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  1. Dernière heure
  2. Elle est vraiment belle bravo ! Sur la full on voit un peu le manque de poses mais l'essentiel est là !
  3. danielo

    m106

    Vraiment réussie bravo ! J'étais un peu déçu des couleurs sur la v1, la v2 est top 😍
  4. Vraiment superbe Serge j'adore ! Juste peut-être un micropoil de hdr sur le cœur
  5. Wills Point, Texas, à environ 1h30 de route à l’est de Dallas sur la State Highway 80… Population d’un peu plus de 3000 habitants, une petite ville allongée le long d’une« main street » aux allures de film de western, juste un peu modernisée. Quelques rues qui se croisent à angle droit, quelques cafés-restaurants, une voie ferrée longe la route 80 qui traverse la ville. Wills Point, on y passe, pourquoi s’y arrêter ? Jamais je n’aurais cru que nous y resterions deux nuits, une fois dans notre vie. Mais voilà, Wills Point était bien positionné sur la bande de totalité de l’éclipse solaire du 8 avril 2024, avec une durée annoncée de 4 min 18 et avec une statistique de couverture nuageuse pas désagréable par rapport au reste du parcours de l’ombre (voir Dallas dans le graphe ci-dessous extrait de l’excellent site de Xavier Jubier). Mais les statistiques ne font pas la météo du jour… De plus, et peut-être surtout, Wills Point disposait d’un hébergement très simple, à 200 dollars pour trois nuits, prix pas courant pour le passage de cette éclipse très médiatisée. Le propriétaire, pas au fait du passage d’une éclipse, n’avait pas augmenté ses tarifs. Nous avons retenu une chambre 14 mois plus tôt pour trois nuits. A posteriori, la qualité était en rapport avec le prix et nous sommes partis avant la troisième nuit… Nous arrivons à Wills Point le 6 avril au soir, afin de disposer de la journée du 7 pour une première installation du matériel et une répétition de la séquence totalité. Mais voilà : alors qu’il fait très beau depuis trois jours que nous sommes au Texas, le 7 le ciel est couvert et les prévisions météo pour le 8 sont mauvaises : plafond nuageux total, gros orages dans l’après-midi, avec peut-être quelques éclaircies. Le moral est bien bas, au point que je renonce à installer le matériel ce jour-là. Déjà avant le départ de France, les prévisions étaient peu engageantes, mais dix jours avant on espère toujours. Le 8 avril au matin, tout est gris. Consternation ! La météo dit qu’au nord de l’Interstate 20, il y a aura des éclaircies. Mais nous y sommes au nord ! Juste 5 km plus au nord. Vers 9h30, notre cœur balance… Tout replier et partir à l’aventure ? Alors que nous disposons ici d’un beau champ herbeux, de visibilité, de calme… Risquer de finir au bord de la route, ce qui était annoncé comme interdit sur de grands panneaux lumineux, ou pire, coincés dans un embouteillage au moment crucial ? Finalement nous restons et j’installe le matériel, prêt à être très philosophe. Astram, on sait qu’il faut de la patience et savoir rester zen face à la météo. Mais au fond, vivre une éclipse totale de soleil sous les nuages, voir la lumière s’en aller en sachant un peu ce qui se passe bien plus haut, ça doit mettre le moral dans les chaussettes pour longtemps. Regrets éternels… Matériel installé. La monture GP Vixen est en place, sans moteurs pour la légèreté, lestée d’un gallon d’eau de source (ou vendue comme tel), alignée vers le nord à la boussole et à l’œil, latitude réglée à 33 ; dessus la lunette Orion EDT/CF 80/480, le Canon EOS 60D connecté, le filtre solaire posé, l’intervallomètre branché pour faire office de déclencheur filaire, ISO 200, mode bracketing permettant de déclencher trois temps de pose différents avec trois déclenchements successifs sans toucher à la molette des vitesses, miroir en mode relevé, RAW + Jpeg léger. L’attente angoissée commence, le jeu de cache-cache avec les nuages aussi. Le plafond est bas. Le ciel n’est pas statique, il y a du vent là-haut, les nuages passent à bonne vitesse et les petites trouées aussi. De temps en temps, le soleil apparaît pendant quelques secondes ou dizaines de secondes, puis disparaît. Je profite de ces moments fugaces pour pointer (pas facile de pointer le soleil quand on ne le voit pas…) et faire le point. Là aussi, faire le point n’est pas très relaxant, avec des flots de nuages qui traversent le champ, alors que je me concentre sur les rares taches solaires, avec la molette démultipliée, l’écran de l’APN grossi à 10 fois, tout en suivant le déplacement du soleil avec la molette équatoriale. Je prends donc quelques dizaines de photos et vérifie ma mise au point et mes temps de pose, rapides entre 1/350 et 1/2000, les trouées passent, plusieurs minutes parfois entre deux aperçus du soleil. Les résultats sont très variables, le voile nuageux impactant considérablement l’exposition, évidemment, et il est impossible de trouver un réglage à peu près permanent. 1/2000ème Arrive l’heure du premier contact. Zut, invisible ! Le premier cliché acceptable arrive plus tard… 1/100ème La tension monte, les nuages passent. Nous guettons les trouées, que le vent pousse depuis le sud dans notre direction. Dès qu’une trouée arrive, je déclenche. Les résultats, que j’ai le temps de regarder sur l’écran, sont très variables, très incertains : les nuages défilent, les temps de pose choisis collent à la trouée… ou pas, selon le défilement des nuages. Beaucoup de déchets. Mais quelques-unes acceptables. 1/15ème La présence des nuages, qui se traduisent par des ombres noires plus ou moins denses, donne un caractère assez dramatique aux images. Côté mise au point, c’est acceptable, il y a de quoi affiner un peu sous DPP (le logiciel de développement de Canon). Je la rectifie dès que je peux, j’ajuste la tension du porte-oculaire au mieux : le soleil est vers 65° de hauteur, la verticale n’est pas si loin, ça pèse sur le Crayford. 1/30ème Sur cette série de la phase partielle, j’aime bien celles où la lune approche les quelques taches solaires du jour et progressivement les masque. A 150 millions de kilomètres d’écart, notre satellite joue avec la géométrie de notre système planétaire et malgré sa petite taille comparée à notre étoile et à ses taches, il va les dissimuler à notre vue. Raccourci saisissant. 1/1000ème 1/500ème 1/200ème 1/250ème 1/10ème L’éclipse progresse, l’ombre avance. L’éclat du soleil est tel que même masqué largement à plus de 50%, la luminosité est encore à peine affectée. Les oiseaux chantent, les énormes camions circulent à toute vitesse sur la state Highway 80 toute proche, tout semble encore normal. Sauf quand on lève le nez, que l’on met ses lunaires éclipse (avant de lever le nez !) et que l’on voit cette échancrure courbe sur le disque solaire. Non, tout n’est pas normal. 1/250ème Les nuages défilent, les trouées aussi. Et puis quelque chose se passe, la lumière change. Elle prend cet aspect qui n’existe que pendant les éclipses solaires fortes et les prémices des éclipses totales : grisâtre, cendrée, comme si flottaient dans l’air des particules sombres absorbant la lumière. La température baisse, les oiseaux ralentissent leur chant. Les camions passent à toute allure. 1/20ème Le soleil n’est plus qu’un croissant, ses taches ont été avalées. Comment fait-il, avec si peu de surface visible, pour éclairer encore autant ? Mais de moins en moins cependant. La lumière baisse, comme la température, les trouées dans le plafond nuageux défilent, la fébrilité monte. L’atmosphère est grise, de plus en plus densément grise, presque palpable, sauf vers l’horizon où la luminosité reste forte. Je n’ai plus le moyen de faire la mise au point, plus de tache solaire à laquelle m’accrocher, plus toute la concentration nécessaire. J’enlève le filtre solaire, je déclenche en temps de pose courts, mais trop tôt. Je ne veux pas manquer le deuxième contact. 1/2000ème 1/8000ème Et pourtant, je le manque ! La trouée attendue n’est pas là, mais elle arrive, posément. Nous sommes dans le vif du sujet, c’est le début de la totalité. Les oiseaux se sont tus, les lampadaires se sont allumés, les camions passent à toute allure, tous feux allumés, le business n’attend pas après les éclipses. 1/500ème 1/250ème Comment décrire une éclipse totale de soleil ? Les photos ne sont pas grand-chose à côté de la réalité de l’événement, pour moi le plus extraordinaire que la nature puisse nous offrir. 1/60ème 1/4 sec Il fait frais, voire froid. Tout est gris autour de nous, quasiment crépusculaire mais pas tout-à-fait, car au loin il y a de la lumière. Quand on lève les yeux, presqu’au zénith, il y a un disque noir auréolé de lumière, le pourtour est parsemé de flammes rouges. Pas de planète visible pour nous cette fois, mais une étoile quand même, ou peut-être Vénus, épargnée dans une brèche de ce plafond bas. En plein jour, le roi soleil a disparu, ne reste que sa couronne. On comprend l’anxiété que pouvaient éprouver il y a longtemps ceux qui ne savaient pas s’il allait revenir. 3/10ème Quatre minutes passent, c’est court et long à la fois. Trop court pour affiner le réglage de ses appareils, je déclenche régulièrement, modifiant le temps de pose toutes les trois prises de vue, quand le bracketing a fait son travail. Je monte vers les poses longues, dans l’espoir (qui sera déçu), d’attraper la couronne, puis je redescends vers les poses courtes pour saisir les protubérances et possiblement le « diamond ring », à l’aveugle sans regarder l’appareil. Il faut profiter de l’instant. Et suffisamment long pour que l’émotion dure, pour que l’on s’imprègne de l’ambiance, qu’on la grave dans sa mémoire. La fugacité, la rareté du phénomène en renforcent la puissance. On n’y croit pas, c’est fou ce qui arrive, c’est beau et extra-ordinaire. J’estime que nous aurons vu la moitié de la totalité, les nuages nous masquant le reste. 3/10ème Je prends cliché sur cliché, à l’approche du troisième contact. 1/6ème J’attrape un effet proche du diamond ring, mais juste un peu tard. 1/10ème Le soleil réapparaît. Je remets le filtre. 1/500ème La tension retombe, mais l’émotion reste là des dizaines de minutes, des heures. Autour de nous, les quelques personnes qui étaient là retournent à leurs occupations, les camions passent à toute allure. Je continue à déclencher, après avoir remis le filtre. Je resterai là encore une heure, sur ma chaise pliante, retardant le moment où l’éclipse sera vraiment du passé, existant pour l’éternité dans le monde des événements qui ont eu lieu, intouchable, finie mais éternelle. 1/250ème 1/100ème Et puis il faudra bien passer à autre chose, ranger tout le matériel, lentement, en tremblotant mais calmement, avec le soulagement de celui qui est passé près d’un beau ratage mais qui a sauvé quelques meubles, qui a eu cette demi-chance, qui est quand même une chance entière, au fond, un privilège. L’escapade au Texas n’est pas finie, il y a encore au programme la visite du Centre Spatial de Houston ! Nous reprenons la route le soir même. Je regarde à la volée mes photos de la totalité. Je ne suis pas satisfait. La mise au point n’est pas bonne, arrgh… Pourquoi ? Elle était acceptable pendant la phase partielle, elle ne l’est plus pendant la totalité. Le porte-oculaire a-t-il glissé, finalement ? Aurais-je dû serrer plus fort la vis de tension ? Si je serre très fort, est-ce que cette pression modifie la mise au point ? La baisse de température au moment de la totalité peut-elle expliquer ce décalage dans la mise au point ? Ai-je arrêté de faire ma mise au point trop tôt ? Aurais-je dû tenter une mise au point pendant la totalité, vingt secondes de manipulation au cœur de quatre minutes ? Frustration. Mais bon, en photo d’ambiance, en photo souvenir de l’événement, c’est acceptable, là aussi les nuages dramatisent le sujet. Finalement, les photos d’une totalité ne sont qu’une vision instantanée et partielle du phénomène, que l’on regarde quelques secondes, un disque noir auréolé de blanc, sur un fond noir, esthétique le plus souvent. Mais aucune photo, si réussie soit-elle, ne peut rendre compte de ce qu’est une éclipse totale de soleil : il faut la voir et la vivre, en vrai. Je suis chanceux, c’était ma troisième, après 1999 et 2017. Au bout du bout, un voyage réussi : nous avons vu Dallas, où nous ne serions pas allés sans cette occasion, Fort Worth et son rassemblement de bétail, nous avons visité le Johnson Space Center à Houston et goûté un petit peu du Texas, où nous avons toujours été très gentiment accueillis. En route pour l’Espagne 2026 ? Jacques
  6. Salut, l'image que je vous présente s'est faite mériter. Je vous explique, j'ai voulu checker la collimation en fin d'après midi avec une barlow et l'ASI662 avec une étoile artificielle et ça ma pris plus de temps que prévu. Je reconfigure le tupe pour le CP vers 22H. Je me suis dis que j'utiliserai le réducteur 0,74x et grosse galère pour retrouver la MAP. 2, 3 galères informatique plus tard, j'ai démarré à 23H. Un truc que je fais toujours est de vérifier la température du chauffage de la lame de schmidt au thermomètre laser, et la rien, nada. Je sors le multimètre, tension ok (j'alimente en 18V) mais résistance en circuit ouvert... Super, du coup j'ai pas pu aller me coucher puisque toutes les 30min, il fallait poser la séquence, arrêter le guidage, enlever le pare-buée, mettre un coup de sèche cheveu, refaire un platesolve, et relancer la séquence. C'est pas super efficace comme truc et je n'ai eu que 28 images. HFR entre 4 et 4,5 guidage entre 0,4" et 0,5" avec le C14à FD 7,7 sur la 6200 guidée par une 174 sur OAG-L. GraX SPCC BlurX Traitement séparé des étoiles et objets profond EZ stretch hito/curves saturation sous Range masque Un petit crop qui ne démérite pas je trouve: et les full: des pétouilles de partout, mais normal dans la vierge: vos critiques svp a+ Serge
  7. Sans moi cette fois. Je traque les galaxies en Aveyron. Bon ciel à vous.
  8. C14edgeHD

    m106

    Salut la Louche, quelle profondeur de champ...😍 Et le traitement est vraiment extra, bravo. a+ Serge
  9. Très très jolies et bien traitées de surcroit. Je vais peut être les faire cette nuit à la place de 4478 que j'avais prévue. a+ Serge
  10. C14edgeHD

    NGC4889

    Sympa ce champ! Bien vu a+ Serge
  11. Bonjour, Un créneau d'un peu plus de 2 heures pour tirer ces deux galaxies. La très belle image de Julien et Mickael @julienESP m'a donné envie de l'essayer, mais sans la nébuleuse voisine car peu de temps d'intégration. Evidemment ne comparez pas les images 😉 138 poses de 60s Lacerta 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur GPU x1 Filtres UVIRcut Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight – BlurXterminator – GIMP Bon ciel à tous
  12. Aujourd’hui
  13. Me doute oui, à la campagne plus facile avec des poses de 180s.
  14. Un dobson 250 goto est un bon instrument qui présente peu de contraintes d'encombrement / poids. A prévoir comme envisagé au dessus un budget pour rapidement s'équiper avec des oculaires de meilleure qualité que ceux fournis, surtout le 10... Tu Ton ciel bortle 7 peut être très stable (ou pas ). Dans ce cas un bon oculaire dédié au lunaire / planétaire sera intéressant...
  15. Bonjour tu veux rester aux jumelles ou passer à une lunette ou telescope ? A proximité d'Albertville, tu peux trouver des bons ciels à conditions de s'élever un peu ! J'observe régulièrement l'été au dessus de la station des Saisies. Si tu restes sur des jumelles, outre un pied obligatoire avec des 20x80, une version à renvoi coudé de 45° voire 90° est très appréciable dès que tu vises un peu haut... Pour l'histoire de la pupille et non la "papille" , entre 4 et 6 pas de problème. A 4, ça veut dire que tu auras un grossissement plus important (20x80, 25x100) qui permet de mieux détailler certains objets comme les ams, et un fond de ciel plus sombre. A 6, tu as une luminosité max max qui sera très appréciable sur les très rands champs et avec un très bon ciel. Sous un ciel moyen, avec des 12x80, l'image peut manquer de contraste par rapport au fond du ciel Après ça dépend aussi de ton budget: des jumelles APO 25x100 coudées à 90° + le pied qui va bien c'est pas donné
  16. Pascal76

    NGC4889

    Beau champ bien rempli! 👍👍🙂
  17. sebseacteam

    NGC4889

    Y a du monde dans le coin, impressionnant.
  18. Bonjour je vous faire part de l'organisation d'un stage astro, plutôt destiné aux débutants, qui se déroulera dans le massif du Queyras à 1850m d'altitude, du 6 au 13 juillet. Association à but non lucratif, tarif très attractif. 12 places; encadrement par 2 animateurs; Plusieurs lunettes et télescopes utilisables sur place, de 80 à 500mm! Et possibilité d'emmener son instrument. Journées libres pour découvrir cette superbe région puis ateliers / conférences en fin d'après-midi et observations / imagerie la nuit. Plus d'infos en me contactant par MP ou sur le site du chalet: https://www.chaletroux.org/sejours/stages/ Cordialement HP
  19. T'as raison, cette nuit ça a marché bcp mieux, forcément ! Je suis toujours sur M94. Je recommence ce soir : je veux attraper le 2eme anneau et en ville c'est pas facile.
  20. shibon

    m106

    C'est très beau !
  21. Oui le verre est considéré comme un liquide, avec une énorme viscosité forcément. " Au sens chimique et physique, le verre n'est pas un solide, mais plutôt un liquide solidifié. Les molécules sont totalement désordonnées et ne forment pas de réseau cristallin. Cet état est souvent cité comme étant la raison de la transparence de ce matériau. " Donc soumis à déformation. On connaît bien la déformation du primaire avec les fixations trop serrées (étoiles en forme de triangle). Mais l'histoire du secondaire contraint par sa colle, c'est pas commun en effet. Je comprends pourquoi tu as mis autant de temps pour le diagnostique. Et ta merguez sera encore mieux avec ces modifications à venir 😋
  22. merci @julienESP bonne remarque. la V2 avec les poussières et les couleurs. c'est vrai que c'était dommage de raté ça si prêt du but.
  23. Pour l'aspect documentaire et pour ceux pour qui la question du diagnostic de l'astigmatisme intéresseraient, voici l'origine du problème que j'ai cherché pendant deux ans : Le secondaire était collé sur quasiment toute la surface du support (surligné en rouge c'est la colle ...) En gros ça faisait des tensions sur le secondaire, il était "pincé dans sa colle" Comme entre temps j'avais aussi remonté le secondaire pour rapprocher mon train optique du tube, j'ai acheté un nouveau secondaire plus petit , et l'ai donc recollé + marqué "à la Reto" ( merci encore @den) + Vérification du centrage et marquage avec ma méthode "platine 33T" parce qu'il faut bien s'amuser un peu dans la vie. Franchement je suis sur les fesses que les tolérances soient aussi fines en optique ... (le savoir est une chose, le constater dans son atelier en est une autre) Le fait qu'une tension sur la colle puis déformer le secondaire me laisse pantois. Il va falloir que je refasse la manip avec un miroir plus qualitatif, celui ci c'est un TS de base, je vais probablement en commander un chez ZEN car mon primaire qui a été bichonné par des mains expertes mérite un peu mieux. Gilles. J'ajoute le symptôme de ce que je me trimbalais : Ici l'aigrette horizontale était à peu près OK, la verticale était aux fraises. En faisant la map sur la verticale, c'est l'horizontale qui partait en sucette.
  24. C'est vrai que WAZE ... c'est plus ce que c'était il y a quelques années !
  25. Bonjour, 20x80, 25x100... J'ai essayé (et adoré) les deux. Un bon trépied type trépied vidéo sera nécessaire dans les deux cas, à défaut d'une monture "spéciale jumelles". Bon retour sous les cieux nocturnes
  26. Forest69

    NGC4889

    Chevelure de Bérénice Le groupe de NGC 4889 comprend au moins 18 galaxies situées dans la constellation de la Chevelure de Bérénice. Egalement connue comme Caldwell 35, c'est une galaxie elliptique super-géante, la plus brillante de l'amas de la Chevelure de Bérénice. Elle a une magnitude de + 11,4. Elle est située près de l'étoile de classe G, β Comae Berenices, la galaxie NGC 4874 et le pôle Nord galactique. Elle se situe à environ 308 millions d'années-lumière. Elle possède un trou noir supermassif en son centre qui est l'un des plus lourd connus avec 21 milliards de masse solaire. : Filtre Triband RVB Ultra Antlia : 60x300" : ZWO Asiair Plus : Askar FRA600 f/3.9 : ZWO ASI6200Mc Pro à -15° : iOptron GEM45 : ZWO ASI290MM Mini & guide scope Omegon 50mm : Siril - PixInsight - Photoshop : Env Lyon : Bortle 5.9 : 08/05/2024 La version full https://flic.kr/p/2pQ6AKP
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