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Merci pour vos commentaire et notifications les ami(e)s ça me touche. Bon, j'ai fait une bêtise 🤬 en préparant la bestiole. Je l'ai fait tomber dans la colle et le "visage" n'était plus "photographiable" mais les yeux de devant, si. Alors voici ses yeux de devant au microscope avec l'objectif 10x et une Barlow 2x entre le microscope et l'apn : Prises de vue : Image stackée à partir de 140 images dans HeliconFocus avec la méthode C et lissage à 1 - temps de pose de 1/2 de seconde à 400 ISO Amitiés, FRanck3 points
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Bonjour à tous, Le résultat de 3 nuits à shooter les nébuleuses du Cœur et de l'âme pour cette composition en SHO. Lights : - 94 x 300 sec avec un filtre Antlia SII 3nm - 94 x 300 sec avec un filtre Antlia Ha 3nm - 94 x 300 sec avec un filtre Antlia OIII 3nm Setup : - Lunette WO RedCat 51/250 - Caméra ZWO ASI2600MM - Monture AM5N - Autoguidage avec lunette guide 30/120 et ASI120MM - ASIAIR Plus Il s'agit d'une compression .png. Le fichier original fait plus de 300Mo. Traitement avec avec Siril et GraXpert :3 points
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Bonjour à toutes et tous, Nous tenons à rappeler que retirer la protection oculaire n’est possible que pendant la phase de totalité d’une éclipse solaire, et uniquement si celle-ci est bien visible depuis votre position géographique. Cette phase dure généralement quelques minutes tout au plus, et le moindre retour de lumière solaire directe hors totalité peut causer des lésions irréversibles à la rétine. Ce que le post indique est techniquement exact, mais nous souhaitons souligner que : - La phase de totalité doit être confirmée avec précision, idéalement à l’aide d’un chronométrage ou d’un logiciel d’éphémérides. - Les enfants et les personnes non averties doivent être accompagnés et guidés. En cas de doute, ne retirez jamais la protection. La prudence est essentielle. Bien à vous, La Modération3 points
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Bonsoir ! Bon, au fil de mon "dépilement" de traitements en retard, voici une image faite en Août dernier, avec le Nikon Z6 au foyer de l'Askar SQA55. Une dizaine d'heures sur ce champ d'Andromède autour de LBN 534. Après un prétraitement full-manuel des DOFs et brutes (fichiers NEF Z6), j'ai procédé classiquement sous PIX DynCrop/Solver/SPCC/BlurX/GradientCorrection "custom" (du fait du Z6) EZStretch + NoiseX + StarX Ajustements PL8 + StarReduction + assemblage PS (denoise+Starpikes). Rien d'exceptionnel certainement, mais cet objet m'a interpelé et je me dis qu'il peut être intérressant de le refaire à plus grande focale.... La voici !2 points
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Bonsoir à tous, Je profite de cette semaine agitée où toute tentative astronomique serait vouée à un échec pour rédiger mon CROA de la nuit du 17 octobre. Cette nuit fut limitée à une promenade dans la seule constellation de Persée, mais une constellation qui n’est pas des moindres ! Encore une fois, j’ai répertorié et situé sur une carte personnelle tous les objets des SCP, et il y en a le généreux nombre de 34. La soirée va être longue avec autant de cibles ! Je ne suis pas du genre à garder le meilleur pour la fin, j’entame donc tout de suite avec mes objets favoris, les nébuleuses. En procédant ainsi, je m’économise un peu de manipulations en ne sortant qu’une fois mes filtres. J’ouvre le bal avec la très charmante (mais déjà vue) M76, avec ce qui me semble être une petite forme d’osselet enrobé dans un large halo ovale (visible à avec l’UHC). Les autres nébuleuses planétaires m’ont demandé plus d’effort, mais cette fois-ci j’avais très bien préparé leur repérage en cherchant la référence d’une étoile proche. PK131-5.1 et PK144-15.1 ont toutes deux été vues en vision indirecte, comme deux petites nébulosités rondes et pâles, mais la deuxième a été particulièrement difficile. C’est finalement en prenant l’UHC et non l’OIII, et en prenant du recul avec le 23mm que j’ai pu retrouver assez de lumière pour la distinguer. Les petites IC 351 et IC 2003, toutes deux quasi-stellaires, ont pu être vues avec certitude grâce à la méthode du blinking avec l’OIII, unique moyen de s’assurer qu’il ne s’agit pas d’étoiles. Persée est fourni en nébuleuses, mais je n’en ai pas trouvé d’aussi spectaculaires que dans Cassiopée, le Cygne ou le Sagittaire. IC 348 est difficile a appréhender, l’amas ouvert qui la constitue est bien visible, mais la nébuleuse par réflexion dans laquelle les étoiles baignent ne saute pas aux yeux. Elle est tout de même perceptible, mais faiblement, et se confond facilement avec la diffusion de lumière autour des étoiles. Ce genre de nébuleuse par réflexion est d’autant plus difficile qu’en effet, les filtres ne servent à rien ici ! Il en a été de même pour NGC 1333, qui fut un peu plus simple, car plus pauvre en étoiles (donc moins de diffusion, soit moins de doute…) NGC 1579, déjà visible sans filtre, se dessine mieux à l’UHC. J’en ai perçu comme une ligne à l’intérieur, mais le tout si faible, et visible uniquement en vision décalée, qu’il m’a été difficile de la situer précisément. NGC 1491, s’est présentée comme une zone un peu arquée, et plus contrastée, autour d’une petite étoile. (UHC) NGC 1624 est une zone plus ou moins ronde autour d’un petit amas ouvert, assez bien visible (toujours UHC). NGC 1499… je l’avais déjà essayée à la fin de l’hiver sans succès. Ici le ciel est bien noir, Persée bien haut dans le ciel. En me baladant avec mon 23mm dans le champ entre Epsilon et Xi, je tombe assez vite sur une zone légèrement lumineuse (il me semble même un peu rouge-orange ? à confirmer…). J’essaie d’en parcourir la surface… mais cette Californie est ENORME !! Il me faut au moins trois fois la surface recouverte par mon champ de vision pour en appréhender les extrémités. En tournant autour encore et encore, j’en imagine bien la forme ovale, beaucoup plus longue que large, mais j’ai très peu de détails qui m’apparaissent. Peut-être des bribes de filaments… mais je me méfie encore du mélange entre souvenir d’une photo et observation réelle. Il paraîtrait que c’est une nébuleuse qui ressort mieux avec le filtre Hbeta. Que je n’ai pas (encore). Je me contenterai donc ce soir d’avoir pu en voir seulement les contours, c’est un premier pas. Voilà pour les nébuleuses, j’entame donc la traque des galaxies. Elles ne sont pas nombreuses, 4 d’entre elles ne furent pas particulièrement notable (mais bien vues sans l’ombre d’un doute), mais j’ai tout de même apprécié la vision du noyau très bien contrasté et la forme bien dessinée de NGC 1023. L’amas Abell 426 a également été plaisant à fouiller minutieusement, je n’ai bien sûr pas vu tout le monde, mais j’ai pu y trouver NGC 1275 (la plus évidente), NGC 1272, et avec beaucoup d’attention à voir les deux voisines NGC 1278 et 1277, très proches l’une de l’autres et peu faciles à séparer ! Le tout en vision indirecte avec plus ou moins d’acharnement. Vient ensuite la longue quête des amas ouverts. Je ne les citerai pas tous ici, tant ils sont nombreux dans les SCP (15), mais tous ont été visités. Certains m’ont interpellé : NGC 1220 par sa taille minuscule et très concentrée; King 5 par son aspect nébuleux et non résolu encadré par un triangle d’étoiles presque équilatéral; NGC 1528 par sa belle taille et sa population fournie; NGC 1193 par sa difficulté et son allure de nébuleuse; et le très beau NGC 1245, qui s’est démarqué de tous par son allure, sa taille et son admirable densité. Un peu le même effet que NGC 7789 dans Cassiopée. A la fin de tout cela, figurez-vous que je ne suis allé ni sur le célèbre double amas, ni sur M34, ni sur la belle zone autour de Mirfak (Melotte 20). Des endroits déjà bien souvent visités, et la buée s’immisçant progressivement m’a suggéré poliment qu’il était temps de rentrer. Cela dit, comme j’avais déjà visité ces objets, me voici avec une nouvelle constellation complétée dans les SCP, et cette fois-ci une observation concluante sur tous les objets ! La buée n’étant tout de même pas allé jusqu'à envahir mes outils restés au chaud, j’avais anticipé en laissant mon oculaire très grand champ et ma lunette dans le salon. Je n’étais pas dupe quant à la taille de la Nébuleuse de Californie, et je tenais à l’observer à la lunette. Après avoir rangé mon Dobson dégoulinant et posé grossièrement la lunette dans le jardin, j’ai pu faire un beau tour de cette nébuleuse, mais cette fois-ci à x20 seulement. Et même là, elle ne tenait pas en entier ! C’est assurément l’objet le plus gros qu’il m’a été donné d’observer, juste après la voie lactée. Toutefois, mon champ de vision élargi englobe cette fois-ci toute la largeur de la nébuleuse, j’en appréhende donc bien mieux les dimensions et les contours. Un autre objet où ma lunette sort gagnante. Je n’en distingue par contre toujours pas de fins détails. J’y retournerai forcément un jour… Encore une belle récolte, en trois heures et quelques passées dehors. De ce volume des SCP, il ne me reste plus que le Fourneau et le Sculpteur… qui vont sans doute me donner du fil à retordre si le ciel de novembre me le permet !2 points
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Bonjour les ami(e)s, J'espère tout d'abord que vous allez tous bien. Je vous partage une autre araignée que je pense être aussi une zoropsis spinimana (https://fr.wikipedia.org/wiki/Zoropsis_spinimana). Prise en mode macro studio avec l'objectif Sigma 105 mm macro (objectif fermé à f8 pour toutes les prises de vue) sur un canon 1200D. Prises de vue : De face : Image stackée à partir de 71 images dans HeliconFocus avec la méthode C et lissage à 1 - temps de pose de 1/30 de seconde à 100 ISO De coté : Image stackée à partir de 77 images dans HeliconFocus avec la méthode C et lissage à 1 - temps de pose de 1/40 de seconde à 100 ISO De derrière : Image stackée à partir de 81 images dans HeliconFocus avec la méthode C et lissage à 1 - temps de pose de 1/40 de seconde à 100 ISO De dessus : Image stackée à partir de 49 images dans HeliconFocus avec la méthode C et lissage à 1 - temps de pose de 1/50 de seconde à 100 ISO Je lui ferais "le portrait" sur banc macro plus tard Amitiés, FRanck2 points
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Bonjour tout le monde, En parallèle des quelques posts que j'ai fait ici sur la photométrie depuis ce début d'année 2025, j'ai téléchargé pas mal de données depuis les archives du réseau LCO concernant le quasar 3C 273 : à savoir cinq ans et demi de données en proche UV et visible. Du coup, je me suis un peu amusé avec ces données, et j'ai produit les courbes de lumières. Ne voulant pas m'arrêter là, j'ai voulu pour une fois pousser un peu plus loin l'analyse et voir ce qu'on pouvait tirer en étudiant ces courbes. J'ai pas mal bûché et réalisé une étude de périodicité et de corrélation croisée en utilisant divers outils. Comme j'ai trouvé ça intéressant, je me suis dit : "- Tiens, ça vaudrait le coup d'en faire un exposé pour le club." 🤔 J'ai donc entrepris de rédiger un petit document, un peu sous la forme d'un compte-rendu de TP... mais c'était un peu raide, et je me suis alors fait la remarque : "- Faudrait quand-même que je parle un peu des quasars, ce serait chouette !" 😃 Et de fil en aiguille, j'ai élargi le champ de mon exposé à une partie plus théorique... Rendu là, je me suis dit que c'était dommage de ne pas parler du réseau LCO, vu que sans lui je n'aurai rien pu faire, et puis comme ça mon exposé serait un peu complet... 😅 Vous l'aurez compris, j'ai mis le doigt dans l'engrenage et je suis parti assez loin. Au final, j'ai passé tout l'été à la rédaction d'un document qui atteint 80 pages A4 et dans lequel vous pourrez retrouver : - Une présentation théorique des quasars et noyaux actifs de galaxies en général, de 3C 273 en particulier, - Une présentation du réseau LCOGT, - Les bases théoriques de la photométrie d'ouverture, - L'étude pas à pas des données avec divers logiciels (Excel, AstroImageJ, Peranso, Astropy), - Les résultats obtenus, plutôt en adéquation avec la littérature scientifique. Mais également : - Beaucoup d'illustrations (merci aux propriétaires qui m'ont donné l'autorisation de les utiliser), - Une bibliographie conséquente (que je tiens à votre disposition). J'attire votre attention sur l'aspect AMATEUR de la démarche. Ce n'est évidemment pas une étude pro et vous verrez que j'ai fait l'impasse sur plein de choses pour ne pas alourdir le propos. J'ai essayé autant que faire se peut d'être transparent sur les raccourcis et simplifications, tout en gardant une certaine rigueur dans ce que j'évoque : à cette fin, j'ai eu la chance de pouvoir faire relire ce travail par des astrophysicien(ne)s spécialistes des AGN et de la photométrie. Malgré tout, le néophyte y apprendra je pense pas mal de choses intéressantes, et - pourquoi pas ! - peut-être ce travail vous donnera envie vous aussi de vous lancer dans ce genre d'entreprises passionnantes Je tiens ici à remercier publiquement @krotdebouk pour sa relecture patiente et ses retours lucides et pertinents dès le début de la rédaction, ainsi que @cmltb612 pour entre autre m'avoir initié à la photométrie, pour ses conseils éclairés, sa pédagogie et - disons-le ! - pour l'ensemble de son œuvre 😃 ! Sans eux qui sont ici, et d'autres ailleurs, je n'aurai pas pu mener à bien cette entreprise. Pour le lien de téléchargement du document complet (8,06Mo), c'est par là : https://limewire.com/d/Jbwju#IIhopbEgHx Je vous souhaite de trouver autant d'intérêt à la lecture de cet exposé que je n'en ai eu à sa réalisation, et j'espère avoir réussi à transmettre un peu de ma passion pour les sciences à travers ces quelques pages. En vous souhaitant bonne lecture... et des ciels clairs, bien entendu Geoffrey1 point
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Bonjour à tous, Toujours dans mes traitements faits avec le newton qui a foisonné ces derniers temps, je vous propose la nébuleuse de l'Iris que je n'avais jamais fait en plus de 10 ans d'astrophoto ! Mes soucis réglés sur le newton je me régale avec ce tube qui me donne de superbes résultats !! ça fait trop du bien je dirais !! La collim tient une nuit sur l'autre et toute la nuit maintenant (quand je ne rentre pas le tube entre les sessions) Ca me donne bien envie de remplacer la FRA600 en Espagne avec ce tube ! La je n'ai pas shooté toute la nuit avec car je terminais quelques images pour un test de filtre mais j'ai tout de même 5h de temps de pose environ qui me donne déjà un super résultat. Je dirais que cette image est en attente d'une couhce Ha car j'observe à l'intérieur des zones de nébulosité rouge et franchement si y en à ça peu être intéressant et pas commun d'en tirer parti mais ça j'essaierai de le faire avec la Fra600 en Espagne quand le temps reviendra au beau ! Bref je vous laisse en profitez et passez voir la full sur astrobin: https://www.astrobin.com/n3m0vq/0/1 point
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Bonjour à tous Voici une cible classique bien adaptée à une focale modeste. L'image résulte de l'empilement de 700 poses de 90'' à 1600 iso prises avec un EOS 6D (non défiltré) et un 300 mm F4 sans autoguidage. Évidemment avec un boîtier non défiltré le rouge est un peu pâle et réduit mais j'aime assez les variations de teintes du bleu autour de la supergéante centrale au jaune de l'étoile grenat. Les conseils et les critiques sont les bienvenus !1 point
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Superbe cette araignée Franck ,avec le froid elles vont commencer à rentrer dans les habitations ,merci pour le lien qui nous en apprend sur La bestiole . Amicalement à bientôt Charles1 point
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Effectivement j'ai oublié de le mentionner : aux J8x42 et à la lulu 80. Impossible de voir quoi que ce soit à l'œil nu avec les pistes d'Orly juste en dessous...1 point
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Non la barre des taches de W11 ne peut pas être mise verticalement à gauche , éventuellement en haut si on modifie un paramètre dans la base de registre. Ce sont les icones de la barre que l'on peut mettre en bas à gauche. Ma solution de ne pas utiliser siril en plein écran me convient.1 point
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Mes images du 17 octobre au petit matin, par un ciel bien dégagé, une faible brume de basse couche et un petit vent d'est de circonstance dans ce contexte anticyclonique. Je ne suis pas un fana de la dérotation mais, une fois n'est pas coutume, j'en ai fais sur des séquences de 10 mins que je mets en comparaison avec des extraits bio issus de ces mêmes séquences. Les conditions n'étant pas mauvaises ( ça s'est nettement amélioré à partir du moment où j'ai attaqué le bleu ), le résultat dérotatif surpasse très légèrement le bio au global. Mais pas de quoi m'inviter à en faire plus souvent, quoique... j'en dis pas plus pour le moment... Allez, ces images !... Remarquez que l'Oval BA est au passage du méridien central. Et, en effet, l'UV montre clairement un rougissement de la structure. On est loin du contraste offert par le GTR mais c'est intéressant. La bleue, plutôt sympa, démontre là encore, la fin de la phase d'expansion de la NEB et le début de son retrait au profit de la NTrZ de par l'éclaircissement de sa partie nord. Enfin, la L, en 3 versions. Une première empilée et traitée dans la masse, histoire de montrer que 10 mins, en bio, c'est beaucoup trop même avec un 150. Une seconde, extrayant 3 mins de vidéo en bio. Et la dernière, dérotée.1 point
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Salut tout le monde, Pas de nom de poisson, crustacé ou autre mollusque pour cette belle nébuleuse abritant une des étoiles les plus chaudes observée de notre système solaire. ...alors j'ai envie de l'appeler la nébuleuse de la tête de bélier (purement subjectif 🙂) Prise de vue : - Askar FRA400 F/D 5.6 - Monture Skywatcher GTI - Asiair plus - Filtre Optolong L-Extreme - Canon 6D défiltré 23 h de pose (sub de 2 min non guidée) Bordeaux (BTL 7)1 point
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Bravo Franck ! 👍 J' aime bien la vue " aérienne"...qui met particulièrement bien en valeur le motif sur sa tête.......un vrai " tapis d' orient"...1 point
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Bonjour Franck, Très jolie ! Et thématique, avec Halloween qui approche...🎃1 point
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Il me semble l'avoir vu récemment sur un poste ici. L'image était un champ relativement proche. A priori, il s'agit de Cassiopée A, un rémanent de supernova https://fr.wikipedia.org/wiki/Cassiopée_A1 point
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Bonjour @Glloq, Le choix du multiplicateur de votre lentille de Barlow va être fonction de votre caméra. Le calcul qui va suivre ne s'applique que pour l'astrophoto planétaire. Votre instrument, un SCT Celestron 8 a un rapport F/D de 10. Arrêtons-nous un instant sur cette valeur. En réalité le rapport F/D d'un tel instrument varie de 7,5 à 15 selon la position du miroir primaire lors de la mise au point. Aussi ce qui est retenu est la valeur moyenne. Vous avez les éléments théoriques ici : https://saplimoges.fr/variation-de-la-focale-dun-schmidt-cassegrain-avec-sa-mise-au-point/ Le choix de votre lentille de Barlow va maintenant dépendre de votre caméra. En astrophoto planétaire il est d'usage de considérer que le rapport F/D idéal du train optique est égal à 5,1 fois la dimension en microns des photosites de la caméra. Prenons deux exemples : Avec une ASI224 MC dont les photosites font 3,75 microns de côté, le rapport F/D idéal sera de 3,75 X 5,1 = 19,125 . Sachant que le rapport F/D de l'instrument est de 10, le calcul du facteur multiplicateur de la Barlow s'obtient en divisant le rapport F/D idéal par le rapport F/D de l'instrument soit 19,125 / 10 = 1,91. Avec une ASI662MC les photosites font 2,9 microns de côté, le rapport F/D idéal est alors de 14,79 et le rapport du facteur de la Barlow de 1,48. Voilà vous avez maintenant tout en main pour trouver le bon facteur multipliant de votre Barlow. Ces calculs vous donnent le rapport idéal qui est aussi le rapport minimal. Par contre sous des ciels exceptionnels il est tout à fait possible d'utiliser un plus grand facteur multipliant afin d'obtenir une image plus grande au foyer de l'instrument. Faut-il pour autant avoir plusieurs lentille de Barlow ? Pas forcément. Certaines lentilles ont un facteur multiplicateur variable en fonction du tirage qui leur est appliqué. Le tirage est la distance qui va séparer la lentille de sortie de la Barlow du plan du capteur de la caméra. Pour l'utiliser je connais la lentille de Barlow chez Televue dont voici le graphe de fonctionnement : Chez Televue le facteur multiplicateur commence à X2, selon votre caméra il vous faudra une autre marque (que je ne connais pas) qui commence à X1,5. D'autres avis viendront. Ney1 point
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Le sujet a été abordé plusieurs fois sur le forum : si tu passes à une caméra couleur tu auras besoin de bien plus de temps pour avoir une image de qualité donnée ou, dit autrement, à temps d'intégration total donné tu auras bien plus de bruit sur une image issue d'une image couleur que sur une image prise en LRVB avec la caméra mono. C'est d'autant plus dommage de passer à la couleur que tu es déjà équipé en RAF et filtres. Par exemple, si tu as 4h de dispo pour imager, avec la mono tu feras 3h de luminance et 3x20min pour les couches couleurs. Voici la comparaison entre ces 3h de luminance avec la caméra mono (ASI1600mm) et la luminance extraite de 4h d'acquisition avec une caméra couleur dernière génération (ASI533MC), même télescope et même qualité de ciel : L'image acquise avec la 1600mm est bien moins bruitée, pourtant la 533MC a un capteur nettement plus performant, c'est le même que la 2600 en plus petit.... La finesse est aussi significativement meilleure avec la caméra mono, pourtant si la taille de pixel est la même. En bref tu risques d'être déçu si tu fais ce changement, spécialement si tu as un temps d'acquisition limité. On pourrait objecter qu'avec la caméra mono il faut faire 4 séries de flats au lieu d'une mais ça ne rajoute guère qu'une à deux minutes à la session. Si tu es en poste fixe cela ne te concerne pas...1 point
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UNE BULLE DE SAVON ET DEUX SPIRALES BARREES... Bonjour à Webastro, Nouvelle contemplation hier soir malgré la buée qui a un peu voilé la lame du C11. Je m'en suis aperçu en démontant le matériel, ce qui a dû impacter possiblement l'ensemble des observations. Pour autant la récolte est bonne ! NGC 246. J'ai ouvert les festivités par cette célèbre nébuleuse planétaire surnommée la bulle de savon si je ne me trompe. Je l'ai maintes fois dessinée mais elle est une de mes "cibles" favorites. Comme le montre la carte ci-dessous, la zone est riche en objets célestes (et dire que le ciel d'automne métropolitain est souvent réputé pour être le parent pauvre de la voûte céleste...Il pétille moins à l'oeil nu que celui d'hiver, mais que de pépites bien cachées !). La forme circulaire est bien évidemment évidente, et ce qui frappe, c'est cet sphéricité bien rendu par les zones plus lumineuses périphériques. Les étoiles en surimpression délimitent parfaitement l'objet. Une merveille à voir et revoir sans modération ! NGC 1097. J'ai quitté ensuite notre galaxie pour aller visiter un monde lointain : une belle spirale barrée dans la constellation du Fourneau. Voici la carte : Cette galaxie affiche une bonne magnitude : 9,3. Le noyau est parfaitement marqué ainsi que ces élongations diffuses. Mais surprise : ce fut de noter la présence faible mais indéniable de ses spirales. Ce fut très faible, très furtif, et en vision décalée. Pour autant j'ai tenté de retranscrire le tout. Force est de constater que cela correspond bien aux clichés que l'on peut admirer de cette galaxie. Par ailleurs, on note sans problème une autre galaxie voisine : NGC 1097A de magnitude 13,2. Elle me paraîtra cependant plus clairement visible ! Voici une photo qui permet d'illustrer que les spirales perçues ne sont pas une vue de l'esprit...On y voit évidemment NGC 1097A et cette spirale en plongée si j'ose ainsi m'exprimer. A noter aussi une étoile en surimpression que j'ai aperçue à mi chemin entre le noyau et cette galaxie satellite. NGC 1365. Pour terminer ce voyage galactique, je vous propose NGC 1365 située dans la même constellation que NGC 1097. A voir absolument. C'est le même type d'objet : une spirale barrée mais avec une structure qui frappe la rétine avec un degré de visibilité impressionnant. Je l'ai déjà contemplé à plus de 2000 mètres d'altitude. Elle ne perd absolument rien de sa superbe à 830m ! L'une des spirales est comme une lame de faucille : très fine et ciselée. L'autre est plus faible mais tout aussi notable. Je n'ose imaginer ce que l'on peut apercevoir avec un 400mm ou plus ! Voilà, c'est tout pour aujourd'hui ! Peut-être une nouvelle veillée ce soir ?... Bon ciel à tous ! Gildas0 point
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bonjour à tous, un champ galactique centré sur ngc7331 pris le 25 Aout dernier depuis la Beauce. Dernier (normalement) essai avec un mauvais back focus qui a bien distordu les étoiles sur les bords, j'ai du cropper A noter, bien sur, la présence de SN2025rbs près du cœur de ngc7331 que l'on perçoit tout de même malgré ma faible focale. Atik460ex + filtre LRVB astronomik + fs60 à f/6.2 sur GP autoguidage en // avec zwo178mm + zwo30F4 L : 21 x 300s en binning 1x1 RB = 7 x 180s binning 2x2 V = 6 x 180s binning 2x2 prétraitement imageviewCA, siril traitements siril, photoshop, seti astro A la taille d'acquisition, recadrée Annotation script siril : a+ stéphane0 point
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Bonjour à Tous, Je viens de terminer la construction d’un abri à toit roulant, destiné à recevoir mon RC 10’’. Dans l’espoir que cela puisse être utile à d’autres je vais décrire ici ce que j’ai réalisé, en moins de 3 mois, et comment. DESCRIPTION GÉNÉRALE J’ai pris comme base un abri de jardin du commerce (Timbela M343), commandé directement chez le fabricant (on le trouve aussi via certains grands magasins de bricolage). La hauteur de la partie fixe a été ajustée en fonction de la hauteur maximum du télescope sur sa monture, en position ‘parking’. J’ai apporté des modifications à certains éléments, que je décrirais plus loin. J’ai également significativement renforcé la structure. L’ensemble est supporté par une dalle et des plots en béton. Je n’ai pas réalisé de pilier central : la monture repose sur un trépied. Le but étant, à terme, d’aboutir à un système d’astrophotographie automatisé, je n’aurais pas de problème de vibrations dues au déplacement de personnes. C’est également pour cette raison que l’abri ne fait que 2m2. À ce jour l’ouverture du toit est manuelle, mais je travaille sur sa motorisation. RÉALISATION Avant de me lancer dans la construction, j’ai réalisé des plans détaillés en 2D, puis une simulation de construction en 3D. Cela c'est avéré très utile afin de vérifier la compatibilité de l’espace intérieur avec l’encombrement et la mobilité du télescope, et pour modifier certains éléments de la cabane. Il est important d’opérer avec précision lors des assemblages et des découpes. L’écartement et le parallélisme des rails est particulièrement important. En effet, les roulettes n’ont pas de jeu latéral. La tolérance n’est donc que de quelques millimètres. J’ai réalisé la totalité de la construction seul. La seule étape ayant nécessité l’aide d’une autre personne a été la pose de la structure du toit sur ses rails. PIÈCES SURNUMERAIRES Ayant limité la hauteur de la partie fixe de l’abri à 1.32 m, il reste non utilisé 11 planches de bardage, 13 bardages courts et 4 tasseaux. Cela permet d’écarter, lors de la construction, les éléments exagérément déformés. OUTILLAGE ET MATÉRIAUX Côté outillage j’ai utilisé une perceuse, une visseuse-dévisseuse, une scie à onglet et une défonceuse. J’ai également loué une bétonnière pour une journée, lors du coulage de la dalle. L’abri de jardin est livré complet, y compris la visserie, en colis de 2 m de long et 200 kg. J’ai dû me procurer en plus : sacs de béton prêt à l’emploi (dalle de 12 cm d'épaisseur) poutres bois de section carré de 7 et 9 cm visserie bois divers rails et roulettes supports de piliers réglables cornières divers chevilles et inserts béton gaine et câble électrique avec terre prise extérieure COÛT Le coût total, comprenant l’achat de l’abri de jardin, les fournitures ci-dessus, la location de la bétonnière, mais pas l’outillage, a été de +/- 2 000 €. Pour rappel, on trouve dans le commerce des abris à toit roulant de ce type, pour autour de 8 000 €. CONSOLIDATION ET SUPPORTS DE RAILS L’abri de jardin d’origine n’est pas conçu pour accueillir un toit mobile, dont le poids doit être d’environ 75 kg. L’ensemble de la structure a donc été renforcée. Quatre piliers verticaux de 7x7 cm ont été fixés aux 4 coins à l’intérieur de l’abri, par des équerres à la dalle béton et pas des vis aux planches de l’abri. Deux poutres horizontales reposent sur ces piliers. Elles sont prolongées vers l’extérieur par 2 autres poutres, qui reposent à une extrémité sur les piliers intérieurs, et à l’autre extrémité sur 2 piliers de 9x9 cm (taille nécessaire pour s’adapter aux supports de piliers). C’est sur ces 4 poutres que sont fixés les rails. Les 2 piliers extérieurs reposent sur 2 plots en béton par l’intermédiaire de supports réglables, afin de compenser l’inégalité du sol et d’ajuster l’horizontalité des rails. MODIFICATIONS DE BARDAGES Les profils des planches de bardage parallèles aux rails, celles du haut côté cabane, et celles du bas, côté toit, ont été modifiés. Côté cabane j’ai fait un biseau à 45° pour réduire la stagnation de l’eau de pluie : Côté toit j’ai fait une échancrure pour permettre le passage des poutres de rails : La planche de bardage supérieure, côté piliers extérieurs, a été coupée aux 2 extrémités afin de permettre le passage des poutres horizontales qui supportent les rails : LA PORTE Afin de tenir compte de l’abaissement des paroirs de la cabane, j’ai évidemment coupé la partie inférieure de la porte sur environ 58 cm, et repositionné les gonds et les loquets. J’ai récupéré la planche transversale inférieure (en retirant péniblement les agrafes) pour la repositionner sur la porte raccourcie. LE TOIT La structure du toit a été assemblée au sol, mais la couverture et les finitions (planches de rive...) ont été posées une fois le toit en place sur les rails. Le toit est renforcé de 3 façons : Par 2 poutres latérales de 7x7 cm, sous lesquelles seront fixées les roulettes. Par des contre-fiches de 3.3x3.3 cm aux 4 coins, afin d’empêcher la déformation de la structure. Par 2 liteaux, ajoutés par précaution afin d’éviter l’affaissement de la couverture. Ils ont été confectionnés en coupant 2 bardages surnuméraires. CONCLUSION À ce jour j’ai peu de recul sur la durabilité et l’opérabilité de cet abri. J’ai complété le travail par un effort d’étanchéification au silicone, et d’autres mesures afin de limiter l’entrée d’insectes. J’ai choisi de laisser passer une saison aux intempéries avant d’appliquer une lasure de protection. Je finalise également le raccordement électrique. Pour ce qui est de la connexion informatique, elle sera assurée par Wifi, dans un premier temps du moins. Mais j’ai prévu un passage de gaine dans la dalle, destiné à un futur câble Ethernet. Voilà pour l’état des lieux. Sur demande, je tiens les plans à disposition des amateurs intéressés (formats .dxf et .fcstd, le format FreeCAD pour le rendu 3D), ainsi que les liens vers les sites auprès desquels j’ai approvisionné les éléments principaux. J’ai également la liste détaillée des petites fournitures.0 point
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Repérée aussi l'autre jour en fouillant dans Telescopius également. Mais à la différence que pas encore eu d'occasion de pointer le C8 dessus. Le gros phare de Cassiopée donne la même difficulté qu'avec le fantôme.0 point
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Je commençais à me morfondre devant cette sinistre météo. Et puis, ce soir, en fermant les volets, je remarque quelques étoiles. Quoi ?? Quelques étoiles ?? Le Bouvier est bien visible alors ni une ni deux, je sors le Vespera. Et je suis chanceux : un créneau d’un quart d’heure pour capturer la petite Lemmon qui a bien augmenté en luminosité par rapport à la semaine dernière. 1 heure après, il tombait quelques gouttes ! 😅 vivement la prochaine éclaircie ! jeremy0 point
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Avec l'asiair, j'entrais les coordonnées, je passais par all Sky align et roule ma poule. Aucun souci0 point
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Bah avec mon mini-pc et NINA avec l'alignement 3 étoiles habituel, ça va être kifkifalors !0 point
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Bonjour, je confirme le côté galère de la MES. Ce qui m'a sauvé la vie d'astram, c'est l'Asiair. En moins de 5 minutes, je termine le polar align. Je dégrossis en journée avec la méridienne. Fini le temps passé à stresser et de perdu pour imager. Par contre ça veut dire qu'il faut au minimum, un Asiair mini et une caméra ZWO. Vu le poids léger, ça vaudrait le coup d'emprunter ce matériel. PS : J'ai déjà testé le polemaster qui fonctionne bien mais après avoir déjà repéré l'axe N-S avant. Il n'y a pratiquement aucune étoile repère évidente pour le pôle céleste Sud. Quand la croix du sud est visible, on s'en sert pour trouver le Sud en prolongeant le grand Axe d'environ 4 fois. Bref, du sport 😇0 point
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Salut pour les pointages suivi guidages, si tu notes bien dans tes logiciels/driver ta position GPS, et de fait que tu es dans l emisphere sud alors y’a pas de raison, ça devrait bien se passer la ou j’ai galéré c’est pour l’alignement polaire, vu qu il n y’a pas d’étoile brillante au pôle sud, c’est assez difficile de repérer les étoiles repères avec le polemaster mais tu n’auras pas ce problème avec Nina et son module d alignement par astrométrie0 point
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Non mais il n'y a pas mort d'homme non plus pour le moment, d'une part je ne pars que Lundi. J'ai eu aussi le support Proxisky via discord. Je vais croiser les infos et on verra...0 point
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Re Julien Je sais que @Malik avait imagé il y a pas si longtemps Il a son remote au chili0 point
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Pour une monture équatoriale dans l'hémisphère sud, il faut inverser le réglage des commutateurs de direction (par exemple, changer de "N" à "S") et aligner la monture sur le pôle céleste sud au lieu du pôle nord0 point
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J'espère que le temps va se dégager un peu...moi je pars pour 3.5semaines....vous m'aurez pas sur le dos Je sais pas encore si j'arriverai à imager en hémisphère Sud...on verra...0 point
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J'en ai aussi, jamais réussi à sortir un truc potable. un jour je l'aurai.... Je croise les doigts pour semaine prochaine, le temps a l'air de se calmer un peu...0 point
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Salut Julien Bien jolie prise, bien joué ! Je vois que tu es en manque, si tu veux, je peux te filer une dose de comète de l'an passée que je n'ai pas encore traitée / coupée0 point
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Très réussi cette trompe !! Je l'ai fait il n'y a pas longtemps, et j'avais beaucoup aimé la zone en réflexion de l'étoile grenat. Avec les filtres c'est une zone que l'on voit rarement mise en valeur. Bien joué !!0 point
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Intéressant oui, ça change des classiques en effet. Plus rien de frais à se mettre sous le curseur....ça commence à manquer sévère.... T'aurais pas une dose de Lights+DOF, pure, non coupée, à me filer? Suis en manque je crois, je tremble, je deviens nerveux....Arggghh vite ma pilule Siril et mon sirop Pixinsight...0 point
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Si ce n'est pas sous la pluie... Pas de souci avec ton alim. Moi est est dans un coffret de chantier étanche sur mon pillier. Par contre, t'es phénomènes peuvent plutôt être dus à une perte de tension ! 12v avec 3 ou 4m de câble DC entre tranfo et bout du matos, des câbles Y, des enroulements, des bandes chauffantes, le refroidissement, etc.... Tub démarres a 12v et tu es réellement jusqu à 11v ou moins à un moment. Et la, ça cause des coupures selon les matériels et pilotes voire des arrêts/departs de matériel!! Avec un boîtier genre Pegasus ou tu vois en tableau de bord la tension nominale... Ça se voit parfaitement ça.. Une alim réglable en tension et intensité stabilisée de labo, et des vrais câbles DC sont la solution.0 point
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Ce n'est pas près de s'arranger avec cette jolie tempête visiblement qui frappe l'hexagone..Promis je vais observer pour vous ! Bon ok, je sors...ma blague n'est pas bonne du tout ! J'imagine que la météo a de quoi décourager en ce moment...0 point
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Bonjour, en traitant une image de l'environnement de la nébuleuse de la bulle, du homard et M52, j'ai un signal qui apparait (très faiblement) sur mes lights en oxygène. L'astrométrie de Siril ne le connait pas et je ne le retrouve pas non plus sur d'autres images (mais ça, ça ne veut pas dire grand chose). Je ne trouve pas non plus sur Stellarium. J'ai fait une rapide composition HOO pour vous la montrer (pas taper, c'est traité à la va-vite volontairement). Ma question : qu'est ce que c'est? Bulle d'oxygene du type nébuleuse planétaire ou est ce un artefact? Et question subsidiaire, quelles sont les bases de données que vous utilisez pour retrouver ces objets peu courants? Merci d'avance. Suivre la fleche verte... Un crop sur l'objet/artefact :0 point
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Bonjour à tous Voici LDN1355 – La Nébuleuse de la Main Secourable dans la constellation de Cassiopée. Nébuleuse sombre distante d'environ 3000 AL., elle s'étend sur environ 80 AL. un nuage de poussière pas facile à mettre en évidence. 623 poses de 180s avec un filtre Antlia triband ultra RGB caméra asi 533 mc pro Newton TS UNC 150/750 monture ZWO AM5 monsieur, pixinsight, photoshop. Bortle 6 https://app.astrobin.com/u/laup1234?i=t8bdkg#gallery0 point
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Soleil Picard du Vendredi 17 Octobre 2025 à la faveur d'une petite et très brève éclaircie ce matin ... Juste eu le temps de faire un SER de 30" ... Impossible de faire plus, trop de passages nuageux (Pour la nuit, encore rapé ! ) Dommage une belle brochette de protus ... qui aurait été intéressant de suivre pendant plusieurs heures ... Mais la météo étant ==> Cliquez les images...0 point
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Pas avantagée, complémentaire pour ma pratique de l'astrophoto. J'apprécie la facilité de mise en œuvre de la 294MC puisqu'un seul filtre, L ou duo NB. Bien sûr je pourrais faire des boucles avec les filtres, en LRVB ça marche bien et je le fais parfois. En SHO et avec des poses de 5 minutes c'est moins sûr de tout avoir (toutes les couches) et en quantité suffisante pour faire une image sur une nuit. Avec la 294MC forcément j'ai tout, ça donnera une image plus ou moins bruitée mais ça donnera une image. En prétraitement c'est également plus simple puisque une seule couche. Précision importante, je le fais manuellement avec Pixinsight et je n'envisage absolument aucun changement sur ce point. Sur la résolution, je te rejoins partiellement. A échantillonnage et F/D constants, la mono est devant c'est évident, ça a été expliqué moultes fois. Par contre avec une caméra couleur on peut quand même obtenir une résolution acceptable. En tous cas ce que j'obtiens au RC8 + 294MC me satisfait pleinement en tenant compte de ce qui précède (facilité de mise en œuvre et de prétraitement). Je ne cherche pas la résolution à tout prix, je ne la pense d'ailleurs pas essentielle sur les nébuleuses alors qu'elle est bienvenue sur les galaxies, ce que tu montres d'ailleurs fort bien avec tes images ! Deux aperçus de ce que cette 294MC me donne avec le RC8 : Maintenant avec mon expérience de ces deux types de caméras, mon choix ne serait pas facile si je devais n'en garder qu'une.. Heureusement, je n'ai pas à faire ce choix.0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
