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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 05/09/25 dans Messages
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Hello, Voici un sujet sur lequel je suis tombé par hasard, l'un des objets les plus lumineux de l'Univers: le quasar TON 618. J'ai voulu alors en garder un souvenir. Tonantzintla 618 ou TON 618 (abregé) est un quasar très lointain et hyper-lumineux (un des plus lumineux de l'Univers connu), à puissant rayonnement infrarouge et large spectre d'absorption. Situé à proximité du pôle Nord galactique dans la constellation des Chiens de chasse, à 10,4 milliards d'années-lumière de la Terre, il contient le trou noir supermassif le plus massif connu à ce jour, de plus de 66 milliards de fois la masse du Soleil dans un rayon de 1 303 unités astronomiques (environ 190 milliards de kilomètres). TON 618, en tant que quasar, est supposément un disque d'accrétion de gaz extrêmement chaud, tourbillonnant autour d'un gigantesque trou noir supermassif au centre d'une galaxie. La lumière provenant du quasar a été émise il y a 10,4 milliards d'années. La galaxie environnante n'est pas visible depuis la Terre parce que le quasar lui-même l'éclipse. D'une magnitude absolue de -30,7, il brille avec une luminosité de 4 × 10_puissance 40 watts, soit avec autant d'intensité que 140 000 milliards de Soleils. Ce quasar est donc plus lumineux que la Voie lactée elle-même, et un des objets les plus brillants de l'univers connu. Comme d'autres quasars, TON 618 possède un spectre contenant des raies d'émission de gaz froids beaucoup plus loin que le disque d'accrétion. Ces raies sont exceptionnellement larges, indiquant que le gaz voyage très rapidement dans ce dernier ; les lignes d'hydrogène bêta montrent qu'il se déplace à une vitesse de 7 000 km/s. Ceci indique que le trou noir central doit exercer une très grande force gravitationnelle. La taille de la région la plus froide peut être calculée à partir de la luminosité du rayonnement du quasar qui la frappe. À partir de la taille de cette région et de la vitesse de mise en orbite, la loi de la gravité révèle que la masse du trou noir dans TON 618 est de 66 milliards de Masse solaire. Un trou noir de cette masse aurait un rayon de Schwarzschild de 1 303 unités astronomiques (~190 milliards de kilomètres, soit environ 1/50e d'année-lumière). Le trou noir de TON 618 est donc 15 300 fois plus massif que Sagittaire A, le trou noir supermassif du centre galactique de la Voie lactée. À titre de comparaison, si la Terre était une balle de tennis, TON 618 aurait la taille de la Lune. Comme il brille comme 140 000 milliards de soleils, soit 700 fois plus que la Voie lactée, dans un espace 50 fois plus petit, il est environ 35 000 fois plus brillant que notre Voie lactée. C'est à ce jour (août 2023) le plus grand trou noir détecté connu dans l'Univers, peut-être après le trou noir supermassif de l'amas du Phénix, estimé à 100 milliards de fois la masse du Soleil (liste des trous noirs les plus massifs). Lunette Skywatcher 80ED (80/600) + réducteur 0.8x @ 479mm Caméra planétaire Player One Neptune-664c + filtre Player One IRcut Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 137 x 30s Gain 180 Traitement Siril, Pixinsight, Photolab 6. une brute de 30s:7 points
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On a eu quelques jours d'été en avance fin avril, début Mai, et je suis sortie de chez moi avec tout le matos pour trois nuits. La voie lactée se leve vers minuit, shoutable a partir de 2h. 2 techniques de prise de vue, des pose de 10-15s stacké sur trépied, et des images trackés de 2 min. Voici ici quelques paysage fait sur trepied: Le site / Champ en zone bleu sur les carte de pollution SQM mesuré a 21.55: Le meme arbre de nuit: au 11mm (tres grand champ, du coeur de la voie lacté a céphée. On voie bien l'amérique du nord. la ferme et la route devant: au 16mm4 points
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Profitant d'une ouverture pendant cette énorme protubérance j'ai utilisé la lunette de 185 mm apo Askar pour immortaliser cette magnifique et gigantesque protubérance avec un grossissement important ! Lunette 185 apo Askar - Etalon FabryPerot PST modifié et optimisé Barlow 2x , camera Player one - Ce 7 Mai 2025 Les deux photos montrent l'évolution de la masse de plasma3 points
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IC 1613 - une galaxie irrégulière du Groupe Local | Projet D.I.A.N.A. Après plusieurs mois de travail, nous sommes très heureux de vous présenter la première image du Projet D.I.A.N.A. : la galaxie IC 1613. Le Projet D.I.A.N.A. est une collaboration entre plusieurs astrophotographes qui a pour but d'imager des cibles pas toujours très connues. En mettant en commun nos données et nos compétences d'acquisition et traitement d’image, nous obtenons des résultats difficiles à atteindre individuellement. Notre objectif est d’allier esthétique et rigueur scientifique pour révéler les moindres détails des objets célestes que nous photographions. Pourquoi IC 1613 ? IC 1613 est une galaxie naine irrégulière située dans la constellation de Cetus, à environ 2,38 millions d'années-lumière de la Terre. Elle fait partie du Groupe local de galaxies, qui comprend notre Voie lactée. Cette galaxie est particulièrement intéressante pour plusieurs raisons : Importance scientifique : IC 1613 a joué un rôle crucial dans l'étalonnage de la relation période-luminosité des variables céphéides, qui est essentielle pour estimer les distances cosmiques. Caractéristiques uniques : Elle présente une faible abondance de poussière interstellaire, ce qui en fait une excellente cible pour l'étude des populations stellaires et de l'évolution galactique. Défi observationnel : Malgré sa proximité relative, IC 1613 est très peu lumineuse et diffuse, ce qui en fait l'un des objets de Caldwell les plus difficiles à observer. Une population stellaire diversifiée : La galaxie contient différents types d'étoiles, y compris des variables RR Lyrae, qui sont importantes pour des mesures précises de la distance. Recherche en cours : Des études récentes se sont concentrées sur l'histoire de la formation des étoiles, la composition chimique et la structure étendue de la galaxie. En choisissant IC 1613 comme première cible, le projet D.I.A.N.A. démontre son engagement à imager des objets scientifiquement significatifs et difficiles, tout en produisant des résultats esthétiques. Acquisition collaborative Ce projet a été réalisé grâce à 4 astrophotographes qui ont capturé leurs données grâce à différents instruments et sous divers ciels français et espagnol. L'accumulation de ces prises de vue nous ont permis d'obtenir plus de 100h de temps de pose réparties sur les mois de Septembre à Décembre derniers. L'intégration finale de l'image a retenue 71H18 heures après un tri rigoureux et de nombreux tests ! Résultats et points d'intérêt L'image finale permet de mettre en évidence plusieurs choses : Les nombreuses galaxies et amas de galaxies qui peuplent l'image. En plus d’IC 1613, l’image finale révèle un grand nombre de galaxies en arrière-plan, disséminées à travers le champ. Certaines apparaissent comme de faibles taches diffuses, tandis que d’autres montrent des structures plus détaillées, avec des cœurs galactiques bien définis. La faible densité stellaire de notre galaxie cible et l’absence de poussière permettent d’observer ces objets lointains sans trop d’obstruction. Leur présence ajoute une richesse supplémentaire à l’image et met en évidence la diversité des objets visibles dans cette région du ciel. Structure des filaments stellaires Les galaxies abritent des structures stellaires complexes sous forme de filaments, issus de l’effondrement gravitationnel du gaz interstellaire. Ces structures allongées, souvent denses, servent de canaux pour acheminer le gaz vers les régions de formation d’étoiles. Ils se composent principalement de nuages moléculaires et de jeunes étoiles en formation, créant des voies privilégiées où la matière s’accumule et s’organise sous l’effet de la gravité. Dans les galaxies irrégulières comme IC 1613, l’absence de bras spiraux et la forte turbulence façonnent des réseaux désordonnés. Ces filaments naissent sous l’effet des instabilités gravitationnelles et de la compression du gaz, tandis que le champ magnétique influence leur orientation et leur fragmentation. Les observations multi longueurs d’onde et les simulations numériques permettent d’analyser leur rôle dans l’évolution des galaxies et la dynamique du milieu interstellaire. L'extension des zones Ha et OIII Cette image révèle une abondance de H-alpha, en particulier dans la zone rouge intense située en haut à droite de la galaxie, où l'hydrogène ionisé est fortement présent. Les zones OIII, bien qu'elles soient plus discrètes, apparaissent clairement, notamment dans la région en forme de bulle en haut à gauche de la galaxie. Cette bulle lumineuse marque une zone d'oxygène ionisé, créant un contraste avec les autres structures. L’observation de ces deux régions d’émission met en lumière la distribution complexe du gaz ionisé et les différents mécanismes à l’œuvre dans cette galaxie. Rejoignez nous ! Si vous souhaitez participer au Projet D.I.A.N.A. et contribuer à des images collaboratives du ciel profond, nous serions ravis de vous accueillir ! Pour en savoir plus ou nous rejoindre, vous pouvez nous contacter via Instagram ou par e-mail à l’adresse : equipe.diana.projet@gmail.com. Article SAF IC1613.odt CK2-1.tif CK2-1-2.tif3 points
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Bonjour tout le monde ! J'avais imagé, ne sachant quoi faire ce soir là :)... M53 + NGC5053, avec la SQA55 et la QHY Minicam8, en LRVB. 2.5h de L et 30' par R/G/B, très simplement, sans prétention. Evidemment, @T350 va dire qu'avec une 55/264, on résoud pas un amas globulaire...mais bon, ça fait un champ d'ensemble Traitement sans chichis assez direct Siril / pix.2 points
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Voici une zone tres bien connu, sur laquelle j'ai passer 2 nuits de la semaine derniere autour du 1er Mai. En grand champ, c'est mon APSC + samyang 135mm sur ma vielle star adventurer. Donc la zone de M81+82 , meme si ici pour une fois ce ne sont pas les stars du show. Environ 6h de pose de 1min, avec un paquet de rejet pour cause de bougé (pas de guidage), brume ... 135mm a F2 pendant donc 4-5h gardés. Il y a des poussieres partout, et les gradient quand on cherche a faire ressortir ces IFN sont tres fort, surtout les gradients de couleur. Le champ ici fait 10°x6° quand meme ! Mais c'est pas une zone colorée.... Pourtant la photo n'est pas en noir et blanc.2 points
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Bonjour tout le monde! Bon, un peu après @Pascal76, voici ma SH2-73 de fin Avril, ayant tout recommencé car référencée en Ha...et le signal était très maigre en MArs, malgré deux nuits !! Mais j'ai trouvé l'explication, elle a longtemps été mal cataloguée à priori... Donc la voici, environ 5h de luminance et 40mn de R/G/B, avec l'Askar SQA55 + QHY Minicam 8. C'est donc curieusement une nébuleuse en réflection Traitement rapide Siril/Sirilic Pix LRGB habituel (GradientCorrectiuon, Combine RGB,Solver/SPCC, StarAlign, BlurX, StarX, EZStretch (+GHS), NoiseX) Assemblage et finalisation PS (Denoise+StarPikes+Equilibrage)1 point
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Bien sûr que ce sera à ta portée. Toutes les images que je sors en ce moment c'est avec le combo monture équatoriale Heq5, lunette 80ED 80/600, caméra planétaire avec un imx664 non refroidie, équivalent à l'imx662 chez zwo1 point
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tiens voici les coins de cette image juste sortie du stack par siril à f/2.8 donc. On voit qu'il y a un peu de chromatisme quand même et là, l'aberration de la prochaine image pas encore finie d'être traitée, toujours le stack sorti direct de Siril. J'étais à f/5.6 cette fois ci... pas de chromatisme mais, bizarrement, il semble avoir plus de coma ... a+ stéphane1 point
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merci à vous je te rassure, il est bien voulu! ( ça aurait été dommage de louper ngc 957 ) c'est plutôt celui là (je l'ai d'ailleurs acheté ce prix là ) : https://www.leboncoin.fr/ad/photo_audio_video/2796919236 l' autofocus a peu d'intéret en astro là, l'image est un peu recadrée (pour cause de dérive en DEC), il y a un chouilla de coma dans les coins à f/2.8 , il y a aussi un peu de chromatisme mais là , avec le filtre on ne le voit pas. à f/4, par contre, je ne vois plus rien ( voir ma C2023/A3 sans filtre en octobre dernier https://www.webastro.net/forums/topic/257514-c2023a3-du-28-octobre-au-60d-et-nikkor180mm/#comment-3174150 ) Mais, effectivement, pour un prix raisonnable en occas et un focale que j'apprécie plus que 135mm , cet objectif est un excellent rapport qualité/prix! tout à fait, lui aussi trouvé d'occas d'ailleurs .......... comme le 60D itou a+ stéphane1 point
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Bonjour @Kristophe, Peut-être avez-vous, involontairement sans doute, omis d'introduire la notion de durée dans votre assertion. En effet je suis parfaitement d'accord avec vous et affirme comme vous que le climat est changeant MAIS sur des périodes longues qui se comptent en millénaires. II y a 25 000 ans notre latitude connaissait des étés où la température régulière en milieu d'après midi voisinait les 15°C. De puis cette période notre climat local a changé c'est indiscutable. Un changement lent (delta T /T infime) permet à toute la biodiversité de s'adapter soit en faisant évoluer les métabolismes, soit en migrant vers des biomes proches du précédent. Ce que nous vivons depuis 175 ans en terme de progression des températures est en valeur absolue inférieur à ce qui a existé précédemment MAIS cette variation est sur un temps très court au regard des temps climatiques. La variation des températures par rapport au temps n'a plus rien à voir avec une courbe lente mais ressemble à un front brutal. La biodiversité n'a plus ni le temps, ni la capacité à s'adapter, elle va donc se réduire de manière accélérée créant des vides dans la chaine alimentaire, NOTRE chaine alimentaire je vous le rappelle. C'est aussi en ce sens que nous devons parler de dérèglement climatique. La machine vitale pour tout être vivant ne fonctionne plus comme elle le devrait dans notre nouveau contexte. La pente de la courbe de variations (la dérivée première) des paramètres climatiques est bien trop importante pour que les organismes dont le nôtre, pourtant parmi les plus adaptatifs du vivant, puissent évoluer suffisamment et dans un temps court pour survivre. Je vous renvoie à nouveau, car la tenue de vos écrits montre que vous n'avez pas encore assimilé le concept, aux mesures du "Wet Bulb". Notre territoire au Sud de la ligne Bordeaux/Lyon vient d'atteindre la valeur de 27°C. Cette valeur indique une situation de létalité possible pour causes climatiques. Au delà de 29°C ce sera une létalité probable, à partir de 35°C la létalité sera certaine. La pente de différents modèles nous prédit ce seuil non plus à la fin du siècle mais dans moins de 30 ans. Où trouverez-vous à manger dans ces territoires et comment ferez-vous pour y rester en vie ? J'aimerais beaucoup vous lire sur ce sujet. Ney1 point
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Plus que 15 jours pour enregistrer votre inscription si vous souhaitez profiter de service restauration1 point
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Bonjour J'avais le projet d'accoupler le module Ha de ma lunt LS50 derrière une Skywatcher ED80. C'est chose faite, un usineur m'a réalisé la bague adéquate. Premiers essais ce matin malgré un voile et des passages nuageux. Donc ça marche. Maintenant, il ne me reste plus qu'à trouver un ERF en 80mm pour le visuel car même si j'ai conservé l'ERF interne de la lunt, j'hésite à y même mes précieux globes oculaires. Une caméra ça se remplace, mes yeux non. A bientôt Jean-Christophe1 point
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Le plus simple est de basculer l'affichage en "mode séparé". En cliquant sur les coordonnées qui s'affiche tu change l'affichage. Tu verra alors la ou pointe le MeMstar en altaz mais tu peut aussi l'avoir en RADEC avec la dernière version. si tu connais les coordonnées de l'objet que tu cherches, radec ou altaz, ca devrait etre d'une bonne aide1 point
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Salut 🙂 J'ai deux S50 et un S30 ... mais je ne cible pas le Soleil ! On ne peux pas dire qu'en CP l'un soit meilleur que l'autre : - Sur les nébuleuses et amas ouverts étendus, le S30 et son champ plus large conviendront mieux la plupart du temps - pour les galaxies et amas globulaires ainsi que les quelques nébuleuses planétaires accessibles au Seestar, le S50 sera plus performant de par son diamètre supérieur au S30 : IC 434 en grand champ au S50 : M 51 & NGC 7380 (certaines nébuleuses tiennent bien dans la cadre du S50!) Eric1 point
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Ça promet pour la suite car je trouve ta photo bien reussie car comme le dit celebrinnar, en moins de 10 mn, c'est un super résultat 👍0 point
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Cible originale, pas facile manifestement, bon boulot. c'est bien d'avoir fait le RGB et les bandes étroites.0 point
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Sur heavens above : https://www.heavens-above.com/satinfo.aspx?satid=6073 il faut s'inscrire et se localiser puis aller sur passage et cocher "tous" pour avoir les passages diurnes. Penser aussi qu'en perdant de l'altitude les prévisions évoluent rapidement donc pas toujours très précises sans suivi en temps réel. Je parlais aussi de cette sonde par là : https://www.webastro.net/forums/topic/132781-observations-de-satellites/page/23/#comment-32093400 point
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Bonjour, Ayant déjà manipulé plusieurs télescopes , faire le point avec de le prendre ne devrait pas poser de problème. sur l’achat, malheureux, précédent, l’excitation du diamètre a pris le pas sur le sérieux des vérifications, bien mal m’en a pris. j’ai mis les miroirs en vente, moins cher que la moyenne, et en précisant tout ce que je peux. j’ai déjà l’après en ayant une touche que je vais voir ce WE mais merci de ta bienveillance0 point
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C'est pas la photo du siècle mais y a un truc impressionnant avec la distance et la taille de ce "petit" point...0 point
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Bonjour, C'était de toutes les façons la meilleure solution par rapport au budget que tu as et l'évolution du projet. Pour le budget, il ne s'agit pas d'une critique, mais d'un constat, chacun fait en fct de son budget. Là, tu avais "hérité" d'un matériel quasi irrécupérable, ça se voyait dès le départ, sauf à tout refaire. Malheureusement, il arrive que des matériels soient de la sorte cause de (trop) nombreux amateurs qui se prétendent en capacité à pouvoir revoir/optimiser, parfois même simplement contrôler ou simplement nettoyer le matériel qq qu'il soit (télescope complet, tube optique, monture ou simple oculaire) pour au final se retrouver avec un "bidule" pire qu'avant. Il s'agit de bricolage et c'est bien pire que ce que certains autres amateurs sérieux, en clubs/assos, ou isolés sont en capacité à réaliser, avec du travail digne d'un artisan. Dans ton cas, le mieux est cette solution, attendre de trouver un matériel adapté (sans doute Dobson, dans le diamètre recherché) et d'aller le voir (pas le choix), peut-être accompagné par qqn qui pourra t'épauler, l'essayer ou du moins vraiment voir l'ensemble des points sur site, et ramener l'engin (aucun particulier n'expédiera du si imposant, sauf à tes risques, pas les siens...). Tu trouveras un matériel adapté, peut-être en attendant un peu et réunissant la somme, ce n'est qu'une question de temps. 🙂0 point
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Efficace avec la Minicam 8 Sauf si.....tu colles une barlow x5 et saturation à 500% et là.....tu effaces d'un coup Hubble et JWST0 point
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Je suis dans les hautes France aussi ( coté Senlis) , si tu veux venir voir un.Sud Dobson tu seras le bienvenu..0 point
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Salut les astrams, On vous présente aujourd’hui le Projet D.I.A.N.A., une initiative collective autour de l’astrophotographie, mêlant passion, rigueur scientifique et envie de repousser les limites de cette pratique. Nous avons tenu à refaire une présentation plus claire suite aux remarques de la modération, que nous remercions pour leur vigilance. Qu’est-ce que D.I.A.N.A. ? D.I.A.N.A, c’est l’acronyme de DeepSky Imaging and Astrophotography for Nightsky Advancement. C’est un projet collaboratif né de la volonté de mutualiser les compétences, les instruments et les idées pour aborder le ciel profond sous deux angles complémentaires : Kepler, une branche orientée science, axée sur des objets peu imagés ou complexes, dans une optique de contribution scientifique. Cassini, une branche artistique, qui vise à produire des images esthétiques, détaillées et ambitieuses de cibles populaires ou visuellement intéressantes (IFN, extensions faibles, etc.). Qui sommes-nous ? Le projet réunit aujourd’hui plus de 25 astrophotographes, amateurs comme professionnels, tous bénévoles, avec une grande diversité de setups — du setup nomade au poste remote. Le tout est coordonné par une petite équipe de 4 personnes, chargée d’organiser les projets, de centraliser les données et d’assurer le suivi technique. Comment ça fonctionne ? Pour chaque projet, nous analysons les configurations disponibles, les besoins de la cible, et nous organisons la capture de manière coordonnée. Une fois les données collectées, elles sont centralisées, triées, puis traitées collectivement. Un soin particulier est apporté à la méthodologie, à la rigueur du traitement et à la diffusion finale des résultats. Pourquoi un formulaire d’inscription ? Un formulaire (mis à jour récemment pour être plus lisible et pratique) permet de recenser le matériel, l’expérience et la disponibilité des participants, afin de les intégrer dans les projets en fonction de leur profil. Nos premiers résultats Notre première image collective, réalisée sur IC 1613 début 2025, a marqué un tournant dans le projet. Relayée par plusieurs sites (Gemini, SAB...), elle nous a permis d’élargir l’équipe, d’améliorer notre méthodologie et d’envisager des projets plus ambitieux. Rejoignez-nous ! Vous souhaitez vous investir dans un projet collaboratif, ambitieux et structuré ? Vous aimez l’idée de travailler en équipe sur des objets exigeants, tout en continuant à progresser et à partager ? Que vous soyez amateur ou confirmé, avec un setup basique ou un observatoire remote, D.I.A.N.A. est ouvert à toutes personnes possèdent un matériel adéquat. Il vous suffit de remplir un court formulaire (👉 https://form.jotform.com/bastienchauffete/formulaireDIANA) pour nous présenter votre matériel, vos attentes et vos coordonnées. Une fois votre profil validé, vous recevrez toutes les informations nécessaires pour intégrer un projet en cours. Vous pouvez aussi simplement suivre notre aventure via : Instagram : https://www.instagram.com/d.i.a.n.a_project/?hl=fr Astrobin : https://app.astrobin.com/u/D.I.A.N.A#gallery Pourquoi un formulaire d’inscription ? Un formulaire (mis à jour récemment pour être plus lisible et pratique) permet de recenser le matériel, l’expérience et la disponibilité des participants, afin de les intégrer dans les projets en fonction de leur profil. Astronomicalement, L’équipe D.I.A.N.A.0 point
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J'ai effectué des tests sur ma monture cem25p que j'ai révisé récemment. Il s'agit de mon setup de voyage je l'ai donc effectué avec mon Samyang 135mm. Pas facile de trouver des cibles à cette période de l'année je suis donc parti sur lamas de la Vierge et M13 ! Samyang 135mm + 533mc pro 3h45 de pose 7h de pose0 point
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Ça faisait longtemps, résultat, il y en a beaucoup. Sérieusement ? Votre pièce est juste ici, maestro ! Cherchez l'erreur : La compagnie des portes coulissantes. Intraduisible : il n'y aurait pas d'ambiguïté en français. Notre restaurant mexicain était autrefois un restaurant chinois. Au lieu de repeindre la fresque, ils ont mis des sombreros aux pandas. Sois honnête. Et pour les angles importants ? Merci. Une série : Ça ne donne pas envie... Qu'est-ce que je t'ai dit sur le fait de manger au lit ? Vraisemblablement, les crânes d'éléphants nains découverts sur les îles grecques ont inspiré la légende des cyclopes dans la mythologie.0 point
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Bonjour, On voit bien que la planète TERRE est plate ! Ainsi que les autres d'ailleurs ! 😁🙃 Bon ciel.0 point
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Sympa 👍merci pour le partage 😉 Pour les fèves et les cailloux je sais où les trouver et pour le plaid étoilé c'est ici: https://www.stelvision.com/astro/boutique/plaid-etoile-stelvision/ 😉0 point
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Bonjour, créatif pour le moins dire, mais c'est bien plus que le système solaire, merci pour le partage.0 point
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e en ligne, elle est composite à partir des observations de Webb, Hubble, XMM-Newton, Chandra Des versions HD sont disponibles avec le lien ; On peut zoomer et s'en mettre plein les mirettes : https://www.esa.int/ESA_Multimedia/Images/2025/04/A_visual_feast_of_galaxies Un festin visuel de galaxies Cette nouvelle photo du mois du télescope spatial James Webb de la NASA, de l’ESA et de l’ASC présente un nombre stupéfiant de galaxies. Les objets de ce cadre couvrent une gamme incroyable de distances, des étoiles de notre propre Voie lactée, marquées par des pics de diffraction, aux galaxies situées à des milliards d’années-lumière. "L’étoile "de cette image est un groupe de galaxies, dont la plus grande concentration se trouve juste en dessous du centre de cette image. Ces galaxies brillent d’une lumière d’or blanc. Nous voyons ce groupe de galaxies tel qu’il apparaissait lorsque l’Univers avait 6,5 milliards d’années, soit un peu moins de la moitié de l’âge actuel de l’Univers. Plus de la moitié des galaxies de notre Univers appartiennent à des groupes de galaxies comme celui illustré ici. L’étude des groupes de galaxies est essentielle pour comprendre comment les galaxies individuelles se lient pour former des amas de galaxies, les plus grandes structures gravitationnellement liées de l’Univers. Faire partie d’un groupe de galaxies peut également modifier le cours de l’évolution d’une galaxie par le biais de fusions et d’interactions gravitationnelles. Le groupe de galaxies illustré ici est le groupe le plus massif de ce qu’on appelle le champ COSMOS-Web. COSMOS est l’abréviation de Cosmic Evolution Survey. Dans le cadre de cette étude, plusieurs télescopes, dont Webb, le télescope spatial Hubble de la NASA et de l’ESA et l’observatoire spatial XMM-Newton de l’ESA, ont été chargés de contempler en profondeur une seule partie du ciel. L’équipe du groupe de galaxies COSMOS-Web, dirigée par le Dr Gozaliasl, a présenté le plus grand échantillon de groupes de galaxies détectés par Webb à ce jour à l’aide de l’algorithme Amico. COSMOS-Web vise à comprendre comment des structures massives comme les amas de galaxies sont apparues. Les capacités infrarouges et les instruments sensibles de Webb ont repoussé la recherche de groupes de galaxies plus loin dans l’histoire cosmique, révélant des groupes de galaxies aussi loin que l’Univers n’avait que 1,9 milliard d’années, soit seulement 14 % de son âge actuel. Cette image combine les données de la caméra dans le proche infrarouge de Webb (NIRCam) avec les observations de Hubble pour présenter un festin visuel de galaxies. Prenez un moment pour zoomer et examiner ce buffet galactique : vous verrez des galaxies avec de délicats bras spiraux ou des disques déformés, des galaxies avec des visages lisses et sans traits, et même des galaxies qui interagissent ou fusionnent et ont pris un éventail de formes étranges. La gamme de couleurs est également fascinante, représentant à la fois des galaxies avec des étoiles d’âges différents – les étoiles plus jeunes apparaissent plus bleues et les étoiles plus anciennes semblent plus rouges – ainsi que des galaxies à différentes distances. Plus une galaxie est éloignée, plus elle apparaît rouge. COSMOS-Web est un programme Webb Treasury de 255 heures qui cartographie 0,54 degré carré (un peu plus de deux fois et demie la surface couverte par trois pleines lunes) du champ COSMOS à l’aide de quatre filtres NIRCam. Les programmes de trésorerie ont le potentiel de répondre à de multiples questions importantes sur notre Univers. COSMOS-Web a trois objectifs principaux : identifier les galaxies à l’époque de la réionisation, lorsque les premières étoiles et galaxies ont réionisé l’hydrogène gazeux de l’Univers ; sonder la formation des galaxies les plus massives de l’Univers ; et de comprendre comment la relation entre la masse des étoiles d’une galaxie et la masse de son halo galactique étendu évolue au cours de l’histoire cosmique. [Description de l’image : Une zone de l’espace lointain avec des milliers de galaxies de formes et de tailles variées sur un fond noir. La plupart sont des cercles ou des ovales, avec quelques spirales. Les galaxies plus éloignées sont de couleur plus rouge et plus petites, jusqu’à n’être que de simples points, tandis que les galaxies plus proches sont un peu plus grandes et blanches ou bleuâtres. Quelques galaxies dorées sont étroitement regroupées au centre. Des étoiles brillantes entourées de pointes se trouvent dans notre galaxie.]0 point
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