Moot

S'il y a la monture, il doit l'être en ascension droite. Mais en 220V (voire en 110) synchrone, pas de GoTo.

Humour noir...

Je l'ai dit autre part, mais je suis vert de jalousie : je n'ai pas reçu d'offre pour une Apeul ouachte.

Je crois avoir compris : la pièce que l'on voit en haut est juste une sorte de "poignée" solidaire du taraud. Il est évidemment indispensable que tout soit concentrique, le trou dans lequel le taraud est inséré et collé pour le rendre solidaire de sa "poignée", et le trou de l'autre côté dans lequel s'insère le "piston". Ledit "piston" est juste enfilé dans ce trou avec un jeu faible pour assurer la coaxialité et suffisant pour assurer sa libre rotation et son coulissement. Le but est juste de maintenir le taraud bien dans l'axe de la broche (et du pré-perçage) tout en autorisant sa manœuvre (en le tournant grâce à la molette de sa "poignée" et en lui permettant d'avancer tout en créant le filetage). C'est vrai qu'il est très facile de casser le taraud. Et retirer un taraud cassé et aussi petit, c'est peine perdue à part avec des ruses de sioux. J'ai pu une fois le faire pour du 4mm : j'ai versé dessus, au goute-à-goutte, un mélange corrosif (acide chlorhydrique + eau oxygénée concentrée) qui ne rongeait presque pas l'alliage d'aluminium dans lequel le trou avait été fait (phénomène de passivation, c'est à dire de formation d'une couche d'oxyde d'aluminium qui protège ce métal, le phénomène ne se produisant pas sur l'alliage du taraud) mais qui a "bouffé" le taraud. Autrement, il y a l'électro-érosion...

Et merdre, crotte de bique, je n'ai rien reçu ! Cela semble en effet assez vraisemblable.

Oui, c'est ça. En fait, le chemin optique dans un verre d'épaisseur e et d'indice n est égal à e/n, or pour les substrats habituels, l'indice est proche de 1,5, ce qui fait donc 2e/3 et donc e/3 en moins, qu'il faut compenser par e/3 en plus ailleurs.

Ce n'est pas une bonne solution du point de vue mécanique. Le mieux, c'est un moteur pas-à-pas avec l'électronique (plutôt basique) qui va bien. Pareil pour les rattrapages en déclinaison. Mais c'est un minimum de bricolage, peut-être existe-t-il des solutions quasi-prêtes à l'emploi. L'idée, c'est d'avoir pour l'AD trois fréquences, 0,5X, 1X et 1,5X la fréquence nécessaire pour la rotation à la vitesse sidérale (autrement dit, 0,5 tr/min, 1 tr/min et 1,5 tr/min) et pour les rattrapages en déclinaison, une vitesse de rotation similaire (il faut calculer la vitesse de rotation du moteur) mais deux sens de rotation. Elle n'est pas sans fin, justement puisqu'il faut la rappeler en position de départ de temps en temps, quand elle arrive en bout de course ! Une vis sans fin, ça engrène sur une roue dentée.

Ce n'est absolument pas irréversible, en revanche, le remontage n'est pas plus court que le démontage.

C'est marrant, l'hiver dernier, on avait un autre triangle dans le coin avec Castor, Pollux et Mars.

C'est l'été, et certains se lâchent complètement : Redevenons "sérieux" : Je m'étonne que celle-ci n'ait pas encore été postée : Spéciale dédicace à @Modération : Devinez ce que c'est :

Je l'ai fait il y a deux mois, et je n'ai pas tout à fait suivi le tuto donné ci-dessus, car il vaut mieux démonter l'autre bras, celui où il n'y a pas de moteur. En résumé (de mémoire) : - le bras à démonter est celui où il y a la poignée de transport (qu'il faut retirer en premier) ; - il faut démonter le capot en plastique en dévissant les vis qui sont du côté intérieur de la fourche car il y a des vis de fixation dedans ; - il faut détacher le bras en question (grosses vis à la base) et le retirer en tirant bien droit à cause des têtons qui le tiennent en place (éviter de les tordre !).

Je dirai même plus : pour ne pas se brûler à cause du soleil, l'atterrissage sera effectué nuitamment.

Et ça n'a pas arrangé le tarif, vu que le Chinois prend son bénéfice et le port est... astronomique. Bref : aussi cher que l'objectif ! C'est beaucoup pour juste contrôler le diaphragme. J'ai acheté le truc (en M54) au mauvais moment, quand le dollar était nettement plus haut .

Voilà qui m'en rappelle une autre où on le fait dire que l'on ne juge pas un poisson sur ses capacités à grimper aux arbres. Une énième variante du "tout le monde il est intelligent" et que l'expérience de la vie contredit régulièrement .

Commençons par des délires cartographiques : Projection de Mercator en plaçant un pôle dans l'océan indien, non loin de Madagascar Une idée de ce qu'est l'autosimilarité : Ici, les frontières ont été placées de telle sorte que dans le territoire de chaque pays, la capitale soit plus proche que celle des pays voisins : Les provinces canadiennes dont le nom peut être le prénom de votre enfant (oui - non mais ça va pas la tête ? peut-être - peut-être si vous êtes français - seulement pour des jumeaux) Le nom du pays peut-il être écrit avec des symboles de la classification périodique des éléments ? (oui - en partie - non) Poursuivons avec des délires tout court : Un peu en retard, mais bon... Rémy Cattelain, toujours aussi délirant (mais dommage, les 3/4 de ce qu'il fait sont des dessins politiques) : Je vous laisse déterminer les pourcentages sur ce paysage côtier et estival :

La marque est réputée pour la variabilité des exemplaires et le fait que certains sont d'une qualité proche des ténors du secteur (Canikon, Zeiss...) pour un prix imbattable.

Comment ça ? C'est une question de hauteur ou de superficie ?

Merci, mais une vue "de face" serait plus parlante. Et une vue des différentes pièces qui composent cette partie avant en laiton. Attention aussi au "verre antireflet" : est-il de qualité optique suffisante, avec les deux faces polies et le tout vérifié ?

Spéciale dédicace à @T350 : Nombre de groupes de métal par million d'habitants

Bonjour, Quelques photos de l'extrémité de la lunette telle qu'elle est ne seraient pas superflues. Toutes les lunettes ont ce que l'on appelle un barillet, mais il va de soi qu'il ne ressemble pas à celui d'un télescope ! Et il arrive qu'il ne soit pas réglable.

Non, ça n'existe pas : la lumière de la lune couvre tout le spectre, comme celle du soleil et des étoiles en général.

On dirait l'image de première lumière d'un vrai observatoire professionnel . Hubble n'a pas fait mieux !

Et j'ai omis un détail : pour mesurer un solide avec un réfractomètre, il faut un "liquide de contact" dont l'indice de réfraction est plus élevé que celui du solide que l'on mesure. Sur les réfractomètres de type Abbe, on utilise le bromonaphtalène qui a un indice de 1,65 et une odeur entêtante en plus d'être assez tenace. Pour les réfractomètres de gemmologue, c'est habituellement une solution de soufre dans l'iodure de méthylène (CH2I2), dont l'indice est de 1,79. Il est peu fréquent de trouver ces produits en même temps que l'appareil quand il est vendu sur un site comme eBay ou Leboncoin par un particulier qui l'a récupéré mais n'est pas fin connaisseur. Avec un très vieux modèle de gemmologue, de marque Zeiss (un objet rare et joli à regarder), on m'a fourni un autre produit encore plus redoutable, à savoir de l'iodomercurate de baryum, un véritable poison !

Avec des morceaux pas trop petits de la lentille cassée, vu qu'elle est foutue, on peut aplanir et polir l'un d'eux. Quant à un réfractomètre, ce n'est pas inaccessible ( j'en ai plusieurs trouvés sur la Baie ou le Coin-coin à pas bien cher), mais c'est un instrument imparfait pour obtenir la dépendance de l'indice avec la longueur d'onde (en fait, ça compare l'indice de l'échantillon avec celui d'un autre verre dont les caractéristiques ne sont pas données). On peut accéder à l'indice "moyen" (à 589 nm généralement) avec 4 chiffres après la virgule et plus difficilement à la "constringence" (inverse de la dispersion), en utilisant les abaques du fabricant. Ces deux informations peuvent suffire pour un doublet La méthode classique pour avoir les indices pour plusieurs longueurs d'onde consiste à réaliser un prisme dans le verre (là encore, ce n'est pas bien sorcier d'en tailler un avec un bout du verre) et mesurer la réfraction (l'angle de déviation minimale par exemple) pour des longueurs d'onde connues (raies d'une lampe spectrale) sur un goniomètre. L'angle du prisme intervient aussi, mais il est facile à mesurer avec le même goniomètre. La plupart des lycées ont un tel goniomètre dans leurs labos. En effet, ce n'est pas évident, cela dit, si c'est la convergente en verre "crown", c'est sans doute moins difficile que pour la divergente en "flint". C'est certainement plus simple en effet, et avec un peu de chance, il peut exister quelque chose de proche du genre 65 mm et 1100 mm de focale.

Ce que l'on gagne à vivre dans les Balkans Gens souriants Bons salaires Langues faciles à apprendre Là, on lit et on admire : Là, on admire aussi , à savoir cette carte de géographie : Ce qu'ignorent la plupart des ornithologues, c'est que le dodo était en fait une espèce très en avance, vivant seule et en paix, jusqu'à ce qu'au XVIIè siècle, l'homme, les chiens et les rats l'anéantissent. Comme de coutume... Eau déshydratée. Issue de glaces polaires et préservée dans sa pureté pendant des millions d'années grâce à leur profondeur. Vider toute la boîte dans un gallon d'eau, touiller jusqu'à dissolution, rafraîchir et servir. Photo d'époque sans doute... Merci à l'IA pour l'avoir dégotée ! Seul un matheux comprendra : "Je l'ai fait cent fois, maintenant, ils en ont marre. Personne ne croira que vous êtes dans le village avant qu'il soit trop tard" Le gars qui criait "au loup" savait exactement ce qu'il faisait. Et voici un graphique qui montre ce vous verriez si vous regardiez une chaîne de montagnes à-travers une raquette de tennis. Quelle est la ville dont vous avez le plus honte ? Pour les pays en gris foncé, soit il n'y a pas de données, soit les gens ont honte du pays lui-même.