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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 04/01/24 dans Messages
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Bonjour, en discutant avec un astam, il m'a conseillé de le publier pour diffuser le truc , peut-être que certains ont déjà essayé (je suis peu présent sur les forums ... si les réponses tardent ne soyez pas surpris) J'avais des doutes sur l'auto-centrage et souhaitais vérifier si ma bague d'auto-centrage était Ok ( ici une Kepler, idem avec une click-lock baader même phénomène) Installer laser et bague de centrage sur un miroir plan type miroir pour se raser en camping (ou se maquiller , ça marche aussi 😉 ). La précision de ce miroir est suffisante pour le test (d'autres miroirs plus précis ont donné le même résultat) serrage de la bague d'auto-centrage sans précaution particulière sur la photo ci-dessous, un premier contrôle et tout semble Ok (le faisceau entrant ressort par le même endroit et forme une petite couronne de lumière) Ci-dessous, avec une barlow APM X1,5 : décalage ! (sans toucher au serrage de la bague) , le chemin optique est un peu plus long cette fois...et on constate qu'il y a un problème Ci-dessous, avec barlow APM X 1,5 mais en faisant le serrage pas à pas , et en prenant soin d'aligner le faisceau laser au centre (serrage et maintien du laser de la bague en même temps, y aller progressivement jusqu'au serrage complet en ajustant aussi le laser maintenu , faut tâtonner ...) Le terme "calibrer" est un peu surfait, disons "réglage fin du serrage" de bague avec tout le train optique amont (vers le tube) Ensuite, on peut installer le tout sur le télescope et procéder à la collimation du Newton (je travaille à F/D 3 et F/D 6 sur le même Newton . La même opération sera a réaliser avec correcteur, probablement. Plus sensible avec une barlow qui rallonge la focale, l'APM corrige aussi l'effet coma) Deux bagues (Baader et Kepler) ont répondu de la même façon : l'auto-centrage n'est pas à 100% . On peut ainsi le vérifier sur un miroir plan , dégagé des contraintes (et ça ne se voit pas autrement si on passe à la collimation directement). Est-ce du à la précision des bagues , celles des lentilles traversées, un laser déréglé ? (je pencherais plutôt pour les bagues d'auto-centrage qui n'atteignent pas cette précision mécanique) : avec ce réglage, on élimine tout le défaut quoiqu'il en soit et d'où qu'il vienne. Pour la collimation : je la réalise avec correcteur (ou barlow) déjà inséré dans le PO (pour éviter les erreurs de centrage du train optique lui même, ou en tenir compte dès la collimation) Voilà, un peu d'astronomie de salle de bain de camping (miroir plan 😅) en attendant un peu de beau temps , bon ciel !3 points
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bonjour à tous, En ce 30 Mars, un horizon ouest totalement dégagé en Beauce, et sans lune. L'occasion de retenter d'imager cette jolie comète avec mon 1100D et son tamron 70-300mm. Elle est tout de même bien basse maintenant et j'ai pas mal galéré pour arriver à la mettre sur le capteur de l'appareil, même si elle était proche de Alpha du Bélier ! Donc 1100D avec zoom tamron 70-300mm @ 270mm à f/6.3 sur skymemo S 23 poses de 30s et 19 poses de 60s à 800iso entre 20h50 et 21h30 HL traitements des CR2 avec Siril et photoshop réduite à 50% toujours autant de mal de réunir une image alignée sur la comète à celle alignée sur les étoiles ... a+ stéphane2 points
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Le CO² et le réchauffement climatique : une des plus grande arnaque des lobbys pour nous taxer davantage😂😂😂😂2 points
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Bonjour, Les satellites GPS nous permettent d'une part avoir une source temps (temps GPS, et en ajoutant les secondes intercalaires le temps UTC) , d'autre part de calculer notre position (en sa basant sur le temps de parcours de l'information entre les satellites et nous) Pour ce qui est de la source de temps, il en existe d'autres que les satellites GPS, comme notamment les serveurs NTP (eux même alimentés par des références d'horloges atomiques, mais pas celles dans les satellites GPS) , donc en cela le GPS n'est pas une grosse dépendance pour l'accès à la mesure du temps Pour ce qui est du calcul de notre position, effectivement il y a des usages multiples et la disponibilité du GPS est jugée pour certains usages comme non fiable: - en cas de guerre un ennemi peut détruire ces satellites. Une IEM est possible, mais l'attaquant risque d'y perdre aussi ses propres satellites, par contre on peut aussi les détruites avec des missiles plus conventionnels (certains pays ont déjà testé avec succès, causant la multiplication des débris spaciaux) https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/destruction-dun-satellite-par-linde-un-acte-strategique-aux-consequences-imprevisibles-1004218#:~:text=L'Inde est devenue mercredi,évoluant autour de la Terre.&text=C'est une affirmation de,résonne dans le monde entier. - mais en cas de guerre, le fournisseur du service GPS (l'armée US initialement) peut decider de couper la partie "publique" (une partie des infos sont non cryptée et publique permettant une precision "moyenne", l'autre partie permettant une precision plus important est cryptée). Initialement le GPS n'était utilisables que par l'armée US et autres services gouvernementaux US. Il me semble que c'est depuis la présidence de Bill Clinton que l'usage civil a été ouvert, mais l'armée US se garde le droit d'en couper l'accès en cas de besoin Cela a poussé d'autre pays (y compris "alliés" des US) de chercher à ne plus dépendre du GPS américain: Glonass pour la Russie, Galileo pour l'Europe, Beidou pour la Chine, IRNSS pour l'Inde) Pour certains cas d'usages l'accès au GPS n'est pas possible ou jugé non fiable pour determiner sa position exacte. Par exemple, pour les sous-marins, on peut capter le GPS en surface pour faire un point sur sa position, mais en navigation sous marine, pas de GPS, il faut utiliser des centrales inertielles (il y en a plusieurs et depuis longtemps dans chaque sous marins) Pour l'aviation commerciale civile, les avions de ligne sont dotés de 3 centrales inertielles (3 car en cas de panne et d'indication contraires, cela permet d'avoir un vote majoritaire à 2 contre 1), pour ne pas avoir a dépendre du GPS https://fr.wikipedia.org/wiki/Centrale_à_inertie Donc oui, le GPS est un outil pratique, mais soit rassuré, il n'est pas indispensable pour avoir accès à une source de temps fiable. Cordialement, Stéphane2 points
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Bonjour à tous, Avec un peu de retard, voici le retour du séjour que j’ai eu la chance de faire début février avec mon club astro le GAAC (62). Pour ceux que cela intéresserait, une revue trimestrielle réalisée par le club est consultable ici : https://www.astrogaac.fr/productions/le-journal/les-numeros-61-a-70 C’est un numéro spécial « aurores » avec notamment un article sur le matériel vestimentaire/photo à prévoir pour ce type de voyage. Nous avons passé l’essentiel du séjour à Abisko, une petite localité de 85 habitants au nord de la Suède et proche de la frontière norvégienne. Abisko est situé dans un parc national. Nous logeons un peu en dehors dans un complexe proposant un restaurant, des chambres d’hôtels et chalets individuels. Les chalets que nous avons réservé sont situés dans un cadre magnifique: Ils surplombent une forêt de boulots enneigés qui donne un peu plus loin sur les rives du Tornetrask, un immense lac gelé l’hiver, recouvert de neige et entouré de montagnes aux sommets arrondis. Mais passons à ce qui nous intéresse : les aurores ! Nous arrivons en début de séjour sous la grisaille et les chutes de neige avec une température assez douce pour la période (-6°). Durant le séjour, nous allons vite nous rendre compte que nous ne pouvons pas nous fier aux sites de prévisions météos et même aux sites de prévisions aurorales. Par chance, Abisko est équipée d’une webcam extérieure permettant la surveillance du ciel bien au chaud. Nous décidons de veiller à tour de rôle chaque nuit. 1ère nuit: Le ciel se dégage vers 1h du matin et la webcam montre dquelques lueurs verdâtre. Nous nous habillons et décidons de sortir. Nous décidons de descendre en bordure du lac et de réaliser quelques clichés dessus. Les aurores sont bien là (ou plutôt une arche aurorale de faible intensité). C'es ma première fois et j'en profite pour immortaliser la scène. Il y a pas mal de passages nuageux. Le ciel se couvrira définitivement vers 4h du matin nous obligeant à rentrer. 2ème nuit: le ciel, encore couvert à 21h, se dégage progressivement vers 23h. Nous nous préparons et à peine sortis du chalet, nous apercevons un immense filament auroral vertical (et ce malgré les lumières des chalets environnants!). Nous descendons rapidement dans la forêt vers des spots que nous avons repéré dans la journée: A peine arrivé c'est l'explosion durant 15 min environs! du vert, du rouge dans le ciel. Quelle montée d'adrénaline! des cris, des jurons fusent parmi nous! un véritable feu d'artifice. Il y en a partout et on en oublie de déclencher les appareils pour profiter du moment magique. C'est si intense que le paysage et la neige se couvrent de vert! Puis, le phénomène se calme mais il y aura encore des apparitions de plus faible intensité durant toute la nuit: 3ème nuit: Le ciel a été couvert une partie de la journée et comme la nuit précédente, il se dégage en début de soirée. L'aurore ne démarre jamais vraiment; rien à voir avec ce que nous avons vu la veille. Mais l'arche aurorale permet de faire des compositions sympas avec notamment de la glace qui prend la couleur de l'aurore! 4ème nuit: Sortie vers 22h avec des voiles assez présents; on retrouve un peu la touche "akira fujii" sur nos photos. Nous observons des piliers de lumière qui sont formés des lumière d'Abisko ou de véhicules passant sur la route. Ce phénomène est dû à des cristaux de glace en suspension dans l'air: 5ème nuit: Nous décidons de prendre la voiture et de faire 15 min de route plus au nord. Nous avons vu un spot sur le lac gelé qui devrait être bien sympa et nous changer de nos spots habituels. Le thermomètre de la voiture annonce -25°. On ne sera pas aussi bien protégé que dans la forêt du vent donc cela devrait piquer! (c'est notre sortie la plus fraiche avec un ressenti de -32°!) Une arche aurorale est bien présente et s'active de temps en temps; c'est superbe! 6ème et dernière nuit: Une arche aurorale est bien présente en début de soirée mais plus brillante et remuante que la veille! A l'extrémité de l'arche, il se passe des choses bien visibles à l'œil nu, avec des volutes qui grimpent jusqu'à 40° de hauteur. Le rouge est bien présent comme lors de la 2ème nuit. La nature nous gâte pour notre dernière nuit sur place: Toutes les images d'aurores ont été réalisées avec un canon 6d astrodon/objectif tt artisan 11 mm à fd2.8/objectif sigma art 20 mm à fd 1.4 sur trépied Vanguard. Malgré une activité calme du soleil durant le mois de février, nous avons eu à chaque sortie un phénomène à observer et la météo nous a été plutôt favorable! De superbes souvenirs et l'envie de repartir avant que l'activité solaire ne baisse. désolé pour ce post assez long, bon ciel à tous1 point
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Bonjour à toutes et à tous. Comme vous le savez, un forum n'est pas qu'un simple site. Des frais de services sont imputés comme le nom de domaine, les frais d'hébergement, etc.... Pour palier à ces frais, nous venons de conclure un marché avec les opérateurs de téléphonie et les fournisseurs d'accès à Internet (FAI). Ce marché est simple et comporte deux points importants : tout membre inscrit sur WA se verra prélever sur sa facture internet ou mobile le montant de 0.01 euro (1 centime) par connexion et autant par message posté tout membre inscrit mais qui ne participe pas au forum se verra facturer également un montant 0.01 euro (1 centime) par semaine sans poster de message Ce sont des petits montants qui vous seront indolores. Toutefois, pour Webastro qui comporte plusieurs milliers de membres, ces petits montants couvriront largement nos frais. Cette fonction prend effet à compter de ce jour et pour une durée test de trois mois. Merci pour votre compréhension.1 point
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Quelle que soit la marque, la puissance est exactement la même : 2 Ouattes ! C'est même tellement précis que le BIPM a envisagé de choisir le demi-coton-tige comme étalon pour l'unité de puissance 😁1 point
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Saches que comme tu vas bientôt devenir "Chef de Webastro," tu percevras 10% des sommes perçues par le site. Souhaites-tu changer d'avis ?1 point
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Omega Centauri, ou NGC 5139, est à environ 15 700 années-lumière du système solaire et, avec un diamètre d'environ 253 a.l., c'est le plus vaste amas globulaire connu dans la Voie lactée. On estime qu'il contient environ 10 millions d'étoiles et que sa masse est équivalente à 4 millions de masses solaires, ce qui en fait l'amas globulaire connu le plus massif de la Voie lactée. De tous les amas globulaires du Groupe local de galaxies, seul Mayall II de la galaxie d'Andromède est plus lumineux et plus massif. A peine 1h20 de temps d’intégration, en LRVB (40 x 120s), avec une lunette de 71mm depuis l’observatoire SADR au Chili. (remote) Bon ciel à tous!1 point
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Ce qui serait bien aussi : une amende de 1 € par faute d'orthographe grossière. Je suis sûr qu'il y aura brutalement beaucoup moins de fautes dans les titres et messages...1 point
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Hummmm ! Que faites vous alors du premier principe en mécanique quantique, celui de superposition qui veut entre autre que la lumière soit à la fois ondulatoire et corpusculaire, et donc à la fois photon et électron ? Si cette particule hypothétique, hadron ou lepton a la plus infime probabilité d'exister physiquement, nous en aurions déjà les précurseurs sur le plan théorique depuis bien longtemps. Ce n'est pas une particule, mais prenez l'exemple des ondes gravitationnelles, elles ont été mises en évidences expérimentalement en 2016 soit très exactement 100 ans après la prédiction de leur existence apparue dans les modèles mathématiques du grand Albert. Imaginez alors, si la communauté scientifique qui bute sur tant de problèmes théoriques liés au modèle standard, introduisait une valeur supra-luminique, ce qu'il adviendrait ? Imaginez le champ des possibles ? Mais voilà quoi que vous fassiez des modèles, la valeur "c" est inatteignable par une particule massive dans notre Univers observable, rappelons-nous "c" est une constante explicite. La théorie de l'intrication quantique ne remet pas en cause la valeur de c et n'ouvre pas de débat quant à la surpasser. Ce qui est remis en cause par les inégalités de Bell est le principe de localité défendu par Einstein. Mais même Bell trouve des limites dans ses propres réflexions qui appartiennent encore pour partie à la réflexion philosophique. Quant à l'introduction de la matière noire et de l'énergie sombre, c'est juste une commodité invérifiée expérimentalement pour porter le modèle standard. D'aucun pourrait croire alors que le modèle standard est obsolète. Pourtant non tant les prédictions de ce modèle sont stupéfiantes de justesse une fois passées au crible de l'expérimentation. Cette remarque est intéressante. Mais avant d'aller plus loin dans cette voie, je vous invite à regarder ce que de manière générale ces sub-particules ont comme espérance de vie d'une part, et comment leur existence théorique nous ramène chaque fois au premier principe quantique. Ajoutez à cela le principe d'incertitude d'Heinsenberg, vous comprendrez alors que même si par une inadvertance extraordinaire, une particule devenait supra-luminique ( comment, je n'en ai pas la plus petite idée), il ne serait tout simplement pas possible de l'observer. C'est une singularité aussi infranchissable que l'est le mur de Planck à la naissance de l'Univers. Bonsoir @Bill24, Concernant les galaxies, certes elles s'éloignent les unes des autres dû à leur vitesse propre (à l'exception de certaines galaxies dans un même groupe local, comme notre Galaxie et Andromède qui sont maintenant sur le chemin de collision et déjà en interaction). Mais ce qui fait que leur distance 'éloignement s'accroit de plus de 299 792 458 m à chaque seconde n'est en aucun cas lié à un déplacement mais au fait que l'Univers est en expansion. Pour faire simple, il gonfle comme un ballon de baudruche. Aussi je trouve qu'il est injuste de dire que les galaxies les plus éloignées s'écartent de nous à une vitesse supra-luminique. La distance s'accroit non par le mouvement (donc il n'y a plus de notion de vitesse) mais par la dilatation du référentiel. Concernant l'effet Vavilov-Tcherenkov, vous avez raison de dire que des particules vont plus vite que la lumière. Il ne faut cependant pas perdre de vue que cet effet ne peut avoir lieu dans le vide mais dans un milieu diélectrique où la lumière se propage bien plus lentement que dans le vide. Cc'est le cas par exemple dans la piscine de refroidissement des grappes dans une tranche nucléaire. Dans cette eau la lumière se propage à environ 200 000 km/s, certaines particules vont plus vite MAIS tout en demeurant à une vitesse inférieure à "c". Ney1 point
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bonsoir @JemisM, Bienvenue sur WebAstro. pensez à peut-être écrire une présentation, c'est une démarche fort appréciée ici. Vous dites : Et je puis vous assurez que pour encore un temps assez long, nous allons continuer de l'affirmer, tant le modèle théorique qui le prédit et en conséquences la quirielle d'expérimentations qui ont cherché soit à le prouver, soit à le contredire ont invariablement conduit à le confirmer sans plus aucun doute possible dans notre modèle de physique. Quid alors quand arrivera un autre modèle de physique, ce qui est inéluctable et qui plus est fortement souhaité par la communauté scientifique ? Il y a de très fortes probabilités que la vitesse de la lumière demeure encore et toujours la constante que nous connaissons aujourd'hui. A cela il y a une raison forte : quelque soit le référentiel inertiel dans lequel l'expérimentation cherche à mesurer la vitesse de la lumière, le résultat obtenu est toujours le même : 299 792 458 m/s. Cette vitesse est ainsi démontrée comme totalement indépendante, à la fois de la vitesse de la source et du référentiel inertiel de l'observateur. Nous sommes alors fondés à admettre sans plus aucune suspicion que la vitesse de la lumière est à la fois un invariant et surtout une constante explicite de notre modèle fondamental de physique. La question que vous vous posez a des réponses sur des centaines de milliers de pages de publication que plus personne n'a les moyens mathématiques de remettre en cause, même les théories les plus farfelues, admettent c comme une constante définitivement acquise dans notre physique et notre Univers observable. Elle ne peut pas être dépassée tout court pour une raison assez simple une fois admisses toutes les raisons hyper-complexes qui précèdent. Seule une énergie de valeur infinie pourrait permettre à une particule de masse positive, (le seul modèle de masse connu et démontré à ce jour) de dépasser la vitesse de la lumière, et une énergie de valeur infinie par définition basique de notre physique n'existe pas et ne peut mathématiquement, et par voie de conséquence physiquement, exister. La supputation la plus récente nous la devons à Benoit GUAY( le physicien, pas le policier) sans grande conviction. Pour conclure nous pouvons admettre que la vitesse de la lumière est une constante solide et aussi inviolable que d'admettre que l'eau entre 0 et 100 °C à pression normale est ... mouillée. Ney1 point
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Bonjour @astronomie_1009 A la lecture des échanges un doute me titille... Tu as bien compris que l'on parle ici du temps de pose "total" et pas du temps de pose unitaire des photos ? Vu que ton telescope semble disposer d'une monture azimutale motorisée, la photo est possible mais il y aura de la rotation de champ, donc il faudra des poses unitaires pas trop longues (par exemple 30 secondes, en limitant le temps de pose unitaire cela va éviter la deformation des étoiles due à la rotation de champ). Et il faudra faire plusieurs photos (par exemple 120 pour "cumuler" 1 heure de pose, avec des poses unitaires de 30 secondes), il y aura une petite rotation qui ira croissante au fur et a mesure des photos, mais les logiciels de traitement effectuerons la rotation nécessaire lors de la procédure d'alignement de photos, quite à recadrer le résultat pour couper les bords (par exemple en les traitant avec Siril) note: un telescope "pas très ouvert" plus une monture azimutale, ce n'est pas le plus pratique pour faire de la photo, surtout sur des objets peu lumineux, mais il faut essayer 🙂1 point
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n'empêche (activité du 1 avril), c'est quand même la Hchouma en 2024 de devoir aller -faire un footing -son ménage en retard de 3 mois -déclarer ses impôts -regarder NRJ12 "spécial année 97" -faire son rougail saucisse En attendant que.... ça charge. (bon, on est pas obligé de tout faire en même temps, sauf si on s'appelle Chuck)0 point
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En mai 2023, lors des Nuits Astronomiques de Touraine, grâce à une météo favorable, j’ai pu pointer quelques objets célestes. Avec le setup grand champ, j’ai pointé une nébuleuse vers la constellation de Céphée. NGC 7822 est une grande nébuleuse en émission située au nord de Céphée. C'est en fait la nébuleuse en émission la plus septentrionale du ciel. Pour être précis, NGC 7822 est la désignation de la nébuleuse rouge ondulée à gauche, alors que la zone de nébulosité la plus brillante à gauche en dessous du centre de l’image s'appelle en fait Cederblad 214. Une autre désignation pour l'ensemble du complexe est Sharpless 171. Le joli petit amas constitué de quelques étoiles juste à gauche du centre s'appelle Berkley 59. Un autre amas situé en haut de NGC 7822, à côté d’une brillante étoile, est cataloguée NGC 7762. Il s’agit d’une grande région HII typique de la Voie lactée avec une structure tridimensionnelle complexe. Elle a un rayon de 150 années-lumière. L’ensemble se trouve à environ 3.000 années-lumière. Ses composants les plus jeunes n’ont pas plus de quelques millions d’années. De nombreuses nébuleuses sombres peuvent également être vues dans cette zone, la plupart superposées au sommet de la nébuleuse. La nébuleuse abrite également l'une des étoiles les plus chaudes à proximité de notre planète. C’est un système binaire incluant une étoile de type spectral O5V d'une température de surface d'environ 45.000°C et d'une luminosité d'environ 100.000 fois celles de notre Soleil. Dans son ensemble, cette nébuleuse me fait penser au casque de Dark Vador, le grand méchant de la saga Star Wars. A droite, la nébuleuse ; bien ronde et bien rouge, est cataloguée comme SH 2-170 et porte le nom populaire de « la nébuleuse de la Petite Rosette ». Photos prises le 17 mai 2023 à Tauxigny (37) – Canon 40D défiltré avec objectif 70-300, focale à 214 mm, ouvert à f/5.0, sur monture StarAdventurer motorisée (sans autoguidage ni goto). 181 poses de 115 s – ISO 1600 – 25 DOF – Traitement Siril (cliquez sur l’image pour voir la full)0 point
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Oui tout à fait. Je propose d'ailleurs que WA sanctionne CHAQUE contributeur de posts dépensant les 5000 pages, à 1 cent/message.0 point
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Si il existe un AG MYTHIQUE, c'est bien celui ci. vais prendre ma retraite si j'en ai une un jour au Chili moi... a+ Serge oui, moi idem...🫣 mais avec la dérive des continents si on attend assez longtemps? Mais suis-je bête, tu sera déjà sous le niveau de la mer, là ou tu habites... a+ Serge0 point
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Et une contribution supplémentaire pour chaque louange à SpaceX/Musk/Tesla/Starlink/Cybertruck ? x10 lorsqu'accompagnée d'Ariane bashing.0 point
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Hello @ZFRAlexis et bravo pour cette première. Voici un traitement réalisé à partir de ton image brute. Voilà quelques-unes des opérations que j'ai réalisé: Correction du vignetage Calibration des couleurs par photométrie et surtout un traitement sur le bruit indispensable avec une image unitaire comme celle là Dans l'ensemble cela m'a permis de tirer un peu plus sur les curseurs par rapport à ta version et donc de mieux révéler la nébuleuse. Pour améliorer tes photos, comme le dit @Celebrinnar, il va falloir multiplier les poses pour les empiler et apprendre à calibrer tes images (avec des darks, des bias et des flats). Nico0 point
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Et on est remboursé 1 cent/seconde d'attente de chargement des pages ?🙂0 point
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Si on écrit tout le temps en minuscule on a droit à une réduction ? Car ça prend moins de place sur les messages...0 point
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Je ne dirais qu'une chose : il était temps. Et je pense même que ça devrait être rétroactif ...0 point
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Faire de l astrophoto avec ce type de monture c est très délicat, pas impossible mais compliqué. Il va te falloir une excellente mise en station , un équilibrage parfait , un trépied très bien positionné , des temps de poses courts , trente secondes me paraissent le maxi et tu auras du déchets sûrement à minima de 30 pour cent même avec ce que je t indique. Une alimentation 12v est plus que conseillé pour éviter un mauvais suivi. Je me rappelle avoir dans le temps avoir aidé un astram sur cette monture avec un 150/1200 et j avais beaucoup transpiré alors un débutant ....quand je lis sur les publicités des vendeurs ( pas tous ) qu on peut faire de l astrophoto avec ce type de matériels autant dire qu on peut faire les 24 h du mans avec une simca1000, c est possible mais on arrivera pas avec les autres. Tu déclenches tes pauses avec une télécommandes ?0 point
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A mon avis ne cherche pas plus loin: pour ta monture, si tu veux faire de la photo, investi dans une alimentation fiable. Des piles pour alimenter une monture ça peut passer pour faire un suivi en "visuel", pour mettre l'œil à l'oculaire. Mais pas pour de la photo, qui demande une précision sans faille et durable dans le temps0 point
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C'est exactement ce que je me dis également... Un troisième membre de mon club est en train de s'en acheter un... Je me vois bien lancer une acquisition en début de soirée d'observation histoire d'avoir un petit souvenir, montrer aux proches non astro... sans le côté contraignant de la "vraie" astrophoto. Aïe aïe aïe ça fait envie...0 point
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Yes ; ça et l'absence même de réactions sur ce fil. Si ça devenait nécessaire, je pense que j'adhèrerais ; depuis le temps que je bénéficie des services aimables en tous genres rendus par cette communauté. 10 ans de présence en tant qu'inscrit, et lecteur passif depuis 20 ans.0 point
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Pisser dans un violon ? Et merci pour le lapin, je trouvais pas0 point
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Poser un lapin Pour ma part, c'est le premier qui me pose problème... j'ai bien une idée mais je ne suis pas sûre.0 point
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Oui pollution lumineuse très importante de chez moi( éclairage de terrain de foot)0 point
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Bonjour, Je ne sais guère où il aurait mieux valu que je poste ce sujet: dans le Matériel Général, les Tests, le Support Débutant... Ni si c'est d'avantage un compte rendu qu'une réflexion ou un simple billet d'humeur. Toujours est-il que c'est bien d'une observation récente que m'est venue l'idée d'enfoncer une porte ouverte: il faut absolument réhabiliter la vulgaire lunette achromatique 70/700 de débutant ! Avant le CROA à proprement parler, quelques éléments de contexte si vous le voulez bien. Ma lunette 70/700, une Bresser Skylux de 2e génération a rejoint le coffre de ma voiture il y a un peu moins de quinze ans lors d'une transaction menée pour une bouchée de pain sur une sortie d'autoroute. Parce qu'elle m'a toujours fidèlement suivi depuis, et même permis de ne jamais renoncer à l'observation visuelle à certains moments, j'y suis demeuré attaché. Malgré la concurrence d'instruments bien plus chers qui se sont succédé elle est restée spéciale, peut-être justement parce qu'elle ne s'est jamais prise pour un des ces instruments rutilants, mais en dépit de ça a toujours délivré des images bien au-delà de mes attentes. Comment lui trouver une place encore utile, et pas seulement affective, parmi un ensemble d'instruments chacun dix à trente fois plus cher? Ces dernières années elle a été la favorite des observations partagées car je ne crains de l'emmener nulle part, ni de la laisser entre les mains de néophytes car justement, elle ne ''vaut rien''. Et elle a dessiné une émotion sur les visages de beaucoup d'enfants et autant d'adultes. Dans ma propre pratique j'ai besoin de disposer d'un instrument rapide à mettre en œuvre, le fameux ''grab and go''. À ce rôle se sont succédé plusieurs instruments compacts, 80f11, 80ed, 72ed, Mak102... mais actuellement j'en pince à nouveau pour ma modeste 70/700. Et je me demande si ce nouvel engouement irrationnel ne méritait pas d'être partagé pour, si ce n'est tenter de le rendre rationnel, au moins redorer un peu le blason d'un instrument considéré comme la base de la chaîne alimentaire, qu'une armée de Dobson 200 avalent allègrement. Ce que la vénérable 60/900 fut à son époque me semble très éloigné de ce qu'est devenue sa version moderne. L'instrument classique de débutant ayant plongé dans un océan d'étoiles et de rêverie plusieurs générations d'astronomes amateurs, inspirant un ouvrage majeur de l'observation -J'observe le ciel avec une lunette de 60mm- a vu lui succéder un instrument qui en lieu et place est devenu presque indésirable: pas assez d'ouverture, pas assez stable, pas assez cher. Mais que s'est il passé? Le CROA, donc, j'y viens. Puisqu'elle est restée montée depuis le réveillon je n'ai eu aucun mal à la jeter dehors d'une seule main. Sans attente particulière, juste l'envie de jeter un coup d'œil, je pointais Jupiter. Les deux bandes visibles à 35x me rappelaient le nombre de sujets sur ce forum où de grands débutants se trouvaient perplexes de ne voir aucun détail dans leur Dobson 200. Poussant à 87.5x un spot sombre à la surface attirait immédiatement mon regard à l'Est du disque Jovien. À 104x il ne faisait aucun doute que c'était l'ombre projetée d'une lune de Jupiter, tandis que la Bande équatoriale nord s'épaississait et devenait tortueuse, et qu'une large irrégularité se demarquait de la bande Sud. Lançant Stellarium sur mon smartphone pour confirmation jeconstatais c'était bien l'ombre de Io et que la Grande Tâche rouge était exactement là où il fallait. Poussant déraisonnablement à 140x malgré une turbulence sensible, l'image toujours lisible bien que manquant de contraste ne laissait aucun doute sur la nature de la scène. Les nuages envahirent le ciel bien avant que le Mak 102 que je venais de sortir pour ce spectacle inattendu n'atteigne sa température de croisière, aussi je rentrais ma 70/700 d'une main aussi vite qu'elle fut sortie. Ce qui m'inspira ce billet. Qu'un instrument si modeste, si léger, si rapide et simple à mettre en œuvre puisse montrer immédiatement des détails satisfaisant de surfaces planétaires. Nonobstant qu'il puisse par ailleurs montrer l'intégralité du Messier et du Herschel 400. Alors certes, vous me direz qu'il y avait derrière un train optique de meilleure qualité (RC à prisme WO, ES 6.7 82...) et dessous une monture de meilleure qualité (Berlebach Report, SW Pronto) que les offres de base. Et je vous laisserai juger si mon expérience de l'observation fait aussi une différence.... Du reste: cette image qui s'est formée au foyer c'est bien ce modeste doublet achromatique de 70mm (67mm d'ailleurs) qui l'a créé. Et pour ça je suis convaincu qu'il faut absolument réhabiliter ces petites lunettes d'initiation. Bon ciel à toutes et tous!0 point
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