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sebseacteam

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Tout ce qui a été posté par sebseacteam

  1. tu aussi tu te prends pour le hérisson bleu....Fais gaffe, Seba c'est plus fort que toi....
  2. Salut, non rien fait de spécial, de mémoire pas mal de passages nuageux, occasionnnant des halos de malade (Nabilla grrrrr ) J'ai retiré le gradient comme j'ai pu. C'est pas ma meilleure image je le sais, c'était pour présenter ce type d'objet , qu'on a tous sur nos images mais qu'on ne voit pas forcément, surtout s'ils ne ressortent pas sur les annotations Les ravages de la chirurgie esthétique régénérative
  3. Pour les objets Herbig-Allo, voir avec la cousine des Nina's sisters, Nabilla...non mais....quoi.... Comme d'hab, zouuuuu Fizzzzz suis plus là quand vous lirez ces lignes
  4. Hello, Pour changer des galaxies et autres nébuleuses étendues, voici un sujet cosmique bien plus discret, un objet Herbig Haro. Quézaco? En astronomie, les objets de Herbig-Haro (ou parfois simplement objets Herbig-Haro ; en abrégé objets HH) sont de petites nébulosités associées à certaines très jeunes étoiles, qui se forment lorsque de la matière éjectée par ces étoiles naissantes entre en collision avec les nuages de gaz et de poussières environnant, à des vitesses de plusieurs centaines de kilomètres par seconde. Les objets Herbig-Haro sont omniprésents dans les régions de formation stellaire, et bien souvent il est possible d'en observer plusieurs autour d'une même étoile, alignés le long de son axe de rotation. Ces objets sont des phénomènes éphémères, ayant une durée de vie de quelques milliers d'années tout au plus. Il est possible de les voir évoluer sur une période de temps relativement courte, alors qu'ils s'éloignent de l'étoile dont ils sont issus à travers les nuages de gaz interstellaire. Les observations du télescope spatial Hubble montrent des évolutions complexes en quelques années seulement, certaines parties s'affaiblissant tandis que d'autres s'illuminent, suivant la densité du milieu rencontré. Les objets Herbig-Haro ont été observés pour la première fois par Sherburne Wesley Burnham à la fin du XIXe siècle, mais ce n'est que dans les années 1950 que l'on a compris qu'il s'agissait d'un nouveau type de nébuleuse en émission. Les premiers astronomes à les avoir étudiés en détail sont George Herbig et Guillermo Haro, d'où leur nom. Herbig et Haro étudiaient indépendamment la formation des étoiles lorsqu'ils ont analysé ces objets, et ont compris qu'ils étaient la conséquence du processus de formation des étoiles. Le rayonnement émis par les objets Herbig-Haro est dû aux ondes de choc provoquées par la collision avec le milieu interstellaire, mais leurs mouvements sont compliqués. Les observations spectroscopiques du décalage Doppler indiquent que la matière des jets se déplace à des vitesses de plusieurs centaines de kilomètres par seconde, mais les raies d'émission du spectre de ces objets sont trop faibles pour avoir été formées à de telles vitesses de collision. Ceci signifie probablement que la matière avec laquelle les jets entre en collision est également en mouvement, s'éloignant elle aussi de l'étoile centrale, mais à une vitesse inférieure à celle des jets. Plus de 450 objets HH ou groupes d'objets sont actuellement répertoriés (2006). Ils sont omniprésents dans les régions de formation d'étoiles, et très souvent présents en groupes. On les observe très souvent auprès des globules de Bok (des nébuleuses obscures contenant des étoiles très jeunes), et ils émanent d'ailleurs souvent de ces globules. Il est fréquent d'en observer plusieurs auprès d'une seule étoile, formant ainsi une sorte de chapelet le long d'une ligne représentant l'axe de rotation de celle-ci. Le nombre d'objets HH connus a augmenté rapidement ces dernières années, mais on pense généralement que ce nombre ne représente en réalité qu'une très faible proportion de la quantité existant réellement dans la Galaxie. Les estimations suggèrent qu'il en existe jusqu'à 150 000, la grande majorité d'entre eux étant trop éloignés et trop peu lumineux pour pouvoir être résolus avec les instruments actuels. La plupart des objets HH se trouvent à une distance n'excédant pas 0,5 parsec de l'étoile source, certains ayant été observés jusqu'à 1 parsec. Il en existe toutefois un petit nombre se situant à plusieurs parsecs de distance, probablement parce que le milieu interstellaire est très peu dense dans leur voisinage, permettant ainsi à la matière éjectée de voyager beaucoup plus loin avant d'être dispersée. Ici c'est le HH389 qui est présent sur l'image. Lunette Skywatcher 80ED (80/600) + réducteur 0.6x @ 360mm Caméra Player One Artemis-c imx294 + filtre Player One IRcut antihalos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 54 x 240s Gain 120 offset 30 T° -10°C Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 180s:
  5. J'aime bien les 2 versions 👌
  6. Pour faire du planétaire, edge ou ps edge ça ne va rien changer, les planètes sont trop petites pour y voir des soucis. Seule la collimation est à soigner. Pour le CP on s'en sort dès le réducteur Celestron/Meade. Pour les plus chers c'est encore mieux
  7. Bonne idée Gégé de reprendre ses propres images. On peut voir les progrès en traitement comme ça 👌
  8. Salut Julien, Ce croissant ch'ti envoie du pâté 😋 Oui ça le fait le C8 en ciel profond. Actuellement je shoote à f/4.4 avec double réduction. Les étoiles dans les coins sont moches mais comme tu le dis, BlurX s'en accommode. Bon choix un Edge. Pour le réducteur il y a le choix en effet, du pas cher au très cher. Ça dépend du capteur utilisé en fait, si c'est un APSC ou full frame alors oui il en faudrait un bon. Si capteur plus petit type 4/3 ou encore plus petit comme la mini8, on se retrouve uniquement au centre du faisceau lumineux, donc peut être pas forcément besoin d'un correcteur aussi cher que le tube lui même. Si budget illimité alors fais toi plez 😅
  9. oui une en "retard" de Mars... un ptit morceau pour patienter...
  10. Bien propre Julien 👌
  11. Hello, Tous les vendredis à la cantoche c'est poisson....même en astro dites donc.... NGC 896 est une nébuleuse en émission située dans la constellation de Cassiopée. Cette nébuleuse est une partie de la nébuleuse du Cœur (IC 1805). Elle est constituée de la partie brillante située sur la bordure ouest d'IC 1805. NGC 896 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1787. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 960mm f/d 4.7 Caméra Player One Artemis-c imx294 + filtre ZWO Duo Ha/OIII Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 89 x 180s Gain 120 offset 30 T° -10°C Traitement Sirilc,Siril, Pixinsight. une brute de 180s: Bon appétit
  12. Alors après un automne 2024 et un hiver 2025 bien pourraves.... j'avoue que depuis Avril je me suis bien gavé 😜
  13. sebseacteam

    Interlude 24-25

    Bon retour....et bon apéro (11H20 ça devient la bonne heure en effet....)
  14. Me doute oui mais c'est toujours formateur et motivant d'aller chercher d'autres choses à faire..... Te voilà prêt pour l'année prochaine: M31 en méga mosaïque à 2000 de focale.... top chrono c'est parti, tu as 4H...
  15. Bien joué Momo, jamais essayé un exercice de ce style. Respect
  16. Merci les copains J'apprécie de plus en plus cette nouvelle caméra Minicam8. J'avais déjà débroussaillé le terrain au printemps avec la caméra planétaire 664c et ses pixels de 2.9µ, tout comme la Mini8. Là ça va plus loin avec le capteur refroidi et surtout les filtres complets LRGBSHO. ça ouvre énormément de possibilités. Vivement la suite
  17. Un beau souvenir
  18. C'est ce que je commence à remarquer. Pour des prises pures en Ha/OIII par exemple, maintenant je fait une séquence comme ceci: 3x20s L pour commencer (facilite le goto et l'autofocus avec l'EAF 7x240s Ha 7x240s OIII ça fait une Heure environ, que je répète toute la nuit. ça me permet d'avoir un autofocus chaque heure et un recentrage.
  19. Merci Julien oui on s'occupe les opérations de base des 3 couches couleurs séparées RGB (crop, gradient, staralign, linearfit si besoin) , puis on continue les choses comme avec une caméra couleur classique. On a une vrai luminance qui permet d'aller plus loins. Reste l'intégration des filtres SHO, nouveauté pour ma part. Mais à force de faire et refaire on finit par arriver à un résultat qui nous convient.
  20. Merci Gégé Je scrute les occasions chaque jour ou presque en effet. Même si c'était la pleine lune, avec les filtres sélectifs SHO en 7nm le signal est visible. Semaine prochaine à priori ça devrait le faire plusieurs soirs de suite à partir de Mercredi/Jeudi. A suivre. Oui je vois clairement la différence avec le capteur couleur. ça permet d'aller plus loin mais c'est pas ce qui est le plus simple à faire surtout pour ceux qui débutent. A faire une fois qu'on s'est bien fait la main en couleur OSC. Prochain projet : une nébuleuse faible, rarement imagée je pense, en Ha/OIII principalement. J'espère accumuler 3 ou 4 nuits dessus histoire d'avoir du signal suffisant Merci Alex. Les classiques sont chouettes à faire aussi mais de temps en temps pourquoi pas aller voir autre chose, il y en a tellement
  21. Hello, 1e image avec l'ensemble des filtres de la Minicam8, c'est du sport pour tout gérer ça change de la caméra couleur OSC mais le gain est bien visible. Sh2-188 (surnommée nébuleuse Firefox en raison de sa forme) est une nébuleuse planétaire visible dans la constellation de Cassiopée. Bien qu'elle ait été incluse dans le catalogue Sharpless, il s'agit en fait d'une nébuleuse planétaire, située à une distance d'environ 218 pc (∼711 al) du système solaire. Elle apparaît comme une enveloppe bien marquée du côté est et très dispersée du côté ouest, où elle semble s'être déjà dissoute. En apparence, elle rappelle la nébuleuse Sh2-274. Grâce à sa vitesse d'expansion, un âge d'environ 7500 ans a été déterminé. Bien que son apparence ressemble à un reste de supernova, cette possibilité a été exclue en raison de la nature de ses émissions. La nébuleuse en émission Simeis 22 (Sim 22, S 22) a été découverte au début des années 1950 par les astronomes russes Grigory Abramovich Shajn et Vera Fedorovna Gaze à l'observatoire Simeis sur la péninsule de Crimée. Indépendamment de cette découverte, l'astronome américain Stewart Sharpless a trouvé la même nébuleuse en explorant les plaques photographiques du « Palomar Observatory Sky Survey » réalisées avec le télescope Schmidt de 48 pouces et l'a publiée en 1959 sous le nom de Sh 2-188 avec un total de 313 régions H-II dans un catalogue. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 881mm f/d 4.3 Caméra QHYminicam8 mono Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA L = 137 x 20s R = 20 x 60s G = 19 x 60s B = 19 x 60s SII = 28 x 240s Ha = 30 x 240s OIII = 26 x 240s Mode Linear HDR Gain 9 offset 100 T° 0°C Traitement Sirilc,Siril, Pixinsight. une brute de 20s en L: Une brute de 240s en Ha: Les stacks des 7 filtres: Peut être la source d'inspiration du navigateur internet qui porte le même nom ou inversement....
  22. Et oui j'aime bien tartiner, ça m'occupe
  23. Merci Julien Faite avec Siril: Prendre l'image finale, astrométrie dessus puis script python "Galaxy annotations" Comme son nom l'indique ça va mieux marcher avec des galaxies dans l'image. Quand il n'y a que des nébuleuses ça ne trouve pas grand chose. Plutôt prendre l'outil de Siril directement ou celui de Pix qui a une autre présentation
  24. Exact suis jamais très loin V1 pour moi aussi. ce sera cette fois ci avec les bases de l'electro....mon année de naissance 1975.... Après si ça bouge pas assez je peux essayer de trouver une version Goa Trance ou Gabber.....
  25. Hello, Voici une galaxie atypique dans Cassiopée, sa couleur est particulière par rapport aux galaxies habituelles. Spéciale dédicace à @180Vision qui me l'a faite découvrir avec son poste dédié. J'ai voulu m'y frotter avec le C8 IC 10 est une galaxie naine irrégulière du Groupe local située à environ 2,15 millions d'années-lumière (660 kpc) de la Voie lactée dans la constellation de Cassiopée. Elle a été découverte par l'astronome Lewis Swift en 1889, mais sa nature galactique ne fut proposée qu'en 1935 par Nicholas Mayall. Edwin Hubble suspecta son appartenance au Groupe local, appartenance qui sembla se confirmer en 1966 par la mesure de sa vitesse radiale indiquant que cette galaxie se rapproche de la nôtre à environ 350 km/s. L'appartenance d'IC 10 au Groupe local a été définitivement confirmée en 1996 par la mesure de son éloignement grâce à la relation période-luminosité de céphéides identifiées en son sein. Bien qu'elle ne soit pas très distante de nous, IC 10 est assez difficile à étudier du fait de sa position proche du plan du disque galactique de la Voie lactée, dont le milieu interstellaire absorbe une partie de son rayonnement. IC 10 semble être aussi distante de la galaxie d'Andromède que ne l'est la galaxie du Triangle, ce qui suggère son appartenance au sous-groupe de M31. IC 10 est la seule galaxie à sursaut de formation d'étoiles connue au sein du Groupe local. Avec 5,1 étoiles/kpc2, elle possède bien plus d'étoiles Wolf-Rayet par kiloparsec carré que le Grand Nuage de Magellan (2,0 étoiles/kpc2) et le Petit Nuage de Magellan (0,9 étoile/kpc2). Bien que sa luminosité soit du même ordre que celle du Petit Nuage de Magellan, elle est bien plus petite. Sa métallicité sensiblement plus élevée que celle du Petit Nuage de Magellan indique que son activité de formation stellaire s'y est poursuivie sur une plus longue période de temps, permettant à de nombreuses générations d'étoiles de s'y succéder. La formation stellaire au sein de cette galaxie produit actuellement l'équivalent de 0,04 à 0,08 M☉ par an, ce qui signifie qu'à ce rythme le gaz interstellaire sera épuisé dans seulement quelques milliards d'années. Une immense enveloppe d'hydrogène entoure cette galaxie, avec une extension angulaire d'environ 68′ × 80′, soit une dizaine de fois l'extension d'IC 10 en lumière visible. Une particularité de cette enveloppe est qu'elle semble animée d'un mouvement de rotation d'ensemble différent de celui de la galaxie elle-même. La source de rayons X IC 10 X-1 se trouve au sein de cette galaxie ; il s'agit d'une binaire X à forte masse dont l'étoile ordinaire est une étoile Wolf-Rayet et l'objet compact est un trou noir stellaire parmi les plus massifs connus (plusieurs dizaines de masses solaires. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 881mm f/d 4.3 Caméra QHYminicam8 mono Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA L = 141 x 30s R = 38 x 60s G = 30 x 60s B = 30 x 60s Ha = 40 x 240s Mode Linear HDR Gain 9 offset 100 T° 0°C Traitement Sirilc,Siril, Pixinsight. une brute de 30s en L: Une brute de 240s en Ha: Les stacks LRGB/Ha
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