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  1. laup1234

    laup1234

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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 07/16/25 dans toutes les zones

  1. IC5146 est une nébuleuse en émission et une amas ouverte située à environ 4 000 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne. C'est une très belle pouponnière d'étoiles. Cette zone du ciel a vraiment quelque chose de magique. 285 poses de 180s avec un filtre optolong L PRO 142 poses de 180s avec un filtre IDAS NBZ TS UNC 150/750 ASI 2600duo monture ZWO AM5 asiair plus Siril,Pixinsight,Photoshop Bortle 6 https://app.astrobin.com/u/laup1234?i=9eno6q#gallery
    7 points
  2. Hello, une session en HO sur la nébuleuse de la bulle. H: 24x240s => 1h36 O: 24x240s => 1h36 Caméra MinicAM8M avec mode HDR activé Le temps semble dégagé, je referai une session la nuit prochaine Traitement Pixinsight : StarAlignement, Graxpert gradient Blurx, Graxpert denoise, Stretch, HOO avec pixelmath, LrgbCombination avec L=H, starXterminator, curves après une autre session et donc en cumulant H: 49x240s => 3h16' O: 48x240s => 3h12' Même traitement que précédemment excepté, les étoiles que j'ai extraites sur les couches Ha et OIII pour les combiner avec NBtoRGB stars (recommandation de @180Vision)
    4 points
  3. bonjour a tous, deuxième session avec la 228mm, il me reste encore des petits réglages pour peaufiner les images (entre autre les anneaux de newton). la turbulence etait assez forte j'ai profité d'une courte accalmie sur AR4143 setup Achromat 228MM F8 ERF tri band 120mm double stack quark + PST Apollo 428m BIN2
    4 points
  4. Bonjour, pour tromper un peu le coup d'épée dans l'eau de ces semaines d'affilée de ciel clair survenant juste lors des crépuscules trop longs pour le ciel profond, voici un petit dessin réalisé à la lunette FC-100 DF. Il s'agit du superbe duo de cratères Hercules et Atlas, le 01 juillet dernier lors d'une lune de 7 jours. Transparence très bonne, assez faible turbulence. Comme à mon habitude, l'esquisse générale a été rapidement réalisée à 53 X, puis complétée à 92 X pour prendre en compte les gros détails et nuances. Enfin, un travail de fignolage a été traité à 123 X. Le gain est alors conséquent par rapport aux grossissements précédents, d'autant que la nuit plus avancée augmente la luminosité apparente de notre satellite et fait ressortir d'autant les contrastes. Hélas la lunaison de 7 j est déjà un peu avancée pour bien mettre en évidence les drapés et irrégularités près des cratères, plus apparents en lumière rasante. En revanche, cela permet de bien déboucher l'intérieur des cratères, qui auraient peut-être montré plus de détails en poussant davantage. Mais l'exercice lunaire est exigeant en concentration, et plus de persévérance aurait peut-être été contre-productive ce soir-là ... Bon ciel à vous, en attendant enfin de pied ferme des soirs transparents ET des conditions propices au ciel profond !
    3 points
  5. Hello, voilà que le ciel bleu profond aujourd'hui s'impose une fois de plus, au-dessus des collines non plus jaunes mais bientôt bistres à force d'être grillées et sans eau ... Comme de bien entendu Murphy devrait encore être en forme ce soir, les sites météo annonçant juste un passage nuageux à l'heure de sortir le 300 !! J''ai pris les devants et sorti un bon moment la FC-100 en solaire, avec l'hélioscope. C'est tout frais, brut d'oculaire, à peine retouché (pas assez) pour pouvoir poster dès maintenant, du producteur au consommateur si j'ose dire. Transparence donc au top, mais vent moyen à assez fort en rafales depuis ce matin (faut bien que ça sèche encore un peu la nature qui ne le serait pas tout-à-fait ...), pour autant turbulence assez faible dans les trous peu fréquents (images alors quasi photographiques), mais vibrations gênantes du tube soumis au vent la plupart du temps. Je me suis donc contenté du Delos 8 mm, soit 92 X, quasi tout le dessin. Le 6 mm (123 X) montrait certes plus de définitions et de formes précisées dans les tâches mais l'usage était un peu pénible en raison des vibrations accrues. N'ayant jamais trop tenté ce gros soleil de juillet (hélioscope acquis cette fin d'hiver) j'ai eu tendance à sortir le soleil du champ les moments où je couchais sur la feuille les sujets. Effectivement, il m'a semblé que la zone à l'arrière de l'hélioscope chauffait plus et plus rapidement que ce printemps ...?? Soit, voici donc la principale formation solaire de ce jour, j'ai essayé de ratisser large plutôt que grossir à fond sur une zone, vues les vibrations évoquées. Le dessin doit donc à mon sens être regardé de la sorte, dans son ensemble, et non zoomer sur tel détail qui serait incomplet ou pas totalement précis. A noter ce superbe V inversé dominant une belle tâche à deux "noyaux", elle-même "au-dessus" de la formation la plus complexe. Cette dernière présente moult détails et minuscules tâchelettes, une belle structure radiale de pénombre dans les trous de turbu, ainsi que quelques faibles extensions radiales. La zone sombre centrale est hirsute à souhait, avec quelques pics bien présents et une limite parfois complexe. Toujours dans les trous de turbu, on note un peu de granulation ainsi que de très pâles zones grises et les fameuses zones blanches tout autour, quasi impossibles à rendre ce jour. Bon ciel !
    2 points
  6. Hello, Encore un classique de l'été, avec l'Iris, toujours magique avec une énorme dynamique à dompter: des nuages sombres et un coeur très lumineux. NGC 7023, aussi appelée la nébuleuse de l'Iris ou encore Caldwell 4, est une nébuleuse par réflexion renfermant l'amas ouvert OCL 235 située dans la constellation de Céphée. Cette nébuleuse a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1794. L'étoile qui illumine la nébuleuse de l'Iris est HD 200775, une étoile Herbig-Haro de type spectral BE. La parallaxe de cette étoile mesurée par le satellite Gaia est égale à 2,8175 ± 0,0374 ce qui correspond à une distance de 1 610 al. Lunette Skywatcher 80ED (80/600) + réducteur 0.6x @ 360mm Caméra planétaire Player One Artemis-c imx294 + filtre Optolong L-Quad Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 81 x 120s Gain 120 offset 30 T° -10°C Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 120s:
    2 points
  7. UPS a fini par trouver mon domicile et me livrer la lunette : Reçue aujourd'hui, la qualité perçue est sans surprise très bonne. je viens de la monter sur l'EQ5 et de faire l'équilibrage : elle est étonnamment légère pour son gabarit, ça surprend. Quelques petites différences par rapport à ma 80 APO de la même marque : le revêtement blanc est mat contrairement à la 80APO où il est bien brillant et légèrement nacré. Le pare-buée n'a pas de vis de verrouillage, il coulisse de manière ferme et ça a l'air bien suffisant. Le focuseur est à crémaillère là où c'est un système crayford sur la 80. J'attends que la nuit se fasse et je vais aller tâter rapidement quelques étoiles doubles classiques. Demain matin si j'ai le temps au réveil j'irai voir la Lune. Pour info, la taille comparée à la 80 f6 (pares-buée sortis)... Ça fait vraiment longue lunette 😄
    2 points
  8. Nouvelle image de notre aventure en remote avec @valdetahiti (lien vers son traitement en bas de post), en vrai la 2ème à avoir été shootée. Mais comme certaines brutes étaient impactées par des reflets, il a fallu trouver des solutions de traitement, et y être particulièrement attentif. Je pense que cette image plaira à @sebseacteam, qui ne se cache pas pour placer la cible dans son top 3 des galaxies Messier 106, galaxie dans les Chiens de Chasse Découverte en 1781 par l'astronome français Pierre Méchain, collaborateur de Charles Messier, M106 est une majestueuse galaxie spirale située à environ 23,5 millions d'années-lumière de la Terre, dans la constellation des Chiens de Chasse. D'un diamètre d'environ 130 000 années-lumière, sa taille est comparable à celle de notre propre galaxie, la Voie Lactée. C'est l'un des objets les plus brillants et les plus vastes du catalogue Messier, ce qui en fait une cible de choix pour les astronomes amateurs et professionnels. Ce qui rend M106 particulièrement fascinante, c'est son noyau galactique actif, qui la classe parmi les galaxies de Seyfert de type 2. Ce noyau abrite un trou noir supermassif dont la masse est estimée à environ 40 millions de fois celle du Soleil. Ce dernier est à l'origine de jets de matière et d'énergie qui sculptent des bras spiraux anormaux, visibles en rayons X et en ondes radio, en plus des deux bras spiraux classiques. M106 est également célèbre pour son mégamaser à vapeur d'eau. Les émissions maser de l'eau en orbite autour du trou noir ont permis aux astronomes de mesurer avec une précision inégalée la distance qui nous sépare de la galaxie, et par la suite d'affiner l'échelle des distances dans l'Univers. Enfin, au moins deux supernovas y ont été observées : SN 1981K et SN 2014bc. Classifiée comme une galaxie spirale de type Sb, NGC 4217, qui apparaît à gauche de M106 dans cette image, est un membre physique du groupe de M106, avec laquelle elle est probablement en interaction gravitationnelle. Son observation par la tranche (inclinaison de près de 90°) est d'un grand intérêt pour l'étude de la structure verticale des galaxies. Des observations radio approfondies, notamment avec le VLA (Very Large Array) et LOFAR, ont révélé des caractéristiques magnétiques et gazeuses complexes s'étendant bien au-delà de son disque stellaire. Un champ magnétique à grande échelle, présentant une morphologie en "X", a été cartographié, s'étendant jusqu'à 7 kiloparsecs (environ 23 000 années-lumière) dans le halo galactique. De plus, une gigantesque bulle radio, alimentée par les vents galactiques issus de l'activité de formation stellaire dans le disque, a été découverte. Cette structure témoigne de l'éjection de matière et d'énergie du disque vers le halo, un processus fondamental dans l'évolution des galaxies. La supernova de type I, SN 2022myz, y a également été détectée. NGC 4288, plus discrète dans le coin supérieur droit de l'image, est une galaxie spirale barrée de type SB(s)dm, une classification qui la place dans la catégorie des spirales magellaniques. Ces galaxies se caractérisent par une barre centrale et un seul bras spiral proéminent et quelque peu chaotique, similaire à la structure du Grand Nuage de Magellan. Sa vitesse radiale indique qu'elle fait partie du nuage de galaxies Canes Venatici I (CVn I), un filament de galaxies qui inclut le groupe de M106. En raison de sa faible brillance de surface (LSB - Low Surface Brightness), elle est plus diffuse que d'autres spirales. Ses bras spiraux sont parsemés de nombreuses régions HII, des nébuleuses en émission où se déroule une formation d'étoiles active, ionisées par le rayonnement de jeunes étoiles massives et chaudes. L'étude de NGC 4288 offre un aperçu des processus de formation stellaire dans un environnement de faible densité et de la dynamique des galaxies spirales barrées de type tardif. Acquisition Lunette TS-Optics CF-APO 102, avec réducteur 0.8x (F/5.6) Monture équatoriale Sky-Watcher EQ8-R Pro Prise de vue via ToupTek ATR2600M Guidage via ToupTek GP CMOS 02000 KPB sur OAG Pilotage via N.I.N.A. Prétraitement et traitement avec PixInsight et Affinity Photo Du 25 mai au 22 juin 2025 Setup en remote, chez Roboscopes en Espagne Brutes : - Hα : 120 x 300" - RGB : 3 x 40 x 180" Intégration : 21 heures DOF : - Darks : 101 - Flats : 15 - Bias : 201 Lien vers la full : https://app.astrobin.com/i/h9mbvs Crop sur M106 : Crops sur NGC 4217 et NGC 4288 : Tout ce beau monde se situe donc dans les Chiens de chasse, ici précisément : De son côté, Valentin a également traité l'image. Son traitement se trouve ici :
    2 points
  9. Bonjour, Je suis moi aussi passé du côté de la lumière 😁 J'ai reçu mon exemplaire de l'Heliostar 76Ha samedi dernier et j'ai pu faire mes premières acquisitions solaires cette semaine. Vraiment très satisfait de cette lunette qui pour le prix en donne beaucoup. Et encore, j'utilise pour le moment une caméra ZWO ASI178MC, donc couleur qui n'est pas tout à fait adapté à l'imagerie solaire (j'ai une Player One APOLLO-M Mini avec une IXM429 en commande). Chaque image est une mosaïque de deux vidéos traitées (le Soleil n'entrant pas en entier sur le capteur de la l'ASI178). Le 08 juillet 2025 à 19h18mn Le 10 juillet 2025 à 19h41mn
    2 points
  10. un essai d'animation sur AR4136 d'une durée de 1H15min. Malheureusement , pas de grosse explosion.
    2 points
  11. Bonjour tout le monde, On continue de traiter les données qui proviennent de notre setup commun avec @schizophrene pour cette fois vous proposer notre première galaxie acquise, à savoir M106. Chacun a le plaisir de pouvoir partager son traitement sur cette nouvelle cible. Pour ma part, j'ai toujours plus de mal à traiter du LRGB par rapport à du SHO. C'est donc toujours un défi de sortir une image correcte. M106 en version L-RHaGB 📷 Description M106 (NGC 4258) est une vaste galaxie spirale intermédiaire située dans la constellation des Chiens de chasse à 23,5 millions d'années-lumière. M106 a été découverte par l'astronome français Pierre Méchain en 1781. Apparemment, Charles Messier n'a ni observé ni enregistré cette galaxie dans son catalogue. C'est l'astronome américano-canadienne Helen Sawyer Hogg qui a ajouté NGC 3379, NGC 4258 et l'amas globulaire NGC 6171 au catalogue Messier sous les désignations M105, M106 et M107. NGC 4258 a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique (R')SAB(rs)b dans son atlas des galaxies. La classe de luminosité de M106 est II-III et elle présente une large raie HI ainsi qu'un jet d'ondes radio. De plus, c'est une galaxie LINER, c'est-à-dire une galaxie dont le noyau présente un spectre d'émission caractérisé par de larges raies d'atomes faiblement ionisés. Enfin, M106 est une galaxie active de type Seyfert 1.9. 📊 Données techniques Nombre d’images : - 60 x 300s en Ha - 120 x 300s en Luminance - 40 x 180s en R/G/B Temps d’intégration total : 21h Température capteur : -5°C DOF : - Darks : 101 - Bias : 201 - Flats : 15 / nuits / filtres 🌍 Conditions de prise de vue Lieu du remote : Observatoire Roboscopes (région de Sevilla, Espagne) Date : 25 mai 2025 au 227 juin 2025 (sur 13 nuits) 🔧 Setup utilisé Lunette : TS APO CF 102 avec Correcteur / Réducteur 0.8x (F/5.6) Monture : Skywatcher EQ8-R Pro Caméra : Touptek ATR2600M Autoguidage : Diviseur Optique + Touptek GP CMOS 02000 KPB Filtre(s) : Antlia Ha (3nm) + Pegasus Astro LRGB Logiciel acquisition : N.I.N.A Traitement : PixInsight Lien astrobin : Lien Astrobin (pour la full avec toutes les petites tachouilles) Image full : Petit crop sur M106 : Un autre crop sur NGC 4217 : Et enfin une version de M106 que j'avais réalisé en 2020 avec mon setup perso (200/800 à l'époque) pendant le confinement dans mon jardin (Strasbourg Centre) : Vous retrouverez comme d'habitude le traitement de mon ami Lucas sur cette cible commune juste ici : Merci pour tous vos commentaires et toujours vos axes d'améliorations !
    1 point
  12. Hello tout le monde ! Bon, je dépile des images en retard, dans aucun ordre précis Du 10 au 13 Juin, je me suis concentré sur le Mur du Cygne avec la CF-APO 130/910 et l'Altaïr 26M. J'avais envie de détailler cette partie particulièrement, à pleine focale. Il s'agit donc de 8h de Ha, 2h30 de O3, 2h30 de S2 et 45' de R+G+B. Fwhm sur la Ha de 2.35" (via pix), malgré des conditions inégales forcément sur 4j... pré-traitement Siril/Sirilic Traitement pix Staralign + Crop + GradientCorrection sur chaque(léger) Clonage Ha pour luminance séparée (O3 et S2 n'amenant rien de plus) BlurX sur Ha/S2/O3 StarX sur chaque et conservation Starless uniquement Stretch de chaque en visant le même niveau appporximativement Assemblage SHO puis NarrowbandCalibration Ajustements Channel Combination des R/G/B puis BlurX StarX sur RGB puis SetiStretch -> stars_rgb de coté Combine puis starreduction Exports TIFF Starless + Stars Traitements ponctuels Starless sous PL8 Intégration des deux sous PS + denoiss + Pikes Voila, c'est à vous.
    1 point
  13. C'est vrai qu'on ne fait pas souvent des amas et pourtant, à cet endroit notamment, ça vaut le détour ! Merci 🙂 Sam
    1 point
  14. Vraiment sympa cet amas ... Que de trouvaille ce Seb, bien cadrée, elle est chouette ouhhh ouhhhh
    1 point
  15. C'est tout le jeu du traitement
    1 point
  16. très belle avec tous les nuages autour
    1 point
  17. J'adore cet amas ! Visuellement il ressort vraiment, chaque fois que je sors pour du visuel, j'y retourne Super photo ! Je l'ai déjà imagé mais faudra que j'y retourne pour mieux faire ressortir tout ce qu'il y a au fond Bravo !
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  18. Super beau rendu sur une galaxie et un bel amas globulaire, qui permet de se rendre compte de ce que l' on peut espérer voir avec une bonne petite apo sous un très bon ciel....
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  19. Salut 👋 jolie champ, jolie photo une de plus ✌️
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  20. Superbe image !! Un sacrée niveau de détail, et le traitement est nickel ! Bravo !!
    1 point
  21. Très chouette cette M106, bien propre, bien traité ! Bravo a toi / vous
    1 point
  22. wooaw c'est vraiment superbe !! 15 juillet 2025 sous un ciel chargé avec une turbu de dingue.... spectro coro avec réseau 1200 puis 1800 puis 1800 t/mm
    1 point
  23. 1 point
  24. Bonjour les amis, J'espère que vous allez tous bien. Lune, je suis vraiment content que tu puisses te régaler avec ta super loupe bino. Je vous partage une coccinelle prise au banc macro avec l'objectif de microscope Mitutoyo 5x 0,14. Prises de vue : photo stackée à partir de 290 photos dans Zerene Stacker avec la méthode PMax - prise avec un objectif Mitutoyo M plan apo 5x - objectif de tube Canon 70 200 L f2.8 sur un Canon 5Dmk2 - temps de pose 1/4 - iso 400 UPDATE : Cette coccinelle est une coccinelle dite à 7 points et qui est la plus courante en Europe : https://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinella_septempunctata J'avais aussi photographié au microscope une autre coccinelle il y a 3 ans (que le temps passe vite !!! ) et partagé sur wa cette coccinelle dite asiatique, avec 19 points et de couleur plus jaune : https://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinelle_asiatique j'avais aussi pris au microscope des détails des ailes rigides et des ailes souples : Amitiés, FRanck
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  25. toujours avec la lulu redcat 71/350 38 x 300 s La m^me en version starless
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  26. Merci beaucoup 🌞 Merci 🌞 Cette lulu en donne vraiment beaucoup. Merci bien 🌞 Voici notre étoile en cette fin d'après-midi du 13 juillet 2025 :
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  27. Bonjour, ce matin , j'ai imagé aussi la belle protubérance prise par @Elgood hier. en bonus, les groupes de taches dominicales. (Il doit me manquer AR4141)
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  28. 1 point
  29. NGC 6888, la Nébuleuse du Croissant Située à environ 5 650 années-lumière de nous, au cœur de la constellation du Cygne, se trouve la magnifique Nébuleuse du Croissant. Cet objet céleste, également connu sous les noms de Caldwell 27 ou Sharpless 105, est une nébuleuse en émission découverte en 1792 par l'astronome William Herschel. Sa forme si particulière est le résultat des vents stellaires puissants et rapides émis par l'étoile massive Wolf-Rayet HD 192163 (WR 136), visible au centre de la nébuleuse. Cette étoile, en fin de vie, a expulsé ses couches externes de gaz, créant cette bulle de matière qui s'étend sur environ 25 années-lumière. Les observations, notamment en rayons X, ont révélé une structure complexe de bulles de gaz extrêmement chaudes, témoignant de la violence des phénomènes à l'œuvre. Les astronomes estiment que l'étoile centrale explosera en supernova d'ici 100 000 ans, un événement qui dispersera violemment la matière de la nébuleuse. La technique d'imagerie HOO Pour faire ressortir les détails et les couleurs de cette nébuleuse, j'ai utilisé une technique de traitement d'image appelée "HOO". Cette méthode consiste à assigner les signaux capturés à travers des filtres spécifiques, en bande étroite, aux canaux de couleur de l'image finale. Ici : Le signal de l'Hydrogène-alpha (Hα), qui révèle les vastes nuages d'hydrogène ionisé, est assigné au canal rouge. Le signal de l'Oxygène III ([OIII]), qui met en évidence les zones où l'oxygène est doublement ionisé et souvent plus chaudes, est assigné aux canaux vert et bleu. Cette palette de couleurs permet de créer une image riche en contrastes, où les différentes structures gazeuses de la nébuleuse sont sublimées, offrant une vision à la fois esthétique et informative de cet objet lointain. À cela, quelques heures de prises de vues en RVB (rouge, vert et bleu) ont été ajoutées : elles permettent de récupérer la vraie couleur des étoiles, pour les représenter fidèlement. L'aventure Il s'agit de la 2ème image sortie de notre setup en remote en Espagne, chez Roboscopes sur les terres de e-EyE. Malgré les nuits courtes de juin et du solstice d'été, les nombreuses nuits exploitables nous on permis d'acquérir 35h de données - mon (notre) record jusqu'à présent. J'ai hâte que nous puissions proposer de nouvelles images. Il y a des acquisitions en cours, alors ça ne devrait pas tarder L'acquisition Lunette TS-Optics CF-APO 102, avec réducteur 0.8x (F/5.6) Monture équatoriale Sky-Watcher EQ8-R Pro Prise de vue via ToupTek ATR2600M Guidage via ToupTek GP CMOS 02000 KPB sur OAG Pilotage via N.I.N.A. Prétraitement et traitement avec PixInsight et Affinity Photo Du 24 mai au 24 juin 2025 Setup en remote, chez Roboscopes en Espagne Brutes : - Hα : 192 x 300" - [OIII] : 192 x 300" - RGB : 3 x 20 x 180" Intégration : 35 heures DOF : - Darks : 101 - Flats : 15 - Bias : 201 Lien vers la full : https://app.astrobin.com/i/9floq0 Version starless : Crop sur NGC 6888 : Crop sur PN G75.5+1.7, la Nébuleuse de la Bulle de Savon : Version annotée : Et puisque nous sommes 2 à exploiter le setup, vous avez le droit en bonus à un 2ème traitement, celui de @valdetahiti. Sans Valentin, l'aventure n'aurait pu se faire : c'est lui qui a poussé pour qu'on se lance, et sans son apport (matériel, mais surtout amical), nous n'en serions pas là aujourd'hui. Il a, de plus, dû faire avec mon caractère, et ma vision des choses que j'ai souvent voulue imposer (ceci dit, il n'est pas en reste hein ). Merci à toi Valentin, que l'aventure continue comme elle a commencé, c'est-à-dire sur les chapeaux de roue, et avec des images à foison. Son traitement :
    1 point
  30. Bonjour, Bon, je m'en lance pour rédiger un premier retour d'expérience après ma seconde nuit d'observations avec le SmartEye. Mais tout d'abord, un peu de contexte. Matériel utilisé : Lunette Astrotech AT111EDT Monture Pegasus NYX-101 Trépied d'un SkyWatcher EQ6 Ciel avec le SmartEye (deux tests) Première expérience : dans ma résidence en Bortle 4 Seconde expérience : dans un lieu isolé des pollutions de type lampadaire ou lampes automatiques des voisins qui se déclenchent au moindre chat qui passe 😡, toujours en Bortle 4 Premières expériences en astropho En tout premier lieu, même s'il s'agit d'un appareil faisant office d'oculaire (entre autres choses), ça n'en reste pas moins de l'astrophoto ; Très assistée. Dans ce domaine, mes expériences d'astrophoto se limitaient jusqu'ici à utiliser un smartphone derrière un oculaire. Vous comprendrez donc que j'ai pas le niveau ^^. Discussions avec le support de Pegasus 1. J'ai reçu le SmartEye un vendredi en toute fin de journée. Dans la soirée, j'ai donc suivi la procédure d'enregistrement du matériel puis le manuel pour les premiers tours de roues. J'avais constaté en déballant que la roue crantée permettant de faire le défilement du menu ainsi que de faire les validations présentait un jeu très important, trop important pour que ce soit normal. Et en effet, après allumage, impossible de faire quoi que ce soit avec le matériel. J'ai donc envoyé un email au support de Pegasus dans la soirée. Le lendemain matin 7h, j'avais un retour du SAV avec la procédure, très simple, pour remettre correctement ce bouton. 2. Là où j'ai bien plus galéré, c'est pour suivre comment coupler le SmartEye à SkySafari Plus. Certains boutons n'existaient pas par rapport à ce que me disait la documentation. J'avais checké d'être en dernière version mais rien n'y faisait. J'ai donc fini par acheter la version Pro, résultat : pas mieux 😪. Je reprend donc benoîtement contact avec le support un soir aussi. Et le lendemain matin, très tôt, la réponse du support m'a sorti du purin. Pour information, SkySafari Plus suffit. Cependant, la version comprenant ces fonctionnalités est sortie il y a quelques jours seulement sur Androïd (à l'heure où j'écris ces mots 😉). Plus, il faut ajouter le menu "Camera" dans les options d'affichage de SkySafari. À chaque fois, les réponses étaient claires, nettes et vraiment empathiques ; sans compter la rapidité (vu que j'ai envoyé à chaque fois mes emails dans la nuit). Encore bravo et merci au support ! Premières expériences ! Après cette (trop) longue introduction : Retour à nos moutons. Première nuit : je ne vais pas y aller par 4 chemins, la première nuit, en ayant monté le matériel à l'arrache vers 1h du matin, dans le noir et après un apéritif relativement chargé et dans mon lotissement avec donc comme je disais des lampes qui s'allument toutes les 5 minutes (je n'exagère pas) d'une maison ou d'une autre : c'était pas ouf ! J'avais hésité à sortir le matériel ; sachant pertinemment que je serai déçu mais ça faisait déjà une semaine que j'avais le SmartEye et aucune occasion de le tester. C'est même après cette même soirée que j'avais vu la demande de @Skywatcher707 et pour laquelle j'ai préféré m'abstenir sachant que je n'aurais pas du tout été objectif. Cependant, j'ai pris quelques clichés qui laissaient envisager un gros potentiel. Donc résultat mi-figue, mi-raisin pour cette première soirée. Et au vu du prix du matériel, j'étais tout de même un peu déçu. Je ne vous le cache pas. Les cibles ont été : M31, M101, la nébuleuse de la Lyre. J'ai eu aussi la petite frayeur de voir le câble d'alimentation USB-C un peu court alors que je faisais un changement de cible. J'ai débranché rapidement le SmartEye. Ce faisant, les photos que j'avais enregistré auparavant sur la carte SD ont été supprimé ou écrasées (je ne sais pas si c'est l'une ou l'autre option). Par conséquent, dorénavant, pour chaque photo, j'utilise la fonction d'export du navigateur de mon Smartphone afin d'en conserver une copie. Seconde nuit : prêt à l'avance, pas de première partie de soirée, seul point négatif : la journée de travail avant. Fatigué mais pas insurmontable. Et là, malgré la présence du premier quartier de Lune, je dois avouer que ce matos fait toute la différence. Je suis encore très loin des résultats que l'on peut voir dans les communications commerciales ou les démonstrations sur Youtube mais déjà, on s'émerveille à voir apparaître au fur et à mesure les structures de galaxies, les centaines d'étoiles composant un amas, etc... Ce que j'apprécie particulièrement, c'est de profiter du moment présent. Je n'ai pas à attendre un lendemain, après traitement sur ordinateur pour profiter d'un spectacle céleste passé la veille. À noter que j'utilise un filtre IR/UV dont j'ai un doute sur la qualité (après réflexions ce matin). Si ça se trouve, les photos ci-dessous ne font pas honneur au reste du matériel. Il faudra que je teste sans. Cas d'utilisations avec une monture Pegasus 1. Je rencontre des soucis avec ma Pegasus NYX-101 : malgré une MEP avec un PoleMaster et après un alignement N étoiles, j'ai quasiment systématiquement un pointage "à côté". De temps en temps, quand je refais le home, je me retrouve avec un mauvais alignement de la monture. Malgré cela, le SmartEye via la connexion ST4 permet l'autoguidage et l'image reste bien centrée. C'est un point très positif. 2. Le SmartEye fournit une connexion wifi ; il en va de même pour la Pegasus NYX-101. Or, le SmartEye n'est pas allumé en permanence, contrairement à la monture. Problème, la monture ne se reconnecte pas toute seule au SamrtEye. Conséquence, il est parfois nécessaire de brancher son ordinateur en USB à la monture, d'ouvrir Unity et d'aller déclencher la connexion au wifi du SmartEye. Solution que je dois étudier : créer un point d'accès wifi différent qui permettrait de garder les IP de tous les appareils en constant. 3. En conséquence de mon alignement plus qu'approximatif, je règle l'alignement de l'objet grâce au HC ou via l'application Unity. Or, dans le cas où le SamrtEye est connecté, je ne peux plus me servir de l'application Unity et la monture n'est équipée que d'un seul port ST4, que j'utilise donc pour le SmartEye. Pour ajuster, il ne me reste alors plus qu'à utiliser les boutons de SkySafari. Hem, comment dire ? Il n'y a pas de juste milieu avec ces boutons ! Les vitesses de déplacement ne sont absolument pas adaptées. Solution : peut-être passer par un dédoubleur de ports ST4. J'en attend un pour vérifier. Point négatif : Sécurité Pour la petite histoire, je suis un administrateur système et réseau et s'il y a bien un truc que j'ai repéré et qui est selon moi un GROS défaut : c'est la sécurité d'accès au dashboard via le navigateur web. Le SmartEye permet d'accéder à toutes personnes que vous souhaitez, de diffuser les photos prises en temps réel. Pour ce faire, les utilisateurs ont juste à : 1. Se connecter au wifi sécurisé, 2. ouvrir un navigateur web sur leurs smartphone, 3 : se rendre sur la page de visualisation. Simple, efficace et pratique. Seulement voilà ! Si on rajoute /dashboard/ à l'url, on se retrouve dans un menu permettant d'administrer quelques options du SmartEye et ce, sans demande d'authentification, y compris modifier certains mots de passe. Ca, pour moi, ce n'est vraiment pas bon. Si un dév passe par là, s'il vous plaît : ajoutez une demande d'authentification, même un simple code pin histoire de protéger cette section qui ne devrait être accessible que par le propriétaire du matériel. Conclusion Est-ce que selon moi, le SmartEye vaut le coup ? La réponse est oui mais sous condition et en admettant que l'on recherche comme moi un résultat presque "clefs en main", sinon la lecture de ce commentaire n'a sans doute pas de sens si ce n'est par curiosité. C'est plutôt réservé à un public ayant déjà du matériel ou ayant prévu de s'équiper. Dans le cas contraire je crois qu'un télescope connecté de type Unistellar ou Seestar est plus adapté. À noter qu'il s'agit aussi d'une question d'attentes. Les gens à qui j'ai jusqu'ici montré des objets au travers de mon télescope ou ma lunette ont toujours été émerveillé sans le SmartEye. Cependant, mon public a été jusqu'ici d'un certain âge et ont passé toute leur enfance sans internet ni smartphones ; Pas sûr qu'un jeune adulte aujourd'hui ne se sente pas blasé, voir désintéressé, devant le spectacle alors que ce que leur montre leurs smartphones est 100x plus saisissant. Pour ma part, j'ai toujours rêvé de pouvoir admirer dans un télescope à minima les bras de galaxies. J'ai eu plusieurs télescopes dont un RC 12'' (qui me fait encore aujourd'hui m'arracher les cheveux 😅) mais en dehors de M31, j'ai toujours été relativement déçu. Aujourd'hui, avec le SmartEye et avec ma "petite" lunette 111mm, je vois enfin des galaxies et ce, sans maîtriser pleinement mon matériel. C'est très encourageant et me redonne un bon coup de motivation. J'ai terminé ! Désolé pour la longueur de ce post. J'espère cependant qu'il vous éclairera un tant soit peu sur ce matériel. Je vais ajouter quelques photos (non retouchées) que j'ai prise. Malheureusement, vous n'aurez pas les temps de poses mais sachez qu'à chaque fois, j'ai laissé moins de 10 minutes. Bon ciel à toutes et tous ! Photos première soirée : Photos de la seconde soirée : Amas d'Hercule Galaxie du Tourbillon
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  32. Salut tout le monde ! Bon, ce n'est pas vraiment dans mes habitudes de raconter ma vie, mais là je me sens trop joyeux pour le garder pour moi. Je ne sais pas si ce sera lu, mais il faut que j'extériorise, ça aura au moins servi à ça 😂 Cela fait deux ans maintenant que je me suis mis en tête de faire une collection d'observations des objets en équilibre hydrostatique du système solaire. Pourquoi ? Parce que je cherche à comprendre le lieu où j'habite. Mon pays ? Ce n'est qu'une frontière humaine n'ayant pas tellement de valeur à mes yeux. La Terre ? Déjà plus objectif ! J'essaye de comprendre la géodynamique globale, comprendre comment le tout fonctionne, géologiquement, climatiquement, biologiquement... Et j'essaye de comprendre comment l'histoire de l'humanité, notre civilisation, s'intègre dans cette histoire du Cosmos et plus directement dans l'histoire de notre petite planète bleue. Bien, mais on peut aller plus loin ! Notre système solaire est notre maison quelque part, mais aussi toutes les échelles supérieures. Ainsi, cela justifie mon objectif de connaître les objets qui m'entourent, et les objets en équilibre hydrostatique me semblent être de bonnes cibles pour commencer. J'ajoute aussi qu'il y a quelque chose de satisfaisant dans ce genre de cibles, à savoir le fait que ce sont de loin les objets les plus massifs de notre système. Une fois que je les observe, je me dis que j'ai déjà fait le plus gros du travail. Bien-sûr, le Soleil peut déjà sembler satisfaisant avec ses 99,86 % de la masse totale. Mais si on veut aller plus loin, les objets sphériques marquent la frontière suivante qui m'intéresse particulièrement. Bref, avec mon Dobson 254/1200 je tente donc d'observer toujours plus loin dans le système solaire. L'opposition de Saturne de l'année dernière m'avait permis de découvrir Téthys et Dioné, en plus de Titan, Iapetus et Rhéa qui sont assez faciles. Mais Encelade, vraiment difficile... J'ai donc retenté hier soir, en mettant toutes les chances de mon côté : opposition, bonne collimation, mise en température, une chaise, des vêtements chauds, une heure dans le noir pour mes petits yeux, attente de l'élongation maximale d'Encelade... La Lune était là, mais peu gênante, une chance ! Je suis resté une heure dehors à suivre Saturne "à la main", pour me familiariser avec son environnement et afin de saisir le bon moment, vous savez, ce moment où d'un seul coup il y a peu ou pas de turbulences et que tout à coup tout devient clair. Et là, en vision décalée, je vois un petit point fantomatique, presque imperceptible, formant un triangle avec Téthys et Dioné. Je ne cède pas à l'excitation et ne pleure pas (pas tout de suite), afin de réitérer l'expérience quelques minutes plus tard pour être sûr de ne pas m'être trompé. Et c'était bien elle ! Une petite bille de 500 km, abritant peut-être la vie, dont la lumière est parvenue quasi-directement jusque dans mon œil. Quand on y pense, de tous les êtres vivants qui sont nés dans cet Univers, ou bien, restons prudents, nés sur notre point bleu pale, très peu ont eu et auront la chance de voir cela dans leur vie. Même parmi les humains, cela ne fait que quelques siècles que nous pouvons observer dans un appareil de la sorte, l'essentiel de l'humanité qui nous a précédé n'en a jamais rien su. Et même aujourd'hui, combien d'entre nous peuvent dire qu'ils l'ont vu ? C'est un vrai privilège que de voir un objet si lointain, si petit, et de se rendre compte réellement que ce n'est pas juste un objet dans un documentaire ou dans un livre. Désormais, quand j'entendrais le nom d'Encelade, je pourrais me dire que je l'ai vu. Ça y est, maintenant je peux pleurer. Le côté frustrant c'est que j'arrive vraiment aux limites du possible... Mimas étant environ 2,5 fois moins lumineuse, je ne pense plus beaucoup progresser avec l'équipement que j'ai déjà, sans compter les satellites d'Uranus et puis Triton... Et pourquoi pas encore plus loin ? Dorénavant je vais continuer les explorations dans les clubs astro, j'y trouverais sans doute de bons gros appareils qui me permettront de remplir mes objectifs ! C'est bien de ne pas tout avoir d'un seul coup. Entretenir l'attente me permet de vivre des émotions encore plus intenses ! Je ne suis pas pressé, j'ai encore le temps pour voir tout ce qui m'attend. 😊 Je vous souhaite de bonnes observations, avec un zeste d'émerveillement ! Bons cieux à tous !
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  33. Salut les amis, j'étais parti sur NGC6914 les 10 et 11 juillet puis la météo s'est gâtée donc je n'ai pas pu continuer. Comme je ne sais pas si j'insiste ou si je passe à autre chose, voilà le résultat actuel. J'ai visé NGC6914 mais je l'ai mise de côté pour attraper le papillon dans mes filets au passage. C'est donc un total de 7h45 par poses de 120s avec filtre Altair HO 4nm. 76EDPH et Atair 26C Prétraitement Siril et finition Pix. Comme je n'ai pas fait le RGB, j'ai utilisé les couches H et O pour redonner la couleur avec le script de Seti Astro. J'ai joué avec le strech avec une première version avec pas mal d'étoiles et une 2ème version quasi Starless mais qui montre bien toutes les nébulosités. C'est vraiment étonnant comment la présence des étoiles gêne pour voir les nébuleuses. C'est stictement la même image starless, seul la couche d'étoiles change A+ Sam V1 avec étoiles V2 quasi Starless
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  34. Il me semble que GraXpert et la suite Setiastro sont compatibles voire intégrés dans le nouveau Siril
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  35. Bonsoir à toutes et tous J'ai un peu délaissé mes vieilleries cette année mais je m'y remets tout doucement. Je vous donne donc quelques nouvelles de cette lunette Henri Peter. Nouvelles qui ne sont pas venues des forums qui n'ont rien donné. Tout d'abord, je l'ai essayée. L'oculaire "à rallonge" dont je dispose est en fait un oculaire terrestre d'un design tout à fait classique pour l'époque : en "poupées russes". Le grossissement est de l'ordre de 50. Tant en diurne qu'en nocturne, sur la lune et Jupiter, l'image est tout à fait satisfaisante. Je n'ai pas encore pris le temps de bricoler ou scotcher un renvoi coudé pour adapter des oculaires modernes et pousser un peu la bête. Ensuite, j'ai réussi à extraire le barillet de l'objectif. Il s'agit en fait d'un bloc complet qui s'emmanche dans le tube mais ne se visse pas. Assez inhabituel par rapport aux instruments classiques de cette époque. Par ailleurs, comme je l'ai dit plus haut, ce bloc intègre un pare buée. C'est ce pare buée qui est tordu. Le barillet lui-même est en excellent état et j'ai pu dévisser sans problème la bague ad-hoc pour sortir l'objectif. Les deux lentilles sont nickel. Des marques repères au crayon sur les tranches mais pas de signature. Pas encore pris le temps de faire des photos. J'ai pas mal gambergé sur la queue d'aronde et la rotule en bois. Certains arguments penchent pour des pièces d'origine. D'autres pour des pièces confectionnées avec soin suite à la perte des pièces d'origine. Deux arguments récents me font clairement pencher pour la seconde solution. Et de une, la queue d'aronde est renforcée par une pièce métallique dont l'épaisseur a été adaptée à la pièce de bois par un bout de papier… Ce papier était une vieille note écrite à l'encre dans un style ancien… Malheureusement, la partie écrite était trop réduite pour déchiffrer quoi que ce soit. Bref, je doute que les ateliers Henri Peter aient utilisé un moyen aussi artisanal pour caler une pièce! Par contre, ce bricolage est ancien, pour sûr, probablement peu d'années après la naissance de l'instrument. Et de deux, j'ai contacté Optique Peter directement pour leur demander s'ils avaient des photos ou de vieux catalogues qui me permettraient de connaitre l'état initial de l'engin. Sans beaucoup d'espoir de recevoir une réponse. Homme de peu de foi!!! C'est Xavier Rochet, actuellement président de la société Optique Peter, et arrière petit fils de Henri Peter, qui m'a directement répondu au bout de 24h!!! Il m'a communiqué le catalogue le plus ancien qu'il ait retrouvé, de 1905, et des photos d'une lunette Henri Peter restaurée en 2013. Eh bien, le design de ces lunettes était tout à fait classique : tête de monture et queue d'aronde en bon laiton mais pas en bois! Je pense que l'énigme est résolue. Je pense que ma lunette est postérieure à 1905, 1910-1920 car ces documents ne montrent pas le pare buée mais le design plus classique pour l'époque de la lentille frontale au ras de l'air. Mais pas tellement après car les constructeurs passaient petit à petit à des tubes en alu. Je peux dire des âneries. Des plus sachants que moi me contrediront si besoin. La voie de la restauration est donc toute tracée je pense : refaire une monture avec queue d'aronde et rotule en laiton puis trépied qui ressemble fort au design de l'époque des Manent et Secretan. Au boulot! Et au plaisir de vous lire Emmanuel scan catalogue le plus ancien.pdf
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  36. Ne lui donne pas de faux espoir : c'est un catadioptrique...
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  37. C'est déjà bien de pouvoir tester avec la monture d'un ami. Une harmonic ça a l'air pas mal quand on regarde les retours sur le fofo. C'est déjà un super début je trouve 👍🏻
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  39. Je suis toujours en admiration devant les résultats obtenus par les astrams qui ont un joli coup de crayon.
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  41. Aujourd'hui un champ relativement grand au coeur de notre voie lacté, Avec plusieurs objet dont: M8, M20, des amas d'etoiles ouvers, des petits amas globulaires, et la forte luminosité et densité d'etoile de la voie lactée. Fait avec une petite focale classique 250 mm a f5, et asi2600MC sans filtre, au debut du moi de Juillet quand la lune etait encore qu'un petit croissant. J'ai pu cumuler 3 h de RGB pur. J'essaye ici de garder les couleurs naturelles des nébuleurses et des étoiles le plus possible. La difficulté est la position tres basse de la zone, M8 a 15-18° de l'horizon, et donc avec des gradient pas facile a gérer. Car question lumiere, M8 est déja visible sur des sub de 2s ! Pas du tout un objet faible. M8 Et sa couleur violette naturelle: Le coeur de la voie lactée en bas, M20 en haut.
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  42. Le filtre utilisé est un dual band Ha+OIII. Il ne laisse donc passer que ces deux longueur d'onde. Le Ha rayonne dans le rouge et donc se retrouve sur la couche R, le OIII oscille quelque part entre le G et le B. Donc quand on parle de HOO, il faut superposer HOO et RGB, le H sur le R, le OO sur le GB. Enfin c'est comme ça que je le comprend, je n'ai jamais utilisé de filtre à bande étroite. Bricoler à la main la distribution du OIII sur les couches G et B fonctionne plus ou moins, mais le script DBExtract fait ça beaucoup mieux. En fait il faut lire la page sur le forum officiel de Pixinsight, là je ne fait que paraphraser, donc en moins bien. Mais grosso modo le script tient compte de la réponse relative du capteur utilisé, dans la couleur donnée, pour attribuer un coefficient entre les différentes couches. Donc pour résumer le résumé, on donne au script l'image RGB corrigée des gradients et on le laisse faire. Pas de tambouille manuelle de séparation des couches ou je ne sais quoi. Rhaaa. Je comprend les problèmes de connexion mais le mieux en informatique, de manière très générale, est toujours d'utiliser les versions le plus à jour possible. Je ne comprendrai jamais les utilisateur de Siril qui possèdent Pixinsight. J'éviterai les analogies moisies pourtant tentantes, mais franchement, faites vous violence et apprenez à utiliser Pixinsight. A l'heure actuelle, et depuis toujours, les solutions les plus efficaces arrivent par Pixinsight. Cyril Richard fait un travail formidable, Siril est une vrai merveille et il est gratuit pour l'utilisateur. Si je me lançais aujourd'hui en astrophoto je serais un utilisateur de Siril, et potentiellement l'idée de passer à Pixinsight me tourmenterais. Mais quand on a payé sa licence il n'y aucune raison de continuer à utiliser Siril. J'incite par ailleurs souvent les utilisateurs de solutions à base de Gimp et autre bricolages à utiliser Siril qui est un logiciel sérieux, efficace et fait pour, mais à nouveau, si vous avez une licence Pixinsight... c'est comme avoir un coup d'avance.
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  43. Tout à fait. Tout le monde sait que la Terre est un disque plat, pas un carré... Sont bêtes ces IA... 🙄
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  44. Soirée bien écourté par l'arrivée massive de nuages et j'ai là présence d'esprit de démonté le matos avant d'aller me coucher j'ai était réveillé par la pluie vers 7h30
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  45. Salut Yves et bienvenue sur le forum !
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  46. J’avzais juste 30 minutes avant que M8 disparaissait derrière les buissons. Donc mise en station uniquement plus ou moins au Nord avec niveau à bulle, pas d’alignement (« Easy tracking » seulement en ascension droite), un 150mm à f/3 (Starizona Nexus), pas de darks, capteur à 5°, filtre dual-band H-alpha/OIII et un M8 vite fait, et en environ 5 minutes (75x5 secondes). Pour un jardin en Bortle 8 et une nébuleuse au dessus des lampadaires de la rue d’en face ça promet. Ce qui est sympa est que ça sort tel quel sans aucun réglage. Par contre pour M20 les branches étaient déjà là…et pas le temps de changer de filtre pour voir la nébuleuse à réflexion. M16 à peiné un peu plus à cause de la presque pleine juste à côté qui était déjà levée; en 10 minutes l’image était moins bonne qu’en 5 minutes à cause du « walking noise » (le manque d’alignement correct me tue), j’aurait du ditherer à la main en mettant la capture en pause et en bougeant la monture toute les trois minutes pour éviter ça ou un peu retravailler pour cacher, mais bon, je le montre quand-même: Il se débrouille même à sortir l’Iris du fond de ciel malgré la pleine Lune (excuser le manque de flats) avec rien qu’un filtre IDAS LPS-D3. Rien que pour voir, en poses de 20 secondes, ce qui ne va pas en tapant la monture au sol comma ça: C’est d’une simplicilté d’utilisation déconcertante. Et évidemment on pourrait faire mieux avec des heures d’effort, mais alors on passe de la EAA en astrophoto. Par contre un OVNI-M ratatine le SmartEye non seulement question iinteractivité mais aussi dans ce qui est visible, même après 10 minutes de SmartEye…mais aucune couleur et faire de bonnes photos est encore plus ch*ant que d’utiliser un SmartEye.
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  47. Salut Steven et bienvenue sur le forum !
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  48. Pour ceux qui vont sur FB. Le compte de Darren Drake avec un Dob 20". Je laisse chacun aller voir les images, pas la peine de les copier-coller...
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