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La superbe lulu collector de mon oncle !!!!


haroun17

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Bonjour,

 

Mon oncle vient de se procurer une sacré belle lulu collector !!!

 

Il s’agit d’une Perl royal Jupiter 108/1600 des années 80. :langue15:

 

Pour tout vous dire, elle n’a jamais était sortie de sa boite. Cette lulu est normalement de bonne qualité est quasiment introuvable. :bond:

 

Il reste plus qu’a faire des essais avec la bête.

 

Avez-vous des infos complémentaires sur cette lunette ?

A vos commentaires !!!!

 

Haroun17

 

PS : Pour ma part je trouve la monture super belleeeeeee !!!

 

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La vache !!! ça fait un sacré engin ! le chercheur est une lulu à lui tout seul !!! :o

 

Trépied en joli bois, et monture sans un éclat ... c'est beau.

 

Reste à voir ce que ça donne sur le ciel :rolleyes: mais c'est déjà un grand bout de rêve !

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Bonsoir Haroun 17, :)

 

Eh bien, ton tonton a fait là une magnifique acquisition !... :D :D :D

 

Quant à avoir des précisions sur cette lunette, je vais rechercher si je trouve quelque chose dans les pages "publicitaires" de la revue de la Société Astronomique de France "l'Astronomie" (ce sont les pages avec des numéros en chiffres romains qui ne sont hélas pas reprises dans les volumes reliés de cette revue) concernant une lunette Perl royal Jupiter 108 / 1600.

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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Cela fait partie d'un rêve de gosse quand je parcourais en boucle le catalogue "Devaux Chevet" (maintenant "Maison de l'Astronomie") !

 

Marc

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Pour tout dire franchement les BOULLESSSS !!!!!

 

Cette lulu à était acheté dimanche dernier dans un vide maison d'un grand-père décédé.

 

Pour tout dire, il y avait 3 lulus. Cette belle Perl Royal et deux autres Perl Vixen Polaris 100/1000.

Les trois lulus n'ont jamais servi, elles étaient dans les boites d'origines,

 

Prix de départ des lulus 650€. Mon oncle me téléphone pour me dire cela. Sans hésitation je lui dit de sauter sur l’occasion et en plus de me prendre pour moi une Perl Vixen Polaris.

 

Mais catastrophe !!! Il est retourné à la maison du grand-père, les deux Perl 100/1000 n'étaient plus là.

 

Heureusement pour lui, il y avait toujours la Perl Royal et en plus pour vous mettre sur le cul il a négocié le prix à moins de 500€.

 

Voilà l'histoire, dommage pour moi une 100/1000 en parallèle de ma 160 Manent aurait été de la balle !!!!

 

Par contre je suis super content pour mon oncle et en plus avec cette lulu il fait maintenant parti de la famille des dingues de vielles dames !!!!!

 

Haroun17

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À l'époque de la commercialisation de ce bel instru, j'étais vendeur Maison de l'Asrtronomie. J'ai vendu 3 90/1300, 3 108/1600 et 2 113mm. Taka n'existait pas. Il y avait, en lunettes, Perl et Unitron (la 160 était une tuerie). La série “Royal” de chez Perl (marque de Médas) était constituée d'instruments (télescopes et lunettes) à la finition très chouette. Mizar était embrtyonnaire mais réputée pour son newton 100/600 sur monture AR1, LE MUST)

Belles nuits en perspective. :be::be::be:

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À l'époque de la commercialisation de ce bel instru, j'étais vendeur Maison de l'Astronomie. J'ai vendu 3 90/1300, 3 108/1600 et 2 113mm. Taka n'existait pas. Il y avait, en lunettes, Perl et Unitron (la 160 était une tuerie). La série “Royal” de chez Perl (marque de Médas) était constituée d'instruments (télescopes et lunettes) à la finition très chouette.

 

Bonjour Jean-Baptiste, :)

 

Comme je l'ai indiqué dans mon message à Haroun17 hier soir j'ai recherché dans les "pages commerciales" de l'Astronomie (celles considérées comme "non nobles" et donc paginées avec des chiffres romains et non retenues dans les collections reliées de cette revue) si je trouvais trace d'une lunette "Royal Perl Jupiter 108/1600", mais hélas ma collection ne va que jusqu'en 1976... Cette année-là j'ai trouvé que la maison "Devaux-Chevet" (devenue depuis la "Maison de l'Astronomie") 35 rue de Rivoli 75004 commercialisait deux modèles de lunettes astronomiques de marque "Perl" :

 

* la "Perl Jupiter" d'un diamètre de 79 mm et d'une focale de 910 mm au prix de 2 460 francs français (soit l'équivalent de 375,02 € ; mais attention : il faut tenir compte de l'inflation depuis les 35 ans qui nous séparent de cette époque) ;

 

* la "Perl Royal" d'un diamètre de 79 mm et d'une focale de 1 200 mm au prix de 3 260 francs français (soit l'équivalent de 496,98 €).

 

La "Royal Perl Jupiter" 108/1600 doit donc avoir été commercialisée bien après 1976. Te souviens-tu, Jean-Baptiste, à quelle époque tu as vendu les trois exemplaires que tu évoques au message précédent ? Ainsi, un Webastram qui aurait conservé lui aussi des exemplaires plus récents de l'Astronomie pourrait nous en montrer la publicité d'époque.

 

J'en profite pour demander aux responsables de la Société Astronomique de France de conserver les "pages publicitaires" de l'Astronomie dans les collections reliées. Avec les années les "réclames" anciennes présentent un caractère historique !... Je les renvoie pour cela à ce que j'avais indiqué sur Webastro dans mon message posté le 24 novembre 2009 qui évoquait le "trésor" que j'ai acquis par hasard à la mi-avril 2002 auprès d'une veuve d'un très fidèle et très anciens membre de la Société Astronomique de France : voir la 2ème page du sujet de Will "Je suis un grand malade... et vous ?"(message #37) http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=55711&page=2.

 

Si j'ai dit dans un autre "topic" qu'actuellement je me modérais beaucoup dans l'achat de vieux ouvrages originaux concernant l'astronomie c'est qu'à une certaine période de mon existence j'ai dépensé beaucoup trop d'argent pour les acquérir.

 

Mais, puisque certains dans ce "topic" ont eu la gentillesse de nous montrer leurs "trésors", je vais vous raconter comment j'ai réussi à en acquérir un...

 

Ça remonte à la mi-avril 2002. J'ai lu alors (dans "Ciel&Espace" ou dans "Astronomie Magazine", j'avoue ne plus m'en souvenir...) une petite annonce d'une dame (d'un département de Normandie) qui vendait 14 volumes reliés de la "Revue d'Astronomie Populaire" de Camille Flammarion des années 1882 à 1894, plus un volume de "correspondances".

 

Je lui ai alors téléphoné pour savoir de quoi il s'agissait : elle n'a pas su être très précise sur ce qu'était cette "revue", mais j'ai tout de suite été attiré par cette confidence qu'elle m'a dite : « J'ai décidé de vendre la très importante bibliothèque de mon mari, Lucien R., décédé le 19 janvier 2002 à l'âge de 93 ans et qui appartenait à la Société Astronomique de France depuis 1925. D'après ce que j'ai compris de ce que vous m'avez expliqué de vous, que vous aimiez bien les ouvrages anciens concernant l'astronomie, et de votre attachement, comme mon défunt mari à la Société Astronomique de France, je suis sûr que Lucien aurait été très heureux que ces quatorze volumes tombent dans vos mains, plutôt que d'autres, après son décès. »

 

Suite aux paroles réconfortantes qu'elle venait de me dire, nous nous sommes donc mis d'accord et, je lui ai acheté ces 14 volumes (sans trop savoir de quoi il s'agissait exactement...).

 

Ce n'est qu'une fois que j'ai reçu ces 14 volumes que j'ai compris enfin l'extraordinaire trésor dont il s'agissait : les 13 tomes annuels (entre 1882 et 1894) de "l'Astronomie", la revue mensuelle d'astronomie populaire de Camille Flammarion. Y compris l'année 1893 que "Gallica" n'a pas encore numérisée (voir à ce sujet mon "topic" intitulé "La revue l'Astronomie numérisée" : http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=32317).

 

Et le quatorzième tome ? Eh bien, ce doit être, sinon un exemplaire unique, du moins un exemplaire rarissime puisqu'il reprend toutes les pages "non nobles" de l'Astronomie entre 1882 et 1891 : les couvertures jaunes, les "correspondances" des lecteurs concernant cette revue, et surtout la publicité d'époque (la "réclame" comme on disait alors) ; oui vraiment, un trésor sur l'astronomie en France à la fin du 19ème siècle... :wub: :wub: :wub:

 

Comme j'ai constaté que les publicités de l'époque n'apparaissent hélas plus (sans doute à cause du changement récent de serveur informatique de Webastro) je vais vous les re-poster :

Voici d'abord la couverture jaune du 1er numéro de l'Astronomie (mars 1882) :

 

 

attachment.php?attachmentid=16460&stc=1&d=1305716779

 

 

Voici ensuite une page publicitaire du numéro d'octobre 1885 :

 

 

attachment.php?attachmentid=16461&stc=1&d=1305716793

 

 

Voici enfin une page publicitairs du numéro d'octobre 1891 :

 

 

attachment.php?attachmentid=16462&stc=1&d=1305716808

 

 

N'est-ce pas que c'est merveilleux à contempler les "vieilles réclames" astronomiques ? ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Modifié par roger15
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* la "Perl Jupiter" d'un diamètre de 79 mm et d'une focale de 910 mm au prix de 2 460 francs français (soit l'équivalent de 375,02 € ; mais attention : il faut tenir compte de l'inflation depuis les 35 ans qui nous séparent de cette époque) ;

 

Si mes souvenirs sont bons, on parle d'un SMIC mensuel de l'époque, non?

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Si mes souvenirs sont bons, on parle d'un SMIC mensuel de l'époque, non ?

 

Bonjour Fiontus, :)

 

Exact !... Le SMIC horaire était de 13,30 F en 1976. Donc un "smicard" devait travailler 2460 / 13,30 = 195 heures pour se l'acheter soit effectivement un mois de travail à 40 heures par semaine.

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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J'étais chez Devaux-Chevet en 83/84. La belle époque de la 63/840 Telementor importée par la Compagnie Générale de Physique. C'est à cette époque que C. Hanon, P. Bessey et moi avons “lancé” le Dobson en Europe (bien involontairement d'ailleurs !!!! J'ai eu 8 pages dans le n° de Noêl 84 dans la revue Pulsar).

Ah ma brave dame, toute une époque … :be::be:

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En parlant de lunette PERL il y a une 130/800 à vendre ici ou la.

Bonjour Jgricourt, :)

 

"Ici" elle vaut 2 000 € :o :o :o et "là" elle vaut seulement 1 500 € :) :) :).

 

En tout cas, elle est très également très belle à contempler :be: :be: :be: :

 

 

0752658326.jpg

 

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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En essayant de trouver les tarifs de ces lunettes dans des publicités d'anciens Ciel et Espace, je me suis aperçu qu'elles sont rarement citées. Mais j'ai fini par trouver !

 

Voici quelques tarifs datant de 1987 :

- Lunette Perl Vixen 80/1200 sur New Polaris = 6484 F (988 €).

- Lunette Perl Royal 79/1200 sur monture équatoriale (non précisée) = 9500 F (1448 €).

 

Zut, ils ne donnent pas les prix des plus grosses. J'avais un catalogue de Médas du début des années 1990, mais je ne le trouve plus. De mémoire, les deux plus gros modèles (genre 90 mm et 100 mm) étaient à 10.000 et 20.000 F et quelques.

 

Sinon, puisque j'y suis, voici quelques autres tarifs tirés de la page de la Maison de l'Astronomie :

- Lunette Perl Vixel fluorite 102/900 équatoriale motorisée = 22680 F (3458 €).

- Télescope Perl Nova 114/1000 équatorial = 5167 F (788 €).

- Télescope Vixen 100/1000 équatorial (ce n'est pas un catadioptrique !) = 7350 F (1121 €).

- Télescope Vixen 150/1300 sur New Polaris = 16921 F (2580 €).

- Super C8 (monture à fourche) = 17315 F ( 2640 €).

- idem chez Unterlinden = 16450 F (2508 €).

(Attention, c'est sans le trépied ; le trépied coûte 2397 F (365 €).

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En prenant la même source (Ciel et Espace), dans le N° 207 - septembre/Octobre 1985, les lunettes Vixen sur monture New Polaris étaient vendues, chez Optique Unterlinden, aux tarifs suivants :

- 62,5/910 : 3 460 F (527 €)

- 83/910 : 5 650 F (861 €)

- 93/1000 : 6 000 F (914 €)

- 106/1000 (sur Super Polaris) : 8 018 F (1 222 €)

Prix de la monture New polaris :

- 2 968 F (452 €)

- moteur à quartz A.D : 1 427 F (217 €)

 

Les "fluorines" Vixen sur Super Polaris :

- 83/640 : 13 450 F (2 050 €)

- 106/900 : 18 102 F (2 759 €)

Prix de la monture Super Polaris :

- nue : 3 907 F (595 €)

- moteur en A.D à quartz : 1 927 F (293 €)

- moteurs à quartz en A.D et en déclinaison : 2 445 F (372 €)

- micro-ordinateur Perl Vixen Skysensor : 4 820 F (734 €)

 

Le prix d'un oculaire Per royal orthoscopique (coulant 24,5 ou 31,75 mm - focales 4, 5, 9 mm) : 498 F (76 €)

 

Pour info, en décembre 1988, le Celestron 8 compustar (désigné par C.E comme le "premier télescope automatisé du commerce" coûtait :

- 45 354 F (6 914 €) pour l'optique et la monture automatisée

+ 2 617 F (399 €) de table équatoriale

+ 2 704 F (412 €) pour le trépied réglable

+ 1 300 F environ (198 €) d'alimentation stabilisée

soit au total 52 000 F (7 927 €)....

Une caméra electronique (mentionnée comme "la seule caméra CCd astronomique du commerce) système Synaps 90 valait 53 000 F (8 079 €) avec l'ordinateur de commande ou 34 000 F ( 5 183 €) si l'on disposait d'un micro type IBM PC.

Modifié par staffy
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- Mon premier oculaire de qualité était un orthoscopique Perl de 12 mm. Et le soir de son inauguration j'ai vu une aurore boréale !

- J'ai failli acheter une Synaps d'occasion. Mais c'était l'époque (vers 1992-93 (*)) où étaient sorties les caméras Lynxx (à 13.000 F) et SBIG ST6 (à 22.000 F), nettement plus performantes (surtout la ST6, avec sa matrice étendue de 375x242 pixels !) du coup le vendeur l'avait bradée (6.000 F je crois). Je lui avais téléphoné mais il m'a dissuadé de l'acheter, tellement elle était dépassée (je crois qu'il préférait la vendre à un bricoleur), du coup j'ai économisé encore près d'un an et j'ai fini par acheter une ST6.

 

----

(*) C'était aussi l'époque où les PC basés sur le microprocesseur 286 coûtaient plus de 20.000 F (3000 €). Amstrad avait cassé les prix en proposant des PC à seulement 10.000 F mais ils étaient équipés du microprocesseur 8086. Or C. Buil, dans son livre, préconisait un 286 pour traiter les images (surtout avec des matrices de plus de 200 pixels de côté). D'ailleurs on voit bien le surcoût dû à l'ordinateur dans les tarifs de la Synaps que tu as cités (l'ordinateur fourni était un ordinateur portatif - pas portable : portatif : ça ressemblait à un oscilloscope, avec un tout petit écran).

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- Mon premier oculaire de qualité était un orthoscopique Perl de 12 mm. Et le soir de son inauguration j'ai vu une aurore boréale !

 

Même type pour moi' date=' mais un Unitron 9 mm acheté chez Devaux-Chevet. Ce rappel ne me rajeunit pas....(bien que la vision de Saturne soit restée gravée dans ma mémoire)

 

(*) C'était aussi l'époque où les PC basés sur le microprocesseur 286 coûtaient plus de 20.000 F (3000 €). Amstrad avait cassé les prix en proposant des PC à seulement 10.000 F mais ils étaient équipés du microprocesseur 8086. Or C. Buil, dans son livre, préconisait un 286 pour traiter les images (surtout avec des matrices de plus de 200 pixels de côté). D'ailleurs on voit bien le surcoût dû à l'ordinateur dans les tarifs de la Synaps que tu as cités (l'ordinateur fourni était un ordinateur portatif - pas portable : portatif : ça ressemblait à un oscilloscope, avec un tout petit écran).

 

Je me souviens de ces "machins" bizarres.

Mon premier PC a été un Amstrad avec ce "microprocesseur", et j'en étais, à l'époque, content (il suffisait de peu de choses...)

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le bon vieux Amstrad avec son processeur à 4mhz mais estimé à 3,3mhz .... que de progrès depuis avec des processeurs dépassent les 3 voir 4ghz...

En tout cas superbe la lulu magnifique ;)

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N'empêche que ces vieux ordinateurs étaient bien plus rapides que ceux d'aujourd'hui. Si, si : on allumait la machine et on pouvait commencer aussitôt. Aujourd'hui il faut attendre plusieurs minutes...

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