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sixela

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Tout ce qui a été posté par sixela

  1. Le miroir "d'usine" est très utilisable, mais c'est plutôt un des meilleurs que j'ai vus, donc t'avais déjà du bol. Le problème des miroirs de masse, c'est qu'on joue à la roulette chinoise et que parfois on perd (avec beaucoup plus d'astigmatisme --parfois de façon épouvantable si la galette a trop de tensions--, un bosse qui s'étend bien plus loin, un état de surface bien pire, etc.) Donc j'hésiterais à dire que les miroirs d'usine ne sont pas mauvais. Certains, en effet, dont celui-ci. Mais tu passes chez Skyvision ou Mirro-sphère et alors tu as la certitude d'avoir un bon miroir.
  2. La forme est restée plus ou moins la même (hormis la bosse centrale, mais qui était cachée par le secondaire), avec un leger astigmatisme résiduel probablement dû aux tension résiduelles dans le verre, mais dans le deux cas c'est un bon miroir (question forme), un poil meilleur maintenant. Par contre l'état de surface est bien meilleur, avec beaucoup moins de diffusion pour les sources très lumineuses (si par exemple tu as une scène avec des détails de faible luminosité près d'une étoile brillante). Tu as aussi un meilleur bord (et un miroir plus grand, avec un chanfrein moins gros). Bien que l'état de surface n'était déjà pas trop mal pour un miroir commercial. Les GSOs sont bien pires que ça...
  3. Au sujet du Riccardi/TS: Moins qu'avec bien d'autres Wynne, mais encore assez franc, et demande donc un secondaire assez costaud. C'est le prix à payer pour une formule à trois lentilles...et le porte-faux est assez conséquent et donc il faut une mécanique qui tienne la route (les Wynne ne supportent pas très bien le tilt). Pour être franc: j'ai un 400mm f/4,5 et je l'ai utilisé avec des correcteurs/réducteurs (Nexus et l'équivalent 2" du Sharpstar 0,85x) et avec un grand secondaire et un PO 3" je prendrais un Sharpstar et éventuellement un Nexus pour les objets cadrés au centre avec un Nexus (et en effet une perte d'illumination dans les coins pour le Nexus). Je ne sais pas si une image sur un Nexus découpée pour enlever les bords (on peut se le permettre comme le champ est plus grand) serait moins bonne, à cette longueur focale tu suréchantillone souvent méchamment pour un seeing "normal" si tu ne réduis pas franchement (c'est à dire en réduisant moins tu as une image moins lumineuse et tu ne gagnes pas en détails). Mais bon, faudrait faire tous les calculs au sujet de l'échantillonage vs. le seeing attendu. J'ai des copains qui ont des Wynne mais il faut souvent entièrement redessiner le télescope (en sortant franchement le plan focal et en mettant donc un secondaire hénaurme, et en renforçant les aspects mécaniques pour assurer une collimation ultra-stable même avec le plan focal sorti franchement et la caméra en porte-faux).
  4. Tu te focalises encore toujours un peu trop sur la pleine illumination. Si tu as un réducteur, oui, tu as plus de vignettage, mais au centre tu as un rapport f/D plus court et donc un meilleur rapport signal/bruit pour un temps d'exposition donné. Le vignettage dans les coins se corrige avec les flats, et normalement on met le sujet de la photo au centre, donc avoir plus de signal/bruit là est souvent important (si on fait des photos d'objets qui s’étendent jusqu'au coin c'est différent, et ce n'est pas un hasard que souvent on préfère les lunettes avec un réducteur pour les très grands champs). [Je noterais que la luminosité surfacique, c'est important uniquement pour les objets étendus. Si ton truc c'est les amas et les champs d'étoiles, cela n'a pas la même importance]. Un Nexus 0,75x te passe de f/4,5 à f/3,4 au centre. Oui, le cercle d'image pleinement illuminé n'est "que" de 28 mm au niveau du capteur (37mm au niveau du plan focal original) parce que c'est un correcteur 2". Donc les coins sont plus sombres (et plus sombres qu'avec un Paracorr ou un TS Wynne 3", donc la "réduction" d'un Nexus devient en effet illusoire dans les coins), mais on gagne au milieu et même sur une partie du bord. Donc il n'y a pas "d'idéal", c'est un compromis de toute façon, qui dépend de l'importance qu'on prête au bord par rapport au centre. Même chose quand on grossit le secondaire: on gagne au bord mais on perd de la surface utile sur le primaire au centre du champ, et on perd aussi (un peu) en contraste sur les détails centraux à bas contraste. De nouveau, c'est un compromis, et il ne faut pas chercher la chimère "idéale" qui est meilleure partout. Il n'y a malheureusement pas de TS Maxfield en 3" ou de Nexus en 3". Il y a un Wynne TS en 3", mais c'est en partie parce que le dessin d'un Wynne met une lentille très loin du plan focal ce qui force plus rapidement de se mettre en 3" (un Wynne en 2" vignette franchement plus qu'un TS Maxfield et bien sûr qu'un Paracorr). Il y a le SharpStar 0,85x 3", dont l'illumination est comme ceci: https://www.highpointscientific.com/media/catalog/product/cache/a0ac1d05f12642303be8079025df0d4b/s/h/sharpstar-30085ntrd-coma-corrector-relative-illumination.jpg TS vend le même: https://www.teleskop-express.de/en/astrophotography-and-photography-15/imaging-correctors-for-telescopes-138/ts-optics-newton-coma-corrector-0-85x-reducer-big-sensors-3-connection-5092 Tu peux pleurer que 87% à 21,5 mm de l'axe ce n'est pas 100%, mais la luminosité surfacique captée à 87% à f/3,8, c'est encore toujours plus que la lumière captée à 100% à f/5.175 avec un Paracorr 3". Il y une différence de luminosité surfacique au centre d'un facteur 1,83x ! Or 87% de 1,83 c'est encore toujours 1,6. Le Paracorr utilise les 3" pour te donner un cercle d'image pleinement illuminé encore plus grand (52 mm!) mais c'est en augmentant le rapport f/D et donc en baissant la luminosité surfacique captée au centre. Mordicus ne pas vouloir faire de flats pour les coins ne paye donc pas vraiment si le signal/bruit dans toute l'image est important. Parce qu'en illuminant pleinement les coins, on illumine aussi pleinement pas mal de champ qui ne se retrouve pas sur le capteur, au dépit de la luminosité surfacique du champ qui lui est sur le capteur.
  5. Non, tu continues à faire l'ajustement à l'envers. Si ton capteur a une diagonale de 43 mm il utilise (par définition) un champ d'un diamètre de 43 mm au niveau du capteur (et nouveau plan focal qui est au niveau du capteur) et 38 mm (43 mm / 1.15) au niveau du plan focal original du télescope. Ce n'est pourtant pas compliqué à comprendre: si tu barlowte un capteur il "grossit plus" et fait une image d'un champ plus petit. Donc il te faut un champ pleinement illuminé moins grand sur le télescope. Par contre, avec un correcteur qui réduit il te faut un champ pleinement illuminé plus grand au niveau du télescope que du capteur.
  6. Au niveau de la lentille il n’y rien qui puisse être nommé un champ. Pour savoir s’il y a vignettage, tu prends diamètre du champ voulu sans vignettage du télescope seul et tu rajoutes la distance entre le plan focal original du télescope et la lentille d’entrée divisée par le rapport f/D du télescope°. Cela te donne le diamètre minimal de la lentille d’entrée. Bien sûr si on veut un champ proche de 2" c’est ce qui nécessite de passer en 2,5" ou 3". Sur un f/4,5 les 85 mm de distance pour le Paracorr se traduisent en 19mm. Donc pour le champ du télescope qui en aval du correcteur correspond à un capteur 24*36 (43/1,15 est environ 38)… 38+19 mm = 57 mm, un peu dur de faire passer dans un tube 2", on est en pratique limité à 44-46 mm. attention, pour un correcteur qui réduit il faut un CPL plus large au niveau du télescope qu’au niveau du capteur! — °(en théorie il faut le rapport d’ouverture du cône enveloppant tous les faisceaux mais la différence est ridiculement faible et le rapport f/D te donne une dimension conservatrice).
  7. Le facteur de barlow gonfle l’illumination du champ comme le capteur utilise un champ plus petit du télescope (mesuré sur le plan focal sans Paracorr). Si ton champ est pleinement illuminé sur 38 mm et tu tapes un capteur 24x36 dans un Paracorr le seul vignettage est dû au Paracorr (et avec un Paracorr 3" il n’y en a pas pour une diagonale de 52 mm côté capteur!) Commander un miroir plus grand serait de la folie furieuse. Il ne faut pas faire de 100% dans les coins du capteur une obsession qui importe plus que tout le reste, et dans ce cas comme le Paracorr barlowte le champ ce n’est pas nécessaire même si on a cette obsession. Le monstre secondaire c’est plutôt quand on veut un astrographe pur sang pour capteur 24x36 avec un Wynne 3" (qui demande un plan focal franchement plus sorti). Le CPL du plan focal original n’est d’ailleurs pas « en entrée du Paracorr ». Le Paracorr se trouve en amont du plan focal original, et fait un nouveau plan focal déplacé vers l’extérieur. Le plan focal original n’existe plus.
  8. Par définition si F est la focale de l’instrument, a est l’angle du faisceau et d la distance de l’image vers le point focal sur l’axe sin(a) = d/F. Donc d = F*sin(a). Pour a=0,4° et F = 457*4,5 d =2056 mm, d = 14,… mm. Si tu veux maximaliser la taille du champ pleinement illuminé avec un secondaire donné et une distance donnée entre l’intérieur de la cage et du plan focal, tu fais vignetter le secondaire d’un côté de l’image du primaire en même temps que l’avant du tube de l’autre (et pour réduire la distance du secondaire vers le plan focal, pour réduire le vignettage par le secondaire et éviter les effets de diffraction par intrusion du Paracorr dans le faisceau dans le champ pleinement illuminé, tu mets le côté télescope du Paracorr juste en dehors de l’intérieur de la cage!) Mais le résultat n’est pas exactement le même pour optimaliser l'illumination plus loin que ça (la perte par les deux vignettages n’évoluant pas de la même manière), bien que c’est vraiment couper les cheveux en quatre. Attention, si on étend la cage avec un pare-lumière pour éviter les lumières parasites, l’avant vignette plus tôt…mais de nouveau en tenir compte c’est souvent se faire du mouron pour pas grand chose (alors que la lumière parasite, elle, elle tue!) Si tu as un capteur à diagonale de X mm son champ en amont de la Paracorr a une diagonale de X/1,15. Le désavantage par rapport à d’autres correcteur avec facteur réduit c’est moins de champ et une valeur signal/bruit réduite par le rapport f/D effectif plus long. L’avantage c’est un échelle d’image montrant un poil mieux les détails (si le seeing le permet, voir l’échantillonnage du capteur qui est également modifié).
  9. 485 - 457 = 28. 14 mm d’un côté pour une longueur (à la louche) de 485 * 4.5 - 485/2 mm, ça te donne atan (14/1950) = 0,4° de champ non vignetté par l’avant d’un côté (et autant de l’autre). Je ne m’en ferais pas trop. Cela correspond à 27-28mm de champ sur le plan focal, mais en effet si tu veux illuminer à 100% un champ de 43mm, il te faut une cage plus grande et un secondaire plus grand. La question est « pourquoi »? Rien ne dit que tu dois avoir un champ illuminé à 100% jusque dans les coins d’un capteur ou au bord du plus long oculaire…tu fais des flats et puis c’est tout, et la différence pour ce qui est du rapport signal/bruit dans les coins ce sont souvent des cacahuètes surtout en restant au dessus de 75% ou 80% d’illumination. Surtout qu’à avec un secondaire plus grand tu perds du signal même au centre.
  10. Il y a pourtant tout dans le sujet: un tube peut se refroidir en dessous de la température ambiante par radiation vers le ciel, et peut alors causer des courants d’air plus froid dans le tube.
  11. sixela

    Un coucou de la Belgique

    Salut Olivier 😬(si tu ne devines pas qui je suis lis mon pseudo à l’envers).
  12. Cela ne vaut que pour les anciens Elbit, et pas pour par exemple les Gen 3 "unfilmed" de L3/Harris (si on a un objectif qui laisse passer assez de bleu), comme celui utilisé dans le premier message. Evidemment pour les photos avec filtre H-alpha (comme dans le premier message) on s'en tape pas mal. De toute façon un gen 3 "normal" n'est pas vraiment exportable des États-Unis (par contre il n'y a pas de restriction dans l'union européenne); en Europe il y a Harder et ils sont également sensibles dans le bleu (mais un PVS-14 à Harder est aussi cher qu'un OVNI-M plus flexible à l'utilisation). À part Harder il y a les Gen 2+ Photonis.
  13. Si le faisceau "en avant" est au bord de l'oeillet le faisceau de retour est une mauvaise référence, utilise alors un Cheshire ou oeilleton pour régler le primaire.
  14. Idéalement tu veux que la pointe des vis d'inclinaison s'approche de celle de celles-ci: Des pointes en cone marchent aussi mais uniquement avec une rondelle dure entre le porte-secondaire et la vis.
  15. Le fait qu'une des vis est plus courte semble indiquer que tu as introduit un erreur de rotation (autour de la vis centrale) et que tu as compensé ça avec une autre inclinaison. Cela donne une bonne collimation axiale mais décale le secondaire vers le bas (et le décentre donc souvent par rapport au porte-oculaire). Si tu veux corriger cela (ce n'est pas si important), dévisse la vis d'inclinaison au dessus et visse celle en dessous pour leur donner plus ou moins la même longueur, en faisant gaffe à la rotation du porte-secondaire: si le secondaire ne tourne plus selon l'axe de la vis centrale, le point d'un collimateur laser sur le primaire doit se trouver sur une ligne qui va du côté avec le PO vers le côté opposé, et vu de l'avant l'axe majeur du secondaire pointe vers le PO. On règle alors le point du laser sur cette ligne avec le troisième vis (tout juste visible sur la photo derrière la centrale). Pour éviter les trous dans le porte-secondaire, on peut insérer une rondelle (ce qui permet également de changer la rotation quand le secondaire tient tout juste déjà). Et tant qu'on y est, limer le bout des vis d'inclinaison en pointe ou demi-sphère, ce que Skywatcher ne fait pas non plus, ce qui change le point d'appui des vis pendant qu'on les serre ou desserre et induit des couples de rotation du porte-secondaire quand on les serre.
  16. Erreur de rotation? Cela fait déjà quelques fois qu’on en parle, mais que tu ignores ça complètement… Mais bon, une solution en compensant cela par une inclinaison différente et alors un réorientation du porte oculaire pour compenser le décalage que cette compensation cause au niveau de la face du secondaire (qui se retrouve désaxée parce que les vis d’inclinaison sont loin de la face) donne une bonne collimation, donc ne touche plus à rien.
  17. En effet. Mon moteur pas-à-pas est piloté par un Arduino, et l'Arduino ne supporte pas vraiment bien une tension supérieure à 12 V (l'électronique interne est en 5 V fait par un convertisseur de tension dissipatif, et l'Arduino chauffe trop quand le "12 V" est trop haut). [Entre parenthèses, un "buck" convertit vers une tension moins élevée, un "boost" vers une tension plus élevée, et un "buck/boost" supporte une tension en entrée qui est plus basse où plus haute.]
  18. Dont l’intérêt d’un convertisseur “Buck/boost” pour continuer à livrer 12 V en aval quand il fait très froid.
  19. La différence reste très discrète de toute façon (et de toute façon le critère n'est même pas toujours bien défini -- l'offset pour centrer le champ pleinement illuminé avec un angle d'interception de 45° est encore différent de celui pour centrer le champ illuminé à 75% etc. etc.)
  20. Une bonne approximation avec une axe mineur s pour le secondaire et une rapport f/D donné pour le télescope est: s/(f/D*4) (c'est l'offset mesuré sur une dimension selon l'axe du PO, l'offset mesuré le long de la face du secondaire est bien sur 1,4 fois plus grand). La formule est exacte pour un champ pleinement illuminé minimal. Si le champ pleinement illuminé est plus grand l'offset diminue un poil mais on parle le plus souvent d'une différence d'un petit nombre de dizaines de mm. Le Cheshire ne sert en rien à incliner le secondaire pour éviter un plan focal incliné, il sert à faire croiser l'axe optique et l'axe du PO au niveau du plan focal (à mi-chemin entre le Cheshire et la pupille de l'outil). Le 'Cheshire' sur le marché est souvent doté aussi d'un viseur réticulé qui lui sert en effet à incliner le secondaire, mais il est moins précis qu'un bon collimateur laser.
  21. Le lowrider n'était qu'un exemple pour montrer que l'angle d'interception n'a aucune importance. Ce n'est d'ailleurs pas le mien.
  22. Pas nécessairement. Normalement le miroir est collé avec un offset sur le porte-secondaire. Mais comme ce n'est pas critique, ce n'est pas toujours bien fait (et on se retrouve alors avec la situation de gauche). Mais bon: on s'en fiche un peu. Il ne FAUT PAS jouer sur le tilt du PO pour "ratrapper" ça sauf si l'erreur est tellement grosse que l'avant du tube commence à vignetter les faisceaux. On se fiche pas mal de savoir si l'angle d'interception du secondaire est exactement 45°, comme le montre ces télescopes "low-rider": Par contre ce que tu sembles oublier, c'est que la rotation du secondaire a également son effet. On peut la compenser en inclinant le secondaire différemment, mais comme les vis d'inclinaison sont assez loin de la face du secondaire cela va également déplacer le secondaire. On peut pour des légères erreurs en effet rediriger le PO, mais pour de plus grosses il faut utiliser les vis d'inclinaison pour recentrer le secondaire et puis desserrer la vis centrale, corriger la rotation (pour mettre le point laser sur la ligne "centre du primaire -> côté du tube où est le PO") et puis resserrer la vis centrale et jouer uniquement (ou presque) sur la vis d'inclinaison en ligne avec l'axe du PO. Comme je disais déjà: pour de petites erreurs il est souvent plus simple de régler l'axe du PO vers où se trouve le secondaire déjà que de vouloir déplacer mordicus le secondaire vers là où pointe actuellement l'axe du PO. Si on a une légère erreur de rotation on aura un champ pleinement illuminé légèrement elliptique mais on se fiche un peu d'un champ pleinement illluminé qui est plus court de 1% selon un axe. C'est ce qui'il y a des plus ch*ant quand on a peu d'expérience (j'ai déjà collimaté environ une centaine de Newton, je commence à avoir la main 😉 ) mais heureusement on ne le fait qu'une fois.
  23. Comme tu vois cela dépend du correcteur et malheureusement GSO ne donne pas de détails, je ne connais que les valeurs pour d'autres: le Paracorr, le ES HR CC, le Maxfield et le Nexus 0,75x (les deux derniers ne déplacent pas la plan focal original). Mais bon, dans ton cas au pire il te faudra insérer seulement partiellement le schmilllblick, et éventuellement installer un anneau de parfocalisation si tu veux savoir jusque où. Seuls les réducteurs bougent le plan focal vers le télescope (et même pas tous, le Nexus 0,75x ne le déplace pas).
  24. Le correcteur de coma déplace le plan focal et le capteur se trouve au nouveau plan focal en aval du correcteur. Normalement le constructeur affiche la distance entre le fil M48 côté oculaire/capteur et le nouveau plan focal, et il suffit donc de régler la distance entre le plan focal de l’oculaire ou le capteur d’un côté et le correcteur de l’autre et de mettre au point pour que le correcteur se trouve au bon endroit (qui est bien en amont du plan focal original). Exemple annoté du Paracorr de TeleVue: Pour le tirage du GSO, du début du fil mâle M48 côté capteur/oculaire (donc sans le porte-oculaire 2“ livré) jusqu’au (nouveau) plan focal il faut environ 75 mm (un peu plus ou moins selon la courbure de champ du télescope).
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