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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 12/16/25 dans Messages
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2 nuits dégagées ! Youpiiii ! J'ai choisi un champ un peu large pour essayer de faire la part belle aux IFN, c'est ma version des Pléiades. On peut discuter le résultat et les couleurs. L'autoguidage a été souvent dans les choux (donc du déchet), sauf après le retournement...Je me demande si je ne dois pas faire une petite laparotomie exploratrice de la GTI... (réglage backlash...). 🗓️: 13 et 14/12/2025 🔭: Askar SQA55 📷: Player One Poseidon C-Pro ❄️-10° ⚙️: StarAdventurer GTI 🚥: Player One Anti-Halo UV/IR cut 🎯: ZWO ASI120mini + lunette 30 f/4 💻: NINA + GSS + PHD2 ⏱️: 198x120s (6h30) 🎚️: Gain 125 🖥️: Siril + PixInsight + Photoshop 🌍: Haute-Vienne 🌔: 0% 🌌: Bortle 48 points
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Hello, Autre image "fraîche" , réalisée fin novembre, enfin traitée. La nébuleuse NGC1333, lieu de formation d'étoiles. Déjà faite aussi par le passé, avec moins de réussite. ça m'a pris quand même 3 nuits pour accumuler assez d'images pour les 4 filtres. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 881mm f/d 4.3 Caméra QHYminicam8 mono Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA L= 1500 x 20s R= 102 x 60s G= 104 x 60s B= 101 x 60s Mode Full Gain 82 offset 50 T° -5°C Pré-raitement Sirilic/Siril , Pixinsight. Etirement VeraLux Une brute de 20s avec le filtre L: Image finale:4 points
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Hello, Me voici de retour après une (trop) longue période d'absence active sur le forum (temps pourri, occupations, flemme, etc....). Retour aux affaires avec quand même quelques images réalisées entre temps. NGC 2403 (aussi appelé Caldwell 7) est une galaxie spirale intermédiaire rapprochée et située dans la constellation de la Girafe. NGC 2403 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1788. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 881mm f/d 4.3 Caméra QHYminicam8 mono Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA L= 599 x 20s R= 70 x 60s G= 68 x 60s B= 65 x 60s Mode Full Gain 82 offset 50 T° -10°C Pré-raitement Sirilic/Siril , Pixinsight. Etirement VeraLux (je ne sais pas si les images vont bien s'afficher) Une brute de 20s filtre L:1 point
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Salut, Hier, j'ai eu le bonheur de pouvoir faire du visuel à travers le T500 de @savoyard pendant que mon matos lui, tournait en autonomie complète à 20 bornes de là. Ce fut une soirée à marquer d'une pierre blanche bien que j'ai loupé le "casque" au T500, trop occupé étais-je à discuter avec un "voisin de monture" de son club. Cela m'a néanmoins donné l'idée de le faire lorsque je suis rentré sur le coup de 01H30. Donc voici, résultat de 2H1/2 d'intégration en poses de 240Sec au T350 F4.6 et ASI6200MC en starless: A vos commentaires a+ Serge1 point
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Salut, chez moi l'horizon sud est un peu masqué et le sud c'est vers le centre ville... Donc j'ai en gros 2h30 de prises de vue possible par nuit sur cette cible. Comme je l'avais fait pour l'aigle, j'ai décidé cet hiver de passer le plus de temps possible sur cette cible en parallèle du reste. Malheureusement la météo, c'est la cata et depuis octobre, j'accumule des petits bouts sur je ne sais plus combien de bouts de nuits... Pour augmenter la qualité, sur M16 j'avais sélectionné 50% des meilleures images. Pour le moment, je suis à presque 12h de cumulé avec 75% de retenu. Faut que j'avance encore car je souhaite réduire à 50% aussi et je dois faire le RGB... Vu les prévisions, je vous fait un point intermédiaire. J'ai mis l'image sur Télescopius mais je n'arrive pas à mettre un lien correct ici. Vous savez comment faire avec Telecopius ? En attendant la voilà en découpant le lien télescopius et donc pas moyen de zoomer. https://telescopius.com/pictures/view/254470/deep_sky/ngc-2023/ic434/by-hibon Suite au prochain épisode Sam1 point
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Pour répondre franchement : oui, un vrai profil ICC imprimante Il faut effectivement : une sonde de mesure (spectrophotomètre, pas un simple colorimètre écran), imprimer une ou plusieurs chartes de couleurs sans aucune correction, mesurer les patches, et générer le profil à partir de ces mesures. C’est exactement ce que font les labos… et c’est pour ça qu’un profil précis a une vraie valeur. Sans cet équipement, on peut s’en approcher, mais on ne fera jamais un profil réellement fiable. Dans ton cas précis (Canon G650) Bonne nouvelle : Canon fournit déjà des profils ICC corrects pour ses papiers officiels → ils sont souvent très bien. Pour des papiers tiers, certains fabricants sérieux proposent leurs propres profils pour les imprimantes grand public courantes. Ça vaut toujours le coup de vérifier avant de bricoler et de perdre du temps et de l'argent. Les profils dits « universels » peuvent dépanner, mais il faut les voir comme une béquille, pas comme une solution définitive. Si un jour tu veux aller plus loin, il existe des services de profilage à distance : tu imprimes une charte, tu l’envoies, ils te renvoient le profil. Ce n’est pas très cher et ça change tout. Papier mat Très bon réflexe. Un beau papier mat de qualité (baryté mat, fine art coton) est souvent une révélation… à condition de préparer l’image pour lui. Le rendu est plus subtil, plus “photo”, moins spectaculaire mais souvent plus juste. perso je n'utilise que du papier mat pour les propres tirages jamais de lustré ou encore pire du brillant 😉 Format de fichier pour l’impression Réponse courte et claire : TIFF si possible (16 bits, non compressé ou LZW), sinon JPEG qualité maximale fonctionne très bien aussi en pratique ( et dans 99% des cas la différence de rendu n'est pas visible) L’essentiel n’est pas tant le format que : rester en RVB, (jamais de sRVB) conserver l’espace couleur (Adobe RGB ou ProPhoto), et éviter toute reconversion sauvage avant l’impression. En résumé profils ICC précis = matériel spécifique, oui, profils constructeur ou papier = très bon point de départ, fichier RVB propre + écran calibré = 80 % du boulot, le reste… c’est de l’expérience et du papier consommé 😄 Dernier point, souvent contre-intuitif : dans beaucoup de cas, confier ses fichiers à un bon laboratoire est plus économique que d’imprimer soi-même. Entre : le coût des encres, les papiers, les essais ratés, le temps passé à ajuster, recommencer, comparer, et l’investissement en matériel (sondes, profils, maintenance), le tirage “maison” devient vite cher dès qu’on cherche un résultat vraiment maîtrisé. Un bon labo, c’est : des machines calibrées en permanence, des profils ICC éprouvés, des papiers connus et maîtrisés, et surtout un tireur qui interprète l’image, pas juste un bouton “imprimer”. Pour des tirages importants, des formats exigeants, ou des images complexes (comme le ciel profond), le labo fait souvent gagner du temps, de l’argent… et quelques cheveux blancs. et je sais de quoi je parle j'étais à ta place il y a une vintaine d'année avant de creer mon labo et mon studio photo1 point
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Bonjour, Retour très intéressant. Pour me situer brièvement : je suis tireur dans un laboratoire photo professionnel, et ce que tu décris correspond exactement à ce que l’on rencontre dès qu’on passe de l’écran au papier — encore plus en ciel profond. Le tirage n’est pas une simple étape technique, c’est un métier à part entière, et les essais successifs que tu évoques font pleinement partie du processus. Un point important à clarifier, car il revient souvent : le CMJN n’a aucune utilité en impression photo jet d’encre. Les imprimantes photo, qu’elles soient de bureau ou de laboratoire, impriment toutes à partir de données RVB. Elles utilisent leurs propres encres (souvent bien au-delà du simple CMJN) et un moteur de conversion interne piloté par le profil ICC du papier. Travailler en CMJN, ou avec un profil type ISO Coated, revient donc à restreindre inutilement le gamut et à compliquer la chaîne couleur sans bénéfice réel. En pratique, en labo comme en atelier : on travaille exclusivement en RVB, avec un espace large et propre : Adobe RGB (1998) ou ProPhoto RGB selon les habitudes, et on laisse la conversion se faire au moment du tirage, via le profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier. Le soft proofing a bien sûr tout son sens, mais en RVB, avec le bon profil papier. Le CMJN est un excellent outil… pour l’offset et la presse, pas pour le tirage photo. Concernant les papiers, un point mérite aussi d’être nuancé. On lit souvent que seuls les papiers brillants permettent d’obtenir des noirs profonds. Ce n’est pas faux… mais ce n’est pas toute l’histoire. Un papier mat peut parfaitement produire des noirs très denses, à condition que ce soit un vrai papier photo mat de qualité (baryté mat, cotton rag, fine art mat) et que l’image soit préparée pour ce support. La différence, ce n’est pas tant la profondeur du noir que sa perception : en brillant, le noir paraît plus dense grâce aux reflets, en mat, le noir est plus doux, plus absorbé, mais souvent plus lisible et plus stable selon l’éclairage. En laboratoire, on constate souvent que : un mat bien choisi donne des noirs moins « claquants », mais plus détaillés, les très basses lumières passent parfois mieux en mat qu’en brillant, surtout sans lumière rasante, et l’absence de reflets change complètement la lecture d’une image très sombre comme le ciel profond. Le papier n’est donc pas un simple support, c’est un outil de rendu. Chaque surface impose sa logique : le brillant flatte, le satiné équilibre, le mat interprète. Aucun n’est supérieur aux autres — ils ne racontent juste pas la même chose. Et j’insiste vraiment sur un point fondamental : l’étalonnage écran et papier n’est pas une option, c’est la base absolue. Sans écran calibré correctement, on ne corrige pas une image : on la devine. Et sans profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier, on ne tire pas une photo : on tente sa chance. En laboratoire, la chaîne est simple et immuable : écran calibré à des valeurs cohérentes (luminosité, point blanc, gamma), fichier travaillé en RVB (Adobe RGB ou ProPhoto), soft proofing activé avec le profil ICC exact du papier utilisé, et une seule gestion des couleurs, pas deux. C’est ce qui permet d’avoir : un tirage prévisible, reproductible, et fidèle à l’intention de départ. Sans cette cohérence écran → fichier → papier, on peut multiplier les essais, baisser ou monter la luminosité, changer de papier… le résultat restera aléatoire. Avec elle, un tirage bien préparé sort juste du premier coup, ou presque — et quand ce n’est pas le cas, on sait exactement pourquoi. si vous avez des questions hesitez pas 😉1 point
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1ere tentative : Lundi matin 3h15, je mets le réveil pour tenter d'imager cette comète 3I/ATLAS Je commence à 3h30 pour tester et décide de changer le cadrage Ciel suffisamment clair mais hélas pas assez longtemps pour pouvoir l'avoir mieux que ça Je n'ai pas fait d'alignement sur la comète Par contre j'ai choppé une galaxie NGC en limite de champ et plusieurs très faibles à l'intérieur C'est finalement petit à 930mm de focale La photo est issue de 15x60s avec un voile nuageux par moment (vers 3h50) Version astrométrie faite sur Pixinsight et annotée1 point
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Non, les photos sont en fait liées à des images hébergées ailleurs. Par exemple Ici sur Flickr : ou là, sur Zupimages : etc. On peut aussi le faire via la Constellia, mais c'est tellement laborieux... Le plus simple est donc de faire son post sur Astrosurf, et de dupliquer le message sur Webastro avec juste un lien vers le message initial sur Astrosurf. A+ Fred1 point
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Salut Seb Superbe ! cela mérite un tableau au mur !1 point
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Probablement la dernière de l'année avec le mauvais temps qui vient et la lune qui va suivre... Alors bonnes fêtes à toutes et tous 🌷🌻🌸 Ca mériterait quand même plus de poses (je n'ai pu faire que 4h) C'est pas mal croppé et réduit pour le forum1 point
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et même plus de 9h dont la moitié en luminance avec des poses de 180s Après une première version en rgb baader contre Antlia le match j'espérais un net progrès avec la luminance. J'ai même rajouté pas mal de rgb mais je ne vois pas trop d'amélioration : les étoiles sont un peu plus grosses et les nébuleuses sombres ne sont pas beaucoup mieux Pas compris comment assembler avec Siril donc à l'ancienne avec Iris après le prétraitement des 4 couches avec Siril puis Graxpert Par contre, j'aime bien le cadrage, on dirait un papillon1 point
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Mais heu, ok, c'est pas super que le wifi se déconnecte, mais ca devrait avoir aucun impacte sur ta séssion photo, si ?? Je veux dire que tout est connecté cablé a la cam/air, et ce que tu perds quand ca se déconnecte, c'est juste la visualisation en temps réel des image sur ton tel, mais tous les sub restent engegistrés, et l'aquisition continue, donc tu te reconnecte, et ca repart. En gros a 15M ca marche toujours, au dela de 20M ca dépand si murs, maison, beton armé, etc... normal quoi. mais tu te rapproche avec ton telephone, tu te reconnecte au wifi, et tout marche. A moins que tu ne puisse pas te connecter a moins de 10M sans mur entre les 2, le SAV ne changera rien La je comprend pas !! pourquoi ?? tout ton set-up continue a tourner ! tout marche, c'est juste que l'image n'arrive plus a ton telephone, mais rien a re-lancer, meme le guidage continue quand ca se déconnecte!1 point
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Les couleurs des etoiles sont tres bien. honnetement pour 30 min, c'est tres bien ! je pensais pas qu'il rentrait dans le cadre a 1500mm de focale.1 point
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Un peu l'inverse pour nous hier soir... Arrivée à l'Observatoire à 18h.. Soirée passée à vérifier, bricoler, apprentissage logiciel, installation Grappa,.... Ciel, bouché, voiles, brouillard,....mais "ça doit se dégager vers 23h" Vers 24h...vers 1h,...vers deux heures.... Au programme, l'occultation à 3h08 TU (4h08 TTC) d'une étoile magnitude 13,5 par un satellite de Jupiter KAllichore. Kallichore mesure 2km, est à 23 000 000 km de Jupiter soit un peu plus de un degré... Et il faut des temps de pose inférieurs à 100ms pour une durée d'occultation de 0,2s... Et à 2h30 le ciel se dégage, ciel magnifique, quelques brumes... On est trois devant les écrans. Après réduction, pas d'occultation, mais bon...on a fait avancer la science... un tout petit peu.... Au dodo à 5h45... JL1 point
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Bien vu, c'est fait avec la taka FSQ85 Pour tenir compte de vos remarques :1 point
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Salut, inspiré par @fcouma j'ai voulu tirer le portrait de ces amas mais c'est moins bien réussi, sans doute à cause de brumes. mais ça doit être mon seul amas overt. a+ Serge0 point
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Bonsoir à tous 👋 Cela faisait quelques temps que je n'avais pas partagé avec vous mes photos. Je continue ma découverte de cette discipline passionnante qu'est l'astrophotographie et je progresse petit à petit dans l'usage de Pixinsight. Je soumets donc mes derniers travaux à votre regard affuté pour savoir quels seront les points sur lesquels je vais devoir m'améliorer. Le matériel a peu évolué pour l'instant : SW 80ED DS Pro SW Wave 150I (pas d'autoguidage) Zwo ASI2600MC Pro Filtre Altair Astro 6nm Ha/OIII (pour IC410, C49 et SH2-114) ZWO ASIAir Plus. Les images sont traitèes sous Pixinsight. A vos commentaires Bon ciel à tous ! Edit : les images passent pas, ça commence à devenir casse bonbon... SH2-114 La nébuleuse du dragon volant https://telescopius.com/pictures/view/254298/deep_sky/sh-2-114/flying-dragon-nebula/by-evilspirit M45 Les Pléiades https://telescopius.com/pictures/view/254292/deep_sky/ic-1990/les-pleiades/by-evilspirit M42 La nébuleuse d'Orion https://telescopius.com/pictures/view/254290/deep_sky/ngc-1973/nebuleuse-d-orion/by-evilspirit IC410 la nébuleuse des têtards en HOO https://telescopius.com/pictures/view/254288/deep_sky/ic-410/ic-410/by-evilspirit C49 la nébuleuse de la Rosette en HOO https://telescopius.com/pictures/view/254287/deep_sky/ngc-2237/c49-la-nebuleuse-de-la-rosette-hoo-le-22-11-2025/by-evilspirit0 point
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Les Pléiades - M45. Quelle aventure ! J’ai rencontré plusieurs problèmes avec mon APN pendant la session. Après une cinquantaine de photos, il s’est comme « déconnecté » de l’ASIAIR, ce qui m’a obligé à relancer plusieurs fois la configuration. Ce matin, en voulant vérifier tout ça et faire mes flats, j’ai eu une autre galère : les images étaient complètement corrompues. Au lieu d’obtenir des flats normaux, je n’avais que des fichiers de quelques kilo-octets avec des pixels en forme de traits, rien à voir avec les images habituelles. Pour couronner le tout, hier soir il faisait négatif avec une forte humidité et du brouillard givrant. Je me dis que ça a pu jouer… Et comme si ça ne suffisait pas, en ramenant le matériel à la maison, j’ai fait tomber mon boîtier ASIAIR. Il a frappé la seule partie en béton sur mon trajet ! Résultat : une marque sur le boîtier et l’antenne cassée. Heureusement, le boîtier en aluminium semble fonctionner correctement, et l’antenne est facilement remplaçable pour une dizaine d’euros. Concernant l’APN, j’ai fait des tests à la maison et tout fonctionne normalement. J’ai changé le câble, testé d’autres ports USB sur l’ASIAIR… aucun souci ici. Je ne comprends pas. Peut-être que c’était lié à l’humidité ou au froid, ou alors mon APN commence vraiment à vieillir. Bref, cette image a été compliquée à réaliser ! Exifs : - 86x180s à 800 iso - Canon 60D défiltré LPF-1 mod - Télescope : SW Quattro 250P 250/1000 - Monture : SW Eq6 r Pro - Autoguidage lunette 60mm ZWO mini - DOF : 30x30x30 - Pilotage : Asiair Plus 256go - Prétraitement Siril + Traitement : LR0 point
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https://storage.googleapis.com/dso-browser.com/astrophotography/picture-fb1e51d5613bbf9259b81f61edab8e8f-original.jpg0 point
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J'ai réussi à éliminer complètement le défaut central des lentilles de 52 mm de diamètre et de 4 m de focale. Les lentilles nr 1 et nr 3 sont polies sur papier. La correction a été obtenue par de longs mouvements de polissage sur toute la surface de l'outil, jusqu'à usure complète du papier, en combinant des mouvements de va-et-vient et des mouvements de centre à centre. J'ai ainsi obtenu des lignes de Ronchi parfaitement droites en autocollimation double, confirmant une surface optique bien corrigée et précisément rectifiée. Les observations de Jupiter effectuées hier soir étaient véritablement remarquables. Avec une lunette de 1530 mm de focale et une ouverture effective de 32 mm, l'image était impeccable, la lentille étant polie sur papier. Les bandes nuageuses équatoriales et polaires étaient clairement visibles à un grossissement de 76×, aussi bien avec un oculaire Kepler de 20 mm qu'avec un oculaire Plössl de 20 mm. Le passage à un oculaire Plössl de 15 mm offrait une vue spectaculaire de Jupiter, mais ce n'était qu'un avant-goût des résultats suivants. Les lentilles de 2,2 m de focale, numérotées 1, 2 et 3 (les deux premières polies sur papier et la troisième polie au feutre), ont produit des images exceptionnelles. Les images les plus nettes et les plus contrastées ont été obtenues avec les lentilles polies sur papier, en particulier la lentille n° 1. À des ouvertures effectives de 38 mm et 37 mm, Jupiter présentait une image d'une finesse remarquable, avec des bandes atmosphériques visibles dans de légères teintes orangées, se rapprochant de l'aspect offert par une lunette achromatique de haute qualité. L'image était comparable à celle d'une très bonne lunette moderne de 70/700 mm dotée d'une optique performante, tout en étant nettement plus nette et plus précise. Les meilleurs résultats ont été obtenus à un grossissement de 88× avec un oculaire Kellner de 25 mm et à 110× avec un oculaire Plössl de 20 mm. L'utilisation d'un oculaire Kepler de 20 mm, composé d'une lentille convergente, a considérablement amélioré le contraste de l'image, confirmant l'avantage de ce type d'oculaire pour les observations planétaires à très grand rapport focal. La détection de la Grande Tache Rouge (GTR) à un grossissement de 110×, visible aussi bien avec l'oculaire Plössl de 20 mm qu'avec l'oculaire Kepler de 20 mm, fut une véritable surprise. J'ai ensuite augmenté le grossissement à environ 130×, en utilisant un oculaire de 17 mm et un filtre jaune foncé n° 15. L'image de Jupiter est devenue véritablement impressionnante : la planète occupait près de la moitié du champ de vision apparent de l'oculaire Plössl de 17 mm, et les détails atmosphériques étaient stupéfiants. Les bandes nuageuses apparaissaient comme des structures ondulées, laissant apparaître de subtils détails entre elles. La plus grande surprise fut la détection de la Grande Tache Rouge, bien qu'à la limite de la visibilité, à travers ces lentilles polies. À ce moment précis, le satellite Io transitait devant le disque planétaire et son ombre se situait près de la Grande Tache Rouge ; cependant, l’ombre elle-même restait invisible avec une ouverture effective de 37 mm. J’ai alors monté l’objectif de 52 mm de diamètre, fraîchement poli, d’une focale de 4 m, utilisé avec une ouverture effective de 46 à 48 mm. L’aberration chromatique sur Jupiter était très faible. À un grossissement d’environ 100×, avec un oculaire Plössl de 40 mm, Jupiter apparaissait grand, brillant et très net. La séparation entre les bandes équatoriale et polaire était clairement visible et la structure atmosphérique générale était immédiatement perceptible. À 125×, avec un oculaire Plössl de 32 mm, l’image était encore plus impressionnante et la grande surprise fut l’observation claire et confirmée de la Grande Tache Rouge vers 23 h. Malheureusement, l’observation de l’ombre d’Io n’a pas été possible en raison de la configuration du télescope aérien. Néanmoins, les résultats obtenus sont exceptionnels et démontrent clairement le remarquable potentiel optique de ces lentilles polies sur papier lorsqu'elles sont correctement façonnées et utilisées dans de bonnes conditions d'observation. Des images simulées sont présentées ci-dessous. Jupiter simulé avec une lunette de 32 mm et une focale de 1530 mm à un grossissement de 102x Jupiter simulé avec un objectif de 48 mm et une focale de 4 m à un grossissement de 100x avec un oculaire Plössl de 40 mm. Jupiter simulé avec un objectif de 52 mm de diamètre utile de 46 mm et une distance focale de 4 m, à un grossissement de 125x avec un objectif Plössl de 32 mm. Jupiter simulé avec un objectif de 52 mm de diamètre utile (48 mm) et une distance focale de 4 m, à l'oculaire Kepler 88x 45 mm. Jupiter simulé à travers la lunette de 2,2 m avec une ouverture de 38 mm et un grossissement de 110x Jupiter simulé à travers la lunette de 2,1 m avec une ouverture de 34 mm et un grossissement de 84x0 point
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Superbe résultat Tenté au seestar S50 avec un résultat décevant0 point
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Bonjour, je partage avec vous mes observations de la semaine. Dans la nuit du 12 au 13 et du 13 au 14 (Décembre), nous avons assisté à une belle pluie d’étoiles filantes. Accompagnés, nous nous sommes posés au col d’Ibardin, dans un belvédère d’herbes, allongés pour admirer le ciel à 360°. Un beau spectacle qui nous a permis de voir de nombreuses étoiles filantes et quelques bolides, dont deux grosses étoiles filantes laissant derrière elles une belle traînée bleutée. Pour celles et ceux qui se demandent : une étoile filante est un astéroïde (ou plus précisément un météoroïde) qui faisait partie d’une comète et qui est ensuite entré dans notre atmosphère. Le contact avec l’air, à très grande vitesse, entraîne un frottement si intense que cela s’enflamme. Et lorsque cet « astéroïde » atteint le sol, on l’appelle alors une météorite. Astronomiquement.0 point
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Ah oui en effet ça rend par pareil! Pas sûr que je puisse tenter une prise sous ma latitude. Après bon, comparer une photo de 30 minutes faite entre deux nuages et une photo avec une apo quintuplet sur 48 heures0 point
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Ah oui, tres bien, les poussieres ressortent super bien, avec meme des couleurs !0 point
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stellarium app (android) est bien, mais stellarium sur ordi, ca cartonne ! et le tout gratuit.0 point
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@Celebrinnar Merci pour ton commentaire. @Ant-1 Merci pour tes remarques. Le Père Noël doit déposer sous mon sapin la prochaine évolution du setup : ASI220mm mini + OAG-L + EFW 5x2" pour le train optique et un nouveau porte oculaire pour le newton0 point
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Arf... Astroshop qui m'écrit pour me dire que mon cadeau de Noël - à savoir un set d'oculaire APM - ne sera finalement pas livrable avant le 1er février... Faut croire que j'ai pas été si sage que ça 😄0 point
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+1 avec Ant-1... Et tu peux utiliser ton vieux portable pour le commander à distance si besoin (ou une tablette). Çà te permettra de réduire la longueur USB et éviter les problème aussi, tout en réduisant tes fils à la patte. N'hésites pas à comparer les performances des processeurs si besoin ici: https://www.cpubenchmark.net/singleCompare.php0 point
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Honnetement, prend un mini PC sans écran, mais pas l'asiair, (qui est tres bien, mais nul en planetaire) il suffit qu'il est l'USB3. ya pas besoin de puissance, peu de RAM, etc. pourquoi un vieux portable d'occase, lourd, crain l'humidité, etc. Et tu le pilote avec ton tel / tablette. Ou alors direct une tablette windows (pas android), ca coute 200/300 balles et ca gere tout tout seul, facile, leger. USB3.0 point
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Bonsoir les ami(e)s J'espère que vous allez bien . La vie dans la mousse début novembre , il s'agit d'une réserve pas trop ancienne cette fois , à part une grande paramécie qui se balade hors champs toutes les autres sont petites........et encore nombreuses à cet époque . Je vais faire des prélèvements cette semaine pour voir si il y a quelque chose à montrer ........ L'objectif de la vidéo est de 40X Bonne soirée à toutes et à tous , amicalement Charles .0 point
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Pas encore besoin de pilule bleue à mon âge ! (voir mon profil) elles ne sont que 7 Non, c'est le grand bleu (voir mon pseudo)0 point
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https://postimg.cc/BP1zJWyD j'ai exactement la même. je t'envoie une copie du manuel dans la soirée.0 point
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un acheté , un crédité sur la carte Webastro. C'est les big promos de Noël, tu en as bien profité Sergio0 point
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Nous allons à 1675, année où fut découverte la division Cassini avec les réfracteurs de 34 pieds et 20 pieds, note Cassini : Deinde latitudo Annuli Dividebatur bifariam, Lineˆa obscurˆa apparenter Ellipticˆa reverˆa Circulari quasi in duos annulos concentricos, quorum inside outsidei lucidior erat. Hanc phasim stim post emersionem Saturni `e Solaribus radiis per totum annum usque ad ejus Immersionem conspexi prim`o quidem, Telescopie Pedum 35, deinde minori, Pedum 20. Ejus delineationem, utcumque rudem, ownante calamo hic adjeci. Ensuite, la largeur de l'anneau a été divisée par une ligne sombre, qui semble elliptique, mais en réalité circulaire, comme deux anneaux concentriques, l'anneau intérieur étant plus brillant que l'anneau extérieur. J'ai observé tout au long de l'année suivant immédiatement cette phase où Saturne émergeait des rayons du Soleil jusqu'à son immersion ; d'abord avec le télescope de 11 mètres, puis avec un plus petit de 6 .49 mètres. J'en ai fait un croquis, certes approximatif, que j'ai ajouté ici à la hâte. Extrait de la lettre de M. Cassini concernant une tache récemment observée dans le Soleil, ainsi qu'une observation remarquable de Saturne, effectuée par le même homme, Philosophical Transactions, vol. XI, 25 septembre 1676, p. 690. Voici une description de la découverte dans les archives de la Royal Society de Londres, parmi les images et autres dessins de Jupiter datant de 1674 et 1675.0 point
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J’ai vu très grossières erreurs sur chat gpt, et de grosses variantes selon des recherches identiques repetees ca me fait froid dans le dos à la pensée que je puisse l’utiliser pour la médecine exemple chat gpt fournit des données chiffrées et des courbes le problème est que le résultat des courbes peut être très différent (plus de 30%) des chiffres c’est un bon instrument de débrouillage pour collecter des donnees pas pour des utilisations professionnelles en particulier medicales En fait je l’utilise surtout … pour des recettes de cuisine 😎0 point
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Le vendredi 21 novembre, lors d'une sortie improvisée, j'ai enfin pu ressortir mon OVNI-M. Nous sommes sur notre site habituel du Mémorial de la Ferme de Richemont à Saucats, 33, France. Le bortle est de 4 et l'horizon sud est bien noir. L'inconvénient, la pollution lumineuse de la ville de Bordeaux plein nord, pourtant situé à une trentaine de kilomètres. Mon objectif de la soirée est de revoir les nébuleuses de la Tête de Cheval et de la Flamme dans la constellation d'Orion. Mais il faut patienter car Orion trop basse pour le dobson 400 de mon mari. Nous observons des amas ouverts et des globulaires, ainsi que la galaxie de la Crosse de Fougère, à la demande d'un participant souhaitant voir une galaxie au télescope. Effectivement, le ciel d'automne n'est pas propice à ce genre d'objet. En mettant l'OVNI, on perçoit mieux les contours de cette petite galaxie de la constellation du Bélier. On va donc faire le tour des amas d'étoiles présents, ainsi que le double amas de Persée. En regardant bien, on peut y voir le "parachutiste", un groupement d'étoiles en demi-cercle et une autre étoile plus basse mais pile sous l'arc. C'est amusant. En rajoutant le filtre H-alpha, on va visiter les Dentelles du Cygne, un rémanent de supernova dont la coquille en expansion proviendrait d'un astre ayant explosé il y a quelques dizaines de milliers d'années. Le froid est piquant et une petite brise glacée se rajoute à l'ambiance. Nous sommes une petite dizaine d'observateurs à 23h. Mais il faut attendre encore un peu malgré le givre qui commence à se déposer sur la jupe du Dobson. Pour patienter, je change la configuration de l'OVNI pour observer à la main. Avec le filtre H-alpha, nous faisons le tour des nébuleuses du ciel d'été à l'ouest dans la constellation du Cygne, avec un passage par les constellations de Céphée et Cassiopée, puis en redescendant vers Persée et, enfin, en glissant sur le sud-est vers les constellations des Gémeaux et de la Licorne où la nébuleuse de la Rosette est impressionnante par sa taille ! Le final est pour Orion bien sûr mais encore bas sur l'horizon. Une fois que tous les participants ont observés, j'enlève le filtre pour montrer les lumières invisibles. Je les appelle ainsi car à l'œil nu, on ne voit rien, même pas de halo sur l'horizon. Mais dès qu'on regarde avec l'OVNI, on voit ces points lumineux comme des lampadaires mais avec une lumière plutôt écrasée, ténue bien que lumineuse. Peut-être des caméras à infrarouge ? Je ne sais pas. Le ciel étoilé se révèle d'un autre éclat avec l'oculaire. Il y a bien plus d'astres et les amas d'étoiles, visibles à l'œil nu, sont très marqués grâce à la vision de l'OVNI. On peut aussi voir les personnes, arbres et plantes tout blanc mais parfaitement visibles. J'en profite pour regarder mon setup photo placer à 50 mètres et qui capture des photos de 30s pour réaliser une circumpolaire. Puis mon mari m'appelle... il est temps de mettre l'OVNI-M et le filtre H-alpha au foyer de son télescope. Et là, elle apparaît, tel un fantôme sombre. On la voit parfaitement. La Tête de Cheval se découpe bien dans l'oculaire. Elle est moins fine que sur les photos et sa structure remplie environ 50% du champ de l'oculaire, c'est impressionnant ! Je glisse de l'autre côté de l'étoile d'Alnitak afin d'admirer la Flamme... on peut dire qu'elle est flamboyante ! Elle aussi remplie 50% du champ de l'oculaire. Etonnant que ces deux objets aient quasi la même taille à l'oculaire alors que la tête de cheval a une taille apparente de 8' d'angle, et la Flamme de 30'. On se régale... ça valait la peine d'attendre et de se geler un peu. Une fois tous les curieux satisfaits, on passe sur la grande nébuleuse d'Orion qui s'offre dans son entièreté. Elle déborde un peu de l'oculaire mais sa forme est magnifique, tel un oiseau étendant ses ailes avant de s'envoler. Que de détails on peut voir en son sein. Les quatre étoiles du trapèze sont parfaitement visibles. On se balade sur toute sa surface, on va même voir la nébuleuse de l'Homme qui marche. Mais cette dernière est à peine visible. On la devine plus qu'on ne la voit. La curiosité enfin assouvie, les participants quittent le site pour retrouver la chaleur de leur voiture, puis de leur maison. Ceux qui ont installé du matériel décident aussi de tout ranger. C'est le premier vrai froid de la saison et nos corps ne sont pas encore habitués à le supporter. Mais ces observations à l'OVNI-M, que ce soit à la main ou au foyer d'un télescope, valait tous les chauffages du monde ! Pour la vidéo et l'image finales, suivre le lien :0 point
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Salutations ! Une image de K1 le 10/12, 01h TL. J'ai un doute sur un possible nouveau fragment juste en arrière du fragment principal. On ne le voit que sur certaines images unitaires, car la définition a beaucoup baissé : il faut maintenant poser une minute pour avoir une image décente, ce qui baisse la définition gobale. C'est peut-être du bruit ? MAis d'un autre côté, après avoir visionné des images obtenues par d'autres cométeux, le doute persiste. La zone paraît allongée à minima. https://ibb.co/qF79yfRq https://ibb.co/cSXzhV0z c0 point
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