Aller au contenu

Toute l’activité

Ce flux se met à jour automatiquement

  1. Aujourd’hui
  2. Salut à tous, Des fois, la métaphysique finit par devenir de la physique... J'ai le très grand plaisir de vous présenter ma toute nouvelle plateforme équatoriale! Quelques rapides commentaires, en attendant de trouver le temps de décrire tout cela un peu plus précisément. Les principes que j'ai suivi, sont très largement inspirés des plateformes équatoriales présentées sur le site de Magnitude 78 et les autres sites biens connus de Google si vous tapez "planche/planchette/plateforme équatoriale". La seule originalité que je n'ai trouvée nulle part dans mes recherches, a été de faire imprimer en 3D les secteurs nords à la forme théorique parfaite. Les secteurs ne sont donc PAS approximés par des segments comme cela se retrouve usuellement. Les impressions sont en Nylon PA12. Je les ai faites faire chez PolyD (boite Italienne très sérieuse et compétitive) et Sculpteo (en région parisienne). Je vous recommande les deux enseignes! Le moteur est un petit moteur pas à pas dont je vous joins la fiche technique. Il est tout riquiqui (2cm de côté), pèse vraiment pas lourd et a un couple plus que suffisant (même en ne l'utilisant pas à son couple maximum). J'ai cherché à avoir la plateforme la plus compacte possible. Il y aurait probablement possibilité d'aller encore gratter 2-3cm en hauteur, mais au prix de compromis et d'efforts qui ne me paraissaient pas en valoir la peine. La plateforme est plus petite que la boite de mon Strock 250 (c'était un critère de design) et probablement moins haute que le couvercle (/socle) classique de celui ci. L'entrainement est fait par friction. J'ai rajouté un fin morceau de chambre à aire (caoutchouc) pour n'avoir aucun problème de glissement. J'ai également cherché à faire le plus léger possible. La plateforme est réalisée en contreplaqué de 12mm d'épais, évidée par endroit à la défonceuse. La plateforme complète pèse au final à peine plus d'1 kg! Qui dit moteur pas à pas, dit contrôleur. Qui dit contrôleur dit "ben pourquoi pas rajouter quelques capteurs pour se faciliter la vie"! J'ai donc mis un inclinomètre (pour faciliter la mise en station) et une sonde PTH parce que... pourquoi pas, et bien sûr une recharge usb-c! L'ensemble étant alimenté par 2 batteries 18650, ce qui me donne une généreuse autonomie de plus d'une dizaine d'heures. Le micro-controleur est un XIAO RP2040 (géniale cette petite carte). Je l'ai testée sur le ciel hier soir pour la première fois, ce projet de plateforme équatoriale étant en gestation depuis... pas loin de 3 ans. Que dire d'autres que "wow"... Le suivi change tout dans l'expérience à fort grossissement. Je peux enfin prendre le temps d'expliquer aux gens ce qu'ils sont en train de voir sans recentrer l'objet toutes les 30s. Je peux enfin scruter les détails des objets à volonté. Les mouvements sont parfaits. Je n'ai presque aucun jeu. C'est juste magique! J'ai certainement quelques détails que je vais encore peaufiner, et beaucoup d'éléments qui auraient pu être fait de façon plus simple ou approximative. Mais toutes les heures que j'ai passé à lire, essayer maladroitement de comprendre, dessiner, tester, à faire et refaire sont très largement compensées par la fierté du résultat, le plaisir d'avoir appris énormément de choses, et la sensation d'apporter ma petite pierre à l'édifice des concepteurs d'instruments. J'espère que cette réalisation en inspirera d'autres. Évidemment si vous avez des questions sur la réalisation, je me ferai un plaisir d'y répondre! Bons cieux, Daniel 8HS11-0204S-PG90_Full_Datasheet-1.pdf
  3. Bonjour à tous, Ouffff il était temps que le beau temps revienne, voici la première image sortie de la caméra acquise au mois de février. Comme vous pouvez constater avec la brut sortie d'empilement, une grosse trace m'a donné un travail supplémentaire - encore un escargot qui a pris son virage trop rapidement ... Malgré et c'est tant mieux, je m'en sors pas trop mal. M53 Lights: 20 x 180s Bias: 30 x 0s Darks: 30 x 180s Flats: 30 x 3.13s Camera PO Artemis-C pro à -10°C, filtre SVbony IR/UV cut dans tiroir à filtre SVBony. Orion ED80, guidage au PO avec ASI224mc HEQ5 sur Pier. Le tout orchestré par NINA en séquence avancée. Ce soir quel dommage c'est couvert ! M13 - et oui encore ...
  4. Bonjour, J'ai réussi à faire fonctionner l'esp32, la page web s'affiche, les valeurs sont bonnes, en revanche, dans NINA, toutes les valeurs restent à 0... il n'arrive pas à récupérer les valeurs sur la page web, j'ai pourtant bien rentré la bonne IP. Une mise à jour de NINA pourrait elle être la cause de cela? Je vous remercie. Jean
  5. Bonjour les Astrams ! ça y est c’est fait, me voilà l’heureux possesseur d’une paire de jumelles Nikon action EX 10x50 : aberration chromatique très bien contenue, très lumineuse, champ réel et ergonomie générale très agréable, très belle finition… J’en suis ravi, bien que je n’ai pas d’élément de comparaison pour vraiment les évaluer… Elles font tout de même leur poids, 1020 grammes. Au-delà de 20 minutes d’observation à main levée, les bras se font lourds même dans un transat avec les coudes calés… J’ai l’intention pour des observations prolongées, d’acheter un monopode avec une rotule orientable. Quelqu’un utilise t’il cette technique pour alléger les jumelles et stabiliser l’image ? Avez vous à ce sujet des conseils à me donner et des expériences à partager. D’avance merci et bon ciel à tous.
  6. Bonsoir, Très belle photo au téléobjectif Pour la réduction d'étoiles avec Gimp, c'est la bonne méthode en effet. Pour limiter les artefacts, il faut jouer avec la valeur 'Propagation rate' : A+
  7. Merci beaucoup, blurXterminator aide beaucoup 😉🙂
  8. Salut Ah oui, je vois sans doute ce que tu veux dire, et c'est ce que j'ai fat effectivement: - selection par couleur (sélectionner le blanc des étoiles) - filtre - distorsion - propagation de valeur - more black ça peut effectivement être a cause de Ça 👍😉 ☺️
  9. La réussite concernant le travail du booster est assez impressionnante, la phase de décollage, la séparation, le largage du hot ring (pour alléger) suivi d'une belle maîtrise de la phase finale de descente , c'est un sans faute. Pour le Starship, la phase d'accélération et la trajectoire orbitale ont aussi bien fonctionnés. La rentrée a été plus délicate, et quelques dégâts (on aura peut-être un bilan détaillé ?) la résilience avec l'aileron qui a perdu un morceau et n'a pas empêché un contact maîtrisé avec l'océan,, c'est prometteur mais nécessitera encore du travail. Cela est accessoire pour le contrat avec la NASA pour un HLS Moon Starship qui n'aura pas à réaliser ce retour ni cette rentrée. Cependant pour mener la mission à bien (Artemis III), il faudra effectuer la phase de ravitaillement ..... les Starship-citerne devront revenir au sol et redécoller à un rythme élevé (il semble se confirmer qu'une quinzaine de vols de ravitaillement très rapprochés seront nécessaire pour ravitailler le HLS en orbite LEO et permettent le départ vers la Lune). Il faudra que cela se fasse sans dégâts. Et bien entendu pour utiliser le Starship avec un équipage .....comme le souhaitera Space X pour ses propres missions , avec un retour sur terre ..... là il faut absolument tout maitriser et que la fiabilité soit maximale (et donc obtenir la qualification man rated). Cela reste un challenge pour la protection thermique (tuiles) et l'intégrité des ailerons . Un moment difficile pour l'aileron du Starship lors de la rentrée atmosphérique (mais l'axe situé au milieu a pu continuer à agir)
  10. Salut tous, En grattant encore un brin dans mes archives, j'ai retrouvé des images de la goutte noire telle que photographiée par l'expédition française de 1874 dans l'Île Saint-Paul. Il s'agit de plaques daguériennes, exposée au photohéliographe. Vues des installations de l'île Saint-Paul. Au premier plan la coupole de l'équatorial de 6 pouces. En arrière, la coupole de l'équatorial de 8 pouces. (il s'agit de pouces français, équivalents à 27 mm, soit 162, et 216 mm). A l'arrière plan, sur la gauche : la cabane du photohéliographe, et celle de la lunette méridienne. L'île Saint-Paul : https://fr.wikipedia.org/wiki/Île_Saint-Paul_(océan_Indien) Les passages de Vénus de 1874 et 1882 L'intérêt de la photographie astronomique naissante n'avait pas échappé aux membres de la Commission du Passage (Commission instituée dès le début de l'année 1870, en dépit des événements dramatiques auxquels la France était alors conforntée). Cette technique nouvelle recelait de nombreux avantages, et avait même été jugée potentiellement apte à fournir des résultats supérieurs aux observations purement visuelles. Visionnaire, Hervé Faye, alors président de la Commission, en était tout à fait convaincu : "Je compte [...] moins sur la méthode de Halley que sur un progrès nouveau qui caractérisera l'astronomie moderne, je veux parler de l'adoption de la photographie comme moyen de mesure. Imaginez qu'en A l'observateur photographie le Soleil et obtienne une image de 20 centimètres de diamètre, comme celles que M. Janssen montrait dernièrement à l'Académie. Tout y viendra, taches, facules, Vénus même, si à cet instant Vénus se montre sur le Soleil. Qu'en B l'observateur austral en fasse autant au même moment. Nous serons en possession à leur retour de deux images parfaites du Soleil, où le déplacement parallactique de Vénus deviendra aisément mesurable. Si A est à Saint Paul, par exemple, et B au Japon, ce déplacement sera de plus de 3 millimètres.[...] Il est aisé, avec une loupe et un vernier, de mesurer cet écartement à 0.1 mm. Alors vous avez la parallaxe du Soleil à 1/1200 près. Et notez bien qu'ici tout est automatique. L'observateur n'y intervient pour rien avec ses agitations nerveuses, ses anxiétés, ses préoccupations, son impatience, les illusions de ses sens et de son système nerveux. C'est la nature même que vous avez sous les yeux ; vous l'avez fixée à jamais pour en reprendre l'examen et la mesure à volonté et à toute époque. Il y a longtemps que cette admirable méthode, dont la précision semble être illimitée, a été proposée aux astronomes par un français. Elle va être appliquée en grand par les Américains le 9 décembre prochain. Ils ont fait construire pour cela des lunettes photographiques de quarante pieds de long. Je leur prédis un succès complet. [...] En un mot, avec les deux ou trois mille photographies de grande dimension qu'on recueillerait aisément dans toutes les stations en 1874, je ne doute pas qu'on obtienne la parallaxe du Soleil à 1/1200 près, c'est à dire à moins de 0.01 seconde." (1) L'optimisme était de rigueur. Ainsi exposée, la méthode n'avait que des avantages et son application ne pouvait être que positive. Il y avait bien quelques difficultés techniques à surmonter ; la confiance absolue dans le progrès ne pouvait à elle seule garantir l'obtention de résultats probants. Il fallait davantage compter sur le dévouement et sur le savoir-faire que sur la chance, car il y avait loin entre l'exposition correcte d'images de croissants de Lune réalisées sur des instruments imposants dans la douce quiétude des observatoires, et la réussite d'images scientifiquement exploitables, obtenues sur le terrain dans des contrées difficiles et lointaines. ./... Et justement … LA COURSE AUX RESULTATS L'Académie des Sciences et la Royal Society furent les premières à donner, presque en temps réel, des nouvelles de leurs expéditions d'alors, dans leurs publications dédiées et dans quelques journaux plus populaires, mais il fallut bien souvent regretter l'absence de données chiffrées dans les articles. La substantifique moelle était conservée bien à l'abri des convoitises d'autrui ... Du reste, réduire les observations et déterminer la valeur de la parallaxe solaire était une tâche incommensurable, qui occupa longtemps des équipes entières d'astronomes et de calculateurs dans nombres d'institutions des pays concernés. La réduction des observations ramenées par cinq ou six expéditions supposait en effet la détermination des coordonnées géographiques des stations par l'étude de milliers de mesures de passages d'étoiles au méridien, de centaines de culminations de limbes lunaires et solaires, et par l'étalonnage de dizaines d'instruments d'optique et de quelques centaines de chronomètres. Il s'agissait de compiler des dizaines de milliers de mesures de précision en tous genres, ce qui représentait à tout le moins des années de travail. L'Institut de France rendit public l'ensemble des observations et récits de voyages de ses astronomes, accompagnés des comptes-rendus des réunions préparatoires de la Commission du Passage, sous la forme de neuf énormes tomes, publiés progressivement entre 1876 et 1890, l'ensemble représentant une pile de plus de cinquante centimètres de hauteur d'une lecture passionnante. Mais les résultats tardèrent. Après bien des tergiversations cependant, les Français s'accordèrent sur une valeur "nationale" de la parallaxe comprise entre 8.78" et ... 9.17", André trouvant 8.88" ou 8.82" en se basant sur les seules observations visuelles obtenues à Nouméa et à Saint-Paul, valeurs incluant ou non les chiffres de Mouchez à la lunette de 8 pouces. En Angleterre, Tupman, Neate et quelques autres s'attelèrent à la tâche ; la nouvelle valeur de la parallaxe, publiée en juin 1878 dans les Monthly Notices, calculée non seulement à partir des observations britanniques obtenues par les expéditions officielles mais aussi à partir de dizaines d'observations amateurs venues de tout l'Empire de Victoria, était égale à 8.857" à quelques centièmes de seconde d'arc près. Mais il s'agissait là de la valeur obtenue uniquement en tenant compte du premier contact interne. Lorsque observations du second contact interne étaient réduites, la valeur de la parallaxe s'abaissait jusqu'à 8.792", valeur a priori insuffisante, mais relativement proche tout de même de celle qui fut publiée sous la direction d'Airy dans le rapport officiel des missions anglaises, et qui était égale à 8.74". Après avoir éliminé un certain nombre de résultats douteux et pondéré les valeurs conservées, après avoir discuté ceci, supputé cela et moyenné encore quelques mesures ici ou là, Tupman adopta finalement la valeur 8.846" comme représentant le plus probablement la parallaxe solaire, d'où il déduisit la distance réelle du Soleil : 92 400 000 miles (148 700 000 km). Tupman ajouta cependant qu'il était plus raisonnable de considérer que la parallaxe réelle était comprise entre 8.82" et 8.88", valeurs généralement admises par l'ensemble des astronomes. Stone, Astronome de sa Majesté au Cap, déduisit quelques valeurs sensiblement différentes des mêmes observations : 8.860" pour l'entrée de la planète, 9.04" à 9.06" pour la sortie, et 8.897" en valeur pondérée. De son côté, W.H.M. Christie, le rédacteur en chef du périodique anglais The Observatory calcula une parallaxe égale à 8.750" ... Du côté américain, une première série d'observations photographiques et visuelles fut couchée sur le papier, mais pas avant 1880. Les récits des expéditions et autres observations complémentaires furent pré-établis en 1881 sous la direction de Simon Newcomb ; il manquait encore les observations obtenues à l'île Chatham, mais tout semblait en bonne voie. Pourtant Vénus passa une seconde fois devant le Soleil avant que les choses n'avancent encore. En 1886, la Commission adopta la résolution selon laquelle le travail serait achevé et les résultats de 1874 publiés au plus tard le premier janvier 1888. En 1891 pourtant, rien n'avait bougé, et William Harkness précisa alors, s'il en était besoin, que rien n'était encore décidé au sujet des observations de 1882 ... Entre temps les crédits pour l'achèvement des calculs et la publication des résultats avaient été alloués ailleurs et Newcomb avait démissionné. Rien ne fut jamais officiellement publié sous le sceau du Congrès, mais un exemplaire unique du second tome des résultats américains existe encore à l'état d'épreuve annotée, à la bibliothèque de l'US Naval Observatory de Washington … La valeur de la parallaxe de Vénus ne serait jamais connue avec une précision suffisante à l'occasion des passages de Vénus observés en 1761, 1769, 1874 et 1882. Il y aurait lieu d'imaginer d'autres méthodes pour déterminer la valeur de l'Unité Astronomique. Mais ceci est une autre histoire. Notes : 1 - Faye Hervé ; Le prochain passage de Vénus sur le Soleil ; Association française pour l'avancement des sciences, congrès de Lille ; RSFE, 17 octobre 1874.
  11. Bonjour, Je viens, il y quelques mois, d'acquérir un nouveau télescope Skywatcher 200/1000 sur une monture HEQ5 Pro GoTo et je n'arrive malheureusement pas à m'en servir comme souhaité. Après plusieurs essais et pleins de tests de réglages j'en suis arrivé au point où j'ai besoin d'une aide extérieure pour m'aider. Je n'arrive pas à finaliser correctement mon étalonnage 2 ou 3 étoiles car, tout simplement, je n'arrive pas à centrer la bonne étoile dans mon oculaire (ou sur la caméra) donc l'étalonnage ne fonctionne pas. Je recherche donc une personne, si possible qui s'y connait en monture GoTo, et qui serait prêt, en échange d'une petite compensation, à venir une nuit avec moi pour qu'il/elle puisse m'expliquer le fonctionnement d'une telle opération d'étalonnage sur ma monture, et peut-être me donner quelques conseils. Si quelqu'un peut m'aider, je suis basé dans les Yvelines (78) et prêt à me déplacer en Ile-de-France si besoin. En juillet et aout je serai basé dans le Gard (30). Pour plus d'informations et pour échanger sur le sujet, vous pouvez m'envoyer un DM sur mon compte instagram @mae_photographer_ Au plaisir de peut-être rencontrer l'un ou l'une d'entre vous, Cordialement, Maëlan
  12. jusqu’à
    RAAGSO XV Jeudi 26, Vendredi 27, samedi 28 et dimanche 29 septembre 2024 tout le week-end Cliquez sur la bannière pour accéder au site Camping du Causse à Ambeyrac (dans l'Aveyron) Inscription obligatoire sur le site des RAAGSO Passages de l'ISS A venir Crédit : heavens-above.com Jeudi 26 septembre Éphéméride (heure locale) Coucher du Soleil : 19h50 Crépuscule astronomique : 21h30 Lever de Lune : 2h05 (fraction éclairée 21%) Coucher de Vénus : 21h Lever de Saturne : 19h15 Lever de Jupiter : 23h20 Lever de Mars : 0h50 Vendredi 27 septembre Éphéméride (heure locale) Coucher du Soleil : 19h50 Crépuscule astronomique : 21h30 Lever de Lune : 3h15 (fraction éclairée 14%) Coucher de Vénus : 21h Lever de Saturne : 19h15 Lever de Jupiter : 23h20 Lever de Mars : 0h50 Samedi 28 septembre Éphéméride (heure locale) Coucher du Soleil : 19h50 Crépuscule astronomique : 21h30 Lever de Lune : 4h25 (fraction éclairée 8%) Coucher de Vénus : 21h Lever de Saturne : 19h15 Lever de Jupiter : 23h20 Lever de Mars : 0h50 Quelques photos de l'édition précédente : Cliquez ICI Venez nombreux
  13. Merci pour la couleur de M63, j’ai étalonné les couleurs via astrométrie dans siril. J’ai pas été plus loin de ce côté.
  14. Superbe image Serge, j'adore la galaxie par transparence ! Pour le fdc, tu peux toujours essayer de rattraper le coup avec un fdc synthétique. Tu crée une image uniforme au même niveau que la médiane du fdc, tu ajoutes du bruit pour qu'il soit comparable à celui de la vraie image (STD du même ordre), ensuite tu "bouches les trous" dans le fdc avec la commande "Max(image,coeff*fdc)" dans Pixelmath en ajustant le coeff. Évidemment tu resserre un max les seuils de visu pour te rendre compte de ce que tu fais.
  15. Jolie photo 👍 Très propre
  16. J'aime bien le grand champ la galaxie est bien mise dans son contexte chouette image ! Je suis juste réservé sur les couleurs, je trouve la galaxie assez monochrome ?
  17. Belle image, c'est très fin bravo !
  18. Merci Nico ! J'ai encore de la marge 😅 @christiand et @Papilain en étaient venu à bout : http://astrosurf.com/arp/projet.htm Un sacré challenge 👍
  19. Bonjour à tous, une image de M92 prise hier soir, avec 156 prises de 60s. La full est pleine de petites galaxies, et la crop visualise mieux l'amas, je n'ai pas su choisir donc je vous propose les deux. J'attends vos commentaires pour progresser, merci et bon ciel pascal Lacerta 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur GPU x1 Filtres UVIRcut Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight – BlurXterminator – GIMP
  20. j'ai fait un pari, je crois que c'est ici. Mais comme un crétin j'ai pas mis de contrepartie : il faudrait que les fanboys me paient de bières tous les ans (on va dire) tant que cette bouze n'est pas arrivée sur la lune avec un bonhomme (vivant) dedans. Donc RDV mi 2025.
  21. J'étais censé sortir bibi demain soir. Le vent a tourné Je tente ma chance ce soir également même si c'est pour quelques heures
  22. Aaaaah...??? On ne nous dit pas tout... !!! J'ai loupé un truc? C'est où?
  1. Charger plus d’activité
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.