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22Ney44

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Tout ce qui a été posté par 22Ney44

  1. Bonsoir @francheu, Merci pour l'information, le télescope est en station, alignement viseur vérifié, collimation vérifiée, lampe rouge rechargée. Il n'y a plus qu'à attendre qu'il se réchauffe refroidisse ! C'est la première fois que je réussis sans les docs sur les genoux, il y a de l'espoir ... Belle observation à vous également, si le ciel le veut bien. Ney
  2. Bonjour @roger15, Ben flûte alors ! La voisine nous a invité hier à l'apéro juste ce jour là pour fêter ses 50 ans. Nous n'aurions pas été disponibles de toute façon. Mais merci Roger pour nous avoir avertis à temps. Ney
  3. Bonjour, Après avoir répondu à votre invitation à lire ce texte, ce que je viens de réaliser, dites moi ce qu'il a de si novateur ? Selon vous quels enseignements y trouve-t-on ? Je viens de ressortir mon livre de philo de Term C, on y trouve des lectures bien plus profondes, plus affutées aussi. Ce texte est tout au plus un guide de révisions de préparation "technique" au bac, ce que nous appelions autrefois "bachoter". On n'y apprend rien qu'on ne sache déjà pour l'avoir vécu dans la profondeur de son esprit et de sa pensée. Tout chercheur est en permanence confronté au débat (combat ?) intérieur tant, à l'instar d'un papillon de nuit, il se laisserait attiré par la lumière illusoire de la vérité absolue, celle dont il pourrait croire qu'elle établira définitivement sa notoriété. Alors qu'au contraire, mais ceci revient à enfoncer une porte ouverte, le chercheur mettra à chaque instant en doute chaque parcelle de vérité qu'il vient d'établir. N'oublions pas que pour accepter l'idée même de l'existence d'une vérité scientifique, il ne faut surtout pas omettre de lui donner une date. A l'époque de Thalès de Millet VI ième siècle avant notre ère, (fondateur de la trigonométrie toujours d'actualité dans un espace euclidien) la vérité scientifique était celle d'une Terre plate parce qu'il n'avait aucun autre moyen d'observation pertinent que l'horizon vide et plat pour démontrer autre chose. Il a fallu attendre Pythagore vers 500 avant notre ère pour avoir un doute, puis Parménide d'Élée aux alentours de 470 avant notre ère pour avoir la certitude enseignée que la Terre était sphérique. Cet exemple pour vous dire que la science établit une vérité à une date T1, que de nouveaux travaux établissent une nouvelle vérité à une date T2. La vérité de T1 devient alors propriété de l'Histoire et de l'épistémologie, juste cela. Il ne viendrait à l'esprit de personne d'affirmer que c'était une erreur ou un mensonge, du moins si elle fut établie en toute bonne foi. Ce qui serait une erreur c'est de vouloir rétablir comme vérité scientifique à un instant T3 la vérité de T1 qui ne l'était déjà plus à T2. L'exemple type est celui des platistes d'aujourd'hui. Vous nous avez laissé l'impression de transposer ce schéma aux travaux d'Albert Einstein, prédisant qu'ils ne sont pas si importants que cela, mais surtout vraisemblablement faux. Vous tentez de casser les codes du modèle standard. Certes, en citoyen libre vous en avez parfaitement le droit dans n'importe quel salon ou officine privée, juste pour se chauffer le neurone ou briller en société, c'est votre affaire. Vous en avez aussi le droit dans une sphère scientifique, mais cela requiert deux conditions au moins : 1) Avant de vous autoriser à briser ces codes, vous devez avoir fait la preuve d'une parfaite connaissance et maîtrise de ceux-ci,(ceci est aussi vrai pour les arts, la politique et autres) 2) Vous devez avoir de nouveaux codes basés sur de nouvelles connaissances scientifiquement établies pour remplacer les précédents. Là, bien évidemment, s'agissant de cosmologie, c'est du costaud comme vous l'a prédit @popov. Or il m'a semblé dans votre présentation et vos écrits qu'aucune de ces deux conditions ne sont présentes. Je veux bien encore vous accorder que ce soit un oubli de votre part que vous allez réparer. La sphère scientifique est une très très vielle demoiselle qui a su conserver ses atours, son charme et sa séduction. Mais attention ne la brusquez pas, elle a encore la main leste et le bras agile. Vous venez d'en faire la triste et amère expérience. Pour conclure je reprendrai au mot près ce que vous venez d'écrire, cette phrase vous va si bien à cette extrémité : Vous êtes un "pur scientifique" avez-vous écrit récemment, le problème est peut-être là. Relisez alors le texte que vous avez vous même choisi de nous montrer, j'y décèle un début de réponse, la philosophie peut-être ... Vous êtes dépositaire de puissants moyens de réflexion, n'hésitez pas à vous en servir ! Belle vie à vous. Ney
  4. Bonjour @Euljeje Votre expérience me rappelle la nôtre, c'était il y a ...presque 45 ans sur un toit de cité U et ça dure encore. Belle et longue vie d'astronomie à vous deux. Ney
  5. Bonsoir @LH44, Si vos calculs sont meilleurs que ceux de Serge Bertorello, je suis preneur. Où puis-je les trouver? D'avance merci. Ney
  6. Ben au revoir alors. Ah si, n'oubliez pas de laver les draps avant de partir. Quand même. Ney
  7. Bonsoir, Si votre miroir secondaire est pile au centre du tube, c'est à dire concentrique avec le miroir principal il y a deux possibilités : 1) Soit votre miroir secondaire est surdimensionné et il occulte l'ouverture de votre instrument plus que nécessaire. 2) Soit votre miroir secondaire est bien dimensionné et dans ce cas il doit se trouver légèrement en arrière de l'axe optique primaire, sachant que le porte-oculaire est devant. Ceci pour récupérer le cône de pleine lumière. Ce site : http://serge.bertorello.free.fr/calculs/posplan.html vous expliquera le phénomène et vous indiquera comment calculer la bonne position de votre miroir secondaire. Ensuite vous pourrez reprendre le processus de collimation que vous connaissez. Bon courage Ney
  8. Rassurez-vous ! Avec les trois miens j'ai eu la même attitude. Ney
  9. Bonsoir, Mon Grand-père, que je vénérerai jusqu'à la fin de l'éternité avait une petite phrase très à propos pour illustrer cette situation : "Il est trop tard de serrer les fesses quand on a déjà chié (sic) dans les draps." Ney
  10. Bonsoir, Avec ce télescope, nous entrons dans la catégorie des télescope de table, mais avec un petit diamètre, d'où la nécessité d'une courte focale pour conserver de la luminosité. Avec une courte focale les grossissements seront faibles (à cause du diamètre aussi) ce qui limitera assez vite l'intérêt pour le planétaire sans réellement ouvrir de perspectives visuelles majeures en ciel profond. Essayez autant que possible de privilégier le diamètre de l'instrument pour avoir de la lumière et multiplier ainsi les possibilités de nouveaux objets à découvrir. A 11 ans, il va falloir tenir la motivation pour que la greffe prenne ! Voici un outil facile d'emploi qui va vous donner une idée de ce qui est visible dans les différents instruments que vous aller envisager : http://astronomy.tools/calculators/field_of_view/ n'hésitez pas à tester et continuez d'interroger le forum. D'autres avis doivent venir. Ci dessous trois configurations, chaque cercle représente le champ stellaire vu dans l'oculaire : En rouge Télescope Heritage 114 P SkyWatcher avec un oculaire de base de 25 mm. La Lune est perdue au centre En jaune le SkyWatcher 150 P avec un oculaire de base de 25 mm, la Lune occupe presque tout le champ, là avec les enfants ou les adultes on netend déjà des Waououou ! En bleu le SkyWatcher 150 P avec un oculaire de base de 10 mm, ici commence la chasse aux détails et la recherche toponymique, toujours passionnante avec les enfants. Ici Jupiter avec un diamètre de 150 mm une focale de 1200 mm et un oculaire de base de 10 mm. Voilà vous pouvez continuer votre réflexion et n'hésitez pas à poser des questions. Ney
  11. Bonjour, Avant de prendre en considération l'achat d'optiques complémentaires, peut-être vaut-il mieux pour l'instant se cantonner à la définition puis l'achat de l'instrument lui-même. Sait-on jamais, en cas d'achat d'un instrument d'occasion, ce qui est une démarche normale en astronomie amateur, peut-être sera-t-il déjà équipé en options. Le choix du dobson me parait être un bon choix pour un jeune qui n'aura pas à s'investir dans la complexité d'une monture équatoriale et pourra se focaliser sur le ciel et uniquement cela dans un premier temps. C'est réellement un critère de réussite. Profitons aussi de cet instant pour attirer l'attention de l'adulte encadrant. Un télescope est bien entendu sans danger, à une exception près de très grande importance : son usage dans la journée. En effet si par accident le télescope est pointé vers le soleil avec un œil à l'oculaire, considérez dès maintenant qu'à tout le moins cet œil sera définitivement détruit. De cela tirez l'enseignement qu'un télescope ne peut pas être laissé en libre service par un jeune ado. (Ça c'est dit). Voici pour commencer les recherches deux exemples qui entrent dans votre budget : https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2041330393.htm https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2042376757.htm Il y en aura d'autres un jour près de chez vous, les offres sont régulières. Ney
  12. Bonjour, A la lecture des informations sur le site Lightwhite, il semble bien que les processus actuels de production aillent jusqu'au doucissage, puis jusqu'au polissage sphérique. La parabolisation puis l'aluminure ne viendront que plus tard, à moyen terme comme annoncé sur le site. Ney
  13. Bonsoir, Patience et bienveillance, j'admire. Ney
  14. Oui et alors ? Sauf erreur de ma part, Georges LEMAÎTRE n'a strictement jamais introduit la moindre trace de sa religion ni de sa foi dans ses travaux et écrits scientifiques. Il a su fondamentalement séparer les deux démarches dans sa vie. Je puis vous dire que l'exercice est redoutablement difficile, soyons lui en reconnaissant. Regardez dans votre rétroviseur historique, et comptez le nombre de clercs ou d’ecclésiastiques qui ont fait progresser la science, bien souvent en rupture avec l'Institution à laquelle ils appartenaient d'ailleurs. Ney
  15. Bonsoir Roger, Alors c'est le 16 qui ne serait pas la bonne valeur. Il nous reste donc 29 autres valeurs dans le panier. Huuuum ! Yui Os, os, os court !
  16. Bonsoir Roger, Première énigme : Dans des temps anciens les mois de Sept Oct Nov et Déc EMBRE s'écrivaient volontiers en remplaçant la première partie du nom du mois par son chiffre. Ainsi Novembre s'écrivait 9Bre. Le copiste croyant à cela aurait alors reporté Novembre au lieu de tenir compte d'une forme plus moderne du nom du mois "9" pour Septembre. Deuxième énigme : Ce sont Méchain et Delambre qui ont mesuré la Méridienne de Dunkerque à Barcelone, comme membres et missionnés durant sept ans de l'Académie des sciences. J'en étais resté au fait que la définition de la dix millionième partie d'un quart de méridien pour fixer de manière égalitaire la valeur du mètre dans toute la République, était une décision collégiale des Académiciens à la demande de l'Assemblée Nationale, pas d'une seule personne. J'ai hâte de savoir qui ! Pour l'année, la même que celle de l'inauguration du métro moscovite, très tardive d'ailleurs, j'ai 1935 en rayon. Mais nous n'étions plus alors dans le calendrier républicain depuis belle lurette, donc ce ne doit pas être cela. Ney
  17. Bonjour, Quand vous dites en DC, vous pensez Longitude ? Alors pour obtenir 2° 73 lorsque vous êtes sur la donnée longitude à l'initialisation essayez en tapant au clavier : 1) Soit "0" "0" "2" "7" 3" puis vous validez par ENTER; 2) Soit vous déplacez le curseur sur le chiffre à modifier avec la flèche de déplacement droite (ou gauche pour revenir sur un chiffre), puis vous validez par ENTER. Sur la Synscan en version 04.39.15 c'est ainsi. Ney
  18. Merci @LH44 et @Discret68. J'ai lu vos deux liens, en effet la dérotation de champ est une variable dans la limite des 7 pixels du capteur (loi des 500 chère aux photographes) éventuellement traversés par le spot visé. Sachant que jusqu'à cette valeur de 7 pixels traversés, la qualité de l'image n'est pas affectée, il nous reste juste à calculer le temps que met ce phénomène à se réaliser en fonction des paramètres du lieu d'observation et de la zone observée. Ce temps calculé devient alors la durée max du temps de pose quand on choisi la stratégie des poses courtes. Si ce temps est compatible avec le résultat recherché, alors il devient inutile de s'encombrer d'un dérotateur qui va supposé une belle usine à gaz pour informer son informatique de l'azimuth et de l'altitude employés sur le moment par l'instrument, les amplitudes de rotation étant max en observant plein nord ou plein sud si j'ai bien compris la situation. On va réfléchir à tête reposée comme disait si bien Louis XVI. Ney
  19. Bonjour @Kumiz, Bienvenu sur WebAstro, belle et longue vie d'astronome à vous. Bien sûr que c'est possible d'autant que vous privilégierez des grossissements faibles. En effet plus vous allez grossir, moins vous aurez de lumière, et moins vous pourrez voir d'objets peu lumineux. Les objets peu lumineux seront de surcroit assez difficiles à trouver dans le viseur de petit diamètre. Tout ceci doit en plus être pondéré de la qualité du ciel à votre lieu d'observation. En ce sens comme vous l'a indiqué @Pyrene, l'instrument que vous possédez sera bien mieux utilisé dans le domaine du planétaire où la lumière ne manque pas. En outre un grossissement plus faible ouvre un champ plus large, induisant alors une plus grande facilité à suivre manuellement un objet. Ceci veut dire aussi que seul l'oculaire de 25 mm vous sera d'un usage confortable, éventuellement un 14 mm (Plösl 52° de champ) vous donnera la Lune plein champ de l'instrument. En dessous, la vue de la Lune ne sera que partielle à moins que votre oculaire de 10 mm ait un champ de 82° ou plus. Cet accessoire sert à parfaire une mise en station équatoriale dans la perspective d'une activité de photographie à temps long de pose. En dehors de cela, bon il est là ! Ney
  20. Bonjour, C'est peut-être là que je me plante dans mon projet de dérotateur. J'en étais resté à ce que la Terre tournant sur elle même à 360°/ environ 24H00 soit 15°/environ 1H00, le travail du dérotateur consistait à juste contrer ce phénomène. Je ne comprends alors pas pourquoi la dérotation est variable et comment on atteint des valeurs jusqu'à 40°/1H00. Pourriez-vous éclairer ma lanterne, que je me corrige ? Ney
  21. 22Ney44

    Robotique spatiale ?

    Bonsoir Monsieur Capitaine, Dès votre premier post vous phagocytez la conversation d'une autre personne, cela sans vous présenter, sans porter la moindre attention à ce qui se passe lors des échanges sinon mettre le focus sur ce qui vous intéresse vous et votre personne ! Je vous saurais gré de retourner sur vos arrières et de laisser à @Pétille la place qui lui est due dans ce fil, c'est juste une très élémentaire attitude de politesse et d'éducation, vous semblez déjà avoir oublié que vous venez en demandeur. Dans mon univers, sans doute trop éloigné du vôtre, cela s'appelle le respect d'autrui. Soyez courtois, quittez cette conversation et si le cœur vous en dit ouvrez la vôtre, vous y trouverez l'accueil que vous méritez. Ney
  22. Bonjour, Il n'y a aucun doute la dessus, et je tiens à saluer les travaux d'information et de formation déjà réalisés par @benjaminB. C'est assez rare pour être souligné. C'est pourquoi, relisez moi, je concluais la phrase par "Courage". Il en faudra tout en n'oubliant pas non plus sa compagne de toujours : "Persévérance". Avec tout cela, la discussion sur le champ des caméras, même pour du VA est passée sous silence, c'était quand même le point principal. Ney
  23. Bonjour @benjaminB, Bienvenue sur WebAstro, belle et longue vie d'astronome à vous. Comme chacun ici, je trouve votre projet impressionnant. Découvrir l'astronomie avec votre futur setup sera comme apprendre à conduire avec une formule 1. Courage. Concernant le choix de la caméra, il n'y a pas que ses performances intrinsèques qui vont guider votre choix, tenez compte également du champ qu'elle couvre en fonction de ce que vous allez lui demander. Un outil intéressant et d'accès immédiat pour évaluer cela est le calculateur de champs proposé par Astronomy.tools ici : http://astronomy.tools/calculators/field_of_view/ Trois captures d'écran (réalisées avec les dimensionnements de votre futur télescope) ci dessous montrent l'étendue des possibilités et par là de la réflexion à mettre en place. Cela va d'un très gros objet du ciel profond Andromède à un "petit" objet planétaire Saturne avec, de l'entrée de gamma ZWO la 120 MC S à la plus sophistiquée la 6200 MMC Pro. Votre bonheur se trouvera vraisemblablement entre les deux. Chaque rectangle donne le champ de la caméra. Exemples d'astrophoto au dobson valables pour du VA également. Ici la nébuleuse du crabe prise avec un dobson de 500 mm et une camera Altaïr 183 C : https://www.webastro.net/forums/topic/189615-la-nébuleuse-du-crabe-au-dobson/?tab=comments#comment-2851617 Ici Saturne, Jupiter et Mars prises avec un dobson de 200 mm et une caméra T7C (clone de ASI 120 MC) https://www.webastro.net/forums/topic/187828-astrophotographie-planétaire-au-dobson-2001200/?tab=comments#comment-2841395 Ney Andromède Saturne sans Barlow Saturne avec Barlow X 3
  24. Bonjour, Il y a quelques années avec une connaissance en Vendée nous avons construit un ULM tout en aluminium, avec ce procédé de soudage. Cet appareil vole encore sans aucun ennui relevé. Ney
  25. Quoi que ! Comme dirait Raymond. Quoi que je trouve qu'il rumine bien souvent la même rengaine. De là à ce que cela affecte ses intestins, adressons-nous à l'Académie pour en connaitre davantage. Elle saura, elle ! Ney
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