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Flogus

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Tout ce qui a été posté par Flogus

  1. Oui c'est possible. Au début, j'avais dévissé l'oculaire réticulé et vissé à la place une bague d'adaptation vers du M42 pour y mettre la caméra de mon Lacerta MGEN II. Et depuis, j'ai totalement dévissé tout l'arrière du chercheur pour y viser un porte-oculaire au pas de vis dédié. Pas besoin de focuser hélicoïdal. On peut s'approcher du bon focus en avançant ou reculant la caméra dans le porte-oculaire, puis on peut affiner avec le réglage du focus à l'avant.
  2. J'ai une configuration similaire, avec seulement 16Go de RAM. Et les temps de traitement pour ce qui sort de mon 600D sont raisonnables. Forcément ça prend du temps, mais les calculs nécessaires sont réellement procéssophages. Il ne faut pas s'étonner que ça prenne du temps.
  3. Sans alimentation 12V, mon ASI2600MC n'est pas reconnue par mon ASIAIR. L'alimentation 5V via l'USB ne suffit pas. Donc ton cas me semble normal. Tu peux brancher ta caméra sur n'importe quelle source de courant continu 12V pour la faire fonctionner (s'attendre quand même à des parasites avec une alimentation 220V/12V pas très bien stabilisée). Une batterie 12V sera très bien l'affaire. Veille juste bien à respecter la polarité dans ton branchement. Un télescope acheté sans monture est parfaitement inutilisable ... C'est fou !
  4. N'oublie pas que, sans redresseur, l'image avec une lunette sera inversée haut/bas et gauche/droite.
  5. L'ampglow est un défaut provoqué par l'électronique du capteur qui chauffe et se traduit par un signal thermique enregistré par le capteur alors qu'il n'y a pas de lumière. Exemple : http://www.astrosurf.com/buil/asi294mm/images/electro1-690.jpg Ca se corrige bien au pré-traitement de l'image par des images de calibration (les darks). Je te laisse découvrir ce que sont les darks, flats et offsets/bias.
  6. Utilise ce simulateur de télescope pour avoir une idée de ce que tu verras dans un oculaire : https://www.stelvision.com/astro/simulateur-de-telescope/ Pour la couleur, il me semble qu'elle commence à arriver à partir de 500mm de diamètre.
  7. Mais comment identifier un filtre dysfonctionnel ? Sans avoir un moyen de mesurer le spectre en sortie, je ne vois pas comment faire pour distinguer des halos "normaux" de halos dus à un filtrer défectueux ? J'ai déjà bien assez de mal à prendre des images correctes (càd ciel correct, guidage correct, mise au point correct, accessoires dont les bandes chauffantes bien installées, ...) pour avoir peu d'occasion de faire des comparatifs !
  8. Autant de DOF, est-ce vraiment nécessaire ? As mon sens, avec 60 de chaque, tu en as largement assez. Et l'obturateur de mon APN te remerciera ! Pour rappel, un obturateur de 6D a une capacité moyenne avant panne d'environ 100000 déclenchements.
  9. Je ne sais pas pour les Dentelles, mais M1 est visiblement en expansion quand on compare les premières photos et celles d'aujourd'hui.
  10. Un masque au bon diamètre en entrée d'objectif peut faire office de diaphragme.
  11. Il te faut justement une bague M48(femelle)-monture EOS(mâle) de 55-44=11mm (et pas 12).
  12. 3.8 pour de l'observation directe ? 😱 Cette densité est réservée à l'imagerie. Un 3.8 laisse passer environ 10 à 20 fois plus de lumière qu'un 5.0 prévu pour l'observation directe.
  13. Mais non Colmic ! Ce n'est pas un Newton, mais un Evscope ! 😝
  14. N'oublie pas que tu utilises un reflex et que la lumière rentre aussi bien par l'objectif que par l'oeilleton. En général, l'oeilleton se retrouve "rangé" sur la sangle. Autant pour la photo diurne, on s'en fout de limiter les entrées de lumière par l'arrière, mais pour la photo en pose longue, il faut impérativement boucher cette entrée de lumière parasite.
  15. Oh que oui ! Tu utilises bien un câche-œilleton ? Pas besoin d'utiliser un truc aussi sophistiqué que le machin imprimé 3D. Chez moi, c'est le cache original, ou un morceau de gaffer noir.
  16. Pas spécialement besoin de gros diamètre pour le solaire : https://www.astroshop.de/fr/filtres-souples-montes/filtres-solaires-omegon-130-mm/p,45788 Ce lien est juste pour l'exemple mais avec un bouchon de 300 percé d'un trou de mettons 120 et une feuille de film Astrosolar 5.0 en 140*155 tu pourrais te bricoler un filtre.
  17. Sauf à ne pas attendre la livraison d'un filtre solaire acheté en ligne avant de regarder le Soleil, il n'y a aucune contre indication à aller regarder des trucs dans un télescope !
  18. Un hybride n'a pas d'avantage sur un reflex pour la photo astro. Par contre, le capteur d'un appareil récent aura un avantage sur par rapport à un appareil plus vieux. Ne connaissant pas le Sony, je te conseillerais le 250D : APN "récent", reflex (donc moins cher qu'un hybride plus récent) avec un écran orientable. Pour un APN dédié astro, regarde les occasions sur Eosforastro.com
  19. Il faut placer un oculaire dans le porte-oculaire du crayfort, sans quoi, tu ne pourras rien voir.
  20. Câble USB (A mâle côté ASIAIR et mini B mâle côté appareil photo).
  21. Il faudra dans ce cas veiller à relier les masses entre elles sinon il y a un risque de parasites qui viennent altérer la prise de vues.
  22. Le problème majeur ne sera pas la température, mais l'humidité et donc l'aération.
  23. "Trop tard", c'est quand on est mort. Les reconversions professionnelles et/ou la reprise d'études après 40 ou 50 ans, ça existe.
  24. Les planètes, c'est tout petit et "très" lumineux. L'imagerie des planètes est d'une philosophie différente de celle du ciel profond. Pour avoir des détails, il faut s'affranchir de la turbulence atmosphérique. La solution est d'accumuler un très grand nombre d'images de très courte durée (courte durée qui est rendue possible par la forte luminosité). Au traitement, le logiciel ne sélectionnera que les x% des meilleures images pour faire un empilement. Et donc, en imagerie planétaire, on se retrouve à faire des milliers voire des dizaines de milliers d'images. Sachant qu'un obturateur d'APN reflex a une espérance de vie située entre 100000 et 500000 (suivant les gammes), chaque session d'imagerie planétaire à l'APN tue l'obturateur à un rythme hyper accéléré. La solution est donc de faire des vidéos, idéalement avec des caméras dédiées capables d'un grand nombre d'images par secondes. Les caméras de guidage basiques n'ont pas des rythmes d'images par seconde énormes, mais c'est largement mieux qu'avec un APN. Le format de fichier .SER est un format spécifique à de nombreux logiciels de traitement. Dans l'absolu, on peut convertir une vidéo dans un autre format, ou une série d'images indépendantes en film au format SER. On se remontant les manches et en mettant les mains dans le cambouis, je pense qu'on peut obtenir quelques résultats à partir d'un APN en mode vidéo, mais ça restera décevant comparativement aux résultats avec une caméra de guidage détournée de son usage premier.
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