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Quelle barlow pour une tête binoculaire Denk II
adamckiewicz a répondu à un sujet de Arjuna dans Matériel général
Le second Il ne vend que la lentille d’entrée, ça ne fonctionne pas ( je l’ai acheté) -
merci d'avoir pris le temps de répondre aussi précisément et avec autant de passion 🤩 Du coup juste une question, j'ai effectivement trouvé des profils ICC "universels" mais il me faut créer (ou trouver) le profil ICC exact de mon imprimante (canon G650) couplé aux papiers que j'ai. Du coup j'imagine que cela n'est possible qu'avec du matériel spécifique en faisant des épreuves et en les analysant pour trouver les réglages du profil...? Je vais me procurer du papier mat de qualité pour refaire des essais 👍 Ha si une autre question, est-ce qu'il y a un format de fichier image recommandé pour lancer une impression ? En tout cas merci pour le partage d'information, c'est top!!!
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https://science.nasa.gov/missions/webb/nasas-webb-observes-exoplanet-whose-composition-defies-explanation/#hds-sidebar-nav-1 C'est probablement le système le plus exotique observé par Webb à ce jour. Autour du pulsar milliseconde PSR J2322 - 2650 gravite à seulement 1,6 millions de km une planète de masse jovienne ; sa période est d'environ 8 heures. La séparation est si faible avec la minuscule (une vingtaine de km de diamètre) mais massive étoile à neutron que la planète est déformée en forme de citron. Mais c'est son atmosphère qui étonne : elle ne ressemble à rien de connu. D'après les auteurs, elle est dominée par l'hélium et le carbone ; Elle contient probablement des nuages de suie carbonique qui se condensent pour créer des diamants, qui retombent sur la planète. https://www.space.com/astronomy/exoplanets/james-webb-space-telescope-discovers-a-lemon-shaped-exoplanet-unlike-anything-seen-before-what-the-heck-is-this extrait (traduction automatique) : PSR J2322-2650b est verrouillée par marée sur son étoile, ce qui signifie qu’un côté fait face en permanence à l’étoile à neutrons, le côté jour de la planète, tandis que l’autre fait face à l’espace à perpétuité, son côté nocturne. Le côté jour du PSR J2322-2650b a une température maximale de 3 700 degrés Fahrenheit (2 040 degrés Celsius), tandis que le côté nocturne a une température minimale de 1 200 degrés Fahrenheit (650 degrés Celsius). À ces températures, le carbone moléculaire devrait se lier à d’autres types d’atomes, ne devenant dominant que s’il y a presque pas d’oxygène ni d’azote dans l’atmosphère de la planète. Parmi les quelque 150 atmosphères d’exoplanètes étudiées à ce jour, aucune autre n’a possédé de carbone moléculaire détectable. « Cette chose s’est-elle formée comme une planète normale ? Non, parce que la composition est complètement différente », dit Zhang. « Est-ce qu’elle s’est formée en dépouillant l’extérieur d’une étoile, comme les systèmes de veuves noires 'normaux' se forment ? « Probablement pas, car la physique nucléaire ne produit pas du carbone pur. Il est très difficile d’imaginer comment on obtient une composition aussi extrêmement enrichie en carbone. Cela semble exclure tous les mécanismes de formation connus. » Il existe une voie possible pour la création de cette planète, reposant sur un phénomène unique survenant dans l’atmosphère étrange de PSR J2322-2650b. « À mesure que le compagnon se refroidit, le mélange de carbone et d’oxygène à l’intérieur commence à cristalliser. Des cristaux de carbone pur flottent à la surface et se mélangent à l’hélium, et c’est ce que nous observons », a déclaré Roger Romani, membre de l’équipe et chercheur à l’université de Stanford. « Mais il faut alors qu’il se passe quelque chose pour empêcher l’oxygène et l’azote d’arriver. Et c’est là que le mystère intervient. « Mais c’est agréable de ne pas tout savoir. J’ai hâte d’en apprendre davantage sur l’étrangeté de cette atmosphère. C’est génial d’avoir une énigme à résoudre. »
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Vincent B a modifié sa photo de profil
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Mon projet de l'hiver qui n'avance pas vite : la tête de cheval au C8 en HD
sebseacteam a répondu à un sujet de shibon dans Astrophotographie
C'est hébergé où ? - Aujourd’hui
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Néb diff NGC 2359 "Le casque de Thor" au T350
TuxAstro a répondu à un sujet de T350 dans Astrophotographie
Excellent Serge, faut que je vois ou ca passe au dessus de chez moi ... pas trop jouable ! -
Néb diff Nébuleuse NGC1333 - C8 - QHY minicam8 - LRGB - 21/11/2025
TuxAstro a répondu à un sujet de sebseacteam dans Astrophotographie
Bravo Seb du bon boulot !!! -
Néb diff Nébuleuse NGC1333 - C8 - QHY minicam8 - LRGB - 21/11/2025
dob250 a répondu à un sujet de sebseacteam dans Astrophotographie
Atypique magnifique -
Bonjour, Retour très intéressant. Pour me situer brièvement : je suis tireur dans un laboratoire photo professionnel, et ce que tu décris correspond exactement à ce que l’on rencontre dès qu’on passe de l’écran au papier — encore plus en ciel profond. Le tirage n’est pas une simple étape technique, c’est un métier à part entière, et les essais successifs que tu évoques font pleinement partie du processus. Un point important à clarifier, car il revient souvent : le CMJN n’a aucune utilité en impression photo jet d’encre. Les imprimantes photo, qu’elles soient de bureau ou de laboratoire, impriment toutes à partir de données RVB. Elles utilisent leurs propres encres (souvent bien au-delà du simple CMJN) et un moteur de conversion interne piloté par le profil ICC du papier. Travailler en CMJN, ou avec un profil type ISO Coated, revient donc à restreindre inutilement le gamut et à compliquer la chaîne couleur sans bénéfice réel. En pratique, en labo comme en atelier : on travaille exclusivement en RVB, avec un espace large et propre : Adobe RGB (1998) ou ProPhoto RGB selon les habitudes, et on laisse la conversion se faire au moment du tirage, via le profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier. Le soft proofing a bien sûr tout son sens, mais en RVB, avec le bon profil papier. Le CMJN est un excellent outil… pour l’offset et la presse, pas pour le tirage photo. Concernant les papiers, un point mérite aussi d’être nuancé. On lit souvent que seuls les papiers brillants permettent d’obtenir des noirs profonds. Ce n’est pas faux… mais ce n’est pas toute l’histoire. Un papier mat peut parfaitement produire des noirs très denses, à condition que ce soit un vrai papier photo mat de qualité (baryté mat, cotton rag, fine art mat) et que l’image soit préparée pour ce support. La différence, ce n’est pas tant la profondeur du noir que sa perception : en brillant, le noir paraît plus dense grâce aux reflets, en mat, le noir est plus doux, plus absorbé, mais souvent plus lisible et plus stable selon l’éclairage. En laboratoire, on constate souvent que : un mat bien choisi donne des noirs moins « claquants », mais plus détaillés, les très basses lumières passent parfois mieux en mat qu’en brillant, surtout sans lumière rasante, et l’absence de reflets change complètement la lecture d’une image très sombre comme le ciel profond. Le papier n’est donc pas un simple support, c’est un outil de rendu. Chaque surface impose sa logique : le brillant flatte, le satiné équilibre, le mat interprète. Aucun n’est supérieur aux autres — ils ne racontent juste pas la même chose. Et j’insiste vraiment sur un point fondamental : l’étalonnage écran et papier n’est pas une option, c’est la base absolue. Sans écran calibré correctement, on ne corrige pas une image : on la devine. Et sans profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier, on ne tire pas une photo : on tente sa chance. En laboratoire, la chaîne est simple et immuable : écran calibré à des valeurs cohérentes (luminosité, point blanc, gamma), fichier travaillé en RVB (Adobe RGB ou ProPhoto), soft proofing activé avec le profil ICC exact du papier utilisé, et une seule gestion des couleurs, pas deux. C’est ce qui permet d’avoir : un tirage prévisible, reproductible, et fidèle à l’intention de départ. Sans cette cohérence écran → fichier → papier, on peut multiplier les essais, baisser ou monter la luminosité, changer de papier… le résultat restera aléatoire. Avec elle, un tirage bien préparé sort juste du premier coup, ou presque — et quand ce n’est pas le cas, on sait exactement pourquoi. si vous avez des questions hesitez pas 😉
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Néb diff M45 parce que c'est la saison (avec la SQA55)
lionthom a répondu à un sujet de lionthom dans Astrophotographie
Merci. C’est vrai que c’est mieux 😉 -
Néb diff NGC 2359 "Le casque de Thor" au T350
salix a répondu à un sujet de T350 dans Astrophotographie
Wahou! Super résultat avec peu de temps! J'aime beaucoup le starless on y perçoit bien les détails. Top! -
Mon projet de l'hiver qui n'avance pas vite : la tête de cheval au C8 en HD
Colmic a répondu à un sujet de shibon dans Astrophotographie
https://storage.googleapis.com/dso-browser.com/astrophotography/picture-fb1e51d5613bbf9259b81f61edab8e8f-original.jpg -
Help! ça marche comment une EM200 Takahashi?
Brumeargentee a répondu à un sujet de Brumeargentee dans Matériel général
En fait c'est pas particulierement le goto qui m'avait motivé a l'acheter vu qu'elle n'en a pas mais plutot pour sa precision mecanique et sa capacité de charge. Et si je vais la revendre, c'est pas parce qu'elle me decoit, loin de la, c'est juste car je vais avoir un besoin pressant d'argent dans tres peu de temps. -
Help! ça marche comment une EM200 Takahashi?
Colmic a répondu à un sujet de Brumeargentee dans Matériel général
En même temps, dis-toi qu'une EM200 type b, c'est des moteurs qui vont à 32x la vitesse sidérale en vitesse rapide, à comparer à des montures modernes comme une AM5 qui fait 360° en quelques secondes... Quand j'ai gotoisé mon EM200b, j'ai été obligé de changer les moteurs, sinon ça allait plus vite de desserrer les freins et de positionner la monture sur une étoile connue à côté et de lancer le goto sur l'objet après coup. Le seul intérêt d'une telle monture aujourd'hui c'est que c'est un char d'assaut, tu peux lui charger la mule, en planétaire par exemple le fait que les moteurs soient très lents ne gène pas du tout. -
Quelle barlow pour une tête binoculaire Denk II
Pat.lqvr a répondu à un sujet de Arjuna dans Matériel général
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Merci Non c'est la Full
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Belle prise ! Elle est encore bien visible, en fait. J'aime bien la petite gx dans le coin en haut à G. C'est un crop d'une image au 200 ?
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Help! ça marche comment une EM200 Takahashi?
Brumeargentee a répondu à un sujet de Brumeargentee dans Matériel général
Bon bah les gars, vous allez rire encore plus fort... Un besoin pressant d'argent va me forcer a revendre l'Em200 pour ne garder que l'Em10. J'ai un peu le seum. -
Néb diff M45 parce que c'est la saison (avec la SQA55)
dauphin-joyeux a répondu à un sujet de lionthom dans Astrophotographie
Super ! Le traitement est très doux, la couleur parfaite.... Beaucoup plus d'IFNs que sur la mienne : Bortle 4, c'est pas mon ciel péri-urbain 😢 -
Quelle barlow pour une tête binoculaire Denk II
Arjuna a répondu à un sujet de Arjuna dans Matériel général
Bonjour Pat.l’avril ! Bonne idée ! Merci pour votre suggestion… Êtes vous sur qu’il est compatible avec la Denk II ? -
Problème Wifi Asi 585 McAIR
rmor51 a répondu à un sujet de micheljack dans Matériel astrophotographique
Prise CPL aussi. Sinon , je n'utilise que le hotspot du RPI4. Je m'y connecte avec le PC ou la tablette. Je prend bien soin de n'avoir que cette connection de disponible. -
Quelle barlow pour une tête binoculaire Denk II
Pat.lqvr a répondu à un sujet de Arjuna dans Matériel général
Bonjour, Pourquoi ne pas commander directement l’OCS A45? Il est bien adapté au powerswitch et pas plus chère qu’une Barlow télécentrique. -
Réfracteur à lentille unique du XVIIe siècle
ovi_astro a répondu à un sujet de ovi_astro dans La médiathèque
Tests, enthousiasme et observation : des résultats exceptionnels avec ces objectifs. Je n'arrive pas à croire que j'aie pu obtenir de si bonnes images avec un grossissement de 130x à 3,5x de la taille de l'objectif ; c'est vraiment incroyable. Les bandes de nuages formaient comme des vagues, avec des détails subtils visibles entre elles ; c'était spectaculaire avec un filtre jaune foncé n° 15. -
Réfracteur à lentille unique du XVIIe siècle
cpeg a répondu à un sujet de ovi_astro dans La médiathèque
Bonjour, Excès d'enthousiasme ou modification des lois de l'optique? Cordialement, Claude -
Réfracteur à lentille unique du XVIIe siècle
ovi_astro a répondu à un sujet de ovi_astro dans La médiathèque
J'ai réussi à éliminer complètement le défaut central des lentilles de 52 mm de diamètre et de 4 m de focale. Les lentilles nr 1 et nr 3 sont polies sur papier. La correction a été obtenue par de longs mouvements de polissage sur toute la surface de l'outil, jusqu'à usure complète du papier, en combinant des mouvements de va-et-vient et des mouvements de centre à centre. J'ai ainsi obtenu des lignes de Ronchi parfaitement droites en autocollimation double, confirmant une surface optique bien corrigée et précisément rectifiée. Les observations de Jupiter effectuées hier soir étaient véritablement remarquables. Avec une lunette de 1530 mm de focale et une ouverture effective de 32 mm, l'image était impeccable, la lentille étant polie sur papier. Les bandes nuageuses équatoriales et polaires étaient clairement visibles à un grossissement de 76×, aussi bien avec un oculaire Kepler de 20 mm qu'avec un oculaire Plössl de 20 mm. Le passage à un oculaire Plössl de 15 mm offrait une vue spectaculaire de Jupiter, mais ce n'était qu'un avant-goût des résultats suivants. Les lentilles de 2,2 m de focale, numérotées 1, 2 et 3 (les deux premières polies sur papier et la troisième polie au feutre), ont produit des images exceptionnelles. Les images les plus nettes et les plus contrastées ont été obtenues avec les lentilles polies sur papier, en particulier la lentille n° 1. À des ouvertures effectives de 38 mm et 37 mm, Jupiter présentait une image d'une finesse remarquable, avec des bandes atmosphériques visibles dans de légères teintes orangées, se rapprochant de l'aspect offert par une lunette achromatique de haute qualité. L'image était comparable à celle d'une très bonne lunette moderne de 70/700 mm dotée d'une optique performante, tout en étant nettement plus nette et plus précise. Les meilleurs résultats ont été obtenus à un grossissement de 88× avec un oculaire Kellner de 25 mm et à 110× avec un oculaire Plössl de 20 mm. L'utilisation d'un oculaire Kepler de 20 mm, composé d'une lentille convergente, a considérablement amélioré le contraste de l'image, confirmant l'avantage de ce type d'oculaire pour les observations planétaires à très grand rapport focal. La détection de la Grande Tache Rouge (GTR) à un grossissement de 110×, visible aussi bien avec l'oculaire Plössl de 20 mm qu'avec l'oculaire Kepler de 20 mm, fut une véritable surprise. J'ai ensuite augmenté le grossissement à environ 130×, en utilisant un oculaire de 17 mm et un filtre jaune foncé n° 15. L'image de Jupiter est devenue véritablement impressionnante : la planète occupait près de la moitié du champ de vision apparent de l'oculaire Plössl de 17 mm, et les détails atmosphériques étaient stupéfiants. Les bandes nuageuses apparaissaient comme des structures ondulées, laissant apparaître de subtils détails entre elles. La plus grande surprise fut la détection de la Grande Tache Rouge, bien qu'à la limite de la visibilité, à travers ces lentilles polies. À ce moment précis, le satellite Io transitait devant le disque planétaire et son ombre se situait près de la Grande Tache Rouge ; cependant, l’ombre elle-même restait invisible avec une ouverture effective de 37 mm. J’ai alors monté l’objectif de 52 mm de diamètre, fraîchement poli, d’une focale de 4 m, utilisé avec une ouverture effective de 46 à 48 mm. L’aberration chromatique sur Jupiter était très faible. À un grossissement d’environ 100×, avec un oculaire Plössl de 40 mm, Jupiter apparaissait grand, brillant et très net. La séparation entre les bandes équatoriale et polaire était clairement visible et la structure atmosphérique générale était immédiatement perceptible. À 125×, avec un oculaire Plössl de 32 mm, l’image était encore plus impressionnante et la grande surprise fut l’observation claire et confirmée de la Grande Tache Rouge vers 23 h. Malheureusement, l’observation de l’ombre d’Io n’a pas été possible en raison de la configuration du télescope aérien. Néanmoins, les résultats obtenus sont exceptionnels et démontrent clairement le remarquable potentiel optique de ces lentilles polies sur papier lorsqu'elles sont correctement façonnées et utilisées dans de bonnes conditions d'observation. Des images simulées sont présentées ci-dessous. Jupiter simulé avec une lunette de 32 mm et une focale de 1530 mm à un grossissement de 102x Jupiter simulé avec un objectif de 48 mm et une focale de 4 m à un grossissement de 100x avec un oculaire Plössl de 40 mm. Jupiter simulé avec un objectif de 52 mm de diamètre utile de 46 mm et une distance focale de 4 m, à un grossissement de 125x avec un objectif Plössl de 32 mm. Jupiter simulé avec un objectif de 52 mm de diamètre utile (48 mm) et une distance focale de 4 m, à l'oculaire Kepler 88x 45 mm. Jupiter simulé à travers la lunette de 2,2 m avec une ouverture de 38 mm et un grossissement de 110x Jupiter simulé à travers la lunette de 2,1 m avec une ouverture de 34 mm et un grossissement de 84x -
Help! ça marche comment une EM200 Takahashi?
Brumeargentee a répondu à un sujet de Brumeargentee dans Matériel général
@sebastien.lebouc @cmltb612 Merci les gars pour la doc, ca va beaucoup m'aider
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