu'on a fait le choix de cette filière, c'est tout, il n'y a aucune polémique à soulever là-dessus.

 

Donc franchement, la petite leçon de morale vieillotte et paternaliste... À d'autres, s'il-te-plaît :rolleyes:.

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Tu penses ce que tu veux sur Fénelon. Je n'ai jamais remis en cause ton opinion vis-à-vis de cet auteur. C'est plutôt le reste dont il est question. "Rien que ça".

 

Effectivement, on vit dans une société de diversité, ce qui implique un peu plus de respect envers ce qu'on aime moins.

La littérature moderne est incompréhensible sans un minimum de littérature classique.

Chacun envisage cette filière comme il l'entend, mais il ne faut pas généraliser sous prétexte qu'on a reçu des "on-dit".

 

 

Astro-amicalement,

Astropleiades

Modifié par Astropleiades
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La littérature moderne est incompréhensible sans un minimum de littérature classique.

 

C'est très généralisant ce que tu dis là. Il y a des auteurs modernes qui vivent avec leur temps et qui n'ont pas besoin d'introduire de la référence culturelle passée dans leur texte. Je ne vois pas pourquoi il est indispensable de connaître la littérature classique pour lire ces auteurs-là... Et je peux t'en citer pléthore.

 

Quant au respect, eh bien c'est très simple... Je respecte Fénelon, mais je ne l'apprécie pas. Ne pas aimer un auteur ne signifie pas forcément lui manquer de respect.

 

Tu as très mal compris ce que j'ai dit, puisque tu as extrapolé mon jugement sur Fénelon à toute une époque littéraire, ce qui n'est pas du tout ce que j'ai voulu signifier.

Modifié par Kef
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Je ne vois pas pourquoi il est indispensable de connaître la littérature classique pour lire ces auteurs-là... Et je peux t'en citer pléthore.

 

Et bien je t'écoute. En sachant que toi, tu ne m'as pas du tout écouté depuis que j'ai posté ici. :violon:

 

 

Astro-amicalement,

Astropleiades

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Astropleiades,

 

Mon propos était clair, même si certains n'ont pas su le déchiffrer. Je m'en suis expliqué par la suite, en disant :

 

"Je parle de cours de "dessin industriel" et c'est évidemment dans ce cadre que la règle de non accentuation des majuscules s'appliquait, sinon je ne vois pas la raison pour laquelle cela aurait été évoqué dans le cadre de ce cours …!"

 

Sous-entendu, s'il faut mettre les points sur les "i" : en dessin industriel, on n'accentue jamais les majuscules. Et j'ajoutais que cela donnait, ipso facto, raison à mon père. Donc c'était très clair.

 

Certains comprennent vite mais il faut leur expliquer longtemps... ! :be:

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Et bien je t'écoute. En sachant que toi, tu ne m'as pas du tout écouté depuis que j'ai posté ici. :violon:

 

Ben oui, en même temps tu n'es pas intervenu une seule fois avant aujourd'hui... ;)

 

Et bien je ne sais pas moi, est-ce qu'il faut absolument des références en littérature classique pour comprendre les textes de William Faulkner, Marguerite Duras, Le Clézio, J. G. Ballard, Paul Auster, Jean Echenoz, Robert Merle... ? Je ne crois pas. Et on peut continuer comme ça longtemps.

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Ben oui, en même temps tu n'es pas intervenu une seule fois avant aujourd'hui...

 

Je confirme que tu n'as visiblement pas bien lu. Ça arrive, c'est humain. :be:

 

Je cite:

 

C'est la première fois que j'interviens dans une discussion où l'on parle de l'orthographe. Il s'agit là d'un sujet très intéressant.

Ce qui est beaucoup moins captivant, c'est ce que je vais écrire à mon tour... ne me lisez pas, car ce que je vais dire n'est pas utile, ni même digne d'intérêt. D'ailleurs, mon message est bien trop long; c'est l'un de mes défauts puisque j'aime écrire. Bref, passez votre chemin...

 

Mais je ne t'en veux pas. ;)

 

 

Astro-amicalement,

Astropleiades

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Non, non.

t'as beau tourner en rond ce que tu a écris n'a aucun sens.

On es au moins 3 à te l'avoir fait remarquer, tu devrais te poser des questions.

 

Si j'avais dû écrire une proposition qui n'ait aucun sens, il est évident que, n'étant pas (encore) complètement "neuneu", je ne l'aurais pas écrite ! ! :D

 

Donc, l'incohérence que vous pensiez y avoir décelée aurait dû vous interpeler et remettre en question votre interprétation, et rétablir le sens exact de ma proposition. Je ne me pose donc aucune question.

Modifié par Toutiet
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Oui donc c'est bien ce que je dis : tu n'es pas intervenu une seule fois avant aujourd'hui.

 

Je te laisse le plaisir de me contredire, si tu veux continuer la guéguerre des mots...

 

:1010::stupid:

 

La date de publication est à part entière, mais je crois que ton immaturité te joue des tours: je ne pouvais pas intervenir tant que je ne n'avais pas connaissance de cette discussion! (Il faut réfléchir parfois)

Il n'y a pas besoin d'aller plus loin. Je vois bien à qui j'ai affaire.

Bonne continuation!

 

 

Astro-amicalement,

Astropleiades

Modifié par Astropleiades
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