Moot

Je vois d'ici le tableau...

La première est réservée aux initiés : Le Scrabble® allemand (pour ceux qui ont fait allemand au lycée) : N.B. : j'ai déjà eu un Scrabble allemand (enfin, suisse-allemand pour être précis) entre les mains, eh bien c'est de l'arnaque, le K et le W valent que dalle. Les deux suivantes, je vous laisse trouver ce que c'est : Les jeux de mots laids de Penseur étoile : Certains ont un humour... disons... spécial : Souvenez-vous du temps où nous étions LA console de jeux qu'il fallait absolument avoir. Yep. Je n'ai pas de mémoire. (oui, réservé aux initiés) Bienvenue en enfer, ton nom s'il te plaît ? Joe. Eh bien, Joe, il y a sept niveaux de l'enfer. Vu que ton seul péché a été de tricher à une épreuve de sciences en CE2... cela veut dire que tu iras au premier niveau. Eh bien, je m'attendais à pire. C'est le niveau le plus chaud, parce que la chaleur monte. Tu le saurais si tu avais révisé pour ton épreuve, Joe. Intraduisible Pour ouvrir le parachute, scanner le QR-code, télécharger l'application, créer un compte, choisir un nom d'utilisateur et un mot de passe, se connecter alors sur... Après vingt ans de tentatives répétées et quelques pièces perdues dans l'intervalle, j'ai terminé ce puzzle en relief de Manhattan. J'ai une mauvaise nouvelle pour vous. Il fait très chaud dans ce bureau, quelqu'un a une idée ? Climatisation ? Ventilateurs ? [on ne traduit pas] Personne en vue. Le British Museum. (comprend qui peut) Saxophone défectueux Décrispe tes mâchoires, abandonne ta mine renfrognée, détends tes épaules. Relâche la tension de ton corps. S'il te plaît. Quand un Américain visite l'Europe (à vous de trouver en quoi et pourquoi ça cloche) Différences linguistiques entre le Royaume-uni et les États-Unis (frites avion métro prison)

J'ai l'impression qu'il n'y a pas de doute, ils ont fait une connerie (laquelle ?).

J'en avais "oublié" une :

Encore du ciel profond, les trois dernières nuits, je me suis lancé dans M100, M51 et je suis revenu à M53, cette fois avec le C9 et ses 1175 mm de focale (réducteur X 0,5). J'ai des progrès à faire avec le suivi, la faute sans doute aux câbles que je laisse connement pendouiller, et il y en a : mise au point électrique, caméras (prise de vue et guidage que je ne maîtrise pas encore), monture du télescope, etc. Bref, beaucoup de poses jetées pour cause d'étoiles franchement allongées, voire dédoublées. La teuhon de ouf !

Édition spéciale actualité météorologique : Une pensée pour ceux qui ont passé le Bac et le Brevet dernièrement : Alerte à la vague de chaleur extrême sur le Royaume-Uni cette semaine :

Tiens, j'observe qu'il y a de l'astronomique jusque dans les tiroirs puisqu'ils sont assemblés par... queue d'aronde !

La lune de la canicule (à minuit, il fait encore plus de 30°C à Paris), pourtant, j'ai moins de turbulence que hier et avant-hier : C9,25 + réducteur OPTEC 0,5X (donc f/5) sur iOptron GEM45, caméra ASI533MM avec filtre UV/IR-cut, 375 poses sur 1500 de 8ms chacune, empilement Autostakkert! 4, rehaussement des détails Registax 6.

Démonter et nettoyer. Il n'y a pas de grand risque à le faire, tout juste peux-tu par précaution repérer, si ce n'est pas déjà fait, la position relative des deux verres par une marque sur leurs tranches afin de les remonter avec le même azimut.

Ce n'est pas pour être rabat-joie, mais ça ressemble à du mycélium, autrement dit des champignons. Il serait bon de traiter le problème sans trop tarder.

Il n'y a pas théoriquement de valeur maximale, tout au juste peut-on dire que ça tourne autour de 2,5 - 3 (un calcul doit être possible) pour une étoile "froide" et que pour dépasser cette valeur, il faut la présence d'une atmosphère stellaire qui absorbe dans les courtes longueurs d'onde. C'est le cas de nos étoiles carbonées, où le responsable de l'absorption est la poussière émise par l'étoile, qui contient une sorte de suie. Ainsi, elles sont très rouges à cause de cette absorption et ne sont pas les plus froides de toutes les étoiles. Il est par ailleurs connu que les poussières interstellaires rougissent la lumière des étoiles situées derrière elles (leurs nuages sont vus comme des zones sombres dans les galaxies dont la nôtre - "Sac à charbon", etc. mais elles sont en fait omniprésentes quoique plus ou moins concentrées) et que cela doit être pris en compte quand on a besoin de connaître la brillance intrinsèque des astres : ainsi, une correction doit être effectuée quand on mesure les distances à laide de "chandelles standard" (céphéides, SNIa, etc.). En lisant la série "Annals of the deep sky", on constate que la plupart des mesures astrophysiques sont entachées d'incertitudes notables. Ainsi, le type spectral, la magnitude, etc. ne sont pas irrévocablement établis et diffèrent selon les mesures effectuées. On se doute que l'astrophysique est évolutive, mais il faut savoir que cela ne se cantonne pas à la cosmologie, les objets plus "modestes" comme les étoiles voient leurs données révisées de temps à autre.

Je l'ai déjà mise, mais ça fait longtemps et dehors, on va arroser ça : Légende : l'invasion de Rome par les Goths C'est vraiment bidon : Menues erreurs de conception : Rentrée scolaire

Il va falloir repeindre le chat, il a déteint au soleil (ou au lavage, j'hésite entre les deux).

On est de plus en plus audacieux, la nuit dernière, je suis allé dans des zones difficiles, là où le filtre magique est inopérant : L'amas de la Vierge : Et M53/NGC5053 (son fantôme) : 1/2 heure de pose seulement chacune (15 x 2 min) entre 0h30 et 1h30, ASI 533 mono avec Nikkor 300mm ED f/4,5 (mon optique fétiche de collection).

Les observatoires disposaient d'une horloge sidérale (affichant le temps sidéral) et on appliquait l'équation : angle horaire = temps sidéral - ascension droite. Pour ceux qui n'avaient pas d'horloge sidérale, il fallait la calculer à-partir de la date, de l'heure locale et de la longitude (la formule est simple : c'est une fonction affine), les ouvrages d'éphémérides donnant le temps sidéral à minuit au méridien de Greenwich pour chaque date (et même chaque heure) de l'année. Ce n'est pas pour rien que l'ascension droite est donnée en heures minutes et secondes.

C'est un profil "P Cygni" (raie en absorption et en émission, à des longueurs différentes à cause de l'effet Doppler-Fizeau), indicateur d'un vent stellaire intense.

Les drones "amateur" sont des hélicoptères.

Je ne veux pas être médisant, mais à mon avis, c'est encore plus parlant en japonais.

Bulles de rechange étalonnées pour niveau à bulles Nous ne vous remboursons pas si un goéland s'empare de votre nourriture (même chose ou presque en-dessous) J'ai bien vu ça à Venise (et vu aussi plusieurs fois d'autres touristes se faire avoir) : Spéciale dédicace à nos amis métalleux, tout particulièrement @T350 : Corrélation n'est pas causalité : Sel et poivre : suggestion de présentation.

Pour ceux qui connaissent le Guide de l'astronome amateur de Godillon, on y décrit la construction d'une chambre photographique à grand champ et à grande luminosité à-partir d'un condenseur d'agrandisseur, constitué de deux lentilles plan-convexes avec leurs faces convexes en vis-à-vis. La qualité optique est probablement pitoyable, mais il recommandait ça pour étudier l'extension de la lumière zodiacale.

Il y a bien des marbrures, mais c'est sans doute le prix à payer pour voir distinctement la queue de ce têtard.

J'y ai fait trois mois de stage il y a 35 ans, sous la direction de Jean Gay (récemment disparu). Pendant les quinze premiers jours, j'étais logé dans le bâtiment de l'astrographe, et une nuit, j'ai rendu visite à Paul Couteau à la grande lunette qu'il utilisait pour mesurer les étoiles doubles. Je n'ai finalement pas embrassé une carrière d'astronome, j'ai préféré rester simple "amateur".

Humour algérien : Humour suisse :

C'est toujours mieux que faire le zouave ... Pour le P.O. : placé de cette façon dans le renfoncement (qui a l'air très costaud, ce qui est bien), est-il commode à manipuler ? Ça me donne l'impression qu'il y a peu de place pour les doigts qui devront tourner les molettes.

Il n'y a pas particulièrement besoin d'un filtre pour photographier la lune, sauf pour la trichromie, dans le but de réaliser des cartes géologiques ou "minéralogiques" en sursaturant les couleurs. En visuel, c'est autre chose car elle est éblouissante (mais c'est sans danger), on préconisait un filtre vert ou neutre, le premier réduisant les aberrations chromatiques sur une lunette mais on peut ne pas aimer voir notre satellite paré de cette couleur, d'autant moins qu'il est en fait dépourvu de toute végétation.