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22Ney44

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Tout ce qui a été posté par 22Ney44

  1. Re-bonjour @Iron45000, Pourquoi ne pas faire le réglage de votre viseur de jour sur un objet lointain : antenne de téléphone ou de télévision, coin de toit, grue de chantier, sommet d'un arbre étroit genre peuplier ou bouleau, mécanisme de l'ascenseur au sommet d'une tour, clocher, minaret, cheminée d'usine, etc ? C'est plus facile car on est de jour, on voit mieux ce que l'on fait, et au moins l'objet qui sert de référence ne bouge pas. Si cet objet est placé à 1 km ou plus, votre réglage sera quasi-parfait. Ney
  2. Bonjour @Iron45000, Bienvenue sur WebAstro. Vous avez toqué à la bonne porte pour progresser. Régler un chercheur ou un viseur sur la Lune n'est peut-être pas une bonne idée. Voici un très ancien fil qui vous inspirera : Belle et longue vie d'astronome à vous. Ney
  3. C'est bien coordonné ! Ney
  4. Bonsoir @Caius, Ah ! Le problème est alors réglé. La configuration de l'oculaire se fait sur l'écran de l'oculaire ? Avec quelles commandes ou quels boutons ? Ney
  5. Bonsoir @peuchdr, Avec un oculaire optique conventionnel, la mise au point se fait en ajustant la netteté avec le porte oculaire. Chaque observateur trouve alors la position idéale du porte oculaire qui prend en compte ses éventuels défauts de vue. Avec un oculaire du type SmartEye, il n'y a plus une, mais deux mises au point à réaliser. La première mise au point consiste à amener le plan photosensible de la caméra du SmartEye très exactement en coïncidence avec le plan focal de votre instrument. C'est ainsi que l'oculaire électronique produira une bonne image. La deuxième mise au point va consister à régler l'interface de sortie du SmartEye à votre vue sur une plage de +1 à -5 dioptries. Une fois ces deux réglages faits, vous aurez une image nette à votre vue. La question qui se pose alors est : dans quel ordre fait-on les réglages ? En effet comment régler la mise au point de la caméra, si la sortie du SmartEye n'est pas correctement réglée à votre vue ? A l'opposé, comment régler la sortie du SmartEye si à l'entrée il n'y a pas déjà une image nette. Une réponse possible, existe-t-il dans le firmware une mire ou tout autre dispositif qui permette d'abord d'ajuster la sortie de l'oculaire à la vue de l'observateur ? A moins que le fabricant se repose sur la mise au point caméra/instrument en live view sur un smartphone ou une tablette que l'on regarde avec sa vue corrigée par des lunettes ou des lentilles. Si non quel processus est proposé par le fabriquant ? Ney
  6. Bonjour @Bart Simpson, Vous semblez aimer faire chauffer le neurone. Aussi plutôt que de passer du temps sur le dodécaèdre de Poincaré, qui en soi est un "objet" théorique passionnant, je vous propose de vous intéresser (découvrir) aux variétés de Calabi-Yau. Cette branche des mathématiques remet en selle la théorie des cordes et des supercordes. Elle "facilite" l'ascension vers la gravité quantique, et par son principe de compacification, aide à manipuler les objets de dimensions 11 par exemple, 10 pour les cordes et une pour le temps. Bien que la compréhension de la forme de l'Univers ne soit pas pour demain, la promesse de la théorie ci dessus visant à modéliser la gravité quantique aidera à progresser vers la forme de l'Univers. En effet la contribution de la gravité est maintenant admise comme majeure, ce qui n'est pas une surprise. Cependant n'oublions pas que la gravité n'est restée quantique que jusqu'au franchissement du mur de Planck lors du Big Bang. A titre personnel j'éprouve ainsi beaucoup de difficulté à concevoir le fait que la gravité puisse encore être quantique de manière "naturelle" tant nous sommes maintenant éloignés des conditions nécessaires pour qu'elle le soit. Les variétés de Calabi-Yau sont une évolution majeure des travaux de Theodor KALUZA en 1919 dans la droite ligne de la Relativité générale et perfectionné peu après par le physicien Oskar KLEIN par ajout de dimensions cachées d'une part mais surtout par le concept d'enroulement qui ouvre la voie aux boucles, boucles que l'on retrouve quasi généralisées dans de nombreux modèles aujourd'hui. Ney
  7. Bonsoir @peuchdr, Exxxxxcelllllente initiative. Vous mettez ainsi toutes les chances de votre côté. Et en attendant cette rencontre, surtout n'achetez rien. Le club va vraiment vous aider dans la démarche du choix. Belle et longue vie d'astronome à vous. Ney
  8. Bonsoir @Bart Simpson, Je n'avais pas compris que vous vouliez vous intéresser au dodécaèdre spécifiquement. Vous abandonnez donc la recherche de la forme de l'Univers ? En tout cas la communauté scientifique ne retient plus du tout ce modèle comme une hypothèse valide de modélisation de notre Univers. La réalité est même au delà, ils et elles n'ont plus rien de solide dans la besace théorique pour émettre une hypothèse conforme aux observations. Ce n'est pas souvent que cela arrive. Ney
  9. Bonsoir @peuchdr, Vous êtes parti sur une facture globale entre 6 000 et 6 500€. Ouaououou ! Ce n'est pas tous les jours. Ça compense les débutants qui nous demandent des conseils pour un setup astrophoto à 300€. Ney
  10. Bonjour @Bart Simpson, Oui cette citation existe mais c'était en 2003, depuis les choses ont notablement évolué. Au dodécaèdre - (Platon), a succédé la sphère (Aristote), puis sont venus les cinq polyèdres réguliers emboîtés au sein d'une sphère (Kepler) puis est venu l'espace usuel dit euclidien (Newton). Toutes ces représentations ont trouvé leurs limites. En 2025 nous ne savons plus très bien (voire plus du tout) à quoi peut ressembler l'Univers. Ce qui fait dire à Roland LEHOUCQ par exemple (qui a collaboré avec J.P. Luminet d'ailleurs) qu'aujourd'hui la forme de l'Univers est "indécidable". Je ne saurais trop attirer votre attention quand vous faites référence à une publication, de bien regarder son âge. Elle pourrait être frappée d'obsolescence ! Rassurez-vous, le dodécaèdre de Poincaré est bien plus facile à appréhender que le délicat problème de la forme de l'Univers. Il existe entre ces deux questionnements plusieurs ordres de grandeur en matière de complexité. Quoi ! Il y a une erreur sur internet ? Diable. Ney P.S. : Pourquoi avez-vous ouvert un nouveau fil sur le sujet de la forme de l'Univers, puisque la discussion existait déjà ?
  11. Bonjour @Bart Simpson, La publication dont je vous ai donné le lien n'est pas un article mais un livre de vulgarisation. Attention !!! Il a été publié en 2004, ce qui rend quasi obsolète tout son contenu. J'ai cité cet ouvrage pour vous montrer que le métier de Roland LEHOUCQ est celui d'astrophysicien spécialisé dans l'identification de la forme de l'Univers. Depuis 2004 sa perception des choses a terriblement évoluée et a radicalement changée aujourd'hui au point de qualifier cette recherche de "indécidable" selon ses propres termes. Ney
  12. Bonjour @peuchdr, Vous progressez dans la réflexion. Bien qu'étant une activité solidement scientifique, il demeure toujours une part plus ou moins importante de subjectif dans la pratique amateur de l'astronomie. C'est pour cela que je n'ai pas hésité à vous parler d'émotion plus haut. Un mot aussi sur la collimation. Je ne sais pas pourquoi ce processus fait si peur aux néophytes. Certes la toute première fois cela va prendre deux heures. Mais comme il est très intéressant de le faire de jour, ce sera une après midi pluvieuse l'occasion de faire de l'astronomie avec un ciel pourri. La deuxième ce sera moins de dix minutes et avec juste un peu d'entrainement, la collimation se fait en moins de deux minutes chrono en main. C'est un véritable jeu d'enfant qui ne mérite absolument pas la mauvaise réputation qui lui est faite. Une collimation avec votre expertise professionnelle de réglage de machines complexes, ne va poser strictement aucun problème. Cela revient à centrer un spot lumineux avec trois vis placées sur un triangle équilatéral, c'est une broutille. L'affinage se fait ensuite sur une étoile défocalisée. Revenons à un peu de technique. Il y a un élément dont on ne parle quasiment jamais à un "très débutant" comme vous semblez l'être en matière d'observation. C'est un élément pour le coup assez rebutant quoi que fondamental, je veux parler de l'échantillonnage. Puisque vous vous dirigez vers un oculaire électronique, l'élément structurant est le capteur dont les éléments photosensibles ont une dimension très précise. Cette dimension va vous imposer une valeur d'échantillonnage par construction. Cette formule vous aidera à démarrer : échantillonnage= 205 * dimension d’un pixel en microns /Longueur focale du télescope en mm . La bonne nouvelle est que cette valeur d'échantillonnage va vous aider à cerner les valeurs de construction de votre instrument. Voici un lien : pour découvrir : https://www.univers-astro.fr/fr/content/6-le-calcul-d-echantillonnage. Sur Webastro il y a aussi tout ce qu'il faut. Ce critère va vous aider à sélectionner votre optique et dans une certaine mesure votre monture également. En effet toute optique qui ne contribue pas à atteindre une valeur recherchée d'échantillonnage pour un capteur donné qui est fixé et invariable, se trouve de fait hors jeu. Je ne pratique le visuel assisté que dans le cadre de l'observation planétaire dont le calcul d'échantillonnage est plus simple. Aussi je laisse des personnes bien plus expertes vous guider sur ce critère. Il n'en demeure pas moins qu'il vous faut avant tout, comme dit plus haut, avoir validé le principe de l'observation assistée par imagerie. Bonne recherche. Ney P.S. Merci @sixela de rappeler cette proposition que je lui est faite précédemment.
  13. Bonjour @Bart Simpson, J'ai lu quelque part avant les vacances, (et ma mémoire me fait de plus en plus défaut, c'est dur de vieillir) un article qui faisait référence à un écrit de Roland LEHOUCQ où il soutenait la forme de l'Univers comme "indécidable". Il a en outre publié sur le sujet : https://editions.flammarion.com/lunivers-a-t-il-une-forme/9782080800985 Je vais devoir piocher pour retrouver cet article. Ney
  14. Bonjour @peuchdr, La fraicheur de votre comportement fait plaisir à voir (à lire !). Je compare votre réaction à la découverte du smarteye, à un coup de foudre. Vous êtes tombé en amour de cet objet comme on le fait à l'adolescence d'une très jolie fille. Nous savons tous d'expérience de jeunesse que dans ces moments là le jugement est fortement perturbé, l'objectivité est reléguée loin des raisonnements et du bon sens. Vous êtes prêt à consacrer 7 000€, (comme le ferait un amoureux éperdu pour sa belle à qui il veut offrir la plus belle bague) dans une activité pour laquelle vous n'avez pas la plus petite idée de l'effet à long terme ni même moyen terme. Dans une telle situation, le risque est énorme. Un moyen élégant de réduire ce risque est peut-être de mettre en place une étape intermédiaire "d'échauffement". Cela vous permettra d'amortir la vague d'émotion qui semble vous avoir submergé à la découverte du smarteye. Je commencerais par aller dans un club pour comparer l'effet produit sur soi par une observation réalisée de manière ordinaire avec un setup classique lunette ou télescope et des oculaires optiques, puis par un instrument électronique. Si le club n'en dispose pas, vous pouvez acquérir un oculaire astrowlbox que vous revendrez éventuellement assez facilement. Vous allez ainsi mesurer par vous même, de l'intérieur de vos émotions, les effets de l'une et de l'autre des méthodes d'observation. A ce moment là vous serez à même de porter un jugement objectif sur l'une ou l'autre des pratiques. Je dis bien pratique. Observer avec des oculaires optiques ou un oculaire électronique est à peu près la même chose au niveau émotionnel que d'aller au théâtre où le contact est direct avec les comédiens mais dans un décor limité et aller au cinéma où les effets spéciaux sont grandioses mais sans échange d'émotion avec les acteurs. Les deux expériences ont leurs avantages mais aussi leurs inconvénients. L'analogie s'arrête là. Je vous propose alors de finir cet échauffement en acquérant un ZWO S50 pour vous immerger dans la vision électronique du ciel. Si cela vous convient toujours, alors vous pourrez allègrement franchir le pas du smarteye. Je me suis permis de vous écrire ceci car un saut dans l'inconnu à 7 000 € m'effraie un peu, et ce sera alors mon conseil un peu différent des autres pour vous aider dans votre choix. Pardonnez moi si je fais erreur. Ney
  15. Bonsoir @Bart Simpson, J'ai oublié de vous parler d'une piste particulière de la recherche de la forme de l'Univers. Devant sa complexité, son hyper-complexité plutôt, devant la faiblesse de nos outils mathématiques en la circonstance, devant aussi la faiblesse de nos outils théoriques, la théorie de la relativité générale nécessaire pour aborder la topologie de l'Univers s'est montrée incomplète (ce que le Grand Albert a toujours reconnu), il n'est pas sot d'envisager que la forme de l'Univers est indécidable, du moins en l'état de nos connaissances, mais pas que. Des astrophysiciens pourtant chevronnés, tel Roland LEHOUCQ https://fr.wikipedia.org/wiki/Roland_Lehoucq envisagent cette posture très sérieusement. Ne perdons pas de vue que l'Univers est unique, que nous ne pouvons pas le reproduire, que nous observateurs en sommes dépendants et à l'intérieur de l'observé. Ce sont autant de critères bloquants pour appliquer notre modèle actuel de démarche scientifique. Ney
  16. Bonjour @Bart Simpson, Je vous écrivais hier : A ma connaissance non ! Ce qui n'exclut pas que cela existe. Mais vous avez les équations. Une fois encore admettez de devoir entrer dans le monde de la seule abstraction, dont je ne crois pas que nous ayons l'amorce d'une matérialité. @sixela vous a ouvert plusieurs portes, celles des boucles est a priori la piste la plus prometteuse. Oubliez de pouvoir accéder à une vue triviale de la réalité. Il n'y a, loin s'en faut, aucune communauté de vue chez les chercheurs à cette heure. Ney
  17. Bonsoir @Bart Simpson, Si vous souhaitez aborder le très délicat débat de la forme de l'Univers par le biais des mathématiques, vous n'avez pas beaucoup de choix. Il ne vous reste que la branche très particulière et spécifiquement complexe qu'est la topologie. Vous devez en outre la nourrir, sans en avoir d'autre choix pour l'instant, d'observations et d'analyses profondes dont les variations génératrices d'arguments significatifs se situent à 10-5 des valeurs absolues des phénomènes exploités. S'il existe une quasi impossibilité dans cette branche, c'est bien celle de la simplification. Il va vous falloir entrer dans le très dur de la complexité. Essayez de quitter votre propension à vouloir accrocher votre compréhension à la réalité triviale du quotidien. Ce n'est strictement pas le bon choix, vous n'aboutirez qu'à des voies sans issues. Imprégnez-vous des études que je vous ai suggérées. Ensuite nous franchirons un degré d'abstraction, si vous l'acceptez. Ne perdez pas de vue qu'avec la recherche de la forme de l'Univers, l'Humain est confronté à la plus grande échelle qu'il puisse aborder sans pouvoir l'observer dans sa réalité physique. Mais il est pourtant obligé de considérer comme scientifique sa démarche s'il souhaite la faire valider selon les codes actuels de la Science ! Ney
  18. Bonjour @Bart Simpson, Nous avons beaucoup de chemin à parcourir. Pour démarrer, abandonnez totalement l'idée de vous représenter la forme de l'Univers, nous n'en savons à peu près strictement rien. Nous avons seulement trois hypothèses : 1) La sphère. Un univers fermé car la courbure est positive. La gravité, liée à une densité suffisante est supérieure aux moteurs de l'expansion. Cet Univers est fini aura un maximum et renversera le processus en Big Crunch. 2) Le plan. Un Univers plat car la courbure est nulle ou quasi nulle. L'Univers est infini son expansion aussi avec une asymptote. 3) L'hyperbole. La courbure est négative, la densité trop faible pour contrer l'expansion qui devient infinie avec un refroidissement tendant vers 0 K donc gel et immobilisation globale. à quoi il convient d'ajouter toutes les variations de ces trois "basiques". Prenons l'exemple de deux rayons émis dans chacun de ces trois modèles. Dans la sphère ils vont suivre la courbure et finiront par se couper. Dans l'hyperbole il s'écarteront à l'infini. dans le plan ils resteront parallèles. Aujourd'hui et depuis les années 2 000 (Coopération Boomrang (https://fr.wikipedia.org/wiki/BOOMERanG) et confirmation par les observations de la sonde WMAP de la NASA) nous avons des certitudes grandissantes que ces rayons demeurent parallèles. Notre Univers serait donc plat. Cependant nous ne sommes pas encore en mesure d'exclure définitivement les deux autres hypothèses. Voilà pour la courbure Pour la forme de l'Univers, le seul outillage à notre disposition est le fond diffus qui représente à peu près 99% des photons connus dans notre Univers, les étoiles n'en produisent que moins de 1%. Ce fond diffus est connu comme homogène jusqu'à une remise en question par COMPACT (Collaboration for Observations, Models and Predictions of Anomalies and Cosmic Topology) après études approfondies des observations du satellite PLANCK. A cette "difficulté" de modélisation je vois déjà deux raisons : 1) Nous sommes DANS l'Univers, ce qui fait de nous être à la fois juge et partie. Comment alors avoir le détachement requis pour une démarche scientifique robuste. 2) Du fait de la limite supérieure de la vitesse luminique dans le vide, nous ne pouvons observer activement qu'une partie de l'Univers. Comment alors rendre une décision incontestable sur son ensemble ? Pour progresser dans la réflexion, je vous propose déjà d'admettre la chose suivante. Dissociez définitivement déformation de l'espace-temps et forme de l'Univers. En effet les déformations de l'espace-temps sont des variations à l'échelle locale de l'Univers. Alors que la forme de l'Univers est une donnée globale de ce même Univers par définition. Peut-être y aurait-il confusion de courbure de l'Univers et de courbure de l'espace-temps ? Relisez et méditez ce passage de @'Bruno : Ensuite, intéressez-vous aux travaux et publications du groupe de recherches COMPACT évoqué ci dessus et plus particulièrement aux études sur les variations de l'ordre de 10-5 enregistrées dans le fond diffus. C'est une véritable boite de Pandore théorique, vous y trouverez déjà 18 catégories de surfaces tridimensionnelles plates pour commencer à fixer votre réflexion. La difficulté (entre autre !) provient de ce que nous n'avons que la branche "Topologie" des mathématiques pour progresser dans la connaissance. Or cela s'avère plutôt insuffisant parce que par exemple en topologie, un donut ou une tasse à café se trouve dans la même catégorie, un objet avec un trou central. ( c'est pour faire simple) Enfin peut-être aurez-vous du temps à accorder aux travaux de Sandrine CODIS ( https://sandrinecodis.wixsite.com/sandrinewebsite ) lauréate du prix MERAC en 2018. Voilà je ne réponds pas à vos questions. J'ai préféré "diaphragmer" votre champ de réflexion afin de découvrir par vous même l'inimaginable complexité de la recherche sur la forme de l'Univers. C'est vertigineux et pour l'instant hors de notre portée. Ney
  19. Bonjour @Vivlepic, Où en sommes nous de la panne de votre collimateur ? Je garde l'espoir de goûter un "Clos Vougeot" même s'il n'est pas de 1953 ! Ney
  20. Bonjour @Bart Simpson, Le nombre final va dépendre, puisque vous parlez de satellites, de la dimension minimale que vous fixez pour classifier l'objet comme satellite. Chaque grain de poussière composant les anneaux est un satellite de Saturne. Il n'est pas possible de les dénombrer. Ney
  21. Bonjour @Pyrene, Rhôôôô ! Ney
  22. Bonjour @Tyler, Bravo pour le geste, c'est classieux. Ney
  23. Moi non plus ! C'est pô juste. 🤑 Ney
  24. Bonjour @rmor51, Merci pour cette information. Je viens d'ouvrir ma liste au Père Noël avec ce livre. Ney
  25. ARGHHHHH, les coniques ! Encore des excentricités et même des dégénérescences. C'était il y a si longtemps ! Ney
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