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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 09/05/23 dans toutes les zones
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Salut, la 76EDPH était montée, tout était prêt alors j'ai continué avec mais je n'avais pas réfléchi et je n'étais pas inspiré hier soir... Alors pourquoi pas un petit tour en Amérique. Faut que je me refasse une liste de cibles pour la fin de l'été. Sinon, je vais remettre le C8 pour les petites nébuleuses comme la bulle ou le sorcier que je n'ai pas repris depuis que j'ai la 26C. Sinon, avec la lune qui baisse, je me tâte à tester les spaghetti depuis mon centre ville... En tout cas, voilà le résultat de la nuit et je n'en ferai pas une 2ème, cette nébuleuse est vraiment très lumineuse. Environ 6h30 par pose de 120s (et oui, je remonte un peu le temps pour voir mais je suis à 75 en sigma soit quasiment x10 par rapport à l'offset) Démarrage impec en tout cas malgré la chaleur, avec guidage assez bon dès le début et c'est rare de voir aussi bien sur une brute 🙂 Et voilà le résultat de la nuit. NGC7000 est une cible assez facile et finalement j'aime bien. Bon et je fais quoi ce soir alors ?🤔 A+ Sam5 points
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Etape 2 de la mosaïque du Cygne... La nébuleuse NGC6910. Une nébuleuse difficile car l'étoile SadR est très lumineuse. Mais PixInsight fait des merveilles... Qu'en pensez-vous ? Détails techniques : - Lunette Askar FRA500 (F500/D90) - Monture Celestron AVX - Mise en station QHY PoleMaster - Guidage ZWO120MM OAG + PHD2 - Focuseur Pegasus FocusCube 2 - Pilotage monture et Séquenceur : NINA - Prise de vue par caméra ZWO ASI 2600 MC PRO (gain 101, Température - 10°C, Offset 50) - Filtre L-Pro - Lights 60x180s, 50 DOF - Empilement et prétraitement SIRIL - Traitement PixInsight, BlurXterminator et Noise Xterminator - Post-traitement Luminar NEO3 points
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BOnjour à tous, petite prise de cette nuit avec un ciel pas trop mal niveau nuage... la lune est bien haute par contre. Nouveau test en HOO avec filtre l-extreme. Honnêtement quelque chose me chiffonne sur cette image mais je ne sais pas quoi... traitement HOO, couleur... bruit trop prononcé... je n'arrive pas à dire... SW130/650 Camera refroidie Ares-C -10°C 83 poses de 300s Guidage ASI224MC sur lunette 60/240 Filtre l-extreme Merci pour vos commentaires et votre aide pour déterminer ce qui me chiffonne lol PS : des idées pour d'autres prises dans les jours à venir? vu le beau ciel prévu ici2 points
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Je suis fier de vous présenter aujourd'hui le fruit d'une collaboration avec mon ami David Neel (Team Albireo78). Configuration n°1 : Ritchey 200/1600 sur EQ6-R avec une ASI 183MC Pro (bin 1*1 gain 111 -15°C) guidée en OAG avec une ASI 220mini. Le tout géré par Ekos/ind. 134x120s Configuration n°2 : Askar Fra600/420 sur Ioptron Gem45 avec une Asi 2600Mc Pro (bin 1*1 gain 100 -10°C) guidée avec une 50/200mm et une ASI 290mini. Géré par Asiair Pro. 115x300s en HOO. M27 (Dumbbell) est une nébuleuse planétaire. Il s'agit d'un nuage de gaz entourant une naine blanche située en son centre. Cette nébuleuse est le fruit de l'expulsion de la matière des couches externes de l'étoile, à l'occasion de la mort de cette dernière. Ce phénomène naturel dans la vie des étoiles peu massives correspond à ce qui arrivera à notre propre Soleil d'ici plusieurs milliards d'années. La nébuleuse Dumbbell est un objet remarquable de notre ciel profond. Son diamètre angulaire de 15' (minutes d'arc) et sa magnitude de 7.4 en font un objet très prisé des astronomes amateurs. La partie lumineuse de la nébuleuse atteint à elle seule 6', alors que halo plus faible pousse jusqu'à 15', ce qui correspond tout de même à la moitié du diamètre lunaire ! 💻 : Siril - PixInsight - Affinity - Paint Shop Pro 🌍 : Dordogne 🌈 : Bortle 2.8 📅 : 21 au 23 Août 2023 La version full ici 👉 https://flic.kr/p/2oZUHQL2 points
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Bonjour, Pour continuer ce post intéressant sur l'appréciation d'oculaires de prix très différents.. Je tiens à préciser tout d'abord que je me positionne comme " débutante initiée" et que je n'ai pas d'expérience ( ou fort peu) de tests avec d'autre matériel que celui acquis début 2022. J'ai reçu la lunette 100ED avec un zoom Baader ( conseillé par le vendeur qui me recommandait la marque Hyperion) Souhaitant comme tous les débutants en observation " grossir plus"... j'ai fait l'acquisition d'un hyperion 5mm ( je sais, il a pas trop la cote sur le forum...) Mais je souhaitais aussi m'offrir un bel oculaire 6mm ,afin d'obtenir un grossissement de croisière de 1,5x D , avec la lunette , soit 150 X. De passage à la maison de l'astronomie, je me suis fait plaisir en achetant un Délos 6mm; sans regret car c'était encore avant la flambée des prix!... Je devine que l'on compare en général deux oculaires de même focale.. Je voulais juste apporter mon ressenti en passant de l'un à l'autre, en tenant bien sûr compte de l'image plus sombre avec le 5mm dû à sa focale plus courte. Côté confort: l'hyperion est très agréable. J'ai par contre beaucoup " chipoté" avec la bonnette réglable du Délos, avant de trouver la position qui me convenait ! A l'oculaire: bon, là...avec le champ de 72 degrés, le contraste bien meilleur du Délos ( noir d'encre dans les cratères lunaires..) c'est effet " whaou"... Sur le limbe lunaire , je remarque un léger liseré coloré avec l'hyperion, tout à fait absent avec le Délos. Les bords de champ du Délos sont aussi hyper " propres", je peux laisser dériver une planète sans que l'image soit dégradée ; Ce qui n'est pas le cas de l'hyperion. C'est évidemment le Délos 6 que j'utilise le plus souvent, mais quand le seeing est bon et la turbulence faible, j'aime bien pouvoir grossir un peu plus, et le 5mm fait le job. Il m'a donné une très belle vue sur un croissant de lune bien haut dans le ciel le jour où j'ai reçu ma lunette. Et pour la couleur, c'est avec l'hyperion que j'ai identifié la première fois avec certitude la GTR...elle m'est apparue d'un joli orange pâle, alors que la couleur avec le Délos est plus " marron"... Sur ces encore modestes constats...je lis qu'une lunette de rapport F/D de 9 peut s'accommoder d'oculaires qui ne sont pas forcément " haut de gamme?"..2 points
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Le saviez-vous ? Nul besoin de vaisseau spatial compliqué et cher pour se rendre sur Mars. Et pour cause, avec ma bonne vieille astrocamionette je m'y suis rendu pour un weekend loin du monde (non) et plus près des étoiles (ça oui). Mars donc, pour celles et ceux qui ne connaissent pas, en plus d'être une superbe planète rouge et une barre chocolatée, Mars c'est une petite bourgade du plateau ardéchois sise à 1000m d'altitude, connue pour son pont du XVIIIe siècle, ses vaches à cornes, et son observatoire astronomique... l'observatoire "Hubert Reeves" organisait donc tout un weekend autour de l'astronomie sur ce site exceptionnel. Au programme, deux jours et deux nuits d'animations et d'observations, à destination du grand public (venu en très grand nombre) mais aussi de l'amateur plus exigent avec des intervenants et conférenciers de qualité. Jugez plutôt : - La recherche des exoplanètes, où en sommes-nous ? – Avec : Florian Rycke-Philipot (Doctorant, LESIA, Observatoire de Paris) – Systèmes compacts, planètes ultra-chaudes, super-Terres, depuis la détection de la première planète autour d’une autre étoile de type solaire en 1995, la recherche des planètes extra-solaires a explosé. À quoi ressemblent les plus de 5000 exoplanètes détectées ? Et surtout, que reste-t-il à découvrir ? - En route vers Mercure – Avec : Dominique Delcourt (Directeur de Recherches, CNRS) – Découvrez la mission BepiColombo pour l’exploration de la planète Mercure (la plus proche du soleil), menée conjointement et pour la première fois par les agences spatiales européenne et japonaise. - Le milieu interstellaire, les mystères de la poussière d’étoile – Avec : Axel Rymar (Doctorant en Astrophysique, Université Paris-Saclay) – Le milieu interstellaire, environnement complexe composé de gaz et de poussière, joue un rôle crucial dans l’évolution des galaxies. Mais, il cache aussi des réponses aux questions fondamentales de l’humanité, notamment celle de notre composition élémentaire. - La révolution du télescope spatial James Webb – Avec : Richard Johan (Astronome, Centre de Recherche Astrophysique de Lyon) – Découvrez le défi de la réalisation du télescope spatial James Webb, le plus grand télescope spatial actuellement en opération, ainsi que ses premiers résultats scientifiques, des objets de notre système solaire aux galaxies les plus lointaines de l’Univers. Je ne m'étendrai pas sur les conférences en elles-mêmes : elles étaient excellentes et les quatre conférenciers (certains plus aguerris que d'autres à l'exercice) étaient particulièrement intéressants, compétents et accessibles. Quatre conférences, quatre fois la salle archi comble : le public ne s'y est pas trompé. 👍 Le première journée donc, j'arrive deux bonnes heures avant la première conférence pour deux choses, à commencer par la visite de l'observatoire. La visite est assurée par Camille, salarié de l'observatoire à la grosse barbe et la voix qui porte, qui nous présente le travail effectué sur place : photométrie, spectrométrie, stages découverte, mission pro-am... et nous présente aussi le bel instrument sous la coupole : un Ritchey-Chrétien de 600mm à f8 sur une monture Alcor-System NOVA 200 à entraînement direct de fabrication française (si vous voulez vous équiper comme eux : https://www.astroshop.de/fr/telescopes/ritchey-chretien-officina-stellare-rc-600-4800-pro-rc-cga-ota/p,56211 sans oublier la monture : https://www.astroshop.de/fr/equatorial-avec-goto/monture-alcor-system-direct-drive-nova-200/p,61595 ). Du très beau matos, très performant mais à la maintenance visiblement assez compliquée. A la fin de la visite, je tombe sur un collègue du club ! Quelle surprise, je ne savais pas qu'il venait, et encore moins qu'il était également membre du Club Astronomique de Mars (CAM) et qu'il participait aux observations avec son 250 flextube Goto ! 😃 La deuxième activité que je voulais faire avant les conférences, c'était l'observation solaire. Trois instruments étaient installés à cet effet : un C8 avec un filtre de pleine ouverture pour la lumière blanche, un PST Coronado (que je connaissais déjà et dont l'observation m'avait enchanté) et une Lunt. De belles tâches solaires étaient visibles en lumière blanche mais c'est surtout l'observation en H alpha avec la Lunt qui m'a impressionné. Les éruptions solaires sont impressionnantes et la surface de notre étoile montre de superbes grumeaux et aspérités. L'effet de relief est saisissant, à mille lieues devant ce que montre un Coronado ! Quelle claque ! Pour ce samedi, la suite des observations devra attendre la nuit. Après donc les deux conférences et un rapide retour au camping pour avaler un repas express, je reprends donc vers 22h la route de l'observatoire avec mon vélo. Et déjà, en sortant du camping, la Voie Lactée me saute aux yeux comme rarement ! Quel ciel ils ont les marsois (oui on ne dit pas martiens visiblement...). J'arrive à l'observatoire et là, c'est le choc... Quelle foule😬 !! Le site, pourtant immense, est rempli de spectateurs. Il doit y avoir un bon millier de personnes sur ce haut plateau aux confins de l'Ardèche et de la Haute-Loire, tous venus pour découvrir les trésors du ciel. Dans l'absolu, c'est très bien que ce genre d'évènement attire autant de monde. Mais très égoïstement, je ne peux m'empêcher d'être déçu de voir les files d'attentes interminables pour observer dans n'importe quel instrument 😄. Je retrouve mon copain rencontré l'après-midi, il pointe Saturne avec son dob 250 depuis déjà 45min et la file d'attente ne désempli pas. Les spectateurs sont ravis du spectacle proposé visiblement, les "wouah" "ooooh" fusent d'un peu partout dans le champ. Ne me voyant pas faire la queue une heure pour voir M13 pendant 30 secondes, je m'allonge dans l'herbe près de l'observatoire où un animateur nous fait voyager dans le ciel avec son pointeur laser et son micro. Cette "lecture du ciel" est très intéressante, et il est abordé à la fois la technique de la recherche et les contes et légendes liées à certaines constellation. Le bonhomme maîtrise son sujet, nous transporte et nous faire rire. Un grand bravo à lui ! Du coup la soirée a bien avancé et le gros de la foule est parti. Je retourne du côté des télescopes et me glisse dans les (plus courtes) files d'attentes. Tout le monde pointe les classiques de l'été et l'allumage intempestif des phares sur le parking (une bonne partie des visiteurs ne se sont pas garés face à la forêts comme demandé, mais face aux télescopes...) ne permet pas d'observer de manière qualitative. j'en profite donc pour prendre en main tous les instruments et discuter avec leurs propriétaires. Première constatation : sur des objets comme Dumbell, l'amas d'Hercule ou la Lyre, un 300 en montre quand même un peu plus qu'un 250. Sur tous les objets, la différence - sans être énorme - est notable. Sur M57 par exemple, je vois plus de nuances de densité dans l'anneau, dumbell est plus claire et plus contrastée, je vois plus d'étoiles dans M13. Par contre, deuxième constatation : un dobson 300 en tube plein c'est énorme 😮! Un 250 fait petit à côté et clairement pour mon utilisation éventuelle ça serait trop compliqué. J'ai pu passer un petit moment à prendre en main un KEPLER 300 deluxe, c'est très agréable à manier c'est sûr, par contre c'est vraiment trop gros pour moi. Mais, j'ai pu aussi utiliser assez longuement un ES 300 Ultra light, et là, c'est pas la même histoire 😍! Si à l'oculaire l'expérience a été identique, à l'utilisation c'est tout de même bien plus gérable. Rien que d'aspect il fait plus petit, le montage / démontage se fait très rapidement et une fois démonté il ne prend pas de place (moins que mon mak + sa monture). Je le mets clairement sur ma wishlist (chérie, papa, maman, si vous me lisez...), pour aller titiller de la nébuleuse sur mon site de crête habituel il m'a l'air tout indiqué . La deuxième nuit d'observation sera beaucoup plus intéressante Déjà, il y a peut-être cinq fois moins de monde et même au 915, l'attente n'est pas longue. Allez oui, je l'ai mis en titre pour venir chatouiller les astrams atteints de diamétrite (je sais qu'ils sont nombreux) et je n'en ai toujours pas parlé. Je vais donc commencer par raconter mes observations avec ce géant d'acier. Il s'agit donc d'un dobson goto de 915mm de diamètre à f3.5 fabriqué par Fullum Optics. Vous en apprendrez un peu plus en consultant cette vidéo : Ce géant d'acier était clairement le plus prisé des deux soirées, forcément. L'engin impressionne avec ses treillis métalliques et sa finition "full black". De plus, la motorisation est rapide et le monstre pivote avec dynamisme, évoquant plus un obusier ou un dispositif anti-aérien qu'un télescope😆. Mais à l'oculaire alors ? Et bien, je dois dire que j'ai été un peu frustré. Le seul oculaire disponible dessus était d'une très grande focale, et j'ai fait l'erreur de demander de pointer M101 assez tôt : le fond de ciel était très clair et la galaxie ne ressortait que très peu. Plus tard par contre, par nuit noire, j'ai pu voir M110, la galaxie satellite d'Andromède, comme sur une photo ! Vraiment, vous tapez "Messier 110" sur google images, vous mettez l'image en nuances de gris et vous avez le rendu à l'oculaire. Petit passage ensuite sur M57, très beau avec des nuances de couleur visibles assez nettement dans l'anneau. Une belle expérience mais qui mériterait d'être prolongée avec des oculaires de plus courte focale !! Idem pour Saturne et Jupiter à la suite, l'image est superbe mais le ciel aurait permit de grossir bien d'avantage. Si ce n'est pas l'instrument qui m'a le plus marqué ce soir, je me suis laissé dire que pour les nébuleuses étendues c'est un autre monde, notamment les dentelles du cygne... Avec un peu de chance et le concours des copains, j'aurai peut-être l'occasion de tester plus longuement tout ça J'ai passé pas mal de temps avec un astram rencontré la veille qui s'occupait d'un C8 sur monture à fourche. Lorsque je suis arrivé, il pointait le double amas de Persée tandis que tout le monde pointait soit Saturne, M13, M57, M27 ou Albiréo. Je me suis dis "Tiens, ça change, voilà un homme de goût assurément" 😄. Le double amas rentre au chausse-pied dans le champ du C8 équipé qu'il était de son oculaire 30mm / 80°. L'image était très belle quoi que peut-être moins piquée qu'avec mon maksutov, avec m'a-t-il semblé un peu de diffusion sur les étoiles les plus brillantes. Néanmoins, le spectacle de cet objet est toujours superbe. Après un rapide tour sur Dumbell M27, qui en montre un peu moins que les dobson 300, je lui propose de pointer M8, la nébuleuse du lagon, en plein dans le sagittaire. Visible à l'oeil nu sous ce superbe ciel, je lui montre au laser et il la pointe avec facilité. Les principales étoiles de cette pouponnière son bien visibles et le voile de la nébuleuse ressort assez bien autour de l'étoile 9 Sgr. L'occasion de montrer cet autre type d'objet au public, moins spectaculaire certes que les classiques mais qui nous a permis de faire le lien avec la première conférence de l'après-midi sur les nuages interstellaires. Une passerelle très intéressant entre la science "dure" (même vulgarisée) et la "poésie" de ce délicat voile bleuté à l'oculaire. Le collègue pointe ensuite son C8 sur un amas globulaire que je ne connaissais pas : M71, l'amas de la pointe de la flèche dans la constellation du même nom. Une chouette petite concentration d'étoiles en limite de visibilité à l'oeil nu (je ne l'ai pas vu personnellement). Je lui montre à mon tour un amas que j'aime beaucoup, M10 dans le serpentaire. Ce dernier amas est très agréable à observer car même s'il est bien moins spectaculaire que M13, il est assez dense pour bien ressortir sur le fond de ciel et le C8 arrive à résoudre déjà pas mal d'étoiles dans ce bel objet. Le public a pu se rendre compte également qu'un amas globulaire pouvait ressembler à autre chose que M13 pointé par tous les télescopes et certains se sont étonnés de la diversité de formes et de tailles apparentes pour des objets "similaires". Durant ces observations nous avons discuté avec un couple de jeunes gens qui nous ont dit avoir ramené leur paire de jumelles TS Optics 25x100 mais ne pas oser l'installer car ils ne savaient pas s'en servir. Ni une ni deux, nous leur proposons d'aller les chercher et de les aider dans l'installation et leur montrer des choses très intéressantes avec leur instrument, offre tout à fait désintéressée bien évidemment... 😇 Un petit quart d'heure plus tard les voilà de retour et c'est parti pour l'installation de la grosse paire de jumelles sur leur trépied vidéo. Je n'avais jamais testé un tel instrument : quel pied ! j'ai vu avec ces jumelles ma plus belle galaxie d'Andromède. Le bulbe galactique est bien lumineux et l’ovoïde laiteux se détache très nettement sur une portion appréciable du champ (environ 2,5° je pense). Superbe. Nous leur montrons (et profitons 😎) également le double amas de Persée. Lui qui rentrait tout juste dans le C8 explose littéralement la rétine dans les grosses jumelles. Quel pied ! D'ailleurs la qualité optique m’apparaît excellente avec des étoiles parfaitement ponctuelles. Voir ces jeunes gens s'émerveiller pour la première fois avec leur instrument était un réel plaisir. Ils "complexaient" un peu d'avoir "seulement" des jumelles, fussent-elles grosse, par rapport à tous les télescopes présents. Nous leur avons montré que certains objets sont bien plus intéressants avec un tel engin qu'avec nos télescope. En tout cas moi, je suis conquis ! D'ailleurs, je suis tellement conquis par les jumelles d'une manière générale qu'avec le recul je crois que mon meilleur moment de la soirée a été le début, quand j'attendais qu'il fasse "vraiment" noir. Je me suis installé tout seul tout au bout du champ avec mes jumelles 12x60 hors d'âge dans une main, le "Guide des étoiles et planètes" de Delachaux et Niestlé dans l'autre et suis parti en voyage, à l'aide des cartes superbement précises du livre éclairées de ma lampe rouge, à la découverte des objets les plus remarquables de la Voie Lactée. Je débute mon voyage tout près de l'horizon et découvre pour la première fois les amas ouverts M7 et M6. Je remonte le fil de notre galaxie et tombe sur une amie bien connue, M8 ou la nébuleuse du lagon, bien brillante avec sa petite voisine du dessus, la nébuleuse trifide M20, plus délicate à déceler. Je remonte encore et tombe nez à nez avec M24, cet immense amas ouvert grouillant d'étoiles et me laisse happer un moment par sa richesse. Il est peut-être un de mes objets préféré avec des jumelles, mais se perdre parmi ses milliers d'étoiles avec un télescope à plus fort grossissement est une expérience tout aussi grisante. Je repère sur les cartes qu'à sa gauche et avant de tomber sur le petit "V" écrasé d'Albaldah, se trouve M25, un petit amas ouvert que je ne connaissais pas. En symétrie presque parfaite mais à droite de M24, je découvre également M23, autre amas ouvert qui se montre presque comme un amas globulaire dans le grand champ de mes jumelles. Je fais un moment des allers/retours entre ces trois amas quand je repère dans le bord inférieur du champ un amas qui m'a l'air bien délimité. Rapide coup d'oeil aux cartes : il s'agit de M22, amas globulaire de belle magnitude. Je poursuis ma remontée de la Voie Lactée et tombe avec bonheur sur M17, la nébuleuse Omega et la célèbre M16, nébuleuse de l'Aigle, belles tâches blanchâtre avec des étoiles visibles aux jumelles pour cette dernière. Sur la route je passe rapidement et sans m'en rendre compte plusieurs fois sur M18 ou amas du Cygne Noir, qui se perd aisément au milieu de la densité d'étoiles de son environnement. Initialement, j'avais pris Oméga pour M18 et M16 pour Oméga, et avait donc toutes les difficultés à trouver cette nébuleuse de l'Aigle. En montant toujours un peu plus le long de la voie lactée, j'en étais venu à discerner (surtout en vision décalée) un amas assez faible, en me disant que c'était bien faible pour la "célèbre" nébuleuse de l'aigle. Après consultation des cartes, l'erreur est corrigée et cette petite nébulosité est en fait NGC 6539, petit amas globulaire très peu visible, et je remets ainsi les nébuleuses à leur place . Ce voyage à travers la Voie Lactée sur plus de 25° de hauteur m'a occupé une grosse heure et demie et je m'en souviendrai certainement un moment. Il fut donc une superbe entrée en matière pour cette belle soirée d'observations et de partage, soirée qui a clôturé deux jours d'un voyage à travers notre passion commune. Merci à celles et ceux qui m'auront lu jusque là, j'espère que ce n'est pas trop indigeste j'ai écrit comme ça venait en me remémorant encore tout à fait ce superbe weekend Un grand merci aux équipes de Planètes Mars et au bénévoles du CAM pour leur gentillesse et leur disponibilité, et à l'année prochaine !!1 point
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Salut les astrams, Cet été à la nouvelle lune d'août on s'est retrouvé à 2400 m pour observer devant le ravin du Restefond, au col de la Moutière. On en a profité pour faire un rapide coucou aux écuries. On a pu discuter avec Yohan Archambault de l'association ''la clef du ciel'' qui nous a montré son joli Dobson. Lolodobs à côté du 720: On a repris la route pour passer la Bonette d'où on voit bien le Mythique spot astro. Non loin notre point de chute était à Saint Dalmas Le Selvage, j'en ai profité pour m'essayer au dessin de paysage tant tout etait spectaculaire. Depuis le balcon la vallée de Gialorgue qu'on à surnommé ''la mâchoire de Kong Kong'' : Tout près un éperon rocheux ''the monky face '' qui est chargé de guetter le réveil du gorille géant : Toujours visible depuis notre nid douillet, au dessus du village est ériger la croix de Saint Dalmas : On a préféré se poser dans le confort d'une location parce que nous étions 15 dont des enfants, parce qu'on est à 25 minutes du col de la Moutière situé juste derrière la cime de la Bonette. Et surtout où il n'y a aucun passage de voiture quand on observe. Jouxtant le ravin de Restefond voici le vallon de la Moutière : Le ravin et le vallon font face au Col de la Moutière, notre spot : Les jumeaux de 460mm et les scopes des copains s'en sont donnés à cœur joie! Des orages vers le nord faisaient parfois un effet stroboscopique, le ciel n'as pas toujours été transparent mais une nuit fut excellente avec des images sur Jupiter et Saturne très stables. Loin de la production des supers balaises j'ai fait quand même quelques dessins... Dans le cygne, la comète C/2023 E1 était bien placée : Direction le dragon pour tirer le portrait de deux galaxies et un quasar: Je les avais déjà observé par chez moi mais en altitude la scène était saisissante. Ça faisait longtemps que j'avais repéré cette petite nébuleuse planétaire qui me faisait de l'œil, j'ai été conquis donc le dessin est tombé : Gros coup de cœur pour celle-ci aussi, un ''fœtus cosmique'', ça fait penser à 2001 l'Odyssée de l'espace... Beaucoup d'autres cibles on été observées à l'oeil ou dans les scopes, on a bien profité sous la voûte céleste! Le tout ponctué d'étoiles filantes aux traînées persistantes. Et faut dire qu'entre potes les nuits passent vites... Bon ciel Lolodobs le dévoreur de monde 👽1 point
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Pour ceux qui ne savaient pas, il existe en 24.5mm des oculaires à la marge. 1) Un exemple d'orthoscopique Abbe en traitement multi-couches : ce sont les dernières séries avant qu'on passe en 1"1/4. L'avantage : un peu plus de transmission, ça se voit légèrement sur Jupiter, le bénéfice optique est faible. mais surtout, le traitement est extra-dur, plus dur que le Mgf2, les rayures sont moins fréquentes lors des essuyages côté œil. C'est un gage de conservation. 2) L'AH est un Achromatized Huygens : créé initialement par Zeiss pour ses Kometen Sucher. Les KS sont des lunettes courtes à grand champ à grossissement réduit (pupille de sortie optimale pour visualiser du champ et resté piqué et contrasté (a environ ~ 3mm de pupille de sortie) 25x sur la 500mm de focale. Elles sont valables en terrestre ou en champ profond à grossissement réduit. Par exemple certaines jumelles de marines ou appareil de surveillance à petit grossissement. L'oculaire fait 50° de champ ou plus 55°. (supérieur au Kellner qui fait en général 45°). A f/D limite court (6.25) comme pour la C 80/500 Kometent Suchen, le champ vu par l’œil est absent de couleur latérale et le contraste est excellent. Comme le Kellner, le AH inverse le défaut de couleur latérale de l'objectif achromatique. Sa construction un peu plus sophistiquée enlève deux défauts du Kellner. a) la sensibilité à la poussière sur la lentille côté ciel b) les reflets internes qui sont coupés par le diaphragme. Le AH Zeiss réglé pour les K.S. atteignent des prix supérieurs aux orthoscopiques ! A réserver aux lunettes à court f/D comme la Perl Halley ou les mini 6 Carton (pour les laisser exprimer leur plein potentiel.) Par contre, à éviter en barlow l'inversion de chromatisme se fait alors sentir. https://www.olympus-lifescience.com/fr/microscope-resource/primer/anatomy/oculars/1 point
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Salut, Suite demande, voici donc une image de Saturne et une de Jupiter réalisées ce matin avant l'aube (3h TU) avec Vespera. Tu pourras constater assez facilement que "c'est nul" (!), normal encore une fois puisque ce matériel (Vespera)/ces matériels (les instruments connectés Vaonis et Unistellar) ne sont pas faits pour dans l'immédiat, mais pour le ciel profond (que l'on voit plus difficilement, notamment les couleurs) et on est sur des focales courtes. La technologie ne permet pas encore d'intégrer les 2, mais ça viendra un jour... Une simple SW/Perl 70 EQ1 motorisée AD avec une petite caméra fera mieux, mais certes, il faut réaliser la mise en station (à peu près), pointer l'objet (et vouloir/pouvoir le faire, aisé pour une planète), monter la caméra, faire la mise au point (sans que cela bouge), faire les images et les traiter. Les autres engins connectés font la chaîne eux-même (et ne fonctionnent pas en équatorial)... En ciel profond, c'est pas la même affaire (voir le post récent initié sur l'eVscope 2 sur WA et où on a parlé au sens large des smart telescopes). Bon ciel. Saturne Jupiter1 point
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Bonsoir ô toi astram ! Bon, je continue mon accumulation de ma première année pour j'espère faire mieux par la suite, après avoir noté ici et la ce qui est mieux en RGB/HOO/SHO...autre Temps d'intégration pas immense pour cette double nébuleuse du Lion 35x300" Ha 30x 300" SII 30x300" OIII Assemblage pix avec méthode RGB space (Enter into space) + colormasks Luminance Ha seule Askar FRA300 + HEQ5 Pro + QHY183M Filtre 7nm J'ai encore, et de très LOIIIIINNNN beaucoup de progrès à faire sur cette première SHO...mais je vous la partage, allez-y, c'est pas grave tant que les critiques sont constructives !!1 point
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oui! Je veux vraiment insister là dessus, j'ai peut être pas eté assez clair malgré tout, mais je conseille souvent les artesky , c'est vraiment bien comme oculaire, surtout pour ce budget, d'autant qu'ils ont un champ de 60° qui est très honorable! Il faudrait rajouter dans le test un plossl 26mm (j'ai) et un oculaire bas de gamme mais j'ai pas , pour compléter un peu . Le plossl celestron 25mm basique, de mémoire à F10 etait excellent au centre, super agreable, transparent mais ca se degradait vite en s'éloignant du bord (et le champ est de 50°). J'ai un meade serie 3000 aussi, j'ai pas fait trop attention en observant avec sur etx (mak , f15).1 point
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Nouvelle observation hier matin vers 5h30, et ça valait la peine de se lever ! Elle est bien plus brillante que lors de la dernière observation (le 27 août) mais paradoxalement beaucoup plus petite, à faible grossissement elle semble stellaire. La couleur verte est maintenant bien visible, même à faible diamètre. Je l'ai trouvée sans problème aux jumelles 8x42, donc c'est vraiment une cible accessible. Dessins faits à la lulu 80, en grossissant un peu (60x) je suis même parvenu à détecter le début de la queue !1 point
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Et ma femme tu y penses Ou alors je camoufle avec une grosse plante verte que j'enlève la nuit quand elle dors1 point
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Si tu veux aller plus loin, il y a 3 notions : - année tropique : c'est la durée d'une année solaire (tropique), qui rythme les saisons. Elle dure en ce moment 31 556 925 secondes. - jour sidéral : c'est la durée du jour qui rythme la vie de tous les jours : elle dure en ce moment 86 164.1 s (il s'agit du jour sidéral, intervale de temps où le soleil revient à la même longitude dans le ciel de l'observateur) => le nombre de jours dans l'année est égal à 31 556 925 / 86 164.1 - 1 = 365.2421 jours. - mois lunaire : mouvement de la Lune autour de la Terre, dont on remarque surtout la "période synoque" (position entre la Terre, la Lune et le Soleil, donc les phases de la Lune), qui est de 2 544 476.6 s en ce moment => soit 29.53 jours. Tout cela varie avec le temps, et pas de façon régulière, mais dans tous les cas très lentement, non pas à l'échelle de dizaines ou centaines de milliers d'années, mais sur une échelle de quelques dizaines de millions d'années. Donc pour tes 18 000 ans dans le passé, comme l'a expliqué @Sobiesky, les durées d'un mois lunaire, de l'année solaire ou de la journée étaient les mêmes qu'aujourd'hui, à quelques secondes près. On trouve sur le net qu'il y a 1,4 milliards d'années, la journée durait 18.7 heures. Si la vitesse évolue de façon linéaire (ce qui n'est pas le cas, mais on va le supposer), on arrive à 18 000 ans de nous à une durée du jour de 86163.9 s, soit un écart de 0.24 secondes ! On trouve ici un article qui donne le nombre de jours par ans selon la période : Il y a 500 millions d'années, l'année durait (courbe rouge) environ 420 jours. Donc il y a 18 000 ans, l'année durait 365.2441 jours de 86 163.9 s soit (365.2441+1)*86163.9 = 31 557 020 s ou 95 s de plus qu'aujourd'hui. La Lune ne s'est pas tellement éloignée depuis... Bref, la durée du mois lunaire n'était pas vraiment différente de ce qu'elle est aujourd'hui. Tu peux estimer la distance Terre-Lune à l'époque avec les 2 derniers articles de ce document et de là en déduire la durée d'un mois lunaire.1 point
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De circonstance : Les détails restent encore vagues, mais nous pensons que le nom de l'oiseau avalé par les réacteurs est Harold Meeker. Nous avions perdu le sixième volume de la série. Nous avons mis deux mois à le retrouver. Je rêve de voler. Je rêve de marcher. Je rêve de nager. WTF ? C'est bien ma chance : un bateau en parfait état de naviguer arrive sur mes côtes et je n'ai pas mon permis bateau... Mais ? C'est de la limonade ! Où est passée ma culture de dysenterie amibienne ? Quand je vous disais que le sujet n'était pas près d'être épuisé : J'ai emmené l'agrafeuse de ma boîte en vacances et je l'ai prise en photo dans des chouettes endroits WTF 2 ? Fers à cheval des Monty Python : Les raisons qui font aimer la France. En bleu : la cuisine ; En vert : les Français ; En rouge : le vin.1 point
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Meme s'il y a moins de details dans la partie gauche de la 2nde c'est ma préférée 🥰 Je trouve la nébuleuse plus détaillée et le contraste tip top !1 point
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Photos transmises à Didier. ☺️ C'est l'occasion de vous montrer l'avion de chasse qui est en ma possession depuis peu de temps, fruit de l'excellent travail de Didier et de Franck (Mirrosphère). Le tout installé sur une terrasse spéciale Astronomie comme par hasard... En tout cas, c'est une petite merveille à la foi esthétique et optique. 😍😍 Bref que du bonheur !! Arnaud dobson 400/1600 mm... 😄1 point
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Salut à tous, Je vous présente un tiroir à filtre pour l'astro-imagerie réaliser en impression 3D. Il a un filetage T2 femelle à l'avant et un filetage T2 mâle à l'arrière Conçu uniquement pour les filtres 1,25" (31,75mm) Le support-filtre se clips à l'intérieur du tiroir Il faudra coller la casquette du support-filtre sur celui-ci et coller la platine avec le filetage mâle T2 à l'arrière du tiroir Vous trouverez également différentes tailles de boites de rangement pour les support-filtre Je conseille d'utiliser du PETG pour les pièces qui s'utilisent en extérieure (sauf les boites éventuellement) Je conseille également d'imprimer les pièces qui ont des filetages avec des hauteurs de couches de 0,1mm L'ensemble fonctionne à merveille Tout est sur Thingiverse : https://www.thingiverse.com/thing:6198912 Je remets les fichiers STL ici : Porte filtre.stl Support-Filtre.STL Platine-T2.STL Casquette-Support-Filtre.STL Boite porte filtre x2.stl Boite porte filtre x3.stl Boite porte filtre x5.stl Boite porte filtre x10.stl1 point
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Oui c’est injuste et stupide. Mais ça peut éclairer des astram qui se posent la question de ce que peut apporter un oculaire haut de gamme télescope utilisé pour le test : dobson 150/750 maison collim vérifiée sur étoile. cible : m57 et double amas de Persée. champ apparent : 60° pour l’artesky, 68° sur le panoptic. poids : 200g pour l’artesky, 232 pour le panoptic. relied d’œil : 15mm pour le panoptic et 20 pour le artesky Bonnette souple pour le pano, bonnette semi rigide réglable par vissage pour le artesky. Les deux oculaires sont parfaitement confortables. Le relief d’œil de l’artesky est légèrement plus confortable pour le port de lunettes. couleurs : neutralité bonne dans les deux oculaires. Très légèrement jaune. contraste : le fond de ciel est un peu plus sombre dans le panoptic ( grossît aussi très légèrement plus) et l’anneau de m57 est légèrement plus contrasté par rapport à la zone centrale. courbure de champ : légèrement gênante sur l’artesky , quasi absente sur le panoptic. (Le newton donne un champ courbé surtout avec une focale courte) la coma et l’astigmatisme sont les defauts les plus marqués sur l’artesky. les étoiles sont déformées dès 15° du centre et montrent une grosse coma à 20-25°. Ceci est très inesthétique et fait perdre beaucoup d’informations (les étoiles se mélangent entre elles en périphérie) sur le panoptic la coma est présente mais à 30° du centre elle est au niveau de ce qu’on trouve dans l’artesky à 15°. voila la différence de prix est énorme et l’artesky est bien sympa pour son prix, tant pour la qualité d’image que pour son confort, essentiel pour bien débuter en astronomie . Le panoptic coûte le prix d’un petit télescope, mais il transfigure l’image qu’on en obtient. La différence ne se joue pas sur des nuances difficiles à percevoir Ces différences seront bien moins marquées sur un instrument à f/d plus long ( vérifié sur schmidt cassegrain, probablement vrai sur les lunette f/d autour de 8-10) . Il existe aussi l’alternative des explore scientific 24mm 68°, moins chers que le panoptic, réputé à peu près équivalent. Je l’ai pas alors je peux pas vraiment préciser bon ciel0 point
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Hello, après une série de tests expo / gain, ici l’expo adaptée dans mon cas est entre 20 et 30ms. Dans les 2 cas, le gain est alors réglé entre 1/2 et les 2/3 du max de l’histogramme avec au moins 10dB de marge minimum pour une dynamique suffisante (dans mon cas is restait 20dB pour Jupi et 15dB pour saturne, largement suffisant comme marge). -> Winjupos permet après dérotation de 9 images (chaque image issue d’une vidéo de 60sec , 50fps), de légers filets bleutés de Jupi commencent à ressortir. Quasi Idem pour Saturne avec 9 vidéos mergées avec PIPP, chacune de 60sec pour ne sortir que 1image avec 10% de retenues sur AS3 sur les 18000 images au total (bien suffisant pour augmenter le SNR). -> pas encore d’ EAF (très utile pour la MAP), ni d’ADC (bien utile pour Saturne qui devient très basse); un peu mitigé pour Jupi qui devient haute et avec le petit diamètre du tube. - Tube 150/750 sur heq5 pro, avec barlow x3 en 1.25” (merci Serge @C14edgeHD pour le prêt), avec cam 462mc; filtre sur uv/ircut . - Traitement AS3, Astrosurface et Winjupos. Cordialement, David0 point
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Oui, j'ai pris un delite 4mm avec le Délos 6... Pour un grossissement maximal avec ma lunette, je m'étais dit " autant prendre un bon , si l'image n'est pas satisfaisante...je ne pourrai pas incriminer l'oculaire, juste les limites du seeing" Comme c'est un oculaire qui sortira moins, économie certaine avec le delite par rapport à un Délos... Ça va encore pour le suivi avec monture azimutale, à 225x...le champ de 60 degrés est gérable. Parafocal avec le Délos, appréciable ; l'impression d'observer dans un Délos, juste avec moins de champ...( Image plus sombre cause focale plus courte) Côté pratique...il est léger ! ( 220g) Assez long, comme le Délos 6, mais " poids plume" a côté !.... J'ai été assez contrariée au début car plusieurs sites ( Astroshop entre autres) annoncent le Délos 6mm à 410g , alors que ce gros pépère est plus proche des 500g!...( 490g sur ma balance électronique). J'ai presque regretté mon achat car pour l'équilibre de la lunette, je voulais éviter de dépasser 400g de poids d'oculaires.0 point
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Bonjour, je vais vous demander d'être tolérant avec moi, car la dernière fois ou j'ai fait du planétaire c'était avec un traitement sous IRIS... Pour vous dire que j'arrive de loin. Donc, j'ai pas mal joué avec les temps d'exposition ce matin, le gain de la 662 au bout d'une barlow 2x sur le C14 EdgeHD donc 8M de focale. Je vous livre les 3 meilleures images de la vingtaine d'enregistrement de 60 Sec chacune (les détails sont dans les coins): et je me suis essayé à faire une animation (peux mieux faire je sais) a+ Serge0 point
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Tu rigoles?🤬 j'ai pas trouvé le bouton lorsque j'ai fait mes acquisitions... Pourtant, j'ai pensé très fort "ce serait bien d'avoir un séquenceur comme dans Nina". Quand je vous dis que je suis une bille. En plus, cela m'éviterait de bidouiller la MAP entre 2 prises.0 point
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Je viens de tilter, ce qui m'emmerde, ce ne serait pas le gradiant dû à la lune?0 point
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Salut, J'avais pas osé, mais je peux plus garder cette perle pour moi! a+ Serge0 point
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Salut, enfin un peu de beau temps et j'en ai profité pour refaire le portrait du lion. Au traitement, j'ai un petit objet bleu en bas. Je pense une NP mais dans Siril, Pix rien n'apparait. J'ai tenté un upload sur Astrometry.net mais rien non plus. Je ne sais pas où chercher et je sais que certains parle d'un autre site mais j'ai pas retrouvé sur le forum (je ne dois pas bien m'y prendre avec la recherche sur le forum, c'est souvent que ça ne donne rien) Sinon, l'image c'est environ 12h en conditions un peu moyenne (y avait des passages de voile d'altitude) à la 76EDPH, 26C pro et L extreme (ça se voit avec le beau halo 😉) A+ Sam le petit objet en bas à gauche :0 point
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Bonjour, En cas de doutes sur les "performances" à attendre d'un instrument ou sur la qualité du ciel de ta région, surtout si ton budget est serré, tu peux aussi aller observer avec un club local. De cette façon, tu vas pouvoir tester plusieurs types d'instruments, te renseigner sur la qualité du ciel de ton coin (et son évolution possible) et peut-être trouver un matériel d'occasion par bouche à oreille. Et ensuite, tu auras bien plus d'éléments pour faire le "bon choix" pour ton achat.0 point
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Bonjour, Ton réducteur correcteur x0.85 skywatcher est visiblement le modèle SW0182, il dispose d'un filetage M56 femelle pour se fixer sur la lunette et d'un filetage M48 male coté imageur Tu aura donc besoin de la bague d'adaptation pour APN Canon vers M48 femelle, référence SW0189, qui fait justement 11mm d'épaisseur. Une trentaine d'euros en boutique astro. exemple ici: https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/accessoires-astronomie/accessoires-apn/bagues-canon-eos/bague-t-m48-pour-canon-eos_detail EDIT: sur la photo que tu fournis on distingue un tube d'environ 20mm de long entre l'adaptateur EOS (qui lui semble bien faire 11mm) et le réducteur. Si ce tube se dévisse, et si c'est un bête tube allonge M48 male vers M48 femelle alors il suffit de l'enlever pour avoir le bon backfocus Si par contre il est solidaire et non démontable de l'adaptateur EOS, alors il faudra utiliser un autre adaptateur EOS (voir lien ci dessus) Cordialement0 point
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D'ailleurs, je te remercie d'avoir payé en tant que contribuable français mon eau du 04, polluée par de l'agriculture intensive... On a vécu avec des bouteilles d'eau, et avec des noria de camions citerne. A raison de 6m3, ça en faisait une dizaine par jour pour déverser dans le reseau d'adduction locale...merci de ta TVA entre 5 et 20 pour 100 sur tes achats, ta TIPP, tes clopes et autres addictions avouée ou autres! J'espère pour nous tous que tu ne connaitras jamais cette situation, partagée collectivement par...tous. Alors faire du béton avec de l'eau, puis l'arroser avec de l'eau POTABLE du robinet dont le coût est partagé par tous, on en reparlera! https://www.tf1info.fr/regions/video-le-castellet-un-village-prive-d-eau-potable-depuis-trois-mois-2233297.html0 point
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