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etoilesdesecrins

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Tout ce qui a été posté par etoilesdesecrins

  1. Merci ! non pour le moment je n'ai pas eu connaissance de cet accessoire qui se cale sur le front. Par contre (pour moi) il faut impérativement que j'ai la nuque appuyée sur un haut dossier de chaise (je n'ai pas encore testé ma chaise astro avec ces jumelles mais je crois que le dossier n'est pas assez haut ...) C'est un peu comme cela que je conçois cet instrument, comme une mini lunette genre 60 mm de poche, immédiatement mise en oeuvre (hormis le temps d'adaptation au noir, surtout avec 5,6 mm de pupille). Par contre ça reste sur du 10 X par rapport à une lunette, tout est plus petit, il faut l'avoir à l'esprit
  2. Je n'ai pas dû monter assez haut, j'étais dans les Bauges en mode rando quand c'est arrivé. Même depuis le sommet du Margériaz à 1845 m (allez, 2 ou 3 m en dessous car j'ai le vertige de la falaise ! 😁) les montagnes alentour étaient très floues. N 'ayant pas l'info de l'incendie à ce moment-là je n'ai pas trop compris, mais ça ne m'a guère gêné au vu de la pleine lune et des crépuscules trop longs pour l'astro maintenant. Puis bien sûr très affecté en connaissant la cause ...😔 Je disais que cela arrive parfois plusieurs jours en mars, avec des causes moins dramatiques. Avec par contre plus d'impact sur notre activité, il faut se rabattre sur des objets brillants et contrastés et faire une croix sur les galaxies alors que ce sont souvent les premiers soirs clairs de l'année ...donc du clair mais pas vraiment exploitable
  3. Hello, beaucoup de choses sont déjà dites, et il y a effectivement une part de subjectif et de personnel, car lié à tes conditions d'observation et ce que tu préfères observer. Le mieux serait d'essayer si possible. - le grossissement : tremblements un peu plus sensibles à 10 X, oui, mais si on se cale bien je trouve que ça va encore (et je n'ai pas de trépied) - le poids : je pense que venant de 80 mm il va te falloir surveiller ce point. On dit souvent que la limite pour ne pas trop être embêté c'est env 1 kg. Ca dépend aussi de l'ergonomie de la paire de jumelles - la qualité optique générale : à ce diamètre et de nuit, on se fout un peu du rendu des couleurs (quoique, sur les étoiles les plus colorées 😉), idem pour la résolution notamment sans trépied. C'est plutôt le bord de champ qui va impacter en astro où les jumelles permettent justement d'avoir de grands champs, mais malheureusement je ne t'apprendrai rien en disant qu'une grande netteté en bord de champ va souvent de pair avec un tarif élevé - la transmission, idem. Mais attention il y a déjà de bons modèles à près de 90 % de transmission, et le top qui est au-delà se monnaie au prix fort. Ici point de linéarité, on peut toucher de bonnes paires de jumelles avec un peu moins de transmission que sur les paires haut de gamme, qui, elles, seront bien plus chères. Mais par ex de bonnes 42 mm pourront en montrer un peu plus que des 50 mm à transmission bien moindre - la pupille de sortie : sauf en-dessous de 50 ans et sous des ciels très noirs, je conseillerais de se limiter à 5 voire 6 mm max, par ex je préférerais les 10X50 que les 7X50. Le fond de ciel apparaîtra un peu plus sombre, augmentant le contraste avec les objets faibles
  4. Oui, purée de pois depuis 2 ou 3 j alors qu'il n' y a pas un nuage ! Je constate souvent ce phénomène en moins prononcé, lors des anticyclones de mars. Perso pour l'astro ça ne me gêne guère car je fais ma pause annuelle jusqu'en fin juillet environ, les crépuscules étant devenus trop longs là. et puis on est en pleine lune (hé oui : beau temps pendant plusieurs jours = pleine lune 🤣)
  5. Salut à toutes et à tous, Je souhaitais faire un petit compte-rendu d’une récente observation avec mes toutes nouvelles jumelles Swarovski SLC 10X56. J’ai recommencé l’astro en 2010 avec une paire de Perl 10X50 bas de gamme, histoire de se remettre en selle et de voir si cela me plaisait toujours. Après cette reprise heureuse et prometteuse, sous les fréquents ciels clairs de l’époque, je suis passé à des instruments plus puissants, lunettes et T300. Séduit par l’observation aux jumelles et sa simplicité, j’ai ensuite recherché une paire plus polyvalente orientée nature, un peu plus qualitative mais sans me ruiner. J’ai porté mon dévolu sur les Nikon Monarch 5 en 8X42, qui non seulement font le taf, mais surpassent sur divers points mes vieilles 10X50 (que j’ai fini par donner) : agrément d’image, magnitude limite stellaire malgré le moindre diamètre (tests en parallèle), encombrement et poids. Mais comme en astronomie on en veut souvent plus, depuis quelques années je me disais que des grosses jumelles de 50 ou 56 mm de qualité devaient offrir de sacrées vues, en extrapolant ce que j’avais déjà dans les 8X42. L’an dernier, ce vague projet a pris plus de consistence et voilà que pendant des mois j’ai écumé les forums, les tests, les avis, à la recherche de la plus intéressante paire de jumelles à bras levés pour moi. En gros le cahier des charges était : - meilleure qualité optique possible - plus gros diamètre possible tout en gardant une pupille < 6 mm - meilleure transmission possible pour gagner un peu encore en ciel profond - poids contenu - très faible inertie de mise en œuvre, donc sans trépied, …Directement utilisable 15 min entre les nuages ou en fin de soirée, avant d’aller au lit, après un repas en famille par exemple - pour fréquemment emporter sous des ciels très purs - prix finalement pas très important en raison de diverses astreintes l’an dernier ayant permis de renflouer le porte-monnaie (et peu dépensier par ailleurs !) Rapidement, j’ai donc sélectionné 3 ou 4 modèles : - Kite Ibis, mais seulement 50 mm - Kowa Prominar 10X56, retours assez bons sans plus, je les ai eues en main en journée en magasin et elles ne m’ont pas enthousiasmé plus que cela, mais légères - Zeiss HT 10X54, chères et bord de champ moyen en astro d’après certains tests, mais légères - Swarovski SLC 10X56, plus lourdes. Après moult réflexions ce sont ces dernières que j’ai choisi, porté par le test dythirambique de ScopevViews notamment, et divers autres compte-rendus très positifs. Mon but ici n’est pas un descriptif complet du matériel ou un test optique, je laisse cela aux spécialistes, mais plutôt de présenter quelques observations objectives sur divers objets. Avant mon achat, je n’ai guère trouvé de compte-rendus précis sur des objets astronomiques. Bien sûr, le produit est excellent, bien fini, ça sent la qualité des matériaux et la solidité. L’optique est au top, les vues superbes, et je craignais beaucoup le poids de 1200 g mais l’ergonomie est stupéfiante : à l’usage à bras levés je ne peine guère plus qu’avec mes Nikon de moins de 700 g ! Juste un petit bémol : je n’avais jamais eu de jumelles à la pupille de 5.6 ni au relief d’œil aussi généreux, et, porteur de lunettes, j’ai eu du mal à trouver mes marques quand à l’écart, la distance, garder ou pas les lunettes …Et notamment la présence d’une sorte de reflet du bord de champ m’a un peu gêné en diurne, selon l’angle de l’œil, l’éclairage. Cela semble se transformer en nocturne en bord de champ un peu plus pâle, mais peut-être que la pupille généreuse et le ciel nocturne pas optimal de mon site à domicile y contribuent. Sur d’autres sites moins pollués cela gêne moins. Déjà, en fin d’hiver, les mésanges et chardonnerets à la mangeoire étaient ahurissants de netteté, de finesse, avec des couleurs naturelles et éclatantes. Le bord de champ est encore très propre, comparé aux Nikon 8X42 dans lesquelles il est rapidement flou. Bon, passons à présent à ce test en ciel profond. Ayant reçu les jumelles en fin d’hiver, j’avais tout de même pu les tester quelque peu, sans et avec la lune, voire sur la lune, principalement à domicile dans les Monts du Lyonnais. Je rappelle pour celles et ceux qui ne me connaissent pas que j’observe depuis un petit hameau sans lumière parasite, un peu entre St Etienne et Lyon, donc bonnes conditions mais ciel globalement un peu blanchi par la lointaine (et atténuée) pollution lumineuse de ces villes. Au cours de ces tests astro rapides, l’impression était bonne mais pas non plus fracassante, car après consultation de mes notes anciennes aux 10X50, tout ce que je voyais aux 10X56 était déjà mentionné aux 10X50. Mais n’ayant plus ces dernières, je n’ai pas pu comparer de façon objective. Et je n’ai pas beaucoup comparé avec les Nikon 8X42, il me semble que cela n’a guère de sens. Fin mai, nouvelle lune, lors de retrouvailles familiales sur mon site du sud des Hautes-Alpes, le météo n’annonce qu’un voire deux soirs clairs sur quatre que je vais passer sur place. Ne voulant donc pas me charger avec la lunette, et privilégiant là-bas la famille, je décide de n’emporter que les SLC 10X56. C’est un peu comme cela que je conçois les jumelles. Donc, le vendredi 23 mai, après une journée de grand beau temps, un ciel d’un bleu profond balayé par un léger vent de nord, je m’installe face au sud, protégé du vent léger par un hangar. La transparence est sublime, le ciel indécent pour reprendre le terme d’un astram croisé cet été à ChâteauRenard. Sur une simple chaise de jardin, avec nuque appuyée sur le dossier (obligatoire, par contre !) je ne ressentirai à aucun moment pendant 1h30 à 2 h une quelconque fatigue liée au poids des jumelles (en alternant toutefois observation, recherche sur PSA et prise de notes). J’utilise grosso modo l’échelle d’appréciation de difficulté d’un objet présentée par Ciel Extrême : VD : visible dès la vision directe (graduation de 1 à 3, vers la difficulté) VI1 : visible 100 % du temps en vision indirecte VI2 : visible 75 % du temps en vision indirecte VI3 : visible 50 % du temps en vision indirecte VI4 : visible moins de 50 % du temps en vision indirecte VI5 : visible moins de 10 % du temps en vision indirecte (contient des sous-échelons pour quantifier encore la difficulté) Je commence en fin de crépuscule par la petite nébuleuse planétaire du Corbeau, NGC 4361 (mv 10.3). Avec le recul je déplore ce choix curieux d’objet si faible, en début d’observation ! Sous un doublet, je perçois un astre qui me semble trop brillant pour cela, puis, la nuit avançant, une faible présence floue semble apparaître à env 5’ plus au sud. Peu probant … Le globulaire M68 (mv 8.3), par contre, après une petite erreur de positionnement liée à la nuit incomplète, m’apparaît facilement, le centre en VD, la périphérie enfle en VI1. Il est nettement non stellaire, flou, avec un diamètre apparent notable. Le contraste avec les étoiles proches bien piquées est saisissant. Une étoile brillante à O est un peu gênante. Mais c’est sur M83 (mv 7,5) que j’essuie ma première claque. Quoi ? c’est cette grande galaxie facile, qui n’était dans mes souvenirs à la lunette qu’un vague halo empâté et à peine visible ? Certes la latitude sudiste du lieu et le ciel pur jusqu’à l’horizon sont ici très favorables. C’est une belle plage floue NE/SO, vue VI1, alors bien développée. Deux étoiles faibles proches agrémentent la vue. Elle est unie mais avec un centre plus marqué. Seconde claque sur le réputé difficile amas globulaire du Bouvier, NGC 5466 (mv 9,1). Il est ici très facile, VI1, comme un assez gros disque gris pâle uniforme, mais avec des bords assez marqués. Même si avec le recul sur mes notes je n’ai guère trouvé de difficulté très notable, sur le moment je suis assez impressionné. Mv 9.1 quand même, pour un globulaire de classe XI, donc peu condensé. Dans le Bouvier la galaxie NGC 5248 me semble visible, mais au debrief je ne retrouve pas son positionnement entre 2 étoiles, que j’ai noté. Donc non confirmé. Le petit globulaire NGC 4147 par contre (mv 10.3) me frappe de facilité tout de suite, VI1, dans une zone stellaire pauvre. Le centre est marqué, la périphérie floue. Il est un peu plus petit et faible que M68. Je me concentre à présent sur les galaxies de printemps, bien en face plein sud, dans la Chevelure ou la Vierge. J’avais déjà exploré celles du Lion à domicile et en Haute-Loire, précédemment. M85 (mv 9.1) est facile, VD3, entre 2 étoiles brillantes écartées. Centre brillant, assez étendue autour, un peu N/S. Je note une seule fois (un glimpse, comme on dit), une étoile très faible juste au SE, de mv 10,5. NGC 4559 (mv 10,0) est bien vue, VI1, nettement ovalisée E/O avec un centre légèrement plus marqué. Il me semble noter une étoile très faible à E mais non confirmée sur photo. NGC 4494 (mv 9.8), proche, n’est par contre qu’un petit halo faible au SSE d’une étoile brillante. Elle n’est vue au mieux que VI3. Toujours dans les environs, la fameuse galaxie de l’Aiguille NGC 4565 (mv 9,6) déçoit, même sous ce ciel, tout comme un soir précédent sous moins bon ciel. Elle est remarquablement faible, tout de même notée NO/SE entre deux étoiles de mag 9 orientées de la même façon. Le centre est un peu plus restreint et contrasté, mais le départ des extensions n’est vu que VI3-VI4, il donne toutefois à l’ensemble une forme assez nettement allongée. La grande NGC 4725 (mv 9,4) est facile par contre, presque vue en vision directe, juste à O d’un triangle assez compact. Elle est nettement ovalisée NE/SO, relativement contrastée, avec des bords francs. Elle présente un joli contraste avec les étoiles proches bien piquées. Dans la Chevelure, place maintenant au trio M98, M99 et M100. M98 (mv 10,1) est nettement la plus faible des trois, et n’est qu’un simple halo VI4 proche d’une étoile brillante mais dans une zone pauvre en étoiles. M99 (mv 9,9) est située dans un petit triangle, un peu éclipsée donc, assez petite et faible, VI2, peut-être légèrement N/S. Enfin, M100 (mv 9,4) est assez facile, VI1, ronde, floue, unie, à E d’une chaîne stellaire brillante. M64 (mv 8,5) bien haute dans le ciel, est évidente, remarquablement facile, vue en VD, nettement ovalisée NO/SE, et luit d’une lueur assez douce. Les bords sont assez flous. Une étoile de mag 10 environ est visible au SE. L’amas globulaire M53 (mv 7,7) est évident lui aussi, VD, petit et contrasté, dans un champ riche de quelques étoiles brillantes. La forme pourrait être irrégulière. Son pâle voisin NGC 5053 (mv 9,8) reste très difficile, il est à peine soupçonné seulement comme une vague zone du ciel un peu plus claire, sans formes ni limites. C’est juste comme une présence quasi sûre extrêmement mal définie. Passons à présent à M104 (mv 8,0), déjà un peu basse mais très facile, VD, entre de petits groupes stellaires assez brillants. Elle est bien contrastée avec de vagues extensions en VI évoquant sa forme caractéristique. M61 (mv 9,6) réputée faible, ce qui était aussi le cas dans mes souvenirs aux 10X50 bas de gamme, m’apparaît ici presque facile, comme une petite tâche ronde unie juste à E d’une étoile mag 8.5-9. Etonnant ! Le fameux duo M84 – M86 (mv 9,1 et 8,9) en rapport ne m’apparaît presque pas si évident que cela, certes assez facile, m ais un peu perdu dans un champ pauvre. M84 est assez condensée, M86 est légèrement plus grande et brillante. M87 (mv 8,6) dans le même champ est légèrement plus facile, typique d’une elliptique, avec une étoile mv 9 à 5’ N environ. Je ne l’ai pas noté mais avec le recul, il me semble que l’image d’une ou deux autres galaxies plus faibles proches m’est restée en mémoire. Peut-être « les Yeux », NGC 4435 et NGC 4438, nettement plus faibles ? Explorons à présent M49 (mv 8,4), intéressante par sa facilité (VD3), légèrement N/S avec un centre plus marqué. Encore un aspect typique d’une galaxie elliptique. Mais ce sont surtout les environs qui sont gratifiants, puisque l’on peut voir deux autres galaxies : NGC 4535 (mv 10,0), faible, peu contrastée, au N d’un losange stellaire. Elle est de faible brillance surfacique. NGC 4526 (mv 9,7) est bien plus facile, VI2, entre les étoiles du centre du losange. Elle diffère bien de la précédente car apparaît petite et contrastée. Peut-être ovalisée, elle reste sans détails. Cet ensemble présente un joli champ intéressant. A cette heure, la Vierge a déjà bien dérivé vers l’ouest et pile en face se trouve sa partie Est. Le joli fuseau NGC 5746 (mv 10,3) n’est guère probant, je devine peut-être la partie centrale la plus renflée, faiblement, mais je suis gêné par l’étoile brillante proche. Par contre, le duo NGC 5846 (mv 10,0) et NGC 5850 (mv 10,8) se révèle, belle surprise, en VI1-VI2. C’est un ensemble pâle dans un champ riche. Avec attention, les deux galaxies proches se dédoublent même, mais c’est difficile ! Elles présentent le même aspect et le même éclat, et restent peu contrastées. Je note une étoile faible au NO (mv 10,5). Par contre le faible amas globulaire NGC 5634 (mv 11,0) n’est pas vu. Il me semble discerner une tâchouille mais pas au bon endroit …. Le Scorpion s’est levé dans un ciel très pur même près de l’horizon, dans ces conditions M4 est une formalité mais aussi une splendeur ! Bien contrasté, il me semble même irrégulier et granuleux mais je ne m’y attarde guère. Rien à voir en tous cas avec le pâté faiblard et flou qu’il montre sous des ciels plus brumeux ! Il se fait déjà tard, et avant de rentrer je jette un œil dans les champs riches de la Voie lactée du Cygne, qui est à peine levé à l’est. La claque !! Rarement j’ai vu des champs aussi riches d’étoiles, cela fourmille littéralement et c’est impressionnant. Je pense qu’il y a un double effet qui se conjugue, le diamètre déjà intéressant couplé avec une forte transmission, cela ajouté à l’effet grand champ qui permet d’englober un effectif stellaire fourni. J’ai alors l’idée de pointer la Grande Dentelle encore bien basse. Je m’en souviens bien, elle restait fort discrète dans mes vieilles 10X50, c’était l’apanage des bons ciels et d’un positionnement haut de l’objet. Ici immédiatement je perçois un faible arc diffus, mais assez bien visible, et d’une taille supérieure à mes souvenirs avec ce type d’instrument. Etonnant ! A retenter, car sur moult objets le gain de ces jumelles par rapport à mes 10X50 ne semblait pas révolutionnaire, sur les Dentelles par contre cela me semble flagrant. C’est donc sur ces magnifiques images et cette belle surprise prometteuse que je clos cette soirée riche en tests, en plaisir, en retrouvailles d’objets déjà connus dans divers diamètres. Le bilan bien entendu est fort positif, mais même avec un diamètre de 56 mm, à bras levé, cela reste des jumelles, avec l’usage bien spécifique qui va avec. Cet usage peut être complémentaire de la puissance d’un télescope ou d’une lunette. On pourrait adjoindre un peu plus de stabilité et donc de résolution avec un support (trépied, monopode), mais je privilégie un usage minimaliste. Même si j’ai été agréablement surpris par la facilité de certaines petites galaxies, ces jumelles sont plutôt destinées aux grands champs, aux objets larges …Le bon comportement printannier m’ouvre donc de belles perspectives cet été sur les amas ouverts, les grandes nébuleuses d’été, les riches champs de la Voie Lactée, notamment les régions tourmentées Scorpion / Sagittaire, et aussi les Barnard, objets fort peu prisés pour le moment à ma lunette et mon télescope. Ce serait l’occasion de s’y mettre davantage. Elles pourraient exceller là-dessus, mais déjà je suis comblé par le compromis performances et agrément d’utilisation par rapport à la très faible intendance d’utilisation (transport et mise en place immédiats, poids contenu, etc …). Par contre, en raison de la pupille de 5.6 mm, je conseillerais ce type de modèle à des observateurs assez jeunes ayant accès à des sites bien noirs, sans trop de pollution blanchissant le fond de ciel. A défaut, il vaut peut-être mieux rester sur de classiques 10X50, pour garder plus de contraste et un fond de ciel bien noir. Bon ciel !
  6. Oui, c'est idéal comme cela en montagne pour le ciel profond, quand c'est très transparent jusqu'à l'horizon ! 😍🤩
  7. J'aime bien quand je crois que ce sont des nuages comme en bas à droite, et que ce sont en fait les régions condensées de la Voie lactée, et ce près de l'horizon ! C'est bon signe ! 😁 Ceci dit il y a plein de paramètres qui changent d'une nuit à l'autre, d'un site à l'autre. Possible que début juillet ce ne soit pas bien noir sauf au tout coeur de la nuit. Sur le forum d'en face il y a aussi un lien expliquant qu'avec les zones de plus en plus chargées en satellites et débris, le ressenti global est affecté
  8. Ah ben voilà, ça explique peut-être des choses !! 65 kg moi mais je cours vite par contre (enfin, je courrais ...) 🤣 Plus sérieusement la nuit est le moment de tous les possibles, donc je me méfierais de quelque détraqué qui, dans son état normal ou pas, pourrait faire feu de tout bois. En plus de la gêne des phares des voitures passant normalement - bien que dans mon jardin, j'ai toujours le risque de l'allumage d'un satané détecteur de présence ou spot d'un voisin, ce qui heureusement n'a pas lieu souvent. Certes, immersion plus forte en nature, mais je peux te dire que lors des 2 dernières belles soirées fin mai dans le jardin, à un moment donné j'ai levé les yeux de mes atlas et oculaires, et waowwwww ! Sacré ciel tout autour quand même dans mon hameau dans la nature, sans lumière parasite ! En fait je ne me suis quasi jamais trouvé dans la situation de devoir chercher un coin, car j'ai mon domicile qui va bien ou 2-3 sites connus familiaux dans des ciels bien meilleurs. J'ai de la chance, manque plus que les nuages me lâchent la grappe ! Mais déjà, remballer le matos à domicile en fin de séance, fatigué, m'apparaît comme une grosse contrainte. Heureusement que je fais cela rapidement et machinalement maintenant, mais dans ce cas par ex j'envie ceux qui ont un petit "observatoire" et qui n'ont qu'à fermer la porte avant d'aller se coucher ! Pour cela, vive les solutions simples, lunette et jumelles !
  9. Tiens, on peut noter une dégradation nuageuse ou de la transparence (légers voiles plus fréquents) mais peu de gens notent une dégradation liée à la turbulence, pas assez étudié par la majorité je pense. Je suis sur flanc de côteau dominant une vallée orientée E/O, donc aux vents dominants. Et terrasse au S contre le mur, chauffant toute la journée. J'ai donc souvent des conditions très moyennes de turbu, quand je vois des gens mentionnant fréquemment des 600, 800 X ou plus à 400 mm je me dis que l'on ne vit pas dans le même monde 😆 Ceci dit j'ai la chance d'avoir aussi en léger contre-bas un terrain herbeux, froid et humide l'hiver, mais salutaire l'été. La turbu locale y est peut-être moins importante. Mais de façon globale, les images à la 100 mm sont souvent assez bonnes, parfois très bonnes, et je ne trouve pas encore la chose assez dégradée pour juger qu'une 120 n'y servirait à rien.
  10. Oui, il vaut mieux se restreindre à un petit sujet unique, au 300 ! 😁 Perso je fais plutôt des paysages étendus à la lunette et petit Gr (moins de 100 X)
  11. Ah mince ! ici aussi ça s'est dégradé, y a bien besoin de pluie pour la nature et le jardin ! de toute façon les crépuscules deviennent trop longs pour moi maintenant, stand by tâchouilles jusqu'à disons fin juillet 😆
  12. Récemment quand je n'arrivais plus à avoir du ciel clair hors période lunaire, j'avais effectivement envisagé de recycler un peu le 300 en lunaire / planétaire / étoiles doubles, ce qui est habituellement dévolu à la lunette. Mais tu n'utilises pas le 300 à domicile, donc piste invalide. On est bien d'acc qu'en cas de turbu notable les images de la lunette restent assez flatteuses, mais que dès que ça se stabilise le 300 pulvérise tout cela. Vu récemment à peine monté (mais sûrement déjà en T°) le 300 montrait des détails d'un nombre et d'une finesse inouïe sur la jeune lune ...mais même presque trop pour le dessin, alors qu'une lunette de 100 reste plus "humaine" tout en dépotant Sinon @Lune cendrée avait fait un comparo entre sa 100 ED et sa FC-100, la 100 ED s'en sortait assez bien je crois. Si elle repasse par là ...Mais gaffe au ballan, c'est assez long comme tube. Y a de quoi faire en lunaire / étoiles doubles / solaire avec une 100 mm ! Et aussi e, planétaire (surtout Mars / Jupiter, le reste est moins détaillé) A part la piste des petits Dob 150 / 200 et le C6, je ne vois guère que les lunettes dans ton cas ...ou creuser la piste donnée par joker0247 ci-dessus
  13. Bon ben voilà, ça l'a fait et ça redonne nettement le sourire, du moins ça remet dans un contexte favorable pour accueillir les beaux ciels d'été dégagés ! 😍 2 grosses observations à la suite au T300, sans aucune gêne ni contrainte, à domicile, sans boulot le lendemain et sans lune, avec le concert des grenouilles ! Que demander de plus ? Et petit clin d'oeil à Murphy, cette nuit les voiles nuageux ne sont arrivés que lorsque j'ai eu terminé, donc sans impact. Mais tout doucement, j'avais bien senti les semaines précédentes que la courbe s'inversait un peu, que l'on retrouvait de temps en temps une soirée claire. Par contre là la nuit arrive vraiment tard, je pense que je vais commencer mes 2 mois annuels de pause ciel profond, et me consacrer donc plus au lunaire / solaire / planétaire / étoiles doubles
  14. Hello, je trouve que plus le Gr augmente, plus il faut se restreindre à une petite zone, sur la lune. Exercice effectivement difficile que le dessin lunaire. Je me permets de répondre à la question posée à @Gildas974, que je rejoins totalement : hier soir petit coup d'oeil sur la jeune lune au T300 en attendant la nuit tombée : même avec forte turbu gênant pour une mise au point fine, c'est hallucinant le nombre et la finesse des détails, et ce sans attendre la nuit noire comme avec la FC-100. Là au 300 les cratères semblent ourlés de vaguelettes par nombre, on ne compte plus les craterlets très fins, etc ...Bref pas encore prêt à me lancer dans le dessin lunaire au 300, même si je l'ai fait 3 ou 4 fois sur des petites zones - faudrait de nombreuses heures devant soi !
  15. Yo ! Super ! Chance extraordinaire aussi pour moi, je viens d'enchainer 2 méga sorties au 300 comme "jadis", sans la moindre gêne ni contrainte, aucun bruit, aucune lumière parasite, rien, que le chant des grenouilles ! J'ai pu finir mes listes "exotiques" des Chiens de Chasse, Balance et Vierge, principalement des Arp et Hickson. Récemment aussi en fin de sortie au 300 sous le même site j'ai pointé M101 mais je suis assez régulièrement déçu, c'est un gros pâté diffus avec des amorces de bras, mais faut avoir de l'imagination ! M51 oui est bien plus contrastée. M101 est très dépendante de la qualité du ciel, sous un très bon ciel elle est évidente aux 10X56 mais ne présente bien sûr pas de détails. Et à la FC-100 elle commence à montrer non pas une ébauche de structure, mais des nodosités et irrégularités - sous très bon ciel je répète. Récemment j'étais aussi dans les Alpes du sud aux 10X56 sous très bon ciel, je me suis régalé sur les objets Messier que tu évoques, surpris par la facilité de M83 (site au sud, et ciel pur jusqu'à l'horizon). M100 m'a paru plus facile que M99, par contre M98 a été à peine perçue. Voilà, on dirait que les affaires reprennent, pour effacer un hiver 2024 catastrophique
  16. Hello, ah mince, oui sans expertise technique et optique poussée ça paraît hasardeux de démonter le Mak ...j'imagine que tu as demandé si tu connais un club, voire à Pierro Astro. Je pense que @Lune cendrée a raison tu risques de perdre un peu en lumière et résolution avec une lunette de 100 mm, mais tu as l'air de dire que les soirées pour profiter de la faible turbulence sont assez rares - c'est aussi le cas chez moi et, je vais me faire fouetter par les dobsonneux, mais pas mal de soirs la FC-100 s'exprime bien au regard de ce que donnerait le gros ... Bon, un futur afficionnado de la FC-100 alors ? 😁 Sinon, vu que tu as une EQ5, si le budget le permet, pourquoi ne pas regarder dans les lunettes de 120 ? Là je pense que le gain du Mak sera plus anecdotique ! Vu déjà les images que sort la FC-100, j'imagine même pas avec une bonne 120, sur monture motorisée, etc ... Bonne réflexion en tous cas
  17. Dans les starting blocs pour ce soir et / ou peut-être demain soir au 300, enfin un bon créneau avec ciel clair (mais Meteociel annonce quelques nuages ...), présence à domicile et absence de lune ! Virgo probablement, avec quelques petites tâchouilles aussi à voir dans d'autres constellations ... On verra si ça sourit, ou pas ...auquel cas tête lourde et yeux qui piquent demain, vue l'heure d'arrivée de la nuit maintenant ! 🤣
  18. Effectivement les jumelles sont bien adaptées aux larges objets comme M8, M20, M16 et M17, et la Rosette aussi. Il y a cet effet de large champ et de faible grossissement qui permet, je trouve, d'apporter du contraste aux larges objets à faible brillance de surface. Ils sont moins étalés et diffusés dans le ciel, qu'avec plus de Gr. Après, hélas, ce n'est pas l'outil qui va permettre de voir beaucoup de détails, hormis sur quelques amas ouverts, mais oui à partir de 50 mm on peut être étonné du nb d'objets détectés (juste comme de faibles tâches floues, certes) Sur des 50 mm, je ne sais pas si je conseillerais 8 X, car cela fait une pupille de 6,25 mm qui commence à être conséquente passée la 50aine. Faut des ciels vraiment noirs. Sur mes 56 mm, je craignais un peu un Gr de 10 X pour les tremblements, mais pas du tout, l'ergonomie des Swaro me parait optimale et même à plus de 1200 g il me semble moins galérer que pour soutenir mes Nikon 8X42 de 680 g ! Niveau tremblements et tensions dans les bras. Par contre un appui de la nuque est nécessaire, même une simple chaise de jardin un peu haute fait l'affaire. 10 X me semble intéressant aussi pour aller un peu plus loin en résolution dans les amas, noircir un peu le fond de ciel, sortir ainsi les tâchouilles les plus faibles ...En effet à 5,6 mm avec 10 X la pupille est déjà presque trop grande pour moi. Il me semble noter une différence entre mon site habituel des Monts du Lyonnais, bon sans plus, le champ étant assez fréquemment un peu clair je trouve, et un site bien plus noir, sud des Hautes-Alpes par ex. Là point de gêne, la qualité du ciel me semble se traduire par un champ plus sombre, en tous cas bien adapté aux faibles tâchouilles. Mais une pupille à plus de 6 mm avec 8 X, je ne sais pas trop ...Et là je parle sans filtre, et sans trépied pour l'histoire des tremblements. Ceci dit, comme en observation diurne, si on cale bien les jumelles contre un support, on voit encore un gain énorme dans la netteté et stabilité de l'image, d'où l'intérêt d'un trépied si on peut. Perso j'aurais peur de me casser la nuque, sans renvoi coudé, et je conçois vraiment les jumelles comme un truc le plus minimaliste possible, qui se suffit à lui-même et prend 0 place dans le transport, 0 mise en oeuvre. Immédiatement opérationnel quand on a juste 15 min pour observer. Au plus près du Ciel. En cela, un peu comme une bonne petite lunette, des jumelles de 42 à 56 mm de haute qualité constituent vraiment un instrument hyper transportable et qui permet de sauver la mise. Mais inversement à la lunette, qui dépanne bien en planétaire ou étoiles doubles, en cas de grosse lune par ex, les jumelles sont plutôt orientées ciel profond vu leur faible Gr. J'attribue presque à mes 10X56 la vertu de "mini télescope transportable" ! 😁 Ceci dit, faudra que je retente NGC 3077 !
  19. Excellent, Vesper, toujours cette plume aérienne, que dis-je, céleste ! Une belle profusion des merveilles qui nous attendent dans les tous prochains mois, en espérant plus de ciels clairs que depuis le début de l'année. Ca devrait le faire, en allant vers les beaux jours. Faudra juste gérer les couchers tardifs. Aussi, en général je me dis que je fais une petite pause de ciel profond de fin mai à disons fin juillet, chaque année. Mais là, j'ai l'impression d'avoir fait la pause depuis fin 2024 à cause de la météo 😄
  20. Salut, je suis rassuré par ta seconde observation de l'America et des Dentelles, visiblement quelque chose n'allait pas car en général au T300 l'America est tout de même plus remarquable qu'avec des jumelles standard (je ne sais pas quel est ton diamètre), disons jusqu'à 50 mm, pour un ciel donné. Ces objets diffus dépendent énormément de la transparence du ciel, et de la hauteur du Cygne dans le ciel. Et il faudra que je compare mon OIII avec mon UHC de même gamme récemment acquis, pour vérifier qu'il est plus sélectif. Tu as aussi trouvé des objets assez difficiles à repérer, comme le Foetus, bravo ! Je rejoins les collègues, 18 objets c'est beaucoup, surtout si la lune menace d'arriver ! Tu avais pu voir plus de galaxies, mais peut-être étaient-elles proches les unes des autres dans Coma et Virgo, voire Leo, réduisant leur temps de recherche ? Pour les galaxies, tout dépend de leur type, leur magnitude, leur contraste, au T300 je suis souvent à 170 X en croisière mais je constate un gain conséquent avec 225 X sur certaines, notamment un peu mieux définies et étoiles très proches mieux visibles Et pour les Sharpless, c'est difficile, à quelques exceptions près, c'est très diaphane, peu contrasté, il faut un ciel très pur, pas de lumière parasite et le filtre adéquat. Dans un second temps, peut-être 😉
  21. Il y a eu un très léger mieux ces dernières semaines, mais rien de mirobolant. En fait ce sont surtout les conditions qui ne vont pas, il y a tout de même des soirs clairs mais très souvent ils surviennent alors que je suis absent, ou alors que la lune est présente 😆. Ce qui me fait à peu près 1 soir max au T300 par mois, bien en-dessous des années précédentes. Et dès que je m'éloigne du domicile, comme par miracle cela va mieux : sur 4 soirs récemment dans le sud des Hautes-Alpes j'ai eu un soir superbe, avec un vent de nord nettoyant bien le ciel. Là, mon télescope portatif nommé Swaro SLC 10X56 fait parfaitement l'affaire ! Encore bien plus léger et moins encombrant que la lunette, idéal quand la météo ne prévoit qu'1 ou 2 soirs clairs peut-être. Ceci dit, j'apprécie ma chance de pouvoir observer à domicile (hameau sans éclairage public), hormis les détecteurs de présence de plus en plus répandus. Il y en a un nouveau qui s'allume toutes les 30 s environ quand il y a du vent, heureusement sans trop d'impact sur mes 2 positions habituelles d'observation au T300. Mais comme tu dis, même si le 300 reste léger et transportable, c'est tout de même une petite expédition que de le monter et tout ce qui va avec (atlas, oculaires, chaise astro ...). Aussi je me répète mais j'admire vraiment ceux qui prévoient de bouger avec tout cela, même parfois 400 mm, avec le risque au bout du trajet que tout se couvre, comme c'est souvent le cas à domicile pour moi, avec certes bien moins de conséquences d'embêtement. Faut vraiment être pointu sur les sites météos, la sécurité du lieu, et le compromis entre meilleurs ciel possible / moindre trajet. La nuit, observant près de domicile ou de maisons connues, je n'ai jamais été trop embêté, juste une fois bien dérangé et intrigué par des voitures montant dans les vergers sur mon site des Alpes du sud, accompagnés de cris et bruits divers. Sûrement des agriculteurs voulant faire peur à des bêtes ? Mais je me méfie de la réaction que peut avoir le passant non focalisé sur l'astro, me voyant dans le noir comme une forme plus ou moins immobile. Je n'aime guère en général, indépendamment de la gêne qu'il peut occasionner avec une lumière (parasite pour moi). Bien vu pour ton optimisation distance / activité astro. Effectivement c'est dommage de faire des bornes pour juste un dessin alors qu'on a un ciel merveilleux. Si je devais passer du temps sur un dessin, par ex toute une soirée, je pense que je choisirais des conditions dégradées avec un objet adéquat, par ex NP ou amas brillant, sous un ciel lunaire ou urbain. Ainsi on ne gâche pas ...Cependant je parviens à enchainer quelques dessins avec satisfaction sous de bons ciels. En effet je n'emporte souvent que la lunette là-bas, et de toute façon elle ne pourra guère montrer de détails très difficiles vue sont diamètre, donc autant en profiter pour dessiner des objets que j'ai déjà vus et décrits avec mes divers instruments.
  22. Hello, la vie est dure pour moi, je dois porter FC-100 ou parties du T300 sur au moins ...10 mètres max pour trouver un site tranquille ! A domicile ! Bon je me permets de faire un peu le malin pour contrer toute la malchance accumulée à cause de la météo depuis fin 2024, au moins 5 fois le T300 monté pour rien car nuages arrivant dans la foulée, et l'une des dernières : baptême par la pluie sur le 300 ! Ca ne m'était encore jamais arrivé ! Et le flash détecteur de présence des voisins qui s'allume quand elle va faire promener son chien, en général quand je suis en passe de faire ressortir tel Arp de mag 14 du fond du ciel ! J'avais eu un peu de répit car elle ne sortait plus, mais cela a coïncidé avec la météo que l'on sait, et apparemment je viens de voir qu'elle a repris ses habitudes. Donc peut-être que la météo va s'améliorer ? 😁 Tout cela pour dire que j'admire votre optimisme et vos recherches d'un site le plus adapté possible, quand je vois l'instabilité de la météo et, disons-le, le manque de fiabilité des prévisions parfois. Et je ne sais guère si j'oserais bien m'aventurer de nuit avec du matos lourd, dans un site inconnu, peut-être passant. Après, quand on voit le gain d'un site transparent, c'est clair que c'est tentant de s'éloigner un peu de la pollution
  23. Hello, fort joli CROA, je note que tu avais un trépied, ce qui me semble indispensable pour pouvoir dessiner aux jumelles un amas aussi riche que M44 ! Bravo pour ta balade, je retrouve bien les grands traits de tes observations, en comparant avec mes anciennes 10X50 et maintenant avec mes 10X56 : M51 bien dédoublée, couple M81 / M82 majeur et probablement le plus contrasté niveau galaxies, M101 bien visible, M65 parfois invisible alors que M66 l'est ... Par contre aux 10X56 il me semble avoir essuyé un échec ce printemps sur NGC 3077, à retenter (ciel pas optimal). Mais les jumelles montrent bien le gain énorme que l'on peut avoir en se déplaçant sous des ciels très transparents, par rapport à son site habituel. Je sors d'une belle soirée aux 10X56 dans les Alpes du Sud, entre Sisteron et Gap, ciel très pur : après quelques galaxies, j'ai été époustouflé du nb d'étoiles dans le champ en pointant pour la première fois dans la Voie Lactée, le Cygne se levant à l'est. Et la Grande Dentelle perçue tout de suite sans filtre, mais pâle et peu contrastée, alors que le Cygne se levait juste et que je l'ai toujours trouvée difficile aux anciennes 10X50 ...
  24. Salut, NGC 3718 est intriguante déjà au T300 ...Actuellement sur quelques Arp de la Grande Ourse, j'ai vu que j'avais aussi les Hickson dnas la liste, notamment le 56. Mais un rapide coup d'oeil aux magnitudes m'a montré qu'au 300 je ne devrais voir qu'un composant de Hcg 56, peut-être 2 mêlés avec l'effet de la mag intégrée (plusieurs objets proches donnent un résultat plus facile à voir) A suivre ....
  25. Je suis surpris de cette différence entre 125 et 152 mm, mais tant mieux pour toi ! 😉 Faut dire que j'avais vu un delta conséquent aussi en passant de 80ED à FC-100 DF, mais j'avais aussi upgradé la qualité de mes oculaires
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