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  1. Dernière heure
  2. Gildas974

    NGC 4565 L'aiguille

    Joli dessin ! Cette galaxie est l’une des plus belles à mon humble avis. Si tu l’observes à nouveau, tu verras, l’œil s’aiguise et tu noteras d’autres détails plus fins. Enjoyyyy !
  3. Bonjours à tous Newbie en astro je viens d’acheter un Az gti mais impossible de faire l’étalonnage, je choisis le soleil et la Monture se met à viser n’importe où limite à l’inverse de la positon du soleil, pour le démarrage je la fais pointer le nord et le tube à l’horizontal en mode Az À priori quand je regarde la positon c’est correcte, si quelqu’un a une idée je suis preneur Merci à tous
  4. Salut, Après presque 2 semaines de pluies non-stop … Hier soir dans la nuit, une petite pause, ciel étoilé vers 3h du matin je sors le petit Seestar qui dormait depuis plusieurs jours … J’ai pris la nebuleuse de l’haltère - M27, avec 25 minutes de poses ( 145 photos ) … Juste une petite retouche sur GraXpert. Rien de super top mais ça fait toujours plaisir à voir et à partager, en espérant que vous apprécierez. Bon ciel et bon week end. 😎
  5. Ah oui, ça claque dis donc...bravo Serge !
  6. Alors je dois être le seul à avoir loupé le phénomène, pas vu annoncé et mon appli aurora m'a alerté ce matin à 8h...bravo la techno. J'ai lancé mon setup hier soir et comme bien malade encore, à 23h j'étais au lit:(
  7. Cette semaine il s’est produit un phénomène devenu inhabituel, exceptionnel même : du beau temps ! Et plusieurs soirs d’affilée ! L’occasion de sortir les jumelles pour aller observer les galaxies tant attendues du Printemps. Sur trois nuits consécutives, j’ai ainsi pu glaner une quinzaine d’observation de galaxies, un véritable petit miracle vu la météo médiocre depuis deux mois. Mardi, première sortie : Installé sur la terrasse vers 22h, le Soleil s’est couché il y a déjà 1h mais la nuit n’est pas encore tombée ; les nuages se dissipent peu à peu et j’aperçois déjà les plus brillantes des étoiles de la Grande Ourse, la Polaire, Castor et Pollux, et surtout les 4 principales du Lion, vedette de ce soir. L’air est doux, sans aucun vent, et un calme incroyable à peine brisé par le passage d’un avion. L’objectif est simple ce soir : tout d’abord profiter du retour d’un ciel clément et d’une nuit noire, contempler, et enfin voir ce que peuvent montrer des 10x42 sur des cibles réputées aussi discrètes et difficiles que les galaxies de Printemps, en particulier le trio du Lion. À partir de Chertan (Thêta) visible à l’œil nu en VD (encore difficilement, mais facile en VI) je chemine presque un champ au Sud vers 73 de mag 5 et reconnais tout de suite le champ d’étoiles du PSA. Comme il ne fait pas encore bien noir le cadrage est facilité car je ne vois pour l’instant à peine plus d’étoiles que sur la carte. Bien sûr, le fond de ciel est encore trop clair pour y discerner une quelconque trace du fameux trio, alors j’attends que la nuit tombe pour de bon et en profite pour mémoriser la disposition des étoiles repères. À 22h40 toujours rien à l’oculaire. Le ciel est traversé par de fins nuages d’altitude : je crains qu’une rude bataille s’annonce ! Patiemment je guette l’apparition de quelque chose qui viendrait rompre l’homogénéité du fond de ciel. C’est chose faite 20 minutes plus tard. Une tache très discrète, commence à poindre en VI. De forme allongée, fine, la galaxie présente un cœur plus brillant, stellaire, et des extensions très ténues. Il s’agit de M66. Il est encore difficile de saisir les contours et la taille de l’objet, mais son orientation N-S ne fait aucun doute. Bientôt je commence à discerner une compagne toute proche à l’Ouest dont l’orientation semble parallèle. Il s’agit de M65, bien plus discrète, uniforme, moins allongée et plus petite. Quand au troisième membre du groupe, NGC 3628, il m’est apparu par intermittence, seulement 5 à 10% du temps, se distinguant à peine du fond de ciel avec une surface plus large et homogène. Même si je savais ces cibles difficiles je me rends compte à présent du travail de concentration nécessaire pour les détecter. Néanmoins je suis très fier d’avoir relevé ce défi. Plus j’y passe de temps et plus M66 demeure visible longtemps, tout comme M65. Il me semble que cela revient à observer M31 à l’œil nu, en un peu plus difficile. Je laisse là le trio et tente pour le plaisir la galaxie NGC 2903. Après un cheminement dans la tête du Lion à partir d’Algebia (gamma) jusque Alterf (lambda) je repère un doublet d’étoiles de mag 7 (mais la transparence ne doit pas être géniale, elles me paraissent plus faible d’une magnitude). J’y trouve après quelques minutes la fameuse galaxie, bien moins facile qu’attendu. Elle m’apparait au mieux 30% du temps, de taille comparable voire supérieure à M66, homogène et allongée. Je me rend compte que je fais l’expérience des fameux « glimpses », moi qui étais habitué jusque là aux objets persistants plus faciles. J’ai l’impression d’atteindre un niveau supérieur dans l’observation 😄. Je finirai là pour ce soir, me gardant le second trio pour le lendemain, tandis que minuit approche. Mercredi, deuxième sortie : Installation du trépied à 22h, le ciel est impeccable cette fois, toujours aucun vent et cette « douceur » de 13°C. Je peaufine mon programme en attendant que la nuit tombe : au menu ce soir un bref retour sur NGC 2903 et le premier trio pour comparer avec la nuit dernière puis le second trio M95-M96-M105, ainsi que la galaxie du Sombrero M104 et NGC 3521. À partir de 23h je commence à retrouver M66 et M65 à la pointe Est du triangle d’étoiles. Faibles mais bien là en VI leur vision est désormais persistante et quelques apparitions fugaces de la 3ème comparse s’offrent à moi. Il est vrai que ce soir le ciel est de meilleure qualité, avec M44 facilement visible à l’œil nu, tout comme l’ensemble de la Petite Ourse. NGC 2903 est elle aussi mieux détectée que la veille. Vue la moitié du temps elle reste une pâle lueur, moins effilée que M66 et plus homogène. Maintenant que les yeux sont bien échauffés, place aux choses sérieuses ! Le repérage du second trio s’avère plus délicat et il me faudra plusieurs essais pour vérifier que les étoiles vues à l’oculaire sont bien celles indiquées sur le PSA. Le fait que les cartes n’indiquent pas d’étoiles plus faibles que mag 7 est parfois un handicap, comme dans le cas de ce champ pauvre en étoiles fort brillantes. Je finis tout de même par trouver ce que je cherche : M96 est vue presque avec certitude mais peu souvent, très pâle et arrondie. M95 est loin d’être détectée avec certitude et pas de trace de M105. Ici je fleurte avec la limite du possible pensant m’arracher un bout de rétine à chaque tentative. Petite déception, mais il était prévu que ce soit bien plus délicat que la veille. J’essaie de sauver les meubles en tentant la galaxie du Sombrero. En cheminant à partir de Spica il est relativement aisé de trouver M104. Vue rapidement en VI à l’Est d’une étoile qui semble multiple, de mag 8-9. Avec un allongement évident de 4 :1 dans la direction E-O elle est visible quasi en permanence. Bien qu’il s’agisse encore là plus de détection que d’observation elle reste ma vision la plus gratifiante de la soirée. Je décide de m’arrêter là pour cette nuit, sur cette belle prise et garde quelques cibles pour le lendemain, mes yeux n’en peuvent plus. Et puis de la buée s’est discrètement invitée sur les objectifs… Jeudi, troisième et dernière sortie : Au programme de cette dernière nuit d’observation aux jumelles, NGC 3521, quelques galaxies de la Vierge et quelques cibles dans la Chevelure de Bérénice. À 22h20 je m’installe et pointe le champ de NGC 3521. Le cheminement depuis Chertan (Thêta) est facile bien que très long, avec beaucoup d’étoiles repères. Reste à attendre qu’il fasse bien noir pour guetter les premiers signaux. Toujours aucun nuage ce soir mais un léger vent. Un très fin croissant de Lune se dirige paisiblement vers l’horizon, avec une magnifique lumière cendrée. Je décide d’installer un transat et de l’admirer se coucher tandis que la nuit tombe dans un calme apaisant. 22h40, retour aux jumelles. Le champ de NGC 3521 forme un T composé de 5 étoiles de mag 7 sur environ 2x2°. La galaxie, encore invisible, doit se trouver juste à l’Ouest de l’étoile à l’extrémité gauche du T. Patience… Vers 23h il fait enfin assez noir pour détecter la présence de la galaxie. Après 10 minutes à observer attentivement elle est présente plus de 90% du temps, avec une orientation N-S évidente. Allongée dans un rapport 2 :1 elle demeure très discrète et d’une luminosité quasi uniforme. C’est une belle prise pour démarrer la soirée 🙂. Puis direction la Vierge et une cible normalement plus accessible : M49. Un jeu d’enfant à pointer depuis Vindemiatrix (Epsilon), M49 est tout de suite visible, même en VD, entre deux étoiles de mag 6. En VD elle apparait comme une étoile empâtée de mag 8-9. En VI ce cœur devient plus brillant et s’entoure d’un halo diffus, plutôt rond, tel un faible amas globulaire. Avec un peu d’attention j’ai comme l’impression que cette tache s’ovalise légèrement, plutôt dans la direction donnée par l’alignement des deux étoiles brillantes. C’est un plaisir que d’observer cette galaxie qui demande bien moins d’effort que toutes les précédentes. Poursuivons cette lancée avec M60. De retour à Vindemiatrix, M60 est non loin de là, entre une étoile de mag 6 et un petit Y formé d’une étoile de mag 5 et trois étoiles plus faibles. Bien que plus discrète que la précédente elle reste facile et visible en VD comme une très faible étoile. Elle grossit elle aussi en VI mais son cœur est moins marqué que celui de M49. Allongée selon un axe E-O, j’aperçois à l’Ouest une tache fort discrète, visible 50% du temps en VI, allongée selon un axe N-S. Serait-ce M59 ? Après vérifications le lendemain, c’était bien elle, attrapée bien qu’elle ne fût pas au programme à cause de sa faible magnitude de 9,8. Comme quoi il faut parfois savoir ne pas se laisser intimider par les chiffres. À 23h40 il est l’heure de passer à l’entrée suivante : M87. Repérée plutôt facilement aussi car dans la même zone (et surtout grâce à la carte C plus détaillée du PSA), je distingue aussitôt autre chose du coin de l’œil en essayant de l’observer : deux taches, homogènes et plus grosses : il s’agit de M84 et M86. Bingo ! Trois pour le prix d’une ! Et un trio beaucoup plus évident que ceux des deux nuits dernières. M87, juste sous une étoile de mag 8-9, n’est visible qu’en VI. Plus petite et moins brillante que M60, elle est aussi plutôt ronde et homogène. Au bout d’un moment j’arriverais presque à l’accrocher en VD. M84 et M86 sont très ressemblantes entre-elles et franchement évidentes en VI. Plus grosses que M87 elles présentent un allongement clair, 2:1 et sont un peu moins brillantes, peut-être car leur lumière se répartit sur une plus grande surface. M86 est un peu plus grosse et brillante, allongée à peu près N-S tandis que celui de M84 soit plutôt E-O, sans que ce soit particulièrement facile à estimer. Je trouve cette vision très chouette, ces univers-îles si lointains saisis dans leur entièreté par le biais d’une simple petite paire de jumelles... Il est déjà minuit, je commence à ressentir la fatigue cumulée de 3 soirs d’observation (une première !), mais qui réconforte d’une longue série de semaines pluvieuses. Je tente deux autres galaxies pour le plaisir. M90 est la plus proche, vers l’Est et m’offre quelques glimpses fugaces entre une étoile de mag 8 et une de mag 10 vue en VI. M88 est repérée aisément au Sud d’une étoile de mag 9. Elle est assez évidente et allongée dans un rapport 3 :1 selon la direction approximative N-S. Il me semble voir une étole de mag 10 à son extrémité Sud, mais rien dans Stellarium après vérification, bizarre ... Pour finir cette soirée je me dirige vers la Chevelure de Bérénice où je souhaite retrouver la toute première galaxie que j’avais tenté aux petites jumelles l’an dernier et qui fût un échec : M64. À l’œil nu je vois déjà que l’amas Mel 111 est bien visible et même superbe, et une étoile filante, bien brillante et moyennement rapide traverse tout le dos du Lion dans le même temps, génial ! Quitte à viser Alpha Coma Berenices j’en profite pour jeter un coup d’œil à M53 juste à côté, aussi chouette que dans mes souvenirs, une belle étoile large en VD qui prend du volume en VI. Une belle bouille d’amas globulaire avec un centre bien marqué et un halo qui double presque la surface. Après ce petit intermède globulaire, retour aux galaxies. M64 est facilement repérée non loin d’une étoile de mag 5. Son cœur bien marqué est visible même en VD et son allongement E-O de 2-3 :1 est franchement évident en VI. Probablement la cible galactique la plus évidente ce soir, je me demande comment j’ai pu la louper cet été. Quelle belle galaxie et quelle belle manière de finir cette soirée. J’ai bien fait de poursuivre malgré la fatigue. Comme je pressens que cette soirée sera la dernière avant un petit moment je décroche les jumelles du trépied et termine par quelques observations nonchalantes aux 4 coins du ciel comme pour dire au revoir et à bientôt. Je vais me coucher avec une énorme satisfaction et le sentiment du devoir accompli. C’est une belle nuit et je souris.
  8. Témoignage perso. Je m'éclate bien avec mon 200/1200. Mais il m'ai apparut que je ne voyait pas la voie lactée dans son ensemble, juste des portions. Donc le choix des jumelles c'est posée. Le but étant une balade dans la voie lactée sans but particulier, juste admiré. J'ai donc creusé la question, et mon choix c'est porté sur une 10x50 de TS optics. Pourquoi? - Je ne voulais pas dépensé plus de 100€ pour des jumelles, mon télescope et ses oculaires mon déjà couté un bras . - Je voulais un prisme de Porro BAK4 qui assure une bonne transmission de la lumiére. - Traitement lentilles multicouches type 3. - Pouvoir la fixée sur un trépieds. - Légère pour aussi une observation terrestre ( des animaux et autres). Donc perso le combo 200/1200 et 10x50 m'ont fait des soirées en famille très agréable. Bon ciel a tous.
  9. Très belle ! Bravo 👍👍🙂
  10. Aujourd’hui
  11. Oui, j'avais recontrolé le viseur, il restait bien centré. Le goto était impécable, j'arrivais quasiment sur le réticule de sharpcap à grossissement max, champ très faible. Pour l'erreur sur la polaire je ne pense pas. Comme il fait beau je réessayerai ce soir. Mais peu probable mon trépied est orienté avec des marques au sol donc la polaire est dans le viseur à tout les coups. il ne reste que le calage horaire à faire. La routine est la même. Donc je reste perplexe.
  12. Bonjour à tous petite image du soleil réalisé ce matin
  13. Ouah, magnifique ! Tout y est, le cadre, l'événement et la qualité de la photo, bravo ! Bravo 👍👍🙂
  14. Pascal76

    GraXpert 3.0

    En effet très pénible ces problèmes à chaque maj, Ce que j'ai fait, reprendre la procédure de la vidéo du lazy geek sur le sujet. Donc démarrer GXP hors pix, charger une photo, sélectionner l'IA dernière version à droite pour le GXP et le DXP DN, traiter la photo. L'appli doit enregistrer les derniers paramètres je suppose. Et après ça marchait dans pix. Bon courage Ah Bin Seb tu m'as grillé 😁
  15. sebseacteam

    GraXpert 3.0

    Il faut installer graxpert depuis le site dédié. Là le script Pixinsight permet juste de faire fonctionner Graxpert sous l'environnement Pixinsight. Mais ne met pas à jour le logiciel en lui même ni les parties IA pour gradient et denoise.
  16. Même cible pratiquement, même lunette, caméra similaire. Je vais faire un nettoyage complet des optiques + caméra avec un produit dédié
  17. mise à niveau du trepied : ne sert à rien pour la MES sur equatoriale. viseur polaire : bien reglé sur l'axe AD? as tu vérifié qu'il reste centré quand tu tourne l'axe AD? Il suffit qu'il ai été légèrement dévissé, voire aie pris un leger choc, pour ne plus être centré sur l'axe. Erreur possible : tu n'as pas visé la polaire pour la MES, ça m'est arrivé une fois, du coup dérive rapide et goto dans les choux. Ca ne veux rien dire, ma voiture à fonctionné nickel pendant 21 ans puis un jour : pane d'alternateur...
  18. Voilà ce que j'avais en Limousin
  19. La dérive est sur les deux axes, et cela a très bien fonctionné depuis 4 ans. La mise en station était comme d'habitude, et même plus soignée cette fois ci, niveau, vérification de l'alignement du viseur polaire, et calage sur l'heure de synscan comme d'habitude.
  20. Vue également dans le Bas-Rhin (je suis en proche campagne strasbourgeoise) ! Comme dit sur un autre fil (et là je m'auto-plagie) : j'observais le Sombrero quand subitement, vers minuit et quart, l'intensité lumineuse autour de moi augmente fortement. Je me retourne, pensant vaguement à crier « lumière ! » : il y a une grange derrière moi, plein nord, et je me dis qu’un inconscient a dû allumer un projecteur. Et là, stupeur et tremblements : l’horizon est bleuté, on dirait que l’aube se lève, mais une aube qui surgirait plein nord ! Puis apparaissent des piliers de lumières, qui vont en s’affirmant jusqu’au zénith. Et l’horizon s’élargit, c’est maintenant du nord-ouest où se couchent les Gémeaux, au nord-est où se lève le Cygne que surgissent ces colonnes de lumières. Le tout monte jusqu’au zénith, c’est toute la demi-sphère céleste qui est prise. Splendeur et magnificence ! Deux photos bruitées faites au téléphone dans l'urgence, qui ne rendent absolument pas justice à la finesse, à l’intensité et à la surface couverte par le phénomène :
  21. Là, juste sous le lampadaire. C'est visible sur plusieurs images. Une sorte de double nuage qui apparaît, se déploie et disparait, mais semble faire du sur place. Généralement, les nuages bougent ; ça pourrait ressembler à des trainées laissées par des bolides. Mais l'image est petite, c'est sur. Edit : non, ça doit être l'aurore. Une sorte de jet un peu complexe.
  22. C14edgeHD

    GraXpert 3.0

    Toujours aussi chiant le truc. j'ai installé GraX V3.0.2 et le script me dit: j'ai bien mis le lien dans mon repository: mais pas d'update et pas de process GraX non plus. Il n'y a que mon script 2,2 version ariel qui continue de foctionner fort heureusement. Je fais quoi? a+ et Merci Serge
  23. Première sortie depuis Octobre 2023 du Mak 180, pour capter l'imposant groupe de taches AR3664. Le Soleil nous a gratifié, par sa grosse activité, d'aurores boréales jusqu'en Corse. Bernard Pivot m'a fait rater ce spectacle hier soir. Deuxième chance ce soir ! Et ce matin j'ai pu immortaliser ses tâches. Je n'ai pas souvenir d'en avoir vu de cette importance. Mak180, PlayerrOne Ceres-M Firecapture v2.7 linux, As!4, Registax6. Film de 1000 images, 10% retenues.
  24. @chrismit Je suis en train de changer de Camera pour ma AllSKY et effectue du coup beaucoup de tests de réglages divers d’où ceux actuels pas optimums encore ! Et elle était à 1m du sol alors qu'ensuite elle sera sur le toit avec une vue à 360° Rien vu de particulier à 1;14 ... tu as une capture pour me montrer ?
  25. même cible? même lunette? même camera? même réglage de camera?
  26. Hello les nuiteux , Une nouvelle version est sortie mais ca bloque le process console comme la première d'ailleurs mais ca fonctionne ! Pas essayer la deuxième actuellement. A vous de jouer
  27. Hier soir j’observe le Sombrero quand subitement l’intensité lumineuse augmente drastiquement autour de moi. Je me retourne, pensant vaguement à crier « lumière ! » : il y a une grange derrière moi, plein nord, et je me dis qu’un inconscient a dû allumer un projecteur. Et là, stupeur et tremblements : l’horizon est bleuté, on dirait que l’aube se lève, mais une aube qui surgirait plein nord ! Puis apparaissent des piliers de lumières, qui vont en s’affirmant jusqu’au zénith. Et l’horizon s’élargit, c’est maintenant du nord-ouest où se couchent les Gémeaux, au nord-est où se lève le Cygne que surgissent ces colonnes de lumières. Le tout monte jusqu’au zénith, c’est toute la demi-sphère céleste qui est prise. Splendeur et magnificence ! Tout ça a duré de minuit et quart jusqu'à l’aube, avec une intensité variable : de pleins feux à presque éteint, au bout d’une heure (soit de 00h15 à 01h15 environ), avec ensuite des résurgences d’intensité variable. Stupéfait j’étais. Il faut dire que c’est ma première aurore boréale (je n’ai encore jamais fait le voyage au nord) et voir toute une demi-sphère céleste animée de lueurs plus ou moins intenses est un spectacle fantastique. Je précise que je suis dans le Bas-Rhin, en proche campagne strasbourgeoise ! J’ai fait quelques photos au téléphone, dans l’urgence et à main levée, qui sont évidemment très bruitées et ne rendent absolument pas justice à la finesse, à l’intensité et à la surface couverte par le phénomène :
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