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  1. Dernière heure
  2. Un beau trioavec le volatile en vedette, très jolie image et beau cadre!👍👍🙂
  3. Effectivement c'est un peu violent Serge ! Ce que je fais toujours c'est un mix avec et sans HDRMT en utilisant Pixel Math. Typiquement 70% de bio et 30% de HDR, le dosage exact dépend de l'objet... Edit : @sebseacteam m'a ôté les mots de la bouche (enfin du clavier) 😀
  4. Salut, la nuit dernière il fallait être patient. Météo France prévoyait un ciel dégagé dès la soirée sur Paris, malheureusement il à fallu attendre minuit pour que l'épaisse couche nuageuse dégage enfin 🙄 Trop tard pour commencer un nouveau projet mais suffisant pour en terminer un commencé en 2022. La vedette de ce champ est la galaxie dite du Héron, couple de galaxies spirales en interaction NGC 5394 et 5395, ou Arp 84, à environ 107 millions d'années lumière. Plus à droite se trouve la galaxie lenticulaire NGC 5380 à109 millions d'a.l., puis enfin la photogénique spirale barrée NGC 5378 à environ 136 millions d'a.l. En 2022 j'avais fait 200*60 sec en luminance, 30*60 sec en R et B que j'avais assemblé avec une couche verte synthétique. J'ai pu ajouter la nuit dernière 200*60sec en luminance (donc 6h40 de luminance au total) et 25*60sec pour une véritable couche verte. Voici le champ complet (clic droit pour la full) : Un recadrage : Et enfin la luminance annotée : J'ai dû me résoudre à utiliser la couche verte synthétique pour les étoiles en raison de halos asymétriques, la couche verte "bio" n'a servi que pour les galaxies. Bon ciel, Dan Données techniques Astrographe newton 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5", focale effective 750mm (échantillonnage 0,66"/pix) Monture : AZEQ6 (2022) puis AP900 (2024) Train d'imagerie : ASI183mm+filtres LRGB ZWO, guidage OAG + ASI120mini + ASIAIRv1 Luminance : 200*60sec en 2022, même chose en 2024 Chrominance : 30*60sec par couche R et B en 2022, 25*60sec pour la G en 2024 Empilement Siril, traitement PI et Rawtherapee Conditions de prise de vue : pollution lumineuse (Tour Eiffel à 20km), turbulence moyenne
  5. Salut Serge. Tu t'en sors bien je trouve avec ces problèmes survenus. C'est fou comment en astrophoto y a toujours un truc qui déconne, toujours au bon moment en plus 🙄 Pour les versions avec/sans HDRMLT, un mix des 2 versions ça devrait le faire. Tu as les scripts Toolbox à installer. Dedans tu as Combine_images un truc comme ça. Tu peux mixer 2 images avec un curseur. A essayer....
  6. Bonjour, Je suis en train de me préparer un setup pour de l'astrophoto via des achats en occasion, j'achète donc en fonction de ce qui se présente... J'ai acheté dernièrement une Sky-Watcher 80ED, je vois maintenant une annonce en vendant une autre avec cet applanisseur/réducteur (Starfield 0.8). Est-ce que quelqu'un a déjà utilisé celui-ci avec une 80ed ? si oui, est-ce une bonne combinaison ? Des points négatifs ? Le modèle proposé par Skywatcher apporte-t-il vraiment une plus-value ? Merci d'avance
  7. C'est le même oui. J'avais des soucis avec (artefacts circulaires mais pas de la même forme) j'ai compris après que ça venait de la lentille d'entrée qui n'est pas noircie sur le bord. Voici ce que ça donnait en mettant l’œil à la place de la caméra dans le T200, qui est pourtant un vrai trou noir : La solution c'était de visser à l'avant une extension M48 recouverte de feutrine noire : Évidemment il faut que le correcteur ne dépasse pas déjà dans le tube pour que ça fonctionne. Je pourrais te le passer si tu n'as pas ça sous la main, ça ne me sert plus à rien depuis que j'ai le Wynne (qui est lui noirci correctement, encore heureux vu son prix) Concernant l'entrée de lumière par le PO, si l'intérieur du tube du télescope est recouvert de feutrine sur le côté opposé au PO et si la tranche du secondaire est noircie, je ne vois pas comment ça peut poser de gros soucis ?
  8. Ça donne envie d'y aller faire un tour. Même s'il n'est pas bien haut par chez moi non plus...
  9. Merci beaucoup @julienESP et @C14edgeHD ! Vu qu'elle est très proche elle doit être toute petiote dans l'absolu !
  10. Yes captain. J'ai un jour d'un demi mm à cet endroit : Le SW dédié aux F4 Je prends !
  11. Salut Daniel,😊 tu te doutes bien que j'ai essayé le HDRMT entre 2 et 6 couches, mais je trouve que ça fait trop artificiel. Tu me connais, je shoot toujours sans prophylactiques , heu, filtres, et le HDR me donne l'impression de maquiller une jolie femme qui est belle de nature. Mais, puisque tu aime les drag queens, 😂 en voilà une: C'est joli (beaucoup plus qu'une drag queen), mais c'est pas naturel. a+ Serge
  12. Bien joué on commence à voir du détail dans la bande de poussières !
  13. En fait ce que je voulais dire c'est que la lecture de ton site avant de te connaître un peu via les forums m'avait donné cette fausse impression, après en te lisant sur WA et AS je m'était bien rendu compte que ce n'étais pas ton genre 😉 En tout cas je reviens sur ton image elle est vraiment très réussie 👍 Tu as beaucoup de profondeur dans tes acquisitions, ton ciel doit être bon j'imagine ?
  14. danielo

    M51

    très réussie bravo Pascal ! Le champ semble bien corrigé.
  15. Super Gilles, ce secondaire GSO était un bon investissement 👍 C'est un Moonlite c'est ça ? Sinon c'est quoi ton correcteur un GPU ? Si oui j'ai une autre piste je pourrais te filer la solution miracle 😉
  16. Salut à tous, Je viens de me rendre compte que cela fait 1 an tout pile à 10 jours près que je shoot . Pour le partage et vos avis je viens de mettre tous mes clichés, même ceux que je n'ai pas osé mettre sur le fofo sur flikr : Je suis fana de vos avis . Encore merci à Serge, et pleins d'autres qui m'aident souvent à m'améliorer et répondent à mes questions de débutant Je suis en train de lire ces deux livre offert par ma femme pour notre anniversaire de mariage, je vais faire en sorte de ne plus poser de questions dont les réponses sont dedans : Bon ciel à tous !
  17. danielo

    NGC4889

    Très bel amas, bravo, cadrage très bien choisi ! Je continue ma croisade contre les filtres anti-PL pour les galaxies ⚔️ Désolé cette fois ça tombe sur toi ! Tu devrais essayer sans, tu aurais plus de couleurs sur les galaxies 🙂
  18. Elle est vraiment belle bravo ! Sur la full on voit un peu le manque de poses mais l'essentiel est là !
  19. danielo

    m106

    Vraiment réussie bravo ! J'étais un peu déçu des couleurs sur la v1, la v2 est top 😍
  20. Vraiment superbe Serge j'adore ! Juste peut-être un micropoil de hdr sur le cœur
  21. Wills Point, Texas, à environ 1h30 de route à l’est de Dallas sur la State Highway 80… Population d’un peu plus de 3000 habitants, une petite ville allongée le long d’une« main street » aux allures de film de western, juste un peu modernisée. Quelques rues qui se croisent à angle droit, quelques cafés-restaurants, une voie ferrée longe la route 80 qui traverse la ville. Wills Point, on y passe, pourquoi s’y arrêter ? Jamais je n’aurais cru que nous y resterions deux nuits, une fois dans notre vie. Mais voilà, Wills Point était bien positionné sur la bande de totalité de l’éclipse solaire du 8 avril 2024, avec une durée annoncée de 4 min 18 et avec une statistique de couverture nuageuse pas désagréable par rapport au reste du parcours de l’ombre (voir Dallas dans le graphe ci-dessous extrait de l’excellent site de Xavier Jubier). Mais les statistiques ne font pas la météo du jour… De plus, et peut-être surtout, Wills Point disposait d’un hébergement très simple, à 200 dollars pour trois nuits, prix pas courant pour le passage de cette éclipse très médiatisée. Le propriétaire, pas au fait du passage d’une éclipse, n’avait pas augmenté ses tarifs. Nous avons retenu une chambre 14 mois plus tôt pour trois nuits. A posteriori, la qualité était en rapport avec le prix et nous sommes partis avant la troisième nuit… Nous arrivons à Wills Point le 6 avril au soir, afin de disposer de la journée du 7 pour une première installation du matériel et une répétition de la séquence totalité. Mais voilà : alors qu’il fait très beau depuis trois jours que nous sommes au Texas, le 7 le ciel est couvert et les prévisions météo pour le 8 sont mauvaises : plafond nuageux total, gros orages dans l’après-midi, avec peut-être quelques éclaircies. Le moral est bien bas, au point que je renonce à installer le matériel ce jour-là. Déjà avant le départ de France, les prévisions étaient peu engageantes, mais dix jours avant on espère toujours. Le 8 avril au matin, tout est gris. Consternation ! La météo dit qu’au nord de l’Interstate 20, il y a aura des éclaircies. Mais nous y sommes au nord ! Juste 5 km plus au nord. Vers 9h30, notre cœur balance… Tout replier et partir à l’aventure ? Alors que nous disposons ici d’un beau champ herbeux, de visibilité, de calme… Risquer de finir au bord de la route, ce qui était annoncé comme interdit sur de grands panneaux lumineux, ou pire, coincés dans un embouteillage au moment crucial ? Finalement nous restons et j’installe le matériel, prêt à être très philosophe. Astram, on sait qu’il faut de la patience et savoir rester zen face à la météo. Mais au fond, vivre une éclipse totale de soleil sous les nuages, voir la lumière s’en aller en sachant un peu ce qui se passe bien plus haut, ça doit mettre le moral dans les chaussettes pour longtemps. Regrets éternels… Matériel installé. La monture GP Vixen est en place, sans moteurs pour la légèreté, lestée d’un gallon d’eau de source (ou vendue comme tel), alignée vers le nord à la boussole et à l’œil, latitude réglée à 33 ; dessus la lunette Orion EDT/CF 80/480, le Canon EOS 60D connecté, le filtre solaire posé, l’intervallomètre branché pour faire office de déclencheur filaire, ISO 200, mode bracketing permettant de déclencher trois temps de pose différents avec trois déclenchements successifs sans toucher à la molette des vitesses, miroir en mode relevé, RAW + Jpeg léger. L’attente angoissée commence, le jeu de cache-cache avec les nuages aussi. Le plafond est bas. Le ciel n’est pas statique, il y a du vent là-haut, les nuages passent à bonne vitesse et les petites trouées aussi. De temps en temps, le soleil apparaît pendant quelques secondes ou dizaines de secondes, puis disparaît. Je profite de ces moments fugaces pour pointer (pas facile de pointer le soleil quand on ne le voit pas…) et faire le point. Là aussi, faire le point n’est pas très relaxant, avec des flots de nuages qui traversent le champ, alors que je me concentre sur les rares taches solaires, avec la molette démultipliée, l’écran de l’APN grossi à 10 fois, tout en suivant le déplacement du soleil avec la molette équatoriale. Je prends donc quelques dizaines de photos et vérifie ma mise au point et mes temps de pose, rapides entre 1/350 et 1/2000, les trouées passent, plusieurs minutes parfois entre deux aperçus du soleil. Les résultats sont très variables, le voile nuageux impactant considérablement l’exposition, évidemment, et il est impossible de trouver un réglage à peu près permanent. 1/2000ème Arrive l’heure du premier contact. Zut, invisible ! Le premier cliché acceptable arrive plus tard… 1/100ème La tension monte, les nuages passent. Nous guettons les trouées, que le vent pousse depuis le sud dans notre direction. Dès qu’une trouée arrive, je déclenche. Les résultats, que j’ai le temps de regarder sur l’écran, sont très variables, très incertains : les nuages défilent, les temps de pose choisis collent à la trouée… ou pas, selon le défilement des nuages. Beaucoup de déchets. Mais quelques-unes acceptables. 1/15ème La présence des nuages, qui se traduisent par des ombres noires plus ou moins denses, donne un caractère assez dramatique aux images. Côté mise au point, c’est acceptable, il y a de quoi affiner un peu sous DPP (le logiciel de développement de Canon). Je la rectifie dès que je peux, j’ajuste la tension du porte-oculaire au mieux : le soleil est vers 65° de hauteur, la verticale n’est pas si loin, ça pèse sur le Crayford. 1/30ème Sur cette série de la phase partielle, j’aime bien celles où la lune approche les quelques taches solaires du jour et progressivement les masque. A 150 millions de kilomètres d’écart, notre satellite joue avec la géométrie de notre système planétaire et malgré sa petite taille comparée à notre étoile et à ses taches, il va les dissimuler à notre vue. Raccourci saisissant. 1/1000ème 1/500ème 1/200ème 1/250ème 1/10ème L’éclipse progresse, l’ombre avance. L’éclat du soleil est tel que même masqué largement à plus de 50%, la luminosité est encore à peine affectée. Les oiseaux chantent, les énormes camions circulent à toute vitesse sur la state Highway 80 toute proche, tout semble encore normal. Sauf quand on lève le nez, que l’on met ses lunaires éclipse (avant de lever le nez !) et que l’on voit cette échancrure courbe sur le disque solaire. Non, tout n’est pas normal. 1/250ème Les nuages défilent, les trouées aussi. Et puis quelque chose se passe, la lumière change. Elle prend cet aspect qui n’existe que pendant les éclipses solaires fortes et les prémices des éclipses totales : grisâtre, cendrée, comme si flottaient dans l’air des particules sombres absorbant la lumière. La température baisse, les oiseaux ralentissent leur chant. Les camions passent à toute allure. 1/20ème Le soleil n’est plus qu’un croissant, ses taches ont été avalées. Comment fait-il, avec si peu de surface visible, pour éclairer encore autant ? Mais de moins en moins cependant. La lumière baisse, comme la température, les trouées dans le plafond nuageux défilent, la fébrilité monte. L’atmosphère est grise, de plus en plus densément grise, presque palpable, sauf vers l’horizon où la luminosité reste forte. Je n’ai plus le moyen de faire la mise au point, plus de tache solaire à laquelle m’accrocher, plus toute la concentration nécessaire. J’enlève le filtre solaire, je déclenche en temps de pose courts, mais trop tôt. Je ne veux pas manquer le deuxième contact. 1/2000ème 1/8000ème Et pourtant, je le manque ! La trouée attendue n’est pas là, mais elle arrive, posément. Nous sommes dans le vif du sujet, c’est le début de la totalité. Les oiseaux se sont tus, les lampadaires se sont allumés, les camions passent à toute allure, tous feux allumés, le business n’attend pas après les éclipses. 1/500ème 1/250ème Comment décrire une éclipse totale de soleil ? Les photos ne sont pas grand-chose à côté de la réalité de l’événement, pour moi le plus extraordinaire que la nature puisse nous offrir. 1/60ème 1/4 sec Il fait frais, voire froid. Tout est gris autour de nous, quasiment crépusculaire mais pas tout-à-fait, car au loin il y a de la lumière. Quand on lève les yeux, presqu’au zénith, il y a un disque noir auréolé de lumière, le pourtour est parsemé de flammes rouges. Pas de planète visible pour nous cette fois, mais une étoile quand même, ou peut-être Vénus, épargnée dans une brèche de ce plafond bas. En plein jour, le roi soleil a disparu, ne reste que sa couronne. On comprend l’anxiété que pouvaient éprouver il y a longtemps ceux qui ne savaient pas s’il allait revenir. 3/10ème Quatre minutes passent, c’est court et long à la fois. Trop court pour affiner le réglage de ses appareils, je déclenche régulièrement, modifiant le temps de pose toutes les trois prises de vue, quand le bracketing a fait son travail. Je monte vers les poses longues, dans l’espoir (qui sera déçu), d’attraper la couronne, puis je redescends vers les poses courtes pour saisir les protubérances et possiblement le « diamond ring », à l’aveugle sans regarder l’appareil. Il faut profiter de l’instant. Et suffisamment long pour que l’émotion dure, pour que l’on s’imprègne de l’ambiance, qu’on la grave dans sa mémoire. La fugacité, la rareté du phénomène en renforcent la puissance. On n’y croit pas, c’est fou ce qui arrive, c’est beau et extra-ordinaire. J’estime que nous aurons vu la moitié de la totalité, les nuages nous masquant le reste. 3/10ème Je prends cliché sur cliché, à l’approche du troisième contact. 1/6ème J’attrape un effet proche du diamond ring, mais juste un peu tard. 1/10ème Le soleil réapparaît. Je remets le filtre. 1/500ème La tension retombe, mais l’émotion reste là des dizaines de minutes, des heures. Autour de nous, les quelques personnes qui étaient là retournent à leurs occupations, les camions passent à toute allure. Je continue à déclencher, après avoir remis le filtre. Je resterai là encore une heure, sur ma chaise pliante, retardant le moment où l’éclipse sera vraiment du passé, existant pour l’éternité dans le monde des événements qui ont eu lieu, intouchable, finie mais éternelle. 1/250ème 1/100ème Et puis il faudra bien passer à autre chose, ranger tout le matériel, lentement, en tremblotant mais calmement, avec le soulagement de celui qui est passé près d’un beau ratage mais qui a sauvé quelques meubles, qui a eu cette demi-chance, qui est quand même une chance entière, au fond, un privilège. L’escapade au Texas n’est pas finie, il y a encore au programme la visite du Centre Spatial de Houston ! Nous reprenons la route le soir même. Je regarde à la volée mes photos de la totalité. Je ne suis pas satisfait. La mise au point n’est pas bonne, arrgh… Pourquoi ? Elle était acceptable pendant la phase partielle, elle ne l’est plus pendant la totalité. Le porte-oculaire a-t-il glissé, finalement ? Aurais-je dû serrer plus fort la vis de tension ? Si je serre très fort, est-ce que cette pression modifie la mise au point ? La baisse de température au moment de la totalité peut-elle expliquer ce décalage dans la mise au point ? Ai-je arrêté de faire ma mise au point trop tôt ? Aurais-je dû tenter une mise au point pendant la totalité, vingt secondes de manipulation au cœur de quatre minutes ? Frustration. Mais bon, en photo d’ambiance, en photo souvenir de l’événement, c’est acceptable, là aussi les nuages dramatisent le sujet. Finalement, les photos d’une totalité ne sont qu’une vision instantanée et partielle du phénomène, que l’on regarde quelques secondes, un disque noir auréolé de blanc, sur un fond noir, esthétique le plus souvent. Mais aucune photo, si réussie soit-elle, ne peut rendre compte de ce qu’est une éclipse totale de soleil : il faut la voir et la vivre, en vrai. Je suis chanceux, c’était ma troisième, après 1999 et 2017. Au bout du bout, un voyage réussi : nous avons vu Dallas, où nous ne serions pas allés sans cette occasion, Fort Worth et son rassemblement de bétail, nous avons visité le Johnson Space Center à Houston et goûté un petit peu du Texas, où nous avons toujours été très gentiment accueillis. En route pour l’Espagne 2026 ? Jacques
  22. Salut, l'image que je vous présente s'est faite mériter. Je vous explique, j'ai voulu checker la collimation en fin d'après midi avec une barlow et l'ASI662 avec une étoile artificielle et ça ma pris plus de temps que prévu. Je reconfigure le tupe pour le CP vers 22H. Je me suis dis que j'utiliserai le réducteur 0,74x et grosse galère pour retrouver la MAP. 2, 3 galères informatique plus tard, j'ai démarré à 23H. Un truc que je fais toujours est de vérifier la température du chauffage de la lame de schmidt au thermomètre laser, et la rien, nada. Je sors le multimètre, tension ok (j'alimente en 18V) mais résistance en circuit ouvert... Super, du coup j'ai pas pu aller me coucher puisque toutes les 30min, il fallait poser la séquence, arrêter le guidage, enlever le pare-buée, mettre un coup de sèche cheveu, refaire un platesolve, et relancer la séquence. C'est pas super efficace comme truc et je n'ai eu que 28 images. HFR entre 4 et 4,5 guidage entre 0,4" et 0,5" avec le C14à FD 7,7 sur la 6200 guidée par une 174 sur OAG-L. GraX SPCC BlurX Traitement séparé des étoiles et objets profond EZ stretch hito/curves saturation sous Range masque Un petit crop qui ne démérite pas je trouve: et les full: des pétouilles de partout, mais normal dans la vierge: vos critiques svp a+ Serge
  23. Sans moi cette fois. Je traque les galaxies en Aveyron. Bon ciel à vous.
  24. Aujourd’hui
  25. C14edgeHD

    m106

    Salut la Louche, quelle profondeur de champ...😍 Et le traitement est vraiment extra, bravo. a+ Serge
  26. Très très jolies et bien traitées de surcroit. Je vais peut être les faire cette nuit à la place de 4478 que j'avais prévue. a+ Serge
  27. C14edgeHD

    NGC4889

    Sympa ce champ! Bien vu a+ Serge
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