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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 10/01/25 dans Messages
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Salut, inspiré par @sebseacteamj'ai tenté Abell 6 (ou PK146+4.1) accopagné de HFG1: Julien @180Vision nous avait également sorti une superbe version. Une fois n'ai pas coutume, j'ai posé 9H30 sur 2 nuit anvec l'Antlia 3nM dual band les 6H en RGB ne donnant rien. J'ai battu mon record de poses là. Galère de WBPP malgré mon CoreI9 et mes 128Gb de RAM pour 140 brutes aux taquets. Il faut que je m'achète une maxiCam32 plutôt que la 6200 OSC...👺 pour passer le temps (mettre l'ampli sur 12😃😞 Ca y est on a l'image! pour les pressés le crop de PK146+4.1 (Mag 16 quand même😮😞 et pour les amoureux du full frame: avec sa copine.😃 a vos commentaires a+ Serge7 points
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Réveil à 4h pour attraper la jolie voyageuse , avec un ciel limpide, qui contraste avec le triste spectacle que j'ai eu au coucher, où Saturne jouait à cache cache avec les nuages.... j'avais sorti l'ETX rapidement le soir, mais ce ciel au matin meritait mieux! Donc T400, Ethos 21 et 13mm (90- 150x) et bino 100x La queue est filiforme avec un petit renforcement à distance Noyau très lumineux avec une coma bien marqué, renforcée à l'arriere par un depart de seconde queue. Je n'ai pas noté de couleur. J'en ai profité pour observer Orion et Jupiter pour la première fois de l'année, avec en cadeau une belle Grande Tache Rouge6 points
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Bonsoir à tous mes chers compères du visuel, Je reviens à nouveau pour une CROA, un peu plus lourd que les autres, puisqu’il s’agit du résumé de cinq belles soirées que j’ai pu avoir durant cette pleine Lune de septembre avant que cette perturbation nous arrose si généreusement ! Appelons ce CROA : la Dernière Ligne Droite Estivale Première soirée, 15 septembre. Après une belle période d’arrosage automatique généralisé, voici le ciel qui se découvre enfin ! Cette soirée était inattendue, les nuages étaient encore supposés être présents, mais le traditionnel petit coup d’oeil avant d’aller me coucher me prouve le contraire. J’ai donc fait simple ce soir là et sorti ma « petite » lunette 152/760 dans le jardin. Après la mise en station la plus sommaire qui soit, je décide d’explorer le Verseau, qui me montre un petit bout entre les arbres de mon jardin. C’est une constellation que je n’ai presque pas visitée pour l’instant. Je trouve sans grande difficulté les galaxies NGC 7371, 7585, 7606, 7723, 7727… mais avec ce diamètre elles m’offrent peu de détails, je suis tout de même content de les percevoir sans trop de mal, avant que le Verseau ne disparaisse derrière les arbres. Je ne manquerai pas d’y retourner avec mon 300mm. Vient le tour de Cassiopée, qui est sans conteste la première constellation que j’ai su reconnaître dans mon enfance avec la Grande Ourse, mais que je n’avais explorée que partiellement jusqu’ici. Et c’est surtout la première fois que j’y jette un oeil dans ma lunette. Je pars de Ruchbach et suis un parcours direct, démarrant par M103, puis poursuivant sur le minuscule AO Trumpler 1, NGC 659, 663, 654, 743… pour arriver à l’ "Homme Musclé" Stock 2. J’étais déjà passé dessus au 300, mais là je le vois dans toute son entièreté, et c’est sans peine que je distingue bien ce prétentieux arborer fièrement ses biceps étoilés ! Enfin le clou du spectacle, les Nébuleuses IC1805 et IC1848 aidées par l’UHC. IC1805, la nébuleuse de la Saint Valentin, est assez peu définie mais je perçois tout de même vaguement ses filaments qui accompagnent les diverses structures étoilées qui l’habitent. Seule se démarque clairement la petite nébuleuse NGC 896 à une de ses extrémités. En revanche IC 1848, la nébuleuse de l’embryon, se dessine parfaitement, et surtout est entièrement englobée dans le champ de vision ! Quelle beau spectacle, j’y passe un certain temps, identifie la tête, les bras, le dos, la jambe… de ce qui est clairement plus un foetus qu’un embryon ! Je vais devoir m’arrêter là, mais avant de partir je jette un petit oeil sur Saturne qui est sorti des arbres. La vision est… offensante. Un pâté rond avec vaguement un petit trait au milieu. A côté du 300mm, on frôle l’insulte au planétaire. En grossissant c’est encore pire, le tout se brouille davantage avec une bonne dose de franges colorées. Voilà qui confirme bien les limites de ma lunette, elle a son domaine de prédilection, tout comme des faiblesses évidentes ! Deuxième soirée, 16 septembre. A la poursuite de Cassiopée ! Je sors cette fois-ci mon 300mm et reprends Cassiopée où je l’avais laissée, en commençant par les deux belles nébuleuses IC1805 et IC1848. Ici clairement ma lunette montre sa supériorité. Même oculaire, même filtre, mais je peine à discerner les contours. Seule NGC 896 ressort mieux, ainsi que les AO Stock 7 et NGC 1027 un peu plus fournis. La forme du foetus n’apparaît que parce que j’ai en mémoire la vision de la veille… Je me concentre ensuite sur les autres nébuleuses de la constellation. Le filtre OIII en place, j’explore les nébuleuses planétaires. IC289 à 150x me montre une tache que je ne détaille pas davantage, IC 1747 une très petite bulle presque stellaire mais contrastée. Les deux autres, PK 114-4.1 et PK 112-10.1 sont un peu plus difficiles, je les perçois mieux en prenant un peu de recul à 65x avec le filtre UHC. La première n’est qu’une tache floue, mais la deuxième, qui borde une étoile, semble par intermittence prendre une forme de trognon de pomme qui pourrait rappeler M27… mais je ne suis pas sûr de moi, c’est une vision très fugace et je me méfie de mes premières observations. En passant par M52, j’observe la nébuleuse de la Bulle NGC 7635. C’est une nébuleuse assez petite (je grossis à x150) et exigeante, mais je finis par discerner une forme de Yin (ou de Yang) enroulée contre une étoile. IC 59-63 est extrêmement difficile, notamment en raison de l’éblouissement engendré par γ. J’essaie différents filtres, et finalement c’est sans rien, en utilisant la méthode du « gigotage », que je finis par discerner à peine une vague zone plus laiteuse que le reste. A la limite entre la perception et l’imagination… Il paraîtrait qu’un filtre Hβ pourrait aider, voilà encore un futur prétexte pour dépenser plus d’argent que nécessaire ! Le rémanent de supernova Sh 2-188 est également très difficile, mais je finis par percevoir la zone en vision décalée, avec le filtre OIII, de façon très intermittente. J’espérais un mini-dentelles du cygne, on en est très, très loin, en tout cas à mon diamètre ! Je fais un tout petit détour à côté par l’AO NGC 436 et bien sûr le magnifique amas de la Chouette NGC 457, déjà observé maintes fois ! Je termine l’exploration de nébuleuses par la splendide IC 1590, la nébuleuse de Pac-Man, qui est vraiment LA nébuleuse de la constellation à observer. Avec le filtre UHC, elle donne l’impression d’un visage renfrogné caricatural, avec un petit groupe d’étoiles en guise d’oeil. C’est peut-être une impression due à la difficulté des nébuleuses précédentes mais j’ai vraiment envie de la classer dans la famille des grandes nébuleuses à effet Wouaw, à côté des beautés du Sagittaire, d’Orion et du Cygne. Je termine la nuit par un petite observation de Jupiter au binoculaire, au grossissement x150. Elle encore basse, mais c’est la première fois que je la vois si haute avec mes deux yeux. La grande tache rouge apparaît comme le nez au milieu de la figure, pile au centre. L’analyse des couleurs est bien plus efficace avec un oeil de plus ! J’ai hâte de pouvoir l’observer quand elle sera plus haute dans le ciel, et que je pourrai mieux profiter des méandres de ses bandes… Troisième soirée, samedi 17 septembre. Cette fois-ci, je fais les choses sérieusement et m’installe dans le champ à côté de chez moi, pour explorer librement l’horizon sud. Au programme, le Capricorne, le Verseau, le Microscope et le Poisson Austral. Le Capricorne n’est pas très généreux. Hormis le bel AG M30, je passe sans difficulté mais sans émerveillement sur deux galaxies NGC 6907 et 6903, le groupe Hickson 87 est très - trop - difficile, j’ai à peine la sensation de 2/3 taches galactiques en agitant le tube… l’amas Palomar 12 montre une vague lueur sous deux étoiles (en agitant aussi) mais impossible à résoudre. Je me rabats sur l’observations des doubles Al Giedi (si grande que résolue au chercheur), de la jolie paire jaune-bleue de Dabih, et de la petite carbonée RT Capricornis. Je termine dans le Capricorne par un nouvel essai sur notre petite planète naine Pluton. Sans succès, l’objet est assurément pointé, mais rien ne parvient à ma rétine. Peut-être un minuscule flash en vision décalée, un petit photon qui viendrait heurter un bâtonnet, mais trop aléatoire et furtif pour assurer qu’un monde lointain se trouve bien ici… D’ailleurs je vous pose cette question qui me taraude depuis un moment : pourquoi les astrologues nous bassinent en ce moment avec « Pluton en Verseau » alors qu’il est clairement en Capricorne ? Les astrologues n’auraient pas accès aux cartes mises à jour ou y a-t-il des notions d’astrologie qui m’échappent ? Sous le Capricorne, le Microscope est au méridien. La galaxie NGC 6925 apparaît très vaguement, en revanche rien n’est convaincant pour NGC 6958. Il faut dire que je pointe à -37°, le sol est visible dans mon chercheur ! La galaxie est pourtant exactement au méridien, je me résous à accepter que je ne la verrai pas de chez moi. Au moins, α forme une jolie petite double, je ne serai pas bredouille sur ce Microscope ! Le Verseau est désormais plus proche du méridien. Je commence par la galaxie NGC 7184, dont je n’arrive pas bien à discerner la zone centrale pourtant spectaculaire sur les photos ! Après un passage rapide sur les deux Messier M72 et M73, je m’attarde sur la Nébuleuse de Saturne, déjà visitée plusieurs fois, qui est une vraie beauté. Son bleu-vert est éclatant sans filtre. En grossissant à 300x, avec le filtre OIII, j’arrive à distinguer une structure annulaire à l’intérieur, et surtout très légèrement ses deux petites excroissances sur le côté qui lui donnent son nom. De l’autre côté de la constellation, la nébuleuse Cederblad 211 autour de R aquarii est autrement plus ingrate. Je finis par distinguer une très vague nébulosité avec le filtre UHC, en vision indirecte, mais sans pouvoir affirmer avec certitude que ce n’est pas juste le reflet de R dans l’oculaire… J’échoue également sur l’AG NGC 7492, ce qui est très décevant pour un objet NGC ! Je suis sûr de mon pointage, mais ce que je crois voir est trop pâle pour être certain. J’enchaîne ensuite les galaxies (dans l’ordre NGC 7727, 7723, 7606, 7585, 7371, 7252, 7284, 7377). Je ne vais pas détailler, certaines furent faciles, d’autres très difficiles, certaines avec un beau noyau, certaines rondes et d’autres allongées… mais toutes ont été vues ! Je termine la constellation par l’imposante NP Helix, qui pourtant presque invisible sans filtre, est spectaculaire dès lors que le filtre OIII est monté. Une belle et grande trace de rouge à lèvres au milieu de l’espace… en tout cas c’est ce qu’elle m’évoque ! En attendant que le Poisson Austral finisse son ascension, je décide de terminer mon exploration de Cassiopée. Il me reste une belle collection d’amas ouverts à observer. Je commence par NGC 7789 récemment recommandé par @GeoffreyJoe, et qui est en effet spectaculaire par sa densité et sa taille imposante, il emplit tout mon champ de vision à x65. J’explore ensuite tous les autres AO recommandés dans les Splendeurs du CP : NGC 7790, 7788, King 12, NGC 103, 109, 225, 381, Alessi 1, Collinder 463, dans cet ordre. Quelle belle déclinaison d’amas ! Comme un exercice de style, des grands, des petits, des étoiles par milliers ou qui se comptent sur les doigts de la main, certains très définis, d’autres nébuleux… Cassiopée n’est pas très riche en galaxies, mais les Splendeurs en recommandent tout de même quelques unes. Les deux répertoriées également par Caldwell, NGC 185 et 147, sont très grandes, et assez diffuses, donc assez peu spectaculaires. Non loin, NGC 278 est finalement plus jolie, avec son noyau défini, je crois même en deviner une tendance spirale. IC 10 est une vague et grande zone sans contraste. Quant à UGCA 34… je pense voir une zone nébuleuse entre deux étoiles. En vérifiant plus tard sur les Splendeurs du CP, ça pourrait correspondre. A classer dans les « incertains probables » ! C’est ainsi que j’achève cette exploration de Cassiopée, étalée sur trois nuits. 40 objets, dont une bonne trentaine de nouveaux, tous visés, tous probablement vus mais avec une petite incertitude sur la dernière galaxie… beau succès ! En tout cas, de cette constellation je retiendrai la Nébuleuse PacMan IC 1590, la Nébuleuse de l’Embryon IC 1848, et les amas ouverts Stock 2 « l’Homme Musclé », NGC 457 « La Chouette » et le splendide AO NGC 7789. Il y a de quoi se ravir la rétine ! Il est tard, minuit est largement passée, mais le Poisson Austral est si proche du méridien que je ne peux me priver d’une petite exploration. Je vois sans peine la galaxie NGC 7314 qui forme un bel ovale vertical, et à ma surprise je vois également le groupe Hickson 90 ! Un grumeau constitué de NGC 7176, 7174 et 7172, et un peu plus loin le noyau de NGC 7163. Nous sommes pourtant à -31°, voilà le groupe de galaxie le plus méridional que j’ai vu jusqu’à présent ! Je finis le tour de cette constellation par l’observation des doubles β, η et γ, et poursuis un peu plus bas sur l’étoile γ de la Grue. Rien d’exceptionnel mais voir un bout de la Grue me donne comme une impression de voyage vers des contrées plus méridionales… Quatrième soirée, 18 septembre : A la conquête du Dragon. Il me restait une seule constellation pour pouvoir boucler le volume Eté des Splendeurs du CP, j’y ai donc consacré cette soirée avant qu’il ne soit trop tard. Le Dragon est une belle collection de galaxies. J’en ai listé 23 à observer sur les Splendeurs, ayant mis de côté le groupe Hickson 55 que je sais d’office hors de portée. Je ne vais pas détailler ici, même si pour une fois mon compte-rendu était plutôt précis. Les 23 galaxies prévues ont toutes été observées, dans un ordre bien anticipé, en partant de la queue du Dragon, en suivant la courbe du corps pour arriver au sommet des ailes. Certaines ont été très difficiles et donc peu impressionnantes (les plus difficiles ont été NGC 4236 et NGC 6286), mais je retiendrai tout de mêmes certaines assez contrastées et intéressantes (NGC 4125, 3147, 5879, 5982, 6654), et certaines vraiment remarquables comme bien sûr M102, mais aussi NGC 5907 qui montre une élégante ligne de profil ainsi que NGC 6503, imposante et bien lumineuse. J’ai également visité les deux nébuleuses planétaires répertoriées, NGC 6543 bien sûr, le fameux « Oeil de chat », déjà observé plusieurs fois, et aussi la discrète NGC 6742 qui se présente comme un petit disque pâle à la limite du visible. Je termine cette soirée par un petit tour des objets discrets de la Lyre, notamment les très difficiles à repérer NP PK64+15.1 et NGC 6775, la petite galaxie NGC 6703 et le très pâle AO NGC 6791. Histoire d’être bien certain qu’aucun ne m’avait échappé dans cette petite constellation. Cinquième soirée, 20 septembre : modeste incursion dans le Lézard. Voilà une constellation dans laquelle je n’avais jamais plongé l’oculaire. J’ai noté que moins les constellations sont faciles à identifier à l’oeil nu, plus tard je m’y penche. Pour le lézard, j’ai opté pour la lunette 152mm, histoire d’avoir une première introduction en vue large. Malheureusement, à cet instant elle était à la fois au zénith et au méridien, ce qui ne facilite vraiment pas la manipulation de la monture équatoriale ! Les AO NGC 7209, 7243, 7296 et IC 1434 ont été repérés sans peine (je commence à beaucoup apprécier suivre la grille équatoriale aux flexibles, sans décoller l’oeil de l’oculaire…). Mention spéciale pour le bel AO NGC 7243, assez gigantesque et fourni, et dont la forme rappelle une hélice. Je suis content de l’avoir vu à la lunette, je ne l’aurais peut-être pas englobé au 300mm. IC 1434 était en revanche très peu résolu et mériterait un diamètre plus large. Deux NP étaient proposées dans les listes des Splendeurs, IC 5217 et PK 100-8.1. Toutes deux assez semblables, presque stellaires. J’ai toujours un peu de mal à viser les objets PK car malheureusement Stellarium ne les connaît pas, je cherche généralement une étoile répertoriée assez proche, mais suis livré à moi-même sur la fin… Cela dit les deux NP se sont révélées grâce à la méthode du « blinking » avec le filtre OIII. En grossissant convenablement mais pas trop (76x) sur la zone suspecte, et en passant brièvement le filtre entre mon oeil et l’oculaire, les deux petits points verts se sont illuminés entre les étoiles comme par magie. Ma lunette ne me dévoilera pas davantage sur ces NP mais je suis déjà heureux de savoir qu’elle peut me révéler d’aussi modestes objets comme des nébuleuses géantes dans leur entièreté ! Et voici comment j’achève enfin cette éprouvante dernière ligne droite avant d’entrer dans l’automne (et de dormir 10h trois nuits de suite). Je ne pensais pas avoir le temps d’en faire autant, mais en cinq nuits et probablement près d’une vingtaine d’heures passées dehors, j’ai pu explorer une belle panoplie de constellations (Cassiopée, le Dragon, la Lyre, le Capricorne, le Verseau, le Poisson Austral, le Microscope, le Lézard), avec encore une fois les Splendeurs du ciel profond et mes petites cartes / listes maison qui en sont extraites comme guides. Je suis bien heureux du nombre d’objets découverts et re-découverts, pour finalement très peu d’échecs (trois en comptant Pluton), 5 objets incertains (mais probables), et un seul abandon ! Voilà une très, très belle moisson que m’ont offerte ces dernières belles nuits sans Lune de l’été !4 points
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Bonjour les ami(e)s Merci beaucoup pour vos remarques qui m'encourage à encore chercher de nouvelles bestioles On est maintenant au début de l'automne ,et je remarque que les ciliés avec les températures plus basses la nuit commencent à se faire plus rares. Pour faire face à cette évolution j'ai commencer à faire une petite réserve ,quand les moments seront plus difficiles je posterai avec la mention réserves . Une partie du pot B a été mis sous abri un endroit ou il ne gèlera pas , l'autre est restée sur la terrasse avec le pot A et C Le pot B est le prélèvement de la terre et l'eau des plantes aquatiques, ils resterons sur la terrasse tout l'hivers avec le risque de congélation . La vidéo montre une diatomée plus grande que d'habitude vue sur le côté avec léger changement d'orientation . L'objectif est de 40X à bientôt amicalement Charles4 points
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Salut ! Je vous présente ma petite dernière, le Firefox en palette Mozilla Il y a quasiment 16 heures en SHO et 1h30 en RVB pour les étoiles. Ca a été capturé avec un newton TS UNC 150/750 + correcteur x0.95 et une miniCam8. Comme à mon habitude, c'est du NINA-Pix. Une version un peu plus bio RhVB en pensant que c'était cuit pour le SII et OIII en 2025..4 points
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Bonjour à tous, Petite session de 3 heures avec la 228mm, avec un montage simple stack utilisant un LS40 en attendant d'avoir un deuxième module LS40. Malheureusement, le seeing n'était pas super, mais comme les belles journées sont assez rares, j'en profite dès que je peux. Montage : 228mm (fermée à 180mm pour obtenir un F40) > ERF 120mm Tri-Band > ERF LS40 (provisoire mais utile, il a légèrement augmenté en température en attendant d'avoir un KG3) > TZ4s > LS40 > BF1200 > IMX428 Pour le fun je suis passer a 228mm F63 meme si le seeing n'etait pas assez bon Par contre je suis confronter a un phénomène ou l'en vos les bande d'inferometrie (non c'est pas des anneaux de Newton!! ) auriez vous une piste pour améliorer ce problème? meme si les flats le corrige bien c'est de mieux de ne pas les avoir. J'ai pensé a inclure un cpl dans le montage mais normalement je ne devrais pas y être confronter hors montage double stack3 points
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Hello ! Voici mon dernier projet de cette période de nouvelle lune - plutôt clémente en termes de temps ! Le OIII et le HA ont plutôt bien joué leur rôle et son bien délimités sur cet objet, permettant de donner une palette bien vibrante à mon gout Intégration Rouge (R) : 30 poses de 60 secondes, total 30 minutes Vert (G) : 30 poses de 60 secondes, total 30 minutes Bleu (B) : 30 poses de 60 secondes, total 30 minutes Hα : 224 poses de 300 secondes, total 18h40 SII : 60 poses de 300 secondes, total 5h OIII : 60 poses de 300 secondes, total 5h Total : 30h10 Équipement Télescope : Sky-Watcher Explorer 130PDS Caméra : ZWO ASI533MM Pro Monture : Sky-Watcher EQ6 Pro Filtres : Antlia 3nm Narrowband H-alpha 1.25" Antlia 3nm Narrowband OIII 1.25" Antlia 3nm Narrowband SII 1.25" Antlia V-Pro R, G, B 1.25" Accessoire : ZWO ASIAIR Pro2 points
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Photographier le CHU de Caen depuis la plage du Havre On voit très bien le profil imposant du CHU depuis la plage du Havre lorsque le temps est suffisamment clair pour que la brume ne le masque pas. Toutefois, plusieurs habitants du Havre, y compris des personnes ayant résidé plus de 75 ans dans la ville ou d’autres qui ont consulté leurs aînés, affirment qu’il est impossible d’apercevoir le CHU de Caen depuis la plage du Havre, puisque selon eux il est trop petit et trop loin, et qu'en plus Caen n'est pas au bord de la mer. Alors qui a raison ? Et peut-on le photographier avec le Soleil ou la Lune en arrière plan ? Histoire L’hôpital de Caen, a été construit entre 1968 et 1974 selon les plans de l’architecte Henry Bernard (1912-1994). Bernard avait imaginé ce projet dans la lignée de la réforme de Robert Debré de 1958, qui visait à transformer l’hôpital public en créant des centres hospitaliers universitaires. Bernard développe alors le concept d’« hôpital-paquebot », un édifice concentrant les quatre missions fondamentales du CHU : diagnostiquer, soigner, enseigner et chercher, réunies dans une structure cohérente et compacte. L’hôpital de Caen demeure le seul exemple achevé de cette vision architecturale et fait donc partie, en quelque sorte, du patrimoine architectural français emblématique d'après guerre, tout comme les bâtiments d'Auguste Perret ou de Le Corbusier. Malheureusent, à cette période, l’amiante est couramment utilisé. Les réglementations sanitaires actuelles exigeant des travaux de désamiantage tellement importants et coûteux pour continuer à utiliser le bâtiment, il a été décidé de construire un nouveau CHU et de procéder à la démolition de l’ancien établissement (cela dit sa destruction n'est pas encore validée au moment où j'écris cet article). Dimensions Le bâtiment est construit sur une des collines de Caen, à 66 m d’altitude. Il est constitué d’un soubassement de 4 niveaux (15 m) surmonté d’une barre de 19 étages et d’un niveau technique ajouté après sa construction, pour une hauteur totale annoncée de 87 m (mais en fait de 101 m) ce qui porte l’altitude de son toit soit à 153 m(ou plutôt à 167 m) au-dessus du niveau de la mer. La barre mesure environ 43 mètres de largeur et 108 mètres de longueur. Son orientation est principalement nord-sud. On le voit sous un angle de 45° depuis la plage du Havre, ce qui lui donne une largeur apparente de (108+43)/1.41 = 107 m environ. Il y a environ 46 km entre la plage du Havre et le CHU de Caen à vol d'oiseau. Analyse d’une photo Voici une photographie prise « depuis la plage du Havre », sans autre précision. Sur l’image d’origine, le bâtiment mesure 102 pixels de largeur et 82 pixels de hauteur. Depuis son orientation vue depuis Le Havre, la largeur apparente du bâtiment est de 107 m. Cela permet de calculer une échelle de 107/102 = 1,049 m par pixel. Cette échelle appliquée à la hauteur de 82 pixels donne une hauteur visible de 82 × 1,049 = 86 m au-dessus de l’horizon représenté par le trait. En prenant les chiffres officiels, le toit du bâtiment se trouve à 153 m d’altitude, le niveau visible sur la photo se situerait alors à 156 - 86 = 70 m d’altitude, et on aurait du voir la base du bâtiment, puisque son altitude est de 66+15=81 m, or on ne la voit pas. Il faut donc réviser l’altitude du toit du bâtiment au minimum à 81+86=167 m, ce qui fait un toit à 101 m de haut. Cette valeur est confirmée dans un article de Margaux Rousset pour le quotidien Liberté le 26 février 2023 : On retient donc que l’altitude du point le plus bas visible sur la photo est de 81 m. La table 13 de l’AMERICAN PRACTICAL NAVIGATOR indique la distance maximale à laquelle la courbure de la Terre permet à un objet d’une certaine hauteur d’être visible depuis une certaine hauteur d’œil. Le calcul tient compte d’un effet optique, la réfraction atmosphérique, qui dévie « vers le haut » les rayons lumineux proches de l’horizon. On en déduit l’altitude de l’œil de l’observateur hobs, à partir de l’altitude de la partie visible la plus basse hvis du CHU : Ici, R est le rayon de la Terre (6 378 000 m) et b le facteur de correction de la réfraction atmosphérique égal à 0.8279 +/- 5% (l’incertitude vient du fait que la réfraction varie en fonction de la pression et de la température). Si on considère que l’observateur tenait son appareil photo à environ 1.60 m de hauteur, ses pieds se trouvaient entre 4.3 m et 7.4 m au-dessus du niveau de l’eau ce qui est tout à fait compatible avec la topographie de la plage du Havre. On peut refaire le même calcul avec cette photo de Philippes Despointes, prise depuis la plage du Havre, en 2018. La position de la prise de vue, derrière la structure Up#3 des artistes Lamg & Baumann, est cette fois ci sans équivoque. La distance séparant les deux endroits est de 45,8 km : On distingue très bien le CHU ainsi que le château d’eau d’Hérouville-Saint-Clair à gauche du bâtiment. Le CHU fait 164 pixels de large pour 120 de haut sur la photo. On trouve alors l’altitude de la base visible de l’hôpital = 66+(101-107/164*117)=89 m, et celle de l’observateur d'un peu moins de 5 m. Sur Géoportail, l’altitude au droit de la sculpture Up#3 est de 5.3 m, ce qui est du même ordre de grandeur que celle déterminée à partir de la photo. Peut-on voir le CHU avec le Soleil ou la Lune en arrière-plan ? L’idée est de voir le CHU de Caen se détachant sur le disque solaire ou lunaire, depuis la plage du Havre. Est-ce possible, et si oui, à quelles dates ? Pour cela j’utilise PhotoPills, les deux point extrêmes étant le bout de la jetée Nord (azimut de 226.2°) et le Bout du Monde à Sainte-Adresse (azimut de 222.4°). Soleil Quel que soit l’endroit où on se trouve entre la Jetée Nord et le Bout du Monde, le Soleil est toujours trop haut quand il passe au-dessus du CHU un peu avant de se coucher (en apparence il semble à 5 km au dessus du CHU). Lune C’est chaque année entre mai et juin que la Lune est pleine quand elle se couche derrière le CHU. Pour 2026 et 2027, rendez-vous aux dates et heures suivantes, en espérant que la météo soit clémente ! 31/05/2026 à 05h16, 225.86° 01/06/2026 à 05h56, 223.18° 02/06/2026 à 06h48, 223.28° 29/06/2026 à 04h42, 222.86° 30/06/2026 à 05h41, 224.79° 22/05/2027 à 06h48, 224.44° 18/06/2027 à 04h44, 224.97° 19/06/2027 à 05h36, 224.90° La carte suivante permet de se placer en fonction de la date, en jaune les pleines lunes, en blanc les lunes à 99%. Dans tous les cas, il faut se lever de bonne heure et ne pas hésiter à bouger à droite ou à gauche pour suivre le déplacement de la Lune (comme elle se couche, vous pouvez voir depuis où vous la verrez passer derrière le CHU). À cette distance, la Lune paraîtra environ quatre fois plus grande que le CHU, avec un diamètre apparent d’environ 400 m, comme sur cette simulation faite à partir d’une photo de LH76600 : Pour obtenir un niveau de détail suffisant, il est recommandé d'utiliser une focale relativement longue. Ainsi, avec un capteur plein format (24x36 mm), une focale comprise entre 250 mm et 300 mm permettra à la Lune d'occuper environ 10 % de la hauteur de l’image en mode paysage. Pour un capteur APS-C (15x22 mm), une focale située entre 150 mm et 200 mm sera appropriée. Évidemment, rien n'empêche d'utiliser une focale plus importante pour augmenter le grossissement mais il faudra d'autant plus veiller à la stabilité du matériel contre la moindre vibration que la focale sera longue. Au delà de 500 mm c'est sportif ! Vous recadrerez l’image à votre convenance. Un temps de pose entre 1/30s et 1/100s, une ouverture de f/5.6 à f/8.0 et une sensibilité ISO de 100 à 400 sont recommandés pour commencer. Le réglage final sera à adapter en fonction des conditions du moment. Pour éviter le flou dû au mouvement de la Lune, ne dépassez pas 0,5 s. Conclusion Il est tout à fait possible de voir le CHU de Caen depuis la plage du Havre, donc les soi-disant havrais de souche devraient sortir de leur grotte et être un peu plus curieux quand ils se promènent sur le front de mer ! S'il n'est par contre pas possible de le photographier avec le Soleil derrière lui, on peut le faire certains matins de mai et de juin avec la Pleine Lune juste avant qu'elle ne se couche.2 points
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Bonjour à tous, je m'appelle Nolan et je suis passionné d'astrophysique. Depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours été intéressé par les sciences. C'est pourquoi, depuis l'âge de 9 ans, je souhaite devenir astrophysicien. Sachant et étant conscient du niveau d'études requis (qui me motive personnellement), de la difficulté et de la constance à envisager, j’acquiers un grand nombre de connaissances en lisant nombre de livres de vulgarisations scientifiques et de livres-documentaires à propos de l'astrophysique, de l'astronomie, de la physique quantique, et j'en passe, depuis petit. Étant plus que passionné et motivé quant à mon projet futur, j'ai décidé, après avoir lu un article présentant l'hypothèse des chercheurs Michael E. Brown et Konstantin Batygin d'une hypothétique "Planète 9" déduite à partir de l'observation d'un regroupement orbital des plusieurs objets trans-neptuniens (OTNs), de lancer mes propres recherches de la planète pour essayer de déjà me démarquer dans la sphère scientifique. J'ai donc débuté par les fondements mathématiques et physiques me permettant de progresser dans mes recherches, à savoir, suivre des cours en ligne sur la mécanique céleste, les calculs d'orbites, les éléments orbitaux et bien d'autres. J'ai ensuite essayé de modéliser les orbites les plus probables de la Planète 9, grâce aux données calculées par les chercheurs et les éléments orbitaux des OTNs les plus influencés par cette hypothétique planète, avec plusieurs logiciels de modélisation orbitale tel que GMAT, le logiciel développé par la NASA ou encore Celestia. Après plusieurs essais peu fructueux, j'ai fait des recherches supplémentaires et j'ai pu trouver un article mentionnant la piste de recherche d'une équipe japonaise qui aurait pu trouver des données et des corps intéressants à analyser dans les données des télescopes spatiaux japonais IRAS et AKARI. Motivé par cet axe de recherche, j'ai décidé de m'y lancer en cherchant dans les données publiques des deux télescopes en ligne grâce à un site nommé SkyView qui m'a permis de rechercher les différents clichés capturés par les télescopes selon les coordonnées célestes RA/Dec rentrées. Ici aussi, après plusieurs tentatives de soustraction d'images, de calculs de déplacement par pixel..., j'ai décidé de recentrer mes recherches sur une piste plus "concrète" et approfondie: les calculs mathématiques, tout simplement. J'ai écrit par la suite une dizaine de feuilles de calculs pour trouver les coordonnées RA/Dec probables de la Planète 9 grâce aux éléments orbitaux calculés par les équipes de recherches. J'ai finalement trouvé un résultat: RA/Dec = 267,9467099° / -6,381489624. J'ai fait parvenir ce résultat à un astrophysicien japonais dont j'ai pu lire qu'il s'intéressait aussi à cette hypothétique planète. Il m'a, bien humblement, répondu en me conseillant soit de modéliser beaucoup plus d'orbites et d'analyser laquelle est la plus propice au regroupement observé des OTNs ou bien de calculer mon incertitude positionnelle sur les coordonnées calculées pour pouvoir avoir une partie du ciel visée à observer. Je me suis d'abord concentré sur l'incertitude positionnelle avant de me retrouver perplexe face à la quantité et à la différence de méthodes pour la calculer. J'ai me suis donc aidé d'un script python pour le faire. Ensuite, j'ai continué mes recherches avec l'axe le plus concret depuis que j'ai commencé les recherches: les simulations à N-body grâce à des scripts python laborieux incluant le module "rebound", entre autres. Après de nombreux essais et quelques mois de recherches actives chaque jour, je suis actuellement en train de me créer un script python me permettant de simuler un grand nombre de configurations orbitales avec plusieurs valeurs pour chaque élément orbital ( a,e,i, Ω, ω ,M) afin de modéliser le plus grand nombre d'orbites de la Planète 9 pour ensuite trier les données pour savoir quelle orbite organise le mieux les orbites des OTNs extrêmes potentiellement influencés par la Planète 9 soit la base de mes recherches et celle de chaque chercheur indépendant aussi. Donc, après avoir : analysé les dispersions orbitales de plusieurs objets transneptuniens, balayé des centaines de configurations orbitales, produit des heatmaps et courbes d’alignement avec/sans Planète 9, et commencé à développer un scan intensif sur une grille complète de paramètres (𝑎, 𝑒, 𝑖, ω, Ω, 𝑀), je souhaiterais aujourd’hui aller plus loin dans mon étude, mais mes capacités de calcul personnelles sont limitées par mon ordinateur personnel. J’ai actuellement 15 ans, et je poursuis ce projet de façon totalement autonome, en parallèle de mes études secondaires. Ma démarche est motivée par une véritable passion pour la recherche scientifique et l’astronomie. J'ai aussi créé un rapport au format PDF présentant tous mes scripts, mes recherches et mes trouvailles. Vous pouvez télécharger le fichier en cliquant sur ce lien ci-contre puis en cliquant sur le titre "Rapport PDF" lorsque vous aurez été redirigé vers la page: https://github.com/nolan123-68-art/Planete9-LStackler Je cherche donc actuellement un mentor pouvant m'épauler dans mes recherches afin de me trouver un supercalculateur qui pourrait lancer mon script modélisant les 68 millions de configurations probables de la Planète 9 que j'ai trouvées. Si quelqu'un s'y connaît aussi en parallélisation de script python au cas où je ne trouverais rien d'intéressant me serait utile afin de ne pas lancer un script très lourd qui prendrais (réellement) 12 ans et s'exécuter sur mon ordinateur ! Je compte sur votre aide afin de me permettre de lancer ce script de très bonne augure quant à la recherche de la Planète 9, je tiens une piste ! Merci d'avoir pris le temps de lire ce message , en espérant avoir un retour positif. Bien humblement, STACKLER Nolan - n44957871@gmail.com1 point
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Bonsoir à tous !! Je vous présente mon essai de la nébuleuse du lion, plus connue sous le nom de SH2-132. C'est une célèbre nébuleuse est située dans Céphée. C'est ma première tentative sur une cible aussi ténue avec mon nouvelle caméra. Déjà une bonne chose, mes problèmes de guidage et retournement semble résolu. J'ai pu faire des poses de 3 minutes avec juste quelques déchets liés à des étoiles allongé. Une majorité sont du à des problèmes de pollution lumineuse et/ou passage nuageux. Résultat : 142 images conservées. Par contre, même avec une caméra astro, des poses de 3 minutes, le résultat est bien faiblard. Faut pas trop zoomer dans l'image, le fond de ciel est vraiment pas terrible. et je trouve que le bleu manque de peps. Donc prochaine étape, un filtre plus restrictif pour augmenter le contraste. Le setup : TS60/360 sur EQM35 Poséidon-C, filtre UvIrcut Autoguidage avec FMA135 + GPCMOS KMA. poses de 180'', gain 125, offset 20, capteur à -5°C Niveau logiciel, pas de changement : NINA, PHD2, SIRIL, Graxpert et GIMP Pour le traitement, je traite en séparé le fond et les étoiles. J'ai utilisé différents outils pour l’étirement (GHS, histogramme, courbe) Et par contre je ne comprend toujours pas pourquoi l'étalonnage des couleurs se désactive quand j’étire le linéaire (les couleurs changent bien dans l'auto-strech mais pas dans la linéaire). Enfin, en jouant sur les niveaux de chaque canal, j'arrive à un truc qui me convient, à défaut d'être juste (si tenté que l'on puisse être juste ^^) Assez de blabla, place à l'image Comme toujours, critiques et conseil sont les bienvenus !! S'il y a des volontaires, je peux vous poster la sortie d'empilement Bon ciel à tous !!1 point
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On utilise des échelles pour quantifier cette turbulence, notamment l’échelle de pickering. cette turbulence peut venir : - de la haute atmosphère ( souvent du jet-stream) , rapide, - de la basse atmosphère, plus lente et mouvements plus amples - de l’instrument : la chaleur de la masse de l’optique qui fait un courant chaud au dessus de l’optique - dans ton cas de la chaleur de la pièce dans laquelle tu étais ( on proscrit ça en astronomie. Il faut observer de dehors ou bien d’une coupole non chauffée- dans les observatoires professionnels on refroidit la coupole même) - de la chaleur de l’observateur à côté de son instrument la turbulence c’est le mouvement de l’air qui devient les rayons lumineux et déforme les images. Tu vois sur tes images que les étoiles qui devraient être des pont fixes s’étalent et bougent les grands observatoires utilisent maintenant ce qu’on appelle des optiques adaptatives pour pallier à ça car plus on a un gros télescope et plus on veut une image précise de petits objets du ciel, plus on souffre de la turbulence. L’optique adaptative consiste à f’déformer le miroir légèrement pour compenser la déviation des rayons lumineux à cause de la turbulence D’ailleurs @Premier contact aucun télescope amateur ne montrera de détails sur une étoile ( en dehors de note soleil bien sûr )1 point
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T'inquiète c'était prévu de toutes façons. La liste est prête. Ma femme est au courant, je dors dans l'autre chambre. Je vais tenter un petit 2h-6h, ça va piquer mais je devrais bien m'amuser ! Sans ton post, je n'étais même pas au courant pour cette comète , voilà qui attise davantage mon impatience !1 point
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Superbe!! 🙏 Voilà qui donne envie de s'intéresser à cette comète, que je n' ai pas encore tenté d'observer.1 point
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Ah oui comme tu dis elles sont incroyables ces turbulences... Les astrophotographes les connaissent bien puisqu'elles peuvent carrément empêcher toute prise de vue du ciel étoilé. Oh si c'est bien répertorié: https://comptes-rendus.academie-sciences.fr/physique/item/10.5802/crphys.101.pdf 😉1 point
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Excusez-moi j'ai oublié la deuxième question. Les conditions de prise de vue ? Et bien c'est filmé d'une fenêtre. Je repère à l'oeil nu les étoiles qui sont les plus brillantes et je filme. Excusez-moi je n'y connais absolument rien et la première vidéo a été faite presque par hasard en juillet.1 point
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Matériel utilisé : mon portable en mode vidéo avec zoom x10 (c'est le maximum disponible) Un petit adaptateur pour le coincer sur le trépied La vidéo fait 15' et ne passe pas au téléchargement. Je vais envoyer quelques secondes avec une image plus fixe plus tard. Je n'avais pas vu que le trépied avait bougé au démarage, désolée. Un autre membre m'a écrit que c'était des turbulances qui créaient toutes ces images. Elles sont incroyables ces turbulances ! Je trouve dommage que tout ça ne soit pas répertorié. Certaines images sont magnifiques, beaucoup sont plus qu'étranges... Surtout les formes géométriques et les formes presque humanoïdes.1 point
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Magnifique ! Beau rendu de l'éclat du noyau. Voilà qui me conforte encore dans l'idée de mettre mon réveil très tôt cette nuit !1 point
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Bonjour mon cher Charles, Vidéo bien réussie 👍 on voit bien la diatomée durant toute la vidéo. Amitiés, FRanck1 point
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Elle rappelle un peu Nishimura sans avoir une queue aussi longue dans l'immédiat. A suivre...1 point
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Magnifique dessin de la comète ! Ton allusion à ces observations matinales me ramènent à quelques souvenirs de collégien en 5eme : avant de prendre le bus, hop, je jetais un coup d’œil dans le ciel depuis la fenêtre : Jupiter justement était visible cette année là à cette période (1987) et ma paire de jumelles révélait les 4 satellites…le ciel pur du matin, quoi de mieux pour une belle journée à l’école !1 point
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Superbe ! Elle m'a l'air bien particulière cette Belle-là, avec sa queue filiforme et pour une fois assez contrastée on dirait. Je n'ai pas ton courage pour me lever à 4h, mais je vais la tenter demain matin aux jumelles, on verra ... 1ère Orion rapide aussi ce matin aux jumelles, un choc l'immersion dans l'Epée aux 10x56, même si le ciel commençait à pâlir un peu et les 3 min dont je disposais pas suffisantes pour réadapter la rétine1 point
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salut je lis ce debat bien tranquillement depuis hier , y en a des pages 👍 je possede egalement l'asiair mini il serait quand meme bien que tu suives le debat depuis le debut colmic a deja tout expliqué , et franchement je le trouve tres patient 😆 certe tu es débutant , quoique non plus maintenant puisqu'on est en 2025 😁 au passage un grand merci a colmic pour toute son experience dont il nous fait profiter.......1 point
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J'aime bien, je ne connaissais pas cette nébuleuse1 point
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Oui, parce que le 2e, on va pas aller très loin en imagerie CP... Ce qu'au moins 90 % des utilisateurs ne savent pas faire, ne voudront pas faire ou considèrent qu'ils n'ont pas à le faire. Ce qui explique aussi que depuis 2 ans, ces matériels ne se vendent plus face à des instruments connectés. Bien que le diamètre ne soit pas le même bien entendu.1 point
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Pour la barlow, … Avec une barlow tu compliques la visée, le suivi, la map, et ça peut compliquer le SNR au delà d’un certain gain pour la caméra. La caméra a des pixels de 2,9μm, parfait pour un tube f/15. Ton mak travaille déjà vers f/13. Le potentiel de gain n’est pas énorme. Donc à faire seulement si le seeing est très bon.1 point
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A 8h39, pas pareil !!! bon c'est pas dans l'ordre désolé , car celle ci est en fait la première.. Ayant un peu saturé mon portable, j'ai du faire plusieurs transferts sur un disque dur externe un peu à l'arrache ...bref pas très organisé pour gérer au mieux les acquisitions. Mais c'est un début, donc je vais essayer de mieux faire !1 point
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Et voila une première à 09h05 TU prise au quark sur une lunette 102/660 SVBony, camera ASI 678 ( qui n'est pas adapter je viens juste de recevoir la 174 Apollo de player One ... Bon c'est tres médiocre , elle a continué de s'agrandir pour ensuite complètement s'effilocher sur la gauche . J'ai énormément d'aplat à l'empilement alors que je ne retient que 2% sur 1800 i1 point
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Hello, Nouveau sauvetage effectué avec une image réalisée en 2023. M94 (NGC 4736) est une galaxie spirale située dans la constellation des Chiens de chasse. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 530 ± 16 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 8,82 ± 0,59 Mpc (∼28,8 millions d'al). NGC 4736 a été découverte l'astronome français Pierre Méchain en 1781. Apprenant la découverte de son ami, Charles Messier a déterminé sa position et l'a incluse dans son catalogue deux jours plus tard . Newton Skywatcher 150/750 + réducteur de coma : focale @ 690 mm Caméra Player One Artemis-c 294 Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 57 x 60s 39 x 120s Gain 120 offset 20 T° -10°C Traitement Sirilc,Siril, Pixinsight. Image de départ, histogramme auto:1 point
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Ce matin magnifique spectacle avec une énorme protubérance, malheureusement pas de vidéo car je ne maitrise par encore la technique . J'ai commencé mon observation vers 07h50 ( UTC) avec le spectro SHG 700 et ma lunette SVBony102/660 , camera asi 678 , traitement Jsolex. Suite à la découverte de cette grosse protu je suis passé au Quark pour mieux suivre son évolution . Pour l'instant je n'ai traité que la spectro ....1 point
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Nouvelle photo avec le SHG700 et lunette SVBony 102/660 diaphragmé à 8.6 avec un filtre ND8 et une ASI 678 Traitement Jsolex et Lightroom Remarque sur l'utilisation de la lunette, il est possible de faire des scan sans filtre mais la je sature: gain zéro et je ne peux pas abaisser ma vitesse sous peine de trop déformer le soleil , même si Jsolex le reconstruit !1 point
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Le ciel était bien transparent cette nuit, mais la turbulence ne laissait pas beaucoup d’espoir d’observer correctement les petites nébuleuses planétaires et autres galaxies lointaines. Saturne ne supporte que 300x, elle est malgré tout très jolie, avec son anneau très fin qui ne laisse plus voir la division de Cassini. Les ombres de l’anneau sur le disque sont ténues. Et Andromède qui commence à bien monter…. je jette un coup d’oeil nonchalant sur notre belle voisine et ses deux soeurs, mais je me dis que c’est le bon soir pour essayer de lui faire le portrait. J’avais déjà essayé au C8 il y a 4 ans mais l’exercice s’était révélé difficile en raison de la focale qui limite le champ réel. Je commence par placer le noyau et les deux satellites, puis quelques étoiles jalons et je dessine ensuite le plus d’étoiles possible, en déplaçant le télescope au besoin, avec l’Ethos 21 et le 13 pour des étoiles plus faibles. Je ne suis pas exhaustif malgré tout, il faut que je puisse facilement reconnaitre les astérisques pour replacer les détails de M31. Vient ensuite l’observation de la galaxie elle même. Elle est brillante, trop même et je dois exclure le noyau pour détailler les bras. Pour cela, j’augmente le grossissement à 230x et 300x sur certaines zones. Le coeur lui même semble irrégulier, avec une ébauche de bande d’absorption devant le noyau. Une première bande d’absorption très marquée apparait, puis une seconde plus discrète. On voit nettement NGC 206, d’autres condensations plus petites et irrégulières à l’opposé et du coté de M32, qui répondent comme elle au filtre OIII. Pour cumuler toutes ces observations, j’ai utilisé les Ethos 21 puis 13mm (90-150x) pour avoir le plus grand champ possible et observer les nébulosités les plus lointaines et faibles, puis 8 et 6mm (230-300x) pour détailler les bandes d’absorption et condensations. Le filtre UHC n’apporte rien, le filtre OIII réhausse un peu les nébuleuses. J’ai ensuite passé la binoculaire à 100 et 150x (pano 24 et nager 16 sur barlow 1,5x), qui améliore en fait beaucoup la perception des détails et des contrastes, notamment la première bande d’absorption, au dépend d’un champ plus restreint. L’observation a duré 2h30, le dessin n’a pas été repris ensuite.1 point
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Bonjour les conditions atmosphériques ne sont pas top aujourd'hui (turbulence, passages de cirrus) mais j'ai quand même tenté quelque chose. Le spot Ha de mon montage ne couvre pas tout le champ, j'ai donc eu du mal à équilibrer la luminosité entre la surface du soleil et les protubérances. Un traitement façon coronographe masque le problème. En triturant les nivaux, j'ai remarqué la présence "d'éclaboussures" très peu lumineuses. Voici donc une version réorientée avec un traitement bourrin pour les faire apparaitre. A bientôt Jean-Christophe1 point
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Salut à tous, Aujourd'hui beaucoup trop de turbulence pour espérer faire quelque chose au C8 avec un échantillonnage de 0.23 arcsec/pixel. Comme ça faisait longtemps que je n'avais pas fait un disque complet je me suis dit que j'allais essayer de ressortir la lunette Lunt qui dort au placard. J'en profite au passage pour tester le double stack Lunt40 avec la caméra 585 mono de chez Player One. Avec un échantillonnage autour de 1.5 arcsec/pixel ça devrait être jouable vu les conditions du jour. Après quelques essais de réglage - à l'œil - des étalons Lunt 40 par compression, j'en arrive à la même conclusion qu'à chaque fois: mes étalons sont bien réglés par défaut Il va donc falloir que je trouve une manière de valider tout ça quantitativement: lampe à hydrogène, spectrographie, autre méthode ?... Bref voici un cliché souvenir pris vers 15h23 TU le 20/09/2025: Une version colorisée pour ceux qui préfèrent: A+ Jerome1 point
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Hier vers 16H, j'ai pris quelques vidéos de notre astre en Ha avec ma configuration habituelle. je vous présente donc ma moisson de ce week-end de rentrée: les groupes de taches AR4206 et AR4207 les mêmes groupes mais avec une mosaïque de 3 images : le groupe de taches AR207 les 2 groupes de taches AR4210 et AR4211 le groupe de tache AR4210 le groupe de tache AR42111 point
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Oye braves gens! Le premier jour de Janvier et le 3, la météo a fini par offrir 2 nuits ! Du coup, j'ai attaqué cette cible histoire de ... Evidemment, on va dire que c'est une étapde intermédiaire, il faudrait encore le double ! Quasi 13.5h de Ha et 5.5h de OIII Si je vous mets les brutes en STF...vous allez rire... Avec donc l'Askar 103 @Deckard.R et l'Altaïr 26M et en Ha/O3 Antlia 3nm. 160x300" Ha et 75x300" O3 Le traitement n'a pas été fort sympa, forcément, pas assez de signal ! Pré-traitement Siril/Sirilic Traitement Pix Star align Gradient Correction BlurX StarX Puis EZStretch un peu plus appuyé sur chaque NoiseX De là, GHS pour sortir le signal au mieux. Assemblage Foraxx NarrowBandCalibration pour dosage HOO MAsquage du bleu pour le réduire ou Ha trop faible (bords de champs) SelectiveColorCorrection pour ajuster NB StarStrecth Seti Astro Export des deux Ajustements légers Photolab sur la Starless Un coup de StarPikes sur les étoiles Combinaison starless + stars et export JPG. Voila, elle est je pense regardable même s'il y a mieux et que j'espère ajouter du signal... La source Telescopius https://telescopius.com/deep-sky-objects/pn-a66-6/planetary-nebula/star/infra-red-source Le STF des 14h de Ha puis des 6h de OIII .1 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
