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  1. sebseacteam

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 02/20/24 dans Messages

  1. Je déprime depuis 2 mois que le mauvais temps persiste 😭! alors je fais encore appel aux données de TélescopeLive 😊 La nébuleuse du Crayon NGC 2736, un magnifique objet de l'espace lointain dans la constellation Vela. Se déplaçant à environ 644 000 km/h, on pense qu'il a été formé à partir d'une onde de choc du plus grand Vela Supernova Remnant il y a environ 11 000 à 12 300 ans. Il réside à environ 815 années-lumière. La nébuleuse du Crayon mesure environ 0,3 année-lumière de long et est composée de gaz ionisé, principalement de l'hydrogène, qui émet de la lumière dans les parties rouge et bleue du spectre. La nébuleuse est éclairée par le rayonnement d’une étoile proche, qui ionise le gaz et le fait briller. On pense que la forme de la nébuleuse est le résultat de l’onde de choc de l’explosion de la supernova interagissant avec le milieu interstellaire environnant. Données fournies par la plateforme d’imagerie à distance "Telescope Live", Takahashi FSQ-106ED situé à l'Observatoire d'astronomie IC (Espagne.) 24x600s Ha, 24x600s OIII, 24x600s SII en mars & avril 2023 Traitement SHO Siril, Pixinsight, Photoshop La version full ici https://flic.kr/p/2pzfDLN
    6 points
  2. https://www.memstar.fr/memstar-dans-le-ciel-et-espace-de-fevier-mars-2024/ Je ne l'aurai jamais imaginé il y a 32 ans quand j'ai lu mon premier Ciel et Espace !
    5 points
  3. David Zinn : Craies, streetart et trompe-l'œil https://zinnart.com/
    3 points
  4. Hier soir, Meade 254, QHY5III687m filtre 23A, barlow 1.5x
    3 points
  5. Bonjour premier essai de m51 bonne journée à tous 2h de pose Pose de 300s filtre idas lps1
    2 points
  6. Memstar fonctionne avec un telescope "qui n'est pas à pat". Il peut donc fonctionner sur une table équatoriale arrêter. Que ce soit pour l'installation sur 4 étoiles ou pour la recherche. Le problème est le suivi. il n'est pas fait pour et le mouvement de suivi est à la limite de la détection. Il a tendance donc a dérivé de quelques degrés au fur et à mesure du suivi. A la fin de la course de la table, il suffirait de le repositionner avec la fonction Aligner Azimuth et c'est reparti. Ce sont ici des résultats préliminaires que nous peaufinons pour une utilisation sur table eq.
    2 points
  7. Le même soir avec toujours le C8, QHY5III678m, filtre rouge 23A 8 tuiles
    2 points
  8. Salut les luneux 2 soirées de suite à faire du lunaire, va neiger c'est sûr Le 18/02, avec le C8 + QHY5III715c, 12 tuiles assemblées avec ICE.
    2 points
  9. une gigantesque protubérance très rapide , ce 17 février 2024 a 14H40 Réfracteur 185 mm APO Askar , étalon PST optimisé , Barlow 2X et camera player one
    1 point
  10. Un long serpent s'étire de la petit tache solaire de ce 18 février 2024 ! je trouve cette protubérance très photogénique malgré un fort mistral et de la turbulence, un très beau relief avec beaucoup de résolution Refracteur 185 mm APO Askar - Fabry Perot optimisé PST de 2004 , barlow 2x et camera player one IMX 429
    1 point
  11. 1 point
  12. Le Gilis à 40 euros, je trouve quand même que ça fait un peu cher. Le livre est bien mais on a facilement les infos à ce jour... Sur amazon ou autre, c'est du délire et ils ne se vendent pas je pense
    1 point
  13. Simon De Thuillières : mélanger la pop culture au médiéval... https://simondethuillieres.com/
    1 point
  14. Désolé Roger, veuillez m'excuser d'avoir tardé à vous répondre. La réponse complète demande en effet un gros travail d'analyse des calendriers. pour mémoire : La recherche faute de temps n'est peut-être pas exhaustive, cependant voici un premier inventaire des années contenant 53 mardis en ne commençant ni par un mercredi, ni par un jeudi : Tout d'abord les années bissextiles : Les années commençant par un lundi : Au deuxième millénaire à partir de la mise en service du calendrier grégorien : XVIIIe siècle : 1720 • 1748 • 1776 XIXe siècle : 1816 • 1844 • 1872 XXe siècle : 1912 • 1940 • 1968 • 1996 Au troisième millénaire : XXIe siècle : 2024 • 2052 • 2080 XXIIe siècle : 2120 • 2148 • 2176 XXIIIe siècle : 2216 • 2244 • 2272 XXIVe siècle : 2312 • 2340 • 2368 • 2396 Les années commençant par un mardi : Au deuxième millénaire à partir de la mise en service du calendrier grégorien : XVIIIe siècle : 1704 • 1732 • 1760 • 1788 XIXe siècle : 1828 • 1856 • 1884 XXe siècle : 1924 • 1952 • 1980 Au troisième millénaire : XXIe siècle : 2008 • 2036 • 2064 • 2092 XXIIe siècle : 2104 • 2132 • 2160 • 2188 XXIIIe siècle : 2228 • 2256 • 2284 XXIVe siècle : 2324 • 2352 • 2380 Ensuite les années communes commençant par un mardi, qui contiennent donc nécessairement 53 mardis : Au deuxième millénaire à partir de la mise en service du calendrier grégorien : XVIIIe siècle : 1709 • 1715 • 1726 • 1737 • 1743 • 1754 • 1765 • 1771 • 1782 • 1793 • 1799 XIXe siècle : 1805 • 1811 • 1822 • 1833 • 1839 • 1850 • 1861 • 1867 • 1878 • 1889 • 1895 XXe siècle : 1901 • 1907 • 1918 • 1929 • 1935 • 1946 • 1957 • 1963 • 1974 • 1985 • 1991 Au troisième millénaire : XXIe siècle : 2002 • 2013 • 2019 • 2030 • 2041 • 2047 • 2058 • 2069 • 2075 • 2086 • 2097 XXIIe siècle : 2109 • 2115 • 2126 • 2137 • 2143 • 2154 • 2165 • 2171 • 2182 • 2193 • 2199 XXIIIe siècle : 2205 • 2211 • 2222 • 2233 • 2239 • 2250 • 2261 • 2267 • 2278 • 2289 • 2295 XXIVe siècle : 2301 • 2307 • 2318 • 2329 • 2335 • 2346 • 2357 • 2363 • 2374 • 2385 • 2391 Toutes ces années correspondent bien à la réponse que j'ai donnée à votre énigme qui demandait la règle qui détermine les années à 53 mardis, mais ne répondent pas à la définition que vous en proposez. Vous pouvez vérifier tous ces résultats un à un. Si l'année 2024 est selon votre expression "un loup" en matière de calendrier, avec l'information ci dessus nous avons en réalité toute une meute. La règle du Chevalier DELAMBRE n'est pas acceptée par l'Union Astronomique Internationale pour des raisons qui lui sont propres et que j'ignore. Mais en réfléchissant un peu, on peut comprendre cette noble institution. Rappelons-nous les fondamentaux du calendrier grégorien et plus particulièrement sa définition des jalons d'une année ainsi que sa définition de la durée d'une année. Le calendrier grégorien repose sur une répétition à l'identique d'une période de 400 ans. Voilà pourquoi une année tout calcul ainsi fait dure 365,2425 jours. Or la mesure précise de cette durée est de 365,2422 jours. Cette différence devra un jour être "casée" quelque part. Le calendrier grégorien est certes un calendrier solaire mais dont la base de temps, l'année donc, est donnée par la durée vernale. Ce choix a éloigné de fait les concepteurs de l'époque de la vérité astronomique, l'année tropique, qui pourtant commençait à poindre. Cependant cette définition ne pouvait être autre en 1582 puisque le principe géocentrique de l'Univers était le seul admis officiellement. Les dirigeants laïcs s'en fichaient un peu, beaucoup même, les dirigeants cléricaux y tenaient tout particulièrement. Et comme les premiers détenaient leur pouvoir des seconds, personne n'a contesté la chose jusqu'à ce qu'un certain Nicolas COPERNIC en 1513 défende une autre vision de notre système solaire. (Ici je fais une pause pour rappeler aussi la mémoire de Aristarque de SAMOS qui fut le réel tout premier scientifique à avoir imaginé notre système solaire comme héliocentrique mais sans pouvoir imposer cette vue, nous étions au IIIe siècle avant J.C.) Revenons aux bases de notre calendrier. Il repose sur le durée d'une année vernale. Or nous savons aujourd'hui que notre base de temps n'est pas l'année vernale mais l'année tropique. Cette année tropique est 15 secondes plus courte que l'année vernale. Donc chaque année nous introduisons au moins cette erreur. Aussi plutôt que de chercher à corriger les dérives de notre calendrier parti sur une base fausse, je pense que les institutions en charge apporteront un jour un correctif algorithmique au calendrier lui-même. C'est une action lourde, très lourde politiquement et économiquement. Et comme la différence est pour l'instant ténue, je pense que c'est la politique du MSSO* qui prévaut. Nous avons aussi une autre source de décalage en comparant l'écoulement du temps calendaire avec le temps astronomique. En ne prenant que le système à deux corps Terre/Lune, (la réalité est un système à trois corps beaucoup plus complexe à résoudre. Ce troisième corps pourtant le plus massif est le Soleil) à cause du transfert d'énergie afin de conserver le moment cinétique du couple, la Lune s'écarte de nous à raison de 3,8 cm par an. Ceci a pour effet de ralentir la Terre d'environ 0,9 seconde par siècle. En 1 000 ans cela fait 9 secondes de décalage en 2 000 ans 18 secondes entre l'écoulement du temps calendaire et l'écoulement astronomique. Là ce seront tous les mécanismes des montres qu'il faudra changer, ou inventer un jour universel du temps en plus une fois pour recaler le calendrier avec le temps astronomique. Bref tout ceci pour dire que le calendrier grégorien, s'il est précis à l'échelle d'une vie humaine, présente des défauts sur le long terme. Aussi, puisque vous me demandez un avis et le voici, plutôt que de prévoir des corrections à 2 ou 3 000 ans, je pense qu'il vaudrait mieux créer une évolution de notre calendrier plus proche de la réalité astronomique que nous maitrisons bien dorénavant. Mais cela c'est une autre histoire. Ai-je complètement répondu à votre attente ? Ney
    1 point
  15. Je le laisse personnellement sur la boite à miroir. Mais en effet, si on a plus qu'un télescope...
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  16. Ah ouii j'aime bien 👍 Pour donner une idée du rendu... Plaque en alu brossé épaisseur 1mm De 700x300...
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  17. c’est pour ça qu’il serait intéressant de fabriquer un support qui permettrait de fixer précisément le boîtier sur le télescope d’une session à l’autre. Un peu comme on le fait avec un chercheur. Mais la forme du boîtier ne permet pas cela facilement (à moins de faire des trous dedans).
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  18. Même sur *une* étoile. L'alignement initial avec 4 étoiles est pour déterminer l'axe optique du télescope par rapport à l'orientation du boitier. Il faut le refaire uniquement si cela change (par une collimation différente où après avoir désolidarisé le boitier du télescope).
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  19. j ai un 90D et un 100D et ça marche, j espere que le 600D sera pareil j ai configure le driver DLSR comme cela (par la roue dentée de nina) appareil en pause B
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  20. Ca m'a l'air puisque ça colle assez bien avec les simus de Stellarium qui pour moi sont fiables. Exemple avec le même setup :
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  21. Pour ton premier point, la crise K/T est bien moindre en ampleur que celle du Permien : or je compare ici leur intensité. Sur la durée, il est clair qu'elle a été instantanée au moins localement, mais pas partout (ci-dessous). Pour tirer une idée de l'impact environnemental -à venir- on n'a évidemment pas d'élément pour l'actuel, qu'il faudrait comparer à la récupération "rapide" après la météorite -300 000 ans quand même - un instantané pour le géologue. Par ailleurs, les effets de la chute en milieu marin ne sont pas du tout homologues de ce qu'on vit. Au crétacé la vie a brutalement disparu localement avant de revenir 30 000 ans après sur les lieux, mais les faunes terrestres ont été bien moins impactées. Rien à voir donc avec ce que nous infligeons aux espèces qui nous approchent. Sur le second point, l'hybris souvent convoqué est sujet à discussion. D'abord, le culturel a toujours été historiquement très fragile, comme le prouvent les longues et brillantes civilisations soudainement disparues : romaine, égyptienne, chinoise, Maya, Hittites, etc... Bien entendu, nous croyons la nôtre bien plus robuste. Les autres le croyaient aussi. On évoquera au fil de l'eau les troubles à attendre en cas d'éruption solaire impactant nos communications. Les conséquences de l'irruption d'un tsunami dans une centrale nucléaire ont été une réelle surprise. Un simple virus, forme inférieure de vie, a mis à genoux notre brillante économie en quelques jours. On passera pudiquement sur les probabilités de destruction par nos propres efforts de guerre. Et quoi qu'on en pense, nous restons dominés par le biologique. La plupart des cultures sur lesquelles repose notre alimentation sont des sélections au patrimoine générique réduit. Il a suffit d'un champignon pour détruire tous les platanes du canal du midi : que se passerait-il si un agent pathogène détruisant subitement nos céréales ? Les oliviers méditerranéens sont ainsi une source d'inquiétude. La masse de vertébrés actuellement la plus importante est celle de nos élevages : des virus les frappent périodiquement. Si ça devient grave, on mangera quoi ? Quel avenir aurait eu notre civilisation si le COVID avait eu une létalité de 90% ? Improbable ? Voire. Enfin je ne saurais m'abstenir d'évoquer un fil voisin dont je suis également coupable. Homo sapiens est biologiquement adapté à une zone de confort de 25°C. Au-dessous, on a froid, ce qu'on peut combattre culturellement par des vêtements, du feu... etc... Au-dessus, on transpire -tant qu'on peut- A partir de 35°C à saturation, la transpiration devient physiquement impossible. Il existe certes des solutions culturelles, mais bien plus malaisées à mettre en oeuvre que contre le froid. Or les températures moyennes calculées ne reflètent pas l'amplitude de la variation. Il fait actuellement 27°C au Maroc -en hiver. C'est supérieur aux moyennes de juillet...
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  22. Avec le solaire, les lésions ne sont pas douloureuses. Par contre, elles sont définitives ! D'où l'intérêt de vérifier avant de le mettre en place que le filtre n'est pas (micro)percé. Il faut aussi veiller à ce qu'il ne s'envole pas avec un coup de vent. Et dernière vérification, bien faire attention qu'il s'agit d'un filtre adapté pour l'observation et non pour la photographie. Ces derniers laissent passer 15 fois plus de lumière qu'un filtre pour l'observation ... beaucoup trop pour nos yeux.
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  23. Bonjour @Bill24, Je suis rentré dans deux boites successives comme technico-commercial en informatique. En effet l'air y était bien plus pur. J'ai pris un plaisir immense à concevoir les schémas informatiques des réseaux locaux pour des dizaines d'entreprises. C'était à l'époque, fin des années 80, une activité qui démarrait dans les entreprises qui jusque là ne connaissait que la grosse informatique centralisée, IBM, Bull, Vacs et autres pour les grosses boites et rien pour pour les moyennes ou les petites boites. L'emploi du temps c'était par exemple : Siège de la Gendarmerie trois jours, Bouygues le lendemain, TF1 toute la semaine suivante, un grossiste en peinture ensuite ou des studios de tournage TV, le Tribunal militaire aussi ainsi que tous les Palais de justice de la région parisienne.. Ce fut une époque riche en expériences et en rencontres très fructueuses. De plus le business roulait tout seul, la difficulté était de faire face à la demande, et pour notre entreprise de trouver des gens qualifiés. Ah un dernier point, un salaire sans commune mesure avec celui d'un jeune chercheur. Nous avons pu acheter une maison, mon épouse a pu arrêter momentanément son travail pour les enfants, nous étions très heureux. Après nous nous demandons encore pourquoi nos chercheurs partent à l'étranger ? (comme les derniers nobélisés français, tous hors de nos frontières) Ney
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  24. Il semble évident qu'il y a une différence entre les données équatoriales ( asc. droite & déclinaison) et les données alt-azimutales ( azimut & altitude). C'est un problème de Trigo spherique. Dans les années 60 avant le Goto (... d'autres diront avant JC.....), nous apprenions à trouver les objets en utilisant les cercles divisés des montures. Pour Memstar il suffit sûrement d'utiliser les formules de transformation pour passer d'un système à l'autre. A suivre.
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  25. "Environ", pour la facilité de pointage quand aux indications dur l'écran. Il est bien en mesure de voir que si on bouge en azimut on bouge également un peu en altitude avec le télescope sur une table équatoriale; il ne voit pas les axes eux-même, juste le changement de l'orientation du MemStar.
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  26. Attiré par la promo actuelle à 2100 euros, je me suis dit que ce n'était pas un gros risque et je me procuré ce Dobson il y a un petit mois. Le but n'étant pas de faire de la haute résolution planétaire mais d'avoir un "entonnoir à photons" pour y mettre un OVNI-M, donc à grossissements faibles à moyens. Comme j'avais lu les 34 pages de ce fil 😂 (merci aux intervenants !), je savais à quoi m'attendre. Ca n'est pas du haut de gamme mais je trouve qu'on en a pour son argent, avec un instrument fonctionnel dès le départ même s'il mérite quelques améliorations. La chose la plus urgente à régler a été de coller des patins glissants dans la boîte inférieure, qui n'est pas bien carrée, pour éviter les frottements du rocker et les petits soubresauts quand une tête de rivet passe par une bordure. J'ai fait un gabarit en papier pour placer les patins à des endroits où ça frottait mais hors de la trajectoire circulaire des têtes de rivets. Autres améliorations inspirées de ce fil : le changement des ressorts de collimation d'origine qui sont trop mous, la mise en place d'un boulon pour fixer la barre à contrepoids par l'extérieur, ainsi que l'ajout d'une grande coupelle de pot de fleurs pour protéger le primaire (pas facile à trouver celle-là !). Et changement des molettes de fixation de la cage secondaire, qui sont maintenant femelles et qui viennent se fixer sur des vis mises à demeure sur la cage, ce qui facilite le montage et le démontage de la cage quand on est seul. Et changement des patins teflon sur les freins (ils se sont décollés). Côté transport je suis rassuré aussi, ça n'est pas plus pénible que le tube du C14 en attrapant le rocker par les haches. La dernière modif (hier) a consisté à remonter la cage secondaire de 23 mm, par des genres d'entretoises en alu (je pourrai passer une photo). Je pense que le secondaire n'est pas surdimensionné à la base, et la modif permet d'élargir le champ de pleine lumière (c'est comme si j'avais un secondaire 5 mm plus large). Evidemment le foyer est avancé d'autant par rapport au PO, mais je n'avais pas de problème de ce côté là, étant obligé avec mes oculaires de les reculer pour atteindre la mise au point. Un essai en campagne il y a une semaine avec l'OVNI-M ne m'a pas déçu : la tête de cheval dans toute sa splendeur, M42 qui déborde de partout (presque) comme une photo, les nodosités sombres dans la rosette, les filaments du crabe, les spermatozoides de IC410, la méduse de IC443, les structures de California, le coeur et l'âme, les satellites d'Uranus, les structures dans M82...😍
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  27. Je viens de recevoir la chaise de repassage, je trouve que l'assise est un peu haute mais il me suffira de percer quelques trous supplémentaires pour arranger ça. 10€ pour sauvegarder mes vertèbres, ça m'a l'air d'un bon investissement. 👍
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  28. Non le boîtier ne pilote rien. Il mesure juste des inclinaisons et les renvoie à l’application sur le téléphone qui indique avec des flèches sur l’écran s’il faut déplacer À LA MAIN ou avec une raquette (si monture motorisée) le télescope à droite/gauche haut/bas pour aller sur la cible. Le principe de base est que la monture soit une alt-az.
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  29. Je me disais aussi que ce n’était pas une image aussi bien réussie que d'habitude par notre seb avec seulement 55 minutes de pose . . . . . . je plaisante ! Bien sûr. Encore une superbe image : champ immersif, netteté impeccable, rendu des couleurs cohérent, etc. Encore bravo seb 👍
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  30. Bonjour David Mener de front deux activités comme l'astrophoto et le visuel dès le départ: pas simple. Ce sont deux activités complémentaires mais par certains aspects très différentes! Je n'ai pas de Dobson ( j'ai un Newton) mais je crois qu'il est possible de faire de l'astrophoto avec un Dobson. Sauf erreur avec une table équatoriale. astr'Au dobson en parle sur sa chaîne youtube. Dans cette voie je crois qu'il est nécessaire d'avoir un dérotateur de champs aussi. Avec Un Newton ou une lunette on rencontre d'autres soucis: Faire le bon choix de diamètre par exemple cela implique une monture qui tienne la route ( en visuel les exigences ne sont pas les mêmes qu'en astrophoto). Est ce que ça va être en nomade ou en poste fixe ( pour savoir comment on va alimenter le matos par exemple) Est-ce qu'on veut faire du ciel profond ou du planétaire. Ce n'est pas les mêmes modèles de caméra Si Newton, correcteur de coma (ciel profond). appareil photo ou caméra? Si caméra, vers quelle marque? Si Bresser, je ne suis pas sûr que l'ASIAIR fonctionnera par exemple. Dans ce cas il sera plutôt privilégié NINA, ASTAP, éventuellement Carte du ciel, PHD2, GSS je pense. La nécessité d'un focuser se fera sentir pour la mise au point. Il ne faudra pas oublier d'utiliser une méthode rigoureuse pour la collimation d'autant plus si le FD est petit. Des bandes chauffantes seront nécessaires. De la buée sur les miroirs ou la lentille et adieu les jolis bruts. Va falloir sérieusement s'occuper de vérifier s'il y a du tilt sur le Newton. Dans le cas d’utilisation de NINA un petit Pegasus (pas obligatoire mais bien pratique) peut être un bonne solution pour gérer l'alimentation les câbles etc... Il existe d'autres systèmes. Un pc pourrait avoir son utilité pour gérer le setup. Dans le cas de l'asiair on simplifie un peu les choses mais le système paraît plus restrictif pour le choix de la marque de caméra: ZWO. Et donc par extension focuser de la même marque. Ah oui aussi, bien mettre en adéquation la caméra imageuse, la caméra et la lunette guide. On rentre dans le domaine de l’échantillonnage. Une boite à Flat. Enfin viendra le moment de mettre tout ce petit monde au diapason et vogue la galère pour les premiers bruts!... Au final viendra le moment de faire le traitement et un choix des logiciels: SIRIL, PIXINSIGHT etc... S'en suivra de vérifier si le PC est bien adapté (certains logiciels ont besoin d'un configuration velue). Sans oublier de penser à calibrer les couleurs de son écran. Voici un peu les questionnements que tu risques d'avoir pour envisager l'astrophoto. J'ai juste commencé à aborder le sujet car il y a d'autres domaines à explorer pour construire son setup d'astrophoto. C'est une discipline très exigeante sans oublier que cela peut couter beaucoup d'argent.... Te faire accompagner pourra t'éviter beaucoup d'erreurs et des achats inutiles ( un club d'astro te rendra sûrement de grands services). Se cantonner au visuel au départ peut être une bonne école pour se familiariser et éviter de brûler les étapes. Il y a moyen de s'émerveiller en visuel. Bon ciel! Yann
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  31. Bonjour @Sobiesky, J'ai très bien connu Charpak du temps où il trainait encore ses savates, et je fais soft, dans les couloirs des labos de recherche. En fait Georges CHARPAK, et nous lui devons cela, a le premier mis au point expérimentalement la chambre proportionnelle à dérive multi-fils dans les années 1950, pas la Chambre à bulles. Jusque là c'était principalement ce type de dispositif qui servait de détecteur de particules avec de très nombreuses limitations puisque seules les particules chargées, et à conditions d'être dans une gamme précise de valeur de la rigidité magnétique, étaient mesurées et de façon imprécise. En France cette chambre à bulles était connue sous le nom de Mirabelle. Avec la chambre à dérive proportionnelle, le nombre de particules détectables a considérablement augmenté, et surtout la précision de leurs caractéristiques, permettant de mieux comprendre le noyau car plus en capacité d'inventorier tous les éjectas du résultat de collision dans un accélérateur. Parmi les modèles les plus aboutis de chambres à dérive des années 1980, le détecteur 4 pi stéradians baptisé Diogène était mon "bébé" sur lequel j'ai veillé jour et nuit près d'une dizaine d'années. Composé de dix chambres à dérive, il permettait de "voir" en trois dimensions les trajectoires de tous les débris de collision d'ions lourds que nous provoquions en sortie du cyclo-synchrotron Saturne et de son injecteur Mimas. Ney
    1 point
  32. Hello, J'ai délaissé le temps d'une soirée le ciel profond pour aller retrouver ma belle, ça manquait de refaire du lunaire ! Avec le C8, au foyer, 2 versions. En couleur avec la QHY5III715c En mono avec la QHY5III678m + filtre rouge 23A
    1 point
  33. Hop hop ça avance...
    1 point
  34. Bonsoir Mon Cher 'Bruno, Peut-être que ce que je vais poster te paraitra égalent "faux", mais voici une anecdote que j'ai vécu au printemps 1999 ; j'étais allé pour la première (et d'ailleurs dernière fois) voir le mythique télescope (d’un diamètre de 193 centimètres) de Haute-Provence 41 ans après que André Couder m’en aie révélé son existence !… [j'ai raconté le pourquoi de ma visite à l'OHP ici : https://www.webastro.net/forums/topic/28646-et-vous-comment-est-née-votre-passion/?do=findComment&comment=3099009 ] et lors du parcours de la visite je voyais par les fenêtres tous les ingénieur-astronomes et chercheurs en astronomie ne faisant tous qu'une seule chose : fixer leurs écrans d'ordinateurs. Et lorsque nous sommes arrivés dans la pièce du télescope de 193 centimètres de diamètre un de ceux qui suivait la visite a demandé à l'astronome, déjà assez âgé, qui assurait la visite « Mais ces gens que nous avons vu et qui fixent en permanence leurs ordinateurs, observent-ils parfois avec ce gros télescope ? ». Le guide a alors souri et lui a répondu « Ces chercheurs en astronomie n'y observent quasiment jamais, ils préfèrent visionner sur leurs ordinateurs les images venues par satellites des télescopes géants à Hawaï ou en Amérique du Sud. Je suis l'un des derniers à parfois observer avec le "193" ». Depuis le printemps 1999 cela a même dû s'accentuer !... Roger le Cantalien.
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  35. Le es 20mm il n’est pas urgent de le changer… que lui reproches tu? A cette focale et champ, un paracorr sera un gros plus par contre. Pour les focales plus courtes, ce sera moins important. desolé de te casser ta gamme, mais je pense qu’on peut la simplifier oui Bon sûr la qualité est sans doute différente, mais nikon ne propose pas de 21mm. Tu peux aussi prendre un es 24mm 82° ou penta xw23mm 85° pour compléter le nikon 17….
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  36. Il va vite se vendre !
    0 point
  37. Oui depuis que S&V a été repris par Reworld Media ils ne sont plus bons qu'à recopier le travail des autres ....
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  38. Hello Seb, je pense qu'ils ont récupéré les infos de la voix du nord. Le collègue leur avait envoyé l'image suite à notre APOD du lundi 12 février et on a eu un paragraphe en fin de journal hier (tu le retrouve sur le site web). J'ai vu que science et vie avait aussi repris le paragraphe.
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  39. @Le Gnou Tu peux également faire des simus pour du visuel en renseignant tes oculaires. Il y a le reste, les comètes, les planètes, la Lune,.. et Stellarium est quand même bien plus joli qu'Astronomy Tools !
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  40. Jamais réussi j pris APT avec mes APN.
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  41. Bonjour @'Bruno, Pour avoir évoluer dans le monde de la recherche en Physique Nucléaire, les astrophysiciens étaient également à côté de nous, nous ne bougions pas beaucoup et eux encore moins que nous. Nos déplacements c'était un ou deux congrès dans l'année. Un congrès c'est 10H00 chaque jour enfermé dans une salle de conférence, des tables rondes, des ateliers spécialisés éventuellement et le dernier soir un repas au restaurant quelque part en ville. Pour le travail c'est en effet un déplacement auprès d'un accélérateur pour un run expérimental d'une à deux semaines plus montage et démontage de l'expérience. Dans ce cadre là c'est une vie de moine qui vous attend, les centaines d'imprévus à résoudre, les 2 X 12 H de veille durant la manip, pas vraiment le temps pour autre chose et sûrement pas le tourisme. Les astrophysiciens eux n'avaient pas à se déplacer. Seuls deux ou trois ingénieurs et quelques techniciens se déplaçaient à l'observatoire. Ça ne faisait pas envie d'ailleurs. Passer 15 jours ou trois semaines au sommet d'une montagne où il n'y a rien d'autre que des télescopes, une cantine cantine et du froid toujours du froid, n'est pas vraiment ce qu'on appelle voyager. Ney
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  42. Bravo pour ce travail qui semble assez titanesque pour un néophyte.... Je suppose que avancer " en douceur" présente l' avantage de bien mûrir toutes les étapes...de prendre aussi les avis et conseils du forum .... Et puis un bricoleur qui s' énerve......risque de faire plus de bêtises qu'autre chose... Bonne continuation dans ce beau projet!! Une petite idée de la date ou le " bébé" pourra peut-être refléter ses premières étoiles?....🫢
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  44. Merci pour cette super info et les explications, je sens que je vais me régaler avec cet outil! En fait j'utilisais la version en ligne directement sur leur site et cet outil n'avait pas l'air d'etre dispo.. du coup j'ai téléchargé le logiciel et tout est bien là. 👍 Pour le prix (26€) ça valait pas le coup de m'en priver, c'était un peu un "ajout de panier" quand j'ai commandé mon filtre UHC. Ca me fera toujours un truc en plus à tester et le jour ou je me déciderai à investir dans des oculaires plus qualitatifs, j'aurai au moins un peu de "vécu" sur lequel m'appuyer pour choisir mes focales. 🙂
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  45. Félicitations c'est remarquable.
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  46. Bonsoir la communauté ! Voilà... l'envie de réaliser un abri roulant pour mon newton 200/1000 (monté sur NEQ6 pour de l'astrohoto) me trottait en tête depuis quelques mois et ces dernières semaines ont vu aboutir le choix définitif : un coffre de jardin toutenplastik fixé sur une base équipée de roulettes pour permettre de le déplacer facilement et rapidement sur l'herbe. Le trépied reposant alors sur l'herbe (voir plus tard pour maçonner des petites bases dessous). Le choix du coffre VS un abri de jardin s'est fait sur plusieurs critères : - une prise au vent moins importante et un centre de gravité plus bas, limitant les risques de cacatastrophe en cas de fortes bourrasques, tempêtes... - un déplacement plus facile sur roulettes du fait d'un poids plus faible (et je ne souhaitais pas réaliser de travaux dans mon jardin qui n'est déjà pas immense, de style "fondations pour y fixer des rails sur lesquels auraient pu rouler des petites poulies") - on oublie pas au passage de prendre l'avis de madame qui compte aussi (le patron est aussi parfois un peu une patronne 😉 ) : le coffre est plus discret qu'un abri de jardin (surtout quand il se retrouve en plein milieu du terrain, recouvrant le matériel) Avant de me lancer dans les recherches, j'ai pris les mesures de l'encombrement du matériel (lunette guide 80/400, télescope 200/1000, EOS 350D, monture,NEQ6, trépied, le tout assemblé bien entendu). Les points clés : - la hauteur : 150 cm : pour valider que, une fois fermé, je ne vienne pas écraser le matos - la profondeur à prendre entre l'aplomb de la butée de contre-poids et l'aplomb de la lunette guide : pour valider que cela passe entre la porte du coffre et le fond vertical - la profondeur mesurée sur le plan intersection du trépied à la hauteur donnée par la position future du plancher OSB (face inférieure) sur lequel repose le plancher de la cabane : pour définir s'il va rester assez de matière au niveau du plancher du coffre une fois découpée (garder de la rigidité). - pour la largeur : longueur du tube (un peu plus de 1 m) Après cela, je me suis lancé dans les recherches et suis tombé sur le coffre "store it out XL" de 2000L de volume (dimensions intérieures : largeur 164 x profondeur 97 x hauteur 127 cm). A partir de ses dimensions, j'en ai déduit qu'il me fallait avoir une hauteur roulettes+poutres+plancher d'environ 30 cm pour garantir suffisamment d'espace entre le bord des découpes du plancher OSB autour du trépied et également avoir une hauteur > 150cm. Choix des matériaux : - 2 roulettes diamètre 160mm fixes, hauteur totale : 200mm - 2 roulettes diamètres 160 mm pivotante, hauteur totale : 200mm - 2 planches OSB3 (adaptée aux milieux humides, mais il faut tout de même prévoir une lasure) de 205x67cm 18 mm épaisseur - 3 poteaux en bois traités classe 3 (contact ponctuel avec l'eau, qu'il faut prévoir de lasurer aussi) 2400mmx90x90 mm - 8 équerres pour raccorder les morceaux de poteaux - 1 corde à couper en 2 pour piloter l'engin lorsqu'on veut recouvrir le matériel. On peut ainsi voir l'espace restant autour des pieds et on évite de mettre en vrac la mise en station - des tubes carrés à planter dans le sol ainsi que des tubes ronds qui réalisent la liaison entre le coffre et le sol par insertion dans les carrés, afin d'immobiliser la bête... - de la lasure pour le bois, de la bombe de peinture pour les tubes... - les vis qui vont bien Soit un budget global de 585€. J'ai donc dessiné sur PowerPoint (non, ne rigolez pas) le concept de la base. J'ai partagé cela avec mon papa et en 1 week-end nous avons réalisé les découpes et assemblages : - découpe des morceaux de poteaux : scie à onglet et huile de coude (oui, avec une scie à onglet électrique, c'eut été plus rapide, mais je n'en ai pas... et il en faut une qui accepte une hauteur > 90mm) - assemblage des morceaux entre eux grâce aux équerres - fixation des roulettes (les pivotantes étant coté matériel afin de faciliter le "créneau" lors de l'approche avant couverture) et premier test de déplacement consistant en la chose suivante : mon papa tirait les 2 cordes alors que j'étais étendu "en araignée" sur la structure afin de voir si le déplacement futur allait être laborieux (mon poids représentant peu ou prou celui du coffre). Conclusion : ça se manipule facilement malgré un roulage sur de l'herbe et un terrain pas forcément très régulier 🙂 - découpe des planches OSB à la scie sauteuse (vive le monde moderne) en prenant soin de réaliser la zone dans laquelle vient "s'insérer" le trépied au plus juste tout en laissant un peu de place autour pour éviter de percuter le pied lors des manœuvres - fixation des planches OSB sur la structure poteaux, permettant alors une rigidification de l'ensemble - fixation du plancher du coffre à l'aide de 4 tire-fonds traversant l'OSB (penser à faire des pré-trous) et vissés dans les poteaux (ça ne bougera pas...) - assemblage du coffre en faisant attention de ne pas y aller comme un bourrin pour le serrage des diverses vis, ici on visse dans du plastique, plus dans du bois... - réalisation de pièce à partir du tube carré (idée de génie de mon papa...) : 1 de chaque coté, visée dans la structure poteaux. Ces pièces permettent de "verrouiller" la position du coffre et éviter ainsi les basculements et déplacement causés par le vent - réalisation des piquets tube carrés ainsi que des "tiges-verrous". Ici mon papa a joué les ferronniers 🙂 Jusqu'à maintenant j'avais calé avec des pierres, ça a tenu mais c'est peu durable. - validation du concept : l'ensemble se déplace bien, reste rigide et sa manipule assez facilement, évitant les chocs avec le trépied notamment. Il tient bien la pluie également puisque aucune goutte n'a été vue dans le coffre lors de la forte pluie de début de semaine. De l'eau par contre arrive à stagner sur la planche OSB => il est urgent de lasurer !! - démontage du coffre hier (juste avant le nouveau déluge...) pour réaliser le lasurage de la strcture OSB+poteaux (activité du week-end) - peinture des piquets et verrous et plantage des piquets dans la zone de parking (lorsque le télescope est rangé dans la maison) et dans la zone active (emplacement à peaufiner). Voilà voilà. Avec ça, je devrais pouvoir laisser mon matériel monté de février à octobre (voire plus ?). J'espère que ce post vous aura inspiré. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques, questions... Bonne soirée à toutes et tous. Cyrille - Près de Clermont-Ferrand.
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  47. Réparation pour consommation anormale des piles effectué en une semaine envoie compris. Un SAV de pro.😉
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