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  1. jackbauer

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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/25/24 dans Messages

  1. 😥😥 https://mars.nasa.gov/news/9540/after-three-years-on-mars-nasas-ingenuity-helicopter-mission-ends/ Après trois ans sur Mars, la mission de l’hélicoptère Ingenuity de la NASA prend fin L’hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA, qui a marqué l’histoire, a terminé sa mission sur la planète rouge après avoir dépassé les attentes et effectué des dizaines de vols de plus que prévu. Alors que l’hélicoptère reste debout et en communication avec les contrôleurs au sol, les images de son vol du 18 janvier envoyées sur Terre cette semaine indiquent qu’une ou plusieurs de ses pales de rotor ont été endommagées lors de l’atterrissage et qu’il n’est plus capable de voler. Conçu à l’origine comme une démonstration technologique pour effectuer jusqu’à cinq vols d’essai expérimentaux sur 30 jours, le premier aéronef sur un autre monde a opéré depuis la surface martienne pendant près de trois ans, a effectué 72 vols et a volé plus de 14 fois plus loin que prévu tout en enregistrant plus de deux heures de temps de vol total. « Le voyage historique d’Ingenuity, le premier avion sur une autre planète, est arrivé à sa fin », a déclaré l’administrateur de la NASA, Bill Nelson. « Cet hélicoptère remarquable a volé plus haut et plus loin que nous ne l’aurions jamais imaginé et a aidé la NASA à faire ce que nous faisons de mieux : rendre l’impossible possible. Grâce à des missions comme Ingenuity, la NASA ouvre la voie à de futurs vols dans notre système solaire et à une exploration humaine plus intelligente et plus sûre vers Mars et au-delà. La NASA discutera de la mission Ingenuity lors d’une conférence téléphonique avec les médias aujourd’hui Ingenuity repère l’ombre de sa pale de rotor endommagée : Après son 72e vol le 18 janvier 2024, l’hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA a capturé cette image en couleur montrant l’ombre de l’une de ses pales de rotor, qui a été endommagée lors de l’atterrissage.
    4 points
  2. Pour celles et ceux qui ne seront pas de sortie ce soir : https://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/22363853-lodyssee-dhubble-un-oeil-dans-les-etoiles/ 🙂 Alexis
    3 points
  3. Salut les Astram! Je vous presente une petite nebuleuse planetaire... NGC 1514 est une nébuleuse planétaire située dans la constellation du Taureau, à environ 800-1520 années-lumière de la Terre. Elle a été découverte par William Herschel en 1790, qui la décrivit comme "une nébuleuse très singulière, qui ressemble à une étoile de la huitième magnitude, avec une atmosphère légèrement lumineuse, d'un diamètre de 2’. En effet, en lumière visible, la nébuleuse apparaît comme une boule de cristal, avec une étoile au centre, en fait, c'est un système binaire à longue période, d'approximativement neuf ans, qui a été révélé par des observations spectroscopiques récentes. L'étoile la plus chaude est la naine blanche qui a donné naissance à la nébuleuse. Elle a une température de surface de plus de 80 000 K, et émet un rayonnement ultraviolet qui ionise le gaz de la nébuleuse, le faisant briller. L'étoile la plus froide est une étoile normale, qui a une température de surface d'environ 10 000 K, et qui est plus massive, plus lumineuse et plus éloignée que la naine blanche. Elle a été enrichie en éléments lourds par le transfert de matière de la naine blanche lorsqu'elle était sur la branche asymptotique des géantes, avant de perdre son enveloppe. NGC 1514 présente une structure complexe et variée selon la longueur d'onde à laquelle on l'observe. En lumière visible, NGC 1514 est généralement cataloguée comme une nébuleuse ronde ou légèrement elliptique, avec une apparence amorphe et grumeleuse composée de nombreuses petites bulles. En infrarouge, le satellite Wise a mis en évidence la présence de deux anneaux de poussières qui entourent la boule de cristal. Ces anneaux sont invisibles en lumière visible, car ils sont noyés par l'éclat de l’étoile centrale. Ils sont probablement le résultat de l'interaction entre le vent stellaire de la naine blanche et le compagnon , qui crée des ondes de choc et des turbulences dans le milieu interstellaire. Et c'était le but de ma "mission", de détecter ces anneaux ! on ne rigole pas au fond !http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/biggrin.png j’ai utilisé un filtre IR850 et ma caméra Neptune imx464 ( elle possède une sensibilité élevée dans les infrarouges) pour tenter de voir ces anneaux… tel un gamin qui croit au père noël !http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/smile.png En utilisant des spectres et des images optiques à haute résolution, les astrophysiciens ont pu modéliser la nébuleuse à partir des cartes de position-vitesse de la ligne [O III]. Ils ont identifié plusieurs structures : une coquille externe sphérique, une coquille interne déformée par des protubérances, avec des bulles symétriques. Ils ont estimé les vitesses d'expansion et les âges cinématiques de ces structures, qui sont similaires pour la coquille interne et les bulles (environ 4000 ans), mais plus élevés pour la coquille externe (environ 5400 ans). Ils ont également proposé une structure en forme de tonneau pour expliquer les anneaux infrarouges, mais sans données cinématiques pour la confirmer. La structure de NGC 1514 témoigne de l'importance des binaires dans la formation et l'évolution des nébuleuses planétaires. Ces objets célestes sont souvent le résultat de l'interaction entre deux étoiles, qui modifient leur structure, leur rotation, leur masse et leur composition. Les binaires peuvent aussi influencer la morphologie et la chimie de la nébuleuse, en créant des jets, des disques, des lobes ou des anneaux. NGC 1514 pose un défi pour les modèles de formation des nébuleuses planétaires, car elle présente une symétrie sphérique, alors qu'on s'attend à ce qu'une binaire crée une nébuleuse asymétrique. De plus, la masse de la naine blanche est supérieure à celle d'une étoile typique, ce qui suggère qu'elle a subi un processus de fusion nucléaire inhabituel. Enfin, la nature et le rôle du compagnon restent à éclaircir, car il pourrait s'agir d'une coïncidence de position, et non d'un membre du système binaire. J’ai la chance d’avoir plusieurs caméras avec chacune des caractéristiques propres… La Saturn (imx533) est une caméra NB, elle possède un pic de sensibilité vers le vert/bleue, parfait pour faire de l’ OIII. J’ai utilisé l’Halpha sur cette même caméra pour le côté pratique... et faire du halpha avec ma couleur… C'est compliqué. La Uranus (imx585c) m’a servi pour la couleur, elle possède un bruit de lecture extrêmement bas ce qui est parfait pour les courtes poses. Et ensuite la Neptune(imx464) pour l’infrarouge 850, son pic de sensibilité est à 850 ! (+90%). C’est clair qu’il faut optimiser chaque détail…Le bruit de lecture est le bruit qui domine dans le domaine des courtes poses, c’est lui qui fera la différence au-delà du bruit photonique, donc comme le gain est élevé , ma dynamique s'effondre alors, il faut choisir, le capteur est plus susceptible de choper un poil de signal ! Après, c’est évident que pour une détection optimale de ces anneaux (la raison du choix de cette cible) ,il aurait fallu utiliser un filtre plus profond mais mes temps de poses unitaires aurait plus conséquents… Mon matériel ne me permet pas de faire de la longue pose… Je tenterai de nouveau cette cible avec un filtre IR1200 en poussant à 4-5s et je verrai bien. Ha oui, les Darks sont primordiales en poses courtes si vous ne voulez pas que votre PC hurle ou explose (20000 images (9mo)en mode rejet il faut 25h) …en somme 2h max. Matériels habituels : TN 300mm F4 orion (eq6) camera PlayerOne Saturn,Uranus et Neptune. filtres: Saturn imx533M: Oxygen:2sx4h+1sx2h Halpha:2sx4h Uranus imx585C color: 2sx5h Neptune imx484 Infrared ir850: 2sx4h Logiciels: Sharcap Pipp Siril Astrosurface Photoshop Aladin Ouf le speech est fini ! NGC 1514 en R (halpha+IR+R), V (OIII+V), B (OIII+B). C'est con, mais c'est pour être précis😁 et une planche de démonstration entre les différents filtres utilisés et les fameux anneaux par WISE: A+ dans le bus dirait ma fille!😄
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  4. yep idem sur pas mal d'oculaires : https://www.bresser.de/index.php?lang=2&lang=2&cl=alist&searchparam=&cnid=cac5ee11fbbb7878e670b967f2629ccf&attrfilter[Attributs%2Bg%C3%A9n%C3%A9rals][Articles%2Br%C3%A9duits]=1&fnc=mfexecutefilter
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  5. Bonjour, Il y a quelques promos chez bresser, comme le ES254 à 605€ ( https://www.bresser.de/fr/Astronomie/Telescopes/EXPLORE-SCIENTIFIC-Ultra-Light-Dobsonian-254mmm-GENERATION-II.html) et également un ES 406 à 1400€ en reconditionné (https://www.bresser.de/fr/Angebote/Occasion/Astronomie/EXPLORE-SCIENTIFIC-Ultra-Light-Dobsonian-406mm-GENERATION-II-Refurbished.html )
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  6. Les minuscules petits robots LEV-1 et LEV-2 déposés sur le sol ont réussi à transmettre une photo à la Terre ! SLIM est arrivé la tête dans la poussière, mais l'espoir n'est pas perdu qu'il puisse recharger ses batteries ! Traduction automatique de 2 communiqués de la JAXA : Résultat pour l’atterrissage sur la Lune de SLIM 25 janvier 2024 (JST) Agence japonaise d’exploration aérospatiale L’atterrisseur intelligent SLIM (Smart Lander for Investigating Moon) de l’Agence japonaise d’exploration aérospatiale (JAXA) a atterri sur la surface lunaire le 20 janvier 2024 à 0h20 JST, et la communication a été établie avec la Terre. Cependant, en raison du fait que le vaisseau spatial n’était pas à l’assiette prévue à l’atterrissage, la production d’énergie n’a pas été possible à partir des cellules solaires, et le vaisseau spatial a été arrêté avec une commande depuis le sol à 2h57 JST. L’analyse des données acquises avant la coupure de l’alimentation a confirmé que SLIM avait atteint la surface de la Lune à environ 55 m à l’est du site d’atterrissage cible initial. La précision de la position avant le début de la manœuvre d’évitement d’obstacles (à environ 50 m d’altitude), qui indique les performances d’atterrissage précises, a été évaluée à environ 10 m ou moins, peut-être environ 3 à 4 m. Bien que l’évaluation plus détaillée se poursuive, il est raisonnable de mentionner que la démonstration technologique de l’atterrissage précis avec une précision de 100 m, qui a été déclarée être la mission principale de SLIM, a été réalisée. Toutes les données techniques sur le guidage de navigation menant à l’atterrissage, ainsi que les données d’image de la caméra de navigation capturées pendant la descente et sur la surface lunaire qui sont nécessaires à la future technologie d’atterrissage précis, ont été obtenues à partir de l’engin spatial. Les petites sondes (LEV-1 et LEV-2) ont été séparées avec succès juste avant l’atterrissage dans cette situation d’urgence. La caméra spectroscopique multibande (MBC) embarquée à bord de SLIM a également été utilisée à titre d’essai et a capturé des images jusqu’à ce que l’alimentation soit coupée. En ce qui concerne les circonstances dans lesquelles SLIM est devenu stationnaire sur la surface lunaire à une attitude qui ne pouvait pas générer d’énergie à partir des cellules solaires, les données techniques acquises ont révélé qu’à une altitude de 50 m juste avant le début de la manœuvre d’évitement d’obstacles, la poussée de l’un des deux moteurs principaux a très probablement été perdue. Dans ces circonstances, le logiciel embarqué SLIM identifie de manière autonome l’anomalie et, tout en contrôlant autant que possible la position horizontale, SLIM a poursuivi la descente avec l’autre moteur et s’est déplacé progressivement vers l’est. La vitesse de descente au moment du contact avec le sol était d’environ 1,4 m/s ou moins, ce qui était inférieur à la plage de conception, mais des conditions telles que la vitesse latérale et l’assiette étaient en dehors de la plage de conception, ce qui aurait entraîné une assiette différente de celle prévue. La cause de la perte de fonctionnalité du moteur principal fait actuellement l’objet d’une enquête, y compris la prise en compte de facteurs externes autres que le moteur lui-même, avec le plan pour déterminer la cause détaillée. Nous fournirons de plus amples informations au fur et à mesure de l’avancement de l’enquête. En ce qui concerne les activités futures, une analyse plus approfondie des données techniques et scientifiques acquises, ainsi qu’une analyse de la cause des anomalies survenues, se poursuivront. L’analyse des données a montré que les cellules solaires de SLIM sont actuellement orientées vers l’ouest, ce qui suggère qu’il existe une possibilité de production d’énergie et donc de récupération de SLIM à mesure que les conditions d’éclairage de la lumière du soleil s’améliorent avec le temps. Bien que les activités de SLIM sur la Lune ne devaient initialement durer que quelques jours, les préparatifs nécessaires à la récupération se poursuivront afin d’acquérir de nouvelles données techniques et scientifiques. Nous continuerons à vous tenir au courant de l’état d’avancement du projet. https://global.jaxa.jp/press/2024/01/20240125-2_e.html 25 janvier 2024 (JST) Agence japonaise d’exploration aérospatiale L’Agence japonaise d’exploration aérospatiale (JAXA) a confirmé le 20 janvier 2024 que le Lunar Excursion Vehicle (LEV-1), un petit robot déployé à partir de l’atterrisseur intelligent pour l’étude de la Lune (SLIM), a mené avec succès des activités sur la surface lunaire. Les données de télémétrie ont été envoyées directement depuis le petit robot. Selon les données de télémétrie, après le déploiement de SLIM, LEV-1 a exécuté des mouvements de saut planifiés et une communication directe avec les stations au sol, y compris la transmission de données d’ondes radio inter-robots à partir du robot lunaire transformable (LEV-2, surnommé « SORA-Q »). D’autre part, l’acquisition d’images sur la surface lunaire n’a pas été confirmée pour le moment. À l’heure actuelle, le LEV-1 a terminé sa période opérationnelle prévue sur la surface lunaire, a épuisé sa puissance désignée et est en état de veille sur la surface lunaire. Bien que la capacité de reprendre l’activité dépende de la production d’énergie solaire à partir des changements de direction du soleil, les efforts seront maintenus pour continuer à recevoir des signaux de LEV-1. LEV-1 et LEV-2 sont devenus les premiers robots d’exploration lunaire du Japon. De plus, le petit LEV-1 d’une masse de 2,1 kg (y compris un dispositif de communication de 90 g), a réussi à communiquer directement avec la Terre depuis la Lune. Il s’agit du cas le plus petit et le plus léger au monde de transmission directe de données à une distance d’environ 380 000 kilomètres. De plus, l’accomplissement des mouvements bondissants de LEV-1 sur la surface lunaire, la communication inter-robots entre LEV-1 et LEV-2 et les opérations entièrement autonomes représentent une réalisation révolutionnaire. Il serait considéré comme une démonstration technologique précieuse pour les futures explorations lunaires, et les connaissances et l’expérience acquises seront appliquées dans les missions à venir. De plus, la transmission d’ondes radio en bande UHF à partir de LEV-1 dans le cadre des efforts de sensibilisation a encouragé la participation des opérateurs radioamateurs du monde entier, et nous avons reçu des rapports de réceptions de signaux réussies. Cette initiative a permis au public de participer directement à des missions d’exploration lunaire. Nous tenons à exprimer notre sincère gratitude à toutes les personnes impliquées dans la mission LEV-1. Le minuscule robot LEV-2 pèse 250 grammes !
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  7. Bonjour à tous, Voici la seconde image de notre team Northern France Remote (NFR): Abell 6 et HFG1sont 2 nébuleuses planétaires très faibles qui, même sous le ciel exceptionnel Espagnol ont demandé près de 90h de pose. Il s'agit d'une version HO-HOO (RVB pour les étoiles). L'objectif était de faire ressortir la couche O3 sur l'image finale. En effet, les images de ces objets trouvées sur le net montraient que les auteurs avaient surtout mis l'accent sur la couche H. Nous avons donc réalisé un mix 50/50 concernant H et O pour la luminance. HFG1, la nébuleuse la plus importante présente une structure en arc de cercle bleuté, on y voit même une galaxie en arrière plan ! L'arc bleuté est plus marqué à l'opposé de la queue, dans le sens de déplacement de la nébuleuse, ce qui laisse penser qu'il s'agit d'un front d'onde de choc de matière interagissant avec le milieu interstellaire. La seconde nébuleuse, Abell 6, plus fine, comporte des petites brillances au niveau des "pôles" et quelques irrégularités en son centre. Pour commencer, une brute de 5 min en H: Une brute de 5 min en O: L'image finale: Un crop sur HFG1: Un crop sur Abell 6: La full pour voir plus de détails et d'explications, c'est par ici : https://www.astrobin.com/30yo9o/ Côté exifs : Askar 107PHQ / Monture Eq6R, Asi2600MM, filtres Antlia HORVB 45h de H par brute de 5 min / 40h de O par brute de 5 min /60*60 sec par filtre R, V, B novembre/ décembre 2023 Traitement Pixinsight Bon ciel à tous, Julien Cadena et Mickael Coulon
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  8. Bonjour à tous. Je continue la tournée des classiques, un peu comme en cyclisme avec les Classiques de printemps (Tour des Flandres, Paris-Roubaix, Liège-Bastogne-Liège, Milan-San Remo, etc....) Direction Orion. Cible délicate pour moi, lampadaire de la rue dans le champ côté sud ouest, grand chêne centenaire du voisin côté sud-est, reste à viser plein sud pour un créneau de 90min environ, le tout à seulement 34°... Bref pas évident du tout... et pourtant..... La nébuleuse d'Orion, également connue sous le matricule de M42, Sh2-281, LBN 974, ou NGC 1976, est un nuage diffus qui brille en émission et en réflexion au cœur de la constellation du même nom. C'est la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu depuis l'hémisphère nord, de nuit et en l'absence de pollution lumineuse. Elle peut être facilement observée avec des jumelles. Sa structure occupe un pan de ciel de 66 × 60 minutes d'arc, quatre fois plus étendu que la pleine lune. Sa taille est d'environ 24 années-lumière. Cet objet correspond à la principale partie d'un nuage de gaz et de poussières beaucoup plus vaste encore, le nuage d'Orion, qui s'étend sur près de la moitié de la constellation et contient en plus la boucle de Barnard et la nébuleuse de la Tête de Cheval. En 2007, les nouvelles mesures disponibles, grâce notamment aux grands radiotélescopes intercontinentaux, Very Long Baseline Array, ont permis de ramener la distance de la nébuleuse de 1 500 années-lumière, comme on le croyait jusque-là, à environ 1 350 années-lumière de la Terre, soit un rapprochement virtuel d'environ 10 % ce qui fait d'elle la pouponnière d'étoiles la plus proche du Système Solaire. La nébuleuse d'Orion contient un amas ouvert renfermant de nombreuses étoiles très jeunes et très chaudes (théta, le Trapèze), nées récemment et dont le rayonnement ionise à présent l'hydrogène environnant. La nébuleuse d'Orion a été découverte en 1610 par Nicolas-Claude Fabri de Peiresc. Il fut apparemment le premier à remarquer son aspect diffus, bien que Ptolémée, Tycho Brahe et Johann Bayer assimilassent les étoiles du centre à un seul gros objet. Galilée avait détecté de petites étoiles de cette région en observant avec sa lunette astronomique peu de temps auparavant. La nébuleuse d'Orion abrite en son sein une énorme bulle de gaz, très ténue, d'une température de 2 millions de degrés Celsius, découverte par une équipe internationale menée par des chercheurs suisses et du Laboratoire d'astrophysique de Grenoble (CNRS/Université Joseph- Fourier, Observatoire de Sciences de l'Univers de Grenoble) grâce au satellite européen XMM-Newton. Cette température est tellement élevée que le gaz émet non pas dans le domaine visible, mais dans celui des rayons X, domaine d'investigation du satellite XMM, lancé par l'Agence spatiale européenne en 1999. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 73 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:
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  9. Hello, Enfin une nuit étoilée le 19 janvier, ce qui m'a permis d'étrenner mon nouveau tube Lacerta 200/800. Il remplace le même tube mais qui était de SW (en vente sur grenier). Conditions froides à -4, et turbulences assez fortes. Trois séquences: 143 x 120 s avec IDAS NBZ, 80 x 10 s et 149 x 5 s avec IDAS LPS. Set up: Lacerta 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur starizona x0,75 Filtres IDAS NBZ/LPS Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight - GIMP J'apprends à me servir de pix que j'ai depuis deux mois, et j'ai utilisé le HDR composition avec les 3 séquences, ça marche bien. SIRIL toujours pour le prétraitement. La turbulence annoncée était mauvaise et quand j'ai vu un HFR dans nina à 2.6 je ne me suis pas trop inquiété, d'habitude je suis plutôt à 2. La map a été faite par nina avec l'EAF ZWO, j'avais une belle parabole. En fait je suis déçu car mes étoiles sont pourries, ovales et avec des aigrettes dédoublées et parallèles. Je crois que ma collimation n'était pas bonne, j'avais juste passé un coup de laser qui était bon, j'ai du me louper et je vais reprendre ça aux petits oignons. Je vous joints un crop du stack de 5s, plein centre de l'image, qu'en pensez-vous, c'est bien un pb de collim? Toutes les aigrettes sont dédoublées, partout sur les images et sur les brutes. Pour le reste je suis assez content de la nébuleuse, j'ai gardé les couleurs issues du capteur, sans trop bidouiller. Et on voit le trapèze 🙂. Merci pour vos remarques et votre avis sur la collimation ou autre. Et si vous avez une solution pour éviter les aigrettes en couleur type serpent venimeux, je suis preneur. Les branches de l'araignée sur le Lacerta sont usinées monobloc, ce qui a des avantages mais aussi peut-être des inconvénients. Bon ciel Pascal
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  10. Chez moi le script est toujours actif meme apres la derniere version de pix le week-end dernier
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  11. Salut, Tu mets toutes les infos dans la balance, donc ensuite, il faut faire un choix. C'est pour cela que certains astrams n'utilisent pas ou ont abonné la Barlow (j'en fais partie). Sur un Dob et même d'autres instruments, outre les pb d'équilibrage, tu as les pb "mécaniques" liés à la MAP qui font que parfois, tu as trop ou pas assez de tirage, qu'il faut ou pas mettre une bague allonge et même parfois que le PO n'est pas adapté à certaines configs. Ici savoir quelle Barlow prendre (31,75mm ou 50,8mm), jongler ou pas avec la bague de réduction. (mais c'est aussi ce qui fait le charme de l'astronomie diraient certains). Dans ton cas, mais encore 1x c'est un avis très personnel et qui est tout à fait discutable, je complèterais par un bon ES 4,7mm (vu que tu es déjà équipé en ES et que veux certainement rester dans la marque). Bon ciel.
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  12. J'ai le même soucis chez moi. Normalement le modèle AI se télécharge tout seul. Il y a plusieurs version sur le Github de GraXpert. Tu peux essayer des versions inférieures à la 2.2.2: https://github.com/Steffenhir/GraXpert/releases Peut être commencer par la version 2.0.0: et ensuite faire la mise à jour vers la 2.2.2 il faut cliquer sur "Assets"
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  13. Non, régler le primaire ne change que là ou la silhouette du secondaire va se retrouver dans l'image du primaire (et la réflexion de la pupille de l’œilleton qui se trouve dedans, qu'on doit rendre être concentrique avec l’œillet sur le primaire). Pour être complet, régler l'inclinaison du secondaire n'est pas non plus ce dont on parle, et ce que cette étape fait, c'est régler le centrage de l'image du primaire sous le porte-oculaire. Ce qu'il faut régler ici, c'est la position du secondaire par rapport à l'axe du porte-oculaire (tout en laissant la rotation comme elle est), en dévissant les vis d'inclinaison du secondaire et en vissant la vis centrale. Puis il faut refaire la collimation axiale. Sur certains télescopes on peut aussi incliner le secondaire plus ver le primaire (sur les Skywatcher il y a souvent des vis de collimation sur le PO). En vert le bord intérieur du PO. En rouge le secondaire. Sur une photo avec une pupille centrée et à une distance qui fait que l'image du primaire a la même taille que le secondaire, il faut que ces deux soient concentriques. Si tu éloignes le secondaire du primaire le cercle rouge va aller à gauche. Si tu inclines le PO plus vers le primaire le cercle vers va aller vers la droite... Bien sûr je pars du principe que tu as fait la photo avec la caméra centrée dans le PO (en faisant la photo par la pupille de l’œilleton de collimation, par exemple). Une photo prise "à la louche" dans le PO vide décentre souvent la caméra et alors on ne peut rien en déduire. p.s. si tu ne vois aucune patte du primaire, alors ou bien le secondaire est sous-dimensionné, ou bien l’œilleton de collimation se trouve trop loin du tube (il faut rentrer le PO pour rendre la taille apparente du secondaire plus grande). Mais je sens que se serait mieux de te faire aider dans un club pas loin de chez toi. Car ce réglage dérègle tout le reste et peut introduire une erreur de rotation, et comme tu ne semble absolument pas comprendre quel réglage sert à quoi (voir ta réponse) on risque de ne pas s'en sortir avec des conseils "à distance".
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  14. gradient: image traitée https://www.graxpert.com/
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  15. Bonjour, Toujours dans Orion voici un amas ouvert que je n'ai jamais fait: Lambda Orionis ou Collinder 69. L' amas Lambda Orionis (également connu sous le nom de Collinder 69 ) est un amas d'étoiles ouvert situé au nord-ouest de l'étoile Bételgeuse dans la constellation d' Orion . Il a environ cinq millions d'années et se trouve à environ 1 300 al (400 pc) du Soleil . L'amas comprend une étoile double nommée Meissa . Avec le reste d'Orion, il est visible de la mi-août dans le ciel du matin jusqu'à fin avril avant qu'Orion ne devienne trop proche du Soleil pour être bien vu. On peut l'observer depuis l' hémisphère nord et l' hémisphère sud . L'amas suit une orbite à travers la Voie Lactée qui a une période de 227,4 millions d'années. L'amas pourrait s'être formé dans la région centrale d'un nuage allongé, ce qui est soutenu par la distribution d' étoiles candidates de pré-séquence principale , qui sont concentrées dans l'amas et les régions voisines sous une forme allongée. Des étoiles OB massives et des étoiles de faible masse se sont formées dans les régions centrales de ces nuages. Les étoiles de faible masse les plus proches des étoiles massives ont probablement perdu leurs disques circumstellaires à cause de la photoévaporation . De nombreuses étoiles de faible masse situées à proximité n'ont pas été affectées par cela et représentent la population actuelle d'étoiles de faible masse avec un disque circumstellaire. L'amas est entouré d'un grand anneau moléculaire , appelé anneau Lambda Orionis . Cela a été interprété comme un vestige d’une supernova qui a explosé il y a un million d’années. L'explosion de la supernova a rencontré les nuages et les gaz de la région et a dispersé le noyau parent, créant ainsi l'anneau moléculaire. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 27 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:
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  16. Salut Salut, Il y a pas mal de champignon le traitement sera surement attaqué, pour vérifier l'état global du traitement deux solutions: - Lumière puissante de face style lampe torche. - Démonter le doublet, le mettre sous une lumière direct et se positionner a environ 30° sur le côté cela te permet de vérifier les tâches dessus plus facilement Un bon coup de nettoyage et normalement cela sera bon. Ce qui m'inquiète un peu plus c'est que le doublet a été clairement bricolé, les grosses cales carrés ne sont pas d'origine, c'est certain. Les japonais notamment carton et royal astro utilise ce type de cale pour leur petit doublet, normalement beaucoup plus réduite en taille. Le problème que tu pourras retrouver c'est du diffusé si les cales sont trop dans le champ. L'autre chose qui me fait dire que le tube a été bricolé, c'est que les cales ont été collés au vernis et vraiment comme un barbare, la colle a bien débordé autour. Bon bricolage, malgré cela ce tube peut probablement de bonne image.
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  18. Une belle soirée en perspective ! Merci Alexis
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  19. Complément d'infos de la part d'Axiom Space concernant les nouveaux scaphandres qui seront utilisés pour les EVA (Activité Extra véhiculaire) lors de la période qui sera passée sur le sol lunaire lors de la mission Artemis III. Ce scaphandre est baptisé AxEMU (pour Axiom Exploration Extravehicular Mobility Unit) https://www.cite-espace.com/actualites-spatiales/le-scaphandre-dartemis-se-devoile-un-peu-plus/ On ne sait pas encore si ils disposeront d'une "jeep lunaire" pour aider à leurs déplacements et collecte d'échantillons (voir les posts plus haut sur la quantité d'oxygène fournie par les scaphandres et la "réserve de survie" augmentée à 1h). Avec le décalage de la mission à septembre 2006, le temps disponible pour améliorer ces scaphandres et les fabriquer sera le bienvenue.
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  20. Je n'osais pas le dire https://pixinsight.com/forum/index.php?threads/experimental-tensorflow-gpu-acceleration-repository
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  21. On peut emprunter, si minuit arrive il n'y aura pas à rembourser le crédit..
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  22. Bonjour, Je continue les traitements des images réalisées en début de mois. Encore un classique, mais avec une galaxie cette fois ci: celle du Triangle. La galaxie du Triangle, également appelée M33, est une galaxie spirale de type SA(s)cd appartenant au Groupe local et située dans la constellation du Triangle. Sans doute satellite de la galaxie d'Andromède, sa distance au Soleil est assez mal connue. Les mesures actuelles donnent une distance allant d'environ 0,73 Mpc (∼2,38 millions d'al) à environ 0,94 Mpc (∼3,07 millions d'al). C'est la troisième galaxie la plus massive du Groupe local, après la galaxie d'Andromède et la Voie lactée mais devant le Grand Nuage de Magellan. Avec une masse évaluée à 60 milliards de masses solaires, elle ne représente que 5 % de la masse de la galaxie d'Andromède, la matière noire constituant près de 85 % de cette masse. Cataloguée pour la première fois par Charles Messier en 1764, la galaxie du Triangle avait probablement déjà été observée auparavant, étant visible à l'œil nu lorsque les conditions s'y prêtent. Son étude astronomique remonte au moins au milieu du xixe siècle, puisque William Parsons, 3e comte de Rosse, avait, dès 1850, suggéré que sa structure présentait des spirales. M33 a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)cd dans son atlas des galaxies. Bien que classée comme galaxie spirale régulière, M33 présenterait en fait une petite barre traversant son cœur sur une longueur de 2 600 années-lumière . Cette galaxie peut être vue à l'œil nu lorsque d'excellentes conditions d'observations sont réunies. Elle n'est cependant pas l'objet visible à l'œil nu le plus lointain car la galaxie M81, nettement plus éloignée, peut être vue dans des conditions exceptionnelles. Cependant, nombre d'observateurs aguerris n'ont jamais réussi à observer M81 à l'œil nu, aussi M33 peut être considérée comme l'objet le plus lointain visible à l'œil nu par un observateur moyen. Cette galaxie fut probablement découverte avant 1654 par Hodierna, disciple de Galilée, qui l'a peut-être groupée avec l'amas ouvert NGC 752. Elle fut redécouverte indépendamment le 25 août 1764 par Charles Messier qui la catalogua sous le nom de M33 dans son catalogue (le fameux Catalogue Messier). Elle fut également classifiée par William Herschel le 11 septembre 1784 sous la désignation H V.17. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 81 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:
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  23. Yes belle définition mais là on voit ton manque de perception dans les rouges😉
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  24. A 120°, l'eau pour les pâtes est déjà passé à l'état gazeux. C'est trop tard.
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  25. Désolé , non, pas trouvé de lien similaire chez TV m'enfin dans la liste des ES ... j'ai craqué sur un des plus gros
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  26. Salut Jean-Marc , Il y a eu beaucoup de changement en 2023 sur Pix pour notre plus grand bonheur et je trouve que le traitement se réduit avec toute cette évolution . Je ne regrette pas d'avoir sauter le pas en mars dernier .
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  27. Oui, remarque intéressante sur laquelle je rebondis. La crainte pour nous est parfois d'être taxé de snobisme, en se référant à une marque assez unanimement plébiscitée mais sans avoir pu tester un panel suffisant de marques et de modèles. Effectivement, par manque de temps, de moyens, de relations dans le domaine, ou simplement d'intérêt pour tester objectivement de nombreux modèles, j'avoue m'être tourné sur cette FC-100 parce que l'on en disait et écrivait déjà du bien à l'époque. Aussi pour une raison pratique, son poids et sa facilité de mise en oeuvre. Du coup c'est intéressant d'avoir le retour de gens comme toi, JL Dauvergne, Algenib ...entre autres, concernant des comparatifs techniques assez étendus et pointus.
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  28. Qu’un moteur pour une Skywatcher EQ-3 ne s’adaptera pas sur cette monture. C’est plutôt le petit moteur AD pour EQ1/EQ2 qui s’adaptera, éventuellement en changeant un peu la patte de fixage.
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  29. Les objets proches se mettent au point avec le porte-oculaire bien plus sorti. Typiquement ce problème apparaît quand on met l’adaptateur pour oculaires 2" en série avec celui pour oculaires 1,25", au lieu d’en choisir un. La bague en bas à gauche est uniquement pour les oculaires 2". Pour les oculaires 1,25" il faut uniquement mettre la bague de droite.
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  30. La chaussette évite les chutes d’objets (oculaire, téléphone, atlas, postillons…) sur le primaire. ca améliore un peu le contraste si tu as de la pollution lumineuse directe surtout. Pour cet aspect , le plus important est d’avoir un baflage en face du porte oculaire ( un rond en tapis de sol par exemple). Si tu mets l’oculaire qui te donne le plus grand champ, tu verras de jour l’intérieur de la cage secondaire et le paysage derrière. Pour un baflage efficace, il faut vérifier que le baffle occupe tout le champ et masque le paysage derrière le télescope
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  31. Très impressionnantes aussi les petites nébuleuses planétaires, c'est le festival des couleurs, du vert au bleu électrique, comme celles ci sont très lumineuses en surface on peut grossir un peu, mais en général pour mieux percevoir les nuances de tons il faut utiliser des oculaires à longues focales pour concentrer la lumière et activer les vision des couleurs de la rétine.
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  32. Ca marche tant mieux mais je ne suis pas certain que tu obtiennes le meilleurs résultat possible. Ta HFR finale est de 3.27 et les points extrêmes de ta Vcurve sont à plus de 30, quasiment 10 fois la HFR finale alors qu'il est conseillé d'aller à 2 ou 3 fois max. La raison est que tu auras beaucoup plus de points proches de la zone de focus idéal ce qui permettra un meilleur calcul. Là tu as environ un écart de 6 à 8 sur la HFR entre 2 points de ta Vcurve.. Je viens d'équiper mon C9 d'un moteur de focus, ma Vcurve a cette tronche imparfaite mais vu le système de MAP des SC c'est pas si mal finalement. La HFR varie de 3 à 6 Il faut utiliser le plugin qui permet de mesurer les décalages de focus entre chaque filtre (en nombre de pas moteur), "offset filter" ou un truc dans le genre. Une fois les décalages déterminés, choisir le filtre L comme référence et ça fera la Vcurve sur le L et appliquera le décalage calculé sur le filtre utilisé pour la séquence. Simple, rapide et ultra efficace.
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  33. c’est étonnant avec le vent ça aurait du swinguer à l’oculaire en planétaire content s’il y avait alors des trous de turbulences à ces moments la
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  34. Sympa si tu ne le démonte pas à chaque fois
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  35. Et voilà la dernière des 3 cibles partagées sur les 3 nuits et tout piloté depuis un smartphone ;-). Toujours NINA, PHD2 pour la manœuvre. J'ai accumulé presque 6h en poses de 90s entre mes 2 immeubles avec la même équipe 76EDPH sur AZEQ6, Altair 2600C et filtre Altair H,O 4nm. 2h30 en poses de 30s pour le coeur mais je ne sais pas vraiment comment les fusionner proprement donc finalement c'est perdu. C'est vraiment une cible compliquée au traitement donc là j'ai tenté la montée d'histo juste avec GHS sur chaque couche Ha et O pour voir. Côté palette, c'est qd même moins bien que le RGB je trouve. On a une couleur + du gris. l'oxygène n'est jamais vraiment seul donc pas de bleu mais du mélange avec H qui donne ce gris. Je vous mets les 2 versions pour voir. Logiquement @C14edgeHD tu dois préférer la 1 😉. Pour les autres, dites moi. Perso, c'est compliqué car ma palette classique (la v2) ne donne pas grand chose sans le bleu... Et voilà, maintenant c'est au moins 8 jours de disette. a+ Sam v1 : HOO v2 : HHO
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  36. Le filtre double bande fine sur une caméra couleur ne donne de l'H-Alpha que sur les photosites rouges, donc l'image extraite fait la moitié de la taille de chaque coté. Le register Ha_pp_light -drizzle ne fait que doubler la taille de ces images pour revenir à la taille d'origine du capteur, ça ajoute donc 3 pixels par carré qui n'existent pas à la base, mais ça permet d'avoir la même taille d'image pour H-Alpha et O-III. Doubler encore la taille des images est possible bien sûr, mais il en faut un certain nombre pour que ce soit utile. En tout cas, bravo pour l'image Un petit lien de la doc de Siril est toujours utile : https://siril.readthedocs.io/fr/stable/processing/extraction.html#split-cfa-channels Ou même d'un tutoriel de composition de couleurs, ça peut servir aussi : https://siril.org/fr/tutorials/rgb_composition/
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  37. Merci Mon Cher Le Gnou d'avoir pensé que j'aimerais cette chanson du défunt François Hadji-Lazaro ( https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Hadji-Lazaro ). J'ose à peine t'avouer que je n'en avais jamais entendu parler... Que veux-tu je suis plutôt allergique à la musique "hard". Bien que très peu amateur de chansons de sympathisants communistes sur la guerre civile espagnole j'aime cependant bien celles qui évoquent la très courageuse Dolorès Ibarruri. J'espère que tous ceux qui aiment le style "DOOM" savent de qui il s'agit !... Sinon, outre ce qu'en dit Wikipédia [ https://fr.wikipedia.org/wiki/Dolores_Ibárruri ] voici une chanson qui évoque cette très grande résistante communiste lors de la guerre civile espagnole (dont le slogan déclamé chaque soir sur Radio Madrid était : "NO PASARAN — Il vaut mieux mourir debout que de vire à genoux ") : "A la Primavera" de Leny Escudero [ https://youtu.be/0T4FnlCJd0A ] . Roger le Cantalien.
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  38. Je ne suis pas d'accord, il y a de très bon groupe Hard Rock français qui tire le meilleur de la langue de Molière:
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  39. Bonjour @berenthor, En réalité je ne comprends pas bien votre question. Tentons cependant une réponse. En photographie (mais pas que) pour "construire" une image constituée d'une infinité de couleurs puisque le spectre lumineux naturel est continu, il est apparu aux pionniers de la discipline que comme en peinture ou en imprimerie toute couleur du spectre pouvait être reconstituée à partir de trois couleurs appelées couleur primaire. Puisque nous sommes en photographie, la méthode de synthèse d'une image sera la méthode additive (par rapport à l'imprimerie ou la peinture où ce sera la méthode soustractive). Dans ce cas les trois couleurs primaires seront le rouge, le vert et le bleu RVB en abrégé (par opposition à la méthode soustractive où les couleurs primaires seront le magenta, le jaune et le cyan.) On comprend dès lors que chaque portion d'une image, un pixel sur une photo (pour picture element) sera invariablement composé d'une combinaison à dose variable de chacune des trois couleurs primaires. Voilà pourquoi, en en venant à notre discipline, il est nécessaire pour reconstituer l'image d'un objet du ciel d'avoir pour chaque élément de cette image la dose en quelque sorte de chacune des trois couleurs. Pour arriver à ce résultat deux voies nous sont offertes : 1) Les caméras monochromes. Ces caméras sont incapables de distinguer les couleurs. C'est pourquoi il est nécessaire de faire pour chaque objets trois poses, une dans chacune des couleurs en interposant un filtre qui ne lasse passer que cette couleur, et ensuite de les assembler électroniquement par l'intermédiaire d'un logiciel adapté. 2) Les caméras couleurs. Ces caméras fonctionnent tout comme les caméras monochromes sans pouvoir initialement détecter la couleur. Aussi par construction, chaque photosite de la caméra est doté d'un filtre couleur qui là aussi ne laisse passer qu'une seule couleur. Les photosites sont groupés par quatre chacun spécialisé pour une couleur primaire, un recevra un filtre rouge, un recevra un filtre bleu, deux recevront un filtre vert (pour tenir compte de la physiologie de l’œil humain dont le pic de sensibilité est centré sur la couleur verte). Ce motif est reproduit sur toute la surface du capteur et appelé Matrice de Bayer. la particularité est que vous construirez votre photo en une seule pose, puisque chaque groupe de photosites spécialisés produit chacune des trois couleurs primaires. Vu du côté de l'utilisateur, les trois couleurs semblent être traitées globalement ensemble, la réalité technique est que comme pour le procédé monochrome, chaque couleur est bien traitée individuellement. La grande différente vient de la capture. Avec une caméra monochrome, les couleurs sont captées séquentiellement, avec une caméra couleur elles sont captées simultanément. Ceci introduit alors un deuxième débat ou un deuxième questionnement. Avec quelle caméra obtient-on les meilleurs résultats ? D'un côté les caméras monochromes mobilisent tous leurs photosites sur une seule couleur. On est alors tenté de penser que d'une part la résolution sera meilleure, et d'autre part les temps de pose seront plus courts puisque plus de photosites concourent à collecter et convertir les photons en information photographique. De l'autre une caméra couleur collecte en données brutes moins d'informations par couleur mais permet de plus facilement réaliser la capture et introduit donc moins d'erreur de capture. S'il était vrai qu'au début de l'apparition des caméras couleur atteindre le haut niveau de production imposait la voie des trois captures par une caméra monochrome, nous sommes aujourd'hui amenés à constater que les caméras couleurs ont fait de tels progrès, qu'en terme de haut niveau de production il devient difficile de faire la différence. Cette différence ne va se retrouver que dans le très haut niveau de capture, où on parle alors de dizaines d'heures cumulées de capture. Il est aussi communément admis aujourd'hui que pour améliorer ses chances de succès en débutant, il est conseillé de prendre une caméra couleur. Le porte-monnaie sera aussi soulagé, car vous éviterez la dépense d'une roue à filtre, de au moins trois filtres, du pilotage de la roue et de toute sorte de complexité supplémentaire tout à la fois à la capture qu'après au traitement. Les astram's chevronnés, dont je ne fais pas partie sauront mieux que moi développer ces aspects. J'espère simplement vous avoir dévoilé le début du sujet. Ney
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  40. C'est sublime! Quelle finesse du coté de l'équilibre chromatique....!
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  41. Ce devrait être une information fournie par le constructeur. Le calcul est valable dans une certaine marge, comme je l'ai indiqué, sur les grandes marques, c'est précis et reproductible. Vu la cinquantaine de réfracteurs qui me sont passés entre les mains, les grandes marques assurent leur réglages correctement, je peux l'affirmer et l'afficher sinon je ne vois pas pourquoi les amateurs se lanceraient les yeux fermés dans des modèles Takahashi ou Vixen.
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  42. hier vu le petit bouzin quand j'ai vu sur le site autant de tâches je me suis dit je vais essayé aujourd'hui image SOHO
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  43. Il faut juste attendre que la Lune dégage. Ce sera le jour et la nuit. Ne te limite pas aux Messier. Messier n'a pas scanné tout le ciel et il existe pas mal d'objets aussi faciles qui ne sont pas dans son catalogue. Et puis tu as un 400 mm ! Par exemple, pour un 400 mm, je recommande NGC 2362, un amas ouvert unique en son genre (je ne t'en dis pas plus...) Il est situé autour de Tau du Grand Chien, donc facile à pointer à condition de reconnaître cette étoile. Ce sera pour quand tu sauras pointer avec précision (et ce sera plus facile quand la Lune sera partie). Autres cibles qui montrent plein de détails dans un 400 mm, les nébuleuses NGC 2261 (près de l'amas NGC 2264), l'Eskimo (NGC 2392) ou NGC 1535 (pas facile à pointer au milieu de l'Éridan, mais très jolie), toutes colorées (je les vois vertes). Mon dessin de NGC 2261 au 495 mm est à gauche, juste en-dessous de mon pseudo. De toute façon, avec un 400 mm il y a des centaines d'objets du ciel profond à voir (au total des milliers si tu te passionnes aussi pour les faibles taches floues...) En attendant, les objets faciles à pointer sont les Pléiades, le Double Amas de Persée, M35 (les amas du Cocher sont un peu moins faciles), la nébuleuse du Crabe, M44 à partir de minuit...
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  44. Oui, à l'alignement ou dans sirilic dans les propriétés avancées
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  45. Bonjour, aujourd'hui il pleut donc pas d'observation mais voici mon CROA d'hier: Durée: 1h30 (20h30 - 22h) Météo: initialement prévu très nuageux mais éclaircie surprise, beaucoup de vent (30km/h avec rafales à 55km/h) Matériel: ES400 et toujours seulement deux oculaires ES 82 24mm et 8.8mm Je ne pensais pas pouvoir observer hier soir, je suis rentré assez tard du boulot et ils annonçaient de la pluie et du vent. Puis finalement, en aller promener, je me rends compte que le ciel est très dégagé et la lune est très claire, je peux voir Jupiter également. Allez, je sors le télescope! Ca me prend 5 minutes pour le positionner sur la terrasse. Je n'ai toujours pas de batterie pour mes ventilateurs (voir ICI). Il fait 18 degrés à l'intérieur et 11 à l'extérieur! Le miroir devrait vite se mettre à température ambiante même sans ventilateur? En tout cas, je n'attends pas, je mets le 24 mm et je pointe la lune avec mon pointeur. Je me suis bien habitué avec (toujours le décalage de 1cm) et j'arrive maintenant à avoir directement la lune dans l'oculaire! Et là, et bien une image super super nette. Pas de "turbulences" comme la veille, est-ce que c'était dû à une mauvaise mise en température la veille, je n'en sais rien. En tout cas, là, je vois quelque chose de bien net. Pas besoin d'attendre une certaine mise en température. Je ne sais pas vraiment ce qui doit se passer si la température du miroir n'est pas bonne? Là, je suis bien motivé, je reste un peu à profiter de la vue et puis je veux aller confirmer ça sur Jupiter. Pointage "facile", et, confirmation, Jupiter est aussi bien plus claire et nette qu'hier! Je vois mieux les deux bandes oranges, toujours pas la tache rouge par contre, je devrai vérifier les horaires. Je passe en 8mm et effectivement, je vois bien. Je reste un peu à profiter de la vue, mais j'ai de temps en temps des coups de vent qui font bouger le télescope. J'arrive quand même à chaque fois bien retrouver Jupiter, elle brille bien c'est facile. Le ciel se recouvre un peu donc je reviens sur la lune. C'est vraiment très chouette que, de temps en temps, on la voit bien claire et puis on voit des nuages passer devant, ca donne un effet plus vivant! Le ciel se dégage du côté d'Orion! Allez, faut que je vérifie si l'image sera bonne aussi par là, malgré que la lune est vraiment très proche de cette zone. Je pointe toujours un peu trop haut du côté d'Orion, en fait je pointe grosso modo à mi distance entre Rigel et Alnitak. Et puis je vais à l'oculaire, je balaie un peu de gauche à droite tout en descendant légèrement, et à chaque fois, je la trouve assez rapidement. Bingo encore cette fois-ci et on la voit super bien (comparé à la veille en tout cas). Moi, je vois vraiment bien le vert. Je pensais qu'on ne voyait qu'en noir et blanc au télescope. Mais je prends bien le temps de regarder. Je passe du 24 au 8mm sans problème, je l'ai toujours dans le viseur. Là, je suis bien resté 15-20 minutes dessus comme l'image était bonne. Je regardais un peu à côté comme on m'a conseillé au club. Les coups de vent se font de plus en plus fort, heureusement je n'ai pas de "chaussette" sur le télescope, je ne sais pas vraiment ce que ça pourrait améliorer d'ailleurs? J'aurais un meilleur contraste? Dois-je acheter un filtre pour mieux voir Orion? Je ne sais pas mais en tout cas, je suis déjà bien content. Je maintiens le télescope en position avec une main et je continue de regarder. Apparemment, je vois un truc qui fait 25 années lumière de large. Ca parait un peu incroyable. Le ciel commence à se recouvrir de ce côté alors je vais de nouveau terminer avec la lune. Et en fait, je passe du 24 au 8mm, mais aujourd'hui, je préfère le 24. J'ai envie de voir la lune en entier, elle approche petit à petit de la pleine lune. Je vois extrêmement bien net certains nouveaux cratères à la limite de l'ombre. Si je ne me trompe pas, c'est celui appelé Aristarchus qui était très beau. Le temps passe vite, déjà 1h30. C'est mieux qu'un film! Hop, je rentre le télescope en 5 minutes! Qui a dit qu'un 400mm était difficile rentrer/sortir? 😄 Bonne soirée!
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  46. Une bordée, une ! Nous descendons des loups Et nos propriétaires ? Du singe Comme c'est gênant !
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  47. Tu as raison Fred, sauf que l'ensemble du setup doit être assemblé, équilibré, mis en station, branché, paramétré, et qu'il fonctionne (on fait même des ateliers sur la "gestion des câbles" depuis qq années...) et qu'on ait pas oublié de pièce même si tout est bien rangé (qui n'a pas oublié une barre de CP, le CP, l'ordi...). Et faut encore retraiter les images derrière. Là, toutes les étapes qui sont pour moi "chiantes" (certains diraient "passionnantes", mais désolé, je suis pas informaticien ou électronicien...) sont pensées pour toi et faites de manière automatique pour avoir un résultat final exploitable de suite. Pour le budget, on est à bien moins cher (je parle pas ici du nouveau Celestron Origin), un Unistellar ou un Vaonis peut s'acheter en occasion sans problème. Par ailleurs, quand il faut se lever en pleine nuit pour observer tel ou tel phénomène et mettre en place tout le setup, alors que là, il suffit juste de sortir le matériel dehors et que tout est opérationnel en 5 mn, ce n'est pas la même histoire. Autre point non négligeable, ce qu'explique très bien @laurent ferrero sur le forum d'en face, c'est que pendant le temps que le bouzin fait les images demandées, tu peux observer tranquillement avec ton Dob sans rien avoir à surveiller. Sur le Celestron Origin, quand on pourra savoir ce qu'il a dans le ventre, ce que j'attends, c'est une augmentation de diamètre par rapport à l'existant pour aller plus loin en magnitude (sûrement du 18 sans problème), ce qui permettra d'aller plus loin aussi en surveillance de comètes et de supernovae. Après, on verra pour les performances de l'appli. Bon ciel.
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