Classement
Contenu populaire
Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 12/07/25 dans toutes les zones
-
Double amas de Persée, très sympa à l'oculaire grand champ mais que je n'avais jamais tenté en photo 14/10/2025 en 53x60s Pré-traitement SIRIL + Traitement Photoshop + RCAstro et Pix (Bxt)12 points
-
Qu'ont pu observer les astronomes du XVIIe siècle avec les lunettes astronomiques de l'Observatoire de Paris ? Une question me taraude depuis des années : qu'ont pu observer les astronomes du XVIIe siècle avec leurs instruments ? Compte tenu de leurs focales extrêmement longues, de leur taille imposante et du poids nécessaire à leur manipulation, nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur leurs observations. J'ai découvert dans les archives de la bibliothèque de l'Observatoire de Paris de nombreux dessins réalisés par des astronomes de l'observatoire au milieu du XVIIe siècle. De grands noms comme Cassini, Maraldi et Rhómer ont laissé des croquis et des comptes rendus d'observations. Vous trouverez ci-dessous tous les dessins, étape par étape, de 1673 à 1735. Commençons par le début : Jean-Dominique Cassini, dans un texte autobiographique (ses origines, sa formation en Italie, son arrivée à l’Observatoire de Paris en 1669), écrit de sa main. Dessins réalisés avec le télescope Giuseppe Campani de 17 pieds (5,5 m), d’un diamètre d’ouverture probablement de 60 mm, que Cassini emporta avec lui de Bologne à Paris. Ce carnet original contient les observations effectuées à Paris par J.D. Cassini avant son entrée à l’Observatoire en 1669. Les dessins montrent la Grande Tache rouge ainsi que les ombres des lunes de Jupiter, observées avec le télescope Campani. Pour information, le télescope Campani de 17 ou 16 pieds est l’instrument avec lequel Cassini découvrit la Grande Tache rouge et les ombres des lunes de Jupiter sur la planète. Il s'agit ici des anciens pieds parisiens. Pour convertir en mètres aujourd'hui, on utilise la formule suivante : le nombre de pieds, qui correspond à l'ancienne distance focale du tube en pieds parisiens (disons 17 pieds), donne 17 x 324,84 = 5,522 m, soit une distance focale de 5,5 m, ou la longueur du tube. Le « pied du Roi » français (324,84 mm), ou peut-être une autre unité de longueur, car il existait de nombreuses définitions à l'époque. Cependant, comme nous le verrons, il est plus probable qu'il s'agisse du « pied du Roi ». Dans ce cas, 17 pieds équivalent à 5,5 m. Pour les palmiers, on utilise par exemple 205 palmiers x 211 = une distance focale de 43,2 m.10 points
-
Salut, 2ème cible la nuit dernière pour capturer la région d'Orion avec la 6200MC et l'objectif Sigma Art de 40mm diaphragmé à 2. C'est ma constellation préférée et je voulais capturer la ceinture de Barnard. On se rend compte de la richesse de la région, que d'IFN et de nébulosités! Donc voici le résultat de 60 poses de 240Sec. J'aime bien cette image, car tout y est de la Rosette à la sorcière! La nébuleuse sur la tête du chasseur à faire au Samyang 135mm je pense. Nous sommes beaucoup trop focus sur les "petits" objets. Le setup: En version annotée: et au naturel: A vos commentaires a+ Serge10 points
-
Salut, j'ai pu profiter de la mince fenêtre de tir la nuit dernière pour capturer la région de Pégase et d'Andromède avec la 6200MC et l'objectif Sigma Art de 40mm diaphragmé à 2. J'aime bien ce caillou qui m'évite des mosaïques. Donc voici le résultat de 50 poses de 240Sec: Enversion annotée Et en version Naturelle A vos commentaires a+ Serge7 points
-
J'ai donc repris cette belle nébuleuse imagée le 29/06/25 en 2h10 65x120s filtre Clear Voir ma signature pour le matériel. La nouveauté : utilisation des plugins RCastro7 points
-
Réalisé le 5-08-2024 81x120s Pré-Traitement SIRIL + traitement GraXpert + Photoshop + RCastro PAs réussi à donner de la couleur à la galaxie du feu d'artifice qui me parait un peu terne5 points
-
les deux photos que j'avais tenté de poster ne fonctionnaient pas, les voici à nouveau. et la deuxième.5 points
-
Bonjour à tous ! Je vous présente ma dernière image toute neuve de cette nuit, le duo M77 (en haut à gauche) et NGC1055. Elle a été capturée avec un newton 150/750 + correcteur x0.95 et une miniCAM8 mono. Il y a 2h30 au L et 3x30' pour la couleur, du NINA, du Pix et de l'Affinity Photo. Pas pu poser plus, elles ne sont pas bien hautes dans le ciel. C'était la photo d'identité destinée à illuster une manip spectro faite il y a un mois : M77 est une galaxie à noyau actif (AGN) de type Seyfert II (le noyau actif est partiellement caché par des poussières). Son spectre a été capturé avec un C9XLT @ x0.63 + Player One Neptune-M (IMX585) + Alpy 600 en 18 x 300" (1h30). Le pic d'émission Hα est noyé dans les émissions voisines, je me suis donc servi des autres émissions plus nettes en Hβ, Hϒ et OIII afin d'évaluer le redshift. Le décalage vers la droite (vers le rouge) sur les pics Hβ et Hϒ est d'ailleurs bien visible. Ma manip me donne une M77 qui s'éloigne de de la Terre à 1132.91 km/s pour 1137 km/s d'après la littérature, soit 0.4% d'écart >> satisfaction de l'opérateur . Cette nuit là, j'avais bien l'intention de capturer le spectre de NGC1055, autre galaxie Seyfert de type II mais ça s'est pas super bien passé pour la cadrer d'abord puis les nuages sont arrivés, la routine quoi... Une prochaine fois probablement car j'aimerai voir les différences de spectres entre une galaxie de type Seyfert vue par la tranche et vue "de face. Et voilà !4 points
-
Toujours par ces temps de disette astro, je m'amuse à reprendre certaines images datant de 2022 à 2023 faites avec la 533MC Pro et l'ONTC ça occupe ... M13 : 164x30s Lune : 76% M86 : 80x60s Lune : 29% NGC5146 : 118x120s Lune : 35% M109 : 108x60s Lune : 11% M1 : 140x60s Filtre L-extreme Lune : 0%4 points
-
Une cible classique faite le 5/07/25 en filtre clear avec 74% de Lune 122x60s J'ai repris le traitement avec PS + RCAstro J'ai mis la version HaO3 plus bas4 points
-
Bonsoir les ami(e)s J'espère que vous allez bien . Cette vidéo fait partie de la mention (réserve) que j'ai fait au fil du temps au cas ou les bestioles feraient défauts . La vidéo date de cet été, saison ou les paramécies se développent biens , en dessous il y a une bestiole au contour différent qui passe ..... il faudra que je l'identifie L'objectif est de 40X bonne soirée à toutes et à tous amicalement CHARLES4 points
-
Salut tout le monde !! 🙂 On continue avec la cuisine et après le homard, le calamar, je me lance dans les spaghetti à la sauce HOO. SH2-240 est plutôt trés faible en ville chez moi (Bordeaux CUB, Btl7) , mais faisable, même à l'APN, défiltré. Pas grand chose sur les brutes (on devine quand même des structures filamenteuses en poussant les curseurs). Donc, le setup : Lunette Askar Fra400, F/D 5.6 Canon 6D défiltré Monture Skywatcher GTI Filtre Optolong L-Extreme Asiair Plus Pose : 18h, sub de 2min non guidées - Traitement SIRIL + PSP http://astrosurf.com/lacote/Images/GrandChamps/SH2-240-Haillan-18h-AskarFra400-Canon6Ddef-HOOV3-50p.jpg3 points
-
Bonjour à tous, Voici IC1396 prise dans la nuit de mardi à mercredi. Cible déjà faite avec ma lunette TS80, ça change un peu Setup : Askar 135mm + ASI294MC Pro + filtre L-Ultimate Quidage lunette 30x104mm + ASI462 140x180s soit 7h Acquisition NINA Traitement SIRIL + GIMP Image HHOO avec réduction d'étoiles A+ Manuel.3 points
-
Merci à tous pour vos réponses, voici le document source : https://bibnum.obspm.fr/ark:/11287/8tTq7 Vous devez télécharger les images individuellement et cela demande beaucoup de travail. Ces longs télescopes étaient montés sur différents types de supports, fixés en deux points, l'un à l'avant et l'autre à l'arrière. Ils étaient stabilisés par des cordes et des poulies. L'observatoire employait de nombreuses personnes, des assistants et probablement plusieurs dizaines, voire une centaine d'ouvriers. Voici des dessins réalisés à l'Observatoire de Paris entre le 1er février et le 26 mai 1672, par Cassini et d'autres astronomes, à l'aide de nombreux télescopes, dont un de 17 pieds, et d'autres instruments. Les années suivantes, nous disposerons d'observations et de notes beaucoup plus détaillées.3 points
-
Hello les amis Je vous présente la nébuleuse de l'arbre de noël Vu que c'est la période J'ai eu une fenêtre de tir de 3 heures Fra400 sur monture AVX 533 MC pro pour l'imagerie 120 mini pour le guidage via DO Antlia ALPT 5nm Asiair plus Traitement : Pix V1 V23 points
-
Bonjour à tous, Je vous présente quelques images réalisées avec mon Dobson Explore Scientific 305 sur plate-forme équatoriale. J'utilise une caméra Altair GPCam3 290c pour le planétaire et la surface lunaire, ainsi que quelques objets du ciel profond comme M57 et M13. Et un smartphone Samsung S22 pour des objets au champs plus large comme M42 ou la Pleine Lune. Pour le planétaire, J'utilise FireCapture et je traite avec Pipp, Autostakkert, Astrosurface et Affinity Photo. Pour les quelques objets du CP, J'utilise Sharpcap en lucky imaging. En général des vidéos SER de 2 secondes de poses que je traite avec SIRIL. Au smartphone, J'utilise le mode nuit et je le fixe sur un oculaire Meade de 18 mm. Voici donc quelques exemples. J'habite un village près de Liège ou le ciel est plus ou moins potable (Bortle 5)3 points
-
Salut, grâce à la chirurgie exploratoire sur Orion faite au Sigma Art 40mm F1.4,: j'ai eu l'envie la nuit dernière de prendre S2-264 nébuleuse faiblarde très étendue autout de Lambda Orionis. J'ai pu cumuler 80 poses de 240Sec soit 5H30 d'integration sur l'ASI6200MC+Filtre IRcut. J'aime bien cet objectif, il est très bon: et la version starless: A vos commentaires a+ Serge2 points
-
pareil, je le trouve vraiment plus simple que freecad, plus intuitif, et aussi plus agreable visuellement. j'en ai parlé avec un ami qui fait de la modelisation et de la mecanique de précision (domaine medical), ils forment les stagières et les nouveau sur fusion, rapide à prendre en main, mais ne l'utilisent pas professionnellement à cause des licenses, apparemment chère et "prise de tête". mon bébé en phase de reglages / tests2 points
-
D'abord, sur la BBC, la découverte d'un foyer daté de 400 000 ans, repoussant de 50 000 ans la domestication du feu. Des fragments de pyrite indiquent le recours bien connu à un silex frappant de la pyrite pour enflammer un amadou, ou un matériau similaire. Ensuite, au large de l'île de Sein, la découverte d'un mur monumental probablement construit il y a 7000 ans, soit pour protéger par une digue un village aujourd'hui disparu, soit pour construire une gigantesque nasse à poissons. La structure est actuellement sous 9 mètre d'eau, mais affleurait à marée basse il y a 7000 ans. On est en présence d'un ouvrage exigeant la collaboration d'une importante communauté, dans les deux cas.2 points
-
Mes photos type paysage, VL et autre. tout ce qui est a 50mm et moins, je fais pas de flat, rien, juste un stack d'une dixaine d'image pour le bruit. et j'ai des zone du ciel plus verte, plus bleu, et au dessus de l'orizon, plus jaune et orange (hallo d'éclairage surement). Mais c'est irregulier. pour moi c'est vraiment la couleur donnée par l'atmosphere a cette endroit, car j'ai le sol / arbre sur la meme image et les couleurs de ceux ci sont normale, et c'est des image ou il n'y a pas de modif de couleurs, calibrations, c'est de l'apn non modifier avec balance des couleur daylight donc neutre. Example ici, avec un ciel vert a droite, rose ou magenta en haut, jaune au dessus de l'horizon, et le tout pas régulier, j'ai ca sur toute mes photos de ciel large. Des fois on voit bien les ligne verte de l'air glow, des fois c'est juste une zone.2 points
-
Barillet terminé 😀 Je me suis bien amusé à le faire. Profil plat en alu de 20x2mm pour les 3 branches et tube carré 20x20mm pour les extrémités, Pour faire un cintrage propre, j'ai réalisé à l'arrache une cintreuse avec des roues de skateboard. Ensuite il a fallu s'assurer que tout est à sa place et que rien ne bouge pendant le perçage. J'ai réalisé des gabarits de centrage et de perçage en impression 3D Le barillet fini et assemblé J'ai repris l'idée de @Tyler pour les appuis latéraux En situation avec le miroir Je me tâte pour savoir si je dois coller toutes les pièces entre elles en plus des vis. Il reste à faire les petites butées anti basculement. Maintenant, je vais réfléchir au support secondaire et à l'araignée en restant sur le principe des profils alu dispo en GSB. Toute idée ou suggestion est bienvenue2 points
-
NGC 891 et SATURNE Bonjour à tous ! Webastro est capricieux en ce moment ! En enregistrant les dessins sur Constellia, au préalable, cela semble fonctionner. J'ai consacré un soir de novembre à l'observation d'une galaxie bien pâle, située entre Andromède et Persée : NGC 891. Voici une carte pour localiser l'objet : A l'oculaire du C11, elle apparaît comme un fuseau très pâle avec une légère concentration plus marquée correspondant au noyau. Le passage par Constellia massacre l'image...Je vais essayer de trouver mieux, mais on espère tous que Webastro va trouver une solution. C'était bien pratique de pouvoir redimensionner directement l'image posté et ce, par un simple copier coller depuis son ordinateur. Je poste enfin une photo de Saturne : ce n'est pas la photo du siècle mais bon...La netteté laisse à désirer. Bon ciel à tous ! Gildas2 points
-
Bonsoir, Je vous présente le Trio du Lion, M65, M66 et NGC 3628 en 3h15 de pose en luminance. Le lien: https://stephastro.go.zd.fr/image_astrophoto/galerie/TRIO_LION.php Matériel: lunette Astrotech APO 106/690, camera CCD QHY9 mono, monture Eq6 Traitement par Pixinsight Tous les commentaires sont les bienvenus et surtout les critiques, autant sur l'image que sur la fond et la forme de la page web. @+ Stéphane2 points
-
Salut tout le monde !! Voici une nébuleuse plutot sharpy, la nébuleuse dite de la chauve-souris et surtout le calamar (OU4) qui se promène devant ! Pas simple en ville, mais la surprise vient quand le calamar apparait sur la couche OIII. Setup : Askar FRA400 Canon 6D défiltré Monture Skywatcher GTI ASIAIR plus Filtre L-Extreme (dual-band Ha-OII) 18h de pose (sub de 2min non guidées) http://astrosurf.com/lacote/Images/GrandChamps/SH2-129-Haillan-Nov2025-AskarFRa400-CAnon6Ddef-LExt-18h30-V2-50p.jpg PS : je n'arrive plus à uploader une image,, du coup, je met l'URL 😒2 points
-
En 1673, de nouveaux dessins montrent le télescope de 34 pieds et d'autres instruments. Sur certains dessins, en y regardant de plus près, l'instrument utilisé est indiqué dans les notes, par exemple : télescope de 34 pieds, télescope de 100 pieds, télescope de 17 pieds, télescope de 20 pieds. Cette précision est toutefois incohérente ; sur d'autres dessins, l'instrument utilisé pour les observations n'est pas spécifié. Étape par étape. Voici les premiers dessins du télescope de 34 pieds pointant vers Mars, Jupiter et Saturne. On peut y lire : « Telescopio Campani ». La lentille d'objectif existe toujours et est une excellente lentille à diffraction limitée. Son diamètre était de 80 mm (d'après les notes de Cassini), soit 3 pouces de Paris, ce qui correspond précisément à 81 mm de diamètre. Associée à une distance focale de 10,900 mm, elle offre un facteur chromatique de 1,6, idéal pour un télescope monolentille du XVIIe siècle. En fait, cette lentille est biconvexe, comme la mienne. Presque toutes les lentilles Campani étaient biconvexes, car leur fabrication était beaucoup plus simple. Le télescope de 10,4 mètres était l'instrument le plus utilisé de l'observatoire. Cette photo représente le dessin de Rhéa, le satellite découvert par Cassini grâce au télescope de 10,4 mètres. Le télescope Campani de 11 mètres (34 pieds) Al van Helden a indiqué (communication personnelle du 22 décembre 2004) que le télescope au premier plan ressemblait à l'instrument de 10 mètres que Campani avait fabriqué pour les Médicis au milieu des années 1660. Campani avait envoyé un télescope de 10,4 mètres à Cassini en 1671 ou 1672, dont l'objectif est toujours conservé (dans l'ancien observatoire). Celui de Florence mesure 202 cm de long et 14,5 cm de diamètre. Il a suggéré qu'il pourrait s'agir du télescope Campani de 10,4 mètres représenté dans le tableau de l'artiste français Henri Testelin, conservé à l'Académie royale des sciences et reproduit ci-dessous. Voici le télescope Campani de 11,1 m, fabriqué pour les Médicis en 1666 et exposé au musée Galilée de Florence (avec son cache-objectif). On peut observer sa ressemblance avec le télescope Cassini de 10,4 m, de conception similaire (sans cache-objectif). Il ne s'agit pas de la lunette de 10,4 m, mais d'un télescope plus ancien, fabriqué par Campani pour les Médicis et utilisé lors du concours avec Divini. Sa construction est cependant très similaire à celle de la lunette de 10,4 m de 1672. Il me semble que seule la partie avant du tube est visible sur le tableau. Prenant au pied de la lettre le titre « Fondation de l'Académie des sciences et de l'Observatoire, 1666 », j'ai supposé que le tableau avait été réalisé peu après l'événement mentionné. Un examen plus approfondi m'a progressivement convaincu de l'erreur de mon hypothèse initiale. Plusieurs éléments, plus ou moins indépendants du tableau et des événements liés au développement de l'Académie, m'ont permis de rassembler des preuves d'une date de création bien plus tardive, ainsi que d'une interprétation légèrement différente de sa signification. Raison de plus pour célébrer les nombreux accomplissements de l'Académie et sa fondation. Sur le tableau, au centre et en bas à droite, on aperçoit deux télescopes. En bas à droite, il s'agit probablement du télescope Campani de 10,4 mètres (34 pieds), et au centre, du télescope Campani de 5,2 ou 6,1 mètres (17 ou 20 pieds), sans aucun doute celui de 5,2 mètres (17 pieds) avec lequel Cassini découvrit Japet et la Grande Tache rouge de Jupiter. Télescope Campani de 17 ou 20 pieds Dessins de Mars, Jupiter et Saturne, la première lumière captée par le télescope Campani de 11 mètres (34 pieds).1 point
-
Merci pour ton commentaire c'est super gentil. Il me tarde juste d'avoir de nouveau un joli ciel pour retourner attraper de nouveaux objets !1 point
-
Bonsoir, Je partage mon expérience avec un Dobson 300, cette année je n'ai pas encore pu l'essayer sur Jupiter mais l'année dernière j'ai eu des conditions d'observation que je n'avais jamais eu avant depuis que j'ai repris l'astronomie et à 333X (oculaire xcel lx 9mm Barlow X2) j'avais un visuel très propre. D'ailleurs les photos que j'ai posté sur d'autres sujets rendent assez bien compte de l'intérêt d'un Dobson en planétaire (photos smartphone sans traitements très proches du visuel). N'ayant jamais eu de lunette APO je ne dirais pas que c'est mieux mais franchement le 300 dans de bonnes conditions ça m'a mis une belle claque.1 point
-
Ah oui, très juste! ils barrent toute la photo.🤨 j'ai mis un coup de SCNR, c'est mieux: a+ Serge1 point
-
Salut Momo, ça fait plaisir ce joli sapin réussi ! V2 en préférence.1 point
-
V2. Rendu assez original je trouve. On dirait un tableau. C’est beau.1 point
-
super champ, on dirait qu'il y a du OIII partout sur l'image, ce qui est rare ! Je connais pas la zone, jamais faite cette cible.1 point
-
1 point
-
1 point
-
Au cas où tu n'aurais pas de réponse ou pas la bonne réponse, Patrick Chevalley a mis en place une hotline pour les soucis rencontrés avec ses logiciels. Pour CdC c'est ici : https://www.ap-i.net/mantis/view_all_bug_page.php?filter=693718b17d6ae Il faut ouvrir un compte pour pouvoir exposer son problème et Patrick répond très rapidement. Il est même possible de lui soumettre des évolutions. C'est top, merci Patrick !1 point
-
Reprise du traitement de l'iris que j'avais imagée le 10 juin 2024 139x60s filtre Clear Voir ma signature pour le matériel. La nouveauté : utilisation de RCastro avec les plugins de Photoshop et sous Pix (mais je ne maitrise pas du tout Pix, sauf pour utiliser bxt)1 point
-
Il n'est pas motorisé ton focuser ? Si il l'est, NINA permet de faire la mise au point automatiquement et efficacement. Un bahtinov pour faire la MAP en 2025.. Il y a également un plugin qui permet de mesurer le décalage entre les filtres puis une fois déterminé, de faire une MAP plus rapide sur le L et appliquer le décalage mesuré au filtre de la séquence. C'est intéressant pour les filtres SHO justement : Filter Offset Calculator Ca m'étonnerait que tu atteignes ça avec un 3nm, du moins sur des durées de poses normales pour un CMOS (5 minutes ou un peu plus).. Si tu arrives à un sigma en fond de ciel de 2 fois celui d'un bias ça sera déjà bien ! Quoi qu'il en soit : joyeux noël1 point
-
Hello, pas facile en ce moment de trouver du temps pour l'astro, surtout quand les seuls moments de disponibilité sont couverts... Mais hier soir les planètes étaient alignées et j'ai enfin pu faire une vraie sortie après plus d'un mois de disette. J'avais hâte de pouvoir enfin tester ma nouvelle lunette, la 102/714 de chez TS et sa monture fraîchement arrivée pour mon anniversaire, la SV225 de chez SVBONY. De plus, voilà un moment que j'ai pu faire l'acquisition d'un oculaire Vixen LVW 22 et je n'avais jusqu'ici pas encore pu le tester réellement, le bougre a la mauvaise idée de ne pas être du tout parfocal avec mes Pentax : mise au point impossible sur le strock, je vais devoir raccourcir les tubes avant de pouvoir le tester😒. En attendant, c'est sur la lunette que j'ai pu faire les comparaisons. À 21h30 dans le jardin, les lumières viennent de s'éteindre et la lunette prend l'air depuis une bonne heure. Il fait un froid glacial et il m'a fallu ressortir les vêtements de ski et les chaussettes chauffantes. Premier test de la soirée : mesurer la différence de course entre le LVW et le XW : exactement 1cm. C'est une info importante pour plus tard, pour la modification du télescope. Je vise ensuite les Pléiades pour évaluer la courbure de champ des deux oculaires : à f/7 le XW s'en sort beaucoup mieux que sur le T250, mais les bords sont toujours flous. Le Vixen LVW est presque parfait, il n'y a qu'à l'extrême bord que les étoiles pedent en qualité. Dans les deux cas, l'amas entre en entier dans le champ de 2°, c'est très appréciable et l'image est splendide. Je vise ensuite l'amas ouvert M35 et son voisin NGC 2158. L'image est assez similaire dans les deux oculaires, avec un subtil avantage au XW sur la détection de NGC 2158 : l'amas faible y est une tache floue arrondie un poil plus facile qu'au travers du LVW. Entre les deux amas il y a 7 étoiles bien visibles et une juste au dessous du plus petit amas : elles sont aussi faciles dans les deux oculaires. Au niveau du confort je trouve le placement de l'oeil plus agréable dans le Pentax, c'est plus facile d'être bien dans l'axe avec ce dernier pour avoir des étoiles bien ponctuelles. Dans le Vixen, je perçois davantage mon astigmatisme. En ce qui concerne la monture, elle est très agréable à utiliser : les mouvements libres freins dessérés sont très doux et fluides. Les freins sont faciles à trouver et une fois serrés il n'y a aucun jeu. Les molettes de réglage fin sont un peu dures à tourner cependant mais je m'habitue très vite à doser la force nécessaire. Il existe peut-être un réglage pour rendre les mouvements fins plus fluides, il faudra que je regarde... En revanche, mon trépied actuel (https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/montures/trepieds/trépied-photo-carbone-ts_detail) est bien trop juste pour cet ensemble et bien qu'il puisse théoriquement supporter 12kg les jambes sont trop fines et subissent un peu de torsion (il n'y a pas d'entretoise pour rigidifier). Cela créer des vibrations lorsque je touche les molettes qui demandent quelques secondes avant de s'amortir. Je vais devoir me procurer un modèle plus massif, mais je le savais. À 22h20, je jette un oeil aux planètes. D'abord Saturne puis surtout Jupiter : toujours aux 22 et 20 mm. L'image de la géante est plus piquée au Pentax, et plus blanche. Le Vixen donne une légère teinte chaude et surtout des reflets un peu gênants. Je soupçonne que le léger retrait du piqué soit dû à un peu de chromatisme du LVW, là où le XW est impeccable. Mais les deux oculaires offrent tout de même un image de grande qualité, les différences sont vraiement subtiles. Un petit coup d'oeil ensuite aux amas du Cocher, le temps que Jupiter monte davantage. Je remarque une différence assez marquée sur M37 : superbe au travers des deux oculaires, il est encore plus magnifique au Pentax. Lorsque je vise l'étoile brillante au centre de l'amas j'ai davantage d'étoiles faibles visibles autour en VD et d'une finesse remarquable. Un effet pétillant que je peine à retrouver au LVW où je trouve l'image moins pêtante, plus lisse. C'est bizarre mais j'ai l'impression qu'il manque quelque chose... Je compare encore et encore et ça devient de plus en en plus évident : le Pentax sublime vraiment l'amas ! Je me tourne ensuite vers M1 pour comparer les deux oculaires sur un objet plus nébuleux et difficile. J'avais d'abord songé à M33 mais la galaxie est trop haute : la monture possède deux positions, une avec l'axe bien à la verticale du trépied et une position déportée (comme sur la porta 2) pour atteindre le zénith. Je n'ai pas choisi cette dernière option ce soir pour gagner un peu en stabilité, je suis donc limité en hauteur de visée. Je suis tout d'abord surpris par la facilité à observer la nébuleuse du crabe : elle est immédiate en VD. Le passage de 60 à 100 mm est bien plus visible que je ne le pensais ! La tache largement ovale, mais visiblement un peu déformée avec une zone centrale plus brillante est plus évidente dans le Pentax et l'étoile faible de mag 10 au Nord-Est y est facile en VD, alors qu'elle est limite au LVW. Encore une preuve de la meilleure transparence du XW. À 22h45 le tube et la monture commencent à être couverts de givre mais je ne constate pas du tout de buée sur la lentille, signe que le long pare-buée de cette lunette est très efficace, alors que l'humidité frôle les 100%. Allez il est temps de laisser de côté les longues focales, j'ai envie devoir ce que la lunette peut montrer à fort grossissement. Je passe le XW 5 et vise Jupiter : c'est une sacré claque ! L'image est magnifique et d'une finesse incroyable. Le seeing doit être très bon, je remarque peu de turbulence et l'image présente une grande quantité de détails pour seulement 140x. Je n'en avais pas vu autant depuis l'an dernier au 250 avec le double de grossissement. Je trouve la qualité d'image vraiment remarquable et cette seule vision suffit à me convaincre que je viens de faire une bonn acquisition avec cette lunette. Je n'ai pas de focale plus courte alors je tente la barlow x2 (une svbony "premier prix" que je n'utilise que pour collimater le télescope). À 285x c'est sans doute trop mais je constate avec surprise que l'image reste exploitable, sans détails supplémentaires certes mais bien plus propre qu'imaginé. Surprenant ! Je pense qu'un 3.5mm et un bon trépied devraient me permettre de superbes images planétaires dans les mois à venir Puisqu'elle est facile à trouver en ce moment, je me tourne un instant vers Uranus. Au Sud des Pléiades, je parviens à la détecter difficilement à l'oeil nu ainsi qu'une des deux étoiles proches (mag 5.6) qui servent actuellement de jalon. La géante glacée est immédiatement visible dans le champ du 20mm où elle apparait comme une étoile blanche. Au 5mm le petit disque bleu (avec une légère teinte turquoise) est magnifique, bien net avec une couleur évidente. Quel plaisir d'admirer cette planète, même sans détails, défiler à l'oculaire ! J'y reste quelques minutes sans me lasser. Avant de retourner à Jupiter, où une éclipse de Io doit se produire bientôt, je tente une petite double : Castor. Les deux composantes presque égales sont parfaitement séparées à 140x, avec deux belles figures d'Airy bien dessinées. Je vois un peu de bleu et de jaune de part et d'autre, je suppose que le chromatisme du XW 5 se révèle bien sur cette double bien lumineuse. À 23h30 je retrouve Jupiter et guette patiemment la disparition de Io dans l'ombre de la géante. Cela ne saurait tarder, le satellite qui était juste à côté de Callisto en début de soirée s'est drôlement rapproché du disque de la planète. À 22h45, Io est le satellite le plus proche de Jupiter, mais toujours aussi brillant. Toujours là deux minutes plus tard... Puis au bout d'une longue minute d'attente l'intensité du satellite commence enfin à diminuer ! De plus en plus... À un moment il est deux fois moins brillant, puis encore moins... Puis le faux disque devient juste un point, minuscule et très fin, puis à 22h50 plus rien. Il s'est éteint complètement, l'éclipse est totale ! Tout ça en moins de deux minutes ! Quel spectable fabuleux ! C'est ma première éclipse totale à près de 800 millions de km de distance ! Voilà qui termine magnifiquement cette soirée et à minuit c'est à mon tour de m'éclipser1 point
-
2600MCPro comme dans ma signature Si filtre Clear car tiroir à filtre pour mes autres filtres donc pas besoin de refaire la MAP Les couleurs, c'est assez subjectif, en sortie d'empilement , elle est sortie comme ça après traitement dans SIRIL mais j'ai peut-être fait un peu de saturation1 point
-
Bonsoir, Je vous présente la galaxie M106 dans les Chiens de Chasse en 4h30 de pose en luminance. Le lien: https://stephastro.go.zd.fr/image_astrophoto/galerie/M106.php Matériel: lunette Astrotech APO 106/690, camera CCD QHY9 mono, monture Eq6 Traitement par Pixinsight Tous les commentaires sont les bienvenus et surtout les critiques, autant sur l'image que sur la fond et la forme de la page web. Bien descendre dans la page pour voir toutes les images. @+ Stéphane1 point
-
Bonsoir webastro Pas trop le temps de faire de l’astro en ce moment, mais j’ai quand même sorti le C8 ce dimanche soir, comme le ciel était clair. Une mosaïque qui n’aura pas été de tout repos, la monture ayant décider de faire sa mauvaise tête en plein milieu de la session, enchaînant les déconnexion. Mais j’en suis quand même venu à bout. Comme d’hab, c’est encore mieux en full rez.1 point
-
Tout dépend de la caméra que vous utilisez, mais avec un capteur de la famille des 571, 455 et 533, franchement c'est se faire des noeuds au cerveau Le bias synthétique fonctionne à merveille chez moi, je fais maintenant mes flats quasiment uniquement de jour sur le ciel avec un linge blanc, et si la caméra n'est pas démontée sur la semaine lors de mes séjours, un seul flat suffit pour la semaine. Pour tout vous dire, je n'ai pas refait mes darks depuis 2 ans et ils fonctionnent toujours très bien. Image de la semaine dernière : http://colmic.astrosurf.com/TOA150/IC434H50x180s.jpg1 point
-
Salut Vincent, Aucune raison de te faire du mourron. L'Espagne c'est la porte à côté. C'est l'Europe, un pays civilisé, la bande de totalité est énorme. N'importe où tu t'installeras, cela fera l'affaire. Ici ou 30 km plus loin, aucune importance. La seule inconnue, c'est la météo, qui n'est jamais totalement gagnée, même dans le désert. Il suffit d'une traversée de cirrus pour que le stress advienne et qu'il faille bouger deux heures avant l'instant i. Je dirais qu'il faut toujours avoir une voie de communication pas trop loin pour un repli stratégique de dernière minute. Tu peux t'aider d'application pour montagnards : https://www.udeuschle.de/panoramas/makepanoramas_en.htm c1 point
-
Les objectifs vintages c’est pas cher et ça permet d’observer à moindres frais. Bon ,a qualité n’est pas forcément au rendez-vous vous mais c’est mieux que rien😉 Aujourd'hui séance double stacking mono et couleur mais j’ai rapidement abandonné la couleur je préfère de loin le mono c’est plus puissant pechu . Le montage utilisé L’incontournable Helios 44-2 58mm F2 équipé d’une vénérable caméra 178mm et filtre Ha 12 nanometres. Et un objectif de 35 mm F3,5 a la marque japonaise imprononçable équipé d’un caméra 585 mc et d’un filtre svbony 220 Monture Eqm-35 2 asiair 2 tablettes en remote beaucoup de câbles un joli plat de nouilles. Conditions froid 5° légèrement humide bortle 9 ciel voilé bref pas top. Poses unitaires de 30 secondes pour un total de 10 minutes environ. Pilotage via skysafari interface a l’asiair qui commande la monture franchement c’est génial. Go Commençons par un petit Pacman Direction les nébuleuses du nord La Californie Parage nébuleuse de la bulle Quartier du Pélican A partir de la j’ai abandonné la couleur franchement c’est long le mono l’emporte haut la main. Continuons notre ballade. Le cœur du cocher Pour le fun le noyau de galaxies de Persée c’est pas flagrant mais elles y sont. https://www.astronomie-va.com/forum/download/file.php?id=129805&mode=view Melotte 20 Le double amas La cascade de Kemble Et pour terminer une petite visite au couple M 81/82 https://www.astronomie-va.com/forum/download/file.php?id=129809&mode=view Bilan Bon les filtres pas toujours adaptés mais la flemme de les changer😄 Les halos sont monstrueux, faut pas zoomer, 🤫 J’aime de plus en plus le mono franchement c’est puissant. Ces balades en grands champs c’est quand même plaisant rien a voir avec l'astrophoto mais chercher les petites cibles les petits amas accéder aux nébulosités étendues pour qui aime observer aux jumelles c’est plutôt cool. 11 observations c’est pas si mal en 2h . Ouki1 point
-
Comme le créateur de ce sujet, un Dobson 305/1500, avec on regarde pas la lune, on se promène dessus 🙂1 point
-
Un catalogue Trumpler exclusif va bientôt être à votre disposition, ainsi qu'un catalogue Stock ! Ce fil vous présente la compilation de nombreux catalogues et listes. Il présente des catalogues d'objets officiels comme des listes d'objets créées par des amateurs passionnés. Il est régulièrement actualisé afin d'inclure toujours plus d'objets. N'hésitez pas à mettre un commentaire pour donner des suggestions afin d'améliorer la page, ou pour signaler un lien qui ne fonctionne plus. Astronomie profonde : Catalogues : Spécialisés : - étoiles : Relevé GAIA DR2 (Gaia DR2) [quasiment 1,7 milliards d'étoiles, amusez-vous !] [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - étoiles brillantes : Smithsonian Astrophysical Observatory Catalog (SAO) [peu utile, sinon pour positions précises/mouvement propre] [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - étoiles variables : General Catalogue of Variable Stars (séquence de désignation + constellation) [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - étoiles variables extragalactiques : Extragalactic Variable Stars Catalogue (nom de la galaxie hôte + V + numéro) [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - étoiles jeunes/ en formation : Emission-line stars Lick Hα (Em* LkHA) [vous avez en vert les numéros présents dans les différentes listes] - objets de Herbig-Haro : General Catalogue of Herbig-Haro Objects (HH) [cliquer sur Submit] - nébuleuses planétaires : Catalogue Abell des nébuleuses planétaires (Abell) [ne pas confondre avec celui des galaxies] - nébuleuses planétaires : Catalogue de Perek & Kohoutek (PK) - étoiles de Wolf-Rayet : Catalog of Galactic Wolf-Rayet stars (WR) [cliquer sur Submit] - rémanents de supernova : Catalogue des rémanents de supernova (SNR) [cliquer sur Submit] - pulsars : ATNF Pulsar Catalogue (PSR) [cliquer sur Submit] - amas d'étoiles : Catalogue Melotte (Mel) [contient également 2 astérismes et 1 galaxie] - amas ouverts : Catalogue Collinder ou ici en plus synthétique (Cr ou Col) [contient plusieurs objets d'autres types] - amas globulaires : Catalogue Palomar (PAL) - nébuleuses cométaires et objets apparentés : Catalogue Parsamian & Petrosyan (PP) - objets nébuleux rouges : Red nebulous objects (RNO) [souvent associés à de jeunes étoiles variables] - région HII : Catalogue Sharpless (Sh) - nébuleuses diffuses : Lynds catalogue of Bright Nebulae (LBN) - nébuleuses obscures : Catalogue Barnard ou ici (B) [le deuxième lien contient 6 objets supplémentaires] - nébuleuses obscures : Lynds catalogue of Dark Nebulae (LDN) [cliquer sur Submit] - quasars : The Million Quasars (Milliquas) catalogue (MQ ou Milliquas) [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - galaxies boréales : Uppsala General Catalogue of Galaxies (UGC) [limité à diamètre apparent ≥ 1′ ou magnitude ≤ 14,5, sinon voir PGC] - galaxies australes : Catalogue ESO-Uppsala (ESO) [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - galaxies boréales particulières : Catalogue Arp (Arp) - galaxies australes particulières : Catalogue Arp Madore [triées par catégories] ou en liste ici (AM) [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - galaxies à morphologie intéressante : Morphological Catalog of Galaxy (MCG) [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - galaxies en interaction : Catalogue Vorontsov-Velyaminov (VV) - galaxies : Principal Galaxies Catalogue plus poussé ici (PGC) [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - amas de galaxies compacts : Hickson Compact Galaxy catalog ou ici pour voir les coordonnées (HCG) [cliquer sur Submit] - amas de galaxies : Catalogue Abell des amas de galaxies (Abell) - amas de galaxies/galaxies compactes/ galaxies post-starbust : Catalogue Zwicky (CGCG, ZC, ZWG ou UZC) Généraux : - un catalogue presque oublié : Catalogue William Herschel (H) [la majeur partie des objets ont un équivalent plus récent] - catalogue d'objets de l'hémisphère Sud : Catalogue Dunlop (Dun) - catalogue de régions HII et autres : Catalogue Rodgers, Campbell, Whiteoak ou ici en plus synthétique (RCW) [centré sur l'hémisphère Sud, contient d'autres objets remarquables] [cliquer sur Submit] Listes : - protonébuleuses planétaires : Liste Wikipedia - exemple d'observations : Deep Sky Exotics Tour [par Larry McHenry, un amateur passionné] Astronomie traditionnelle : Catalogues : Généraux : - les grands classiques : Catalogue Messier (M) - les classiques oubliés par Messier : Catalogue Caldwell ou ici en plus synthétique (C) - les classiques : New General Catalogue (NGC) - les classiques : Index Catalogue ( IC ) [complément du NGC] Spécialisés : - étoiles visibles à l'œil nu : Harvard Observatory, revised photometry (HR) [cliquer sur Submit] - étoiles : Catalogue Henry Draper (HD) [modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur Submit] - étoiles doubles : Washington Double Star Catalog (WDS) [liste complète mais pas agéable] Listes : - étoiles traditionnelles (ordre alphabétique) : Liste Wikipedia1 point
-
Salut c ! Merci pour tes commentaires également très sympa. Tes questions sont intéressantes, je m'en pose aussi quelques unes dont les tiennes Concernant l'épisode des dernières aurores boréales, je m'étais justement demandé si ça n'allait pas me réserver quelques surprises. Mais en fait, la raie aurorale est sur tous mes spectres dès que les temps de pose sont suffisamment longs (300" ou 600"). On la voit sur les captures de M82 que j'avais faites dans la nuit du 3 au 4 novembre dernier. J'ai dans l'idée que l'émission aurait "juste" été plus intense et donc marquée sur le spectre. Ma capture de NGC604 était le 11 novembre entre 21h46 à 22h42 et je suis en région Lyonnaise. C'était bien l'idée de capturer une nébuleuse dans chaque bras, si possible aux mêmes éloignements du cœur. J'avais vu cette façon de faire ici : https://astronomia-spectro.weebly.com/m33--m61-et-pourtant-elles-tournent.html J'ai commencé par NGC604 qui est la plus simple à capturer. On la voit (devine) placée sur la fente du spectro avec l'image de la caméra de guidage. La deuxième nébuleuse par contre, nada. Il faut que j'améliore ma technique d'acquisition, c'est en cours de réflexion.. Je pense, mais avec les réserves du débutant que je suis, que la méthode utilisée dans le lien cité permet de s'affranchir d'une calibration pas super juste. Il a les deux valeurs de décalage, red et blue shift, et dans le calcul il en fait la moyenne (la division par 2). Une mauvaise calibration mais à condition qu'elle soit bien répétée doit annuler l'erreur et l'erreur devient juste Dans son livre, Olivier Garde indique à un moment que la raie aurorale permet de définir l'écart de calibration et de décaler le spectre en conséquence. Puis on mesure les valeurs des raies souhaitées (Ha, [OIII] ici). Je me suis dit qu'intégrer directement la valeur de cet écart dans le calcul revenait au même (le -L50 trois fois dans le calcul du shift). En farfouillant au sujet du Star'Ex, j'ai pu voir que ce genre de méthode de calibration avec un signal connu capturé en même temps que le spectre (calibration latérale de son petit nom) offre beaucoup d'avantages par rapport à ce que je fais actuellement, les spectres puis les images de la lampe de calibration. Voilà le genre de montage qui permet de remplacer la raie aurorale sur des acquisitions relativement courtes, il y a une lampe au néon et des lampes à incandescence pour les flats. https://spectro-uvex.tech/?p=9169 Au final, capturer quelque chose dans le bras qui s'approche ou qui s'éloigne importe peu et dans les deux bras peut être pas nécessaire. J'ai la vitesse de quelque chose dans un bras et le but est de mesurer la vitesse tangentielle du disque galactique. Je ne sais pas si ça va fonctionner sur du flux stellaire et sur ce genre d'orientation. Je comprends qu'il faut quelque chose de bien identifiable et dont on pourra mesurer facilement le shift, de l'émission Ha, OIII etc.. et qui se déplace vite. Je l'ai pris en compte et d'ailleurs j'avais fait la capture sur le noyau de M33 pour déterminer cette vitesse de déplacement de M33 mais mon spectre ne me donne rien d'exploitable. Là encore, j'ai du louper un truc.. Je me suis donc rabattu sur le calcul fait par ISIS. J'ai pris l'heure moyenne de mes capture sur NGC604, 22h15 ce qui pour le calcul dans ISIS me donne 0.93 en centièmes de jour, soit au jour.heure 11.93 du mois 11 de 2025. Je viens d'ailleurs de voir que j'ai pris 8.2 km/s au lieu de 8.6 km/s ce qui me donne finalement -98.51 km/s en vitesse tangentielle au lieu de -98.03 km/s. Je ne comprenais pas la valeur donnée par ISIS de 8.6 km/s dans le sens éloignement puisque M33 fait partie de notre groupe local et est donc censée se rapprocher de nous. Un peu de réfléchissement plus tard : la Terre se déplace en moyenne à 29.7 km/s autour du Soleil et suivant la période de l'année, on se rapproche ou on s'éloigne de M33. On peut le constater en prenant plusieurs dates échelonnées de 3 mois. En mai on s'en rapprochait à 8.5 km/s, en août on s'en rapprochait à 26.9 km/s et aujourd'hui on s'en éloigne. Si j'ai fait des boulettes, les corrections sont les bienvenues !1 point
-
https://esawebb.org/images/potm2510a/ Traduction automatique : Cette nouvelle photo du mois du télescope spatial James Webb met en scène une créature cosmique appelée NGC 6537 – la nébuleuse de l’araignée rouge. À l’aide de sa caméra dans le proche infrarouge (NIRCam), Webb a révélé des détails jamais vus auparavant dans cette nébuleuse planétaire pittoresque avec une riche toile de fond de milliers d’étoiles. Les nébuleuses planétaires comme la nébuleuse de l’araignée rouge se forment lorsque des étoiles ordinaires comme le Soleil atteignent la fin de leur vie. Après s’être transformées en géantes rouges froides, ces étoiles se débarrassent de leurs couches externes et les projettent dans l’espace, exposant leurs noyaux chauffés à blanc. La lumière ultraviolette de l’étoile centrale ionise le matériau rejeté, le faisant briller. La phase de nébuleuse planétaire de la vie d’une étoile est aussi fugace que belle, ne durant que quelques dizaines de milliers d’années. L’étoile centrale de la nébuleuse de l’araignée rouge est visible sur cette image, brillant juste plus que les toiles de gaz poussiéreux qui l’entourent. La nature surprenante de l’étoile centrale extrêmement chaude et lumineuse de la nébuleuse a été révélée par le NIRCam de Webb. Sur les images optiques en longueur d’onde, comme celles du télescope spatial Hubble de la NASA et de l’ESA, l’étoile apparaît faible et bleue. Mais sur les images NIRCam, il apparaît en rouge : grâce à ses capacités sensibles dans le proche infrarouge, Webb a révélé un linceul de poussière chaude entourant l’étoile centrale. Cette poussière chaude orbite probablement autour de l’étoile centrale, dans une structure de disque. Bien qu’une seule étoile soit visible dans le cœur de l’araignée rouge, une étoile compagne cachée peut également s’y cacher. Un compagnon stellaire pourrait expliquer la forme de la nébuleuse, y compris sa taille étroite caractéristique et ses larges écoulements. Cette forme de sablier est observée dans d’autres nébuleuses planétaires telles que la nébuleuse du Papillon, que Webb a également observée récemment. La nouvelle vue de Webb de la nébuleuse de l’araignée rouge révèle pour la première fois toute l’étendue des lobes tendus de la nébuleuse, qui forment les « pattes » de l’araignée. Ces lobes, représentés en bleu, sont tracés par la lumière émise par les molécules H2, qui contiennent deux atomes d’hydrogène liés ensemble. S’étendant sur l’ensemble du champ de vision de NIRCam, ces lobes sont des structures fermées, semblables à des bulles, qui s’étendent chacune sur environ 3 années-lumière. Le gaz qui s’écoule du centre de la nébuleuse a gonflé ces bulles massives pendant des milliers d’années. Du gaz s’échappe également activement du centre de la nébuleuse, comme le montrent ces nouvelles observations de Webb. Un « S » violet allongé centré sur le cœur de la nébuleuse suit la lumière des atomes de fer ionisés. Cette caractéristique marque l’endroit où un jet se déplaçant rapidement a émergé de près de l’étoile centrale de la nébuleuse et est entré en collision avec la matière qui avait été précédemment rejetée par l’étoile, sculptant la structure ondulante de la nébuleuse que l’on voit aujourd’hui.1 point
-
Quand un météore pénètre dans l’atmosphère, il s’échauffe et laisse derrière lui une traînée de plasma composée d’électrons libres. Cette traînée agit comme un miroir temporaire pour les ondes radio. Si une station émettrice envoie un signal sur une fréquence donnée, une station réceptrice située parfois à des centaines de kilomètres peut le capter grâce à la réflexion sur la traînée du météore, alors même qu’en temps normal le signal direct ne serait pas reçu. L’écho enregistré dépend des caractéristiques du météore. Un petit météore produit une traînée brève et l’écho dure généralement moins d’une seconde. Un météore plus massif génère une traînée plus dense et plus persistante, pouvant renvoyer le signal durant plusieurs secondes. Sur un spectrogramme, l’écho apparaît comme une trace claire à la fréquence de l’émetteur, parfois légèrement décalée si l’objet a une composante de vitesse vers ou loin des antennes. Ce décalage est dû à l’effet Doppler et il peut donner des informations sur la vitesse du météore. En pratique, un observateur verra donc des échos radio apparaître et disparaître rapidement à la fréquence surveillée, chacun correspondant au passage d’un météore. Lors d’une pluie d’étoiles filantes, la fréquence des échos augmente nettement et on distingue souvent des séries d’échos rapprochés. C’est une méthode simple et efficace pour détecter et étudier les météores même de jour ou par temps nuageux, quand ils ne sont pas visibles à l’œil nu. Sans spécialement "lire" chaque écho il est possible de faire du comptage simple, un écho correspond à un météore. si le suivi est fait quotidiennement on peut transformer le comptage en tableau de densité par jour et par heure .... ça donne le tableau suivant ou le pic de Perséides et bien visible.1 point
-
Bonjour les amis, Pas mal d'occupations me retiennent loin du forum ces temps-ci mais je trouve enfin un peu de temps pour bavarder et partager un peu d'astronomie 🙂. Comme beaucoup de monde j'ai pu profiter de cette belle rencontre entre la Lune et le Soleil et j'ai surtout eu la chance de pouvoir en faire profiter les enfants. C'était un grand moment de partage en famille. Levé de bonne heure, je regarde une énième fois les prévisions météo pour m'assurer que les nuages ne viendront pas gâcher le spectacle. Depuis deux jours ils sont annoncés dans la matinée et comme prévu à 9h il fait grand soleil. Pourvu que ça dure... J'installe le matériel sur la terrasse, j'ai prévu toute la panoplie pour en profiter au mieux et de toutes les manières : la lunette 60/700 800, cadeau du beau père et qui me suit depuis mes débuts en astronomie : Avec son écran de projection parfait pour que les enfants puissent observer sans danger et en même temps. Bien sûr la petite lunette et sa monture est de la partie, pour immortaliser cet événement : Quelques petits réglages et tests pendant que les filles jouent à faire des bulles de savon 👍. La plus grande est impatiente que l'heure arrive, alors on passe un peu de temps à observer ce qu'il y a à la surface du Soleil : En l'occurrence une belle tache qui aura la chance de ne pas être occultée pendant l'éclipse. Enfin les classiques lunettes solaires (surtout pour papa et maman) et la boîte à éclipse, confectionnée dans une boîte de céréales et customisée par les filles 😉 Le temps que la Lune arrive les enfants ont le temps de s'entraîner à manipuler la chose. Les minutes s'égrènent lentement puis de gros nuages commencent à s'approcher dangereusement du soleil au fur et à mesure que l'heure arrive... La pensée que l'éclipse puisse nous échapper commence à prendre de l'épaisseur. Mais par chance nous ne manquerons finalement pas grand chose et les nuages feront office de pauses durant les observations. Il est enfin l'heure, j'appelle tout le monde et je vérifie aux lunettes que le Soleil commence à être grignoté par la silhouette de la Lune. La plus petite est contente, la plus grande est émerveillée : "Ouais trop bien ma première éclipse !! Jsuis trop contente !" Et moi donc ! Entre deux observations attentives nous discutons et évoquons l'éclipse totale d'août 1999 lorsque j'avais exactement le même âge qu'elle. Les nuages étaient également de la partie ce jour là mais s'étaient éclipsés au bon moment 👌. La boîte à éclipse aura fait fureur, nous sommes tous très satisfaits de ce petit bricolage très efficace. Au bout d'un moment ma plus grande prend l'initiative de s'occuper du suivi de la lunette, elle se débrouille drôlement bien avec les molettes ! 🏆 Nous en avons profité au maximum, puis l'heure de se mettre à table viens clôre cette belle matinée. Nous ne sommes pas prêts de l'oublier. Et comme cadeau souvenir, une vidéo de l'événement (pas facile tout de même de passer après les magnifiques photos et vidéos déjà publiées 😊) : éclipse time-lapse_MP4.mp4 https://youtube.com/shorts/WATCIceeHdc?si=qHLuISlNAtRHoQGK Vivement la prochaine ! Alexis1 point
-
Bonjour à tous ! Voilà ma version du double amas de Persée à la FRA300 + Poseidon-C. Il y a une nuit de 4h12 au filtre IR/UV cut (poses de 60") et une autre de 5h35 au filtre Ha/OIII (poses de 300") pour 9h47 ttc ce qui est absolument remarquable en octobre 2024 par chez moi.. Les aigrettes sont dues à un masque imprimé 3D, je trouve que ça donne un petit plus aux amas d'étoiles. Le reste c'est NINA/Pix/Affinity Photo 2. Bon ap ! Version RVB/H, montée d'histo avec GHS La version nature au filtre IR/UV Cut.1 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
